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poteaux carrés

Blaise le poulpe

01/11 09:42

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Paul le poulpe n'est plus, mais Blaise a les mêmes attributs que le célèbre mollusque ! "Ses jambes, c'est des tentacules" a en effet déclaré Christophe Galtier dans la Pravda d'avant-hier. Comme Jean-Marc Furlan (premier entraîneur pro de Matuidi), Laurent Roussey et Laurent Batlles, Galette a donné son avis sur le milieu de terrain ayant gagné le plus de duels en L1 depuis le début de saison (66,7 %).

 

Jean-Marc Furlan : "Dans le foot français, on ne met pas assez en avant ce type de profil, on est trop à cheval sur les capacités physiques. Si on regarde son gabarit, il n'a rien pour réussir. Mais je pense depuis longtemps que c'est un joueur d'exception. Il sait le jeu avant les autres. Au milieu, en défense, il peut être bon partout."

 

Laurent Roussey : "Pour moi, il est trop méconnu, il est beaucoup plus fort que beaucoup d'autres à ce poste de sentinelle. Il n'a pas un physique qu'on remarque, mais quand vous l'avez sur le paletot... L'année où on finit cinquième, il méritait déjà la sélection. Il n'est jamais fatigué."

 

Laurent Battles : "Là où il est impresionnant, c'est quand l'équipe baisse de rythme, et qu'il arrive à être constant, toujours aussi fort dans les duels. Il me fait penser à Makelele."

 

Christophe Galtier : "On oublie parfois son âge, on lui a peut-être donné trop de responsabilités trop jeune. Il a surtout besoin de se concentrer sur son jeu. Il a beaucoup progressé, il est beaucoup plus lucide. Il a encore une marge très importante. Mais cotôyer la sélection lui fait du bien. Là-bas, il progresse, il a les yeux, les oreilles grands ouverts."

Charmasson terrasse Polignac

01/11 09:22

Au sixième tour de la Coupe de France, Thiers (CFA2) a battu Polignac (Haute-Loire, DH) 3-1 grâce à un triplé de Paul Charmasson. Evoluant la saison dernière dans l'équipe réserve de l'ASSE, le jeune attaquant a ouvert le score sur péno à la 18ème avant de doubler la mise sur un coup franc à la Payet. Il a réalisé le hat-trick à l'ultime minute de la rencontre.

Pontal a planté

31/10 21:17

Le sixième tour de la coupe de France a eu lieu ce week-end. Andrézieux (CFA2) s'est imposé 4-1 sur le terrain de Cruseilles (Haute-Savoie, PHR), Mickaël Pontal ouvrant le score pour les hommes de Stéphane Santini. Dix-ans après son fabuleux parcours, Côte Chaude (PHR) rêve de rejouer à Geoffroy-Guichard : les Stéphanois se sont qualifiés aux tirs au but contre Saint-Denis-lès-Bourg (Ain, Excellence). En revanche, l'AS Veauche (PHR) n'a rien pu faire contre le SO Chambéry (CFA2) entraîné par David Guion. Titulaires, Stéphane Hernandez et Malick Faye se sont imposés 3-0 dans le Forez.

Le jarté de Parme

31/10 19:08

Sur un duel aérien a priori anodin, Gelson s'est fait exclure aujourd'hui à 6 minutes de la fin du match nul et vierge du Chievo Vérone à Parme : https://www.youtube.com/watch?v=C7EDdaLBeUc.

Lecomte a Visé juste

31/10 18:45

Ancien capitaine des U19 de l'ASSE, Raphaël Lecomte (22 ans) a marqué aujourd'hui le deuxième but de la victoire de Visé contre Turnhout lors de la 12ème journée de D2 belge.

Sélim Kayace dur dans le Val-de-Marne

31/10 16:30

Sélim Kayaci, jeune espoir de l'ASSE au poste de milieu de terrain, nous a livré ses impressions à l'issue de la victoire de l'Equipe de France U16 dans le tournoi du Val-de-Marne.

 

"Nous avons une équipe très offensive qui allie qualités techniques et athlétiques. Il y a du talent dans ce groupe. On a essayé de produire du jeu et on a su monter en puissance au fil des rencontres. Si on considère l'ensemble des trois matches (défaite 2-1 face aux Pays-Bas, victoires 2-1 contre la Norvège et 4-0 face au Portugal), je pense qu'on a prouvé qu'on était la meilleure équipe.

