Jeu de pied, jeu de convoqué
13/02 22:01
Suite à son tacle sur Benoît Trémoulinas, le Toulousain Uros Spajic sera convoqué le jeudi 6 mars par la commission de discipline de la Ligue qu'on adule.
La goutte d'eau qui a fait déborder le vase
13/02 21:31
Après le match Bordeaux-Sainté du 26 janvier dernier, le rebouchage des trous de la pelouse du stade Chaban-Delmas s'est fait à la main. Selon la dernière édition de Sud-Ouest, l'opération a duré plus de 100 heures ! Directeur de la jeunesse et des sports à la mairie de Bordeaux, Frédéric Gil ne décolère pas.
"On voyait que le terrain était injouable. On l'a démontré aux arbitres, mais ils ont maintenu le match quand même. Le problème, c'est que la Ligue de football ne nous considère pas comme des interlocuteurs. Après ce match, Alain Juppé a dépêché des huissiers au stade Chaban pour faire constater le mauvais état du terrain. Il a ensuite envoyé une lettre de protestation à Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football. Deux semaines après, ce dernier n'a toujours pas répondu. Le terrain est déstructuré, rien qu'à pied, on s'y enfonce à mi-chaussures !"
Sinama passe à l'Oural
13/02 19:10
Remis de sa grave blessure du 18 mars 2013, Florent Sinama-Pongolle (29 ans) n'a joué que 25 petites minutes en match officiel depuis le début de saison. Avant de reprendre la compétition le 2 mars prochain lors des quarts de finale de la Coupe de Russie, l'ancien attaquant stéphanois s'est illustré avant-hier en réalisant un quadruplé en amical contre Oural Iekaterinbourg.
Zouma parle de Zouma
13/02 18:01
Défenseur central de Sochaux, Lionel Zouma parle de son frère Kurt dans un entretien publié aujourd'hui sur le site Goal. Extraits.
"Je me suis servi de lui comme modèle. On s’appelle beaucoup et il me donne des conseils, c’est lui le premier à avoir débuté en Ligue 1 ! On joue dans le même championnat donc j’ai souvent joué contre des équipes qu’il avait déjà rencontrées. En le voyant joué, être surclassé et devenir international, ça m’a boosté. On s’est même donné un challenge, à l’arrivée je vais même essayer de le dépasser !
Il m'a parfois fait de l'ombre, je ne vais pas le cacher. Mais je pense que c’est normal dans la mesure où il a débuté avant moi alors que je suis l’ainé. Souvent on me chambrait en me disant « Kurt est en Ligue 1 et pas toi, comment ça se fait ? » J’ai toujours répondu qu’il le méritait et qu’il avait de grosses qualités. Ça n’a pas été facile pour moi au début, on n’a pas eu le même parcours, on ne joue pas dans le même club. J’ai fait face à la concurrence et au final, la réussite de Kurt m’a encore plus encouragé.
Avoir un frère qui évolue au plus haut niveau, ça m'a bien plus servi que desservi. Les gens qui ont essayé de me faire croire le contraire, j’ai essayé de ne pas les écouter, même si j’avoue que cela m’a parfois rendu malheureux. Je suis toujours resté sur mes positions, à savoir ne jamais rien lâcher et me servir de Kurt pour devenir plus fort.
Ce qui le différencie de moi dans mon jeu, c'est l'aspect physique... Il est plus costaud que moi. On saute haut tous les deux mais il a un meilleur jeu de tête. Il va plus haut parce qu’il a la chance d’avoir de plus grosses cuisses ! (rires) Il est aussi plus technique donc plus facile à la relance. Moi je suis meilleur dans les duels et dans les un contre un parce que j’y vais plus que lui.
On a la chance de n’avoir qu’un an de différence. Je peux vous dire que nous sommes comme des jumeaux, on rigole tout le temps et nous sommes pareils. Je ne sais même pas ce qui peut nous différencier. On s’appelle tout le temps, on a toujours tout fait ensemble, les mêmes conneries aussi… Mais je n’en dirai pas plus !
On jouait ensemble dans les catégories jeunes. Lors d’un match important pour la montée en 14 ans fédéraux, nous avons tous les deux joué défenseurs centraux. On a tenu la baraque, on n’a pas pris de but et on a gagné 1-0 ! Notre père était venu nous voir. À la fin, on s’est sauté dessus, on criait, on était trop content. Je ne l’oublierai jamais."
Rudi gratta
13/02 14:12
Dans sa biographie, à paraître aujourd'hui en librairie, Rudi Garcia évoque ses souvenirs de carrière. La Pravda profite de l'occasion pour livrer quelques extraits, dont un concerne l'ASSE :
En janvier 2001, lorsque Gérard Soler, alors coordinateur à St-Etienne, lui offrit de co-diriger les Verts avec Jean-Guy Wallemme, l'ex-entraîneur-joueur de l'AS Corbeil (DH puis CFA2) essaya bien de "gratter" un peu plus d'argent mais son interlocuteur repoussa sa "revendication improvisée" : "Rudi, 100 000 francs (Ndlr : 15 000 euros), dis-toi bien que tu ne toucheras plus jamais moins de ta vie !"
