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Les matches des Verts sont spectaculaires

29/04 07:50

Avec un total de 98 buts au cours de ses matches depuis le début de la saison (50 inscrits, 48 encaissés), l'ASSE est l'équipe qui donne lieu aux rencontres les plus prolifiques en Ligue 2 comme le souligne Opta.

Nedder se méfie de La Duchère

29/04 07:29

A la tête d'une équipe classée 6e de son groupe en N3 à 3 points du podium, Razik Nedder s'est brièvement confié au Progrès avant de se rendre en banlieue cet après-midi pour affronter la réserve de La Duchère, avant-dernière et déjà condamnée à la relégation en R1. Extraits.

"Les matchs là-bas ne sont jamais simples. Sur les dernières années, on a souvent bataillé. On joue sur un petit synthétique de mauvaise qualité à La Sauvegarde, souvent ça génère pas mal de densité dans le jeu et donc pas mal de difficulté pour nos joueurs techniques. C’est une équipe difficile à appréhender puisque l’effectif est beaucoup changeant selon les week-ends. Ils peuvent perdre face à des équipes qui semblent à leur portée mais ils savent aussi à l’inverse accrocher n’importe qui."

Losilla régale contre le Borussia

28/04 22:47

Luttant pour le maintien, le VfL Bochum a tenu en échec (1-1) le leader Dortmund ce soir en match d'ouverture de la 30e journée de Bundesliga. En bon capitaine, l'ancien réserviste stéphanois Anthony Losilla (37 ans) a ouvert le score d'une frappe somptueuse. Le Bayern de Munich, qui reçoit après-demain la lanterne rouge (Hertha Berlin) devrait profiter de ce faux pas du Borussia pour reprendre les commandes de l'élite allemande...

Baghdadi enfonce Rivera

28/04 22:11

Défait (1-0) pour la 4e fois d'affilée et pour la 13e fois de la saison, Le Puy, désormais avant-dernier et largué, a perdu ses derniers espoirs de se maintenir en National 1 ce soir à Dunkerque malgré l'entrée en jeu à la 64e de Maxence Rivera, enfin remis de sa blessure contractée il y a un mois et demi au Stade Bauer.

Son ancien coéquipier stéphanois Samy Baghdadi, lui aussi de retour après une indisponibilité aussi longue, a délivré la passe décisive à la 74e minute. Les protégés de Mathieu Chabert reviennent à un petit point des leaders Martigues et Concarneau, qui se sont neutralisés dans le Finistère.

L'heure de Lhéry

28/04 19:27

Yanis Lhéry, qui fêtera ses 20 ans le 7 mai, fait partie des 18 joueurs convoqués pour le match que les Verts joueront demain à 19h00 à Rodez. C'est la première fois de la saison que Laurent Batlles fait appel à cet attaquant qui a marqué 1 seul but en 9 matches de N3 ces 3 derniers mois après avoir été blessé toute la première partie de saison.

Pour rappel, celui qui a signé un premier contrat pro il y a 2 mois compte déjà 6 apparitions en L1 (soit un temps de jeu cumulé de 93 minutes). Il avait fait ses débuts lors du dernier match de la saison 2020-2021 (0-1) contre Dijon. La saison dernière, il est entré en jeu lors des défaites à Brest (1-0), contre Rennes (0-5), à Reims (2-0), contre Nantes (0-1) et contre Lens (1-2).

Le natif de Tremblay-en-France n'a donc connu que des revers dans l'élite avec trois entraîneurs différents (Claude Puel, Julien Sablé, Pascal Dupraz). Nul doute qu'il connaîtra enfin les joies du succès à l'étage inférieur sous les ordres de Laurent Batlles ! Pourquoi pas dès ce samedi dans l'Aveyron ?

Le groupe de l'ASSE contre le RAF : Larsonneur, Green - Appiah, Sow, Giraudon, Nadé, Pétrot, Nkounkou - Fomba, Bouchouari, Lobry, Moueffek, Chambost, Cafaro - Bamba, Krasso, Lhéry, Pintor.

Moukoudi en route vers le doublé ?

28/04 13:25

En supériorité numérique dès la 10e minute, l'AEK Athènes a écrasé avant-hier 4-0 le PAOK Salonique, qu'il retrouvera en finale de Coupe de Grèce le 24 mai. Auteur de son deuxième but de la rencontre (et de sa saison), Harold Moukoudi jouera après-demain un match qui sera sans doute décisif pour le titre de champion sur le terrain de Panathinaïkos.