 

Sur le plan personnel, j'ai joué la première période face aux Pays-Bas et l'intégralité des deux autres rencontres. Je suis satisfait de mes prestations. Dans mon rôle de milieu défensif, j'ai récupéré beaucoup de ballons. Je dois encore apprendre à rester lucide et à conserver mon énergie mais je suis globalement satisfait"

Zouma, un faux pas à Paphos

31/10 15:24

Après avoir réussi ses débuts contre la Slovénie*, Kurt Zouma a fait un faux pas à Paphos (Chypre) contre le pays hôte. Titularisé une nouvelle fois dans la charnière centrale de l'équipe de France U17, l'athlétique défenseur stéphanois des U19 a dû se contenter avant-hier d'un match nul 1-1. Demain, les p'tits Bleus tenteront de se racheter contre l'Italie.

Sanou fait une belle jambe !

31/10 15:00

Germain Sanou a été sélectionné dans l'équipe du Burkina Faso qui affrontera la Guinée en match amical le 17 novembre au stade Michel Hidalgo de Sannois Saint-Gratien. Sanou fait une belle jambe mais Sanou fait pas avancer le schmilblick de sa situation à l'ASSE. Près de trois mois après avoir rejoint l'Etrat, il n'est toujours pas qualifié pour jouer avec l'équipe réserve des Verts, au grand dam de Jean-Philippe Primard !

 

Le jeune et prometteur gardien devrait toutefois garder les cages stéphanoises du 1er au 10 décembre prochain avec les U19. Les protégés d'Abdel Bouhazama participeront en effet à un tournoi international au Burkina Faso dans le cadre du cinquantième anniversaire de l'indépendance de ce pays anciennement dénommé Haute-Volta. Les sept autres participants de cette compétition sont le Barça, l'OM, Leiria, le Maroc, le Ghana, le Congo Brazzaville et le Burkina Faso. Le Jacques Foccart des Verts Gérard Fernandez sera évidemment du voyage. Il en profitera pour visiter Bobo Dioulasso, partenaire de l'ASSE... et club formateur de Germain Sanou !

Baup a sorti Robin des bois

31/10 10:29

C'est l'un des principaux faits d'armes revendiqués par l'ancien entraîneur stéphanois lors d'un intéressant entretien publié hier sur foot42. Morceaux choisis.

 

"Je me suis blessé gravement très tôt (à la suite d'un accident de voiture, ndlr) après avoir joué plusieurs saisons en CFA ou CFA2 et avoir été entraîneur-joueur à Castelnaudary en Honneur à 26 ans. Avant cette blessure, j'étais parti pour faire une carrière pro, c'était en tout cas mon objectif. Ensuite, comme je souhaitais rester dans le foot, passer à l'entraînement était tout naturel. C'était une manière de compenser la frustration de ne plus pouvoir jouer. Au départ, je n'ai pas mesuré la gravité de ma blessure, mais je suis quand même resté six mois sans pouvoir marcher. C'est ensuite, lorsque j'ai vu l'état de certains de mes copains de rééducation, qui ont fini paraplégiques, que j'ai pris conscience que, dans la vie, tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain. J'étais déjà content de pouvoir rester dans mon sport, de pouvoir espérer en vivre.

 

Etre un formateur, ça a rapidement été une vocation. Dans mes études, je me suis dirigé vers le professorat d'éducation physique et j'ai toujours été tourné vers l'entraînement, même lorsque je jouais pendant une dizaine d'années. Mais éducateur ou entraîneur, ce n'est pas le même métier. Former, c'est préparer la progression des joueurs. Entraîner c'est préparer une équipe. J'ai bien pris conscience de la différence lorsque je suis passé de la CFA de Saint-Etienne à l'équipe professionnelle, contraint et forcé par des dirigeants qui n'avaient pas d'autres possibilités financières à l'époque. Et une fois qu'on est passé chez les pros, on ne peut plus revenir en arrière, surtout après une dizaine d'années au plus haut niveau, car les clubs hésitent à vous faire revenir à la formation. Avec votre expérience, ça peut mettre trop de pression à l'entraîneur numéro un du club. Mais s'il avait fallu rester toute ma carrière à la formation, je l'aurais fait sans problème. Au départ, j'étais d'ailleurs davantage préparé à ça.

