La Dépêche du Midi divulgue aujourd'hui le décompte des voix qui ont relégué Sainté sur le banc de touche de l'Euro 2016 : Toulouse a obtenu 12 voix négatives, Saint-Etienne 11, Lens 5, Nancy 3 et Nice 1. "Il n'y a eu aucune contestation et le choix a été très net" juge le président de la FFF Fernand Duchaussoy.

Grâce à un pénalty obtenu par Eric Bauthéac et transformé par Sebastian Ribas, Dijon a quasiment assuré sa montée en L1, le Mans ayant perdu à Vannes. 

Une nouvelle fois décisif, le milieu offensif gauche formé à Sainté a laissé éclater sa joie à l'issue de la rencontre : "On va dire que nous avons neuf doigts de pied en Ligue 1. A moins d’une catastrophe, on y est ! C’est que du bonheur. Que du bonheur de voir ce public, ce stade… C’est vraiment extraordinaire. Le club, les supporters, le président, la ville le méritent. Depuis le temps qu’ils attendent ça, c’est vraiment magnifique qu’on le fasse cette année avec une équipe de jeunes. Personne n’aurait misé une pièce sur nous en début de saison. Maintenant, on est en Ligue 1 et on fera tout pour y rester". (Gazette Info).

Mais son entraîneur Patrice Carteron a refusé de s'enflammer. "Je préfère être à notre place plutôt qu'à celle des Manceaux. Mais je connais assez bien le football pour dire que rien n'est fait. il faudrait que Le Mans batte Nantes par quatre buts d'écart et que nous perdions par trois buts d'écart à Angers lors de la dernière journée, Mais cela nous oblige à beaucoup d'humilité, et dès samedi, je vais mobiliser les joueurs afin de bien préparer cette dernière rencontre."

Pour son dernier match à Charléty sous les couleurs du Paris FC,  Stephen Vincent a ouvert la marque ce soir lors du derby contre Créteil (2-2). "J'ai fait appel, contre-appel, on m'a trouvé dans la profondeur et j'ai trompé le gardien, c'est mon quatrième but de la saison" a sobrement expliqué le futur Diable Rouge* avant de nous passer son ami Samy Houri, qui en a profité pour nous donner de ses nouvelles :  "Ma première saison à Ostende a été délicate à cause de ma rupture des ligaments croisés du genou doit. Mais je me suis vraiment bien rétabli et je suis assez satisfait de ma deuxième saison. Ostende souhaiterait que je prolonge mon contrat mais j'ai quelques contacts avec d'autres clubs belges et néerlandais. Si j'ai l'opportunité de jouer à l'échelon supérieur, je la saisirai."

* http://www.poteaux-carres.com/potin-B5920110506101926-Stephen-Vincent-rejoint-les-Diables-Rouges.html

Alors que la Metz est dite pour son ancien coéquipier stéphanois David Gigliotti, relégué en National avec les Crocos, Sébastien Grax a assuré le maintien de l'ESTAC en L2 en claquant ce soir son troisième pion de la saison contre le Stade Lavallois de Toto Losilla et Fred Mendy.

Maire de Saint-Etienne, Maurice Vincent a confié son indignation au service français de l'Associated Press après avoir appris que le Chaudron ne figuarait pas dans la liste des 9 stades "titulaires" pour l'Euro 2016. "C'est injuste et incompréhensible puisque notre dossier est sans défaut, il répond à tous les critères. Notre stade sera livré en 2014. Ce ne peut pas être une décision définitive. Je suis déterminé à me battre pour que Saint-Etienne ait l'Euro. La vraie date butoir est juin 2014, la France devra alors démontrer qu'elle dispose de neuf stades aux normes européennes pour accueillir l'Euro. Je ne suis pas sûr que ce sera le cas. Nous sommes à la mi-temps, le match n'est pas terminé. Geoffroy-Guichard sera au rendez-vous. Seulement trois chantiers auront débuté en juin : Marseille, Lille et Saint-Etienne. Saint-Etienne est soutenue par les plus grands noms du football français, par les collectivités territoriales, par les forces économiques et sociales. Je ne comprends par les critères retenus. Je reste optimiste dans la capacité de Saint-Etienne à obtenir l'Euro 2016."

