Horneland vise l'Europe
17/01 23:13
Dans un court reportage diffusé ce soir sur France 3, l'entraîneur des Verts n'a pas caché son ambition européenne.
"Pourquoi avant les séances, j'installe les buts et je place les plots ? Bien préparer, c'est très important pour moi. Etre un bon exemple pour les joueurs, être un bon exemple pour les supporters, être un bon exemple pour tout le club, c'est important. Je suis un membre du staff, je suis le leader, mais je mets aussi la main à la pâte.
En dehors du terrain, je suis vraiment détendu. Mais sur la pelouse, à l'entraînement, en match, je suis focus, dans ma bulle. je veux montrer mon énergie., ma passion. Je suis comme ça ! Je veux voir une équipe aussi active que moi, j'essaye de pousser les joueurs à atteindre leur niveau maximum.
Saint-Etienne est une ville ouvrière avec de grandes valeurs comme la solidarité. Nous avons des supporters fantastiques et on doit leur rendre ça. Petit à petit, nous voulons que Saint-Etienne retrouve l'Europe. Cela doit être notre ambition."
Les Vertes n'ont pas refleuri
17/01 22:54
En ouverture de la 13e journée de Première Ligue, les Vertes ont concédé leur 8e défaite de la saison sur le terrain de Fleury, qui s'est imposé sur le score sans appel de 6-0.
Après avoir tenu un gros quart d'heure, les faibles Amazones ont pris 2 buts en première mi-temps avant d'en encaisser 3 autres lors de leur catastrophique début de seconde période. Les Stéphanoises ont hélas été incapables de sauver l'honneur et ont pris un 6e pion dans le temps additionnel.
La compo : Gignoux - Belkhiter, Martinez, Bogi (Mayi Kith, 64'), Tapia (Job, 85') - Bataillard, Champagnac - Caputo (Maniouloux, 78'), Stratigakis (Cambot, 64'), Pierre-Louis - Lamontagne.
Comptant encore une confortable avance (8 points) sur les premières relégables havraises qui se déplacent demain à Montpellier, les protégées de Laurent Mortel joueront le week-end prochain leur 8e de finale de Coupe de France sur le terrain du Stade de Reims.
Carteron sacré aux dépens de Guendouz
17/01 21:42
Entraîné depuis 2 mois par Patrice Carteron, le Sepahan SC a remporté aujourd'hui la Supercoupe d'Iran aux dépens du Persépolis FC d'Alexis Guendouz, qui a encaissé l'unique but de cette rencontre sur une tête de Steven Nzonzi (vainquer de la Coupe du Monde en 2018 aux côtés de Blaise Matuidi).
Nordin décisif et vainqueur
17/01 20:58
Entré en jeu à la 64e minute à la place de Wahbi Khazri, Arnaud Nordin a délivré la passe décisive de la renversante victoire du MHSC contre l'AS Monaco à la Mosson en ouverture de la phase retour du championnat de Ligue 1. S'ils restent lanterne rouge, les Pailladins reviennent à hauteur du Havre qui va dimanche à Reims à 4 points des barragistes stéphanois, qui accueillent après-demain les Canaris.
Kombouaré a décrypté Horneland
17/01 19:07
S'il a pu bénéficier d'un effet de surprise lors de ses deux premiers matches à la fois très cohérents et prometteurs, Eirik Horneland va désormais faire l'objet d'une attention particulière de la part de ses homologues, à commencer par Antoine Koubouaré, qui s'est exprimé aujourd'hui en conférence de presse. Extraits.
"On aborde ce match à Saint-Etienne différemment que celui du match aller. Il y a un nouvel entraîneur. Il est arrivé avec une volonté de faire bouger les choses. On l’a senti d’ailleurs sur les deux matches, que ce soit contre Reims avec une victoire importante et surtout le match contre le PSG. On a vu une équipe de Saint-Etienne qui sera complètement différente que celle qu’on a affrontée à l’aller. Il faut oublier ce match aller car on a perdu 2 points, c’est un match qui nous laisse beaucoup de regrets. On a traîné ça d’ailleurs pendant un moment. Je m’attends à une équipe stéphanoise complètement différente, avec une mentalité complètement différente. A Paris ils ont été bousculés mais on a vu une équipe généreuse, dynamique, avec beaucoup d’intensité. Ce n’est plus la même équipe ! Le nul du match aller a laissé des traces car c’est l’une des rares équipes qu’on a vraiment dominées. On a vraiment dominé cette équipe de Saint-Etienne. On aurait pu faire 3-0 ou 4-0 et au final ça fait 2-2. Ils ont 2 situations et ils égalisent sur un penalty.
L’ASSE a pris 15 de ses 16 points à domicile. Cette équipe des Verts est redoutable, même dans son jeu. Elle est capable de faire mal dans le jeu et avec les résultats, on sait qu’on va souffrir là-bas. On sait que ça va être un match très compliqué. C’est une équipe de Saint-Étienne qui avait déjà des résultats avec Olivier Dall’Oglio. Et là, leur premier match avec le nouvel entraîneur, ils étaient menés à la pause mais ont été capable de mettre 3 buts en seconde période. Il y a en plus la communion avec le public et tout. Leur entraîneur a dit : « nous, on est un grand club donc on doit jouer comme un grand club. » Il veut une équipe généreuse, dynamique. C’est ce qu’il a montré contre Reims mais aussi contre le PSG. C’était bien. Ça va être intéressant de voir ce que va donner cette confrontation entre Saint-Etienne et nous. Malgré l’élimination à Brest, nous on est bien en ce moment. Et à Saint-Etienne, depuis l’arrivée d’Eirik Horneland, il y a quelque chose qui se passe. Ça va être un match chaud, comme on les aime.
