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poteaux carrés

Un bon point chez le dauphin

04/03 17:00

Les Verts ont réussi à ramener un bon point du Matmut Atlantique cet après-midi (1-1). 

Au terme d'une rencontre où chaque équipe a eu sa mi-temps, les Stéphanois sont parvenus à égaliser à 10 minutes de la fin par un pénalty de Krasso qui reprend sa place de meilleur buteur de L2 (13 buts). Un pénalty provoqué par l'entrant, Bamba.

En première mi-temps, les hommes de Laurent Batlles auraient dû marquer les premiers mais Nkounkou par deux fois frappait à côté, puis Barbet envoyait un centre d'Appiah sur son poteau avant que Wadji ne frappe au dessus juste avant la pause.

En seconde période, les Verts ont concédé l'ouverture du score après 40 secondes par l'intermédiaire de Badji en deux temps après une belle frappe repoussée par Larsonneur.

Au classement, les Verts sont 11eme en attendant les résultats du soir.

 

Haise rend hommage à Rampillon et Huard

04/03 10:04

L'entraîneur lensois Franck Haise, qui reçoit en fin d'après-midi le LOSC de Jonathan Bamba et Rémy Cabella, rend hommage dans la Pravda à un ancien milieu de terrain stéphanois de 67 ans et à l'actuel directeur du centre de formation de l'ASSE.

"Patrick Rampillon est venu me chercher en juin 2006 alors que j'étais entraîneur d'un club de CFA2, le Stade Mayennais, et m'a proposé d'intégrer l'équipe d'éducateurs du centre de formation du Stade Rennais qu'il dirigeait. Rennes était déjà un club qui s'appuyait sur la formation, ça a été une chance pour moi de travailler avec d'autres éducateurs de qualité comme Régis Le Bris, Yannick Menu, Pierre-Emmanuel Bourdeau, Laurent Huard... Grâce à eux et à la qualité des joueurs, ces six belles années m'ont permis d'apprendre plein de choses sur la préformation et la formation. Patrick voulait des équipes joueuses et que les jeunes prennent du plaisir à s'entraîner au quotidien et à jouer ensemble. Il m'a fait confiance."

Mickey 3D toujours vert !

04/03 09:46

Invité de la radio Europe 2 en début de semaine, Mickaël Furnon a évidemment parlé des Verts.

"Je vis du côté de Montbrison, à une demi-heure de Saint-Etienne où je suis né et où j'ai vécu mes premières années. Comme tous les Stéphanois, je supporte les Verts. On est obligés, sinon on est bannis à vie ! Même ceux qui n'aiment pas le foot regardent toujours le résultat des Verts, ils savent toujours où on en est. J'ai fait une chanson sur Johnny Rep, ce sont des souvenirs d'enfance. Quand j'étais gamin, c'était un joueur emblématique de l'équipe."

Collin incollable sur Krasso

04/03 08:05

Xavier Collin, qui nous avait présenté Jean-Philippe Krasso un bon mois avant que son ancien attaquant spinalien s'engage avec Sainté le 1er juillet 2020, souligne à nouveau les qualités et les axes de progression du meilleur buteur et meilleur passeur de L2 dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Quand il est lancé, c’est très difficile de l’arrêter. Il aime toucher le ballon et quand il est aligné avec un autre attaquant, celui lui permet d’avoir plus de mobilité, de décrocher et percuter. Il est capable par des fulgurances d’éliminer quatre joueurs. Parfois, il met les mains sur les hanches et peut paraître nonchalant. On l’appelait le gros nounours. Depuis, il a monté son niveau d’exigence. Il a encore une marge de progression importante au niveau de son volume de jeu et sa capacité à être plus présent dans la surface.

Il aime être à la construction mais doit être plus capable de faire des sprints à haute intensité pour aller finir.Quand il est parti à Saint-Etienne, on lui avait dit que c’était un peu tôt pour la Ligue 1, Aujourd’hui, avec son prêt à Ajaccio et la saison qu’il réalise à l’ASSE, je pense qu’il a validé le palier de la L2. La prochaine étape, c’est la Ligue 1, avec Sainté ou un autre club. Il ne faut pas qu’il précipite les choses et réfléchisse bien à son futur projet. C’est un joueur qui a besoin de confiance et de se sentir aimé. "

Hinschberger n'a toujours pas digéré le péno du match aller

04/03 07:42

Attendu samedi prochain dans le Chaudron, Philippe Hinschberger n'a toujours pas digéré le penalty fatal aux Picards lors du match aller (péno obtenu par Lenny Pintor et transformé par Ibrahima Wadji).