Roro a de son côté choisi le site officiel du club pour nous faire partager son dépit : "C’est, avec une très grande déception, que j’ai appris que Saint-Etienne n’était pas retenu parmi les 9 villes pour accueillir l’Euro 2016. C’est un coup de tonnerre comme celui qui s’abat actuellement dans le ciel stéphanois et c’est une désillusion pour tous les amoureux du football. Un Championnat d’Europe sans Geoffroy-Guichard, c’est un non-respect de l’histoire du football français. J’ai toujours privilégié la construction d’un stade neuf, sur le site de Geoffroy-Guichard, afin, d’une part, d’avoir la certitude d’être retenu pour l’Euro 2016 comme c’est le cas pour Bordeaux, Lille, Nice; d’autre part, de permettre à notre club de franchir une nouvelle étape, comme ont su le faire parfaitement les clubs allemands lors de la Coupe du Monde 2006. Il peut se passer encore beaucoup de choses dans les mois à venir et j’espère, que du statut de réserviste, nous deviendrons titulaires pour accueillir cet Euro, bénéfique pour l’économie régionale. C’est pourquoi, je compte sur le respect des engagements de tous pour optimiser au maximum la rénovation du stade prévue par Saint-Etienne Métropole."

Laurent Fournier pourrait bien échouer avec Strasbourg aux portes de la montée en L2.

Selon Nice Matin, quelle que soit l'issue du championnat du côté alsacien, il pourrait bien rester en National, où l'AS Cannes lui ferait les yeux doux. Interrogé sur le sujet, Lolo nous sert une réponse de normand :

"Il n'y a pas eu de contact direct mais oui, on m'en a parlé. Si je suis intéressé ? Ca dépendra de ce qui se passera à Strasbourg".

Relégué sur le banc stéphanois depuis plusieurs semaines, Moustapha Bayal  et Guirane N'Daw font partie des 24 Lions de la Teranga qui iront défier les Lions Indomptables du Cameroun le 4 juin à Yaoundé dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2012.

Titulaire mardi*, Loris Néry a joué hier les huit dernières minutes de la victoire (2-1) de l'équipe de France U20 contre les Etats-Unis hier soir à Vichy (Allier).

*http://www.poteaux-carres.com/potin-B3220110517193045-Pour-Nery,-c'est-l'Amerique-!.html

Le verdict du conseil fédéral est tombé à la mi-journée : Sainté ne fait pas partie des 9 villes titulaires qui accueilleront l'Euro en 2016. Comme le Stadium de Toulouse, le Chaudron est relégué en réserve.

Invité de l'émission "Les Pieds dans le Plat", organisée conjointement par Le Nouvelliste et Rhône FM, Laurent Roussey a annoncé qu'il reviendrait le 29 mai avec la Coupe de Suisse (le FC Sion affrontera ce jour là Xamax en finale à Bâle). Il en a également profité pour faire une discrète allusion à son expérience stéphanoise...

"Nous ferons tout pour parvenir à remporter cette douzième coupe. Les joueurs qui ont déjà connu cette euphorie souhaitent la revivre et les autres veulent la découvrir. L'effervescence n'a pas touché le groupe. Je veille pour que personne ne joue la finale avant le 29 mai. N'oublions pas que nous avons la chance de pouvoir conquérir l'Europe par le championnat. Cela dit, j'ai bien compris depuis lundi que l'extérieur était en ébullition. En interne, je veille à nous en préserver.

Sincèrement, la pensée d'être le premier à perdre une finale ne me préoccupe pas du tout. J'ai conscience de la chance qui m'est offerte de pouvoir faire survivre ce mythe. Je veux la saisir, je veux ressentir les émotions dont tout le monde me parle. Je ne peux pas affirmer que l'équipe manque de caractère. Si elle est en finale, elle a fait le nécessaire pour y arriver. J'ai acquis la capacité de ne plus m'inquiéter. Ici, je sais qu'en gagnant je ne risque rien. Ce n'était pas le cas il y a peu..."

Sixième extrait d'Arrêt de jeu, autobiographie de Grégory Coupet parue ce mois de mai aux éditions du Rocher.