 

Au début de ma carrière, je suis resté dix ans à la formation, et lors de mes cinq premières années de coach, je m'attachais surtout au contenu des entraînements, aux exercices, à l'animation des séances. C'est l'aspect du job que je préférais. Mais avec l'élargissement des staffs techniques, avec le temps aussi, même si on vit au quotidien sur le terrain au milieu des joueurs, j'apprécie de plus en plus de pouvoir déléguer et prendre du recul pour se consacrer aux grandes orientations tactiques, au travail sur la vidéo, à la gestion humaine du groupe… C'est un travail d'équipe. On verra ce qu'il adviendra dans les deux ou trois ans mais je me verrais bien, sur un coup de cœur, avec des amis, m'investir de nouveau dans un club amateur, oui, pourquoi pas ! De toute façon, je n'envisage pas de ne pas rester le plus longtemps possible dans la vie sportive et dans l'éducation à travers le football. Pour le moment, pour être sincère, j'ai encore le goût de la compétition. Le terrain et le rythme des matchs qui s'enchaînent me manquent. La compétition, c'est un accélérateur de motivations qui vous maintient en éveil. Je ne suis pas très vieux mais ça vous permet de ne pas se voir vieillir.

 

Ma plus belle réussite de coaching ?  J'ai tenté plusieurs fois des coups avec des jeunes que j'ai fait jouer à la place de joueurs plus confirmés. A Saint-Etienne, j'ai lancé Coupet à la place d'Huc. C'était d'autant plus difficile pour moi que je connaissais bien Robin. A Bordeaux, j'ai enlevé Papin pour mettre Wiltord à sa place. Pas évident non plus… Mes plus grosses erreurs de coaching ? Chaque fois, ou presque, que j'ai voulu préserver un score en faisant sortir un joueur offensif, généralement excentré, par un joueur plus défensif. L'effet est généralement inverse et ça m'a fait appréhender de manière différente la gestion de ces fins de match. Désormais, j'ai une philosophie plus ambitieuse et joueuse sachant qu'il vaut toujours mieux se donner les moyens de garder le ballon donc d'avoir des joueurs capables de le faire et pas forcément davantage de défenseurs. Au niveau des échecs, j'ai aussi souvenir avoir fait confiance trop longtemps à des joueurs qui m'ont déçu."

Yahia répond à Machado

31/10 08:10

Le TFC a été tenu en échec (1-1) à domicile par le RC Lens. Auteur de trois passes décisives lors de la dernière journée, Paulo Machado a ouvert le score sur péno dès la 6ème minute suite à une faute d'Alaeddine Yahia. Le défenseur central des Sang et Or s'est racheté en égalisant à la 28ème minute : http://todayfoot.com/Football/25664.

Ostende en pôle position, ça roule pour Samy !

30/10 21:38

Samy Houri a marqué ce soir le premier but de la victoire (2-0) du KV Ostende contre le RFC Tournai. L'ancien milieu offensif stéphanois en profite pour prendre la tête de la D2 belge !

Sainté Baysse pavillon à Brest

30/10 20:58

Les Verts ont pédalé dans le kouign amann ce soir. Alors qu'Albin Ebondo a tiré sur le poteau en première mi-temps, les promus bretons ont fait la différence dans le dernier quart d'heure. Tandis que Sainté chute du podium, le Stade Brestois est le nouveau leader de la Ligue 1 !

 

La vidéo des deux  buts : http://minilien.fr/a0ltpk.

Le résumé vidéo du match : http://minilien.fr/a0ltpl

Mirallas marque contre les Verts !

30/10 20:39

Si le Panathinaikos a remporté ce soir le (très chaud) derby contre l'Olympiakos grâce à un doublé de Djibril Cissé, Kevin Mirallas a ouvert le score à la 37ème minute sur un bel exploit individuel : https://www.youtube.com/watch?v=LAHxOWPJFsQ

Ramon veut ramener Gonzalo

30/10 13:21

Auteur d'un début de saison très prometteur, San Lorenzo a perdu quatre de ses cinq derniers matches en ne marquant que deux petits buts. Dans la dernière édition du quotidien argentin Clarin, on apprend que l'entraîneur Ramon Diaz fait actuellement le forcing pour récupérer dès cet hiver son ancien goleador Gonzalo Bergessio.

