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poteaux carrés

Gabriel Silva commente son départ

24/02 10:19

Un mois après avoir résilié son contrat avec l'ASSE, Gabriel Silva a brièvement commenté la fin de son aventure stéphanoise dans un entretien accordé hier au média brésilien Globo.

"Il y a eu des changements ces dernières années, Saint-Étienne n'allait pas bien et j'ai trouvé un accord avec le club. Je pense que c'était bon pour moi comme pour eux. Je pense que mon temps en Europe est terminé. Je me souviens que lorsque je j'avais quitté Palmeiras pour l'Udinese, Marcos Assunção, m'avait pris à pris m'avait dit : "J'ai joué là-bas, je sais comment ça marche. Je veux que tu y restes au moins 10 ans". Je me sens comblé d'avoir joué dans trois grands championnats (Série A, Liga, Ligue 1). J'ai hâte de retourner au Brésil et de trouver un accord avec un club brésilien."

 

Les formateurs dans l'expectative

24/02 07:09

Le Progrès du jour souligne que l'ASSE tarde à prolonger des formateurs en fin de contrat dans quatre mois. Extraits.

"Seul Laurent Huard, directeur du centre de formation, est encore sous contrat jusqu’en juin 2024. La situation sportive des Verts et l’importance cruciale du dernier mercato hivernal ont fait passer au second plan la formation. Il a été signifié à plusieurs membres du centre que les discussions ne débuteraient réellement qu’à la fin du mois de mars, alors qu’elles devaient se tenir en décembre initialement.

Laurent Huard aurait la volonté de poursuivre avec le même encadrement, dont le travail a porté ses fruits au cours des dernières saisons, tout en croisant les différents staffs afin de stimuler les échanges. Roland Romeyer, l’homme qui tient toujours le chéquier, observe pour l’instant en retrait, mais verrait d’un bon œil la reconduction d’un fonctionnement qu’il estime efficace."

 

Larios prédit un nul

24/02 06:58

Formé à la JAB de Pau et vivant désormais du côté de Perpignan, l'ancien milieu de terrain stéphanois Jean-François Larios s'est confié à La République des Pyrénées avant le match qui opposera demain soir les Verts aux Palois.

"J'ai un amour inconsidéré pour Saint-Etienne. Après la catastrophe de la saison dernière, je suis déjà content que les Verts se sortent de la zone rouge. J'espère que ce grand club ne mourra jamais. La Ligue 2 n'est pas une fatalité, il faut être patient et construire un projet solide sur deux ans.

A Pau j'ai eu la chance de connaître à la JAB le père Larqué qui m'a formé. Je regarde de temps en temps jouer les Palois, ils sont vaillants, ils s'accrochent. S'ils arrivent à s'en sortir, ce sera un sacré exploit. J'espère que les deux équipes vont s'en sortir. Je vois Pau décrocher un match nul ce samedi à Geoffroy-Guichard.

Je n'ai plus de contacts avec l'ASSE. J'ai été un peu échaudé par certains dirigeants de Saint-Etienne. Quand tu fais des erreurs, il faut les reconnaître... Regardez les dégâts ! Il faut quand même respecter le Chaudron Vert. Ce club est issu du milieu ouvrier, il faut se défoncer sur le terrain. Les mecs font des sacrifices pour venir vous supporter. Déjà que c'est l'enfer de passer de la première à la deuxième division, tu restes en plus un bon bout de temps dernier de L2..."

Leicester a préféré Puel à Galtier

23/02 23:38

Ancien agent de Christophe Galtier, Loïc Perrin, Kurt Zouma, Jérémy Clément, Benjamin Corgnet et Charles Abi, l’actuel président de Bourg-Péronnas (N1) David Venditelli révèle que Galette a failli rebondir à Leicester quatre mois après avoir quitté les Verts dans le livre de Cyril Collot et Maxime Brigand Christophe Galtier, les marches du succès paru le 8 février dernier aux éditions Marabout.

"Christophe a toujours su garder un socle de base, qui est l’amour de son métier, la passion pour les joueurs et le plaisir d’aller sur le terrain le matin. Pour entretenir cette passion, il a toujours sur se remettre en question, s’enrichir grâce à une qualité rare : Christophe n’est pas quelqu’un de centré sur lui-même. C’est quelqu’un qui écoute, qui lit, qui regarde, qui pioche et sait adapter chacune de ses trouvailles à ses convictions. Le souci est qu’au fil du temps, à Saint-Etienne, il a commencé à perdre de plus en plus l’influx nerveux en passant son temps à boucher tous les trous. Absolument tous les trous.

Après son départ de Saint-Etienne, il y a des contacts, mais honnêtement, il n’y en a pas non plus énormément. Son image est encore très attachée à Saint-Etienne et certains clubs s’interrogent : va-t-il être capable de répéter ça ? Et si ce n’était qu’un coup ? Moi, je leur dis à chaque fois qu’un coup sur sept saisons, c’est un peu plus qu’un coup, mais bon, il y a ces doutes dans certaines têtes et lui tourne vite en rond. Rapidement, ça le démange de retrouver un poste.

