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poteaux carrés

Le prise Debec du Clermont Foot

19/10 06:49

On a retrouvé la trace de Fabien Debec (46 ans), qui a gardé 5 fois les buts des Verts lors de la saison 2003-2004. Responsable des gardiens de buts du Pôle Espoirs de Lyon (sa ville natale), l'ancienne doublure de Jérémie Janot est également en charge de la préformation au Clermont Foot. Selon la dernière édition altiligérienne du Progrès, il est intervenu avant-hier avec Pascal Gastien à Blavozy (commune de Haute-Loire chère à notre fidèle potonaute Valie) devant une soixante d'éducateurs à l’invitation de Daniel Sansonnetti, président de l’Amicale des Éducateurs de la Haute-Loire.

Bahebeck marque contre les Vert et Blanc

18/10 23:05

Jean-Christophe Bahebeck, qui avait ouvert son compteur but avec Palmaflor (club du ventre mou du championnat bolivien) il y a cinq mois, a enfin retrouvé le chemin des filets avant-hier lors de la 23e journée. Agé de 29 ans, l'ancien flop offensif stéphanois a réduit le score d'une frappe déviée par deux défenseurs des Vert et Blanc d'Oriente Petrolero.

Puel esquive Ruffier

18/10 22:36

Stéphane Ruffier jouera demain à Bayonne un match contre le Variétés Club de France au profit d'Haur Eri (association ayant pour but d'égayer le quotidien des enfants hospitalisés). Présent habituellement dans le groupe de Jacques Vendroux, Claude Puel n'en fait curieusement pas partie cette fois-ci. Le Castrais ne retrouvera donc pas son ancien gardien contrairement à Dominique Rocheteau.

 

 

Janot défend Bouhazama

18/10 21:55

"Bouhazama, une méthode et ses dérives". C'est le titre d'un longue enquête de Ouest-France parue aujourd'hui sur l'ancien entraîneur des U19 de l'ASSE, actuellement coach de la réserve angevine et directeur du centre de formation du SCO. Extraits.

"À chaque fois, les retours sont les mêmes : "insultes", "humiliations", "intimidations",  "menaces", "management par la terreur". Un ancien collaborateur se désole : "J’ai assisté à certains de ses débriefs de match. On va très loin dans l’humiliation. Ça fait plus de vingt ans que je suis dans le milieu, je n’ai jamais vu ça." "Abdel Bouhazama profite de sa position, car il est puissant", raconte le père d’un jeune qui est parti usé. "Et dès lors qu’on n’est plus dans sa façon de penser ou de voir les choses, il pilonne, il pilonne, il pilonne. Il pilonne jusqu’au moment où ça craque."

"Il était très violent" rapporte un ex-surveillant des lieux. "C’était des menaces de griller leur carrière, de ne jamais les faire jouer, de les virer du jour au lendemain, tout ce qui pouvait faire flipper un gamin qui n’a qu’un rêve, devenir pro. Quand il arrivait, ça se lisait sur le visage des enfants, ils avaient la peur au ventre. Je l’ai vu en coller un au mur. Et cette humiliation, c’était en permanence devant les autres. Il leur répétait sans cesse que c’était des bons à rien. Quand il partait, je récupérais les petits en larmes." Des propos qui complètent ceux d’un ancien habitué des entraînements de la réserve : "Une fois, je l’ai vu dire à un jeune : "toi, avec ton contrat, tu as gagné au Loto. Tu es nul, tu ne seras jamais pro".

Si on le raconte plus calme devant le public et des membres du club, Abdel Bouhazama a décontenancé plus d’un observateur, même si dans le milieu, sa réputation le précède. Il n’est pas rare de le voir sortir un jeune au bout de quelques minutes de jeu si sa prestation ne lui convient pas. Des façons de procéder qui ne sont pas passées inaperçues sur les bancs adverses. "Il met une forme de pression dans les rapports, avec ses collègues comme avec les jeunes. Il tient des propos inadmissibles", dit un éducateur d’un autre centre de formation. Et ce, visiblement depuis Saint-Etienne, où il a coaché les U19 jusqu’en 2013, année où il a pris la direction du centre de formation du Sco. "Je l’ai vu insulter un joueur de fils de pute car il avait loupé une passe", raconte un témoin stéphanois. Alain Blachon, alors directeur du centre de formation de l’ASSE, était à l’origine de sa venue en 2007. Il s’en explique : "Je vais le chercher à Tours, car à ce moment-là, il fallait reconstruire une équipe d’éducateurs, il me fallait des gens rigoureux, compétents et on me l’avait conseillé. C’était un bon éducateur sur le plan footballistique, mais il a des méthodes sévères, dures, bizarres et qui ne me plaisaient pas." À Sainté, il a même été convoqué, au moins à une reprise, par l’un de ses supérieurs après un signalement de parents.

La sévérité dans un centre de formation est nécessaire, dans un milieu où seuls les meilleurs, dans les pieds et dans la tête, sortiront. Au contact d’Abdel Bouhazama, certains s’y retrouvent, même. C’est notamment le cas de l’un des plus éminents prospects issus de l’académie angevine, Nicolas Pépé. "Abdel Bouhazama a réussi à me remettre dans le droit chemin, disait l’international ivoirien en 2019 au moment de sa signature à Arsenal. Par exemple, je me souviens d’un match de U19 contre Guingamp quand il m’a crié dessus. Je lui ai répondu, il m’a sorti du terrain et nous avons perdu le match. Il m’a ensuite reproché ce petit incident. J’ai dû m’excuser devant le groupe parce que j’avais pénalisé l’équipe. J’ai beaucoup appris de ces épisodes. C’est un coach qui a beaucoup compté pour moi, pas seulement en matière de football."

