"Des discussions en très haut lieu ont démarré entre les dirigeants du fonds souverain saoudien et ceux de la ligue qatarienne et le président d’Al Duhail, l’actuel club de Galtier. Déterminé à attirer l'attirer, Al-Ittihad serait même prêt à indemniser leurs homologues qatariens. L’ancien technicien de Saint-Étienne et Nice, qui entretient d’excellentes relations avec ses dirigeants, ne fera pas le forcing pour un départ. Même s’il n’est pas du tout insensible au challenge qui lui a été offert ces dernières heures, il respectera l’avis de son président."
Papus se sent prêt à entraîner en pro
07/07 06:58
Formé à l'ASSE où il a joué en L2 (de 1996 à 1998) puis en L1 (de 2004 à 2007), Zoumana Camara (45 ans) fait dans la Pravda le bilan de ses 17 années parisiennes avant d'évoquer son avenir. Extraits.
"Quand j’ai signé en 2007, jamais je n’aurais imaginé être encore au PSG en 2024. C’était un objectif et un rêve pour moi d’y signer en tant que natif de Colombes. J’aime les images : j’en retiens une, celle du manager d’hôtel. Avant de le devenir, tu passes par différents postes, au room-service, voiturier, restauration… Moi, j’ai été joueur, puis adjoint et enfin entraîneur, j’ai pu faire mienne mon expérience en faisant ce qui me ressemble et en fonction de mes convictions. J’ai connu un PSG où il fallait se battre pour qu’il ne descende pas. Puis la transition avec la reconstruction d’un grand club français et européen.
Le club m’a beaucoup donné en tant que joueur, m’a permis de devenir adjoint puis de diriger les U19. J’ai un sentiment de fierté. Je suis reconnaissant envers le PSG mais pas redevable, car je lui ai aussi beaucoup donné. Aujourd’hui, je suis arrivé au bout du processus de construction. Mes 3 dernières années à la tête des U19 ont été bénéfiques dans ma carrière, qui s’est construite progressivement et de manière linéaire, avec une demi-finale de Championnat la première année, une finale la suivante et le titre cette dernière saison. J’ai pu étalonner mes principes.
Il y a 20 ans, on donnait un contrat professionnel à un joueur quand il était prêt à jouer en pro, maintenant, on donne un contrat pour ne pas perdre un jeune. Cela crée un décalage, il faut donc faire comprendre aux jeunes qu’ils ne sont pas forcément prêts et gérer leur frustration. Je suis satisfait d’être parvenu à ce que plusieurs de mes joueurs rejoignent le groupe professionnel, d’autant que le fossé est important au PSG entre les U19 et les professionnels puisqu’il n’y a pas de réserve. Cela valorise le travail de la formation.
Pourquoi j'ai quitté le PSG ? C'est l'heure. Je suis prêt à entraîner chez les professionnels. Je n’ai pas la prétention de dire en Ligue 1 ou à l’étranger mais je suis prêt à prendre un projet. Guingamp et Metz, ce sont deux projets qui m’intéressaient mais ça n’a pas abouti. J’ai eu d’autres offres que j’ai déclinées parce qu’elles ne me correspondaient pas. Là, je vais partir en vacances avec ma famille pour la première fois en août depuis 16 ans."
Robert plante contre son précédent club chinois
07/07 06:29
Auteur de son 7e pion de la saison sous le maillot de Changchun Yatai lors de la 18ejournée du championnat chinois, Robert Beric (33 ans) a permis à son équipe d'arracher le nul hier sur le terrain de Tianjin Teda, son précédent club. Très classe, l'ancien attaquant stéphanois n'a pas fêté son but de la tête et s'est excusé de la main devant son ancien public.
Akim in, Théo out
06/07 23:16
L'Etoile FC Fréjus Saint-Raphaël annonce le départ de Théo Vermot alors que l'inusable Akim Orinel effectuera une saison supplémentaire dans le club varois.
Né le 27 janvier 1997, Théo Vermot était arrivé à l'ASSE en 2015, en provenance de Fréjus Saint-Raphaël. Il restera 5 saisons chez les Verts jusqu'en 2020, opérant en U19 puis avec la réserve. Il signera alors à l'US Orléans pour trois saisons et, l'été dernier, reviendra dans le club de ses débuts où il n'est donc resté qu'une saison.
