Les leaders abordent le match en outsiders
16/10 20:59
Après avoir permis au Stade Lavallois de se maintenir en L2 en marquant à la 94e minute de la dernière journée la saison passée à Amiens, Djibril Diaw est devenu l'un des tauliers de la défense des surprenants leaders. Ayant démarré tous les matches des Tango cette saison, l'international sénégalais s'est confié à France Bleu Mayenne avant d'accueillir les Verts lundi prochain en clôture de la 11e journée de L2. Extraits.
"J’ai dû céder ma place lors du dernier match de championnat à Bordeaux à cause d’un talon douloureux mais je vais mieux. Cette dernière semaine j’ai coupé pour soigner ça et être vraiment d’attaque la semaine de Saint-Etienne. J’espère revenir à la compétition. On a n’a pas encore repris avec l’équipe, on avait un programme à suivre chacun de son côté. Cette trêve a fait du bien pour les têtes et pour le corps aussi. Ça nous a fait du bien de faire ce break après avoir enchaîné trois matches en une semaine. C’est un « repos actif », c’est aussi le moment de se ressourcer en famille, de profiter. Ça fait du bien.
Du fait de notre bon début de saison, il y a de la ferveur en Mayenne. Ce n’est pas très facile de se protéger. À chaque fois qu’on croise une personne, elle nous parle de cela mais ça fait plaisir. On reçoit des félicitations et des encouragements aussi, ça fait chaud au cœur de voir qu’on procure beaucoup de plaisir au peuple mayennais. On va recevoir Saint-Etienne, on espère rester sur cette dynamique. Ce qui arrive aujourd’hui, on le prend avec beaucoup d’humilité.
On sait qu’on beaucoup travaillé pour. On sait que derrière chaque succès, il y a beaucoup de travail. On se cache derrière le travail pour essayer de maintenir le rythme. Rien n’est dû au hasard, il y a beaucoup de travail dans l’ombre. Je mesure 1m94. Quand on est grand, ce n’est pas facile tous les jours. On essaye de renforcer le corps par rapport aux faiblesses qu’on peut avoir. On travaille dans l’ombre, par exemple sur les coups de pied arrêté on travaille pour avoir beaucoup d’explosivité. Je monte tout le temps sur les corners, les défenseurs se focalisent sur Malik et sur moi ou Marvin. L’objectif, c’est d’aider l’équipe à marquer.
Tous les matches, on les prend comme des finales. On aborde le match de Saint-Étienne comme des outsiders. J’espère qu’on sera outsiders jusqu’à la fin. Laurent Batlles a déclaré qu’il espérait « faire un exploit à Laval » (rires Je ne sais pas si l’exploit c’est de gagner ou de marquer des buts. La saison dernière, on marquait beaucoup de buts mais derrière on en prenait aussi. On a beaucoup travaillé pour en prendre moins. Pour les adversaires, c’est une équation de savoir comment transpercer notre défense.
Ça nous donne confiance de savoir nos adversaires un peu craintifs. La saison dernière, on sentait que les équipes étaient là pour prendre des points. On a gagné beaucoup plus de respect et on va essayer de l’entretenir. Est-ce que le Stade Lavallois peut finir dans les cinq premiers ? Pour l’instant on est focalisé sur l’objectif de début de saison, le maintien. On va tout faire pour l’atteindre et on après on verra. L’appétit vient en mangeant."
Cette fois sans Mathis, la France bat encore la Suisse
16/10 19:06
Titulaire, convaincant et vainqueur (3-0) contre la Suisse il y a trois jours à Bâle, le milieu de terrain stéphanois de l'équipe de France U18 Mathis Amougou est resté sur le banc ce soir lors du succès plus étriqué (1-0) des petits Bleus contre les Helvètes. Nul doute que Jean-Luc Vannucchi le sélectionnera pour la Coupe du Monde U17 qui se déroulera en Indonésie du 10 novembre au 2 décembre !
Lesage arbitrera le choc
16/10 14:32
Pour la 26e fois de sa carrière, Mikael Lesage (48 ans) va arbitrer un match de Sainté lundi prochain en match de clôture de la 11e journée de L2. Cette saison, c'est lui qui avait sifflé les deux pénos transformés par Ibrahim Sissoko contre QRM. La dernière fois qu'il a dirigé un match de l'ASSE à l'extérieur, les Verts avaient gagné à Amiens sur un penalty transformé par Ibrahim Wadji. Et si le Sénégalais donnait la victoire à son équipe à Laval pour fêter son retour aux dépens de Tango restant sur 9 succès consécutifs dans leur antre ?
On reprendrait bien une Coupe
16/10 14:14
Eliminés à GG par Rodez à l'issue de la séance des tirs aux buts dès le premier tour, les Verts espèrent (et nous avec) mieux faire pour l'édition 2024 de la Coupe de France.
Hier s'est déroulé le 5ème tour qui a vu chuter deux pensionnaires de National, Nancy et les banlieusards de Goal FC. Comme les autres clubs de Ligue 2, Sainté entre en lice lors du 7ème tour.
Cette année la Fédé organise le double tirage au sort simultané des 7è et 8è tour le même jour, le 1er novembre prochain. Les équipes étant réparties par poule géographique, les Verts ne devraient pas se déplacer très loin.
Le 7ème tour est prévu le samedi 19 novembre, coincé entre le déplacement à Auxerre et la réception de Pau.