Je me souviens qu’un jour, il décide de prendre le TGV tôt le matin, de venir à Lyon me voir, de repartir tard le soir, juste pour discuter de tout, de rien. Christophe prend aussi un temps pour lui, pour s’analyser, revoir des matches, échanger avec des collègues. En octobre, il se sent prêt pour repartir et il est reçu par les dirigeants de Leicester, qui décident finalement de choisir Claude Puel à sa place."

Aux Palois d'imiter Pallois !

23/02 22:04

Les Nantais risquent d'attendre encore un bon moment avant de réussir le premier exploit de leur histoire en Coupe d'Europe. Ce soir à la Beaujoire, la Vieille Dame a en effet puni 3-0 des Canaris réduits à 10 dès la 17e minute de jeu par un joueur qui avait attendu la 92e pour se faire expulser dans le Chaudron en 2017 pour son tacle de boucher sur Arnaud Nordin. Aux Palois d'imiter Pallois après-demain soir à Geoffroy-Guichard ! Si l'équipe de Didier Tholot est la seule formation de L2 à ne pas avoir pris de carton rouge depuis le début de saison, il y a un début à tout...

Privas tease

23/02 20:04

Président du Foot Corpo Privas, Eric Hoffman a annoncé aujourd'hui au Dauphiné Libéré que pour célébrer le 50e anniversaire de son association, Loïc Perrin, Jean-François Soucasse, Jérémie Janot, Philippe Tibeuf et Christophe Pignol (qui parraine l'évènement avec Dieu) seront présents dans la ville préfecture de l'Ardèche le samedi 17 juin. Au stade du Lac, sur lequel deux matches se joueront en simultané, vingt équipes (dont une composée d'anciens Verts) vont se défier tout au long de la journée.

"Le tournoi se disputera en quatre poules de cinq équipes. Les deux premiers de chaque poule seront qualifiés pour les quarts de finale. Les équipes classées 3 et 4 seront quant à elles qualifiées pour les quarts du “challenge”. Et entre les quatre derniers, il y aura les demi-finales puis la finale de la “consolante”. La grande finale se disputera aux alentours de 19 heures. Les matches devraient, a priori, se jouer en 12 minutes (à 7 contre 7 ou 8 contre 8) et dans les règles du football corporatif. Les tacles sont interdits, et ce sera en auto-arbitrage."

Gourna, partout, toujours !

23/02 16:55

Vainqueur 1-0 à l'aller en Autriche, le Salzburg de Lucas Gourna va chercher ce soir à Rome la qualification pour les 1/8èmes de finale de l'Europa League.

Ce sera probablement avec notre ex-pépite, leader du championnat d'Autriche, qui a disputé 9 matchs de Coupe d'Europe cette saison et dont la prestation à l'aller fut "sobrement" commentée ainsi par le site officiel du RB Salzburg : 70% de la terre est couverte d'eau. Le reste est couvert par Lucas Gourna-Douath. Quel joueur !

Merci les clowns de nous en avoir si vite privé...

Les Canaris vont-ils enfin marquer les esprits ?

23/02 12:29

Si les grands matches européens des Verts sont restés dans toutes les mémoires, les Canaris n'ont jamais marqué les esprits à l'échelon continental, comme le reconnaît Ouest-France avant le match qui opposera ce soir le FC Nantes à la Juventus de Turin. Sociologue du sport, Hassen Slimani décrypte aujourd'hui dans ce quotidien régional l'alchimie qui transforme un simple match de football en une rencontre mémorable. Extraits.

"Les ingrédients d’un match mémorable, c’est une sacrée drôle de mayonnaise. Quatre piliers emblématiques : un lieu, des joueurs, un entraîneur, et ne l’oublions pas, un adversaire. Plus la renommée de l’équipe adverse est grande, plus on a la possibilité de réaliser un exploit. Et de le faire entrer dans la mémoire collective. Un match mémorable n’est pas que victoire. Il peut être défaite, de celle qui fait chialer des décennies plus tard. De celle que tu regardes une énième fois, dont tu connais la fin, comme pour Le Titanic, mais dont tu espères, malgré tout, un dénouement heureux, triomphal.

À l’image du cauchemardesque France-RFA, demi-finale de Coupe du monde de 1982 à Séville, quand, à chaque visionnage, tu arrives au but d'Alain Giresse, à la 98e minute, et que tu penses forcément que la victoire est au bout. Ce sont les ressorts de la tragédie grecque. Comme pour Saint-Etienne - Bayern, en finale de Coupe d'Europe à Glasgow en 1976, avec les poteaux carrés… Même une erreur d’arbitrage qui condamne ton équipe peut rendre un match mémorable."

 

 

Vachoux le Vénézuelien

23/02 09:04

Titulaire lors du match de Copa Libertadores entre son club vénézuelien du FC Carabobo et l'Atletico Mineiro, le gardien formé à l'ASSE Jérémy Vachoux est mis à l'honneur par l'AFP :

"C'était le troisième match officiel de Vachoux avec le Carabobo FC. Le Haut-Savoyard, qui porte le numéro 74, n'a toujours pas pris de but (1 victoire et un nul en Championnat, un nul en C1).