Quant à Akim Orinel, c'est un bel exemple de longévité. Né le 27 juillet 1986, il avait quitté l'ASSE en 2006, après y avoir effectué toute sa formation, pour passer deux saisons à l'US Orléans, avant de rejoindre le Var. On peut dire que l'Etoile Fréjus Saint-Raphaël est son club puisqu'il va y effectuer sa quinzième saison, ne lui étant infidèle que de 2011 à 2013, deux saisons où il a opéré à la Berrichonne de Châteauroux. et quelques semaines en 2014-2015, ayant signé à l'Union Sportive de la Médina d'Alger.
Mathieu Goncalves chez les Tangos
06/07 22:28
L'ancien du centre de formation de l'ASSE, Mathieu Goncalves (génération 1997), avait quitté les Verts en 2016, à l'issue de sa saison en U19 , et était revenu à Andrézieux. Il y restera 4 saisons, jusqu'en 2020. Il s'engagera alors avec Hauts-Lyonnais jusqu'à cet été. La saison prochaine, il opérera chez les Tangos de l'AS Saint-Just Saint-Rambert, qui a terminé lle championnat de D1 2023-2024 à la 4ème place.
Vacheron rejoint Gabard et Cabaton
06/07 21:59
Trois anciens Verts quittent Andrézieux pour rejoindre Hauts Lyonnais (N3), le club de cinq villages des Monts du Lyonnais, créé en 2012. Après Baptiste Gabard et Clément Cabaton, c'est au tour d'Anthony Vacheron de rejoindre ce club qui a terminé à la 10ème place du championnat de N3, dans la poule de la réserve stéphanoise de Razik Nedder.
Champion de France U13 en 2011 sous la houlette de Lionel Vaillant et champion de la Ligue Rhône-Alpes U15 en 2013 sous les ordres de Philippe Guillemet, Anthony Vacheron (génération 1998) avait quitté l'ASSE en 2013, après son année U15, pour rejoindre les rangs d'Andrézieux où il restera jusqu'en 2020. Il s'engagera alors avec UT Pétange, club luxembourgeois où il ne restera que 6 mois, jusqu'en janvier 2021. Il reviendra quelques mois à Andrézieux avant de revêtir le maillot vert du Sologne Olympique Romorantin (N2) pour la saison 2021-2022. Après avoir passé deux saisons à Andrézieux, il va donc rejoindre Hauts Lyonnais.
Anthony Vacheron croise Adrien Valente et Mathieu Goncalves, deux autres anciens Verts qui quittent le club des Monts du Lyonnais, le dernier nommé rejoignant les Tangos de l'AS Saint-Just Saint-Rambert
7 collines, 3 maillots (2)
06/07 21:52
Directeur de Hummel France, Mickaël Didier est satisfait des nouveaux maillots de l'ASSE dévoilés cet après-midi, comme il l'explique au Progrès. Extraits.
"Ce sont les couleurs historiques du club. Elles avaient été bien perçues et appréciées par les fans l’an passé donc pas question de les changer. Les sept colllines sont sept lieux bien identifiés des Stéphanois. Tout le monde va pouvoir se situer sur ce maillot. Il représente Saint-Étienne au quotidien. On a vraiment utilisé tous les symboles du territoire pour être sur quelque chose de très local. C’est le club des Stéphanois, ce sont eux qui en sont fans. On voulait leur rendre hommage. Le maillot third sera révélé durant l’été."
Guendouz s'offre une nouvelle coupe
06/07 21:17
Sacré champion de France U17 avec l'ASSE il y a 11 ans sous la houlette de l'excellent duo Gilles Rodriguez - Lionel Vaillant, Alexis Guendouz (28 ans) avait été sacré l'an dernier champion d'Algérie avec le CR Belouizdad. S'il a dû céder ce titre au Mouloudia il y a un mois, le natif de Saint-Etienne a pris sa revanche contre ce même club hier en finale de Coupe d'Algérie.
Alors qu'il avait déjà fait une clean sheet en demi-finale remportée aux tirs au but contre son précédent club (l'USM Alger) , l'ex-gardien palois a encore été impérial ce vendredi lors de la finale remportée 1-0 sous les yeux de Vladimir Petkovic. Selon Africa Foot United, le sélectionneur des Fennecs pourrait convoquer le portier franco-algérien lors du prochain rassemblement de septembre.
Pour rappel, Alexis Guendouz avait été élu meilleur gardien du Championnat d'Afrique des Nations en février 2023. Il n'avait pas pris un seul pion en 5 matches avant de s'incliner aux tirs au but en finale contre le Sénégal.
Deux Stratiens chez les Verts
06/07 20:58
Le site de l'Etrat La Tour Sportif annonce l'arrivée à l'ASSE de deux de ses jeunes.