"On a eu droit à des décisions arbitrales pour le moins contestables. On nous siffle des penaltys bidons contre Saint-Etienne et Bordeaux et quand il y a des fautes énormes dans la surface de réparation adverse comme contre QRM et Guingamp, on nous les siffle pas ! J'ai un peu les boules par rapport à tout ça" a déclaré hier l'entraîneur amiénois dans La République des Pyrénées. "On a révisé nos objectifs, ce qui ne plaît pas à certains. Il est temps d'avancer et d'aller chercher notre maintien. Il faut absolument qu'on regagne un match pour comptablement avancer et pour psychologiquement nous laver un peu les têtes parce que ça commence à peser de ne pas gagner."

Avec l'ASSE, beIN Sports réalise des records

03/03 23:20

Directeur des programmes, des antennes et des rédactions de BeIN Sports, Florent Houzot rappelle au Progrès pourquoi l'ASSE est malgré son très décevant classement le club de L2 le plus diffusé par sa chaîne cette saison.

"En L2, les clubs à forte notoriété ce sont aujourd'hui Saint-Etienne et Bordeaux. Que ces clubs soient 3èmes de L1 ou 18èmes de L2, quand ils sont programmés, vous avez la garantie d'avoir de l'audience. Ce sont des marques avec un stade et des supporters qui ne font pas tous les déplacements et restent donc devant leur TV. Avec l'ASSE, beIN Sports réalise des records. Dès la reprise, avec Dijon-ASSE le 30 juillet, nous avons réalisé la 2ème meilleure audience de la chaîne pour un match de L2 depuis 2017 alors que le ASSE-Caen du 30 décembre dernier est hors multiplex la meilleure de notre histoire."

Rivera a mangé du sanglier

03/03 21:45

Trois mois après sa dernière victoire en championnat, Le Puy a enfin renoué avec le succès (3-2) ce soir lors de la 23e journée de National 1 aux dépens de Sedan. Alors qu'Abdoulaye Bakayoko n'a pas été convoqué et que Bilal Benkhedim et Arsène Elogo sont restés sur le banc, Maxence Rivera a provoqué un péno sur le deuxième but des Ponots qui restent dans la zone rouge, à 6 points du premier non relégable (Villefranche).

Othman fait coup double !

03/03 21:02

Au terme d'un match haletant, l'équipe de Tunisie s'est qualifiée ce soir (3-3 ap, 5-4 tab) aux dépens du Congo pour le dernier carré de la CAN U20 et donc pour la Coupe du Monde de la catégorie qui aura lieu en Indonésie du 20 mai au 11 juin 2023.

Jibril Othman, qui avait déjà scoré lundi contre la Gambie, a marqué le premier but égalisateur des Aiglons de Carthage contre les Diablotins Rouges. L'attaquant stéphanois de 18 ans a cédé sa place à la 104e minute.

 

Sainté roi de l'ouverture

03/03 19:55

Le match de la 29e journée qui opposera les Verts aux Chamois Niortais dans le Chaudron a été programmé le 1er avril à 15h00. Ce sera la 15e fois de la saison que les Verts feront l'ouverture d'une journée de championnat un samedi après-midi...

Jacky et Ghislain contents pour Nordin

03/03 19:15

Habitant tous les deux dans l'Hérault et suivant le MHSC, deux anciens entraîneurs stéphanois se réjouissent aujourd'hui dans Midi Libre de la bonne forme d'Arnaud Nordin, convaincant lors de ses trois derniers matches contre Brest, Troyes et Lens.

Jacky Bonnevay : "Il a la chance d'avoir tout ce qu'il faut pour le haut niveau. Il doit s'imposer une exigence intérieure. Dépêche toi ! S'il y en a bien un qui a un gros potentiel, c'est lui. Il est temps de s'y mettre. A Sainté, on ne savait jamais s'il était titulaire ou remplaçant. Il était un peu entre les deux. On est parfois un peu frustré avec lui car on a envie qu'il réussisse. Il avait besoin de sortir d'un certain confort stéphanois om il était installé."

Ghislain Printant : "On le voit beaucoup plus décisif, percutant, il amène le danger et un équilibre à l'équipe. Jean-Louis insistait beaucoup avec lui, sur l'aspect comptable, quil soit plus décisif. Arnaud est un garçon attachant, facile à entraîner."

Mine de rien, Arnaud Nordin va jouer ce dimanche contre Angers son 150e match de L1. Le SCO est l'équipe contre laquelle il a le plus joué (10 fois), gagné (5) et marqué (3 buts).

 

A Bordeaux sans Cafaro (2)

03/03 16:07

Comme évoqué en conférence de presse, le groupe de Laurent Batlles ne compte pas Mathieu Cafaro pour le déplacement en Gironde. Les autres absents sont Gaëtan Charbonnier, Mateo Pavlovic et Aimen Moueffek. Lenny Pintor profite du forfait de Cafaro pour faire sa réapparition dans le groupe.