Si personne ne nie la dureté du personnage, au point de programmer des séances d’entraînement à 6 h, avant une journée de cours, certains défendent la méthode. En tout cas, ils y trouvent des vertus salvatrices, au contact de certains profils. "Il a parfois un management qui peut aller jusqu’au conflit, mais pour certains, c’est intéressant, témoigne un agent dont le joueur a été proche de signer pro au Sco et évolue désormais dans un club de National. Si c’était à refaire, je le remettrais à Angers. Abdel lui est rentré dedans, parfois un peu trop, mais derrière, il a changé le joueur. Mais pour que ça fonctionne, il faut être fort mentalement." "Si un jeune a besoin d’être piqué, stimulé, je n’aurais aucun problème à le mettre au Sco, expose un autre conseiller. Par contre s’il a besoin qu’on le préserve, qu’on l’encourage, je ne l’enverrai pas là-bas."

A la lecture de cet article, Jérémie Janot a tenu à réagir sur twitter.

"Je connais Abdel. C’est un éducateur hors pair. Un homme d’honneur. Je m’inscris en faux avec cet article. Tout les jeunes qu’il a eu à Saint-Étienne te diront pareil."

Lesage, heureux présage ?

18/10 21:09

Mikaël Lesage sera au sifflet ce samedi à 15h00 au stade de la Licorne pour le match d'ouverture de la 13e journée de L2 qui opposera l'Amiens SC (4e, 23 points) à l'ASSE (19e, 8 points). Heureux présage ? Le natif de Falaise (Calvados) a déjà dirigé un match des Verts cette saison, ponctué par une écrasante victoire de Sainté contre Bastia (5-0).

Hinschberger, un Picard en pétard !

18/10 11:07

L’instructif site Le 11 amiénois est revenu hier sur la piètre sortie des Picards à Nîmes en évoquant la grosse colère d’Hinschberger.

Ce dernier a sorti à l’heure de jeu son meilleur buteur, le Nigérian Tolu Arokodare, auteur d’une qualification jugée sans la moindre saveur pour ne pas dire inutile par le site. L’attaquant n’a pas aimé et a quitté la pelouse en pestant et en refusant de saluer son coach.

Ce dernier a prévu de le recadrer : « Je vais m’expliquer avec lui. Je fais mes choix et si on parle de lui il a été titularisé douze journées, j’attends quelque chose en retour ! Chacun son boulot, tout simplement. Je suis sur le terrain, ils jouent. Je suis sur le côté, je prends les décisions. Si quelqu’un n’est pas content de mes décisions, il doit juste me prouver le contraire. Je ne pense pas être le seul à avoir vu son match. Je n’ai pas aimé son match, il n’est pas content de sortir. Je m’en fous, ce n’est pas mon problème. Il râle mais il joue sur ses points faibles sur ce match ! Ce n’est pas le seul, je ne vais pas le stigmatiser mais on n’est jamais entré dans la surface adverse en première période. Avec Papiss Cissé, ils ont été spectateurs en première période, ils ont été statiques ! Il n’a pas fait le match pour pouvoir se plaindre. J’ai encore des yeux pour voir et prendre mes décisions. A priori ça marche comme ça. »

Potter n'a pas de baguette magique

18/10 10:48

Wesley Fofana, récemment débarqué à Chelsea, rêvait de partir au Qatar avec l'EDF. Jusqu'à sa blessure au genou contre Milan en début de mois. Graham Potter, le coach de Chelsea a confié en conférence de presse il y a 2 jours son pessimisme quant au fait de le revoir rapidement sur les terrains : "il progresse, mais je ne pense pas qu'on le reverra avant la Coupe du monde".

Ce qui signifierait donc que Fofana n'aurait aucune chance d'être la surprise de dernière minute de la liste de Deschamps.

Le journaliste Simon Philips se veut plus optimiste et croit savoir qu'au sein du club on pense qu'il pourra rejouer le mois prochain : "c'est un peu délicat et cela dépendra de sa récupération lorsqu'il reviendra à l'entraînement collectif, mais au sein du club il y a un peu d'espoir qu'il jouera avant la Coupe du monde."

Poitiers veut tirer Sainté

18/10 07:27

Tous les clubs amateurs rêvent de tomber sur le plus illustre d'entre eux demain lors du tirage au sort du 7e tour de la Coupe de France. Après le président de Savigneux-Montbrison Gérard Arnaud hier sur France Bleu, l'entraîneur de Poitiers Xavier Dudoit s'exprime en ce sens dans La Nouvelle République. "Je ne sais pas si Saint-Etienne figurera dans notre chapeau mais ce tirage m'irait bien." Le Stade Poitevin est actuellement leader se son groupe en N3, devançant la réserve girondine à la différence de buts.

Leautey se méfie encore de Sainté (2)

18/10 07:09

Il l'avait dit il y a un mois, il l'a répété ce week-end après la défaite de son équipe contre les Crocodiles : l'ailier droit amiénois Antoine Leautey se méfie encore de Sainté, qu'il devance pourtant de 15 points avant de le recevoir ce samedi après-midi en match d'ouverture de la 13e journée de L2.