L'attaquant Noah Gioia va intégrer la saison prochaine la préformation stéphanoise puisqu'il va opérer en équipe U13. Il avait rejoint l'Etrat La Tour en U10 en provenance de St Jean Bonnefonds.
Quant à Mahiedine Rouissi, à l'Etrat depuis 2021 (U7), c'est avec les U10 verts de l'école de foot qu'il va montrer l'étendue de son talent naissant.
Yassine Benarab de retour à l'Etrat
06/07 19:24
Passé par la préformation stéphanoise, le défenseur Yassine Benarab (génération 1998) va retrouver l'Etrat, pas à l'ASSE, mais au club voisin, l'Etrat La Tour Sportif (R2). Il ne sera donc pas en terre inconnue d'autant plus que le club stratien compte en ses rangs de nombreux joueurs passé par la préformation ou la formation stéphanoise : Max Fourgnaud (même génération 1998), Steven Cali (1999), Nicolas Fèvre (1993), Yanis Ben Khalifa (1991), Kenzo Gacem (1996), Aurélien Sion (1994), Yvan Bonnemain (2003), mais aussi le jeune coach de 26 ans de la réserve (D1), Kalvin Djeridi, et l'emblématique entraîneur des gardiens Jeannot Dées.
Yassine Benarab faisait partie de l'équipe U13 coachée par Lionel Vaillant qui avait remporté le Tournoi de Cahors et le titre national à Capbreton en 2011. Deux ans, plus tard, en 2013, il devenait, avec les U15 de Philippe Guillemet, champion régional de Ligue, au nez et à la barbe des nos vilains voisins. Cette saison-là il avait été le joueur le plus utilisé (22 matchs tout comme Eliott Bon, Rayan Souici, Thomas Vogel). Il avait inscrit 1 but lors de l'écrasante victoire des Verts (0-10) à Echirolles. Benjamin Aulagnier avait inscrit ce jour-là la bagatelle de 7 buts !
Yassine Benarab avait quitté l'ASSE à l'issue de cette saison en U15 et a ensuite opéré à Andrézieux, Le Puy, l’ASA Chambon Feugerolles, Firminy et Saint-Chamond.
Clément Jouve redevient un peu vert
06/07 18:36
Clément Jouve, qui vient de fêter ses 34 ans, a été vert de 2002 à 2010. Il a ensuite joué à Fréjus Saint-Raphaël FC (2010-2011), l'US Feurs (2012-2014), FCO Firminy Insersport (2014-2015), Saint-Chamond FC (2015-2016), Hauts-Lyonnais (2016-2018), de nouveau l'US Feurs (2018-2022), FC Roche Saint Genest (2022-2024). Il va retrouver, cette saison, les couleurs vertes (et orange), celles de l'US Saint Galmier Chamboeuf (R3) où il va retrouver un ancien de la préformation stéphanoise, Lilian Courault (génération 1999), le fils de Thierry.
Krasso au Paris FC ! (2)
06/07 18:19
Le Paris FC a officialisé aujourd'hui le transfert de Jean-Philippe Krasso qu'avait annoncé le média serbe Mozzart Sport en début de semaine. L'ancien attaquant stéphanois, qui n'aura joué qu'une saison en déclin à l'Etoile Rouge de Belgrade, s'est engagé pour 3 ans avec le club de la capitale.
7 collines et 3 maillots
06/07 17:46
A l'instar de Rome (Aventin, Palatin, Capitole, Caelius, Esquilin, Quirinal et Viminal), Saint-Etienne a 7 collines (Crêt de Roc, Valbenoite, Montaud, Villebœuf, Montreynaud, Montmartre et la Colline des Pères). L'ASSE et son équipementier Hummel leur ont rendu hommage en dévoilant les maillots de la prochaine saison, d'abord via un clip où le rappeur stéphanois Zed Yun Pavarotti arbore le vert (domicile) et ensuite via un communiqué montrant également le blanc (extérieur) et le bleu (gardien).
"Le nom de chaque colline est écrit sur la face avant du maillot formant ainsi 7 subtiles lignes verticales. Le col semi-hexagonal et les flancs blancs du maillot viennent sublimer un vert toujours plus intense. Cette nouvelle tunique arbore également la phrase « Saint-Étienne la ville aux 7 collines » à l’intérieur de son col.
Fidèle à notre engagement en faveur de l’environnement, ce nouveau maillot est une nouvelle fois fabriqué par la marque aux chevrons en utilisant le technologie spéciale ECO8. Ainsi, chaque maillot est conçu à partir d'un polyester très performant produit à partir de huit bouteilles en plastique recyclées."