Montfort imprenable
16/10 13:59
Titulaire lors de la 10e journée de National dans les cages de Dijon, Lenny Montfort a brillé. L'ancien portier de la réserve stéphanoise (3 matchs disputés en 2020) a permis à son équipe de tenir la baraque face à Epinal, notamment grâce à un très joli triple arrêt. Ses coéquipiers se sont imposés 4 buts à 1 et pointent à la 9e place du classement. L'habituel 3e gardien dijonnais (21 ans) disputait là son 2e match avec l'équipe première grâce aux départs en sélection de Saturnin Allagbé (Bénin) et Robin Risser (France Espoirs). Deux matchs et deux victoires pour Lenny, alors que Dijon ne compte que 3 succès cette saison. De quoi pousser son entraîneur à lui faire confiance pour la suite ?
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Falaye poissard avec le brassard
16/10 06:58
Seule satisfaction du piètre mercato stéphanois de l'hiver 2021-2022, Falaye Sacko s'est imposé à Montpellier malgré quelques prestations ratées lors de ses premières apparitions pailladines. Ayant joué 35 matches de L1 la saison dernière dont 29 en tant que titulaire, le latéral droit de 28 ans a démarré 7 rencontres dans l'élite française cette saison. Promu capitaine des Aigles du Mali il y a 3 jours, il a battu l'Ouganda 1-0. Mais le natif de Bamako s'est blessé lors de ce match et a dû quitter le terrain sur une civière...
Neyou s'éclate à Leganés
16/10 06:24
Titularisé pour la 7e fois de la saison dans l'entrejeu de Leganés aux côtés de Naïs Djouahra, Yvan Neyou a écrasé Amorebieta 6-0 hier lors de la 11e journée de L2 espagnole. Cédé pour un million d'euros l'été dernier au club de la banlieue madrilène, le Camerounais de 26 ans est actuellement 2e à un petit point du leader (l'Espanyol de Barcelone).
Erding ne voulait pas quitter Sainté
15/10 20:57
Dans un bref entretien accordé à 90 Football, Mevlut Erding (36 ans) est revenu aujourd'hui sur la fin de son aventure stéphanoise au coeur de l'été 2015.
"J’ai apprécié mes 2 saisons à Saint-Etienne. Je fais 50 matches et je dois marquer 25 buts [Mev a claqué en fait 21 pions en 65 matches, 40 en tant que titulaire, ndp2]. Je pars en transfert en Allemagne [à Hanovre, ndp2]. Je ne voulais pas partir parce que j’aimais beaucoup Saint-Etienne. J’aimais les supporters, j’aimais jouer dans le Chaudron. Je suis parti à contrecœur personnellement.
Pourquoi je suis parti alors ? C’est tout simple, on m’a offert un meilleur contrat en Allemagne. Hanovre a fait une offre de 4,5 millions d'euros à l'AS Saint-Etienne, qui n’a pas refusé. Tout devient logique ! Ce n’est pas une question d’argent pour moi mais c’est surtout le club de Saint-Etienne qui gagnait dans l’affaire. A cette époque-là, l’ASSE ne vendait pas beaucoup de joueurs à ce prix-là.
Moi j’ai joué au Parc des Princes, il y avait Boulogne et Auteuil, c’était extraordinaire. Quand tu joues un Saint-Etienne-Olympique Lyonnais, c’est extraordinaire aussi ! Les deux virages sont extraordinaires. A Saint-Etienne, il y a souvent de l’ambiance quand même. Même si le stade sur les côtés n’est pas rempli, tu sais que derrière les buts, ça envoie ! Le stade est rarement rempli car malheureusement, depuis deux ans, il n’y a pas de résultats aussi…"
Pajot garde la tête froide
15/10 19:15
Valeureux milieu de terrain d'une équipe annécienne classée actuellement 12e avec 7 points de retard sur les Verts mais 4 longueurs d'avance sur le premier relégable, l'ancien Vert Vincent Pajot (33 ans) s'est confié au Dauphiné Libéré. Extraits.
"La vraie commotion que j’ai eue, c’était à Bastia avec Saint-Etienne en 2017. J’avais eu un vrai choc. J’avais pris un pied dans la tête. Je n’avais repris mes esprits qu’à l’hôpital, deux heures plus tard. Je crois que j’étais un des premiers footballeurs à avoir un protocole commotion, avec six semaines d’arrêt et l’obligation d’aller voir un neurologue. Ça m’a provoqué une sensibilité qui fait que lorsque je reprends des chocs à la tête, j’ai des troubles visuels, un peu des vertiges, comme des pertes d’équilibre.
Là, je suis parti sur un traitement et de l’ophtalmologie pour éduquer mon œil et mon cerveau. Je touche du bois, ça se passe bien. Mais j’ai gardé une sensibilité au niveau de mon côté droit, il faut être vigilant. Je pense que ce coup à Bastia a été le déclencheur. Après, j’ai le souvenir que je prenais pas mal de coups à la tête quand j’étais plus petit, je suis assez rentre-dedans. J’allais beaucoup dans le jeu de tête et je prenais des coups de coude.
Cette année, j'ai à nouveau eu un choc en mai à Nîmes puis un autre en août contre Saint-Etienne. Le coach a été très bon. Quand je prends le coup à Nîmes, on joue Toulouse trois jours plus tard en demi-finale de la Coupe de France. Je me sens capable de jouer mais le coach n’a pas voulu prendre de risques et il a eu raison pour ma santé. C’est bien que le sujet soit pris au sérieux. Il ne faut pas faire n’importe quoi.
la LFP demande à ce qu’on consulte un neurologue, en visio, qui établit un diagnostic pour voir si on peut reprendre. Puis, il y a un protocole, pour une reprise évolutive. Ils prennent les choses au sérieux car avant on pouvait s’entraîner à nouveau dès le lendemain. Le coach m’a dit qu’après ma carrière, j’ai une vie à vivre. Il faut prendre du recul, ça ne reste que du foot. Il vaut mieux bien se soigner plutôt que tout faire à l’arrache pour jouer trois jours plus tard.