Le club de l'ancien défenseur camerounais des Verts est en effet à égalité de points avec le Pana avec 12 points d'avance sur le 3e (l'Olympiakos de Pape Cissé, Panagiotis Retsos et Yann M'Vila) à 4 journées de la fin de cette phase du championnat qui met aux prises les 6 meilleures équipes de la saison régulière.

Sainté, affinité

28/04 08:45

Centre Presse Aveyron indique aujourd'hui que de nombreux supporters des Verts seront ce samedi au stade Paul-Lignon.

"Comme lors de chaque déplacement, les Stéphanois seront nombreux à Rodez demain soir. Et pas seulement en parcage. Le RAF envisage donc la possibilité de regrouper "les gens qui ont une affinité avec Saint-Etienne" dans le bloc 4, espace habituellement vide accolé à la zone réservée aux visiteurs. Par ailleurs, le club nous a fait savoir que ce match ne nécessiterait «pas de dispositif de sécurité particulier»."

Les plus grosses affluences à GG en L2

28/04 07:19

Dans leur 75e émission diffusée hier soir et à écouter sur notre chaîne Youtube, les mastres ont rappelé que plus de 33 000 spectateurs ont assisté au match contre Metz de samedi dernier alors que les Verts n'auront jamais été dans la course à la montée cette saison. On aura noté que cette rencontre rentre dans le top 10 des plus grosses affluences dans le Chaudron en L2.

1. ASSE 2- Le Puy 0 (23/08/1985) : 42 584
2. ASSE 2 - Ajaccio 2 (01/05/1999) : 35 550
3. ASSE 0 - Nice 2 (14/04/1999) : 35 187
4. ASSE 2 - Châteauroux 1 (22/05/2004) : 34 792
5. ASSE 1 - Laval 1 (11/11/1998) : 33 925
6. ASSE 0 - Angers 0 (01/05/2004) : 33 457
7. ASSE 0 - Troyes 0 (12/12/1998) : 33 104
8. ASSE 0 - Châteauroux 0 (21/05/1999) : 33 011
9. ASSE 1 - Metz 3 (22/04/2023) : 33 008
10. ASSE 1 - Vilains 0 (19/01/1986) : 31 776

 

3 blessés et 2 incertains au RAF

28/04 06:59

Centre Presse Aveyron fait un point sur les troupes ruthénoises à la veille du match qui opposera le RAF à l'ASSE demain à 19h00 au stade Paul-Lignon.

"Ce samedi, le groupe ne devrait pas être bien différent de celui qui, à l'exception de la défaite à Dijon, enchaîne les victoires depuis deux mois. En effet, les blessés connus depuis plusieurs semaines, à savoir Martin Adeline (pied), Joris Chougrani (tendon d'Achille) et Andy Pembélé (ischios) seront une nouvelle fois forfaits pour cette partie de prestige rue Vieussens.

Le premier est actuellement en rééducation du côté de Clairefontaine et les deux autres ont repris l'entraînement mais seront trop justes pour la rencontre. Les seules incertitudes résident dans les présences, ou non, dans le groupe de Sébastien Cibois (remis de sa blessure à l'épaule mais non retenu le week-end dernier) et d'Aymen Abdennour, malade pour le déplacement à Annecy."

Guion rend hommage à Battiston

27/04 21:53

En conférence de presse, David Guion a rendu hommage aujourd'hui à un ancien défenseur stéphanois ayant pris part au dernier titre majeur de l'ASSE il y a 42 ans.

"La différence qu’on a par rapport à nos concurrents, c’est que nous on est capables aujourd’hui de jouer la montée avec des jeunes joueurs. Ça, j’en étais convaincu en début de saison. Et ça nous amène aussi de la fraicheur. On l’a encore vu ce lundi avec tous ces jeunes qui ont fini le match, ou qui ont débuté. On reste dans ce que l’on s’est dit depuis le début de la saison, dans le projet du club. Et moi, avec ces jeunes-là, j’ai aussi envie aussi de leur faire découvrir l’ambition.

J’ai la chance d’avoir des jeunes. Je suis à la fin de la chaine puisque je suis là pour valoriser le très bon travail qui est fait au centre de formation par Patrick Battiston et puis ses équipes. Je suis convaincu qu’on peut aller chercher la montée avec des jeunes comme on le fait là. C’est la différence que l’on a par rapport au Havre. Je trouve que nos joueurs sont en train de découvrir l’ambition, et ils s’en sortent bien."

