Blessé au dos lors de son entraînement mardi soir, le prolifique buteur d'Evian, Saber Khlifa (5 buts cette saison dont 3 lors de la dernière journée à Montpellier) devrait se faire opérer. Son absence est estimée à 6 semaines, ce qui devrait le priver du Evian-Sainté programmé le 17 novembre.

On imagine qu'il avait coché cette date sur son agenda. Le 10 novembre, l'ESTAC de Sébastien Grax se déplace dans le Chaudron pour la 12ème journée du championnat. L'ex-Vert qui reste notre dernier buteur en coupe de l'UEFA (contre Brême) risque fort de rater les représailles. Il est parti soigner son genou à Saint-Raphaël mardi et son retour sur les terrains n'est pas prévu avant un mois.

Rappelons qu'outre son pion égalisateur contre Brême (2-2), Grax avait brillé dans le Chaudron (si si !) déja sous le maillot Troyen, en offrant à son club sur coup franc l'égalisation contre Sainté en janvier 2006 (1-1). 

Christophe Galtier était l'invité de l'émission "Le Club" ce soir sur beIN SPORT. A (re)voir ici, l'intervention de Galette a été retranscrite par nos soins !

"Alain Perrin m'a propulsé quand il a été démis de ses fonctions à l'ASSE. Je n'aurais pu accepter ce poste que si j'avais eu son aval. Quand on m'a proposé le poste, j'ai demandé à Alain. Il m'a dit : "c'est à ton tour, c'est à toi maintenant. Tu es capable de le faire, de tenir le poste." Je me suis lancé mais sans son aval ça aurait été impossible. Maintenant que je suis numéro un, je suis toujours aussi proche de mes joueurs. Je suis comme ça. J'ai besoin de sentir le joueur. La relation humaine est très importante chez moi, j'aime les joueurs. Je suis proche de mes adjoints, j'ai un staff assez étoffé. Je fais très attention à eux, comme l'ont fait les entraîneurs avec qui j'ai travaillé (…) Entraîneur, c'est un métier très difficile sur un plan mental comme sur un plan physique. On participe à la vie du club, on est très attentif à respecter un certain équilibre dans le vestiaire, un équilibre financier. J'ai voulu cela car il y avait trop de décalage entre les uns et les autres dans le vestiaire. Un joueur qui ne joue pas ne peut pas gagner trois fois plus qu'un joueur qui joue.

Notre neuvième place au classement ne me satisfait pas. On n'est pas récompensé des matches que l'on a faits, de ce qu'on a pu produire. On marque beaucoup de buts, on en prend peu mais on n'est que neuvième. On a fait deux contre-performances, notamment contre Sochaux à domicile, où on laisse trois points qu'on perd dans le dernier quart d'heure. On laisse aussi deux points face à Reims, même si on a fait un bon match et qu'on s'est créé beaucoup de situations. Ce sont des points qu'il va falloir récupérer avec l'envie de marquer des buts, l'envie de faire du jeu. L'objectif est de faire mieux que la saison dernière, sachant qu'on avait fini septième. Sixième, cinquième, est-ce qu'on sera à une place européenne ? Ce que je sais, c'est que depuis 1981, il n'y a pas trois saisons d'affilée où Saint-Etienne a fini dans la première partie du tableau. On doit progresser, il y a un vrai projet avec la création du stade qui sera fini en 2014. Je sais que j'ai des dirigeants qui font très attention aux finances mais ils sont aussi très ambitieux et visionnaires.