 « Ça s'est bien passé. On a fait bon match. On aurait presque pu marquer en première mi-temps si le gardien adverse n'avait pas fait une superbe parade. En deuxième période, c'était plus compliqué, plus dur. On a beaucoup souffert. Je touche du bois... c'est important les clean sheet. C'est important pour moi, pour aider l'équipe mais si on ne prend pas de buts c'est aussi parce que le groupe, le collectif met tout en oeuvre pour qu'on ne prenne pas de but. Toute l'équipe défend ».

 

Formé à Saint-Étienne, passé par Lens et Orléans, ce gardien de 28 ans, 85 matches de L2 au compteur, ne jouait plus depuis la résiliation de son contrat à Dunkerque, relégué en National à la fin de la saison dernière. Le gardien a fait le pari de relancer sa carrière au Venezuela dans un club qui affiche des ambitions avec un budget à la hausse.

Il est le premier Français à évoluer dans le championnat vénézuélien. L'entraîneur Juan Domingo Tolisano a dit être content de ses prestations à l'issue de la rencontre : « Nous sommes convaincus qu'il continuera à nous aider comme il l'a fait jusqu'à présent. Il se sent de plus en plus à l'aise dans le but de Carabobo [...]. Il est évident qu'il a beaucoup de travail devant lui, mais chaque fois qu'il a été sollicité, il a répondu présent ».

Lobry pressé d'être à samedi

23/02 07:54

La République des Pyrénées met aujourd'hui à l'honneur Victor Lobry à deux jours de ses retouvailles avec le Pau FC. Extraits.

"Le natif de Soissons est le deuxième joueur le plus utilisé par son coach Laurent Batlles derrière Jean-Philippe Krasso. Aligné en tant que relayeur, meneur de jeu ou sur un côté, Lobry compile 1673 minutes jouées, 17 titularisations (sur 25 possibles) et 6 entrées en jeu, championnat et coupe de France réunis. Le tout en ayant manqué deux semaines de compétitions fin août et début septembre. Une absence qui lui a fait rater ses retrouvailles avec le Nouste Camp, où le Picard s'est révélé dans le monde professionnel.

"J'ai raté le match aller face à Pau, cela m'avait un peu peiné car c'était là-bas. J'ai passé de belles saisons à Pau, j'avais à coeur d'y revenir. On va les recevoir. En plus, le coach Didier Tholot adore le club donc ce sera l'occasion de le retrouver aussi. Je suis pressé d'être à samedi. On vient de passer devant eux au classement, il faut encore prendre des points pour s'éloigner encore de la zone rouge" a déclaré le joueur à France Bleu au sortir de son match remporté à Nîmes lundi soir.

Son grand copain de vestiaire, Jean Philippe Krasso, ne tarit pas d'éloges sur son super gars. "Victor, c'est mon frère. On est quasiment tout le temps ensemble. Quasiment, même pas, on est tout le temps ensemble ici au club. Victor, c'est un gros bosseur, il ramène aussi cette envie de travailler dans le groupe. Personnellement, il me pousse à travailler donc j'essaie de le suivre. Bon, parfois c'est compliqué de le suivre ! (rires)"

Lobry peine à noircir la table des statistiques (1 but, 2 passes) contrairement à ses 2 années à Pau où il a compilé 8 buts et 10 offrandes. "Victor, il a la capacité de jouer un peu partout, c'est quelqu'un qui a beaucoup de volume athlétique, qui donne énormément sur un terrain et qui a une polyvalence importante. Dans les passes ou les buts, on a du mal à retrouver ce qu'il a fait à Pau, ce qui nous permettrait certainement d'être mieux classés. C'est un peu ce qu'il faut qu'il aille chercher" souligne Laurent Batlles."

Dunkerque et Romain Revelli, c'est fini !

23/02 07:16

"L’USL Dunkerque et Romain Revelli ont décidé d’un commun accord de mettre fin au contrat liant les deux parties" a annoncé hier le site officiel du club actuellement 7e en National 1 et restant sur 3 défaites concédées en l'absence de son meilleur buteur Samy Baghdadi, qui s'est blessé il y a un mois lors du dernier succès des Nordistes à Concarneau. La Voix du Nord revient aujourd'hui sur le départ de l'ancien entraîneur des U17 nationaux de l'ASSE (de 2007 à 2011) et ex-adjoint de Christophe Galtier (de 2011 à 2015). Extraits.

"En ce début d'année, l'USLD avait perdu le fil d'une saison bien embouchée. Romain Revelli n'avait pas caché des divergences de vue avec son employeur. Il attendait le nouvel investisseur du club depuis des mois. Ses souhaits n'avaient pas été entendus lors du mercato de janvier. Il avait notamment réclamé en vain un milieu de terrain d'impact. On n'est pas certain que l'ambiance parfois pesante au stade Tribut, où les supporters ne sont pas en phase avec le club, lui manquera.