"Nîmes ne s’est pas pris la tête sur le plan de jeu, ils nous ont laissé le ballon avec l’envie de nous avoir en contre. On a joué assez haut en laissant pas mal de place dans notre dos. On s’est fait avoir et c’est dur à encaisser. C’est un coup d’arrêt c’est sûr. Maintenant, je préfère perdre une fois 3-0 comme à Metz ou là 2-0 à Nîmes que trois fois 1-0. On a nos qualités et nos défauts et c’est là qu’on va voir si on est une équipe. Il ne faut pas se prendre la tête non plus. Qui aurait pu imaginer qu’on ait 23 points après 12 journées, soit quasiment 2 points par match ? Jusqu’ici, on gagnait contre les équipes censées être moins fortes que nous. Maintenant, il va falloir vite rebondir en sachant que ce sera difficile la semaine prochaine contre Saint-Etienne."

Green sur le grill (2)

18/10 06:44

Ayant encaissé 14 pions en 8 matches de L2 (dont 2 où il a vu rouge), Etienne Green est fragilisé. Alors qu'il n'a pas fait la moindre clean-sheet cette saison, Mathieu Dreyer en a réussi deux (lors des seules victoires stéphanoises contre Bastia et Bordeaux) et n'a pris "que" 6 pions en 5 rencontres dont 4 titularisations.

Loïc Perrin évoque la problématique des gardiens dans la dernière édition du Progrès.

"Le poste de gardien est comme un autre, soumis à la concurrence. Par expérience, je sais que ce n’est pas la même chose de jouer en numéro 2 puis d’assumer le statut de numéro un. Encore une fois, on est à Saint-Etienne. C’est le meilleur du moment qui jouera. Recruter ? À l’heure où l’on parle, ce n’est pas d’actualité. Mais d’ici deux à trois mois, je ne peux pas dire…"

Savigneux-Montbrison veut tirer les Verts !

17/10 22:30

5 clubs ligériens seront concernés par le tirage au sort des 7e et 8e tours de la Coupe de France qui sera effectué ce mercredi : l'ASSE bien sûr, mais aussi l'Andrézieux-Bouthéon (N2) d'Anthony Maisonnial,  Clément Cabaton et Maxence Chapuis, l'US Feurs (N3) de Hichem KhoutriThibault Blanchard, Yoann Greco et Benjamin Aulagnier (buteur ce week-end lors du 6e tour en Lozère), le FC Roche Saint-Genest (R2) de Mehdi Raymond, entraîné par Clément Peillon (formé chez les Verts) et l'AS Savigneux-Montbrison où évolue Guillaume Dauphin, ancien capitaine des U17 de l'ASSE sacrés champions en 2013 sous la houlette de l'excellent duo Gilles Rodriguez - Lionel Vaillant.

A fond la fourme, le président de Monbrison Gérard Arnaud espère tomber contre les Verts, comme il l'a confié aujourd'hui à France Bleu.

"Lorsque j'étais vice-président du club, j'ai connu ce 32e de finale en janvier 2013 et nous en avons gardé un grand souvenir. En début de saison, j'avais dit aux joueurs que je souhaitais réaliser un beau parcours en Coupe afin de nous mettre en lumière à nouveau. Tout cela est en train de se réaliser. Maintenant, nous souhaitons affronter un gros, quitte à perdre 10-0. Nous aimerions tomber contre l'ASSE, notre club partenaire. Que ce soit contre les Verts ou une autre équipe de Ligue 2, nous voulons nous frotter à ce genre d'écuries, tout donner et, si nous perdons, sortir la tête haute."

 

La Coupe de France des anciens Verts

17/10 22:19


Guillaume Dauphin, et son équipe de Savigneux Montbrison (R2), ont battu une équipe de R1, Volvic

C'était ce week-end le 7ème tour de la Coupe de France qui voyait l'entrée des clubs de National. Quelques anciens Verts étaient concernés par ce tour : 

- Chambéry Savoie (N3) (Théo Blachon, Théo Braillon) - Goal FC (N2) : 1-1 (5-4 tab)
- Cournon Auvergne FC (R2) - Moulins Yzeure (N2) (Stevens Leleux) : 1-1 (3-2 tab)
- Ain Sud Foot (N3) (Nouredine Messalti) - Venissieux FC (R1) : 0-1
- La Duchère (N2) (Joris Mendy, Axel Kacou) - Thonon Evian GG FC (N2) (Cyril Martin Pichon, Hugo Roussey, Hamidou Keita) : 2-0
- Savigneux Montbrison (R2) (Guillaume Dauphin) - Volvic (R1) : 2-2 (6-5 tab)
- Sud Lyonnais (R2) - AS St-Priest (N2) (Habib Koné) : 0-4
- Issoire US (R2) - Le Puy Foot 43 (N) (Maxence Rivera) : 0-2
- Avenir Côte Foot (D2) - SA Thiers (R1) (Hugo Contardo) : 0-4
- FC Parlan Le Rouget (D1) - Roche St-Genest (R2) (Mehdi Raymond) : 0-3
- Nord Lozère (R2) - US Feurs (R3) (Hichem Khoutri, Thibault Blanchard, Benjamin Aulagnier, Yoann Greco) : 0-2
- Chabeuil FC (R2) - FC Limonest St-Didier (N3) (Thomas Vogel, Nail Vernet) : 0-5
- ES Beaumontléger (D2) - Andrézieux FC (N2) (Anthony Maisonnial, Clément Cabaton, Maxence Chapuis) : 1-2
- Vaulx en Velin FC (N3) - FC Bourg en Bresse (N) (Jordan Morel) : 2-1

Ricky a mis en déroute l'armée verte et blanche

17/10 21:36

Surnommée "l'armée verte et blanche", le FC Groningen n'aura résisté qu'une mi-temps hier à Twente avant de s'incliner face à un excellent Ricky Van Wolfswinkel (33 ans), élu homme du match. Passeur décisif sur les deux premiers buts de son équipe, l'ancien attaquant stéphanois a marqué le troisième but d'un tir croisé du gauche.