S'ils sont vraiment chers (84,95 € pour les adultes, 74,95 € pour les enfants), nul doute qu'ils partiront comme des petits pains... Les plus fortunés/impatients/accrocs peuvent déjà les commander sur la boutique gérée par le potonaute CeBri.
Abdelhamid vu par Bouallak
06/07 14:55
Passé par le centre de formation de l'ASSE (de juillet 2013 à janvier 2018), Ryan Bouallak s'apprête à rejoindre les Genêts d'Anglet (promu en N2) après avoir joué une dizaine de matches cette saison en N3 avec le Stade Pontivy. Avant de mettre le cap vers le pays basque, le gardien de la génération 1999 nous a glissé quelques mots sur le nouveau défenseur central stéphanois Yunis Abdelhamid, qu'il a côtoyé 18 mois au Stade de Reims.
"C'est un super mec. Quand je suis arrivé à Reims, c'était déjà l'un des cadres forts du vestiaire alors que ça faisait à peine 6 mois qu'il était au club. Moi j'avais 18/19 ans, je m'entraînais de temps en temps avec les pros. J'ai vraiment apprécié le comportement de Yunis. C'était quelqu'un de très attentionné. Quand des petits jeunes montaient dans le groupe, il leur expliquait bien les choses. Il était à l'écoute et rempli de conseils.
Yunis, c'est un homme de vestiaire, quelqu'un qui prend toujours la parole à bon escient. Il sait parler quand il faut, ses mots sont simples, clairs et justes. Il est devenu capitaine dès sa deuxième saison, quand on monté en Ligue 1. Il reste sur six saisons dans l'élite avec le brassard, ce n'est pas anodin. Il faisait l'unanimité, il était légitimement le capitaine. C'est un leader qui sait rester accessible.
Yunis, c'est quelqu'un qui a beaucoup d'expérience et qui ne la garde pas poour lui. Il n'hésite pas à la partager, à accueillir aux mieux les jeunes, notamment ceux qui découvrent un vestiaire pro, ceux qui ont besoin de repères stables. Dès qu'on avait une question, c'est la première personne qu'on allait voir. Dès qu'on avait un doute, une interrogation, on savait qu'on pouvait compter sur lui pour nous éclairer.
Quand t'es un jeune joueur, tu t'orientes spontanément vers Yunis. Il fait en sorte que les jeunes s'intègrent au mieux. Ce n'est pas le style de joueur à rester distant, il est toujours à proximité sans en rajouter. C'est ce que j'aime vraiment chez Yunis : c'est la personne qui va très bien t'aiguiller sans trop en faire, sans être dans la surprotection. Pour un club comme Sainté qui veut exploiter les jeunes talents, c'est top. Yunis, il est très fiable.
Je suis content que Yunis soit la première recrue de Sainté. C'est une bonne chose que l'ASSE s'appuie sur un joueur très expérimenté et très respecté comme lui. Il saura encadrer les jeunes talents, que ce soit ceux issus du centre de formation ou les autres. Je suis très heureux que mon club formateur retrouve l'élite. J'ai bien sûr suivi de près la saison des Verts, d'autant plus que j'ai côtoyé pas mal de joueurs dans cette équipe : Dylan, Aïmen, Micka, Léo, Etienne mais aussi Florian que j'ai connu à Troyes et Nathanaël que j'ai connu à Reims."
Cardo au charbon !
06/07 13:07
Comme en atteste le site officiel d'Augsbourg, Irvin Cardona a repris l'entraînement hier, quelques jours avant ses ex (et futurs ?) équipiers Verts.
S'il est encore au club, il jouera dès samedi prochain un premier match amical contre une équipe régionale.
Abdelhamid forte tête
06/07 11:18
Chaîne dédiée à l'histoire du plus grand club champenois, La P'tite Histoire du Stade de Reims a compilé dans une vidéo de 4 minutes tous les pions claqués par le nouveau défenseur central stéphanois lors de son septennat rémois. Fort de son 1m90, l'international marocain a claqué 14 de ses 17 buts de la tête, 2 de son pied fort et 1 d'une magnifique frappe enroulée du droit contre les Lillois.
Une question d'éducation et de formation
06/07 09:53
Auteur de l'excellent Foot sentimental paru le 19 octobre dernier aux éditions Le Cherche Midi, Dominique Rocheteau s'est confié à La Charente Libre. Extraits.