Notons que dix ans plus tard, son lointain successeur sur le banc des Verts gagnait déjà environ trois fois plus.
Saint-Etienne, vivier d'anciennes quenelles
13/02 14:10
Dans son édition du jour, la Pravda s'est penchée sur les clubs européens fournissant le plus de joueurs évoluant dans les 5 grands championnats européens.
Si le Barça est sans suprise premier, on retrouve le vilain OL en seconde position avec 31 joueurs, l'occasion pour le quotidien de présenter une infographie de la répartition de ces joueurs.
Et là surprise !
Le club accueillant le plus de joueurs formés chez les vilains n'est autre que... l'ASSE avec 3 repentis: Renaud Cohade, François Clerc et Jérémy Clément.
On peut en déduire qu'à Sainté, on sait pardonner aux gens leurs erreurs de jeunesse...
Fouss de colère (2)
13/02 14:03
Impliqué lundi dernier dans une altercation qui s’est déroulée à la sortie des vestiaires après Tours-Nancy, Fousseni Diawara a été suspendu à titre conservatoire et passera devant la commission de discipline ce jeudi soir. Selon La Nouvelle République, l’ancien Vert. Témoin de la scène, Jean-Luc Ettori parle d'une "explication virulente front contre front avec l'un qui tombe et l'autre qui reste debout…" Et le président délégué tourangeau d'expliquer que Louis a passé son match à chambrer et surtout à insulter ses adversaires. "Je n'excuse en rien l'attitude de Fouss', mais il n'a fait que répondre à une provocation."
Roro se rit des Qataris (2)
13/02 07:20
Après avoir évoqué l'approche des Qataris hier matin sur France Bleu, Roro en remet une couche aujourd'hui dans Le Progrès.
"Le rachat par les Qataris, c’est la seule manière de bien fonctionner. Si on veut avoir un budget de 500 millions d’euros la saison prochaine, on est obligé de travailler avec les Qataris... (il coupe). Je vais redevenir sérieux. J'ai reçu hier un courrier d’une personne mandatée par un Qatari pour discuter d’un rachat de parts. Mais ce n’est pas sérieux. On ne croit pas au Père Noël... Un club qui veut un de tes joueurs, il t’appelle directement et ne passe pas par un intermédiaire. Là, c’est la même chose. Dans le football, il y a du fric. Or quand il y a du fric, c’est gangrené et il y a du monde partout. Si des Qataris étaient vraiment intéressés par l’ASSE, ils viendraient nous voir. Pour moi, c’est sans intérêt. Les Qataris ont des fortunes et ils ne vont pas les mettre à Saint-Etienne. S’ils ont repris le PSG, c’est aussi parce qu’ils ont acheté plein d’autres choses dans la capitale. Je ne pense pas un seul instant que des Qataris vont venir ici. Si c’était le cas ? Nous ne sommes pas intéressés pour vendre le club. Ce n’est pas du tout à l’ordre du jour. Le club fonctionne bien. Sans vouloir rouler les mécaniques, on est plutôt le bon élève de la Ligue 1 et on va continuer. Le club n’est pas à vendre."
Rev'là Tavla !
13/02 07:07
Ayant déjà mangé 10 biscottes cette saison en 19 matches de championnat, Stathis Tavlaridis (34 ans) a claqué son premier pion hier en renard des surfaces lors du quart de finale retour de la Coupe de Grèce. Mais l'Olympiakos de Paulo Machado a égalisé, éliminant ainsi Atromitos à la faveur du pion claqué à l'extérieur.
Casanova séduit
12/02 22:54
Les Verts ont séduit l'entraîneur toulousain Alain Casanova, interrogé aujourd'hui dans La Provence. Extraits.
"Saint-Etienne m'a fait forte impression par sa solidité, sa discipline, sa rigueur, sa force mentale et une volonté d'aller très vite vers l'avant. Les Verts posent des problèmes au moment de la transition offensive, à la récupération du ballon. Chez nous, ils sont venus attendre, contrer, avec un bloc très bas, peu de prises de risques, des contre-attaques éclairs, incisives. Ils sont dangereux dès qu'ils récupèrent le ballon, ça va vite vers l'avant avec Hamouma, Tabanou, Corgnet ou Gradel. Saint-Etienne ne nous a pas permis de mettre notre jeu en place, ils ont agi en fonction de nous.
Chez nous, les Verts visaient un point en comptant sur une ouverture pour un mini hold-up. Je les sens bien, ils sont souverains à domicile, avec un fort soutien populaire. L'OM doit retrouver une certaine solidité, ce qui est en cours, plus de constance, de régularité. Je vois Lille dans une spirale négative et Lyon devra faire face à un calendrier très chargé. Dans mon esprit, la troisième place se jouera entre Saint-Etienne et l'OM. Saint-Etienne me paraît le plus en forme sur le plan de la confiance. Mais l'OM, avec le retour d'André Ayew, le bien que procurent sept points sur neuf, aura une bonne dynamique."