Poyet contre Payet

30/10 10:09

Ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE, l'attaquant brestois Romain Poyet a marqué son premier but de la saison le week-end dernier à Bordeaux. Le natif du Coteau (Loire) évoque la rencontre de ce soir dans Ouest-France. "Ce match arrive au bon moment, mais ce sera difficile. Saint-Etienne est en plein renouveau, et possède des joueurs qui sont en train d'éclater cette saison. Ça va être un beau moment à vivre : on reçoit une équipe joueuse, un monument du foot français, et le stade sera plein. Mais ce sera une belle soirée uniquement s'il y a la victoire au bout..."

Ça sent le Saupin pour Bathenay !

30/10 09:14

Bientôt à l'affiche sur vos écrans*, Dominique Bathenay l'est également sur le terrain. Ce lundi à 15h00, il jouera dans la sélection As de Coeur contre une équipe d'anciens Canaris (dont Christophe Robert). Organisé au profit de l’association Un maillot pour la vie, qui vient en aide aux enfants malades de la région, ce match de bienfaisance aura lieu au stade Marcel Saupin (Nantes).

 

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B2620101016191220-Bathenay-et-Herbin-bientot-dans-vos-salles.html

Hérita forme ses héritiers (2)

30/10 08:21

Devenu remplaçant à West Ham, lanterne rouge de la Premier League après neuf journées malgré le recrutement de Frédéric Piquionne, Herita Ilunga revient pour France Football sur la fondation (http://www.banafootball.org) qu'il a lancée le 7 septembre dernier à Kinshasa.*

 

"Je suis originaire de la République démocratique du Congo. C'est un très grand pays avec environ 60 millions d'habitants. Dont 10 rien que dans la capitale à Kinshasa. Pas mal de secteurs se développent et on s'est dit "pourquoi ne pas apporter notre pierre à l'édifice". Avec un secteur que l'on connaît : le foot. On veut créer une école de foot qui associera une éducation scolaire de qualité pour les enfants avec une formation de football. Ce sera pour des gamins de 14 ans. On souhaite apporter cette formation "européenne" qui manque en Afrique et insister sur les valeurs de solidarité, de travail et de rigueur.

 

L'état congolais s'est également mobilisé et on a également été voir l'UNICEF et l'UNESCO. Tout le monde est à fond derrière le projet. C'est important car ça nous booste. L'Etat va donc nous mettre des locaux à disposition et on envisage d'ouvrir notre école en septembre 2011. Les détections commenceront en mars. On veut que ce soit l'élite car la première génération sera notre vitrine. Je croise les doigts pour que tout roule, que ça ouvre en temps et en heure et que l'on ait une longue vie. Car, au Congo, il faut donner des structures aux jeunes pour pallier aux problèmes de la vie."

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B5020100908201851-Hertita-forme-ses-heritiers.html

Momo, c'est mal !

30/10 08:02

Entre Brest et Sainté, le coeur de Maurice Bouquet ne balance pas du bon côté. L'entraîneur de Blois (DH) s'en explique aujourd'hui dans Le Télégramme.

 

"Je suis un enfant du Puy-en-Velay qui se trouve à 70km de Saint-Étienne et comme tous les gamins du coin, j'étais Vert. Mon père m'amenait voir les matchs. Ce sont des sacrés souvenirs d'enfance. Mais il faut bien comprendre que Brest m'a tout donné. Quand je rentrais sur le terrain, je sentais cette communion avec le public et tout cet amour pour l'équipe et pour moi. Je l'ai toujours senti. (...) Porter ce maillot vert, c'était mon rêve de gosse. Mais ce n'est pas la même chose que Brest. Je me répète: c'est à Brest que j'ai tout appris. Je souhaite que Brest l'emporte même si un match nul ne me gênera pas forcément. Quand le Finistère m'appelle, j'ai un frisson immédiat, c'est quelque chose qui me ravit. J'ai toujours l'espoir de revenir travailler un jour à Brest."

Icasa coché par José

30/10 05:49

Blessé depuis quatre matches, José Aloisio n'a pas raté le coche hier soir pour son retour contre Icasa en inscrivant de la tête le second but de son équipe  (victoire 2-0) : http://minilien.fr/a0ltnt. C'est le cinquième pion de la saison pour l'ancien taureau devenu alligator au Brasiliense FC Taguatinga. Cette précieuse victoire lui permet d'abandonner la lanterne rouge du Brasileirao 2010.