Son bilan n'est pas bon. Dunkerque n'a pas pu échapper à la relégation en 2022, même si, au vu du contexte général, se maintenir lors de la deuxième saison en L2 aurait constitué une vraie performance. Romain Revelli aura perdu plus d'un match sur deux avec l'USLD en championnat (17 victoires, 10 nuls, 32 défaites). C'est beaucoup, comme le nombre d'entraîneurs passés à Dunkerque en 3 ans (Claude Robin, Fabien Mercadal, Romain Revelli et son successeur). Jamais bon signe..."

Attention Antho, Saïdou et Niels !

22/02 23:44

Ayant mangé une biscotte à Nîmes, Niels Nkounkou est comme Anthony Briançon et Saïdou Sow sous le coup d'une suspension. En cas de nouvel avertissement ce samedi contre Pau, ils rateront la réception d'Amiens, comme l'atteste l'incontournable tableau des cartons mis à jour sur le forum par notre fidèle potonaute ozzy.



quelques petites explications:
- en jaune avec un J, les cartons qui comptent toujours dans la période de 10 rencontres de compétition officielle pour une éventuelle suspension
- en jaune seulement, les cartons qui ne comptent plus
- en gris avec un S, la journée où le joueur purge sa suspension
- le S+ correspond à un match ferme assorti d'un match avec sursis
- en pointillé, les journées où le joueur est sous la menace d'une suspension en cas de carton jaune
- en gris, la journée où le joueur serait suspendu en cas de carton jaune lors du prochain match
- les joueurs libellés en rouge sont insuffisamment prêts ou indisponibles pour blessure

Et Papy a foncé

22/02 21:52

Dans le livre de Cyril Collot et Maxime Brigand Christophe Galtier, les marches du succès paru le 8 février dernier aux éditions Marabout, Papy Lemoine revient sur son arrivée à Sainté et rappelle que la lose à Toulouse a été le déclic pour les Verts.

"Je sors d’une saison marquée par mon accident et ma fracture du rein. Je peine à retrouver ma place de titulaire à Rennes, le coach Antonetti me dit clairement que je ne suis pas dans ses premiers choix mais que je peux rester pour tenter de retrouver mon rôle d’avant-blessure. Je me dis que c’est le moment de sortir de mon cocon, de quitter une vie un peu « facile », de me mettre en danger, mais les clubs avec qui je discute sont hésitants. Il y a finalement cette opportunité avec Evian. Je passe ma visite médicale, et le soir, j’attends à l’hôtel, alors que Sainté joue à Bordeaux. Après le match, les dirigeants apprennent que je vais m’engager à Evian et je reçois tout de suite un appel. C’est Christophe Galtier, qui me dit : « Fabien, je veux que tu viennes à Sainté. Ça fait deux ans qu’on parle de toi ici. Jamais je n’aurais pensé qu’on puisse te sortir de Rennes, et là, je vois que tu vas signer à Evian… Mais non, surtout pas ! On te veut ! »

Et je fonce. Dès les premiers entraînements, les premières prises de parole, Christophe insiste sur cette idée de voir émerger une âme commune. Ça me parle, parce que je vois le foot de la même manière et parce que Sainté, c’est une sorte de club un peu ultime, qui dégage une chaleur, une ferveur, une histoire forte, des valeurs puissantes. Le coach nous dit d’ailleurs de suite qu’il veut qu’on colle à toute cette énergie. Avec les départs de Dimitri Payet et de Blaise Matuidi, il veut aussi repenser un peu son approche, donc on part sur un 4-4-2. Au milieu, on est trois – Jérémy Clément, Josuha Guilavogui et moi – pour deux places devant la défense. Le discours, c’est : « Vous allez vous tirer la bourre, les deux meilleurs joueront. » En avant !

L’été 2012, notre préparation a été assez mitigée. On démarre le championnat sans créer grand chose à domicile contre Lille, et à Toulouse on se fait tourner dans tous les sens. On n’y est pas du tout, on joue mal, on subit. Le coach adore la verticalité, la transition, mais nous, on voulait échanger des passes, faire des redoublements, prendre des risques. On lui a tout simplement demandé : « Pourquoi on ne serait pas capables, nous aussi, de prendre un peu plus le ballon ? » Attention, on connaît notre public : à Geoffroy, les gens veulent des courses, du rythme, des occases, et si tu ne fais que de la conservation…

On veut tout simplement un meilleur équilibre, et c’est ce qu’on va trouver. Lors des séances qui suivent ce match contre Toulouse, on fait grimper l’intensité, on fait un peu plus de jeu de conservation sous pression, on sort de nos stéréotypes et on va devenir une équipe plus variée, toujours capable de taper en transition, car on a les profils pour le faire, mais également en mesure de bousculer certaines fois ses adversaires autrement. Avec Jérémy, Renaud et Josuha, tous les quatre on développe une grande complémentarité. Notre grande force est qu’on peut jouer maintenant en très haute intensité sur une longue durée."

Baka, ça ne s'arrange pas...