C'est un Canari bye !
12/02 22:25
Sous contrat avec l'ASSE jusqu'en juin 2014, Banel Nicolita n'a plus rejoué en L1 depuis son entrée en jeu à GG lors du dernier quart d'heure le 21 décembre dernier. Après avoir rencontré comme prévu les dirigeants des Canaris, l'ancien milieu de terrain stéphanois a annoncé aujourd'hui au site roumain Ring son départ de Nantes à la fin de la saison.
"Je suis libre l'été prochain. Je ne suis pas blessé, je m'entraîne avec l'équipe première mais je ne suis pas utilisé. J'ai discuté avec le président du club mais nous n'avons pas trouvé d'accord sur une prolongation de contrat. C'est la vie ! On m'a proposé un salaire inférieur à celui que je touche actuellement. L'entraîneur ne me fait pas jouer, je n'ai pas d'explication. J'espère retrouver une bonne équipe, en France ou en Angleterre, on verra."
Les Verts ont lessivé Ariel
12/02 21:25
Ayant perdu récemment à Marseille puis à Sainté, l'entraîneur valenciennois Ariel Jacobs donne son avis sur l'OM et l'ASSE dans la dernière édition de La Provence. Extraits.
"Les Verts ont ouvert le score, malheureusement pour nous, à la 45ème minute. A Saint-Etienne, en deuxième mi-temps, on avait un rouleau compresseur en face. L'ASSE baignait dans la confiance, ça se ressentait sur le terrain et au niveau du public. La situation était donc complètement différente de celle que nous avions vécue au stade Vélodrome. Il y avait plus de fraîcheur mentale dans la tête des Stéphanois. A l'ASSE, il y a de la rigueur et de la discipline. Lorsqu'on parle de l'OM, on pense d'abord à son compartiment offensif. C'est moins le cas à Saint-Etienne. En revanche, j'ai été marqué par le soutien inconditionnel des supporters à Geoffroy-Guichard. Ce sont des valeurs importantes à l'heure actuelle. Le fait d'ouvrir la marque contre eux ne va pas les perturber dans leur organisation et dans leur système. Ils respirent la confiance.
Pour autant que je puisse me prononcer, il y a moins d'attente autour de la troisième place du côté stéphanois qu'à Marseille. Il ne faut pas oublier que les Olympiens étaient en Ligue des champions et avaient un devoir d'être compétitif pour l'Europe. Les Verts, eux, sont arrivés là où ils en sont sans pression. Alors qu'à Marseille, elle est interne et externe. Sur les cinq derniers matches dans le Chaudron, les Verts n'ont pas encaissé le moindre but et ils en ont marqué une douzaine. J'ai senti un public qui restait de façon inconditionnelle derrière son équipe. On sent que ça vibre et que tout le monde y croit. L'OM est sujet à des critiques, plus rapidement que n'importe quel autre concurrent pour la troisième place. Ça se ressent et ça se retourne toujours, tôt ou tard, contre les performances de l'équipe. Au Vélodrome, il y avait pas mal d'espaces. Les approximations défensives marseillaises étaient réelles les semaines précédentes."
Le grand Kurt sur BeIN Sport
12/02 20:38
Kurt Zouma était aujourd'hui l'invité de l'émission Le Club sur BeIN Sport. S'il est ravi d'avoir signé chez les Blues, le numéro 4 de l'ASSE a conscience qu'il a une saison à (bien) finir à Sainté.
"Il y a eu un appel de Monsieur Mourinho. J’avais été prévenu. Il m’a parlé français, j’ai tout compris. Il m’a clairement dit qu’il me voulait. J’ai tout de suite sauté sur cette occasion. Les deux clubs se sont contactés, ils se sont mis d’accord dans les derniers instants du mercato. Tout le monde est content, ce n’est que du bonheur. Monsieur Mourinho m a parlé de Raphaël Varane au téléphone, il me l’a cité en exemple. Je l’ai eu dans un coin de ma tête. José Mourinho c’est l’un des plus grands entraîneurs du monde. Et puis, je suis fan de Chelsea depuis tout petit. C’est vrai que depuis que je suis pro, j’ai toujours eu un pépin, des blessures ou ma suspension. Il me manque peut-être une saison complète, un peu d’expérience. Mais en partant à Chelsea, je vais apprendre, je suis prêt et je vais m’épanouir là-bas. J’ai mon entourage, mes parents, mon agent, mes coéquipiers, mon coach qui me rappellent que je suis à Sainté. Je suis concentré sur ça. Je pense à m’épanouir ici, je suis très bien ici. Je ne pense pas encore à l’avenir. Christophe Galtier m’a dit que j’avais fait un bon choix. Il m’a toujours fait confiance. Je lui dois beaucoup. Je le remercie beaucoup. C’est lui qui m’a lancé. C’est une personne très importante pour moi."