Comolli boit du petit lait

27/04 20:09

Ancien directeur sportif de l'ASSE (de juin 2004 à juin 2005 puis de novembre 2008 à novembre 2010), le président du TFC Damien Comolli s'est confié à l'AFP avant la finale de Coupe de France que les Violets joueront contre les Canaris ce samedi.

"On devient d'une certaine manière une référence: un club qui produit du spectacle, qui est bien géré, qui gagne de l'argent et qui remplit son stade. Quand je suis arrivé, il y avait une vraie fracture entre la communauté et le club, entre la ville et le club, et il fallait reconstruire. C'est énormément de travail. On a commencé à gagner rapidement en produisant un football qui correspond aux valeurs de la ville et de la région: l'audace, l'attaque et le spectacle. On est passé d'environ 6.500 spectateurs par match en moyenne lors des dernières saisons de L1 à plus de 23.000 cette saison. Notre communauté ne cesse de s'étendre, grâce notamment à un ancrage régional de plus en plus fort.

On sera au minimum 22.000 au Stade de France, puisque c'est le nombre de places que le club a vendues. Mais certains me disent que l'on aurait pu être 40.000. Je crois que c'est la première fois depuis que je suis au club que je aussi suis fier de quelque chose. Pas fier de nous, mais de nos supporters. Cette finale va être une transhumance venue d'Occitanie et je trouve cela extraordinaire. On m'avait pourtant dit quand je suis arrivé ici qu'il n'y avait ni passion, ni pression à Toulouse. La description que l'on m'a faite du club et de sa communauté est tellement différente de ce que nous sommes en train de vivre...

Que l'on soit en Coupe d'Europe ou pas, le club ne remettra jamais d'argent, il n'en a jamais été question. On vit avec nos propres ressources et recettes et si on est en Ligue Europa, on essaiera de créer davantage de ressources, c'est tout. On aura une équipe la plus compétitive possible et on gardera notre philosophie, notre style de jeu. Le plus important, c'est de continuer à progresser tous les ans et faire en sorte d'améliorer les infrastructures du club. On continuera de promouvoir des jeunes du centre de formation et d'autres jeunes de l'extérieur. Notre ADN restera le même. Ce que je peux garantir, c'est que si on a le bonheur d'y être, on jouera notre carte à fond. Comme tout ce que l'on fait depuis que nous sommes là."

 

Ghezali marque contre Iasi

27/04 19:49

A l'occasion de son 23e match officiel sous le maillot du Dinamo Bucarest, Lamine Ghezali (23 ans) a marqué avant-hier son 7e but de la saison toutes compétitions confondues. Malgré l'ouverture du score de l'ancien attaquant stéphanois,  les Chiens Rouges ont compromis leurs chances de monter dans l'élite roumaine car ils ont perdu 3-1 contre le CSMS Iasi.

Deux anciens coéquipiers stéphanois s'affrontent en finale de Gambardella !

27/04 14:05

L'ailier gauche clermontois Ilhan Fakili (17 ans) n'est pas le seul joueur passé par l'ASSE qui jouera au Stade de France la finale de la Coupe Gambardella (ce samedi à 17h15, match à suivre sur beiN Sports 1).

Le natif de Saint-Priest-en-Jarez retrouvera dans le camp d'en face son ancien coéquipier stéphanois de la génération 2006 Saïmon Bouabré (16 ans). Né à Sainté, ce milieu offensif monégasque compte 5 sélections en équipe de France U17 où il côtoie un certain Mathis Amougou.

On a excité Bergougnoux

27/04 13:38

Avant de retourner en banlieue après-demain pour y affronter la réserve des vilains lors de la 26 journée de National 2, l'entraîneur de Thonon Evian Bryan Bergougnoux s'est confié au Dauphiné Libéré. Extraits.

"Je ne vais pas être touché émotionnellement. Je connais beaucoup de monde en face mais je savais que c’était une étape dans la saison, alors je ne me prends pas la tête. Joueur et entraîneur, ce sont deux choses différentes. J’étais bizarrement plus excité l’année dernière quand on est allé jouer à Saint-Etienne !"

Pour rappel, il avait arraché le nul à la 95e au Centre Robert-Herbin alors que les Verts menaient 3-1 à la 78e minute grâce aux pions d'El Hadji Dieye, Ryad Boudebouz et Yanis Lhery... Au match retour, les protégés de Razik Nedder avaient perdu sur le plus petit des scores contre le cours du jeu.