 

Amougou et Agesilas aux éliminatoires de l'Euro U17 !

17/10 21:19

Titularisé hier avec le numéro 9 à Montpellier lors de la nouvelle défaite des U19 stéphanois, Meyvin Agesilas (à gauche sur la photo) accompagnera le prometteur milieu de terrain Mathis Amougou en Macédoine du Nord lors du premier tour des éliminatoires de l'Euro U17. Ces deux garçons stéphanois font en effet partie des 20 joueurs sélectionnés par Jean-Luc Vannucchi pour affronter le Luxembourg (le 24 octobre), le pays hôte (le 28 octobre) et l'Islande (le 31 octobre). On aura noté que seul le VAFC a réussi comme l'ASSE à placer deux de ses éléments dans cette sélection où les vilains brillent par leur absence !

Pour Dieu, c'est horrible !

17/10 19:54

Si les trois présidents Nanard, Roro et Jef se murent dans un assourdissant silence, Dieu assume et monte au front ce soir dans Le Progrès. Extraits.

"Il n’y a pas de hasard, si on est là, c’est qu’on le mérite. On avait communiqué sur un projet de deux ans, on savait que ça allait être compliqué mais on n’imaginait pas à ce point-là (...) À force, ce n’est pas usant de vivre dans la crise permanente ? C'est horrible (...) Je prends bien sûr ma part de responsabilité dans cet échec (...)  Il faut aussi que les joueurs assimilent le fait de jouer à Saint-Etienne. Ce n’est pas un club comme les autres (...) Je n'ai pas fixé un nombre de points à prendre avant la trêve.

On souhaite juste sortir au plus vite de la zone rouge. Et rester soudé en interne (...) Laurent Batlles pourrait-il être menacé ? Il n’en a jamais été question. Laurent a présenté un projet sur deux ans. Si on lui dit merci au bout de deux mois, c’est qu’on est fou (...) Quand je vois notre effectif et celui des autres équipes de Ligue 2, on n’a pas grand-chose à leur envier (...) J’aurais pu rester tranquille chez moi. Je suis venu pour aider. Quand on a été compétiteur, on a envie de relever des défis. Je ne suis pas là pour moi mais pour le club."

Assane en pleine lucarne

17/10 19:40

Entré en jeu à la 71e minute, Assane Diousse a marqué hier à la 89e d'une somptueuse reprise de volée du gauche en pleine lucarne le but égalisateur de l'OFI Oraklion sur le terrain de Giannina.

Pour rappel, le milieu de terrain sénégalais n'avait claqué qu'un seul pion en 55 matches disputés sous le maillot vert. Il avait inscrit à la 86e le second but de la victoire (2-0) des Verts contre Toulouse le 14 janvier 2018.

On aura noté que cette 8e journée du championnat grec a été marquée par la 4e victoire en 4 matches du loser devenu cador Harold Moukoudi, titularisé pour la 3e fois consécutive.

Genèse de la vilainie

17/10 16:29

Dans son édition d'hier, la Pravda a enquêté auprès de Benjamin Biolay et Bruno Genesio sur l'identité lyonnaise. Comment devient-on vilain ? Est-ce une tare héréditaire ou une maladie contagieuse ? Comme souvent on se rend compte que sans nous, ils ne sont en définitive pas grand chose :

"Ce n'est pas vert c'est kaki" a expliqué l'entraîneur du Stade Rennais en parlant de son pantalon. Idem pour les journalistes ou le manager de l'artiste, qui nous recevait dans ses locaux du boulevard Saint-Germain, au sujet ici d'une écharpe, là d'une chemise. Pour l'attaché de presse, "il n'y avait pas de risque". Un jour, elle est venue à un concert avec un tee-shirt vert, Benjamin Biolay lui a dit : "c'est interdit". C'est du folkore, tout le monde en est conscient, mais c'est un peu plus que ça. On ne rigole pas avec la rivalité Lyon - Saint-Etienne. "Ca nous appartient, c'est un truc local, comme les conscrits à Villefranche-sur-Saône", insiste Biolay. "Ca compte." Toutefois personne ne se réjouit du malheur des Verts, désormais en Ligue 2. "Y a plus de derby, c'est con" lâche sincèrement Genesio. L'auteur-compositeur-interprète abonde : "quand ils sont mal classés, ça nous fait marrer, mais quand ils sont tombés, je ne me marrais plus du tout." De quoi pousser l'ancien joueur et entraîneur de l'OL au sacrilège : "on en arrive à devenir presque supporters des Verts pour qu'ils remontent."

Mauvais sang ne saurait mentir, Genesio se contredit quelques instants après : "Non je suis supporter lyonnais. On m'a posé la question quand il y a eu le derby la saison passée : "alors vous allez supporter Saint-Etienne, parce que vous êtes à la lutte avec Lyon" ? Mais c'est impossible pour moi de supporter Saint-Etienne. Alors je veux que Rennes termine devant Lyon, c'est mon job, c'est le club pour lequel je travaille. Mais je reste supporter de Lyon. C'est ce que disait Benjamin, on a une histoire avec ce club."