Si ce match va être un tournant ? C’est un mot que je n’aime pas trop employer. Si on joue dimanche, il va rester 16 matches. Après, c’est important de faire un résultat là-bas, vous pouvez mettre un coup sur la tête de l’adversaire. Mais ce n’est pas déterminant, ce n’est pas décisif. Vous pouvez prendre une avance qui impacte Saint-Etienne et les autres adversaires et ça, c’est bien. Saint-Etienne est une des équipes de notre championnat qui luttent pour le maintien. C’est le rapport de force entre deux équipes qui veulent s’en sortir, qui veulent rester en Ligue 1. Ça va être super intéressant.
Même s’il n’a fait que 2 matches en Ligue 1, il y a assez de matière pour analyser le jeu de Horneland car on a aussi regardé ce qu’il faisait chez lui en Norvège. Finalement, c’est un copier-coller : un 4-3-3 avec 4 défenseurs, une pointe basse pour ressortir les ballons, 2 numéros 8 et 3 attaquants. Ça ressort les ballons à 5 et devant ça attaque à 5. L’idée, c’est d’alimenter les attaquants avec beaucoup de courses, beaucoup de percussions. Surtout, ils peuvent attaquer à 5. L’idée, c’est d’amener du surnombre dans les zones offensives. C’est un jeu énergivore, avec beaucoup d’intensité. Ce qu’il a montré à Saint-Etienne, on l’a travaillé un eu avec Robin [Freneau, analyste vidéo chez les Canaris depuis 2017, ndp2], c’est ce qu’il faisait quand il était chez lui en Norvège. Il est très dynamique, très directif. Il est fougueux. Il a du jus ! C’est un jeune entraîneur qui sort pour la première fois de son pays. Il a beaucoup d’ambition donc ça va être un match intéressant."
La méthode vue par Batu
17/01 18:46
En conférence de presse, Dylan Batubinsika est revenu sur la défaite au Parc et a décrit les bienfaits de la méthode Horneland :
"On ne peut retenir que du positif de ce match. On savait que ce serait une soirée compliquée. On a bien figuré, montré de belles choses. On peut avoir des regrets, car on est revenu à 2-1, on aurait pu mieux jouer certaines opportunités. Après ils ont eu beaucoup d’actions, ils auraient pu faire le break.
Pouvoir exister dans ce match, c’est de bon augure pour la suite.
Toute ma famille est en région parisienne, ils étaient une dizaine au stade, c’était un match symbolique pour moi. C’est un stade dans lequel j’avais déjà évolué quand j’étais jeune.
Les consignes du coach étaient claires, on y allait pour jouer notre jeu, avec un pressing très haut sur le terrain. Pour lui mettre le bus n’était pas la bonne solution, on a gardé nos principes de jeu.
On défend beaucoup plus haut, en avançant, on doit coulisser très vite. Je trouve ça plus plaisant, on prend du plaisir à jouer haut, plus proche du but adverse. On travaille beaucoup les circuits de passe, tout le monde est disponible, on met beaucoup de densité autour du ballon. Il faut être le plus juste possible techniquement ensuite.
Dimanche, on joue une équipe de notre championnat, c’est un match couperet, un match à gagner pour faire un bond au classement. Ils restent sur des bons matchs, le nul contre Monaco par exemple. Ce ne sera pas un match facile, mais on est à la maison, on doit prendre des points.
Je suis content d’avoir beaucoup de minutes, mais je ne suis pas totalement satisfait, je dois être encore plus entreprenant dans mon jeu, et devenir un patron de la défense. A l’entraînement, parfois je traduis les consignes du coach, notamment à mon binôme Mickaz.
Le coach nous a dit dès le départ qu’il nous voulait en alerte, ça a beaucoup chauffé les quadri, les jambes. Mais les corps commencent à s’habituer à la charge de travail. Même pour les joueurs qui ont moins joué il a insisté sur le fait que tout le monde soit prêt, le groupe complet préparé, remplaçants comme titulaires. Tout le monde se sent de mieux en mieux. On ressent qu’on est en forme. Et on a des certitudes dans notre jeu, savoir qu’on se tient à nos principes de jeu donne de la confiance. Après ce n’est que le début. Ca viendra avec les victoires."
La pelouse reste très fragile
17/01 18:18
Sacré plus belle pelouse de L2 la saison dernière, le gazon du Chaudron s'est détérioré depuis comme le souligne la radio Ici (nouveau nom de France Bleu depuis le 6 janvier). Extraits.
"Entre un scalpage réalisé tardivement entre 2 matchs de L1 et une météo peu clémente cet hiver, les conditions n'étaient pas réunies pour une pousse optimale. Est venu s'y ajouter une mauvaise surprise, un problème de structure dans le sable de garnissage posé en septembre dernier par l'entreprise en charge des opérations.