"Dans ma tête, quand j’ai arrêté à Saint-Etienne, il y a 5 ans maintenant, j’avais décidé de revenir en Charente-Maritime parce que c’est une région à laquelle je suis très attaché. Ce retour était plus ou moins programmé. Je suis parti longtemps, dès l’âge de 15 ans. Partir si jeune, c’était dur mais c’était ma décision. Mes parents m’avaient laissé le choix. Saint-Etienne était l’un des plus grands clubs de l’époque. Il y avait Nantes aussi mais l’ASSE avait été plus rapide. A l’époque, je ne rêvais pas forcément de devenir professionnel. Mon père, qui était un très bon joueur à Etaules, n’a pas eu la possibilité de partir comme ça. Il n’a pas eu cette chance. Je suis parti pour lui en quelque sorte.
Ce qui a toujours été important, c’est de m’occuper des jeunes, des enfants. Une de mes fonctions, quand je suis retourné à Saint-Etienne, c’était de m’occuper du centre de formation. Donc j’ai toujours côtoyé les jeunes. Quand je suis revenu en Charente-Maritime, j’ai redémarré les stages à Royan avec mes fils. Nous faisons ça en famille. Et ce sont des stages non pas basés sur la performance mais autour du plaisir et du loisir. Un stage de foot pour tous. L’éducation, c’est fondamental. C’est ce qui m’a énormément aidé. J’ai appris ce qu’était l’humilité, la solidarité à la fois dans ma région et quand je suis arrivé à Sainté.
Robert Herbin a toujours été influencé par le foot de l’Ajax, qui était une révolution en Europe. On travaillait beaucoup le physique aussi. C’est ce qui fait qu’on est devenu compétitif. On avait aussi un gros collectif et un centre de formation très performant. J’ai aimé la rigueur du Sphinx, la sensibilité de Michel Hidalgo et le management de Gérard Houllier. Les entraîneurs actuels pour qui j’aurais aimé jouer ? J’aime bien Klopp. Ancelotti aussi. C’est dommage qu’il ne soit pas resté plus longtemps à Paris. Un entraîneur doit travailler sur la durée."
Guion encense encore Abdelhamid
06/07 08:17
David Guion confirme succinctement dans Le Progrès du jour tout le bien qu'il nous avait dit du nouveau défenseur central stéphanois Yunis Abdelhamid il y a 8 jours.
"Il fait très attention à son hygiène de vie. À l’époque, on montait une cellule de performance. Il a tout de suite vu les bienfaits de cet environnement. Il a été preneur de ce qu’on lui a mis autour de lui en termes de récupération, de diététique, d’activation… Yunis aimait aussi beaucoup la musculation. Cela lui permet de passer les années sans que son niveau s'affaiblisse. Ce n’est pas quelqu’un qui va aboyer tout le temps. Il sait prendre la parole à bon escient pour avoir un discours fédérateur et mobilisateur, notamment quand les choses tournent moins rond. En plus, il passe très bien avec les jeunes générations. Il bonifie les joueurs autour de lui."
Willo trop fort pour Cristiano
06/07 07:44
Titularisé pour la 5e fois consécutive à l'Euro, William Saliba a encore été le meilleur joueur de l'équipe de France à Hambourg lors du quart de finale remporté aux tirs au but contre le Portugal. Ayant muselé Cristiano Ronaldo & Co, l'ancien défenseur stéphanois obtient de nouveau un 8/10 dans la Pravda.
"Dans la lignée de son match contre la Belgique, il a régné dans les airs et a dégagé une sérénité à toute épreuve" souligne le quotidien sportif. "Il a su défendre debout pour ne laisser aucune chance à l'adversaire, et sa confiance saute aux yeux. Contraint de faire faute sur Conceiçao, il a été averti (84e) mais n'a pas cessé de rayonner."
L'ancien défenseur central stéphanois, qui défiera la Roja mardi en demi-finale, s'est exprimé hier soir en conférence de presse d'après-match.
"Ce n’était pas un match facile face au Portugal, qui est l’une des équipes favorites du tournoi. On est content de les avoir éliminés. Il y a eu des périodes pendant ce match où on a souffert tous ensemble. Tout le monde est ensemble et s’encourage. J’espère qu’on va aller au bout. J’espère qu’on ne va pas aller tout le temps aux pénaltys, parce que c’est quand même cardiaque. C’était un plaisir de jouer contre une légende comme Cristiano Ronaldo. On savait qu’il ne fallait pas lui laisser des miettes, c’est ce qu’on a fait. On a fait un clean-sheet, la 4e en 5 matches. En face de nous, il y avait beaucoup de clients et on a su garder cette cage inviolée."
william saliba vs portugal - french anchor ⚓️🇫🇷pic.twitter.com/7o8A0ErNI9
— 🏸 (@m4wiii) July 5, 2024
Un jackpot pour Galette ?