22/02 16:18

Apparu une seule fois (lors d'une déroute à Châteauroux) depuis qu'il a été prêté par l'ASSE au Puy (relégable en N1), Abdoulaye Bakayoko, qui avait été titularisé 7 fois cette saison de L2 par Laurent Batlles, a été écarté de l'équipe première altiligérienne pour manque d'implication comme l'a déclaré aujourd'hui Roland Vieira lors d'une conférence de presse relayée par Le Progrès.

"Il est désormais à disposition de la réserve, je pense jusqu'à la fin de saison. Il faut respecter le club et le groupe. Je demande beaucoup aux joueurs, je suis très exigeant avec eux et s’il y en a un qui ne rentre pas là-dedans, je préfère ne pas travailler avec. C’est du gâchis. Je sais que ces situations sont difficiles. Mais, par exemple, Max Rivera l’a vécue, il est arrivé avec plein d'enthousiame et la volonté de faire des choses. Si Abdoulaye n’avait pas envie de venir au Puy, il valait mieux dire non que subir les choses. On est inférieur à Saint-Étienne mais on est respectable dans notre projet. Les joueurs du vestiaire sont respectables, le staff et le président aussi."

Egalez Gasset !

22/02 14:37

Samedi face à Pau (19h), les Verts auront l’occasion de prendre leurs distances vis-à-vis de la zone rouge en enquillant une 4ème victoire consécutive (après Annecy, Dijon et Nîmes). Performance que Sainté n'a plus accomplie en championnat depuis près de 4 ans.

En 2019, sur le chemin de la qualif européenne, les hommes de JLG avaient successivement tapé Bordeaux (3-0), Reims (0-2), Toulouse (2-0) et Monaco (2-3) entre la 32è et la 35è journée. A l’époque, avant de tomber de haut face à Montpellier, les Verts lorgnaient même la 3ème place et la qualif en Ligue des Champions…

 

Bamba est là

22/02 13:40

Touché à la cuisse contre Sochaux pour son second match en Vert, Kader Bamba est présent avec le ballon à l'entraînement collectif du jour.

S'il sera peut-être un peu court pour postuler à une place de titulaire, on peut imaginer le voir présent dans le groupe qui recevra Pau samedi à 19h.

Sur les photos du jour, on aperçoit aussi Antoine Gauthier, qui s'est remis de ses longues semaines de blessure. En revanche, Thomas Monconduit, touché à la tête du péroné n'apparaît pas sur les clichés du club. 

Laurent Batlles fera le point vendredi sur son effectif avant le 25e journée.

Nice, Clerc a adoRay !

22/02 08:04

Ancien défenseur du Gym (de 2010 à 2012) et de l'ASSE (de 2012 à 2016), François Clerc, qui s'est vu remettre le Trophée d'ancien Aiglon le week-end dernier lors du match nul et vierge entre Nice et Reims, s'est confié sur le site officiel de l'actuel club de Julien Sablé et Sébastien Sangnier. Extraits.

"Les matchs au Ray, c’était incroyable. La première année, avec 46 points nous n'étions pas maintenus avant la dernière journée. Nous avions remporté le derby qu'il fallait face à Monaco qui était descendu. Mon passage à Nice m’a beaucoup marqué, j’ai adoré être dans ce club, je suis très content quand je le vois performer, j’espère qu’il arrivera encore à faire mieux. On était avec mon fils au stade de France en mai dernier pour la finale, c’était dur, on était déçus. Mais je pense qu’il y a un bel avenir.

Ça fait bientôt 4 ans que je préside le club d'Andrézieux. C’est une belle expérience, pas facile, il y a du boulot, mais c’est enrichissant. Joueur, on pense beaucoup à soi, on pense au terrain, alors qu'en tant que dirigeant, on a un regard bien plus élargi, il faut tout gérer. Même si ce n’est que de la N2, on est entre le professionnalisme et l’amateurisme. On a 20 joueurs sous contrat, et 5-6 personnes à plein temps sur l’administratif. On espère avoir de meilleurs résultats d’ici la fin de saison.

C'était mieux l’an passé, mais j’espère qu’on parviendra à redresser la barre et à se maintenir. Rester dans le foot m’a toujours plu, et un rôle de dirigeant m’a toujours intéressé. C’était une bonne manière de commencer, de mettre le pied à l’étrier, dans un club très structuré. On a la chance d’avoir un stade tout neuf de 5000 places, super sympa, ça permet de travailler dans de vraies conditions et d’apprendre un peu le métier. C’est une belle expérience."

Antho, la classe

22/02 07:31

Dans sa dernière édition nîmoise, Midi Libre souligne "la classe d'Anthony Briançon" au stade des Antonins avant-hier soir.

"Pour son retour dans le Gard, face à son ancien club, le capitaine de l'ASSE a offert son maillot à la fin du match à Bernard Blaquart, son ex-coach en L1 avec le Nîmes Olympique. Ce court séjour, souriait-il, lui a aussi permis de "découvrir le Novotel, en mise au vert, je n'y étais jamais allé !" Avant de repartir à Saint-Etienne, Anthony Briançon a passé un message à ses anciens partenaires : "Je leur souhaite de se maintenir. Pour le club, les supporters, et surtout, les gens qui y travaillent. Mais ils ont la qualité pour."