"L'état de la pelouse de Geoffroy-Guichard est devenue une vraie inquiétude. Nous sommes à son chevet, toutes nos équipes sont mobilisées", assure Jean-Luc Degraix, vice-président de Saint-Étienne Métropole en charge des grands équipements. "Contre Reims, nous avons vu une pelouse qui n'était pas à la hauteur de ce qu'elle doit être. Des opérations sont menées depuis un mois et demi pour l'améliorer dès le match face à Nantes, même si la pelouse reste très fragile, ce qui est d'ailleurs le cas actuellement dans d'autres stades de L1 ayant accueilli les JO"
Depuis début décembre, des opérations de sablage ont été réalisées (15 tonnes de sable, au total) ainsi que des perforations pour aérer la pelouse. 600 kilos de semence de gazon ont été dispersés et un voile de forcage permanent a été installé."
Moueffek forfait, Boakye incertain
17/01 15:25
Dans son point presse avant la réception de Nantes, Eirik Horneland a fait le point sur les forces en présence :
"On a un doute sur Augustine Boakye, qui a un problème sur un muscle et alterne les entrées et sorties de groupe pour sa première saison de L1, ainsi que pour Anthony Briançon concernant la rencontre du week-end. Aïmen Moueffek est forfait."
On rappelle évidemment que Ben Old, Thomas Monconduit, Ibrahma Wadji sont blessés de longue date. Ibrahim Sissoko est toujours suspendu.
Nantes plutôt que Valladolid pour Cardo ?
17/01 14:54
Alors que AS annonçait ce matin la présence d'Irvin Cardona dans le groupe de l'Espanyol Barcelone pour affronter Valladolid ce soir (21h), le club vient de communiquer officiellement le groupe convoqué, et notre ex (et futur ?) attaquant n'y est pas.
De là à imaginer qu'il puisse signer à temps pour affronter Nantes, ça semble un peu court, même pour un club qui a mis l'intensité comme valeur n°1 !
Diarra a vécu la montée couché sur son canapé
17/01 11:19
N'ayant pas joué la moindre minute en L2 cette saison avec le leader lorientais, Stéphane Diarra a été titularisé pour la première fois en pro avant-hier depuis sa victoire avec les Verts contre Bourg-Péronnas le 18 novembre 2023. Mais le numéro 7 lorientais a dû céder sa place dès la 8e minute de jeu en raison d'une lésion à l'adducteur lors de l'élimination des hommes d'Olivier Pantaloni sur le terrain de l'AS Cannes (N2) où les protégés de Christophe Galtier s'étaient fait piteusement sortir il y a 11 ans. Avant cette rencontre, l'ex-numéro 17 de l'ASSE s'est confié dans Ouest-France. Extraits.
"Franchement, j’étais trop content de pouvoir entrer en jeu il y a 2 mois en Coupe de France après 10 mois d'absence. C’était vraiment le summum. J’étais en extase. Déjà, juste le fait d’aller m’échauffer, même d’enfiler le maillot de match. Je suis entré 20 minutes, et je me suis bien senti. Je repense souvent à ma longue indisponibilité. C’était difficile, surtout la rééducation, parce que j’y étais tous les jours. Je me suis fait opérer le 23 janvier 2024 [suite à une blessure contractée 2 semaines plus tôt lors d'un match amical avec les Verts contre Grenoble, ndp2], et dès le 24, j’étais chez le kiné. C’était de 10 h à 17 h, non-stop, jusqu’en juin. Et c’était ça le plus compliqué, retrouver la musculature sur ma jambe, retrouver mon mécanisme. J’ai connu des douleurs insupportables. Je n’avais pas de sommeil profond pendant trois semaines, je devais dormir sur le dos, je ne pouvais pas tourner ma jambe, et l’anesthésie redescendait. Je ressentais tout, j’avais des vomissements. C’était dur. Psychologiquement aussi, parce que j’étais prêté à Saint-Etienne, qui jouait la montée, et j’avais envie d’être avec mes coéquipiers. J’ai vécu ça d’un œil extérieur à la télé, couché sur mon canapé…
Je ne suis pas revenu à 100% de mes capacités. Physiquement, je suis capable de tenir 60-70 minutes. Je n’ai pas encore retrouvé toutes mes capacités d’explosivité. Mais quand je suis sur le terrain, je ne me sens pas moins fort qu’avant. Au contraire, j’ai pris plus en muscles, en puissance. Quand tu sors d’une grande blessure comme ça, cela revient petit à petit, un peu tous les jours, et je le ressens. Si je considére être le même joueur qu’il y a un an ? Mentalement, non, parce que j’ai vécu un truc qui m’a fait grandir. Physiquement non plus, j’ai pris 4 kg de muscles en un an. Cela a changé totalement ma façon de bouger sur le terrain. Sinon, je peux dire que je suis toujours le même, parce que j’ai toujours envie de m’amuser, de dribbler, de percuter, de marquer et de faire marquer. Je suis en fin de contrat en juin mais je ne suis pas inquiet par rapport à mon avenir. Je sais que j’ai du talent et ça viendra avec le travail. La suite, ça peut être avec Lorient, ça fait 5 ans que je suis là, j’ai une attache particulière ici."
Valladolid plutôt que Nantes pour Cardo
17/01 11:07
Selon le quotidien espagnol AS, Irvin Cardona est dans le groupe convoqué par le coach de l'Espanyol Barcelone pour affronter Valladolid ce soir (21h) en championnat.
Si le quotidien confirmait hier la probable fin anticipée du prêt de Cardona, il sera donc bien présent pour le match de la peur opposant le 18ème et premier relégable à son suivant immédiat.
Le derby vu par Jérémy
17/01 09:43
Entraîneur-adjoint au FC Versailles (qui reste sur une série de 5 défaites), Jérémy Clément parle du derby dans Le Parisien.