Quand ça m’est arrivé avec Saint-Etienne, j’ai été séché sec. C’était impressionnant. J’ai eu un trou noir du moment du choc jusqu’à me réveiller à l’hôpital. Ce qui est bizarre, c’est que le doc’me parlait, j’ai débloqué mon téléphone pour qu’il prévienne mes parents mais je n’ai aucun souvenir de tout ça. C’est un truc de malade. Je ne me souviens plus de l’échauffement, plus de mon début de match. J’ai eu quasiment trois heures de trou noir dont je ne me souviendrai jamais.
C’est dur quand tes parents sont devant la télé, que beaucoup d’informations circulent mais qu'on ne sait pas réellement ce qui se passe. Tu sors sur civière… Aujourd’hui, mes parents, ils sont contents quand je sors du match indemne. Bon, pas bon, victoire, défaite, ce n’est pas trop un souci. Ils sont assez stressés de base avec la santé mais c’est vrai que le foot devient de plus en plus physique. Il y a 15 ans, un Pogba, ça n’existait pas au milieu de terrain. Il y avait des Carrière, des Nivet… Les impacts ont pris de l’intensité.
Cet été contre Sainté j'ai pris un coup, puis j’ai eu une sorte de trou noir et quand on revient à nous, on se dit "c’est bizarre d’être là". Comme si on se pensait dans son lit et qu’on se retrouve sur un terrain de foot. Je sais très bien que quand ça arrive, tous les symptômes vont ressortir et il n’y a pas lieu que je continue à jouer car je vais pénaliser l’équipe comme ma santé. J’ai eu le protocole commotion fois et ainsi je ne pouvais pas jouer le match suivant. C’est très bien, c’est le cerveau, c’est tellement complexe."
Les U17 Verts font la misère à Lyon-Duchère
15/10 19:15
Dlylian N'Guessan, auteur d'un triplé face à Lyon-Duchère
Les Verts leaders du groupe D avec 16 points recevaient Lyon-Duchère, 7 points, cette après-midi à l’Etrat. Sans trembler, ils s’imposent 5-2 et confortent leur première place, bénéficiant des défaites des vilains (1-2) à Ajaccio et des Aiglons (1-2) à Monaco.
Supérieurs, les protégés de Frédéric Dugand vont ouvrir le score à la 11ème minute, Helmi Ben Tiba, profitant d’un magnifique enchaînement de Mehdy Lutin-Zidee pour tromper le gardien lyonnais Kelyan Ricignuolo, pensionnaire du centre de formation stéphanois l’an dernier (9 matchs en U16). (ASSE-Lyon-Duchère 1-0, 11ème).
Les jeunes Verts dominent et 5 minutes après l’ouverture du score doublent la mise, Djylian N’Guessan, de retour de sélection U16, reprenant victorieusement un centre de Farès Ben Rahem. (ASSE-Lyon-Duchère 2-0, 16ème).
Les occasions se poursuivent, avec une frappe sur la barre de Sonny Yvars, une frappe détournée de Djylian N’Guessan… Finalement, c’est à la toute fin de première période que les Verts trouvent à nouveau la faille, Djylian N’Guessan reprenant un ballon repoussée par le gardien adverse suite à une frappe de Medhy Lutin Zidee. (ASSE-Lyon-Duchère 3-0, 45ème).
En seconde période les coéquipiers de Matéo Houngbo-Civier, capitaine aujourd’hui en l’absence de Rayan Boukadida (ménagé en raison d’une gêne à la cheville), vont d’abord laisser Lyon-Duchère revenir au score à la 53ème minute, le portier vert étant lobé, suite à un contre adverse. (ASSE-Lyon-Duchère 3-1, 53ème). Vexés, les Verts réagissent de suite, Valentin Depalle, d’une frappe croisée à l’entrée de la surface, permet aux siens de reprendre leur distance. (ASSE-Lyon-Duchère 4-1, 55ème).
A cinq minutes du terme, les Stéphanois vont à nouveau céder, sur pénalty, avant de très vite répondre à nouveau. Quentin Prud’homme, entré en jeu à l’heure de jeu, va offrir sur un centre, un triplé à son avant-centre Djylian N’Guessan ! C’est le cinquième but de l’attaquant, buteur lors des trois derniers matchs avec cette catégorie. (ASSE-Lyon-Duchère 5-2, score final)
Avec 6 victoires, 1 nul et une seule défaite en 8 rencontres, les U17 réalisent un très beau début de championnat, qu’ils pourront bonifier samedi prochain lors du déplacement à Clermont.
La composition : Houngbo-Civier – Ben Rahem (Ruiz 46ème), Dodote, F.Camara, Grillot – Depalle (Prud’homme 60ème), Zerga, Yvars - Ben Tiba, N’Guessan, Lutin Zidee (Tatuszka 60ème)
Buteurs : Ben Tiba, N’Guessan (3), Depalle.
La réaction de Frédéric Dugand : "Le résultat est intéressant mais la petite frustration vient des 2 buts encaissés et par moments de la suffisance des joueurs. Les données GPS montrent que c’est le match où on a le plus couru. Cela montre que les joueurs sont concernés et à l’écoute, mais il faut aller chercher plus loin, être encore plus exigeants et professionnels. Quand on forme des joueurs de haut niveau, il faut qu’on soit plus constants. C’est parfois une suffisance technique, de placements… Cela me gêne qu’on prenne 2 buts, ça n’enlève rien au fait d’être content, mais c’est à méditer."
Bompastor râle
15/10 14:00
Coach des vilaines, Sonia Bompastor a déploré l'excès d'engagement des Vertes, écrasées hier 6-0 en banlieue en clôture de la 4e journée de D1.