05/07 23:14
Club saoudien où évoluent notamment N'Golo Kanté et l'ancien vilain Karim Benzema, Al-Ittihad a fait de Christophe Galtier sa priorité pour succéder à Marcelo Gallardo selon Le Parisien. D'après ce quotidien, l'ancien entraîneur stéphanois se voit proposer un contrat de 36 millions d’euros sur 3 saisons !
Saïdou Sow privé de JO
05/07 21:20
Alors qu'il était le capitaine de l'équipe guinéenne qui s'était qualifiée pour les JO il y a 2 mois aux dépens de l'Indonésie, Saïdou Sow, qui a fêté hier ses 22 ans, n'a pas eu le feu vert du Racing Club de Strasbourg pour partiper au tournoi olympique.
A l'instar de son ancien coéquipier stéphanois Aïmen Moueffek (retenu par l'ASSE), le défenseur central fera toute la préparation estivale de son club, qui s'achèvera par une confrontation avec le Borussia Mönchengladbach de Franck Honorat.
Denis marque sur penalty et gagne son derby
05/07 19:46
Auteur de son 14e pion de la saison de MLS, Denis Bouanga a inscrit la nuit dernière sur penalty le second but de la victoire (2-1) du Los Angeles FC lors de son derby contre LA Galaxy.
El Trafico på Rose Bowl blev en höjdare. Matchvinnare? Givetvis Denis Bouanga från straffpunkten. pic.twitter.com/umqztQ2cHu
— MLS Sweden (@mlssweden) July 5, 2024
Sainté veut faire du jeune avec du Old ? (3)
05/07 19:17
"Les négociations concernant l’arrivée du Néo-zélandais Ben Old (21 ans) sont bien avancées. L’ailier gauche, sous contrat avec Wellington (Australie) jusqu’en juin 2027, pourrait même rapidement rallier le Forez" a indiqué cet après-midi Le Progrès. "Comme Benjamin Bouchouari, il sera libéré s’il venait à être sélectionné pour les Jeux olympiques, où il affronterait notamment l’équipe de France" ajoute le site du quotidien régional."
ODO excité et craintif
05/07 18:04
Le Quotidien du Sport a publié ce vendredi une interview de l'entraîneur des Verts. Extraits.
"La vente du club n’a pas posé de problématique particulière. On a aussi facilement fait abstraction parce que les anciens et les nouveaux actionnaires ont fait preuve de beaucoup de discrétion, et parce que les joueurs étaient habitués à entendre toutes sortes de rumeurs depuis quatre ans. On a tous suivi ça de loin jusqu’au dénouement qui est intervenu quasiment en même temps que notre montée. Le message transmis a toujours été qu’il s’agissait d’une bonne chose pour le club. Le football évolue, l’ASSE avait aussi certainement besoin de suivre cette évolution.
Etre le coach qui a ramené l’un des clubs les plus populaires du pays en L1, c’est une immense fierté pour moi qui suis d’une génération qui a vécu à fond les exploits des Verts dans les années 70. On a tous en tête Rocheteau, Lopez, Bathenay… Dernièrement, dans un restaurant, Osvaldo Piazza est venu me saluer. A 60 ans, vivre ça, c’est énorme ! Quand j’étais à Brest, aucun de mes amis n’est venu me voir, ils sont déjà tous venus à Saint-Etienne (rires) ! Je vis ça comme la récompense d’un parcours d’entraîneur qui était jusqu’à présent sur des clubs moins prestigieux et médiatiques. Sportivement surtout, ça correspond à une évolution, une progression dans ma carrière.
En pleine préparation pour la saison prochaine, le sentiment qui domine chez moi ? L’excitation, la crainte… La période est très excitante car je sais que la base des joueurs va rester donc on va pouvoir s’appuyer dessus pour construire. Là encore, notre responsabilité est grande pour ne pas se tromper. Ce mercato est primordial pour trouver des joueurs qui peuvent entrer dans le moule et nous aider à élever notre niveau de jeu pour répondre aux exigences de la L1."
Abdelhamid le maillot vert !
05/07 17:54
L'officialisation de l'arrivée du défenseur central de Reims Yunis Abdelhamid a enfin été confirmée par le club.