"J’ai joué énormément de derbys. Je n’en ai jamais perdu chez les pros avec l'OL, mais au centre de formation, où je suis arrivé à 13 ans, si. Dès le plus jeune âge, on nous inculquait la rivalité avec Saint-Etienne. Il était interdit de s’habiller en vert. Tous mes éducateurs étaient des anti-Stéphanois. A Saint-Etienne, ce sont plutôt les entraîneurs des équipes de jeunes qui m’ont chambré sur mon passé lyonnais. C’est comme ça, ça fait partie du folklore.
Je garde toujours un bon souvenir de Lyon, où j’ai passé tant d’années et où j’ai fait mes premiers pas en pro. Je suis supporteur, je garde forcément quelque chose de toutes les équipes où je suis passé. En arrivant à Saint-Etienne, on ne m’a pas fait ressentir que j’étais un ancien Lyonnais. Ça fait partie de ma carrière. Je me sentais bien là-bas, il y avait une super ambiance."
Mission impossible pour Gasset (2)
17/01 07:15
Lanterne rouge à 7 points de l'antépénultième et barragiste stéphanois à mi-saison, Jean-Louis Gasset (71 ans) est revenu hier en conférence de presse sur les propos qu'il a tenus le week-end dernier après la défaite des Pailladins contre les Angevins.
"J'ai dit que c'était pratiquement mission impossible parce que j'étais vraiment sous le choc, pas que pour le résultat, pour la manière dont on a abordé ce match. C'est vrai que j'étais un petit peu K.-O.,mais on se relève de beaucoup de choses dans la vie, il y a des coups durs bien plus importants et, dès le lendemain matin, j'ai tenu un autre discours parce qu'il reste un demi-Championnat et qu'on n'a pas le droit, quand on joue l'avenir de pas mal de gens, d'abandonner. C'est moi qui dois mener cette révolte. J'essaie de trouver des mots pour la souffrance de nos familles, de nos supporters, de beaucoup de gens autour du club qui peuvent perdre leur emploi.
La Pravda du jour souligne les difficultés financières du MHSC. Extraits.
"L'arrivée de Nicollin et de sa garde rapprochée en jet privé à Lyon, début janvier, après trente minutes de vol, a suscité des interrogations jusque dans le camp rhodanien, au vu de la conjoncture. Certains salariés du MHSC s'inquiètent de la situation économique, d'autant que la rumeur d'un plan social pouvant toucher une vingtaine de personnes, avant même une éventuelle descente en L2, est en train d'enfler dans les couloirs du club. Les célébrations des cinquante ans du club, qui ont coûté environ 800 000 euros. Téji Savanier a annoncé cette semaine à ses coéquipiers qu'il pourrait peut-être jouer son dernier match ce vendredi contre Monaco (19 heures). D'autres cadres, comme Jordan Ferri (suspendu lors des 3 prochains matches) ou Benjamin Lecomte, seraient aussi susceptibles de partir lors de ce mercato."
Le président rennais pousse un coup de gueule
17/01 06:58
Président d'un Stade Rennais éliminé de la Coupe de France par Troyes et ne comptant qu'un point d'avance en L1 sur le barragiste stéphanois qu'il a pourtant écrasé 5-0 il y a un mois et demi, le président rennais Arnaud Pouille monte au créneau dans Ouest-France. Extraits.
"On est dans une situation largement inacceptable, et il faut que l’on prenne le taureau par les cornes rapidement. Bien entendu, les résultats pèsent, mais c’est surtout le fait de voir un manque d’état d’esprit collectif, qui est la base du foot. Si vous ne courez pas, avec ou sans ballon, vous ne pouvez rien espérer. J’ai dit aux joueurs cet après-midi ce que j’avais à dire. Que chaque saison était une aventure, mais que celle-ci était vraiment merdique à l’heure actuelle, et qu’ils devaient en avoir conscience. Mais ils ont de la chance dans leur métier, c’est qu’il y a toujours une occasion de se refaire. Je leur ai dit ce que j’attendais comme état d’esprit dès ce samedi à la maison contre Brest [qui est presqu'aussi mauvais que Sainté à l'extérieur en n'ayant pris que 3 points en 8 matches, ndp2].
Nous sommes dans un club qui va bientôt avoir 124 ans, il y a un maillot à porter, et il ne faut pas lui cracher dessus. Je pense que les joueurs ont compris cela, et nous aussi. Je leur ai dit que c’était l’heure de la discipline et de l’effort. On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club. Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med !"
Selon le quotidien régional, le gardien Gauthier Gallon et les milieux de terrain Glen Kamara, Baptiste Santamaria et Albert Gronbaek ont été écartés. Ce dernier connaît bien Eirik Horneland pour lui avoir infligé sa plus grosse défaite de l'année 2024. Agé de 23 ans, l'international danois avait en effet délivré 2 passes décisives lors de l'écrasant succès (5-1) de Bodo/Glimt contre Brann l'été dernier.
Bamba buteur contre le Real à Madrid
17/01 06:24
Un quart d'heure après son entrée en jeu, Jonathan Bamba a réduit le score hier soir pour le Celta Vigo (12e de Liga) sur le terrain du Real à la 83e minute avant de provoquer le penalty égalisateur à l'entame du temps additionnel. Mais les Madrilènes ont finalement remporté 5-2 après prolongation ce 8e de finale de Coupe du Roi.
Supersub Makhtar Gueye strikes again !