 

Juju tuteur

17/10 07:07

D'après Le Progrès, "Julien Sablé attend le projet qui lui permettra de retrouver les terrains en visionnant de nombreux matches de National et de Ligue 2. Au cas où un dirigeant d’un club en difficulté fasse appel à lui Il a été entre-temps sollicité par la Fédération française de football, qui lui a demandé d’encadrer vingt-cinq séances de formation au BEPF en tant que tuteur."

Gilbert navré par ces Verts

17/10 07:02

L'ancien gardien stéphanois Gilbert Ceccarelli, qui a assisté avant-hier à la défaite des Verts contre le Paris FC, livre aujourd'ui ses impressions dans Le Progrès. Extraits.

"Ce qui m’inquiète, c’est qu’on manque de percussion, de vitesse, d’impact, de grinta. On tourne en rond, l’adversaire voit trop ce que l’on veut faire. En Ligue 2, il faut que ça aille plus vite, quitte parfois à pratiquer un hourra football. Samedi, j’ai vu un match trop scolaire. En première mi-temps, à force de reculer comme si on avait peur d’eux, les Parisiens ont pris confiance tranquillement. Sur le terrain, je n’ai pas vu cette passion stéphanoise qui te permet normalement d’étouffer l’adversaire. On ne les a pas harcelés, ni acculés sur leur but.Les joueurs vont devoir obligatoirement se remettre en question et se lâcher. Il faut qu’ils prennent conscience du contexte de la Ligue 2, que c’est un championnat plus engagé et qu’ils enfilent le bleu de chauffe. On est trop gentil."

Puel souhaite le meilleur aux Verts

17/10 06:45

Claude Puel clôt de la sorte le chapitre vert "En mission" de son autobiographie Libre parue il y a quatre jours aux éditions Solar.

"Je ne commenterai pas ce qui a été fait après moi et la direction prise par le club. J'ai souhaité ardemment que celui-ci se maintienne, pour ses supporters et ses salariés comme pour tous ces jeunes joueurs qui représentent l'avenir du club. Je remercie tout mon staff, compétent, travailleur et dévoué, tous ces joueurs ou leur entourage qui m'ont témoigné gratitude et soutien.

Mes ex-présidents sont atypiques, c'est vrai, avec une sensibilité différente et des personnalités opposées. Je m'en suis accommodé et j'ai pu apprécier nos entretiens, notamment lors de nos échanges quant au devenir du club pris dans la tourmente et d'incessants scénarios extrêmes que nous devions affronter ensemble.

L'ASSE est un grand club. Passé la tristesse de la relégation, il peut aujourd'hui poser les bases de son futur avec une masse salariale enfin maîtrisée et la possibilité de réinvestir sur des transferts de joueurs ciblés. Leurs coûts pourront s'étaler sur la durée de leurs contrats, apportant une vraie plus-value à l'équipe pour encadrer toutes ces jeunes pousses prometteuses et à potentiel.

La création par la Ligue Nationale d'une société commerciale, avec le fond luxembourgeois CVC Capital Partners, permettra l'obtention, pour tous les clubs, d'une manne financière conséquente et réparatrice. Et donc pour les Verts, un assainissement financier. Comme pour chacun de mes clubs parcourus, je resterai attentif au devenir des Verts en leur souhaitant le meilleur."

Heureusement que la réserve est là…

16/10 23:58


Mathis Saban, auteur du penalty

Alors que la plupart les équipes n’ont pas joué cette cinquième journée de championnat de National 3 (groupe Auvergne Rhône-Alpes) pour disputer le 6ème tour de Coupe de France, l’équipe réserve, sans Jibril Othman, laissé à disposition de Laurent Batlles et entré en jeu contre le Paris FC, est venue à bout de son homologue clermontoise.

Débutée  sur un bon rythme, la partie voit les réservistes se créer plusieurs occasions et c’est sur l’une d'elles qu'Anas Namri se voit accorder un penalty. C’est Mathys Saban qui  le transforme. Quelques minutes plus tard, il est l'auteur d'une grosse frappe, mais le gardien l’empêche de réaliser le doublé. Malgré de nombreuses occasions, la mi-temps n'arrive que sur le score de 1-0.

A la reprise, la défense se fait surprendre sur une grosse erreur. Les joueurs de Clermont Foot égalisent à la 48ème minute. Nullement décontenancés par cette égalisation, les Verts repartent à l’assaut des buts clermontois. Peu avant l’heure de jeu, le coach procède à deux changements, et à peine 5 minutes après son entrée en jeu, Cheikh Fall marque le second but stéphanois. Coaching gagnant !

L’équipe, solidement installée dans le camp de Clermont, continue à se montrer dangereuse mais plus rien ne sera marqué. La victoire permet à l'ASSE de passer, au classement, devant son adversaire du jour.

ASSE-Clermont 2-1.
Buts : M. Saban (10e), C. Fall (63e) pour l’ASSE; Mabrouk (48e) pour Clermont Foot
La composition : Fall – Namri, Sow, Owusu, Calodat - Maïga, Sidibé Ah. (C. Fall, 58e), Gauthier – Aiki (Correia, 58e), Sidibé Ab (Bladi, 79e)., Saban (Mukanya, 90e).