Le joueur de 37 ans qui a signé pour 1 an + 1 autre année en option a confié ses premières impressions :
"Je suis très heureux de rejoindre ce grand club. J’ai hâte de l'aider à atteindre ses objectifs dans l’élite. L’ASSE m’évoque beaucoup de ferveur, je suis impatient de découvrir cette ambiance en tant que joueur stéphanois. J’arrive déterminé, avec l’envie de tout faire pour être performant pour porter haut les couleurs et les valeurs du club. Je vais aussi retrouver Olivier Dall’Oglio avec qui j’ai découvert la L1. J’ai hâte de travailler de nouveau à ses côtés."
De son côté, ODO a dit tout le bien qu'il pensait du joueur :
"Je suis très heureux de retrouver Yunis et de pouvoir retravailler avec ce grand professionnel. Il faisait partie de mes priorités de recrutement. Il est un capitaine sur le terrain et en dehors, qui peut amener beaucoup à nos autres joueurs. C’est une valeur sûre de Ligue 1, très fiable et très intelligent. Je le vois bien avec le maillot Vert et je suis sûr qu’il sera vite adopté par nos supporters."
Loris ne roule pas sur l'or
05/07 12:59
L'ancien latéral stéphanois Loris Néry (33 ans) a accepté d'ouvrir ses comptes pour Le Parisien. S'il n'est pas à plaindre, il ne roule pas sur l'or et gère son budget en bon père de famille. Extraits.
"
A l'ASSE, j'ai signé un premier contrat « aspirant » à l’âge de 15 ans. Je touchais 450 € par mois, alors que j’étais au collège et que je vivais chez mes parents. Je n’ai jamais été un flambeur, mes parents m’ont appris la valeur de l’argent. Mon premier salaire, autour de 5 000 € brut par mois, était basé sur les minima imposés par la charte de la LFP. Dans le milieu, ce n’est pas énorme mais ça m’importait peu. Ce que je voulais surtout, c’est être pro.
A Valenciennes, mon temps de jeu a décollé, tout comme mon salaire, autour de 17 000 € brut par mois, à 21 ans. Quand le club a été relégué en L2, mon salaire a été abaissé à 11 000 €, avant d’être renégocié autour de 8 500 € brut. On a toujours le choix de refuser, mais à ce moment-là, j’avais peu d’autres opportunités. Une carrière, ça passe vite. On peut gagner de belles sommes mais c’est pendant 10, 15 ans, pas plus.
Ma femme Stéphanie m'a toujours épaulé dans ma carrière. On a trois enfants. On n'a pas de voiture de luxe, ni de vêtements de haute couture dans le dressing. Le seul truc de riches qu’on ait fait, c’est de voyager. Mexique, Île Maurice, Grèce, République dominicaine… Avec la petite famille, on s’est fait plaisir avec des destinations de rêve. En avril, on s'est envolé pour Dubaï, pour un budget de 6 000 €.
En début de carrière, mon gestionnaire de patrimoine m'a conseillé d’investir dans la pierre. Avec ma femme on a acheté 3 appartements neufs, mis en location à Saint-Étienne et en Bretagne. Malfaçons, loyers impayés : ces choix se sont révélés peu fructueux. Chaque mois, on rembourse 3 600 euros de crédits immobiliers, non compensés par les loyers. On y a sacrifié une partie de nos économies. Aujourd’hui, j’ai hâte de tout vendre. On n’a jamais eu un rythme de vie mirobolant, aussi du fait de ces investissements.
Je suis au chômage, indemnisé 5 300 € net par mois. Mon épouse a repris une activité professionnelle, dans une crèche, pour mettre du beurre dans les épinards. On est hébergé chez des proches, ça économise aussi un loyer. Notre plus gros poste de dépenses est celui des courses, 1 000 € pour une famille de 5.
Comme d'autres anciens pros, je suis en procédure judiciaire, soutenu par le syndicat des joueurs, avec mon dernier club, Grenoble, afin de toucher le « pécule », une sorte de prime de départ versée à la retraite, que j'espère de 130 000 €. On mise dessus pour acheter la maison de nos rêves dans notre région d’origine.
Je suis arbitre, c'est un débouché qu’on connaît peu, alors que c’est un métier qui offre de la responsabilité et de l’action. L’aspect financier a fini de me convaincre : un arbitre principal de L1 peut gagner entre 8 000 et 10 000 € brut par mois, selon les indemnités et primes de matchs. J'arbitre aujourd’hui au niveau régional.