Le groupe :

Gardiens : Fall, Larsonneur

Défenseurs : Nadé, Briançon, Giraudon, Sow, Appiah, Petrot, Nkounkou

Milieux : Fomba, Monconduit, Bouchouari, Lorby, Chambost

Attaquants : Bamba, Pintor, Wadji, Krasso

Sainté a tâtonné

03/03 11:24

Ancien entraîneur des Verts et des Girondins, Elie Baup donne son avis dans Sud-Ouest sur les deux clubs qui vont s'affronter demain après-midi en ouverture de la 26e journée de L2.

"Quand on change tout comme à Saint-Etienne, c'est compliqué de remettre le projet sportif en place. Ils onts donné l'impression de tâtonner. David Guion a lui favorisé une certaine dynamique de vestiaire avec des jeunes talentueux. Cela n'assure rien, mais il les connaissait. Les joueurs qui étaient là ne correspondaient peut-être pas aux idées de Laurent Batlles, il a fait venir des joueurs mais a dû s'adapter aux autres. Le jeu prôné demande de la confiance or les Verts avaient de la fébrilité un peu de partout. Là, ils semblent avoir trouvé de la cohérence."

Dunkerque et Romain Revelli, c'est fini ! (2)

03/03 10:53

Remplacé par son ancien coéquipier réserviste stéphanois Mathieu Chabert sur le banc de l'USL Dunkerque (7e de National 1), Romain Revelli explique aujourd'hui dans La Voix du Nord les raisons de son départ. Extraits.

"La séparation s'est faite d'un commun accord. Il y a eu le nul contre Bourg puis les trois défaites. J'ai tenté beaucoup de choses différentes, fait beaucoup d'entretiens. Il n'y a pas grand chose qui marchait dans les matches. Je ne sentais pas de remise en cause chez les joueurs. J'ai senti des joueurs qui n'étaient plus à l'écoute. Comme quelque chose d'un peu cassé. Cela a basculé dans ma tête. Les dirigeants ont essayé de me retenir dans un premier temps. J'avais le sentiment que c'était la fin de l'histoire. Je n'avais plus de ressort. Je n'ai pas demandé un euro alors qu'il me restait quatre mois de contrat. Il faut maintenant un coach qui les pique, les rassure.

Il n'y avait plus d'énergie, je ne voulais pas être celui qui ferait deux descentes consécutives. Mon effectif était trop jeune pour remonter, je l'avais dit dès août. Il nous aurait fallu deux joueurs d'expérience au mercato. Ce n'est pas la faute des dirigeants. Je n'ai aucun reproche, on n'invente pas l'argent. J'étais très content d'arriver à Dunkerque mais j'ai fait deux énormes erreurs. J'aurais dû arriver avec un adjoint d'expérience. L'autre chose, sur la saison de L2, on perd Harouna Sy (Amiens) et Ibrahim Cissé (Caen). J'aurais dû etre plus ferme à c emoment-là. Il faut que je passe à autre chose, que je me serve de ce qui a été mal fait et que je me réinvente."

Anto, un second père pour M'Vila

03/03 10:06

Dans une longue interview à Libé, Yann M'Vila est revenu sur son parcours. Extraits :

"Frédéric Antonetti a été un deuxième père pour moi. Il m’a fait un calendrier : “Tiens, note tout ce que tu manges pendant une semaine.” Je n’ai pas triché, ni en marquant n’importe quoi ni en changeant d’alimentation. Il a jeté un œil et m’a dit : “Si je mange ça, je meurs.” Et il m’a demandé de vivre chez lui. Comme j’étais avec ma famille, il m’a envoyé un cuisinier à demeure. Si je devais revenir en arrière et écouter un mec, c’est lui. Il disait toujours : “Tout part du terrain et revient au terrain”, parce que c’est toujours là que l’on te juge à la fin. Il avait raison.

Ensuite, il y a l'histoire de la virée à Paris quelques jours avant un barrage retour qualificatif pour l’Euro Espoirs 2013. On fait l’aller-retour Le Havre - Paris dans la nuit de samedi à dimanche et on joue en Norvège le mardi. Là, il pleut, on joue sur un synthétique, ils nous mettent une pression d’enfer… Je ne pense pas qu’on perd parce que cinq joueurs ont fauté. Mais ils ont fauté quand même.