U19 : ASSE 1 - Grenoble 2

29/10 20:05

En match avancé de la 14ème journée du championnat U19, l'ASSE a été battue 2-1 à domicile par le leader grenoblois.

 

Auteurs d'une bonne première mi-temps, les Verts ont manqué de réussite, Pierre-Yves Argaud tirant sur la barre transversale. Les visiteurs ont profité d'une mauvaise relance de Maxence Chapuis pour ouvrir le score sur contre attaque à la 70ème minute. Le défenseur central Josué Albert a remis les deux équipes à égalité à la 78ème sur un joli coup franc dans le petit filet. Mais les Isérois ont exploité une erreur de marquage d'Aymeric Djeridi pour tromper Jérémy Vachoux à la 87ème.

 

La compo : Vachoux - Bencheikh, Chapuis, Albert, Polomat (Djeridi, 65')- Diomandé, Douline (El Moudane, 72'), Bulut, Maouche (Aouacheria, 30') - Mahaya, Argaud. 

 

La réaction d'Abdel Bouhazama : "C'est un coup d'arrêt car on restait sur trois victoires consécutives. Cette défaite laisse des regrets même si on a perdu face à une belle équipe. Grenoble n'est pas leader par hasard, c'est une équipe bien huilée avec pas mal d'atouts offensifs. C'était un match vivant, chaque équipe se rendant coup pour coup. Dans le jeu, on a parfois montré de belles choses, certaines séquences étaient vraiment intéressantes. Mais il y a encore trop de déchets techniques. Je déplore surtout un certain manque de rigueur et de concentration. En commettant des erreurs individuelles, on a donné le bâton pour se faire battre par des Grenoblois altruistes et très concernés."

Traoré a bon N'Daw

29/10 19:33

Et si Amara Traoré était le principal responsable du renouveau de Guirane N'Daw ? Le sélectionneur sénégalais a en effet maintenu sa confiance au défenseur stéphanois quand ce dernier faisait banquette chez ls Verts. "Par ses récentes performances, Guirane a démontré que sa sélection n'était pas une faveur" a déclaré aujourd'hui à l'agence de presse sénégalaise le dresseur des Lions de la Teranga. "S’il est vrai qu’il ne jouait pas avec l’équipe première, on savait aussi qu’il avait de la compétition et du rythme en jouant avec la réserve de Saint-Etienne. Nous n’avons droit qu’à 18 joueurs sur la feuille de match et en le voyant s’entraîner, on savait qu’il avait le niveau et les faits nous ont donné raison, largement. Il allie la puissance, la rapidité et la technique.’’ Guirane N'Daw, le grand absent des 23 joueurs nommés pour le Ballon d'Or 2010 ?

A l'abordage de Brest sans Monsoreau

29/10 17:15

Galette a divulgué la liste des 18 joueurs retenus pour affronter le Stade Brestois demain soir (19h00) à Francis le Blé.

 

Janot, Moulin - Néry, Bayal, Cros, Marchal, Ebondo, Sagna, Ghoulam - Matuidi, Landrin, N'Daw, Batlles, Payet, Sako - Bergessio, Rivière, Saadi.

 

Aux soins : Andreu, Bocanegra, Coulibaly, Guilavogui, Monsoreau, Perrin, Sanogo.

Xavi ravit Dimitri

29/10 15:17

Interrogé par France Football, Dimitri Payet vote Xavi pour le prochain ballon d'or. "Quand il était à Barcelone, Ronaldinho  était le meilleur. Et il a été récompensé pour ça. J'admire toujours ce joueur. Il m'a marqué et continue de le faire, depuis son passage à Paris jusqu'à maintenant au Milan AC. Cette année, j'ai plusieurs candidats. Iniesta, Xavi... Personnellement, je le donnerais à Xavi. Je suis admiratif de son travail de l'ombre et de sa qualité de passe. Le milieu de terrain espagnol arrive à placer ses partenaires dans des conditions très enviables. Je trouve qu'on n'en parle pas assez, mais c'est vraiment un très grand joueur."

In Galette we trust !

29/10 13:56

Version anglaise du site de la LFP, ligue1.com a publié avant-hier une interview de Galette sobrement intitulée "The Galtier Method". Pour celles d'entre vous qui ne maîtrisent pas la langue de Carlos Bocanegra, nous vous proposons une petite traduction !

 

"En ce qui concerne notre position au classement et les objectifs que nous nous sommes fixés pour cette saison, nous sommes en avance. Nous avons d'excellents résultats en termes de points gagnés et de buts marqués.