Si tout va bien, un nouveau diplôme obtenu en juin me permettra d’arbitrer en N1 et N2. Tous les 6 mois, je serai noté et classé avec les arbitres de ma région dans le but de gravir les échelons. C’est un peu comme un championnat des arbitres, L’aspect compétitif est encore là, c’est intéressant. Si tout va bien, dans 2 ans je peux côtoyer la Ligue 2."
Maubleu en vert ?
05/07 08:47
Il y a 10 jours, la Pravda indiquait qu'Olivier Dall'Oglio souhaitait recruter un gardien mature. Hier, Le Dauphiné Libéré a souligné que le gardien grenoblois Brice Maubleu (34 ans) "a reçu des propositions de clubs huppés de Ligue 1".
"Le joueur a confirmé qu’il avait reçu des sollicitations et qu’il était en phase de réflexion. Au sein du GF38, on confirme que des contacts ont eu lieu et que des discussions se poursuivent. Mais, notamment en raison du dossier des droits télé de la L1 qui tarde à être réglé , le marché reste fermé pour le moment. Et on assure également du côté du GF38 que Brice Maubleu est sous contrat jusqu’en juin 2026 et qu’il ne partira qu’en cas de (très) grosse proposition, du genre qui ne se refuse pas. Mais l’affaire reste à suivre…"
Selon Grenoble Foot Infos, "l’ASSE l’a listé comme un candidat potentiel pour devenir la doublure de Larsonneur."
Puel encense Saliba (5)
05/07 07:07
Dans la Pravda du jour, Claude Puel ne tarit pas d'éloges sur William Saliba, qui s'apprête à défier Cristiano Ronaldo & co ce soir en quart de finale de l'Euro.
"J'ai connu Lilian ou Abidal, ils faisaient mal, ils avaient une densité physique assez énorme. William, c'est différent. Le duel, il ne le perçoit pas comme ça. Il défend toujours debout. Il est un peu tentaculaire, il met sa jambe, son corps, il enroule son attaquant. Ce qui le rend quasi impossible à contourner. C'est un joueur qui pense son jeu. Penser son jeu, c'est être capable d'anticiper les courses, les appels de l'attaquant avant même d'être dans le duel. C'est un superbe joueur à entraîner. Il a confiance en ses moyens, il n'y a pas d'arrogance chez lui. Les gens ne le savent pas, mais c'est un cérébral William, quelqu'un dans la réflexion qui est toujours en quête de progrès."
SEM sale l'addition de la location du Chaudron
05/07 07:01
Promue en L1, l'ASSE va devoir louer plus cher le stade Geoffroy-Guichard, comme le souligne aujourd'hui Le Progrès. Extraits.
"Propriétaire du Chaudron, Saint-Etienne Métropole avait accepté de renégocier la convention de mise à disposition du stade en diminuant la part fixe du loyer (1,1 million d’euros) de 538 000 euros (hors taxe) tant que les Verts évolueraient dans l’antichambre de l’élite. L'ASSE va de nouveau devoir s’acquitter du tarif Ligue 1 s’élevant, pour la part fixe, à 1 638 000 euros par an, comme avant la descente. Au total, l’addition sera en fait plus salée car l’avenant à la convention signé il y a deux ans prévoyait une augmentation des seuils de la part variable, basée sur le chiffre d’affaires généré par l’ASSE dans le stade."
Razik fier de son William serein (2)
05/07 06:46
Dans la dernière édition de la Pravda, Razik Nedder encense son ancien défenseur central William Saliba, qui va enchaîner une 5e titularisation à l'Euro ce soir à 21h00 contre le Portugal en quart de finale.
"La grande force de William, c'est qu'il est très patient dans le duel. Il y a des joueurs qui vont tout de suite se ruer pour récupérer le ballon. Lui, il est dans l'optique d'annihiler l'action. Il va attendre le mauvais contrôle, le mauvais positionnement, l'erreur de l'attaquant et intervenir. Cette année, on dirait qu'il est habité, tout le temps, hyper connecté au jeu même si l'action est à 90 mètres. On retrouve chez lui une hyper vigilance de très haut niveau."
Déjà 13 500 abonnés
05/07 06:33
Selon la dernière édition du Progrès, l'ASSE comptabilise déjà plus de 13 500 abonnés pour la saison à venir. "Parmi eux, 5 000 sont nouveaux et ont choisi, en grande majorité, de garnir le kop sud" précise le quotidien régional. Le record de la saison 2014-2015 (18 010 abonnés) va-t-il tomber ?