 

 

 

Nestor bosse encore

22/02 07:09

Vivant à Fribourg (Suisse), l'ancien attaquant stéphanois Nestor Subiat (56 ans) s'est confié hier dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.

"Sitôt les crampons raccrochés, j’ai fait le choix du voyage et de l’évènementiel. Entraîner une équipe ou avoir un poste dans un club, ça ne me disait rien du tout. J’aurais eu l’impression de vivre une deuxième vie similaire à la première. J’avais au contraire besoin de nouveauté. En fait, j’ai de suite voulu organiser des choses autour de mes passions : le voyage, l’Argentine, le vin, le foot… Faire découvrir mon pays à travers toutes ces choses-là.

J’ai créé ma propre agence d’évènementiel, Nestor Subiat Events. Je propose des séjours à la carte, selon les envies des clients. S’ils aiment le foot, je leur propose des vacances avec un match à la Bombonera. S’ils aiment le vin, je leur organise des dégustations extraordinaires. S’ils ont envie de nature et de grands espaces, je les emmène dans les Andes et dans d’autres endroits magnifiques. Parfois, j’accompagne personnellement les groupes. Et là, je les emmène où bat le cœur de l’Argentine, pas dans des trucs à touristes. Les mecs se régalent.

Au fil des années, l’offre de mon agence s’est diversifiée. On livre clé en main des séjours pour aller assister à des rencontres de foot aux quatre coins de l’Europe. Grâce à mon réseau, je peux avoir des places dans tous les stades. Là, par exemple, je viens de boucler le voyage d’un groupe qui voulait assister à un match de Chelsea. C’est un truc qui marche plutôt bien. J’ai connu des heures sombres durant la crise sanitaire. D’un jour à l’autre, tout s’est arrêté, je n’avais plus aucune rentrée financière.

Mon épouse, qui travaillait dans une agence de voyages, a également perdu son travail. Là, mentalement, je peux dire qu’on a souffert. Mais on a su réagir. Histoire de ne plus mettre dans tous les œufs dans le même panier, j’ai trouvé un job de conseiller de clientèle pour La Poste suisse, à Fribourg. Je gère les demandes des gens, j’apporte un soutien, j’oriente. La tenue du courrier, l’acheminement, les changements d’adresse, tout ça, c’est mon domaine. Il y a parfois des gueulards mais ça me plaît.

J’ai besoin de bosser et de me sentir utile. Je n’ai de toute façon pas gagné assez d’argent avec le foot pour rester chez moi les bras croisés et vivre de mes rentes. J’aime ma vie comme elle est. Je n’échangerais rien contre au monde mes balades au pied des Alpes fribourgeoises, mes week-end en Savoie auprès de mes deux filles et mes trois petits-enfants, mes douces soirées où j’ouvre une bouteille de Malbec Riccitelli, le meilleur vin du monde. La seule chose qui me pince le coeur, c'est le manque de l'Argentine. J'ai un rapport d'amour avec ma terre."

Un pion, un carton et un savon

22/02 06:59

Le Progrès relaye aujourd'hui les propos tenus avant-hier par l'entraîneur et le numéro 19 de l'ASSE sur Niels Nkounkou, auteur à Nîmes de son premier pion en pro et de sa troisième passe décisive de la saison à l'occasion de sa sixième apparition en vert (la cinquième en tant que titulaire).

Laurent Batlles : "Il amène beaucoup de verticalité et de vitesse. Offensivement, c’est très intéressant. À la mi-temps, on l’a un peu savonné car son avertissement est un peu bête. L’arbitre l’avait dans le collimateur."

Léo Pétrot : "Il est vraiment dans un rôle d’ailier. Il percute énormément, centre pas mal et, ce a marqué un but qui nous a fait beaucoup de bien. Parfois, je le rappelle un peu pour venir m’aider mais ça se passe très bien et il vient compenser défensivement."

 

Les Magic Fans chargent le club

21/02 21:16

Expliquant pourquoi ils n'étaient pas hier soir à Nîmes dans un parcage stéphanois qui a d'autant plus manqué d'ambiance que les Green Angels étaient également absents, les Magic Fans ont publié ce soir un communiqué dans lequel ils mettent en cause aussi bien le préfet du Gard que les dirigeants de l'ASSE.

Krasso se sent bien à Saint-Etienne

21/02 19:41

Meilleur buteur (11 pions) et meilleur passeur (7 galettes) de la L2, Jean-Philippe Krasso s'est longuement confié au Télégramme. Extraits.

"Mon parcours en Coupe de France avec Epinal m’a permis de signer à Saint-Étienne. Une carrière se joue sur des détails, c’est clair. On peut dire que c’était un coup de chance. J’aurais pu être dans une autre équipe. J’aurais très bien pu ne pas faire ce parcours à ce moment-là. Je pense notamment au match contre Saint-Pierre où on arrache la victoire à la fin de la prolongation. Ça s’est joué à peu de choses. Ce parcours m’a permis de me faire connaître du grand public et m’a donné la chance, après le doublé contre Lille et le but contre Saint-Étienne, de signer à l’ASSE.