Loïc Perrin parle de son jeune alter ego de la charnière centrale dans le reportage vidéo "Le grand Kurt". On y apprend notamment que le champion du monde U20 a remporté cette saison 72% de ses duels et a réussi 86% de ses tacles.
Roro se rit des Greens et des Qataris
12/02 10:52
Interviewé ce matin par France Bleu Saint-Etienne, Roland Romeyer s'est exprimé sur sa vision de l'avenir de l'ASSE à court et moyen terme.
Roro a répété entre autres viser la 3e place et à nouveau faire de bons parcours en Coupe lors de la saison prochaine, afin de ne pas entamer les finances du club pour retrouver la scène européenne. Il est également prêt à gérer la pelouse de Geoffroy-Guichard à condition qu'elle soit rénovée et chauffée aux frais de la municipalité.
Par contre, il n'est pas favorable à l'entrée de capitaux étrangers, spécifiquement venant du Golfe, au sein de l'ASSE: "J'ai encore eu hier une proposition de Qataris. Ils nous proposent de prendre une part dans notre capital. Ce n'est pas notre façon de voir".
On notera également une pique du président envers les Green Angels, avec qui la rupture semble de plus en plus consommée: "Les Magic Fans font un très gros travail d'animation. Les Greens sont devenus des supporters lambdas, ils n'existent plus"
Un nouveau Papy à l'ASSE
12/02 10:25
Jordan Galtier, le fils de notre bien-aimé entraîneur, est un heureux papa ! L'actuel joueur de Lège Cap-Ferret (CFA2), passé par Bordeaux, Fréjus et Arles-Avignon, a annoncé hier soir sur son compte Twitter, la naissance de sa fille Lily-Rose aux alentours de 23H.
Son grand-père, Christophe, est donc grand-père pour la première fois. C'est le deuxième Papy de l'ASSE, le premier étant bien évidemment Fabien Lemoine, surnommé ainsi dans le vestiaire par Galette.
Landreau pause
12/02 08:34
S'étant blessé lors de la défaite de Bastia à Marseille, Mickaël Landreau souffre d'une lésion musculaire à un mollet qui le tiendra éloigné des terrains pendant cinq semaines selon l'AFP. L'international sera donc forfait pour la réception des Verts (le samedi 22 février à 20h00) et des Pays-Bas (le samedi 5 mars à 21h00). A Stéphane Ruffier d'en profiter !
Guillou le supporter parle des supporters
12/02 00:04
Joueur réputé proche des tribunes, Patrick Guillou devenu consultant pour le championnat teuton livre à panenka-mag.fr son ressenti sur les tribunes Allemandes en proie aux mêmes problèmatiques qu'en France.
"Le tournant a sans doute été la coupe du monde 2006, où il y’a eu une véritable métamorphose des groupes de supporters. La volonté a alors été d’écarter les groupes les plus radicaux et violents, afin d’avoir à nouveau un public familial et qui consomme. Le changement a eu lieu dans beaucoup de stades, avec des publics devenant spectateurs plus que supporters. Malgré tout, certains bastions sont restés forts, comme à Schalke ou Dortmund, où la fibre identitaire à un groupe, une communauté ou à un club est restée présente.(...)« FanProjekt » a vu le jour pour ça, avec les renseignements généraux infiltrés au sein de la plupart des groupes de supporters afin de désigner les leaders et appréhender le problème en amont. Beaucoup de tables rondes ont également été faites entre les différentes parties prenantes. Mais depuis quelques mois, notamment à Dortmund, des groupes de supporters violents et racistes sont réapparus. (...) Des mesures sont prises, comme l’interdiction de déplacement de 400 ultras de Dortmund, ou encore Schalke qui interdit aux supporters de Dortmund l’accès à la Veltins-Arena pour les prochains derbies suite à des incidents. Le mal est pris à la racine et tout est fait pour l’éradiquer.
Pour tout ce qui concerne les engins pyrotechniques et la violence, il y’a tolérance zéro en Allemagne. Dès que les fauteurs de troubles sont appréhendés, c’est interdictions de stades et condamnations, on ne rigole pas avec ça.(...) C’est clair, la volonté des dirigeants est d’avoir des spectateurs consommateurs. Donc forcément, il y’a une sélection par l’argent, on élève le prix des places car on se rend compte sociologiquement que les plus violents sont souvent, voire très souvent, des gens qui ont un pouvoir d’achat faible et un mal-être. (...)
Au début des années 90, j’étais déjà proche des groupes de supporters à Bochum, le hooliganisme était poussé à l’extrême. Ils faisaient des fights et le match était vraiment le prétexte pour se mettre sur la courge. On les voyait arriver le dimanche ou le lundi matin quand on mangeait au restaurant, et un mec te racontait qu’il s’était fait fracasser la pommette, avait fracassé un nez, qu’il avait un bras cassé, il te racontait tout ça. Mais dans ces bagarres, même si ce sont des ultra-violents et qu’il n’y a pas de nom pour définir tout ça, il y’a quand même des codes, comme par exemple l’interdiction d’utiliser des armes blanches (...)