"Je me souviens du jour qui précède mon premier match en pro, le 26 mars 1994. Dans le journal local, La Tribune – Le Progrès, j'apprends que Jacques Santini écarte Joseph-Antoine Bell des buts et qu'il décide de ne pas donner sa chance à Robin Huc, son remplaçant. L'avenir, toujours selon Santini, c'est moi. Le ciel me tombe sur la tête ! Au stade, je vois des journalistes partout. A la maison, le téléphone n'arrête pas de sonner. Je suis en panique, dans ma tête c'est Hiroshima. J'ai beau avoir conscience que les supporters m'apprécient et qu'ils voient en moi le petit jeune qui monte, je sais également que je n'ai pas le droit de me louper. J'ai droit à un geste de grande classe signé Joseph-Antoine Bell. Le jour même du match, un petit mot est posé sur l'essuie-glace de ma voiture. Y est inscrit : "Mon cher Greg, ce qui m'arrive ne pourra t'atteindre avant quinze ans. Pour aujourd'hui, joue du mieux possible et profite de la belle occase." Bell est à mes yeux un monument, son attention me touche. Le reste de la journée, je suis un peu perturbé, angoissé, mais je ne panique pas. Je n'ai pas la sensation de découvrir un nouveau monde, de voir en face de moi des stars du foot. Blanc, Moravcik, Despeyroux, ce ne sont pas des gars qui se la racontent. Ils ont de la classe, ils imposent le respect.

Juste avant de rentrer sur le terrain, il y a le mythique tunnel de Geoffroy-Guichard, le speaker qui annonce mon nom, les supporters qui le scandent. C'est énorme. Dans le stade, il y a 14 000 personnes. Ça paraît peu tant ça gueule derrière les buts. Une fois sur le terrain, tout se passe bien. On gagne 2-0 contre Angers, j'ai réussi ma première. Après le match, je suis avec mes potes du Puy dans l'appartement de ma mère où l'on fait une sacrée bringue. C'est l'euphorie. Le lendemain, je suis sur un nuage, la sensation d'être monté dans le bon wagon. Les gens sont sympathiques avec moi, ce n'est que du bonheur. Je vis en plus avec Carole, une Stéphanoise, qui me permet de garder les pieds sur terre. Elle, c'est la vraie vie, il m'arrive de la déposer le matin à 5 heures pour qu'elle aille bosser, et, ensuite, elle enchaîne avec ses études. Pour mesurer la chance d'être footballeur, Carole est une piqûre de rappel idéale."

Comptant cinq points d'avance sur son dauphin (Levski Sofia) à deux journées de la fin, Alexandre Barthe (25 ans) est en passe de conserver son titre de de champion de Bulgarie. Hier, il a marqué le troisième but de la victoire (4-1) de Litex Lovech contre Montana : http://pfclitex.com/site/bg/.

Non conservé malgré une saison globalement satisfaisante à son poste de défenseur central, le capitaine de l'équipe réserve de l'ASSE Thibault Balp (21 ans) vient d'effectuer un essai de trois jours chez les Chamois Niortais (National). Un club qu'il connaît bien pour y avoir joué en U19 et en CFA2 avant de rejoindre Sainté lors de l'été 2009.

Ce n'est pas une nouvelle vague mais un potin précis : Camille Catala a été retenue sur le fil parmi les 30 joueuses pré-sélectionnées par Bruno Bini pour la coupe du monde 2011. Entourée de 12 gore-gones et 6 Louloutes, l'attaquante des Vertes saura le 6 juin prochain si elle fait partie des 21 filles qui s'envoleront en Allemagne précise selon le site Foot O Féminin.

La FIFA publie aujourd'hui sur son site une interview du Lion Indomptable Carlos Kameni (27 ans), sélectionné pour recevoir les Lions de la Teranga le 4 juin dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2012.