On a axé le recrutement sur la Ligue 1 et l'expérience. François Clerc est international, Brandao connaît les joutes européennes. Renaud Cohade a joué beaucoup de matches de L1. Romain est un joueur très talentueux, beaucoup de clubs voulaient s'attacher ses services. Mes présidents et ma direction ont été sur ce dossier là très intelligents. Ce qui fait pencher la balance, ce n'est pas l'aspect financier. Il y a tout d'abord l'histoire du club, il y a les supporters, il y a la ferveur autour de ce maillot vert. Et après il y a un certain état d'esprit qu'on essaye de développer saison après saison. Comme ils connaissent la plupart des joueurs, ils échangent. Mes cadres et mes joueurs dans le vestiaire leur disent toujours de bonnes choses. Tout ça se fait au fur et à mesure. Il y avait des contrats en cours, des échéances importantes. Je pense à l'opération quand on n'avait que quinze points à la trêve. Ça a été très difficile de dégraisser et de remplacer des joueurs. On a fait ça étape par étape. C'est passé aussi par la vente de joueurs. On sait que lorsque des joueurs viennent à Saint-Etienne, si ça marche, ils sont peut-être aux portes de l'équipe de France. Ils sont transférables dans des conditions très intéressantes pour les uns comme pour les autres. Un joueur comme Dimitri avait plus de trois saisons chez nous, c'était la fin d'un cycle. Tout le monde s'est retrouvé gagnant dans cette opération. A la fois le club et le joueur. Quand un joueur ne veut pas rester, c'est mon intime conviction, il faut trouver le bon compromis pour que tout le monde soit gagnant dans la transaction. Il ne faut pas garder un joueur qui ne veut pas rester.

A la fin du prêt d'Aubame par Milna, ce n'est pas que je n'étais pas super favorable pour qu'il reste. Il y avait une réflexion par rapport aux joueurs que l'on devait garder. On devait rétablir un certain équilibre au niveau des finances. Est-ce qu'il y allait avoir le départ de Manu Rivière ou pas ? Je ne voulais pas que les joueurs se marchent dessus. Dès qu'il y a eu le départ de Manu à Toulouse, on a opté pour faire revenir Aubame qui nous avait montré de la qualité sur les six mois où il n'avait pas pu beaucoup s'exprimer. Il a encore une marge énorme, et en plus c'est un garçon intelligent comme la plupart des garçons que j'ai. Il sera dans un gros club européen car c'est un perfectionniste. C'est quelqu'un qui fait très attention à son hygiène de vie. C'est quelqu'un qui vit football, qui vit pour le football. Brandao, c'est l'expérience. Je cherchais ce pivot-là depuis un petit moment, cet attaquant de fixation et ce joueur de surface aussi. Ça permet de libérer un peu Aubame, qui était avant le match de Nancy à son 62ème match depuis août 2011, titulaire. On pensait qu'il allait partir à la CAN, malheureusement pour lui il n'est pas qualifié. On avait anticipé cela avec la présence de Brandao. Les papiers que j'ai donnés à Mignot contre Lille et à Gradel lors de son entrée en jeu contre Nancy ? C'est simplement des messages pour repositionner les joueurs sur les coups de pied arrêtés suite à des changements. Après deux saisons, j'ai compris que ça en servait à rien de faire des gestes, il vaut mieux un petit mot !

J'ai des convictions, pas des certitudes. Je suis investi au club depuis trois saisons et demi, bientôt quatre au mois de décembre. Je suas où je suis, je sais avec qui je travaille. J'apprécie les gens avec qui je travaille. Je me suis moi-aussi fixé des objectifs très précis. On collabore. L'objectif est de durer et surtout de gagner des trophées."

Comme prévu, l'ASSE et la Jeanne d'Arc de Drancy ont signé ce mercredi une convention de partenariat.  Roland Romeyer, Dominique Rocheteau, Bernard David, Gérard Fernandez, Michel Saez (président de l'association ASSE) et Ludovic Paradinas (scout stéphanois en Ile-de-France) étaient de la partie comme l'atteste le reportage photo publié sur le site du club francilien.

La visite dominicale de Rocheteau aux Clayes-sous-Bois n'est pas passée inaperçue. A l'honneur sur TVFIL78, l'Ange Vert a accordé un entretien à Yvelines Première dont nous avons retranscrit les principaux extraits.