Krasso est le meilleur dribbleur

27/04 13:20

Le numéro 17 de l'ASSE n'est pas seulement le meilleur passeur (9 offrandes). Il est également le meilleur dribbleur du championnat, comme l'a souligné hier le site officiel de la L2 chiffres à l'appui.

Dribbles tentés
1. Jean-Philippe Krasso (ASSE) : 153 dribbles tentés

2. Bilal Boutobba (Chamois Niortais) : 145 dribbles tentés
3. Kevin Van Den Kerkhof (SC Bastia) : 137 dribbles tentés
4. Abdoulie Sanyang (GF38) : 134 dribbles tentés
5. Georges Mikautadze (FC Metz) : 133 dribbles tentés
-- Dilane Bakwa (Girondins de Bordeaux) : 133 dribbles tentés
7. Xande Silva (Dijon FCO) : 122 dribbles tentés
8. Matthias Phaëton (GF38) : 114 dribbles tentés
-- Mickaël Le Bihan (Dijon FCO) : 114 dribbles tentés
10. Antoine Leautey (Amiens SC) : 106 dribbles tentés

Dribbles réussis
1. Jean-Philippe Krasso (ASSE) : 66 dribbles réussis

2. Bilal Boutobba (Chamois Niortais) : 64 dribbles réussis
3. Jean N’Guessan (Nîmes Olympique) : 56 dribbles réussis
4. Junior Olaitan (Chamois Niortais) : 55 dribbles réussis
-- Edson Seidou (Stade Lavallois) : 55 dribbles réussis
6. Dilane Bakwa (Girondins de Bordeaux) : 54 dribbles réussis
-- Abdoulie Sanyang (GF38) : 54 dribbles réussis
8. Antoine Leautey (Amiens SC) : 50 dribbles réussis
-- Georges Mikautadze (FC Metz) : 50 dribbles réussis
10. Aymen Boutoutaou (VAFC) : 49 dribbles réussis
-- Kevin Van Den Kerkhof (SC Bastia) : 49 dribbles réussis

Ibra cassé

27/04 13:14

Il n'était pas présent à l'entraînement du jour, Laurent Batlles a confirmé la mauvaise nouvelle à la mi-journée en conférence de presse : Ibrahima Wadji sera absent samedi à Rodez : "Thomas Monconduit et Anthony Briançon ont repris la course. Monconduit devrait revenir surement avant Briançon, il y aura peut-être une semaine de décalage. Louis Mouton s'est fait mal avec la réserve. On est sur une absence de quatre à six semaines, c'est un problème de cheville avec des ligaments touchés. Il passe une IRM demain matin. On a perdu Ibrahima Wadji qui s'est fait mal à la cheville et n'a pas pu s'entraîner cette semaine. Le docteur me dit que la semaine prochaine ça devrait aller, mais c'est en fonction de la sensation qu'il aura par rapport à sa cheville."

Youfeigane fera ses premières gammes à GG

27/04 11:14

Expulsé samedi dernier lors de la défaite de Guingamp à Pau (2-1), le gardien Basilio a écopé de deux matchs de suspension.

Moralité, il sera privé du plus beau frisson de la saison, la virée dans le Chaudron (samedi 6mai, 19h).

Basilio ayant été titularisé à 32 reprises cette saison, son remplaçant (le gardien centrafricain Dominique  Youfeigane) jouera son premier match en championnat à Geoffroy.

Ce week-end y'a Fakili !

27/04 07:05

Passé par l'ASSE (de 2013 à 2019), l'ailier gauche du Clermont Foot Ilhan Fakili (17 ans) est mis à l'honneur aujourd'hui par Le Progrès avant de défier Monaco après-demain en finale de Coupe Gambardella. Extraits.

"Ce U17 joue un rôle majeur dans le parcours clermontois avec 4 buts en 5 tours, dont celui de l’égalisation en fin de match contre Rennes en demi-finale. Dernier buteur lors de la séance des tirs au but, c’est lui qui a délivré les siens, cliniques dans l’exercice comme lors de leur entrée en lice à Saint-Étienne au premier tour fédéral.

"Quand on est tombé face à l’ASSE au premier tirage, on était un peu dégoûté. C’est un gros centre de formation et les Verts ont remporté la Gambardella plusieurs fois. Mais on a réussi à passer" se remémore son coéquipier Théo Ramousse, gardien de 18 ans né à Saint-Etienne et ayant fait ses classes à l'US Monistrol."