La réaction de Razik Nedder : “Le  premier sentiment est la satisfaction d’avoir gagné chez nous. C’est vrai que nos deux matchs précédents à domicile nous avaient laissé un goût d’inachevé.  Alors que nous avions dominé sans réussir à l’emporter, nous étions très frustrés de cette situation. D’autant plus que nous sommes allés chercher des victoires à l’extérieur, chez des  adversaires où il n'est jamais facile de l’emporter.
On est satisfait de cette victoire dans le contenu, alors que nous avons moins dominé le match que les précédents sans réussir à gagner à domicile. Sur la première mi-temps nous avons fait mal à notre adversaire, je pense que le score aurait pu être bien plus important. A la mi-temps j’ai eu peur de le regretter même si finalement cela s'est bien terminé. Clermont est une équipe qui, lorsqu’elle a le ballon, ouvre énormément le jeu. Lorsque nous l'avons récupéré, on avait beaucoup d’espace pour attaquer avec de la percussion et de la vitesse. Les attaquants ont tenté de jouer à chaque fois rapidement et d'utiliser les espaces.
Le match a été équilibré, mais il y a des matchs qu’il faut apprendre à gagner, ça fait partie de la formation des joueurs de remporter ces matchs là. On a fait preuve de tranchant, on s'est fait plus mal que notre adversaire sur le terrain et je pense que cette victoire est méritée. Au niveau du classement, nous dépassons notre adversaire du jour. Les autres équipes auront quasiment toutes un match en retard avec la Coupe de France. Les matchs en retard ne sont jamais évidents à gagner. Nous avons pris des points c’est toujours intéressant de pouvoir préparer notre prochain déplacement en étant devant les autres équipes.”

La mission maintien est passionnante, pas dégradante

16/10 22:02

Jérôme Alonzo s'est confié à France Bleu au lendemain de la très inquiétante cinquième défaite des Verts de ce premier tiers de saison. Extraits.

"Cela me rappelle exactement la saison 97/98 en D2, où nous nous sommes battus jusqu'au bout pour ne pas descendre. Au départ, nous avions évidemment d'autres objectifs et puis, au bout de deux mois, nous n'y étions pas. A mon époque comme pour aujourd'hui, il n'y a pas de honte à changer d'objectif, et il faut le changer. Changer de mentalité, passer en mode guerrier, en mode maintien. Aujourd'hui, chacun doit avoir conscience de l'endroit où il se trouve, à Saint-Étienne. Tous les joueurs ont-ils conscience d'être dans un club historique ? Je sais que l'entraineur et le staff l'ont, mais pour les joueurs, je ne le sais pas. Les joueurs ont-ils, dans leur tête, la possibilité de changer de curseur ? Je ne le sais pas.

Cette saison va être longue, c'est une certitude, mais elle peut aussi être gratifiante. En 97/98, nous nous sauvons lors de la dernière journée et l'année suivante, nous sommes champions de D2. Cette saison peut donc être le début de quelque chose, mais il faut en prendre conscience. Il faut surtout en avoir envie. La mission maintien est passionnante, pas dégradante. Une page de l'histoire de l'ASSE se joue cette année. Il faut en avoir pleinement conscience. Aujourd'hui, à l'ASSE, nous sommes au-delà du terrain, au-delà du football. Laurent Batlles le sait, mais est-il le seul à le savoir ? Ce sont aux leaders de son équipe d'insuffler quelque chose. La survie d'un club historique est en jeu et je ne sais pas si tout le monde en a bien conscience parmi les joueurs. 

A Saint-Étienne, le public est fidèle, mais il est aussi sensible. Les supporters sont touchés par ce qu'il se passe en ce moment. Tourner le dos aux joueurs, c'est aussi tourner le dos à un contexte. En 97/98, je me souviens d'un hiver très pénible où nous nous sommes fait attaquer à coups de pierre, où les voitures ont été dégradées. Si tu veux une carrière tranquille, tu ne viens pas à Saint-Étienne. Des clubs tranquilles, il y en a plein. Quand tu es à Saint-Étienne, il faut savoir assumer et accepter certaines choses. Je ne cautionne pas la violence chez les supporters mais la contestation, il faut savoir la comprendre et l'écouter."

Merci les filles !

16/10 20:48

Alors que les Pros, les U19 et les U17 se sont inclinés ce week end, le rayon de soleil vert était encore à chercher du côté des filles.

L'équipe de Laurent Mortel s'est imposée 2-0 à Grenoble sur des buts de Laury Jésus et Elise Legrout. Cette 5ème victoire en 5 journées lui permet de conserver la première place de la poule B de D2, toujours à égalité avec Marseille victorieux de Montauban (3-0).

La réaction du coach :  "Ca a été une rencontre à sens unique. On n’a pas réussi à faire sauter le verrou très resserré en première mi-temps. La clé a été le changement de système que l’équipe s’est approprié. J’ai demandé aux attaquantes de se concentrer sur des remises en appui. Avec plus de variété, nous avons obtenu des coup-francs, un penalty et d’autres actions. L’équipe a su être patiente et a trouvé les solutions. Ce n’était pas une mince affaire face au projet de jeu affronté mais c’est un succès amplement mérité. Le haut du classement reste serré et nous permet de rester concentrés."

La prochaine étape du mano à mano se disputera le week-end prochain avec la réception d'Yzeure (8è) pour les Vertes et un déplacement à Albi (7è) pour Marseille.

Le lundi c'est Roro dit !

16/10 20:30

"Romeyer, qui n’avait pas mis les pieds au stade depuis le barrage en mai, est resté longtemps à Geoffroy-Guichard pour débriefer le match avec ses proches. Ce lundi, il rencontrera le trio Soucasse-Rustem-Perrin en compagnie de Batlles" nous apprend ce soir Le Progrès. "Autant pour demander des comptes, alors que le club devait vivre une tranquille saison de transition, que pour rappeler à la direction opérationnelle qu’elle aura les moyens de recruter au mercato d’hiver. Et même avant si le besoin d’un joker se fait sentir."