Quand je suis arrivé à Saint-Étienne, j’ai été prêté au Mans à la mi-saison. Plus jeune, j’aurais boudé. Alors que, cette fois, je me suis dit : 'Ok, je suis au Mans, en National. Je vais essayer d’être le meilleur en National'. Pareil à Ajaccio la saison suivante. En même temps, je n’avais pas trop le choix car je rejoignais une équipe qui jouait la montée. Ils m’ont très bien accueilli, ils ne m’ont pas mis de pression. Mais sur le terrain, tu voyais des gens qui se donnaient à fond. Quand tu vois un Gaëtan Courtet, il est attaquant et il tape un sprint de fou pour revenir dans la surface de réparation et tacler. Et le mec, après, il retape un sprint pour aller marquer. Donc quand tu vois ça, tu te dis que tu n’as pas le droit de faire moins. Cette mentalité-là m’a beaucoup servi.

J’avais envie d’aller à Ajaccio car, à Saint-Étienne, je n’avais pas de temps de jeu et je n’allais pas en avoir. Entre jouer la montée à Ajaccio et ne pas pouvoir participer à la lutte pour le maintien à l’ASSE, il n’y a pas photo. J’ai fêté la montée avec Ajaccio et après, je suis rentré, j’ai vu la descente. C’était un autre état d’esprit. Mais dès le début de saison, le club m’a fait comprendre qu’il comptait sur moi en Ligue 2. Le choix a été vite fait car ils m’ont fait comprendre qu’ils ne souhaitaient pas se séparer de moi. Bien sûr, j’avais aussi pensé à retourner à Ajaccio car on avait créé un truc.

Mais, au final, ça se passe bien pour moi, un peu moins pour l’équipe même si ça commence à aller mieux. J’espère qu’on va réussir à obtenir le maintien au plus vite. Je suis impliqué dans plus de 50 % des buts de l’ASSE cette saison ? Je sens que j’ai franchi un palier. Dans la tête je suis un peu plus tueur. Je sais que je vais me procurer une ou deux occasions par match. Du coup, il faut les mettre. Les connexions avec les partenaires sont bonnes. On se connaît bien. Chacun sait les qualités de l’autre. On arrive plus facilement à se trouver et j’arrive à être plus souvent dans la surface, en position de marquer ou de faire marquer.

Avec Gaëtan Charbonnier, on pouvait plus combiner. Avec Ibrahima Wadji, on aime tous les deux toucher la balle. Mais, comme avec Charbo, avec Ibra on a une très bonne connexion. Lui, il est plutôt profil profondeur. Les rôles sont plus définis au départ. Mais on a une très bonne entente aussi. Charbo, je suis triste pour lui car c’est une blessure grave. On est tous tristes pour lui et on espère que ça va se passer du mieux possible pour qu’il revienne au max de sa forme. Ça nous donne une raison de plus de nous battre pour le maintien, on le fait aussi pour lui.

Mon prochain objectif ? Maintenir le club, c’est clair ! Et une fois qu’on sera maintenu, j’espère être bien placé dans le classement des buteurs et des passeurs. Si possible finir meilleur buteur ou meilleur passeur, ou les deux si on me donne la possibilité. Mais, le collectif dans un premier temps et ensuite on verra bien. Quand j’étais petit, j’étais fan du Bayern. Je le suis encore même si un peu moins passionnément que quand j’étais petit.

J’ai décidé de rester cet hiver malgré plusieurs sollicitations parce que je me sens bien à Saint-Étienne. Mon fils vient de naître, il a deux mois, bientôt trois. Je voulais éviter de le bouger déjà. Et on avait commencé le championnat, on était en bas du classement. Il faut finir le travail, qu’on arrive à maintenir le club. On fera les comptes après. On a mis le club dans la difficulté, c’est à nous de le relever. Je suis en fin de contrat en juin. Une prolongation à Saint-Étienne ? Pour l’instant, je ne réfléchis pas là-dessus. Je suis concentré sur le maintien. Je n’exclus pas une prolongation ni un départ. Mais ce n’est pas quelque chose que j’ai dans la tête actuellement."

Loher garde le coeur vert

21/02 18:54

Maire UDI de sa ville natale Lorient, dont le club phare est actuellement septième de L1 avec quatre points d'avance sur les vilains neuvièmes de Laurent Blanc, Fabrice Loher (56 ans) garde le coeur vert.  "Quand Lorient Sports, le FC Lorient ou l'AS Saint-Etienne perdent le week-end, ça ne sert à rien de m'appeler le dimanche soir" a déclaré aujourd'hui ce passionné de football à News Ouest.