 

Mortel heureux à Sainté comme à Montpellier

26/04 20:56

Sur le point d'être promu en D1 avec ses Amazones, Laurent Mortel s'est confié à Midi Libre. Extraits.

"Je suis très heureux dans le projet stéphanois.  A partir du moment où je me retrouve dans une logique de performance et autour d’un projet ambitieux, je ne peux que m’épanouir. C’est cette adrénaline que nous recherchons toujours en tant qu’entraîneur. Surtout ici, à Saint-Etienne, qui est un club vraiment à part. Je me souviens encore, quand j’étais jeune et que j’allais voir les matches à Lens. Ce sont des clubs qui se ressemblent, deux peuples de passionnés qui sont dans l’humilité et la chaleur. C’est un vrai bonheur de construire un projet dans ce club.

Avec mon expérience, est-ce que je suis confiant pour le football féminin ? Je suis mesuré. Il y a les effets d’annonce, mais aussi la vérité du terrain. Il serait intéressant que ceux qui décident en haut lieu prennent le temps de sonder les acteurs de terrain et aillent chercher un peu plus loin que le seul réseau fédéral. Le foot féminin a pu compter sur les locomotives de Lyon et du PSG pour se développer, mais derrière, que se passe-t-il réellement ?

Même si on a tendance à penser que l'écart se resserre, je crois qu’il y a encore trois ou quatre niveaux en D1 et presqu’autant en D2. Aujourd’hui, nous devons penser un football différent et ne pas se calquer sur le modèle masculin sur lequel nous avons 30 ou 40 années de retard. Il y a un vrai potentiel, à condition que l’avance que nous avions il y a quelques années nous permette d’avancer et nous développer.

Je suis très investi au sein de l’université de Montpellier, je suis vraiment heureux de continuer à faire partie de ce projet. La qualité du football universitaire montpelliérain n’est plus à démontrer, que ce soit sur les terrains, mais aussi en dehors. Plusieurs diplômes universitaires ont notamment été créés ces dernières années pour devenir analyste vidéo ou encore responsable de la performance.

Mes activités à l’université de Montpellier me permettent de connaître la plupart des clubs et d’avoir tissé de vrais liens avec le tissu associatif de la ville. J’habite d’ailleurs toujours au Crès [commune située à 6 km de Montpellier à mi-chemin entre la mer Méditerranée et les premiers reliefs du Pic Saint-Loup, ndp2]. La région montpelliéraine n’est jamais trop loin de moi."

Ralliez-vous à mon panache vert et blanc !

26/04 17:11

Comme il l'a expliqué avant-hier à Sud-Ouest, François Cérésa a mis à l'honneur les Verts dans son excellent Dictionnaire égoïste du panache français paru il y a deux semaines aux éditions Le Cherche Midi

"Le panache, c’est un mélange de courage, d’audace, de vaillance, d’honneur et d’élégance, mais dans lequel on trouve aussi parfois de la suffisance, de l’orgueil mal placé ou de l’indiscipline, vertu tellement française. Le panache, c’est aussi le goût du beau geste, souvent inutile, une façon de sublimer l’échec. C’est un comportement désintéressé. Et puis, surtout, il n’appartient ni à la gauche ni à la droite. Le panache, c’est un mot intraduisible dans une autre langue. Je n’affirme évidemment pas que le courage et l’élégance n’existent pas chez les Anglais, les Allemands ou les Italiens, pour ne citer qu’eux. Mais le panache, c’est quelque chose en plus qu’on retrouve chez le Cyrano d’Edmond Rostand : « Déplaire est mon plaisir. »

Le panache est d’abord un toupet de plumes accroché à un chapeau. C’est à lui que fait allusion Henri IV quand il harangue ses soldats à la bataille d’Ivry en mars 1950. « Ralliez-vous à mon panache blanc ! » Cela dit, je ne suis pas un grand admirateur d’Henri IV et je ne lui trouve aucun panache. Ce roi a certes fait de bonnes choses pour le pays, mais il a mis son royaume en danger juste pour assouvir ses pulsions sexuelles. Le premier à faire preuve de panache, c’est Vercingétorix, qui rend ses armes à César pour épargner la vie des femmes et des enfants tout en sachant qu’il sacrifie la sienne.

Le panache est une vertu de bretteurs et de mousquetaires. D’Artagnan a de la fougue et de la générosité mais il lui manque la profondeur et la réflexion. Je préfère Athos et sa mélancolie presque dépressive, qui préfigure des personnages de Drieu La Rochelle. « La mélancolie, c’est le bonheur d’être triste » disait l’immense Victor Hugo. Avec Athos apparaît une dimension essentielle du panache, c’est l’échec. On en revient à Cyrano qui, derrière son tempérament bravache et querelleur, est tout de même un vaincu. Au moins de l’amour.