"Lors du premier quart d'heure, on a manqué de justesse technique et nos choix n'ont pas toujours été judicieux. Ensuite on a su faire preuve d’efficacité. On a marqué rapidement pour ne pas laisser d’espoir aux Stéphanoises. Il y a eu des duels qui ont été très limites et qui ont surpris mes joueuses. Il y a quelques situations où ça arrivait un peu par derrière et qui n’ont pas été sanctionnées."
Si le club était racheté par des milliardaires...
15/10 11:03
Dominique Rocheteau s'est brièvement confié au Dauphiné Libéré ce week-end.
"L'AS Saint-Etienne bientôt de retour au plus haut niveau ? Oui, tout le monde le souhaite, mais le problème, c'est ça la difficulté de Saint-Etienne, c'est que tout le monde pense que Saint-Etienne peut retrouver le très haut niveau. Parce que c'est un club qui était au pinacle. Mais ce n'est pas possible, ce n'est plus possible, ça ! Il faut que les gens en soient conscients. Enfin, c'est plus possible... Si, ça serait possible si le club était racheté par des milliardaires. Mais ça ne sera pas forcément le cas. Et quand bien même, ce ne serait peut-être pas forcément une bonne chose parce qu'il faut que Saint-Etienne garde ses valeurs."
Mortel perd un match et deux joueuses
15/10 10:43
Lourdement défaites chez les Vilaines hier (0-6), les Amazones qui viennent de jouer contre Montpellier, le PSG et Lyon, vont désormais rentrer véritablement dans leur championnat, face à des concurrentes directes.
Ainsi, dès samedi prochain (15h) elles recevront Le Havre qui les précéde d'un point suite à leur nul (2-2) contre Lille ce week end.
Hier, Laurent Mortel a hélas confirmé que son équipe serait diminuée pour ce choc de bas de tableau : "Ce qui me dérange c'est la défaite, et je perds Solène Champagnac et Faustine Bataillard sur un rouge, c'est une soirée à oublier. Une défaite, deux joueuses en moins, je m'en serais bien passé. Solène, c'est la cheville qui a tourné, on attend les résultats médicaux en début de semaine, difficile de se projeter mais pour moi je perds deux joueuses la semaine prochaine."
José arrose ses retrouvailles avec Alex
15/10 09:37
L'ancien taureau de Nouzaret n'est pas prêt d'arrêter la binouze ! José Aloisio (48 ans) a évidemment fêté hier à la bière ses retrouvailles avec Alex (51 ans). "Nous avons joué ensemble 7 ans [à Goias, Sainté, Paris et Sao Paulo, ndp2], nous avons remporté des titres et réalisé des exploits. Je remercie Dieu pour cette amitié qu'il nous a donnée sur les terrains comme en dehors et maintenant nous buvons" a posté l'ex-numéro 12 de l'ASSE sur son compte Instagram.
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En mai dernier, le duo brésilien resté dans nos coeurs verts avait déjà affiché sa bonne humeur houblonnée.
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L'Ange est resté Vert
15/10 08:44
Présent ce week-end à la Fête du Livre de Saint-Etienne pour dédicacer son livre Foot sentimental à paraître le 19 octobre aux éditions Le Cherche Midi, Dominique Rocheteau a indiqué au Progrès qu'il continue de suivre l'ASSE. Extraits.
"Le foot est devenu une addition de destins individuels qui ne favorise pas l'expression commune d'une équipe. Les joueurs restent peu dans les clubs. Les agents font en sorte qu'il y ait beaucoup de mouvements parce que c'est là qu'ils gagnent beaucoup d'argent. Pour avoir des résultats, il faut que les joueurs aient le temps d'apprendre à jouer ensemble, qu'une entité et qu'une osmose se créent. A Saint-Etienne, le fait de bien se connaître, sans avoir de vedette pour autant, nous avait permis d'avoir des résultats.
J'ai vécu mes plus belles années à l'AS Saint-Etienne. Quand je suis arrivé chez les Verts, c'était le plus grand club français qui était en avance sur beaucoup de choses, sur l'entraînement, sur le visionnage des matches... C'était un club qui savait trouver les bons joueurs. Aujourd'hui, c'est plus facile pour un club... quand on peut payer. J'ai avez joué avec l’ASSE, le PSG et Toulouse. Quel club je supporte ? Je ne fais pas de différences entre les trois. Mais je ne rate aucun match de Saint-Etienne. Ça veut dire ce que ça veut dire (sourire)."
Koné a doublé
15/10 08:17
Auteur de 14 pions en 18 matches avec les U19 lors de son unique saison verte (2017-2018), Habib Koné (23 ans) a marqué hier lors du 5e tour de Coupe de France 2 des 4 buts victorieux d'Andrézieux contre la modeste équipe auvergante de Ceyrat (R2). Le coéquipier d'Idriss Saadi (buteur contre Toulon lors de la dernière journée de N2) avait déjà scoré deux fois en championnat (en août contre Aubagne et en septembre contre Thonon-Evian).
La pièce verte du Puzzle roustanien
15/10 08:01
Ayant démarré sa carrière de jouraliste sportif en 1976, Didier Roustan (66 ans) a bien sûr inséré une pièce verte dans Puzzle, son autobiographie parue le 20 septembre dernier aux éditions Marabout.