Ensuite, Saint-Etienne est une exception, avec son histoire, ses groupes de supporters qui se sont créés au début des années 90 et sa forte identité. Ca ressemble un peu à l’Allemagne ou à l’Angleterre, que ce soit au niveau du stade ou des comportements. Un des deux groupes ultras à Saint-Etienne a un modèle semblable à l’Italie, avec un capo, des tambours et tout ce que ça comporte. D’ailleurs les Magic Fans sont jumelés avec Brescia. Après, les membres fondateurs ont une quarantaine d’années et sont pères de famille, ce n’est plus cette génération qui est aux affaires. (...)
Je suis toujours surpris qu’aucune table ronde avec toutes les parties prenantes n’aient été organisées afin de discuter et essayer de trouver un terrain d’entente pour que le stade soit un sacro-saint avec ses émotions, ses joies, ses déceptions, un lieu de partage. Voilà ce que c’est un stade de foot pour moi. (...)
Il y’a eu des tensions au cours des derniers mois entre les dirigeants et les supporters, mais quand les kops ne chantent pas, ce ne sont pas les latérales qui offrent une ambiance mirobolante au stade. Mais après quel football veut-on ? Est-ce que l’on garde une ambiance chaude dans le bon sens du terme, ou est-ce que l’on aseptise le stade avec des spectateurs consommateurs occasionnels ? Nous sommes à une période charnière, et je ne suis pas sûr que tout le monde soit gagnant avec un public aseptisé, car même les médias s’en servent pour leur scénarisation, faisant des gros plans sur les supporters et les ambiances.
Aubame trop fort pour Francfort
11/02 22:34
Aubame a une nouvelle fois fait parler de lui ce soir en Coupe d'Allemagne sur le terrain de l'Eintracht Francfort. Titulaire sur le coté droit, il a marqué le seul but de la rencontre, sur corner, pour qualifier Dortmund pour les demi-finales. C'est son 14ème but marqué cette saison avec le Borussia toutes compétitions confondues.
Yes they Cannes !
11/02 21:13
Montpellier ne voulait pas nous laisser seuls. Ce soir, comme Sainté, les Poubelle Boys se sont inclinés à Cannes en 1/8ème de finale de la Coupe de France 0-1 au bout de la prolongation.
Caïazzo parle de caillasse
11/02 19:53
Selon la dernière édition de France Football, l'ASSE est le meilleur vendeur de la saison de L1 sur les deux derniers mercatos (été-hiver). Ayant amassé 44 M€ en indemnités plus 3 M€ de bonus, les Verts devancent le LOSC (42 M€ hors bonus) et le TFC (35 M€). Bernard Caïazzo ne cache pas sa satisfaction dans l'autoproclamée bible du football.
"Le départ de Kurt n'était pas prévu pour cette saison, mais nous avons profité de la forte concurrence de clubs comme Manchester City, Monaco, les deux Milan et Chelsea pour faire monter les enchères. L'intérêt de le vendre à Chelsea était aussi de pouvoir le récupérer en prêt. C'est un bon acte de gestion. Grâce à ce mercato hivernal, nous avons sécurisé financièrement le club pour deux ans en rentrant plus de 20 M€. Nous sommes tranquilles jusqu'à la prochaine renégociation des droits télé en 2016. Je crois que d'autres clubs, avec l'augmentation perpétuelle des taxes d'Etat ou encore celle de 75%, ne peuvent pas en dire autant.Il ne faut pas prendre tous ces chiffres de manière brute. Ces transferts nous permettent déjà de combler un déficit structurel de l'ordre de 7 M€. Pour 2012-2013, nous avons eu 50 Me de dépenses pour 43 M€ de recettes. Cette année, il y a en plus cette taxe à 75%. [qui coûtera selon France Football 1,5 M€ à l'ASSE pour une dizaine de contrats supérieurs à 1M€ par an] Avant d'acheter, on est donc obligés de rentrer cette somme pour être à l'équilibre. Là, on a pris un peu d'avance."
Dans le même hebdomadaire, l'agent de Josuha Guilavogui, Michael Manuello salue la bonne gestion financière des dirigeants stéphanois.
"Depuis trois ou quatre ans, ils sont dans le vrai. Hormis Aubameyang, qui est un coup de génie, ils ont su bonifier et vendre les joueurs sortis de leur centre de formation. Ceux-ci partent souvent vers des grands clubs européens, ce qui valorise le travail de l'ASSE tout en développant sa notoriété. Romeyer et Caïazzo n'ont pas des puits de pétrole. Ils sont obligés de gérér au cordeau et ils le font bien, grâce aussi à Galtier, qui a adhéré à la politique du club. La force des Stéphanois, aujourd'hui, est de savoir qui ils sont. Ils se donnent une identité qui se rapproche du modèle des clubs allemands. Ils ne sont plus sous pression pour vendre et ils savent acheter au juste prix, notamment sur le marché français. A côté des gros comme le PSG et Monaco, ils créent leur propre modèle économique. Après, ils ne devront pas craquer en cas de qualification en Ligue des Champions."