Cyrano reste l’incarnation du panache français, notamment par son goût de se faire détester ou de se créer des ennemis. « Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul » lui fait dire Edmond Rostand qui, dans son discours de réception à l’Académie française, définit le panache comme « la pudeur de l’héroïsme ». « Plaisanter en face du danger, c’est la suprême politesse, un délicat refus de se prendre au tragique. » Il y a aussi chez Cyrano ce côté gascon de la fanfaronnade mais, sauf au moment de mourir, il ne prononce pas le mot de panache. Ceux qui en ont ne se l’attribuent pas eux-mêmes.

Je consacre un chapitre aux Verts de Saint-Etienne et à leur cruelle défaite de 1976 contre le Bayern en finale de Coupe d’Europe. Je citais Athos ou Cyrano à propos de l’échec, ils ne sont pas les seuls. Peut-être les Verts ne seraient-ils pas rentrés dans la légende s’ils avaient remporté cette finale. Pas la même légende en tout cas. Il y a du panache dans la défaite et les exemples ne manquent pas. Mais il n’est pas absent de la victoire. En France, nous avons le syndrome Poulidor mais je lui préfère Anquetil. Il faisait de la bicyclette comme Mozart jouait du piano. Un cycliste magnifique et auteur de superbes réparties."

Appiah est là

26/04 14:00

Après Kader Bamba le week end dernier, c'est Dennis Appiah qui pourrait faire son retour dans le groupe pour le déplacement à Rodez (samedi, 19h).

Comme en attestent les photos du site officiel, notre défenseur central droit a en effet participé à l'entraînement collectif ce matin.

On pourrait bien voir se reformer samedi la charnière centrale alignée à Paris et à Grenoble (Appiah -Sow - Pétrot).

 

Rodez enfin rodé à Lignon

26/04 11:47

Samedi soir, les Verts vont découvrir le champêtre - quoique partiellement refait - stade Paul Lignon à Rodez, et ses quelques 3 400 supporters.

Un stade qui toute cette saison a très peu vibré puique les Ruthénois ne s'y sont imposés que 4 fois en 16 matchs, soit le plus petit total de victoires à domicile de la Ligue 2. Les attaquant du RAF n'y ont marqué que 15 buts pour l'instant, soit à peine 1 par match (seul Pau a fait moins bien avec 14 buts marqués à domicile).

On se gardera de trop fanfaronner cependant, car si la première victoire de Rodez chez lui n'a été obtenue que le 30/12 soit 5 mois après le début du championnat, les hommes de Didier Santini ont gagné leurs trois derniers matchs à la maison, contre Caen (3-2), Quevilly (1-0) et Laval (1-0).

Aux Verts, qui restent sur 5 matchs sans défaite en déplacement de briser la série aveyronnaise pour poursuivre la leur !

On Refait le Mastre jeudi soir à 20h45

26/04 10:48

On Refait le Mastre, l'émission de radio de Poteaux Carrés, c'est en direct jeudi soir à 20h45 sur la chaine Youtube du site.

Rejoignez-nous pour débattre de l'actualité des verts, ça se passe ici:

https://www.youtube.com/user/poteauxcarres

Nanard préfère le Parc à Geoffroy

26/04 08:24

S'il n'a plus foutu les pieds à Geoffroy depuis une éternité, Bernard Caïazzo était au Parc le 15 avril dernier, comme l'a rapporté hier la Pravda.

"Bernard Caïazzo a quitté Dubaï, où il réside désormais, pour revenir momentanément en France. Le président du conseil de surveillance des Verts a profité de sa présence au Parc des Princes, pour le match PSG-Lens, pour joindre l'utile à l'agréable. En marge de la rencontre, il s'est entretenu avec Joseph Oughourlian, le richissime président du RC Lens. Avec, en filigrane, toujours le même voeu pieux, depuis le 14 avril 2021, date de la (re) mise en vente officielle de l'ASSE : dénicher le pendant du propriétaire des Sang et Or pour les Verts."

Dans Le Progrès du jour, notre inénarrable Nanard évoque la teneur de ses échanges avec le ch'ti boss.