Ce serait sorti même si on avait gagné. Mais on aurait sans doute raconté une histoire différente. Tu peux construire un groupe en prenant ce genre d’initiative, par exemple. Quand j’étais au Rubin Kazan en Russie, une fois par mois, on privatisait un resto : on se fait un câlin, on sort le karaoké parce que les Russes adorent le karaoké et on passe à autre chose. C’est parfois là que tu adresses la parole à un mec pour la première fois. Pour en revenir à la virée de 2012, c’est vrai qu’on est jugé par rapport à ce qui s’est passé après. Mais c’est le jeu. Tu le connais et tu assumes. Avant cette histoire, j’étais en contact avec Manchester City, qui m’avait demandé mon numéro de maillot. Ensuite… Après l’histoire des Espoirs, j’ai joué au foot et la vie a continué. Pourtant, je vis avec l’idée que ma carrière, du moins celle qui m’attendait, s’est arrêtée à 22 ans. On m’a collé une étiquette impossible à enlever. Peu ont essayé d’apprendre à me connaître pour savoir si elle était justifiée ou non.

En 2018, Jean-Louis Gasset m’appelle pour que je vienne relancer l’AS Saint-Etienne : je lui dois deux magnifiques années en équipe de France [Gasset était l’adjoint du sélectionneur Laurent Blanc entre 2010 et 2012], j’accepte. Un an plus tard, en répondant à une question que l’on me pose, je lâche : “Si Gasset s’en va, je m’en vais.” Je m’exprimais par rapport à une fidélité ancienne. Je n’avais rien contre un éventuel successeur. Je n’exigeais aucun droit de regard. Mais on l’a vu comme ça. Quand Gasset te parle, ça sonne vrai. Il va chercher l’homme avant le joueur et je n’ai jamais, jamais vu le foot autrement. Il m’a déjà chopé devant tout le monde : quand il pousse une gueulante, tu te dis chaque seconde qui passe que ça doit être la dernière (sourire). Certains joueurs sont différents, bonjour-bonsoir, chacun fait son truc, etc. Mais moi, je dois croire à quelque chose qui me protège, où tu ne te demandes pas quand tu vas prendre un couteau dans le dos. Il me faut un écho, de… l’électricité. A Saint-Etienne, j’ai joué un match avec deux déchirures à la même cuisse parce que Gasset me l’avait demandé." 

Sainté a manqué d'humilité ?

03/03 09:38

Ancien défenseur des Verts et ex-entraîneur adjoint des Girondins, Patrick Guillou s'exprime à la veille du choc entre les deux clubs dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest.

"A l'ASSE, ils ont manqué d'humilité en pensant qu'il suffirait d'empiler les noms de L1 pour remonter. C'est le club qui a utilisé le plus de gardiens (4), de joueurs (42 contre 26 à Bordeaux), qui a utilisé le plus de système. Chez les Girondins il y avait plus de patience et ils ont surfé sur leur entame. Mais désormais à Saint-Etienne il y a un pressing déclenché plus haut, plus de courses et les faits de jeu tournent en leur faveur."

Mangani aime Chambost et le Chaudron

03/03 07:23

Devenu le troisième joueur évoluant actuellement dans l'élite française à avoir affronté le plus de clubs différents en Ligue 1 (37), le milieu de terrain ajaccien Thomas Mangani a accordé une sympathique interview à So Foot. Extraits.

"Avec Dylan Chambost, on a pas mal sympathisé, donc on a longtemps discuté à Troyes l’an dernier. Bon, lui est plus jeune, mais quand on est dans le circuit depuis un moment, on mesure la difficulté de durer. En fait, on se rapproche en jouant l’un contre l’autre, car on sait que le métier n’est pas si facile, comme la gestion des blessures, etc. Et puis on se voit au moins deux fois par an, donc ça laisse le temps d’échanger.

Au gré de mes voyages, le stade qui m'a le plus marqué c'est Bollaert pour la ferveur. On sent que les gens viennent en famille. Rien que d’entrer à la mi-temps avec Les Corons, c’est mémorable. À Lens, Saint-Étienne ou Marseille, quand tu mènes, ça pousse toujours plus. Si on mène 2-0 et que ça revient à 2-1, on sait que ça va être plus dur qu’ailleurs. Ce sont des bons matchs, car on y prend le plus d’expérience, et ces souvenirs restent le plus."

 

Josuha a ému Abdel

03/03 06:54

Invité de l'émission Une semaine en ballon qui sera diffusée ce vendredi à 10h05 sur l'antenne de France 3 Pays de la Loire, Abdel Bouhazama a eu droit à un très bel hommage de son ancien U19 stéphanois Josuha Guilavogui via une petite vidéo tournée depuis chez lui.

"Coach, je sais que vous êtes en train de relever un sacré défi. Moi je crois en vous comme vous avez cru en moi. Je me remémore une scène, nous sommes en 2007 ou 2008. Comme d’habitude, j’entends "Guilavogui, 10 ballons touchés, 15 ballons perdus !" Après, je me rappelle, vous m’avez viré de l’entraînement, vous m’avez laissé courir pendant toute la séance, et à la fin vous avez eu ces paroles qui résonnent toujours en moi : "Moi je crois en toi, je suis sûr que tu vas devenir un grand milieu de terrain, par contre il faut que tu deviennes plus propre dans ton jeu. Une machine à laver !" C’est ça qui a été mon dicton pendant toute ma carrière. Grâce à vous j’ai atteint un autre niveau, je suis allé en équipe de France jeunes et j’ai pu signer mon contrat Elite. Vous vous êtes battu pour que je puisse le signer. Je vous remercie du fond du cœur. Ça [il montre son premier maillot en pro, encadré et accroché dans une pièce de sa maison, ndp2], c’est grâce à Monsieur Bouhazama, sinon il n’y en aurait pas eu. Merci !"