"Lors de mes débuts à TF1, j’étais ébloui par des joueurs certes bien moins prestigieux que mes idoles de jeunesse Pelé et Cruyff et reliés à une période où je n’étais, cela dit, plus vraiment un gamin. Par exemple un an après mon arrivée, on doit être vers septembre 1977, Jean Raynal est envoyé à Lens, qui accueille au stade Félix, pas le chat, mais Bollaert, Saint-Etienne, pour le journal de 13 heures du lendemain. Il m’emmène, on voit le match, puis on se rend aux vestiaires pour faire les interviews. Bon, celui de Lens, ça fait bien sûr plaisir, mais ensuite nous voilà chez les Verts. Et là, j’ai l’impression d’entrer dans le plus beau magasin de jouets du monde, car, ça ne rate pas, je retrouve mes yeux et mon cœur d’enfant, enfin plutôt d’adolescent…
Rendez vous compte ! Quinze mois auparavant, je les regardais chez moi, en direct à la télé, pour la finale de Coupe d’Europe contre le Bayern, avec forcément les yeux sérieusement embués au coup de sifflet final… Et surtout, comme tous les Français, j’avais suivi assidûment leurs épopées en 1974, 1975, et donc en 1976. J’avais alors 16, 17, 18 ans, plus un bébé Cadum, hein, et moins l’âge d’être fan. Pas trop mon truc, de toute manière. Mais bon, les Verts, c’était quelque chose, quelque chose qui vous remuait les tripes alors… J’étais même allé sur place, au stade Geoffroy-Guichard, le fameux Chaudron, suivre certains matchs européens grâce au grand frère d’un copain du foot qui avait une voiture.
Et nous voilà entassés dans son petit engin, mais bien plus encore, quelques heures plus tard, derrière un but, toujours le même, à droite de la tribune principale, à nous époumoner avec des « Allez les Verts ! », à n’en plus finir… Puis retour à Cannes et une petite poignée d’heures plus tard à l’école (les matches de cette compétition ayant lieu le mercredi et ça faisait quelques années que le jour de congé n’était plus le jeudi, misère…), autant vous dire que les bâillements, dignes de ceux des plus grands lions dans la savane, se multipliaient tout au long de la journée… Au grand dam de mes professeurs, me direz-vous ? Pas du tout, comme ils étaient tous atteints par la fièvre verte, ça passait crème…
Il faut considérer que notre football bascule à partir de 1976, avec l’épopée des Verts, ponctuée de la finale à Glasgow contre le Bayern Muncih. Surtout qu’en amont, il y aura eu quelques coups de tonnerre, et ce sur deux saisons, donc plus vraiment un hasard. Et, très intéressant, on trouvera sur le podium des exploits de nos chers Stéphanois des performances allant à l’opposé de nos points faibles, le physique et le mental. Ces matches étaient les suivants : Saint-Etienne-Split 5-1 (à l’aller défaite 4-1) le 6 novembre 1974 ; Saint-Etienne – Dynamo Kiev 3-0 (défaite 2-0 à l’aller) le 17 mars 1976. PSV Eindhoven – Saint-Etienne 0-0 (victoire 1-0 à l’aller) le 14 avril 1976.
Alors, mental et forcément physique, car devant la redoutable équipe yougoslave de Split, puisque tu avais encore trois buts de retard à l’heure de jeu, c’était cuit et archicuit pour une équipe française, et pourtant… La saison d’après, contre Kiev donc, c’est déjà plus ou moins cuit, avec deux buts de handica , car, en face, c’était indiscutablement et de très loin la meilleure équipe de club du monde. Toujours deux buts de retard à l’heure de jeu au retour, et pourtant… Pour la demi-finale retour, ensuite, contre le PSV, l’optimisme n’est pas de rigueur pour une qualification, le foot néerlandais avec ses quatre victoires dans la compétition sur les six dernières éditions (et n’oublions pas que les Pays-Bas ont fini vice-champions du monde, deux ans auparavant, en Allemagne, éblouissant de leur jeu la planète foot entière !) fait figure d’ogre, et notons bien que les exploits stéphanois se réalisaient toujours à domicile, dans le Chaudron. Et pourtant…"
Le retour de Tyrone Tormin
14/10 23:58
C'est, ce week-end, le 5ème tour de la Coupe de France et c'est passé de justesse pour les Chamois niortais qui avaient laissé Dylan Durivaux au repos pour le derby des Deux-Sèvres. Ils rencontraient ce soir un club de R1, le FC Bressuire. Pour son entrée en lice, l'actuel deuxième du championnat de National s'est retrouvé piégé avant le repos par les Bressuirais. Les hommes de Philippe Hinschberger ont su réagir et égaliser grâce à Sidi Cissé (56e). Puis, c'est Tyrone Tormin, l'ancien du centre de formation de l'ASSE, qui, après une belle combinaison côté gauche, est venu fusilier le gardien bressuirais d’une volée imparable et, ainsi, délivrer le club des Deux-Sèvres dans les derniers instants (86e, 1-2), avant qu'une échauffourée éclate et qu'un joueur de chaque côté soit expulsé. Les Chamois s'en sortent donc de justesse, au contraire donc d'un autre ancien club professionnel, l'AS Nancy Lorraine, battu par l'ES Thaon (N3).
U16 : Bourg n'a pas pesé lourd
14/10 23:36
Un doublé pour Noham Aïni
Décidément, plus rien n'arrête les U16 de Kevin De Jesus qui restent sur une excellente dynamique. Après leur prolifique succès de la semaine de la semaine dernière contre Andrézieux (5-7), ils revevaient, cet après-midi, sur le synthétique Georges Bereta, leurs homologues de Bourg en Bresse. Ils se sont largement imposés sur le score de 4 à 0 et, profitant de la lourde défaite du FC Lyon à Saint-Priest, ils s'emparent de la 1ère place, mais c'est anecdotique pour Kevin De Jesus, une première place que, peut-être, ils partageront demain avec La Duchère qui recevra Villefranche Beaujolais.
A la mi-temps, les Verts menaient déjà par 3 à 0, réalisant de belles sorties de balle, suivies d'un jeu dans le dos de la défense adverse. Noham Aïni réalisait un doublé (29ème et 34ème), les deux fois servi par Rayan Aït-Amer, avant que Brandon Nativoha n'inscrive le 3ème but, juste avant le repos (42ème) suite à une passe décisive de Paul Eymard, lequel allait sceller définitivement le sort de cette rencontre, à la 63ème minute, en profitant d'un service de Tom Teillol.