François et Josuha, ça le fera pas
11/02 16:40
Le Progrès annonce que François Clerc et Josuha Guilavogui sont d'ores et déjà forfaits pour la réception des Sardines ce week-end. Josh n'a pas encore suffisamment récupéré de sa blessure au psoas importée d'Espagne, tandis que Bibi II rejoint rapidement l'infirmerie qu'il n'avait quittée que depuis deux semaines.
Trémoulinas et Brandao, malades aujourd'hui, devraient en revanche répondre à l'appel.
22, v'la Marseille !
11/02 13:50
Y a pas à tortiller du derche, pas à interroger Canal Plouche ni le Moustache Comedy Club pour s'en assurer. S'il y a bien un clasico en France, c'est Sainté-Marseille.
Et si quelques doutes, bien alimentés par nos parcours courts, trop courts en Coupe(s) se sont fait jour sur la qualité de la saison des Verts, on ne peut que s'incliner au milieu de la figure devant le bilan des troupes de Galette dans le Chaudron.
Défaits seulement à deux reprises en Ligue 1 en 2013 (contre Toulouse et les Vilains), les Verts comptent 14 victoires, 5 nuls et donc 2 défaites sur les 21 derniers matchs de championnat à GG. Plus fort encore, ils restent sur 5 victoires consécutives (contre Reims, Nantes, Evian, Lille et Valenciennes) sans avoir encaissé le moindre but.
Voila des stats qu'on apprécierait grandement qu'Anigo et sa bande confirment dans 5 jours.
Les Verts plein Pau (3)
11/02 13:46
Dans la dernière édition du quotidien Sud-Ouest, Roro revient sur le partenariat signé le 6 février dernier entre l'ASSE et le Pau FC (CFA).
"On n'a rien inventé. On a repris par les bases avec les anciens de l'épopée comme Dominique Rocheteau. On a des clubs partenaires aussi bien en district qu'en deuxième division. On veut tisser une toile dans toute la France. Parce que lorsqu'on est partenaire, on est supporteur. On aura des yeux et des oreilles ici désormais. Pour le Pau FC, il faudrait gravir un ou deux échelons pour bien faire. Atteindre le National. Notre ambition, c'est de jouer pour les cinq premières places de la Ligue 1 : tous les joueurs que nous formerons n'auront pas le niveau pour cela, mais ils pourront tous évoluer dans une division professionnelle."
Laurent rossé puis viré
11/02 11:53
Ce matin du 11 février, Laurent Roussey a été officiellement démis de ses fonctions selon le site officiel du FC Sion. Avec six défaites consécutives au compteur, ce limogeage n'a rien de surprenant. Lors de la dernière journée, les valaisans s'était inclinés face à Lausanne, dernier du championnat Suisse. Avec son doublé lors de la dernière journée Ravet aura donc été le bourreau de l'ancien coach stéphanois.
En panne loin de Geoffroy
11/02 11:41
Vendredi, les Verts n'ont pas réussi à rentrer dans le lard de Boucher, et sont restés pour la troisième fois consécutive sans marquer à l'extérieur en championnat : Roudourou, Chaban-Delmas et Stadium, mornes plaines.
Cette panne regrettable n'est cependant pas encore catastrophique : les Verts avaient en effet connu la même série la saison passée, pendant le trou d'air de fin 2012 : deux zéro-zéro à Ajaccio et Bordeaux, couronnés par une défaite au Vélodrome.
Cette saison, au moins, on prend les points à domicile dans l'intervalle.
Chez eux, ils pètent le feu
11/02 11:13
Dans la dernière édition de La Provence, Jean-Pierre Papin évoque le potentiel offensif des Verts avant le choc qui clôturera la 25ème de journée de L1 dimanche à 21h00 dans le Chaudron.
"A l'extérieur, la seule option des Verts, c'est le contre. Avec un vrai buteur, ils pourraient jouer différemment. Chez eux, ils pètent le feu. C'est la faiblesse des équipes françaises, excellentes à domicile et qui ne touchent pas un crayon à l'extérieur. Christophe Galtier a misé sur trois attaquants qui vont vite, sans buteur à proprement dit, mais ils peuvent tous marquer. L'idéal serait comme à l'OM de la grande époque, d'avoir un buteur et deux autres attaquants passeurs, capables de marquer aussi. A Saint-Etienne, il y a Brandao, qui est moins efficace que je ne l'étais. L'alternative, c'est donc d'avoir trois gars qui vont vite. Sans buteur attitré, on ne dépend pas d'un seul joueur. Avec un tel joueur, s'il ne marque pas, son équipe est embêtée. C'est ce qui s'est produit quand Gignac ne trouvait plus le chemin des filets. L'ASSE et l'OM sont deux équipes qui me plaisent beaucoup. Même l'OM. Ils ont connu un passage à vide mais on a retrouvé un buteur et je suis très heureux pour Dédé Gignac. Non seulement il claque mais il assume un rôle de leader, il entraîne les autres dans sa dynamique."