 

Pour l'essentiel, c'est dû au fait  que les gars étaient prêts à se battre après avoir vécu deux saisons difficiles. En outre, plusieurs joueurs clés ont retrouvé le terrain après de longues blessures. Par ailleurs, les joueurs expérimentés de Ligue 1 que je voulais vraiment recruter ont intégré l'équipe très rapidement. Désormais nous avons un excellent équilibre entre nos joueurs expérimentés et nos jeunes talents.


J'aime dialoguer avec les joueurs à tout moment, j'ai été capable de bien connaître leur personnalité, de savoir qui a besoin d'une approche plus personnelle et qui a besoin simplement d'avoir des instructions. J'ai passé énormément de temps à m'entretenir individuellement avec les joueurs. C'est mon style mais je regarde aussi sur ce que font les autres entraîneurs. J'écoute attentivement et il me semble que c'est beaucoup mieux d'avoir des discussions avec les joueurs un à un plutôt que d'essayer de faire passer votre message à toute l'équipe, une situation où vos mots s'évaporent facilement.

Au début de la saison, j'ai emmené toute l'équipe dans une mine. Je voulais montrer et expliquer aux joueurs et de leur ce que nos fans attendent de nous. Au stade Geoffroy-Guichard, les tribunes sont pleines de plusieurs générations de familles de mineurs. Des enfants de mineurs, des petits-enfants de mineurs. Je voulais que les joueurs ressentent ce que représente la mine, parce que quand vous descendez au fond, il y a un mot indispensable : la solidarité. Sans elle, tout le long de la descente, vous pouvez mourir.

Ce fait m'a impressionné, je voulais transmettre cela aux joueurs, pour leur dire que sans la solidarité, l'engagement à la fois sur le plans individuel et sur le plan collectif, on ne peut jamais faire des choses incroyables. C'est quelque chose que je voulais vraiment faire et Je sais que cela a beaucoup marqué un grand nombre de joueurs. "

Coupet a le vent en coupe !

29/10 11:52

Sur le site de So Foot, Cherrif Ghemmour rend un bel hommage à Grégory Coupet, qui a éliminé les vilains de la Coupe de la Ligue. Extraits.

 

La dure fin des gardiens de buts

Comme si c’était hier… Ce mercredi 8 novembre 1979, en 8ème aller de Coupe de l’UEFA, St-Etienne reçoit les Grecs de l’Aris Salonique. Match fastoche que les Verts prennent par le bon bout avec un but de Platoche à la 14ème. Sainté déroule jusqu’à cette 35ème où le gardien de l’ASSE, le Yougoslave Ivan Curkovic, relâche un ballon qui profite à Sermrzidis. Egalisation, 1-1. Stupeur à Geoffroy Guichard : en coupes d’Europe et à dom, le Chaudron est un sanctuaire où les Verts ne perdent jamais et même où se faire remonter et égaliser est inouï… Mais le malaise est ailleurs : la boulette de Curko, idole du Peuple Vert, apparaît comme un signe avant-coureur du déclin inexorable de l’indéboulonnable Curko (Ivan n’a raté que 3 matchs depuis son arrivée en 1972). Le choc reste « intérieur » chez les supporters. D’autant plus que Sainté atomise quand même l’Aris 4-1. Après le match, Curko élude très maladroitement son erreur et plaide le mal pour le bien : grâce à bourde, ses coéquipiers se sont réveillés et à 1-1 ils sont repartis du bon pied… Curko se ment à lui-même et il le sait. A 35 ans, il sait que la fin approche. Mais il ne se résout pas à « lâcher l’affaire ». Orgueil, fierté, peur d’arrêter… Un truc vieux comme le monde : l’angoisse de la fin de carrière. Chez les gardiens, cette angoisse est pire que chez les joueurs de champs puisque que la fin ne s’opère que rarement de façon douce. Elle intervient quand on n’est « moins décisif ». Plus cruel : c’est à l’occasion de bourdes, de boulettes, de ratés bien visibles que la (petite) mort frappe très fort à la porte. Et là, il faut se faire une raison… Dans la douleur.