"Etre remplaçant lors de la dernière coupe du monde alors que j'étais titulaire lors des matches éliminatoires, c'était une expérience très difficile. Personne n'aime se retrouver sur le banc. Mais pour moi, c'est du passé. Aujourd'hui, je suis de retour. Au match aller au Sénégal, nous avons perdu, mais nous avons bien joué. Personnellement, je pense que nous avons livré un excellent match. Nous nous sommes procuré plus d'occasions que les Lions de la Teranga mais nous avons manqué de réussite. C'est terrible de perdre dans ces conditions. Je sais que nous pouvons faire bien mieux. Avant le match, tout le monde nous considérait comme des perdants. On disait que nous allions en prendre trois ou quatre. Pourtant, à la pause, je peux vous dire que les Sénégalais n'en menaient pas large. Tout peut arriver lors du match retour à Yaoundé. Il faut penser positif ! Moi, je crois que les critiques permettent d'avancer. Nous avons fait des erreurs, nous en commettrons d'autres. C'est dans la difficulté qu'on apprend. J'ai de la chance d'évoluer à l'Espanyol de Barcelone dans le meilleur championnat du monde. Je chéris chaque minute que je passe sur le terrain."

Dans les milieux autorisés, il se murmure que Sainté est en ballotage favorable devant Lens pour faire partie de la liste (dévoilée demain) des 9 villes retenues pour accueillir l'Euro 2016. Mais Gervais Martel a intensifié son lobbying dans la dernière ligne droite et ne se ménage pas pour inverser la tendance, comme l'atteste son entretien publié par Lensois.com.

"Sur le stade, on a le soutien des politiques et on reçoit une subvention. Le permis de construire est déjà déposé et examiné depuis un mois. Tout est prêt. Bien sûr que la bagarre sera forte. Mais on a un projet qui existe, et le fait que le permis de construire soit déjà déposé, ce n’est pas rien. On bénéficie aussi d’une reconnaissance pour notre savoir-faire quant à l’organisation d’évènements mondiaux. Le public de Bollaert, ça compte aussi. Mon rôle est de me projeter vers l’avenir. On travaille pour les enfants de Bollaert et j’espère une récompense pour cet attachement. Je sais que je peux compter sur les gens. La descente en Ligue 2, c’est évidemment dommage, mais le projet aurait été le même en Ligue 2. J’attends la décision avec anxiété mais aussi une certaine sérénité car il s’agit de l’un des meilleurs projets avec la proximité du Louvre. Si on n’est pas retenu, le stade se fera quand même.

La proximité de Lille ? Saint-Etienne est à côté de Lyon et cela ne semble poser problème à personne. Je ne vois pas pourquoi cela se passerait comme ça. Les personnes qui vont voter connaissent l’attractivité de Lens. La région Nord-Pas-de-Calais compte 4 millions d’habitants et se trouve à un endroit stratégique de l’Europe. Je souligne qu’il n’y a pas de projet à l’Ouest et un seul à l’Est. Madame Jouanno (ministre des Sports) a peut-être parlé de répartition géographique, mais il y aura un endroit de la France où il n’y aura aucun stade…"

Poursuivi par l'ASSE pour abus de confiance, escroquerie, abus de biens sociaux et faux usage de faux pour un montant à hauteur de 200 millions de francs (305 000 euros), l'ancien président du conseil d'administration de Yeggo Foot Pro Abdoulaye Touré a été arrêté avant-hier.

Selon le quotidien sénégalais Le Populaire, "la section de recherches de la gendarmerie de Médina a auditionné toutes les personnes qui sont mêlées de près à cette affaire et les parents des jeunes escroqués au visa. Après avoir bouclé l'enquête, les gendarmes ont retourné le dossier au parquet qui a demandé l’arrestation d’Abdoulaye Touré. Ce qui a été fait depuis hier matin (mardi), car Abdoulaye Touré a été déféré au parquet avant de bénéficier d'un retour de parquet. Ce qui consiste à dire qu'il a passé la nuit à l'hôtel de police du Commissariat central avant d'être présenté aujourd'hui au procureur de la République qui décidera de son sort."

A l'heure où Monsoreau et Marchal portent leur croix sur les terrains ou en dehors, un autre Sylvain sera présent à Saint-Symphorien pour soutenir le club à la croix de Lorraine lors de l'avant-dernière journée de L2. Co-président de l'UNFP, Kastendeuch évoque aujourd'hui dans Le Républicain Lorrain le match capital opposant les Grenats (17èmes avec 42 points) aux Crocos de David Gigliotti (19èmes avec 37 points).