U16 : Verts et vilains dos à dos

16/10 20:05


Axel Dodote, titulaire en milieu de terrain

C'était aujourd'hui, à midi, le derby, le match tant attendu qui opposait les Verts de Kevin De Jesus aux vilains voisins, des vilains voisins qui n'avaient sûrement pas oublié que l'an dernier, ils avaient encaissé deux 3-0 alors qu'ils étaient en U15. Pas de fanfaronnade donc même si l'OL devance les Verts au classement, mais une équipe bien renforcée par des joueurs descendant des U17 nationaux. Côté stéphanois, c'était quasiment l'équipe habituelle puisque Romain Lunetta, Djylian N'Guessan et Quentin Prud'homme opéraient hier avec les U17. Résultat : un derby très serré qui s'est terminé par un match nul (1-1) 

Face à une belle équipe lyonnaise, les Verts ont affiché, en première mi-temps, une solide maîtrise sans être mis en danger sur le plan défensif. Le gros regret, ce sont les trois face-à-face que les Stéphanois n'ont pas su gérer et qui auraient les faire passer en tête au repos qui survenait sur le score de 0-0.
Les Verts revenaient un peu timorés et se faisaient surprendre dès la reprise, à la 48ème minute, sur une belle action lyonnaise. En terme de possession, ce deuxième acte fut à l'avantage des vilains qui ne se montraient cependant guère dangereux. Le jeu n'avait ni l'intensité, ni la qualité de celui proposé avant le repos. Les Verts se créaient néanmoins deux grosses occasions qu'ils n'arrivaient pas à conclure, avant de réussir à égaliser sur penalty dans le temps additionnel : sur un ballon de Rayan Boukadida dans le dos de la défense, Nadir El Jamali s'infiltrait, crochetait le défenseur qui faisait faute. Rayan Boukadida ne se faisait pas faute de transformer le penalty qui suivait.

La composition : Massé - Ruiz, Boukadida, Ali Ahamada, Grillot - Depalle, Tatuszka (El jamali, 55ème), Dodote - Venière-Jusseron (Gardant, 65ème), Guerroudj (Poble, 65ème), Méité

La réaction de Kevin De Jesus : "J'ai une impression mitigée, car, en première mi-temps nous avons eu de grosses occasions qui auraient pu et auraient même dû nous permettre de prendre l'avantage, mais aussi parce que nous obtenons l'égalisation in-extremis, sur penalty dans le temps additionnel. La première mi-temps a été intense et à notre avantage. Après le repos, le jeu a baissé d'intensité, les Lyonnais ont eu la possession, et ont pris rapidement l'avantage. Nous n'avons jamais abdiqué et avons réussi à égaliser en toute fin de match sur penalty. "

Les U19 encore défaits à Montpellier

16/10 19:52

Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum : les U19 ont concédé cet après-midi à Montpellier lors de la 9e journée leur 4e défaite de la saison et pointent désormais à la 10e place (sur 14 équipes) à 7 points du duo de leaders héraultais (l'AS Béziers et le MHSC).

Il a fallu attendre la 25e minute pour assister au premier tir de cette première période peu enthousiasmante (frappe non cadrée des locaux). A la demi-heure de jeu, les Verts ont enfin réalisé une belle action collective : passe de Kenzo Kies pour Simon Cateland qui a glissé le ballon à Youssef Njoya, rattrapé in extremis par un Pailladin. Les Héraultais ont dominé le dernier quart d'heure avant la pause, obligeant Cédric Boustouler à sortir une parade décisive sur une tête consécutive à un coup franc. Sainté s'est procuré sa première occase à la 42e sur un tir de Simon Cateland arrêté en deux temps par le portier montpelliérain.

Profitant de la mauvaise entame de seconde période des Stéphanois, Tyrone Sacko (ex-capitaine des U17 du SC Lyon sans lien de parenté avec Lamine ou Mamadou) a logiquement ouvert le score à la 54e minute sur une action venue de la droite. Youssef Njoya a eu une belle opportunité d'égaliser à l'heure de jeu mais sa frappe complètement écrasée a été facilement arrêtée. Les Montpelliérains ont finir par convertir une de leurs nombreuses balles de break par l'intermédiaire de leur entrant Yanis Azouazi à la 83e. Entretemps, les Verts auraient peut-être pu bénéficier d'un péno réclamé en vain par leur entraîneur pour un tirage de maillot.

Sur une passe de Beni Seda Mfukumoko, entré en jeu dès le retour des vestiaires à la place du revenant Kenzo Kies, le capitaine stéphanois Pierre Mbemba a réduit le score à la 87e d'une frappe imparable au point de penalty. Sainté n'a pas eu l'occase d'égaliser, Montpellier a raté de peu le but du 3-1 dans le temps additionnel. N'ayant pris qu'un petit point lors de leurs cinq derniers match, les U19 devront impérativement réagir le week-end prochain à L'Etrat contre une équipe niçoise encore moins bien classée (11e) et battue par Air Bel, club amateur phocéen qui l'avait emporté le week-end dernier à Aimé Jacquet.