Sur le plateau, l'entraîneur du SCO d'Angers a réagi aux propos du milieu de terrain de Wolfsbourg.

"Je suis ému quand j’entends ça. Des joueurs comme Jo ont réussi à faire carrière, il y en a eu d’autres comme Faouzi Ghoulam, Allan Saint-Maximin, Jonathan Bamba. Mais je pense aussi à ceux qui n’ont pas réussi car on sait aussi la brutalité de ce sport. Je dis souvent que c’est plus dur de devenir joueur professionnel que de devenir ministre. Aujourd’hui quand vous avez 3 joueurs sur 100 qui signent un contrat pro, ensuite il faut faire carrière. Dans mon management, il faut être à un moment donné l’entraîneur formateur, le grand frère, le copain, le confident.

Quand on voit une réussite telle que celle de Jo Guilavogui, ça fait plaisir car on a marqué quelqu’un. On a aussi marqué sa vie d’homme, pas seulement sa vie de joueur. Et ça s’est important. L’article qui est sorti sur mois il y a quelques mois ? [le 18 octobre dernier dans Ouest-France, ndp2]. Cela fait 25 ans que je suis dans le football. Il y a des clubs qui m’ont fait confiance, et pas des moindres : Saint-Etienne, Angers. S’il y avait quelque chose de malsain chez moi, je ne pense pas que j’aurais fait la carrière que j’ai faite en tant qu’entraîneur formateur et directeur de la formation. Cet article a été téléguidé, n’en parlons plus.

Si on fait parler tous les jeunes comme Josuha que j’ai fait réussir, ils seront heureux, ils vont être contents. Mon rôle à un moment donné, c’est comme un chef d’entreprise, il faut faire des choix. Quand je décide qu’un joueur ne signera pas un contrat professionnel, ce n’est pas que c’est un mauvais joueur. C’est qu’on estime en collaboration avec le staff pro que ce joueur-là ne peut pas signer un contrat pro. Je peux cristalliser beaucoup de rancœur et d’animosité et je l’assume. Il y a la déception des parents. Avec ce que véhicule le football et ce qu’il génère, on a l’impression que c’est un ascenseur social. C’est le ticket de loto. « Ce Monsieur a empêché que notre enfant devienne joueur professionnel. » Je passe outre.

J’ai passé 8 ans à l’ASSE. Vous m’avez montré une image de cette époque où je suis vindicatif, je montre juste le chemin du but. Je suis un entraîneur qui est assez expressif sur le côté, je ne m’en cache pas. Autant il y a des entraîneurs qui sont très calmes, très posés, autant moi j’aime bien vivre avec mon groupe dans l’affect, comme quand j’étais joueur. J’ai l’impression que les joueurs ont besoin aussi, surtout chez les jeunes, d’un grand frère sur le côté qui puisse leur montrer le chemin. Chaque garçon est différent, arrive d’un milieu social différent aussi. Il faut alterner en fonction de chacun d’eux.

On est allé deux années de suite jusqu’en finale de la Coupe Gambardella, en 2011 et en 2012. Il me restait alors un an de contrat à l’ASSE quand Stéphane Moulin, que j’avais eu comme entraîneur à Châtellerault, m’a demandé de venir à Angers. Saint-Etienne, pour les anciens comme vous et moi, ça reste un grand club populaire. Mais Stéphane Moulin et le président Said Chabane m’ont proposé le poste de directeur du centre de formation du SCO. C’était l’ouverture du centre, qui venait de recevoir l’agrément. J’ai tout de suite dit oui.

Je garde beaucoup de bons souvenirs de mon expérience à Saint-Etienne, j’ai gardé beaucoup de contacts avec beaucoup de joueurs parce qu’on a créé une histoire, on a vécu quelque chose ensemble. Les finales, je les ai perdues, ça m’a fait mal, ça a fait mal à tout le monde. Mais on garde des bons souvenirs de ces aventures et on garde aussi des amitiés avec les joueurs."

7 un heureux présage ?

02/03 21:58

Comme le rapporte Le Progrès, Thomas Monconduit a affiché un discours ambitieux à la mi-journée en conférence de presse. Après avoir fait le job depuis le début de l'année contre des équipes jouant le maintien, le milieu de terrain stépphanois est pressé d'en découdre avec des équipes de haut de tableau, à commencer par Bordeaux ce samedi après-midi.