"Je n’ai pas beaucoup fréquenté Saint-Symphorien cette saison mais vendredi, je mets un point d’honneur à y être. Le plus extraordinaire, c’est qu’il n’y a pas à lancer d’appel au peuple pour cette réception de Nîmes. Le stade va être plein ce qui prouve bien qu’en dépit d’une saison difficile, il y a un réel intérêt pour le FC Metz. Je peux même le vérifier lors de mes séjours en dehors de la région : lorsqu’on me reconnaît, la discussion s’engage immédiatement sur le FC Metz, sur sa position de place forte du football français. L’image du club est intacte, sa notoriété aussi ce qui constitue, à mes yeux, une donnée très importante. En ce qui concerne ce match face à Nîmes, la clé résidera dans la recherche d’un équilibre : garder à l’esprit l’importance de l’enjeu et le rôle quasi vital de cette réception tout en positivant le soutien populaire pour se lâcher. Oui, pour l’avoir déjà vécu en tant que joueur, il ne faut pas être inhibé par l’aspect crucial des débats mais se sublimer. Il est toutefois plus simple de parvenir à cet équilibre lorsque l’issue est davantage favorable que la quête d’un maintien… "

Rappelé chez les Diables Rouges en mars dernier après de longs mois d'absence en sélection, Kevin Mirallas ne fait pas partie des Diables Rouges retenus par Georges Leekens la Turquie. Comme le souligne la RTBF, l'ancien attaquant stéphanois aura donc tout le temps de préparer son mariage programmé le 4 juin.

Après un mois de pause, les protégés de Philippe Guillemet ont repris le championnat U15 ce week-end à Michon contre Bourgoin-Jallieu. Plombés par une entame de match catastrophique (trois buts encaissés en 20 minutes !), les p'tits Verts ont été revigorés par l'entrée d'Eliot Gattier, auteur d'un doublé en seconde période.

La compo : Daures - Kalala, Clément, Contrino, Pouyet - Zerguine, Di Piazza (Suljic, 50'), Jensel, Gacem, Geix - Chatain (Gattier, 41')

Augusto s'est qualifié hier soir pour les demi-finales de la Copa Libertadores. Après avoir marqué en poule contre l'Universitad Catolica (Chili) puis en huitième contre Quito (Equateur), l'ancien milieu offensif stéphanois a claqué en quart le dernier pion de la victoire (4-2) de Velez Sarsfield sur le terrain de Libertad (Paraguay) : https://www.youtube.com/watch?v=OS4kt_crYM8.

Après avoir gagné le championnat et s'être qualifié pour la finle de coupe du Portugl, Fredy Guarin a remporté l'Europa League ce soir à Dublin aux dépens de Braga. Auteur d'une seconde partie de saison exceptionnelle, l'ancien milieu de terrain stéphanois a encore été décisif sur l'unique but de la rencontre inscrit par son compatriote Falcao (https://www.youtube.com/watch?v=bdj9S_Poxvw) avant de céder sa place à la 73ème minute.

Balayées 8-0 par les Gorgones ce week-end à Gerland, les Vertes affronteront les louloutes de Montpellier en finale du Challenge de France ce samedi à 18h00 à Buxerolles, près de Poitiers. L'entraîneur stéphanois Hervé Didier évoque cette rencontre dans un entretien mis en ligne aujourd'hui par la FFF. Extraits.

"C'est un événement puisque c'est la première fois que l'on atteint la finale. C'était même la première fois que l'on arrivait en demi-finales. On doit avouer que l'on a eu un peu de chance car nous avons évité les grosses cylindrées. Malgré tout, il a fallu se "bagarrer" pour arriver au bout. Nous sommes très satisfaits de nos prestations et l'on prépare cette finale avec envie même si l'on sait que l'on sera les outsiders. Jusque là, ça nous a plutôt réussit de prendre les matches comme ils venaient.

Montpellier est une équipe qui a des joueuses de grande qualité. Je les connais bien puisque cela fait trois ans que j'entraîne les Féminines de Saint-Etienne. Je sais que c'est un groupe très fort dans les duels, qui possède une bonne assise défensive et des joueuses capables de faire la différence individuellement. A priori, elles sont supérieures à nous sur bien des points mais on les a déjà battues en championnat lors du match aller à Montpellier).