"J'éprouve un sentiment de fierté et de reconnaissance. Mais le plus important n'est pas de donner mon nom à un stade ou à un terrain, c'est d'être porteur de valeurs. Si je continue à œuvrer dans le football et à côtoyer plusieurs générations, et notamment beaucoup de jeunes à travers le club de Saint-Etienne et à travers les stages que j'ai organisés, moi c'est surtout les valeurs que j'ai portées pendant ma carrière que je défends et que j'essaye de véhiculer maintenant (…) Le football reste le football, je ne l'ai jamais vraiment quitté. Je suis revenu dans le football professionnel depuis trois ans puisque je suis responsable sportif à Saint-Etienne. Heureusement, les joueurs ont encore des valeurs. A Saint-Etienne, on est un club qui défend des valeurs. Des valeurs qui ont fait que Saint-Etienne est encore dans l'esprit des gens, et ça continuera.

Après, il y a le football business bien sûr. Ce qu'est devenu le PSG, c'est une évolution énorme par rapport à ce que j'ai connu avant Canal Plus, à l'époque Borelli. On a eu des titres quand même avec Gérard Houllier. C'est ce que je souhaite aussi au Paris-Saint-Germain actuel, de gagner des titres et d'aller toujours plus haut. Le PSG doit tirer tout le football français par le haut. Même si le PSG devient un grand club européen, je souhaite qu'il continue à faire de la formation, à être un club formateur comme il l'a toujours été. J'espère que ça perdurera, même si je sais que ce n'est pas forcément évident quand on veut jouer le très haut niveau. Le PSG veut jouer avec les plus grands d'Europe. Le PSG sera champion de France cette saison, c'est évident. Même s'ils ne sont pas réguliers, même s'ils n'ont pas encore atteint le niveau de jeu qui devrait être le leur, ils vont à mon avis très rapidement dominer le championnat de France.

Mais bon, un match est un match. Nous avec Saint-Etienne on vient dans un mois, on va y croire ! En football tout est possible, c'est ce qui fait l'intérêt de ce sport. Maintenant, c'est sûr qu'on ne sera pas les favoris. Ibrahimovic est en train de prendre ses marques au Parc des Princes, ça va devenir difficile. C'est un grand joueur, je suis très heureux qu'il soit venu dans le championnat de France. C'est un joueur talentueux. Plus il y en aura dans le football français, mieux ce sera !"

Sur le site du quotidien gratuit 20 Minutes, Sylvain Monsoreau parle de son ancier coéquipier stéphanois Blaise Matuidi, rayonnant hier avec les Bleus contre la Roja.

"Il a côté un peu innocent, comme les enfants. Il est respectueux de tout le monde et facile à vivre. A Saint-Etienne, il restait avec Bafé surtout. Il a été capitaine un bout de temps avec nous, tout en respectant les anciens, à l’image de Sakho à Paris. C’était un capitaine discret, qui ne parlait pas beaucoup. Il était de bon conseil et il pouvait lui arriver de recadrer, mais il ne rameutait pas forcément les troupes. C’est aussi le type de joueur avec qui on peut aller à la guerre. Il va toujours se battre, répondre présent. Il est toujours dans la recherche de la victoire. C’est un moteur dans une équipe. Sinon, c’est quelqu’un qui est tête en l’air, capable d’oublier son porte-monnaie dans le vestiaire et de se barrer chez lui. Ou de mettre deux chaussures différentes et de s’en apercevoir dans la voiture."

Auteur d'une remarquable prestation dans l'équipe de France qui a tenu l'Espagne en échec à Madrid, Blaise Matuidi n'est pas le seul ancien Vert à s'être illustré ce soir lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2014. Helder Postiga a marqué le but égalisateur du Portugal contre l'Irlande du Nord (score final 1-1).

Après avoir vécu l'enfer à cause d'un  genou en compote, David Hellebuyck (33 ans) a dû mettre un terme à sa carrière en fin de saison dernière. Il donnera le coup d'envoi de Nice-Sainté samedi soir. "Si j'ai accepté, c'est simplement parce que je voulais dire au revoir. Malheureusement, je n'ai pas vraiment pu le faire auparavant", explique l'ancien milieu de terrain des Verts et des Aiglons dans le programme du match qui sera distribué au Ray.

L'Espagne n'a plus perdu depuis le 16 juin 2010, date à laquelle Gelson avait marqué l'unique but de la victoire helvétique. Dans la Pravda du jour, l'ancien milieu de terrain stéphanois revient sur cette performance.