"Il faut garder nos principes, qu’importe l’adversaire. Il faut jouer de la même manière, avec la même intensité. On va forcément perdre des matches mais si on garde ces ingrédients, on va encore en gagner beaucoup. Sur la phase retour, hormis Sochaux où on se tue en cinq minutes, on n’a pas joué de gros. J’ai hâte de les jouer afin de montrer qu’on n’était pas à notre place lors de la première partie de saison et ce qu’est le vrai Saint-Étienne."

Opta que souligne l’ASSE n’a battu qu’une seule équipe du top 7 actuel de Ligue 2 (trois nuls, quatre défaites). C’était… Bordeaux, le 10 septembre (2-0). On remet ça après-demain ?

Sisso-KO !

02/03 14:05

Comme contre Amiens, Bordeaux sera privé samedi de son milieu malien Issouf Sissokho pas encore remis de sa blessure. Avec 14 matchs joués dont seulement 5 titularisations, Sissokho n'est pas considéré comme un cadre du XI bordelais.

Il devrait être le seul absent d'une équipe qui devrait évoluer devant une affluence record (près de 30 000 supporters attendus).

A Bordeaux, sans Cafaro

02/03 13:32

En conférence de presse ce midi, Laurent Batlles a fait le point sur l'effectif à sa disposition avant le déplacement à Bordeaux, samedi (15h) : "Cafaro a encore du mal à courir et sera absent à Bordeaux. Pavlovic a été malade toute la semaine et ne sera pas dispo. Moueffek a trottiné ce matin et on verra comment on adapte les soins."

Le coach a par ailleurs lucidement expliqué qu'il faudrait élever le niveau pour aller chercher quelque chose en Gironde : "Les Girondins ont beaucoup de valeur athlétique. Le changement de système leur a fait beaucoup de bien. C’est une belle équipe qui n’est pas là par hasard. Bordeaux est un gros morceau. Si on reste sur le contenu de Pau, notamment au niveau de la qualité technique, ça sera compliqué. Je l’ai dit aux joueurs."

Les Girondins n'ont pas pris le même chemin

02/03 11:01

Entraîneur d'une équipe actuellement 2e de L2 avec 15 points d'avance sur le 15e Saint-Etienne, David Guion a évoqué ce matin en conférence de presse le match d'ouverture de la 26e journée programmé ce samedi après-midi à Bordeaux. Extraits.

"On sait que cette affiche-là est une affiche historique entre deux grands clubs français. Mais en Ligue 2, c’est la réalité... Cela reste une affiche historique liée au prestige de ces deux clubs. Saint-Etienne n’aura pas du tout la même équipe qu’au match aller. L’ASSE a beaucoup recruté, il y a une nouvelle dynamique qui s’est mise en place, les recrues du mercato se sont adaptées très rapidement. C’est une équipe qui surfe sur cette dynamique depuis la trêve et qui a enfin trouvé son équilibre grâce au travail de Laurent et de son staff. Ce sera vraiment un match très difficile à jouer face à une équipe qui est transformée par rapport au match aller.

Pourquoi les Girondins ont plus vite digéré la descente que les Verts ? Sincèrement, je ne suis pas dans le contexte stéphanois. Je connais un peu le club pour y avoir évolué pendant de nombreuses années. Ce sont deux clubs historiques, deux clubs populaires, et cette appréhension de tout le contexte, interne et externe, dans des clubs comme Saint-Etienne et Bordeaux, c’est quelque chose qu’il faut savoir appréhender. Tout est amplifié, c’est logique. Il y a ce côté populaire qui fait que tout le monde parle énormément de l’équipe professionnelle.

A travers ça, en effet, l’échec et la relégation de ces deux clubs, il a fallu rebondir. On a choisi des chemins complètement différents. Eux ont souhaité repartir avec une nouvelle équipe, constituée de joueurs de Ligue 1 pour la plupart. Nous, on a souhaité repartir avec notre centre de formation. Ce sont deux politiques sportives complètement différentes, ce sont des choix entre la direction et le sportif. On n’a pas fait le même choix, et on n’a pas pris le même chemin.

Le match aller avait été très frustrant. On avait eu beaucoup de situations, des occasions très nettes. Je pense qu’on était beaucoup plus proche de marquer mais sur un contre on avait pris ce deuxième but. On était sorti de ce match avec beaucoup de frustration, on a eu l’impression qu’on ne méritait pas de perdre ce match-là, malheureusement la réalité nous a rattrapé ce jour-là. Il faudra être très vigilant à nouveau samedi.