16/01 21:07
Comme il l'avait fait il y a deux mois contre Sheffield Wesneday, l'ancien avant-centre sénégalais de l'ASSE Makhtar Gueye n'a mis que 5 minutes après son entrée en jeu pour marquer hier le 1er des 3 buts de la victoire de Blackburn contre Portsmouth en clôture de la 16e journée du Championship.
Yesterday, my brother Mukhtar Gueye , scored a beautiful goal for his team, Blackburn Rovers. I wish him success and promotion to the Premier League 💪🏽♥️ pic.twitter.com/9neuxxAA92
— ßÚ RÄ¥Äñ 🇬🇧 🇦🇪 (@BU_RAYAN_99) January 16, 2025
Ce championnat de L2 anglaise est dominé par le Leeds United de Josuha Guilavogui, titulaire samedi dernier lors de la laborieuse victoire en Cup de son équipe contre Harrogate Town (D4). Malgré la passe décisive d'Adil Aouchiche, Sunderland s'est fait éliminer après prolongation Stoke City.
L'apothéose du professeur Vaillant (2)
16/01 19:07
Excellents à l'image de leurs pistons formés à l'ASSE Gabay Allaigre et Mathis Mezaber, les épatants Espaviots ont fait trembler le QSG hier soir en Coupe de France. La Pravda a recueilli les propos de leur entraîneur Lionel Vaillant.
"C'est une énorme fierté, les joueurs ont repoussé leurs limites au maximum. On marque 2 buts au PSG, on a une balle de 3-2 avant eux... Il nous manque deux minutes pour rendre une copie parfaite. On a donné une belle image d'Espaly et même un peu plus loin, une belle image du foot amateur. J'ai été touché par la déclaration de Luis Enrique, qui a dit qu'il avait été en difficulté, qu'il avait eu du mal à trouver la solution. De cette aventure en Coupe de France, je ne retiens que du bonheur. On voulait jouer, rester sur ce qu'on est capables de faire, et je pense qu'on a rivalisé. J'avais dit aux joueurs avant le match que, vu le contexte, quoi qu'il arrive, on serait liés à vie après ce match. Oui, on va être liés à vie."
Avant ce 16e de finale de Coupe de France, L'Eveil de la Haute-Loire a rappelé les vertes années de Lionel Vaillant, qui va maintenant devoir se battre comme Razik Nedder pour maintenir son équipe en N3 (les Espaviots sont actuellement relégables avec un point de moins que la réserve stéphanoise). Extraits.
"Le nom de Lionel Vaillant avait été soufflé par Romain Revelli et Alain Blachon, qu’il avait connus lorsqu’il passait ses diplômes d’entraîneur, en Haute-Loire. "Je pense qu’ils avaient décelé chezmoi quelques compétences. Ensuite, Alain Blachon est devenu directeur du centre de formation, il a fait entrer Romain Revelli pour prendre les U17 et il m’a proposé de développer les U13. Avec Blach’, encore aujourd’hui, nous sommes proches, il est d’ailleurs venu manger chez moi récemment."
Pour que l’ASSE, puisse passer son centre de formation en catégorie A, Lionel Vaillant s’est d’abord chargé de créer une section sportive, en qualité de professeur d’EPS, en 2005. Quatre ans plus tard, le technicien a ensuite été engagé à mi-temps par le club du Forez pour entraîner les U13. Ses deux premières saisons étaient couronnées par deux titres de champion de France, avec les jeunes Stéphanois, nés en 1997 et 1998. Le premier sacre, en 2010, avait permis à son équipe de participer à la Danone Cup, en Afrique du Sud, dans la foulée de la Coupe du monde, pour représenter la France. "On perd en demi-finale contre l’Uruguay aux tirs au but, oavait joué dans des stades avec 40 000 personnes. J’avais pu échanger avec Zinédine Zidane à cette occasion, c’est un super souvenir.
Ces bons résultats ont permis à l’Yssingelais de grimper dans la hiérarchie et de succéder à Romain Revelli (promu adjoint de Christophe Galtier) comme entraîneur des U17 de l’ASSE, en duo avec Gilles Rodriguez. Il a occupé ce poste durant 5 ans, entre 2011 et 2016. En 2013, Lionel Vaillant permettait encore au club du Forez de décrocher un titre de champion de France. Dans son groupe se trouvaient de futurs professionnels tels que Dylan Chambost, Léo Petrot, Allan Saint-Maximin ou encore Jonathan Bamba. L’année suivante, son nouveau groupe échouait en demi-finale face au FC Lorient de Mathéo Guendouzi. L’Yssingelais parvenait tout de même à regoûter aux joies d’une finale, avec la génération 1999, celle de Gabay Allaigre, en 2016. Malheureusement, les Foréziens étaient battus (4-2) par le PSG de Timothy Weah à Saint-Flour.
"J’étais en fin de contrat après cette finale perdue et mon aventure stéphanoise s’est terminée à ce moment-là », se souvient, amer, Lionel Vaillant. Une décision qui restait incomprise par beaucoup d’observateurs au vu des résultats obtenus. "Je n’ai pas eu d’explication, je pense que je ne faisais pas partie du bon giron. Christophe Galtier, qui s’occupait des pros, avait fait le forcing pour que je puisse rester, mais cela n’avait pas suffi."