La réaction de Jean-Luc Dogon : "Je suis déçu du score mais j'ai trouvé qu'il y avait du mieux en termes d'état d'esprit. C'est ce que j'avais mis en avant le match, il fallait qu'on retrouve ces valeurs de se battre, d'essayer. Tout n'est pas parfait, loin de là, on a encore pris deux buts sur des grosses erreurs. C'est plus ça qui est gênant mais au moins les garçons n'ont pas lâché, on a eu le mérite de revenir à 2-1, on a essayé d'arracher le nul. On n'a pas réussir à le faire face à une belle équipe de Montpellier. On les a quand même mis un peu en difficulté en deuxième mi-temps mais on sentait qu'ils étaient un peu plus matures. Leur réserve ne jouait pas alors que la nôtre jouait dans le même temps contre Clermont, du coup on a joué plus jeune qu'eux. Si on garde l'état d'esprit derrière et qu'on se concentre devantage derrière pour ne pas donner des buts aussi facile, ça finira par tourner en notre faveur."

Nanard n'en a que pour les Emirats

16/10 11:50

Si Roro a fait hier son retour à Geoffroy (il a quitté la tribune avant la fin de ce nouveau revers des Verts), Nanard a d'autres priorités que Sainté. Président du World Corporate Summit qui se tiendra du 21 novembre au 15 décembre à Dubaï, il a fait l'éloge des Emirats Arabes Unis sur la chaîne de l'agence de presse d'un pays où il avoue résider depuis deux ans...

 

Et Benzema climatisa le Chaudron...

16/10 10:48

Fousseni Diawara est revenu hier pour 20 Minutes sur le coup franc égalisateur des vilains à la 92e minute du derby de janvier 2008 dans le Chaudron.

"Je me souviens très bien de ce but. J’étais sur le banc et quand Karim pose le ballon, je préviens mes coéquipiers qu’il va marquer. J’avais beau savoir que ce n’était pas spécialement un tireur de coups francs, quand on connaît la dramaturgie du derby… J’ai vu mon partenaire Bafé Gomis faire son signe de croix dans le mur. A sa manière de prendre ses responsabilités sur le coup, à sa course d’élan, j’étais certain que Benzema allait égaliser. Il faisait déjà très froid en plein hiver à Sainté, mais il a climatisé le Chaudron.

Je l’avais découvert en allant voir le derby des U17 nationaux. J’avais immédiatement été bluffé par sa justesse dans tout ce qu’il faisait, sa technique, son sens du but. Quand après, j’ai vu ce jeune joueur prendre autant d’initiatives en L1 dans une telle équipe, je me suis dit que l’OL s’était peut-être trouvé un attaquant pour 15 ans. Mais j’étais loin d’imaginer sa carrière au Real Madrid, et de le voir se bonifier à ce point avec les années."

 

Amiens aussi voudra se racheter

16/10 09:47

Programmé le samedi 22 octobre à 15h00 au stade de la Licorne, le match d'ouverture de la 13e journée de L2 mettra aux prises deux équipes très décevantes hier et défaites sur le même score (Sainté à la maison contre le Paris FC, Amiens contre Nîmes aux Costières). De façon plus virulente que son homologue stéphanois alors qu'il compte 15 points de plus, Philippe Hinschberger s'est exprimé en conférence de presse.

"Cette première mi-temps nous a plombés, on n’est pas venu pour faire mal à l’adversaire. On a joué de nos trente mètres aux trente mètres adverses. On n’a pas eu de profondeur, de courses vers l’avant, nos attaquants étaient tout le temps dos au but. On a des centres sur lesquels on est hors-jeu, sur le deuxième but c’est Tolu qui donne le ballon…Qu’on joue sur nos points forts bordel ! Nîmes nous a attendus, ils ont profité des munitions qu’on leur a données et ils mettent deux buts. C’était vraiment affligeant.

Je ne peux pas m’expliquer les choses. Je ne peux pas m’expliquer qu’on perde des ballons de manière aussi inexplicable. Je ne peux pas expliquer qu’on ait aussi peu envie de courir vers le but adverse. Je le répète, on n’entre jamais dans la surface adverse en première période. A partir de là, on sait que ça va être compliqué. Je trouve qu’on a vite plié bagages. En fin de match, on a accepté notre sort, on doit changer ce genre d’attitude.

On n’a pas la prétention de vouloir gagner tous nos matchs. On va en perdre d’autres mais il y a perdre et perdre. On n’a même pas perdu le match, on l’a donné à Nîmes ! On leur a servi les buts sur un plateau d’argent. C’est ça qui m’énerve. C’est la troisième défaite en douze matches, on a toujours su rebondir derrière avec trois victoires, espérons que ce soit à nouveau le cas. En tout cas, on n’a pas joué comme une équipe qui voulait devenir leader ! La semaine dernière, il a fallu ramer contre Dijon mais tout le monde a bougé son cul !

Là, je n’ai pas reconnu mon équipe de ce côté. On n’a pas fait notre match tout simplement. Pourtant, on n’a pas toujours cette chance dans une saison, dans une carrière, de jouer la première place. Quand cette chance se présente, tu dois avoir un autre comportement. Les choses ne vont jamais venir simplement. On a sept victoires mais on a été les chercher à chaque fois en raclant la pelouse ! Dès qu’on est un peu moins bien, on le paye. On est comme tout le monde, on n’a pas de marge !"

Bouchouari suspendu en Coupe

16/10 09:13

Si Dylan Chambost a été averti hier pour la première fois de la saison, Benjamin Bouchouari a mangé sa troisième biscotte après celles qu'il avait ingurgitées à Valenciennes et à Pau. Comme l'atteste l'incontournable tableau des cartons de notre fidèle potonaute ozzy, le milieu de terrain marocain ratera donc le match de Coupe de France du 30 octobre. Pour rappel, les Verts connaîtront leur adversaire lors du tirage au sort mercredi prochain.

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