Fouss de colère
11/02 10:17
Menée au score 1-0 à la pause, l'ASNL de Vincent Hognon s'est imposée 3-1 sur le terrain du Tours FC de Fousseni Diawara et Julien Cétout hier soir lors de la 23ème journée de L2. La Nouvelle République nous apprend que Fouss était fou furieux dans les couloirs du stade après la rencontre.
"A priori, l'attaquant nancéien Jeff Louis aurait insulté à plusieurs reprises le latéral droit pendant la rencontre. Ce dernier a littéralement explosé dans les couloirs du stade, prenant à partie verbalement et physiquement Louis, qui se trouvait en zone mixte. Bryan Bergougnoux a tenté de calmer son coéquipier, qui est retourné dans le vestiaire tourangeau après avoir pris à témoin Hognon, l'entraîneur-adjoint de Nancy :« J'ai passé l'âge de vivre ça. Il faut les éduquer, tes petits ! » Diawara est ensuite revenu à la charge, toujours sous le coup de la colère."
Jessy refait l'actu
11/02 10:14
Jessy Moulin s'est confié à So Foot, non pas pour parler de football, mais pour évoquer l'actualité. Au programme : Sotchi, Obama & Beyoncé, inondations, les Taxis, Les trois frères et théorie du Big Bang... Extraits :
Martin Fourcade médaillé d'or à Sotchi... Tu penses que la France va finir à quelle place au classement des médailles ? J'ai vu Fourcade tout à l'heure. C'était magique ! Après pour le classement, je ne saurai pas donner de pronostic exact sur le résultat final. Forcément, on sera derrière les grosses nations comme les États-Unis, la Russie et la Chine. Mais j'espère surtout qu'on va avoir d'autres médailles d'or.
Info people du jour : Obama aurait une relation avec Beyoncé. Tu penses que Michelle Obama a tiré la tronche en apprenant la nouvelle ? Avant toute chose, il faut vérifier l'information pour être sûr qu'on nous raconte pas des bobards. C'est sûr que ça n'a pas dû lui faire plaisir... Personnellement, je trouve que l'attitude d'Obama n'est pas saine. Dans la vie, il faut être fidèle à sa femme.
De nouvelles inondations en Bretagne. Mais pourquoi diable ces personnes ne déménagent-elles pas une bonne fois pour toutes ? Pour connaître quelques Bretons dans ma famille, Fabien Lemoine qui est un bon ami, je trouve ça normal qu'ils souhaitent rester car ils sont sûrement très attachés à leur région. On espère vraiment qu'il s'agira de la dernière fois pour eux, et je leur souhaite bien du courage. Dans ces moments-là, il faut rester solidaire et aider ces personnes en difficulté.
Les taxis se sont mis en grève aujourd'hui pour atteinte à la concurrence des Véhicules de Tourisme avec Chauffeur (VTC). Un compteur qui tourne pour l'un, un prix fixe pour les VTC. Tu prendrais quoi ? Pour être honnête, je ne suis pas du tout citadin et j'aime la campagne. J'utilise très peu ce moyen de transport. Après, quand on sort d'une gare avec ma femme, on prend le premier taxi venu et on ne s'emmerde pas à regarder les prix de chaque conducteur. On le fait une ou deux fois par an, pas plus. Après, je comprends aussi l'intérêt des taxis, ce sont des intérêts financiers, ni plus ni moins.
Les trois frères, le retour sort mercredi prochain. Tu sens le succès ou le navet ?
J'en ai parlé avec les gars dans le vestiaire. C'est un film qui nous a tous marqués. Bien sûr, on va aller le voir avec des collègues, mais je doute que ce film connaisse la même réussite que son aîné. On va bien voir !
D'après une étude publiée par la revue américaine Stroke, les femmes sont plus touchées par les AVC que les hommes. Les femmes se posent-elles trop de questions existentielles ou font trop la vaisselle ?
Elles se posent plus de questions, elles réfléchissent beaucoup... Pour la vaisselle, j'ai aussi beaucoup d'amis qui la font, et tout va bien pour eux. C'est surtout malheureux de partir trop tôt.
Des astronomes ont découvert une étoile de 13,7 milliards d'années, la plus vieille connue à ce jour... T'es plutôt théorie du Big Bang ou vie après la mort ?