Malgré cette injustice, l'ancien formateur des Verts garde en mémoire de bons souvenirs. "J’arrive encore à avoir des contacts avec certains des joueurs de cette époque, apprécie-t-il. Un jour, j’ai ouvert ma boîte aux lettres et j’ai découvert que Dylan Chambost m’avait offert son premier maillot professionnel porté avec Troyes, accompagné d’un message où il me remerciait de toutes les années passées ensemble. Il y a aussi Léo Petrot qui est de Monistrol et que j’ai vu débarquer en U17… Gagner des titres, ça crée des liens."
Garcia au pays de Stassin ?
16/01 16:15
Rudi Garcia a commencé sa carrière d'entraineur chez les Verts. Celui que Robert Nouzaret avait fait venir comme prépararteur physique en 1998 est ensuite devenu adjoint, puis co-entraineur avec Jean-Guy Wallemme lors de la saison 2000-2001 qui verra les Stéphanois retrouver la Ligue 2, après notamment "l'affaire des faux passeports".
14 ans plus tard, celui qui a notamment entrainé avec succès Lille ou l'OM, mais aussi la Roma et le Napoli serait en pôle position, selon la Pravda pour devenir sélectionneur des diables rouges (Belgique).
On ne sait pas qui de Garcia (on parle aussi de Thierry Henry) ou d'un autre deviendra l'heureux élu, mais on espère qu'il sera rapidement dans l'évidence d'offrir à notre jeune buteur belge, Lucas Stassin, actuellement chez les diablotins (espoirs belges) sa 1ère sélection en A.
On a eu Zidane, on aura Zeidane ? (2)
16/01 14:32
Déja évoquée la semaine dernière par Le Progrès, l'info selon laquelle l'ASSE s'intéresse à l'ailier Zeidane Inoussa (qui joue à Häcken) est confirmée par le quotidien suédois Expressen. Selon ce dernier, le joueur de 22 ans, international espoir suédois pour qui Hull City aurait fait une offre à 7M€ cet été, est pisté par le Celtic et Sainté.
Inoussa sort d'une saison accomplie avec Häcken pour qui il a marqué 10 buts (6 en championnat, 1 en Coupe de Suède et 3 en Ligue Conférence) en 25 matchs joués.
La saison précédente, il avait claqué 5 buts en 10 matchs avec un autre club de D1 suédoise, Brommapojkarna (à vos souhaits !).
Postformé à Caen, le joueur avait été cédé pour 1,6M€ par Malherbe à Brommapojkarna.
Après avoir eu le neveu de Zizou en équipe réserve les Verts vont-ils débaucher son quasi homonyme suédois ?
On refait le mastre ce soir à 20h45
16/01 09:37
On Refait le Mastre, l'émission de radio de Poteaux Carrés revient ce soir pour débriefer la transformation spéctaculaire de notre équipe en 2025.
Lueur d'espoir ou feu de paille?
Rejoignez-nous à 20h45 en direct sur la chaine Youtube du site pour en débattre.
Saadi raccroche les crampons (2)
16/01 07:12
15 jours après avoir annoncé sur son compte Instagram qu'il avait raccroché les crampons, l'ancien avant-centre stéphanois Idriss Saadi se confie dans la dernière édition du Dauphiné Libéré.
"Cet été j’ai eu un staphylocoque doré, qui m’a vraiment mis mal. Je n’ai pas voulu prendre de risque. Cela fait déjà 2 ans que je prépare l’après car le foot, cela ne représente pas toute une vie. Je pense à passer mes diplômes d’entraîneur. Je me laisse 6 mois pour voir. Ça sera la fin de la saison et de l’année scolaire. Je veux prendre le temps d’y réfléchir.
Depuis mes premiers croisés à 22 ans, je sais que cela peut se finir à tout moment, c’est pour cela que j’ai préparé l’après très tôt. Sans les blessures au genou, je pense que j’aurais pu viser plus haut. À Strasbourg, je suis dans une bonne forme avant de me faire opérer du tendon rotulien. Il faut avoir une force mentale pour revenir à chaque fois.
Quand je suis arrivé chez les pros, en tant que jeune, on devait ramasser les cages ou les ballons. Aujourd’hui, les jeunes arrivent et expliquent comment il faut jouer à des footballeurs qui ont 10 ou 15 ans de carrière. Avant, avoir un contrat pro, cela voulait dire quelque chose, que tu avais le potentiel pour faire une carrière en L1 ou L2. Aujourd’hui, tout le monde signe pro…"
Kombouaré veut arracher la victoire à Geoffroy-Guichard
16/01 06:52
Devant leur poste de télévision, les Verts ont vu leur prochains adversaires nantais s'incliner 2-1 à Brest hier en 16e de finale. "En l’absence de Jean-Charles Castelletto et d’Anthony Lopes, ménagés, Antoine Kombouaré a reconduit son onze type" souligne Ouest-France. Avant de se rendre dans le Chaudron dimanche après midi (coup d'envoi dès 15h00), l'entraîneur nantais a livré sa réaction dans la zone mixte du stade Francis Le Blé.
"Cette élimination de la Coupe de France est une grosse déception. C’est une énorme déception car je suis persuadé qu’il y avait la place pour faire quelque chose de bien. Mais on s’est loupé dans le dernier quart de la première mi-temps et derrière on est punis… On a fait une belle entame de match, on a privé les Brestois de ballon mais on n’a jamais fait mal. On les a fait beaucoup courir, on a créé des décalages mais on n’a pas fait de différence.