Avant de penser à Sochaux, il faut vraiment penser à Saint-Etienne parce qu’on va rencontrer une belle équipe. Il faut mettre les joueurs dans les meilleures conditions pour l’emporter. On doit faire en sorte de créer ce climat de confiance autour de l’équipe. On a envie de continuer, on est sur deux victoires consécutives. On sait que pour continuer à être là-haut, il faut continuer à performer. On a la chance de pouvoir jouer dans une super ambiance devant nos supporters qui vont être présents dans un contexte très favorable.

On a cette chance de pouvoir faire un gros match, j’espère que mes joueurs vont répondre à cette affiche. Jean-Philippe Krasso est un très bon joueur. C’est évidemment un buteur. C’est un joueur en fin de contrat donc c’est un joueur qui a envie de finir la saison avec des statistiques. C’est un joueur qu’il faut évidemment surveiller de très près."

Wright is right !

02/03 10:58

Non inscrit par son coach Graham Potter sur la liste pour la Ligue des Champions en janvier pour faire la place aux nombreuses et onéreuses recrues de Chelsea, Aubame vit une situation sportive de plus en plus délicate.

En effet, s’il n’a été titulaire qu’à 4 reprises cette saison, il était quand même sorti 4 fois du banc en janvier en championnat. Las, en février, il n’a pas joué une minute, avant son entrée le week-end dernier à la 83è minute sur la pelouse de Tottenham pour une nouvelle contre perf des Blues (0-2).

S’il a des envies d’ailleurs, PEA pourrait voir son coach partir avant lui, tant la courbe de résultat de Chelsea, scotché à la 10è place de Premier League, ne décolle pas.

L’ex buteur d’Arsenal, Ian Wright a publiquement soutenu notre ex-buteur, expliquant que les joueurs devraient prendre sa défense : « je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais Chelsea a besoin d’un buteur, ils en ont un et il ne joue pas. Les joueurs ne devraient pas en parler au manager, mais ils devraient en discuter avec Aubameyang en lui disant on ne peut pas comprendre pourquoi tu ne joues pas. Ils lui diraient à lui, car les joueurs de Chelsea savent qu’ils ont besoin de lui, maintenant. Quoi que tu dises d’Aubameyang, quoi que vous pensiez de lui, c’est un buteur.»

Thuilot droit dans ses bottes

02/03 08:37

Ex-DG de l'ASSE (d'octobre 2019 à janvier 2021), Xavier Thuilot nous a donné de ses nouvelles hier dans La Voix du Nord.

"Depuis que j'ai quitté le SCO d'Angers en juin dernier, je suis complètement libre. Je vis à Lille avec les miens. J'y suis bien. C'est ma région. A bientôt 56 ans, le regard que je porte sur mon parcours ? Je n'étais pas formaté pour ça. J'étais diplômé d'une école de commerce (ESC Amiens). Il n'y avait pas de formation pour être dans le sport. Tout a commencé avec le foot américain à Amiens, où je suis né. J'ai été ensuite appelé par Bernard Lecomte au LOSC pour être directeur financier. Le reste a suivi.

Je ne suis pas nostalgique. J'ai toujours fait les choses honnêtement, sans calcul. Partout où je suis passé, j'ai toujours défendu l'institution : notamment contre les actionnaires, ça m'a souvent coûté ma place (sourire). Si je me retourne, je peux être fier d'avoir toujours été droit dans mes bottes. C'est au LOSC que j'ai batti le plus de choses et conservé le plus de souvenirs. Comme cette qualification en Champions League. Claude Puel avait été viré et nous l'avions récupéré après le départ de Vahid Halilhodzic. C'est le destin."

Saliba a écrasé Maupay

02/03 07:31

Comptant désormais 5 moints d'avance sur le deuxième (Manchester City), Arsenal a écrasé Everton 4-0 hier soir en match en retard de la 7e journée de Premier League. William Saliba a muselé un Neal Maupay remplacé à l'heure de jeu et nettement moins performant avec les Toffees qu'avec les Seagulls. Alors qu'il avait claqué 26 pions dans l'élite anglaise lors de ses 3 saisons à Brighton, l'ancien attaquant stéphanois n'a marqué qu'un petit but (l'été dernier contre West Ham) pour Everton, actuellement antépénultième et relégable.

Hervé Revelli rend hommage à Just Fontaine

02/03 07:07

Meilleur buteur de l'histoire de l'ASSE, Hervé Revelli rend hommage dans Le Progrès à Just Fontaine, recordman du nombre de buts marqués lors d'une Coupe du Monde (13 pions en 1958 au Brésil), décédé hier à l'âge de 89 ans.

"C’est clairement le joueur qui m’a donné envie d’être attaquant, je n’avais d’yeux que pour lui. C’est le genre de joueurs qui te donnaient envie de faire la même chose. Il avait les deux pieds, un bon jeu de tête, c’était un attaquant complet. C'était un homme gentil comme tout. Je l’ai revu à Cannes il y a trois ans. Je l’ai croisé à midi et à 14 heures, je croisais Belmondo.