La composition : Massé - Teillol, N.Mouton, Mnemoi, Lengue Lenou - Aït-Amer (Verhoeven, 63ème), Eymard, N.Moulin (Charros, 60ème) - Aïni (Ploton, 55ème), Poble, Nativoha.
La réaction de Kevin De Jesus : "Nous avons fait un bon match, notamment en première mi-temps, avec une maîtrise collective intéressante qui nous a permis d'arriver au repos avec 3 buts d'avance. Nous avons été présents et efficaces à la récupération, réalisé de belles sorties de balle et mis de la verticalité dans notre jeu. Nous avons été moins dominateurs après le repos même si nous sommes créés de bonnes situations. Nous nous sommes parfois mis en danger. Ce seront des choses à travailler et à rectifier dans les prochaines semaines. Mais l'ensemble de notre production est satisfaisant."
Un bien vilain derby
14/10 23:26
Ce soir il n'y a pas eu de miracle pour nos Vertes en déplacement en banlieue. Après avoir tenu un quart d'heure, elles ont pris 4 buts en 11 minutes, dont 3 de la tête. 4-0, le score n'a plus bougé jusqu'à la mi-temps.
En seconde période, les Vertes ont perdu leur milieu, Solène Champagnac, blessée, en larmes, et sortie sur une civière et leur défenseure Faustine Bataillard, expulsée en fin de match. Les vilaines ont alourdi le score en claquant deux fois dans les 10 dernières minutes.
Comme lors de leur dernière saison en d1, les Amazones reviennent du derby avec la valise bien pleine (6-0). Elles sont désormais 12èmes et dernières de la d1 à cause de leur différence de but inférieure à celle de Dijon et Guingamp.
A l'issue du match le coach Laurent Mortel a regretté ces terribles 10 minutes et rappelé qu'il fallait désormais prendre des points : "on est passé à côté de notre première mi-temps. On déjoue, on ne peut rien espérer. On a un problème de gestion des émotions, comme souvent dans le foot féminin. On les a laissé centrer. On n'était pas en place ce soir. On va digérer ce début de championnat. On va plutôt retenir ce qu'on a fait contre Montpellier et Paris. Mais dès la réception du Havre il va falloir s'atteler à prendre des points."
Bamba décisif contre le Maroc
14/10 21:50
Titularisé par Jean-Louis Gasset tandis que Max Gradel et Jean-Philippe Krasso sont restés sur le banc, l'ailier des Eléphants ivoiriens Jonathan Bamba a permis à Sébastien Haller d'ouvrir le score ce soir à Abidjan contre les Lions de l'Atlas, qui ont égalisé à la fin de ce match amical.
Revivez le but d’HALLER face au Maroc #CIVMAR pic.twitter.com/pN7WcZJOsW
— La Côte d’Ivoire Est Chic (@Cotedivoireoff_) October 14, 2023
Les U15 ont frémi contre Chambéry
14/10 19:50
Mathéis Piskor, passeur et buteur aujourd'hui !
Les U15 de Jean-Philippe Primard recevaient cet après-midi, sur le synthétique Georges Bereta, la lanterne rouge, Chambéry Savoie Football. Continuant sur leur belle dynamique, ils se sont imposés par 3 à 1, mais ce ne fut pas sans mal, et il aura fallu attendre la toute fin de match pour les voir prendre le dessus sur une équipe savoyarde pleine d'allant.
Après une entame timide et approximative des Verts, les Savoyards ouvraient le score sur un contre : un ballon par-dessus la défense, un débordement, un centre repris au point de penalty qui se terminait au fond des filets stéphanois, bref le contre parfait. (ASSE-Chambéry : 1-0, 6ème).
Les Verts n'arrivaient à reproduire les prestations précédentes et déjouaient au point d'être menés sur ce score de 0-1 au repos.
Au retour des vestiaires, les Verts vont prendre le dessus mais ils ont dû se montrer patients pour enfin égaliser. A 30 mètres dans l'axe, Mathéis Piskor décalait Samuel Fuleki, côté droit. Malgré une prise de balle un peu manquée qui l'excentrait, ce dernier réussissait à placer une frappe croisée, au sol, qui terminait sa course dans le petit filet. (ASSE-Chambéry : 1-1, 72ème).
Les Verts ne s'arrêtaient pas là, et poussaient au point d'obtenir un penalty pour une faute sur Samuel Fuleki. Melvin Bijot s'empressait de le transformer. (ASSE-Chambéry : 2-1, 80ème).
Enfin dans le temps additionnel, les Chambériens se découvraient pour égaliser et se faisaient prendre en contre. Lorick Castro alertait Mathéis Piskor, seul dans l'axe, qui contrôlait et marquait dans le petit filet, assurant ainsi la victoire des Verts. (ASSE-Chambéry : 3-1, 90ème +3). Cette victoire avait tardé à se dessiner mais elle témoigne de belles vertus et de la résilience des jeunes de Jean-Philippe Primard.
Au classement, les Verts restent à la 1ère place qu'ils partagent avec les vilains, larges vainqueurs de Clermont. Quant aux U14 de Romain Marée, après leur déconvenue de la semaine dernière, ils ont retrouvé le goût de la victoire en s'imposant 9-1 contre Chambéry.
La composition : R.Fuleki - Akil (Marliac, 68ème), Lengi, Jolivet, Marliac (Bagelli, 40ème) - Lebrun (S.Fuleki, 60ème), Shabani-Pont (Thouilleux, 40ème), Ngindu - Piskor, Bijot, S.Fuleki (Castro, 40ème).