"Pour l'instant, c'est le plus beau souvenir de ma carrière, mais qu'est-ce qu'on avait couru ! Face aux Espagnols, tu n'as pas le choix : ça ne sert à rien de travailler au tableau noir. Comme ils bougent tout le temps et qu'ils sont créatifs, si tu n'es pas compact, solidaire et prêt à courir, tu es dans la mouise."

En match de barrage retour, les Bleuets ont pris l'eau ce soir en Norvège. Menés 3-0 après 27 minutes de jeu calamiteuses, les Français ont repris espoir à la 29ème grâce à la réduction du score de Josuha Guilavogui, meilleur joueur tricolore de la rencontre, remplacé à la 65ème minute après le quatrième pion norvégien. Menés 5-1, les Français sont revenus à 5-3 malgré la case en mois du vilain Lacazette, expulsé pour un coup de boule. Malgré sa victoire 1-0 au match aller, la France ne participera pas à la phase finale de L'Euro.

Selon L'Eveil de la Haute-Loire, Roland Romeyer a assisté dimanche à l'élimination des Verts de Saint-Ferréol d'Auroure (Haute-Loire), battus 6-0 par Limonest (vilaine équipe évoluant six divisions au-dessus). Roro est venu en voisin encourager un club altiligérien qu'il a fondé en mai 1980 avec les parrainages de Roger Rocher et Patrick Battiston. 

Auteur d'un excellent début de saison avec le SCO d'Angers (deuxième de L2), Yoric Ravet se confie dans la dernière édition de l'autoproclamée "bible du football".

"Etre prêté sans option d'achat, ça montre que Saint-Etienne a prévu de me regarder de près, c'est gratifiant. L'ASSE est un grand club, les dirigeants et les supporters veulent de gros joueurs, c'est normal. Je savais qu'il fallait que je joue, le bon choix à faire, c'était de partir. Quand le coach d'Angers m'a rappelé, je n'ai pas hésité. C'est le genre d'équipe que je recherchais, avec un jeu qui me correspond. Etre en tête du classement des Etoiles de France Football, ça aussi c'est gratifiant ! Finalement, ça m'a sans doute fait du bien de quitter mon cocon, même si je n'ai pas joué à Saint-Etienne. J'avais besoin de changer d'univers. A Sainté, j'ai douté de moi, je me suis demandé si j'avais le niveau. Avec le recul, ce mauvais passage a été un mal pour un bien. Aujourd'hui, je sais d'où je viens, par où je suis passé, et ça me permet d'avancer."

S'il est un club dans le monde dont on se sent naturellement proche, c'est bien Liverpool. Ville ouvrière ayant souffert, club phare des années 70, et une confrontation mythique au printemps 1977... La gemmélité entre l'ASSE et les Reds est évidente. Au "this is Anfield" affiché à la sortie des vestiaires de l'antre du Liverpool FC a répondu quelques années plus tard un bien senti "ici c'est le Chaudron" à GG. Et comme à Sainté, on a décidé à Liverpool de ne pas tourner le dos au mythe en prenant une décision forte : celle d'abandonner le projet de création d'un nouveau stade. Le directeur exécutif du club Ian Ayre a en effet déclaré hier : "la construction d'un nouveau stade n'est pas viable économiquement. C'était aussi la préférence de la majorité des fans -de rester à Anfield-. Anfield est le foyer spirituel du Liverpool Football Club".

Pour fêter cela, il ne nous reste plus qu'à nous retrouver pour un nouveau printemps européen entre les deux clubs.

Camel Meriem n'est plus un espoir. Pour tout dire on l'avait largement perdu de vue depuis son passage à Arles Avignon. Demain il aura 33 ans et pour sa 2ème saison à Nice, il s'est fait offrir en avance de phase un joli cadeau : il a été élu la semaine dernière Aiglon de septembre par les internautes du site officiel niçois. Avec deux buts et une passe décisive, son influence sur le jeu est réelle et il fait parler son expérience à sa manière, lui qui se décrit "plus du genre à montrer la voie sur le terrain que par la parole".