Je l'ai connu aussi comme sélectionneur national, il voulait revenir à la défense en ligne. À l’époque, on était surpris et on lui avait dit que ce n’était pas possible. Je crois qu’on avait joué contre une sélection de Corse et on avait perdu. Il voulait absolument faire jouer Kopa, on aime bien Raymond, mais il avait presque 40 ans, on était monté au créneau."

 

Pas joyeux anniversaire Veretout !

01/03 23:38

Malgré l'ouverture du score de Jordan Veretout, qui fêtait ce mercredi au Vélodrome ses 30 ans aux côtés d'un Dimitri Payet lui aussi titulaire mais très discret, Vincent Pajot et ses coéquipiers annéciens ont éliminé l'OM aux tirs au but ce soir en quart de finale de Coupe de France.

Les vilains ont été les premiers à se qualifier pour le dernier carré hier au Cochonou Stadium aux dépens du GF38 de Vincent Hognon qui a laissé Loris Néry sur le banc. Les Canaris, qui ont éliminé les Sang et Or en début de soirée, sont toujours en lice pour conserver leur trophée.

Alors que les Verts ont été incapables de mettre le moindre but aux Ruthénois en 180 minutes jouées dans le Chaudron l'automne dernier, le TFC de Damien Comolli et Philippe Montanier a écrasé 6-1 la lanterne rouge de L2. Les Violets menaient déjà 4-0 avant le premier quart de la rencontre !

 

 

Sainté roi de l'instabilité

01/03 18:46

Dans sa dernière lettre hebdomadaire parue aujourd'hui, l'Observatoire du football du CIES (Centre International d'Etude du Sport) classe les équipes selon le nombre de joueurs différents alignés lors des matchs de championnat.

Sans surprise, l'ASSE est le club professionnel le plus instable de France depuis un an (57 joueurs utilisés) comme depuis 5 ans (107 joueurs utilisés). A titre de comparaison, Monaco a utilisé 28 joueurs depuis un an et Strasbourg seulement 63 depuis 5 ans.

On aura quand même noté que depuis 10 ans, 9 clubs évoluant actuellement en L1 ou en L2 ont utilisé plus de joueurs que Sainté (155) : le Paris FC (187), Amiens (178), Laval (175), Sochaux (170), QRM (169), Troyes (165), Lens (163), Pau (163), Ajaccio (160).

Seules trois équipes parmi les 75 ligues à travers le monde étudiées par l'Observatoire du football ont utilisé plus de joueurs (60) que l'ASSE (57) depuis un an  : les clubs paraguayens Sportivo Ameliano et Club Guazrani ainsi que le club colombien Atletico Huila. Allez Lolo, faut songer à faire jouer Matéo Pavlovic et Yanis Lhery pour les rattraper !

 

Ghezali dynamite la lanterne rouge

01/03 16:30

Après une trêve de quasiment 3 mois, le championnat de D2 roumaine a repris le week-end dernier. Lamine Ghezali en a profité pour marquer avant-hier en clôture de la 17e journée le 4e des 6 buts de l'écrasante victoire (6-0) du Dinamo Bucarest contre la lanterne rouge Unirea Constanta.

Pour rappel, l'ancien attaquant stéphanois avait déjà scoré le 9 septembre contre le CSA Steaua lors du très chaud derby de Bucarest, mais aussi le 6 décembre en Coupe sur le terrain de l'Unirea Slobozia.

Houngbo Civier contre le Luxembourg

01/03 16:08

Régulièrement titularisé par Jean-Luc Dogon dans l'équipe des U19 stéphanois (quatrièmes de leur groupe en championnat avant de défier Air Bel ce dimanche à Marseille), Matéo Houngbo Civier a été convoqué en équipe de France U16 pour une double confrontation avec le Luxembourg les 8 et 10 mars à Clairefontaine, où ce gardien petit mais tonique avait déjà fait un stage avec cette sélection en décembre dernier.

Les (autres) 4 à la suite ?

01/03 14:45

Si les Verts ont décroché les 4 à la suite, s'agissant des victoires consécutives en championnat, ils auront l'occasion samedi (15h) de boucler une autre série de 4 : 4 matchs sans défaite à Bordeaux.

En effet avant le nul (2-2, buts de Bouanga et Nordin) décroché par les hommes de Dupraz en avril 2022, les hommes de Puel avaient chopé les 3 points en décembre 2020 (2-1, buts de Nordin et Neyou), mais également en octobre 2019 (1-0 sur un pénal de Bouanga).

L'un est à Los Angeles, l'autre à Montpellier, il faudra que Lolo trouve d'autres attaquants amateurs de Bordeaux pour prolonger cette belle invincibilité.

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