Greco n'est pas un peintre

21/02 18:26

Yoann Greco a quitté l'ASSE après une saison 2015-2016 fort réussie (13 buts) avec les U15 de Philippe Guillemet. N'ayant pu trouver un accord avec l'ASSE, il avait émigré outre-Manche, à Derby County exactement, où il est resté jusqu'en 2020. Après une saison sans club, on le retrouve (2021-2022) à l'Olympique Salaise-Rhodia (R1). Cette année, il s'est engagé avec l'US Feurs (N3) où il a retrouvé bon nombre d'anciens Verts, tels Benjamin Aulagnier, Abdoulaye Coulibaly, Thibault Blanchard, Jordan Halaimia, Samy Messili, Hichem Khoutri, Maxime Fourgnaud, Ibrahim Lamrabtine, Gaël Mabiala, Mehdi Zerguine

Samedi dernier, en championnat N3, face à Chambéry, Yoann Greco a montré qu'il n'avait rien perdu de ses qualités, inscrivant le premier but de la rencontre à l'heure de jeu, d'une frappe enroulée après avoir récupéré le ballon à l'angle de la surface et repiqué au centre.  Ce sont les Foréziens qui l'ont finalement emporté par 2 à 0 sur les Savoyards. 

Les Antonins n'ont pas fait le plein

21/02 18:11

Le stade des Antonins a battu hier son record d'affluence à l'occasion de la venue des Verts : 5527 spectateurs, soit 464 de plus que lors de son inauguration contre Guingamp le 26 dernier. Mais cette triste enceinte nîmoise est loin d'avoir fait le plein, sa capacité étant de 8033 places...

Lepaysant se met aux Verts

21/02 17:46

Benjamin Lepaysant sera au sifflet ce samedi à 19h00 dans le Chaudron pour le match (diffusé en clair par la chaîne de la Pravda) qui opposera l'ASSE au Pau FC. Ce Normand a déjà arbitré les Verts cette saison à la fin de l'été (défaite au Roudourou).

Il a déjà dirigé une rencontre de Sainté dans le Forez en 2015 et ça c'était mal passé : Anthony Maisonnial s'était fait expulser et l'équipe réserve entraînée à l'époque par Bernard David et Julien Sablé s'était piteusement inclinée 1-3 en N3 face à la modeste équipe de Cournon.

Monconduit à l'infirmerie ? (2)

21/02 16:19

Les examens passés par Thomas Monconduit après son coup reçu en fin de match à Nîmes sont bons détaille Le Progrès :

"Touché à la tête du péroné, Thomas Monconduit a quitté le stade des Antonins en boitant. Les examens passés par le milieu de terrain ce mardi 21 février ont confirmé le sentiment de Laurent Batlles qui, après la victoire dans le Gard, estimait que ce ne serait « pas très grave » pour son joueur. L’ex-Lorientais, marqué par un hématome, ne présente aucune fracture et devrait donc tenir sa place face à Pau"

Charbo en vert à l'hosto

21/02 15:53

Opéré aujourd'hui de sa rupture du ligament antérieur du genou droit, Gaëtan Charbonnier a donné de ses nouvelles sur les réseaux sociaux. L'opération s'est bien passée et l'attaquant entame désormais sa rééducation. Reste à savoir s'il portera toujours le maillot vert la saison prochaine lui qui est en fin de contrat au mois de juin.

Larsonneur a défroqué Chambost

21/02 13:10

Gautier Larsonneur ne s'est pas contenté de faire des parades décisives hier à Nîmes. Parti rejoindre ses coéquipiers venus fêter la victoire avec les supporters stéphanois présents dans le parcage et ceux situés juste à côté dans la tribune ouest de ce stade des Antonins, le gardien des Verts nous a gratifié d'une glissade de vingt mètres sur les genoux qu'il a ponctuée en baissant jusqu'aux chevilles le short d'un Dylan Chambost amusé.

 

Une scène plus sympathique que celle à laquelle on a assisté une bonne partie de la seconde mi-temps. Situé au premier rang, un supporter nîmois a passé son temps à insulter les Stéphanois qui s'échauffaient juste devant lui. Mickaël Nadé, Lenny Pintor ont préféré en sourire, Lamine Fomba et Dylan Chambost ont fait comme si ce Gardois n'existait pas.

Le préparateur physique Benjamin Guy s'est agacé que les stadiers laissent faire ce crétin. Particulièrement ciblé par cet abruti, Matéo Pavlovic l'a invité par le geste à le voir en dehors du stade. Courageux mais pas téméraire, le supporter des Crocodiles a alors décidé de se mettre deux rangées plus haut.

 

C'était tout de même très calme

21/02 11:54

Les supporters des Verts devant leur télé ont rapidement pu le constater : au delà de l'absence des ultras nîmois pour cause de boycott, les MF 91 et GA 92 n'étaient finalement pas présents hier au Stade des Antonins, alors que toutes les places du parcage visiteurs étaient vendues depuis une semaine.

Tous les groupes avaient signé un communiqué commun le 13 février demandant à la préfecture du Gard d'assouplir les conditions imposées, en particulier de retarder d'une heure le rendez-vous pour l'escorte (19h30 au lieu de 18h30) et d'accepter les voitures individuelles.

Finalement la préfète a décalé à 19h le rendez-vous et refusé que les ultras viennent en voiture individuelle. Moralité si on a pu apercevoir la bâche des Indépendantistes, ils étaient bien seuls en tribune. Reste à savoir si MF et GA ont finalement renoncé à venir ou s'ils ont été bloqués à l'extérieur du stade...

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