"À Lens, avec le président, nous n’avons pas évoqué la vente. Nous avons parlé de l’époque où l’ASSE était derrière Lens puis quand l’ASSE était en Ligue 1 dans le top 5 et Lens en Ligue 2. Joseph Oughourlian m’a répondu que les Lensois espéraient le retour des Verts parmi l’élite car les grands clubs ne meurent jamais. Les bons résultats actuels ont relancé l’intérêt pour le club."

Neyou aimerait rester à Leganés

26/04 07:52

Remplacé dès la mi-temps il y a 3 jours lors de la défaite de Leganés (15e de L2 espagnole avec 7 points d'avance sur le premier relégable à 5 journées de la fin), Yvan Neyou (sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2024) s'est confié hier à Somos Lega. Extraits.

"J'avais d'autres options en première division au Portugal, en Turquie ou aux Pays-Bas, mais j'aime beaucoup le style de jeu de l'Espagne, car on y touche le ballon. J'ai vu que j'avais une bonne opportunité à Leganés. Sergi Palencia m'a donné de très bonnes références et si ça se passe bien pour moi, je pourrais rester ici. Je me suis senti un peu blessé par le peu de temps de jeu que j'ai eu sous les ordres d'Imanol Idiakez même si je peux comprendre qu'il souhaitait un autre profil.

Quand je suis revenu de blessure en janvier, il m'a expliqué pourquoi il ne me faisait pas jouer. À ce moment-là, l'équipe allait bien et il ne voulait pas changer quelque chose qui allait bien parce que s'il le changeait et que ça tournait mal, ce serait de sa faute. Depuis qu'il a repris l'équipe, Carlos Martinez me met sur le terrain [Neyou est sur une série de 4 titularisations alors qu'il n'avait été qu'une seule fois dans le 11 de départ cette saison, le 6 décembre dernier contre Mirandes, ndp2].

Nous avons une équipe très capable de jouer davantage. On a un esprit au top et cette année c'est un peu décevant de ne pas pouvoir jouer plus haut. Je ne regrette pas d'être venu à Leganés, j'ai beaucoup appris pour comprendre le jeu espagnol. Je suis prêté jusqu'à la fin de la saison et il n'y a pas d'option pour une saison de plus. Mais j'aimerais continuer à Leganés, je vais bien, il y a de bonnes personnes au club et ils vous disent la vérité ici..."

 

Alonzo tient à son bon vieux Parc des Princes

26/04 07:14

Dans une tribune parue dans Le Monde de ce mercredi, l'ancien gardien stéphanois Jérôme Alonzo raconte le lien très particulier qui l’unit au Parc, alors que les propriétaires du QSG menacent de déménager au Stade de France. Extraits.

"Mon papa a créé le centre de formation du Paris Saint-Germain en 1975, et quand j’avais 3 ou 4 ans, j’étais la mascotte du club, avant les matchs au Parc des Princes, je déboulais devant les joueurs avec le ballon du match. On peut dire que le Parc des Princes a bouleversé ma vie. J’ai construit mon histoire plus autour du Parc que du PSG, j’ai avec ce stade une attache vraiment particulière qu’aucun joueur passé ou présent du club ne peut avoir. Mon transfert de Saint-Etienne au PSG, en 2001, était l’occasion de reprendre le fil de mon histoire.

Quand je viens à Paris pour mon travail [il est notamment consultant pour la chaîne de la Pravda, ndp2], ma chambre d’hôtel, à Boulogne-Billancourt, donne sur le Parc. Il n’a pas changé du tout, à part l’apparition de quelques bureaux côté façade. Il s’est modernisé à l’intérieur, il y a des loges sublimes, c’est comme un hôtel cinq étoiles, avec une conciergerie. Mon bon vieux Parc des Princes est resté le même. Alors qu’à Saint-Etienne, le stade Geoffroy-Guichard a changé, à Marseille, le Vélodrome a changé.

Le Stade de France, il n’y a pas un stade en Europe à la conception aussi antinomique pour un club résident. Il n’y a rien qui va. Il est impersonnel, froid, sans âme. C’est compliqué pour y aller et pour en revenir. Et il y a une piste d’athlétisme… J’y ai joué une vingtaine de fois et c’est le stade de tous mes malheurs : je me suis cassé la jambe lors d’un Red Star-Saint-Etienne et j’ai perdu là-bas deux finales de Coupe de France. Donc je ne suis pas du tout attaché à ce stade, malgré Zizou, malgré les concerts de Johnny. Le PSG, c’est le Parc, partons de cette base-là !