Leur premier but est scandaleux, il y a hors-jeu. Cette grosse erreur d’arbitrage nous coûte le match car derrière on a du mal et on prend le deuxième but très vite. On fait une deuxième mi-temps bien meilleure, on revient au score mais bien trop tard. Mais il y avait vraiment la place. Quand on voit le nombre d’occasions qu’on a eues… On a tiré 16 fois au but mais on n’a cadré qu’une fois. Eux ils ont tiré 8 fois, ont cadré 4 fois et ont mis 2 buts…
Moi, je travaille avec les joueurs que j’ai sous la main et je ne me plains pas. Aujourd’hui il y avait la place Avec cette équipe-là de passer contre Brest. Et on a les moyens avec cette équipe-là d’aller arracher la victoire à Saint-Étienne. C’est ce que j’attends de mon groupe. Moi, le recrutement, si je passe mon temps à attendre... J’attends toujours. Pour l’instant, le plus important, c’est l’effectif que j’ai là. Je bosse avec celui-là. S’il y a des renforts, je suis super content, s’il n’y en a pas, je fais avec et je suis super content aussi.
Si ça m’inquiète qu’on ait aucune recrue à mi-mercato ? Non parce que moi, je suis dans le présent. Et le présent, ce sont les matches qui arrivent, les entraînements où il faut soigner la tête des garçons, les mettre à l’endroit et surtout, aller jouer. Je ne pense pas qu’un renfort va arriver pour le match de dimanche à Saint-Etienne. Moi, mon travail, c’est de gagner des matchs pour qu’on remonte au classement. Et puis, le travail des dirigeants, c’est d’amener les joueurs. S’ils le font, je suis super content. S’ils ne le font pas, ce n’est pas grave. Nous, on a surtout à se concentrer sur le travail."
Bravo Joris et Kelian, chapeau les Espaviots !
15/01 23:42
Battu par la réserve de l'ASSE il y a un mois en N3, Bourgoin-Jallieu a éliminé les vilains de la Coupe de France. Deux joueurs formés à l'ASSE ont participé à cet exploit : Joris Mendy (photo), qui a (très bien) joué l'intégralité de la rencontre débutée juste après une sympathique accolade à son "grand frère" Bafé Gomis. Mais aussi Kelian Mersel, entré en jeu à la 73e minute.
Autre club évoluant dans le même groupe de N3 que la réserve stéphanoise, le FC Espaly (relégable actuellement en championnat) a failli créer l'exploit contre le QSG à Clermont-Ferrand. Les protégés de Lionel Vaillant ont ouvert le score, ont égalisé et se dirigeaient vers une séance de tirs au but avant de prendre 2 buts dans les dernières minutes. Trois joueurs formés à l'ASSE ont pris part à cette rencontre diffusée en prime time sur beIN Sports 1 : les pistons Gabay Allaigre et Mathis Mezaber, titulaires et excellents mais aussi Kaïs Bendriss, entré en jeu à la 77e minute sous les yeux d'un Hugo Di Piazza resté sur le banc.
Lui aussi pur produit du centre de formation de l'ASSE, Saïdou Sow, qui s'est marié pendant les vacances de Noël en Guinée et qui n'avait plus joué depuis un mois et demi, a disputé les 90 minutes de la rencontre remportée aux tirs au but par le Racing Club de Strasbourg à Epinal contre Thaon, antépénultième donc relégable dans son groupe de N3.
Devenu le meilleur milieu de terrain en activité formé chez les Verts l'increvable Mahdi Camara, 4 jours après avoir été le bourreau des vilains, était titulaire ce soir lors de la nouvelle victoire (2-1) des Ti-Zefs contre des Canaris attendus ce dimanche après-midi à Geoffroy-Guichard.
Tous nos prêtés sont éliminés !
15/01 22:06
Aucun joueur sous contrat avec l'ASSE ne participera aux 8èmes de finale de Coupe de France. Darling Bladi, actuellement 7e de National 1 avec Bourg-Péronnas, s'était fait sortir à domicile (1-2) dès le mois d'octobre à domicile par Rumilly-Vallières.
Karim Cissé s'est lui aussi fait éliminer ce soir par un club de N2 (Saint-Brieuc). Entré en jeu à la 74e, l'attaquant guinéen de 20 ans a mis sur la barre transversale le tir au but fatal au FC Annecy (5e de L2) au grand dam de Vincent Pajot.
En souffrance face aux attaquants angevins Esteban Lepaul, Bamba Dieng et Jim Allevinah (ils ont tous les 3 marqué), Beres Owusu a été remplacé ce mercredi à la 86e minute lors de l'honorable défaite à Diochon de QRM (8e en N1) contre le SCO (13e en L1).
Il s'est fait éclater mais il s'est éclaté !
15/01 19:45
Ancien gardien de Côte Chaude, Stéphane Méallier se remémore aujourd'hui dans Le Progrès le mythique 32e de finale de Coupe de France que ce club de quartier stéphanois a joué contre le PSG de Raï et Ginola devant près de 36 000 spectateurs dans le Chaudron le 22 janvier 1994.
"J’ai pris 10 buts, je me suis fait éclater de la 1e à la 90e, mais je me suis éclaté. Trois décennies après, on m’en parle encore. Il n’y avait pas de portable, ni de réseaux sociaux : j'ai appris qu'on tombait sur le PSG par la télévision. C’était inespéré et irréel. On a été ultra-sollicités par la presse écrite et télévisuelle (Téléfoot, Canal +, L’Équipe…).