Stéphanois, franc et loyal

Ivan Curkovic finira cette saison 1979-1980 décevante pour les Verts, seulement troisièmes malgré Platoche, Rep et Zimako. Curko est reconduit pour la saison suivante. Mais il est mis en concurrence avec le jeune Jean Castaneda, 23 ans, qui a grandi dans l’ombre de Curko. Ce dernier a déjà beaucoup appris à son cadet et il s’apprête à lui passer le flambeau. Le 5 août 1980, après une défaite inattendue à Bastia (1-2), lors de la troisième journée de championnat, le grand Curko comprend que tout est fini pour lui. Le match d’après, Castaneda est titulaire : Sainté écrase Nancy 4-1 et cinglera vers son dixième titre de champion de France. Ivan Curkovic jouera le jeu en aidant et conseillant lui-même son jeune successeur. Meurtri mais loyal. La classe… Curko sera du staff des Bleus d’Hidalgo au Mundial 1982, préparateur des gardiens. Fin de l’histoire… Curkovic, Coupet, même histoire ? Un peu, oui : Saint-Etienne, c’est depuis toujours un club « d’hommes vrais ». Le Stéphanois ne ment pas, ne triche pas, ne dissimule pas. Herbin, Jacquet, Larqué, Santini, Sagnol, Coupet : un langage direct et franc. Que ça plaise ou non. Honnêteté et loyauté, droit dans les yeux et droit dans ses bottes. Greg Coupet, c’est lui aussi cet ADN « vert » de la franchise et de la loyauté.

Chapeau Greg !

 

Edel (comme Castaneda avec Curkovic) a eu la chance immense d’avoir eu Coupet comme prédécesseur. Epargné par un conflit d’ego qui aurait tourné en sa défaveur, Edel a évolué plus sereinement et il se révèle cette saison match après match. « Je ne me projette pas sur le championnat », déclarait encore Greg, hier. Façon de dire : « A toi de jouer, Apoula ! Maintenant, c’est ton tour ! L’avenir c’est toi, la vie t’appartient ! ». Chapeau, Greg. La super classe.

Cartons verts

29/10 11:21

La commission de discipline de la la LFP a sanctionné hier Albin Ebondo d'un match ferme de supension en raison de ses biscotes prises contre Toulouse, Nice et Caen. Comme nous le rappelle le potonaute ozzy dans cet éclairant tableau, Blaise Matuidi est quant à lui suspendu pour le match de coupe de la Ligue à Auxerre.

 

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Juju n'est plus le chouchou

29/10 08:55

De nombreux supporters stéphanois ont eu un (yohan) haut-le-coeur en voyant les potous de Julien Sablé à Anthony Mounier lors de l'égalisation niçoise. Dans Libération du 23 octobre, le capitaine des Aiglons révèle la relation particulière qu'il entretient avec l'ancien p'tit vilain.

 

"Je suis très proche de Didier Digard (24 ans) et Anthony Mounier (23 ans). Ils m’apportent de l’insouciance, de la fraîcheur, mieux que le Botox. On adore le foot. On en parle sans arrêt. Je me vois à leur âge. Après un échec, ils sont tentés d’en rajouter à l’entraînement : c’est humain, le mec a la rage, c’est un moyen de reprendre la main. Mais le foot, c’est le samedi. Pas avant. Moi, j’essaie de faire passer des messages. Jamais de manière frontale : avec Didier, ça ne passerait pas.

 

J’ai perdu ma mère à 18 ans, j’avais disputé cinq matchs en pro : je n’ai pas fait le deuil, je me suis mis dans le boulot à fond et j’ai zappé mon adolescence. Au fil des saisons, j’ai cherché à montrer une bonne image de moi sans me soucier de savoir si elle me correspondait vraiment. A Saint-Etienne, ça allait : c’était mon club formateur, j’étais le chouchou, et dans ce cas-là, les problèmes que tu crois avoir n’en sont pas. Ça s’est compliqué à Lens en 2007 : dans un vestiaire rempli d’internationaux, mes performances sont apparues en décalage avec le statut auquel j’aspirais.

 

Dans le foot, la légitimité vient du terrain. Toujours. A Lens, j’ai fini quatre mois à la cave. Au fond, c’était un problème entre moi et moi. J’ai compris que je n’étais pas celui que je voulais être ; un monstre mental qui s’impose en un claquement de doigt partout où il passe. Moi, je suis un joueur de devoir. Je ne vais pas gagner le match tout seul, sur un geste. Mon éventuel leadership, je dois le construire semaine après semaine, à chaque match, à chaque entraînement : il va cheminer lentement dans l’esprit de mes coéquipiers. Je suis un joueur qui a besoin de s’ancrer dans les clubs où je suis sous contrat. J’ai mis du temps à le comprendre."