Mais les Qataris ne peuvent pas faire une offre au prix d’une villa, et la Mairie ne peut pas réclamer un prix de vente équivalant à la moitié de la ville ! Et si les propriétaires qataris doivent compter leurs sous, qu’ils arrêtent plutôt d’acheter des joueurs pourris à 50 millions d’euros… Les dirigeants actuels se foutent du passé du club et ça me fait beaucoup souffrir. Je n’ai jamais été invité. Le Parc est mon dernier lien avec le club. Et si ce lien se brise… C’est un peu comme une histoire d’amour, on se sépare en bons termes, les fils sont distendus mais pas rompus, on reste bienveillants envers l’autre, puis survient l’acte de trop qui fait qu’on coupe les ponts."

Guy Roux s'amuse du duo Nanard et Roro

25/04 23:49

Guy Roux a glissé quelques mots sur l'ASSE ce soir à l'antenne d'Europe 1.

"Est-ce que l’ASSE trouvera un acquéreur ? Il le trouvera le jour où les deux présidents seront d’accord vraiment, accepteront de céder leurs actions, accepteront que quelqu’un d’autre possède Saint-Etienne. Ils ont fait semblant pendant X années de vouloir s’en séparer tout en faisant tout pour le garder. En acceptant des défaites, en acceptant la descente, en acceptant tout ça, avec l’idée de le garder. Moi, Monsieur Romeyer, je le connais depuis très longtemps, je l’ai vu descendre d’un autobus avec l’équipe des cadets nationaux de Saint-Etienne il y a 30 ans. Son collègue, Bernard Caïazzo, il est un peu plus récent mais il a quitté Saint-Etienne car il n’est plus dans un bonheur complet chez les Verts (rires)."

France Bleu Zéro

25/04 22:18

France Bleu Hérault s'est payé vendredi dernier les supporters stéphanois en questionnant la sous-préfète de l'Hérault Elisa Basso.

"Madame la sous-préfète, est-ce que vous vous considérez plutôt chanceuse dans l'exercice de votre fonction en rapport avec les supporters par rapport à certains de vos collègues en France ? Vous vous estimez chanceuse de gérer la Butte Paillade, l'Armata et le Club Central ? Ce que je veux dire, c'est que vous n'avez pas à gérer les plus méchants, les plus fous qui existent dans le foot français. Vous n'êtes pas à Saint-Etienne ou à Marseille..."

La réponse de la sous-préfète : "Je ne me permettrai pas de porter un jugement sur les autres clubs. Je constate que depuis que je suis en poste, il y a un peu plus de deux ans, il n'y a pas eu d'évènements très graves. Il y a eu quelques troubles, je pense notamment à un déplacement des Girondins et à une rixe aux abords de Montpellier."

Le management descendant ne marche plus

25/04 21:45

S'il s'est incliné hier chez le nouveau leader martégal, l'entraîneur dunkerquois Mathieu Chabert restait sur une série de 7 victoires en National alors que son prédécesseur Romain Revelli avait achevé son aventure par 3 défaites. Dans La Voix des Sports, l'ancien gardien de la réserve de l'ASSE a expliqué hier en quoi il se distinguait de l'ex-adjoint de Christophe Galtier.

"J’ai une manière de fonctionner différente de celle de Romain, peut-être que c’est celle-là qui convient mieux aux joueurs. Aujourd’hui, avec la nouvelle génération, il faut donner de l’importance aux joueurs. Ils consomment vite et zappent vite les choses. Le management descendant ne marche plus. Je gère les joueurs avec beaucoup de bienveillance, parce que je pense que quand on est bien dans la vie de tous les jours, ça se voit sur le terrain. C’est important qu’ils se sentent bien ce qui ne veut pas dire que c’est la guinguette, loin de là ! On gagne en autorité parce que, quand on tape du poing sur la table, on est plus impactant que quand on ne fait que gueuler. Je pense que c’est comme ça qu’on peut tirer le maximum avec la jeune génération. J’ai toujours fonctionné comme ça dans mes clubs précédents."

 

Bergessio, un vétéran renversant

25/04 21:08

Gonzalo Bergessio, qui fêtera dans 3 mois ses 39 ans, s'est illustré avant-hier lors de la 11e journée de D2 argentine. Alors que son équipe (Tristan Suarez) était menée 2-0 par le Racing Cordoba, l'ancien attaquant stéphanois a réduit le score sur penalty à la 45e minute avant d'inscrire le but victorieux à la 90e. Un vrai pion d'attaquant.

 

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