La théorie du Big Bang. C'est ma vision des choses, je ne suis pas très axé religion. C'est plus sensé et rationnel de penser qu'une explosion a fait naître une création de planètes, plutôt que de penser à une apparition soudaine. Je ne crois pas en Dieu, mais en l'amour, l’amitié... Je l'affiche aussi dans le vestiaire où d'autres sont attachés à leur religion. Certaines technologies aujourd'hui nous permettent de mieux comprendre le monde qui nous entoure. Ce n'est pas un livre écrit il y a des centaines d'années qui va nous apporter la vérité.
L'ensemble de l'interview à découvrir sur So Foot.
Des chiens fous chez nous
11/02 09:03
A cinq jours du vrai clasico du championnat, La Provence publie un entretien de l'ancien goleador stéphanois Hervé Revelli. Extraits.
"A l'ASSE, ils sont plusieurs ataquants à pouvoir faire la différence, alors que l'OM a un buteur au sens propre, Gignac. Comme dans les autres grandes équipes, PSG, Monaco... A Saint-Etienne on s'est diversifié, il n'y a pas de Skoblar, de Papin ou de Revelli. L'avantage, c'est que l'adversaire ne se focalise pas sur un seul joueur. A l'OM, si Gignac est neutralisé, l'équipe va avoir des difficultés. A Sainté, on peut bloquer Brandao, le danger viendra de Tabanou ou Hamouma. L'inconvénient, c'est que l'ASSE ne possède pas d'avant-centre dangereux qui monopolise deux adversaires à sa surveillance. L'OM, c'est d'abord Gignac, puis les autres. A Saint-Etienne, c'est tout de suite les autres. Cela peut expliquer les difficultés à marquer à Toulouse par exemple. En certaines situations, il faut le spécialiste qui prend ses responsabilités et va marquer. Le vrai buteur, il ne lui faut pas 36000 occasions. A Geoffroy-Guichard on y arrive car on est porté vers l'avant, on est généreux. Mais sur terrain adverse, non. A Toulouse, on était frigorifié des deux côtés.
A Marseille, il faut des stars ; à Saint-Etienne, si on a un buteur, on essaye de le garder. Moi, je suis resté quinze ans ! J'étais bienheureux. A Marseille il faut des têtes nouvelles, attractives, l'ambiance veut ça : du renouvellement. A l'ASSE, on recherche le collectif, le jeu bien huilé, et ça prend du temps. Une année, Robert Herbin, qui jouait au milieu, avait marqué 26 buts. On était déjà dans cette logique. En 1973, on a lancé l'épopée verte, en sachant qu'on ne réussirait pas tout de suite, mais on avait le temps. Moi, je valais 15 buts en moyenne par saison, 31 en 1967 tout de même ! Mais je pouvais me permettre de rester trois ou quatre matches sans marquer sans être remis en cause. Evidemment, je faisais des séances spécifiques devant le but. Quand j'étais jeune, je ratais tout et puis j'ai progressé. Le buteur, il se fout de tout : il y a le ballon et le but. Faire des passes décisives, ça a toujours existé. Salif Keita avait souligné que lorsqu'il avait mis 42 buts, il m'en devait la moitié. Mais un attaquant de pointe, ça ne doit pas mettre six ou sept buts dans la saison et s'en contenter.
L'ASSE a un beau jeu, généreux, qui me rappelle mon époque : des chiens fous, dès l'entrée du terrain. Mais chez nous, parce qu'à l'extérieur, l'équipe d'aujourd'hui est plus calculatrice, alors que nous jouions pareil dans les deux cas de figure. L'ASSE qui joue pour gagner, c'est un régal ! L'OM, c'est toujours ma deuxième équipe, moi le Gardannais. L'OM donne l'impression d'être fragile et fort à la fois. Ils ont mis trois buts, Gigi a encore mis le sien, je suis content pour lui. Mais dimanche, ils sont suceptibles aussi bien de l'emporter à Geoffroy-Guichard que de perdre 3-0. Ils sont assez imprévisibles et dangereux. Ici, j'entends des gens dire : "contre l'OM, pas de problème." Faux ! ASSE-OM, c'est un match à part et je suis sûr qu'on va se régaler, il y aura du spectacle et des buts !"
Les Bleus chez les Verts en 2015 ?
10/02 21:07
Si elle réjouit les bars de Sainté, la nouvelle fait déjà frémir les jardiniers du potager : Saint-Etienne Métropole s’est portée candidate auprès de la Fédération Française de Rugby pour accueillir le match France-Ecosse, le samedi 5 septembre 2015. Cette rencontre sera la troisième et dernière du programme de préparation des Bleus avant la Coupe du monde qui se disputera en Angleterre et au Pays de Galles, du 18 septembre au 31 octobre.
Pour rappel, les Ecossais connaissent bien le Chaudron pour y avoir remporté deux matches lors de la Coupe du monde 2007 contre le Portugal (56-10) puis contre l'Italie (18-16). Pour trouver la trace d'un match du XV de France à Geoffroy-Guichard, il faut remonter au 24 novembre 2001. Ce soir-là, la bande de Galthié avait explosé les Fidji 77-10 en inscrivant pas moins de douze essais !