Gageons que Clément and co sauront samedi soir (Nice-Sainté, 20h) réduire cette influence à son minimum.

Accompagné de Henri Guaino, Dominique Rocheteau a inauguré hier un terrain à son nom aux Clayes-sous-Bois (Yvelines). La télévison locale de Saint-Quentin-en-Yvelines TVFIL78 a consacré un bref reportage à cet évènement. 

Roro et l'Ange Vert seront dans le 93 mercredi pour signer comme prévu un contrat de partenariat avec la Jeanne d'Arc de Drancy, club de CFA dans lequel évolue Frédéric Mendy, auteur d'une passe décisive ce week-end synonyme de qualification pour le 6ème tour de la Coupe de France. La délégation stéphanoise assistera à cette occasion à une opposition entre les U14 et les U15 de ce club francilien réputé pour la qualité de sa formation.

Dernier du classement de L2, le deuxième gardien sedanais Florent Perraud (30 ans) s'est confié aujourd'hui dans L'Union.

"Ça peut paraître une phrase bateau, mais ce n'est qu'en travaillant qu'on s'en sortira. Il faut faire le dos rond et tirer tous dans le même sens. Aujourd'hui, il faut faire profil bas et s'appliquer sur ce qu'on doit faire. On a besoin de retrouver de la confiance. Ça passe par revenir à des bases comme réussir les passes faciles, gagner les duels. Dans ma carrière, j'ai joué plusieurs fois le maintien. J'ai connu la descente deux fois, notamment avec Saint-Etienne alors que j'avais 18 ans. J'étais le troisième gardien, j'avais vécu cette expérience avec ma jeunesse. Plus tard, je me suis maintenu avec Dijon en Ligue 2, puis avec Gueugnon et Colmar en National. Il a à chaque fois fallu afficher des valeurs de combat.

Lorsqu'on fait partie des anciens d'un effectif, il ne faut pas passer pour un donneur de leçons. Mais en dépit de la différence de génération, je discute énormément avec les jeunes. Ils m'écoutent, ils ont conscience de la complexité d'acquérir le maintien, car ils ont compris combien il était compliqué de gagner un match. Mais il faut qu'ils sachent qu'assurer le maintien représente une joie exceptionnelle. Un club, ce n'est pas seulement une question de ballon, il y a des salariés derrière. Beaucoup de choses peuvent découler d'un maintien. Quand j'étais plus jeune, j'ai aimé que des anciens me donnent quelques directions. Aujourd'hui, je peux faire profiter de cette expérience."

L'Algérie s'est qualifiée hier soir pour la CAN en battant la Libye 2-0. Titularisé dans la défense centrale des Fennecs, Carl Medjani a délivré une passe décisive de la tête sur l'ouverture du score.

Dans un long entretien accordé So Foot, le néo-bastiais Julien Sablé revient sur sa période de chômage, notamment sur son court séjour à l'Etrat :

Samedi 10 novembre, l'ASSE affrontera Troyes à 20h à Geoffroy Guichard pour le compte de la 12ème journée de championnat de France.

Une info anodine apparemment. Mais pas vraiment en réalité, car ce sera seulement la 2ème fois de la saison que l'ASSE recevra dans le Chaudron un samedi à 20h (la -triste- première avait eu lieu contre Sochaux). 

Lynel Kitambala est de retour sur un terrain de football après sa blessure le 31/08 pour sa première titularisation avec Dresde, en d2 allemande. Entré à la 73è minute de jeu à Cologne, il n'a pu aider ses coéquipiers éviter l'égalisation du club de Rhénanie du Nord-Westphalie. Après ce match nul 1-1, Dresde pointe avec 9 points à la dixième place du championnat, soti deux points de plus seulement que l'avant dernier Sankt Pauli.

Jérémy Clément a participé samedi soir à un Foot Concert à Lyon au profit de l'association Huntington Avenir, qui vient en aide aux familles touchées par la maladie de Huntington, affection génétique du système nerveux central, neuro-dégénérative, héréditaire et incurable à ce jour. Délaissant François Clerc, l'hyperactif milieu de terrain stéphanois s'est affiché aux côtés de Claire Keim.