Si on sait gérer la "jeunesse", cela peut apporter beaucoup de dynamisme et de générosité. Notre équipe est jeune mais c'est aussi une équipe dont beaucoup de joueuses évoluent en sélections jeunes. Certaines ont même été Championnes d'Europe. C'est un groupe d'avenir avec lequel on espère aller embêter les quatre grosses équipes du Championnat dans les années à venir."

Confidence de Rudi Garcia lue aujourd'hui dans Ouest-France : "Après la conquête de la Coupe de France, mes premières pensées ont été pour mon père. C'est lui qui m'a donné le virus du foot. Il a été pro à Sedan et à Dunkerque, a joué en équipe de France amateurs. Je n'avais pas l'âge d'être débutant que j'évoluais déjà en poussins. Il m'a forgé le caractère. Il m'a « bougé », à l'ancienne, comme on dit, à l'espagnole. Mon père avait fui le franquisme... Avec le temps et son départ, je me suis aperçu qu'il fallait que je quitte ma carapace d'homme dur, insensible. Et qu'il fallait que je prenne bien garde de dire aux gens que j'aime... que je les aime. J'ai réussi à prendre un peu plus de recul par rapport aux événements..."

des larmes plein sa bière. Il ne pourra en effet pas battre son record de buts en une saison. Comme l'an dernier son compteur restera bloqué à 8. En effet, son entorse à la cheville nécessite la pose d'un plâtre pendant 3 semaines, on tapera donc Sochaux et Paris sans lui.

Champion de France avec l'ASSE en 1957, l'ancien attaquant Bernard Lefèvre  (80 ans) évoque ses vertes années dans un entretien paru aujourd'hui dans La Voix du Nord. "À cette époque-là, on passait 48 heures dans le train tous les quinze jours, l'ambiance était sympathique. On recevait un louis d'or de 20 F par match gagné, de 10 F par match nul." 

Akim Orinel (Fréjus Saint-Raphaël) a signé hier un contrat de deux ans avec Châteauroux (L2). "C'est quelqu'un qui est capable de faire de bonnes passes, qui est très tonique sur son côté gauche ou derrière l'attaquant. C'est un joueur qui a été formé à l'AS Saint-Etienne et qui devrait nous apporter pas mal cette saison" se réjouit son futur entraîneur Didier Tholot sur le site de la Berrichonne.

Agé de 24 ans, l'ancien réserviste de l'ASSE est ravi d'évoluer sous les ordres du mythique buteur du match de la canette. "J'avais plusieurs propositions et sollicitations de clubs, j'ai été contacté et séduit par le discours du coach et du directeur sportif de Châteauroux et je suis très fier d'avoir choisi de signer ici dans un bon club de Ligue 2, c'est un très bon palier pour moi avec cette possibilité d'évoluer dans ce championnat. Je connais déjà Romain Reynaud qui m'a dit beaucoup de bien sur le club."

Dans une interview accordée à Fance Bleu Nord et relayée par le site Foot Lille, Frédéric Paquet s'emballe. "Contrairement à ce que l'on peut penser, le LOSC est un club de plus en plus populaire. Le club se rapproche peu à peu de Saint-Etienne ou de Marseille, les deux clubs français les plus populaires" rêve  le directeur général adjoint des Dogues. "Pour y arriver, on va continuer à travailler, à obtenir de bons résultats et à se retrouver régulièrement tout en haut du championnat. Plus il y aura de bons résultats, plus on parlera du LOSC. L'objectif est de devenir de plus en plus populaire de par nos résultats et en se montrant accessible vis à vis de l'extérieur, naturel."

Après avoir commenté le match sur TV5 Monde, l'ancien Vert et ex Rouge et Noir Philippe Redon est revenu lundi sur Sainté-Rennes dans Pleine Lucarne, émission réalisée par VR 35 en partenariat avec Ouest-France. L'occasion de (re)voir les principales actions du dernier match de l'ASSE : Pleine Lucarne du 16 mai 2011.

Le match Sochaux/Sainté (samdi à 21h00) est à guichets fermés selon le site officiel des Lionceaux.