À l’échauffement, il y avait à peine 15 000 personnes. Quand on est ressorti une demi-heure plus tard, le stade était plein comme un œuf. J’ai cru que les tribunes allaient nous tomber dessus : c’était un truc de fou, une ambiance indescriptible. Malgré la lourdeur du résultat, les supporters nous ont encouragés de la 1ʳᵉ à la dernière minute."
Les supporters nantais boycottent GG
15/01 16:20
Le préfet de la Loire leur ayant interdit de débarquer à plus de 400 à GG dans un arrêté pondu le 9 janvier, les supporters nantais ont décidé de boycotter ce match de la 18e journée de L1 programmé ce dimanche à 15h00. "Les supporters stéphanois avaient pu bénéficier d'un quota de 800 places. Il n'est pas envisageable pour nous de faire un tri parmi les supporters nantais" a indiqué ce mercredi le collectif d'associations de supporters du FC Nantes dans un communiqué relayé par France Bleu Loire Océan.
Deux Canaris préservés pour affronter Sainté
15/01 13:34
"Je ne fais pas de turn-over. Je fais jouer les meilleurs, ceux qui le méritent. Après je dois aussi tenir compte de l’état de santé de mes troupes" a déclaré avant-hier Antoine Kombouaré en conférence de presse. Comme le souligne aujourd'hui Presse-Océan, deux joueurs ne sont pas dans le groupe canari qui défiera ce soir à Francis Le Blé le Stade Brestois de Mahdi Camara mais devraient faire leur retour ce dimanche après-midi à Geoffroy-Guichard.
Il s'agit du vilain gardien Anthony Lopes (qui a reçu un coup de l'ex-futur avant-centre stéphanois Mustapha Mohamed hier à l'entraînement) et du défenseur central Jean-Charles Castelletto (qui avait offert aux Verts un pénalty égalisateur en donnant un coup de coude à Mickaël Nadé le 29 septembre à la Beaujoire).
Grange et Roro derrière les Espaviots
15/01 12:57
Selon la dernière édition du Progrès, deux anciens présidents de l'ASSE ayant des attaches en Haute-Loire assisteront ce soir à Clermont-Ferrand au 16e de finale de Coupe de France qui opposera Espaly (N3) au QSG : Henri Grange et Roland Romeyer, qui est resté proche du président espaviot Christian Perbet (dont l'entreprise ponote TNT a accompagné l'ASSE sur le terrain du web).
Entraîneur du dernier rescapé altiligérien suite à l'élimination du Puy hier sur le terrain de Dives-Cabourg, l'ancien coach des U17 stéphanois sacrés champions de France en 2013 Lionel Vaillant a livré ses impressions sur le site de la FFF.
"Avec ma famille, on a passé les fêtes de Noël à Barcelone. Mes enfants ont voulu visiter le musée du Barça et il y a tout une partie consacrée à Luis Enrique. J’ai découvert son parcours de vie. C’est un grand Monsieur. On essayera d’exploiter au maximum ce que l’on sait faire. Ce qui est important, c’est de jouer le match. Ce n’est pas un jubilé. Après, on n’est pas fous et on sait très bien que ce sera compliqué. Il faudra vivre intensément ce moment et kiffer !
Stassin vaut déjà plus qu'il n'a coûté !
15/01 08:23
Leader mondial dans l’évaluation scientifique des valeurs de transfert des joueurs professionnels, l'Observatoire du Football a présenté dans sa 486e lettre hebdomadaire les footballeurs actuellement les mieux valorisés au monde.
Cette instance du Centre International d'Etude du Sport, qui n'avait publié que le top 100 mondial (dominé par Jude Bellingham, 251 M€), a bien voulu nous divulguer le top 5 de l'ASSE. S'il n'a marqué que 2 buts en 722 minutes hors temps additionnel sous le maillot vert, notre Diablotin recruté pour 10 M€ est le joueur stéphanois le mieux valorisé.
1. Lucas Stassin : 11,4 M€
2. Zuriko Davitashvili : 10,6 M€
3. Pierre Ekwah : 4,89 M€
4. Ben Old : 3,42 M€
5. Igor Miladinovic : 3,24 M€
Encore un Sissoko expulsé en Coupe de France !
15/01 07:43
A l'instar d'Ibrahim, en train de payer très cher son coup de coude sur Leonardo Balardi, un autre Sissoko s'est fait expulser hier en Coupe de France : l'ancien latéral stéphanois Alpha, actuellement meilleur passeur de Ligue 2 (6 offrandes). Mais son club Guingamp s'est qualifié aux tirs au but aux dépens du FC Sochaux de Marie-Gaël Mukanya (entré en jeu), Nassim Ouammou (resté sur le banc) et Baptiste Valette (absent).
L'ASSE reste la dernière équipe française à avoir battu le LOSC, les Dogues de Rémy Cabella s'étant qualifiés au Vélodrome aux tirs au but au grand dam de Neal Maupay, dont le but marqué de la main a été logiquement refusé malgré son air ahuri. Le Mans FC (11e de N1) de Lucas Calodat (resté sur le banc) et Nathan Dekoké (absent) a éliminé aux tirs au buts le VAFC (12e de N2) de Vincent Hognon.
Ancien entraîneur de ce dernier (à Sainté puis à Nice), le directeur sportif du SC Bastia Frédéric Antonetti a vu les Corses s'incliner sur le plus petit des scores à Furiani face aux Aiglons. Maxence Rivera, qui aurait dû être titularisé hier avec Dunkerque à Haguenau n'a pas pu jouer, son match ayant été reporté en raison du terrain gelé de la commune du Bas-Rhin.