La réaction de Jean-Philippe Primard : "Nous n'avons pas pris le match par le bon bout. Nous avons péché en première mi-temps par un positionnement défensif aléatoire, un mauvais quadrillage du terrain, des erreurs techniques. Nous sommes tombés sur une équipe surprenante avec un vrai bloc défensif solide, des joueurs rapides qui jouaient bien les contres, une équipe qui valait sûrement mieux que son classement et qui a ouvert très rapidement le score. Tout était à revoir à la mi-temps. Heureusement nous n'avons pas lâché et retrouvé l'intensité en deuxième mi-temps, en nous créant de belles situations, même si c'était difficile de contourner le bloc adverse. Nous avons su être patients, mais il nous a manqué parfois un peu de justesse technique pour terminer nos actions au point que nous avons renversé le score seulement en fin de match et remporté une victoire sur un adversaire motivé qui vaut mieux que son classement. C'est la troisième fois que nous gagnons le match en fin de rencontre, contre Andrézieux, Valence. Faire une mi-temps sur deux pourra parfois ne pas suffire. C'est un point de vigilance pour nous."
Stéphane le magicien, nouvel homme fort des Olympiens
14/10 10:19
Promu il y a 3 jours DG de l'OM et ayant récupéré les prérogatives sportives de Javier Ribalta (ex-directeur du football au sein du directoire olympien), l'ancien directeur général de l'ASSE Stéphane Tessier est aujourd'hui mis à l'honneur par La Provence. Extraits.
"Il est compétent, sait ce qu'il veut et il connaît le foot" esquisse un salarié de l'OM. "C'est aussi un tueur qui est arrivé dans une logique d'économie. Quand il a quelque chose à dire, il ne passe pas par quatre chemins. En interne, tout le monde se dit qu'il deviendra président en cas de départ de Pablo en fin de saison" confie notre source.
"C'est un mec discret, qui ne se met pas en avant. Un gars qui fuit la lumière et qui met les mains dans le cambouis, un vrai bosseur qui connaît les rouages d'un club de foot. Gérer un club, il sait faire. Au départ, comme tous les directeurs financiers, il n'était pas le plus aimé. Quand tu connais l'opulence et que le mec arrive pour fermer les vannes, ça ne fait pas que des heureux" ajoute un autre membre de l'institution marseillaise. Recruté par un cabinet de chasseurs de têtes pour remplacer Baptiste Viprey et appliquer une politique drastique de réduction des coûts, Stéphane Tessier n'avait pourtant pas prévu de revenir dans le monde du ballon rond après ses expériences à Lorient, où il a aidé Loïc Féry à finaliser la reprise des Merlus avant d'en devenir vice-président, et à Saint-Etienne, surtout.
Forézien de naissance, supporter stéphanois dans l'âme, il a occupé les fonctions de directeur général de l'ASSE de 2010 à 2015, constituant un duo inébranlable avec Christophe Galtier. " Ils avaient un lien très fort" se souvient un confrère. "Tessier n'était pas convivial, plutôt politique, et très ambitieux aussi... Il s'occupait beaucoup des tractations avec les agents. On sentait qu'il aspirait à autre chose, à voir plus haut, et qu'il n'avait pas vocation à rester. Mais il fait partie des gens qui ont laissé une bonne image chez les Verts car son passage correspond à une bonne période". Un autre journaliste résume : "C'est un mec de l'ombre. Il a bâti le Sainté de Galtier. C'était un peu "Nous deux contre le reste du monde", une alliance stratégique. D'ailleurs les ennuis de Galette à l'ASSE commencent quand Tessier s'en va..."
Titulaire de deux DESS (en gestion financière et en gestion d'entreprise) et homme d'affaires aux multiples sociétés (notamment dans l'immobilier et la finance, mais aussi dans l'événementiel), ex-président du Racing Club de Saint-Etienne, également consultant extérieur sur des missions avec l'équipe cycliste AG2R ou le club de rugby de Bourgoin-Jallieu, Stéphane Tessier "a eu 15 vies" selon la formule d'un proche. "Il n'a pas besoin de l'OM pour vivre" précise le même interlocuteur. "Pablo et lui ont matché direct, c'était un coup de foudre. Il a su faire l'unanimité. Stéphane ne se cache pas, c'est lui qui participe à toutes les réunions avec les supporters" rappelle un employé de l'OM alors que Tessier est surnommé "Stéphane le Magicien" à l'intérieur du club pour sa capacité à jongler avec les chiffres.
Sur les hauteurs de la Commanderie, certains persiflent toutefois sur l'influence de ce qu'ils appellent, à tort ou à raison, "le clan des Stéphanois". Proche de David Friio (directeur sportif), qu'il a connu à Sant-Etienne et dont l'avenir à Marseille est en suspens, et de l'avocat de Olivier Martin, qui gère depuis des dossiers pour Longoria et la direction de l'OM, il aurait poussé pour le recrutement de Pierre-Emerick Aubameyang et faisait partie des partisans de la piste Galtier pour succéder à Igor Tudor. Selon ses détracteurs, il aurait aussi oeuvré pour l'arrivée de plusieurs nouvelles têtes passées par l'ASSE : le directeur commercial Grégory Lamela, le directeur de la communication Franck Tourdre et le responsable du scouting pour le centre de formation Ludovic Paradinas."
Hinschberger félicite Durivaux
14/10 09:12
Lancé par Laurent Batlles dans le football séniors à l'âge de 17 ans l'été 2018 lors d'un éclatant succès de la réserve à Nîmes, le latéral droit des Chamois Dylan Durivaux a encore droit aux éloges de son entraîneur niortais Philippe Hinschberger dans la dernière édition du Courrier de l'Ouest.