Et voilà Ewolo !

29/10 05:23

Radio France Internationale a diffusé hier soir une interview du Congolais Oscar Ewolo, capitaine du Stade Brestois.

 

"On a tout simplement décidé de mettre l’accent sur l’aspect défensif. Lors des trois premiers matchs, on a beaucoup joué au ballon. On faisait des bons matchs. Même au niveau des commentaires, il y avait un bon ressenti mais, au final, on ne prenait pas de points. Ou très peu par rapport à ce qu’on fournissait comme jeu. Depuis qu’on a mis l’accent sur le défensif, tout va mieux. Tactiquement on est bien au point sur notre 4-4-2. Et puis on a compris qu’en Ligue 1, il fallait développer une autre mentalité, être d’avantage concentrés pendant les 90 mn. Voilà les ingrédients.

 

Je crois d’abord qu’il faut être au bon endroit au bon moment. Avoirs les bons coéquipiers. Et puis le fait de garder une bonne partie du groupe de l’année précédente permet d’avoir des repères car on se connaît. C’est tout de suite plus simple. C’est beaucoup plus compliqué pour les équipes qui repartent de zéro. je considère qu’on est encore dans une phase d’apprentissage. On sait qu’on est solides mais il va falloir qu’on apprenne à d’avantage développer notre jeu. Défensivement, on a des références mais on n’a pas encore réussi à allier les deux : montrer ce que l’on sait faire avec un ballon et rester solided aussi. Le match de Bordeaux était un très bon match. Monaco aussi, ce n’était pas trop mal (victoire 1-0) mais je trouve que l’on n’a pas encore réussi à faire une prestation complète.

 

Tout le monde nous dit que si on bat Saint-Etienne, on sera leader au moins deux heures. Mais nous, les joueurs, on n’est pas trop focalisés sur ça. On sait que le football, ça va très vite. Les bons moments, il faut savoir les apprécier. On sait que l’objectif, c’est le maintien. Une fois le maintien assuré, on changera peut-être nos ambitions mais, pour l’instant, l’objectif c’est arriver à 40 points pour assurer le maintien. Il faut garder les pieds sur terre. Partout où je suis passé j’ai vécu des moments forts mais cette quinzième saison chez les pros fait partie des super moments de ma carrière, c’est clair."

La FFF zoome sur Zouma

28/10 20:46

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Défenseur central des U19 de l'ASSE, Kurt Zouma participe actuellement à Chypre au premier tour de l'Euro 2011 des U17. Notre jeune vert bleu, qui a joué lundi 90 minutes contre la Slovénie (victoire 1-0), affrontera le pays hôte demain puis l'Italie lundi. Il s'est confié aujourd'hui sur le site de la FFF. Extraits.

 

"Je suis très heureux d'avoir rejoint ce groupe de joueurs. J'ai même eu la chance d'être capitaine l'an passé face à la Belgique et cela reste un grand moment pour moi. Depuis mes débuts dans cette équipe, j'ai été très bien intégré. Tout le monde tire dans le même sens, a envie de réaliser de belles choses en commun. Notre objectif est simple, aller au Championnat d'Europe en Serbie l'été prochain. Porter ce maillot bleu, c'est toujours une immense fierté. Les proches, les amis, les gens dans nos clubs nous en parlent beaucoup et on se rend bien compte de l'importance d'être sélectionné pour défendre les couleurs de notre pays.

 

Patrick Gonfalone aime voir son équipe aller de l'avant, avoir le ballon et tenter de poser le jeu. Depuis le début, il insiste beaucoup sur la maîtrise et la possession de balle. On dispose de joueurs très doués offensivement, vifs, techniques et adroits devant le but, donc on essaie d'en profiter. L'objectif est de proposer un jeu séduisant mais aussi et surtout efficace. Il nous reste encore beaucoup de travail à faire mais nous sommes sur la bonne voie."

Le vent du poulet

28/10 17:35

Accusé par un policier (Cris ?) d’avoir adressé des gestes obscènes lors du récent derby remporté chez les vilains, Jérémie Janot a été blanchi ce soir par la commission de discipline de la LFP. Moralité : malgré ses jérémiades, le poulet s'est pris un vent.

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