Deux anciens gardiens stéphanois ont joué ce soir les matches retours des barrages de la CAN 2013.

Battu seulement 1-0 par la République centrafricaine lors du match aller à Bangui grâce à ses nombreuses parades décisives, Germain Sanou a concédé l'ouverture du score ce soir à Ouagadougou. Mais les Etalons du Burkina Faso ont arraché la qualification en marquant leur troisième but à la 96ème minute !

Comme l'ancien finaliste de la coupe Gambardella, Carlos Kameni a gagné après avoir encaissé le premier but. Mais la victoire 2-1 du Cameroun face au Cap-Vert est insuffisante pour le portier de Malaga, défait 2-0 à l'aller donc éliminé.

Battu 2-1 ce soir à Lomé par le Togo après avoir concédé le nul (1-1) à domicile à Libreville, le Gabon de Pierre-Emerick Aubameyang ne participera pas à la prochaine CAN. Après avoir perdu un duel avec le portier rémois Agassa alors que le score était encore nul et vierge, la panthère du Gabon Aubame a réussi à tromper le gardier rémois à la 81ème minute. Cette fois le but a été validé mais il n'a pas été suffisant pour des panthères à terre. Au sein de l'effectif de l'ASSE, seul Max Gradel jouera la phase finale de la CAN qui se déroulera en Afrique du Sud du 19 janvier au 10 février 2013.

Pour rappel, le calendrier des Verts à cette période :

J20, 12 janvier 2012 : ASSE - Toulouse

15 ou 16 janvier 2013 : 1/2 finale Coupe de la Ligue (rêvons un peu !)

J21, 19 janvier 2012 : Brest - ASSE

22 ou 23 janvier 2013 : 16ème de finale Coupe de France (rêvons encore !)

J22, 26 janvier 2012 : ASSE - Bastia
J23, 2 février 2013 : Sochaux - ASSE
J24, 9 février 2013: ASSE - Montpellier
J25, 16 février 2013: Reims - ASSE

J26, 23 février 2013 : Nancy-ASSE

Battus par Marseille et Montpellier lors de leurs deux précédentes rencontres, les U17 de l'ASSE ont renoué avec le succès cet après-midi à l'Etrat en venant à bout difficilement des protégés de Lilian Compan (2-1).

Dominateurs lors d'une première période pauvre en occasions, les Verts ont ouvert le score à la 26ème minute, Hugo Roussey coupant dans l'axe un joli centre tendu de Jonathan Bamba.

Moins à leur aise après la pause, les Stéphanois ont fait le break contre le cours du jeu sur un exploit personnel d'Allan Saint-Maximin, parti en dribbles depuis le milieu de terrain à la 74ème minute. Les Cannois ont réduit le score sur penalty dans les arrêts de jeu.

La compo : Maisonnial - Kotoké, Dekoké, Mendy, Boumali - Mahiddine (Nadrani, 80'), Dauphin (c), Bamba, Ez Zahouany (Dutreive, 60') - Saint-Maximin - Roussey (Dieng, 85').

La réaction de Gilles Rodriguez, co-entraîneur avec Lionel Vaillant : "C'est une victoire acquise péniblement, ça n'a pas été un grand match. C'était un peu mieux dans l'agressivité par rapport à notre match à Montpellier. C'est bien d'avoir gagné mais il faut avoir conscience qu'il reste beaucoup de travail. On a été un peu emprunté avec le ballon, on a un peu manqué de concentration, de précision et de confiance."  

Battues par les louloutes de Montpellier et les filles du QSG puis tenues en échec par la modeste équipe d'Arras, les Vertes n'avaient pas encore gagné à domicile. La quatrième tentative a été la bonne ! Grâce à un doublé d'Anaïs Ribeyra, les filles de l'ASSE ont battu Rodez 2-0 en début d'après-midi à l'Etivallière. Pour rappel, la recrue réunionnaise avait claqué le second but de la victoire à Issy le week-end dernier.