"Dylan est un garçon à l'écoute, je suis très content qu'il ait marqué le but de notre victoire contre Versailles. On a un jeu qui a tendance à pencher à gauche avec des garçons comme Kyllian Gasnier, Moataz Zemzemi et Quentin Bernard. Dylan nous apporte cet équilibre à l’intérieur de l’autre côté. Il a joué tous les matches cette saison, il va pouvoir souffler samedi en Coupe de France et en profiter pour passer un petit week-end sympa à Celles avec sa fiancée à l’hôtel où nous étions avant le match. C’est bien, il l’a bien mérité."
Devenu le taulier d'un club classé actuellement deuxième de National, l'ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE (de 2012 à 2020) s'amuse des propos de son coach dans le même quotidien régional.
"Je ne sais pas pourquoi il vous a dit ça, c’est marrant. C’est bien le coach ça, en tout cas ! Je m’éclate dans ce groupe, je ne regrette pas du tout d’être resté, quitte à descendre d’un niveau. La saison dernière a été compliquée, on ne va pas se mentir. Cette fois, c’est différent pour moi, j’en profite."
Le choc au sommet des U19 est reporté
14/10 08:06
Sortant d'un match houleux (contre Air Bel) dont le résultat (2-1 pour les Verts) n'a pas été entériné par les instances, les U19 devaient affronter une autre équipe phocéenne demain après-midi pour le match au sommet de la 8e journé. Cette rencontre a été reportée, l'OM ayant invoqué des soucis de terrain et des problèmes électriques dans son Campus.
Mathis a mangé les petits Suisses
13/10 22:07
L'équipe de France U18 a mangé la Suisse 3-0 ce soir au Rankhof Stadion de Bâle. Titulaire, Mathis Amougou a rayonné dans l'entrejeu avant de céder sa place à la 74e minute au Monégasque Aladji Bamba. La seconde manche de cette confrontation franco-helvétique se déroulera dans le même stade lundi en début d'après-midi.
Salif Keita, à la poursuite du Diamant vert
13/10 21:31
Six semaines après la disparition de Salif Keita, les potonautes Danish et Yvanmamamia ont publié ce vendredi sur leur chaîne ASSE Memories une magnifique vidéo de sept minutes compilant les plus belles actions de la Panthère sous le maillot vert. L'ASSE lui rendra hommage à l'occasion de la réception d'Angers programmée le lundi 30 octobre.
Les Tango ont battu les Canaris
13/10 20:46
Faute d'avoir trouvé un adversaire pour meubler cette trêve internationale, les Verts se sont contentés d'une opposition interne ce vendredi. Les réservistes de Razik Nedder, dont le match amical prévu à Montpelier a été annulé, ont donc servi de sparring-partners aux hommes de Laurent Batlles.
De son côté, le Stade Lavallois s'est imposé contre le FC Nantes à Marcel-Saupin à la lavalloise (1-0) grâce à deux joueurs très peu utilisés par Olivier Frapolli (tête de Kévin Tapoko sur un corner d'Antonin Bobichon).
Ouest-France revient ce soir sur cette rencontre qui a permis aux Mayennais d'entretenir leur bonne dynamique avant leur réception des Verts programmée le lundi 23 octobre en clôture de la 11e journée de L2.
"Sur le front de l’attaque tango, seuls Kadile et Labeau-Lascary ont été des figures récurrentes en Ligue 2 jusqu’à présent. En défense, Baudry a été repositionné en libero, alors que Seidou, de retour de blessure, a connu ses premières minutes de jeu de la saison sur son poste habituel de piston gauche. Malgré tout ces changements, dont un milieu de terrain inédit avec Bobichon, Thomas et Benard, les Tango n’ont pas été perturbés outre mesure.
"Ce match est dans la lignée de ce qu’on fait depuis le début de saison, avec beaucoup de rigueur de discipline, d’ investissement" a réagi Olivier Frapolli. "Il y avait beaucoup de vent, donc en première mi-temps, on a joué bas. Et en deuxième, on a joué très haut. Je suis très satisfait du match, du comportement de l’équipe malgré tous les changements. On a bien fait le travail."
On aura noté que plusieurs joueurs cadres n'ont pas pris part à ce match, notamment le buteur Malik Tchokounté, élu hier meilleur joueur de septembre en L2.
La compo de Laval contre Nantes : Hautbois - Lomami (Leonardi, 80’), Baldé, Baudry (Beaudoin, 70’), Ouaneh, Seidou (Cherni, 46’) - Bobichon (Martins, 80’), Thomas (Benard, 60’), Benard (Tapoko, 46’) - Tell (Mupemba, 80’), Kadile (Labeau-Lascary, 46’).
Batubinsika accroché par la Nouvelle-Zélande
13/10 20:13
Une nouvelle fois titularisé dans la charnière centrale des Léopards aux côtés du Phocéen Chancel Mbemba, Dylan Batubinsika a été tenu en échec par la Nouvelle-Zélande ce soir à Murcie (Espagne), les All Whites ayant égalisé sur penalty à la 90e. Pour rappel, l'équipe de la RDC affrontera l'Angola mardi à Lisbonne.
Karim Cissé décisif avec le Syli !
13/10 19:54
Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur Fut 245 TV : la Guinée a battu la Guinée-Bissau 1-0 en amical à Setubal (Portugal) grâce un but de Morgan Guilavogui sur une passe décisive du néo-international Karim Cissé, entré en jeu côté droit juste après la mi-temps et vite mis en confiance par un Saïdou Sow titulaire et capitaine malgré son absence de temps de jeu à Strasbourg. Pour rappel, ce très vert Syli National jouera mardi à Algarve contre le Gabon.
🎥 La passe de Karim Cissé pour l'ouverture du score guinéenne 😍pic.twitter.com/EALNkSHmFA
— La Mise Au Vert (@LaMiseAuVert) October 13, 2023