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poteaux carrés

Un gueulard haut-savoyard se verrait bien au Standard

01/01 11:50

Ancien club belge de Mathieu Cafaro, Niels Nkounkou et Eliaquim Mangala, le Standard de Liège a annoncé hier le limogeage de Carl Hoefkens. Selon la dernière édition de DH Les Sports +, Pascal Dupraz (61 ans) a candidaté pour reprendre les Rouches, neuvièmes en championnat et éliminés de la Coupe de Belgique. Le gueulard haut-savoyard n'a plus retrouvé de club depuis l'échec de sa mission maintien à Dijon.

Notre ex Salibur raccroche les crampons

01/01 11:20

Yannis Salibur (32 ans), qui n'avait plus retrouvé de club depuis son départ de Karagümrük (Turquie) l'été 2022, a annoncé hier sur son compte instagram la fin de sa carrière de joueur. Ancien coéquipier de Thomas Monconduit en équipe de France U19, le natif de Saint-Denis (93) aura joué une saison à l'ASSE (en 2018-2019).

Prêté alors par Guingamp, l'attaquant n'aura guère brillé sous le maillot vert : en 23 matches sous les ordres de Jean-Louis Gasset, il n'aura marqué qu'un but (lors d'une victoire 3-2 à Toulouse) et aura délivré trois passes décisives dans le Chaudron : deux pour Robert Beric (contre Nantes et Nice) et une pour Timothée Kolodziejczak (contre Nantes).

Beric ne s'échinera plus en Chine ?

01/01 10:17

Venant de quitter Tianjin et cherchant un nouveau défi en Europe, Robert Beric (32 ans) se confie aujourd'hui sur le site slovène Nogomania. Extraits.

"En ce moment, je suis à la maison et je m'amuse. J'en ai fini avec la Chine. Je n'ai rien de concret entre les mains pour l'avenir, mais je réfléchis déjà. J'ai l'intention de rejouer à l'étranger. Mes deux années en Chine ? C'était plus difficile la première saison, car il y avait encore la situation du Covid. À ce moment-là, je pensais partir. Eh bien, je suis resté et je ne le regrette pas. Les stades sont pleins, les Chinois adorent le football.  Ils gèrent bien le football. Mon expérience en MLS avec le Chicago Fire ? Aux États-Unis, le football est différent, ils le perçoivent différemment. Peu importe si vous gagnez ou perdez et cela m'a dérangé. Il y a moins de compétition, les spectateurs ne sont pas comme en Europe ou même en Chine.

J'ai parcouru la moitié du monde, le football européen est la meilleure chose. J'ai aussi vu les États-Unis et la Chine, mais c'est comme le jour et la nuit. Quand vous êtes dehors, vous appréciez beaucoup plus ce que nous avons en Slovénie. Nous avons tout mais honnêtement, je ne me vois pas dans le championnat slovène pour le moment. J'aimerais quand même jouer à l'étranger. Je suis le championnat slovène, parfois j'assiste à des matches de Maribor. L'équipe nationale, c'est trop loin. Mais c'était sympa, c'était une fierté. Je suis content du succès de la sélection, de la qualification à l'Euro, j'ai suivi tous les matches que j'ai pu. Benjamin Sesko [attaquant de 20 ans jouant à Leipzig, ndp2] m'impressionne, il a des capacités incroyables."

 

 

Bonne route Jean-Loup !

01/01 08:57

L’équipe cycliste Arkéa-Samsic présente aujourd'hui sur son site sa verte recrue Jean-Loup Fayolle (18 ans).

"Petit pas la taille, prometteur par le talent. Ce Lyonnais de naissance, supporter toutefois de l’AS Saint-Etienne, est un jeune grimpeur en devenir. Bon rouleur également, il a remporté lors de la saison 2023, le Tour de la Vallée de la Trambouze, et a terminé quatrième de la Classique des Alpes juniors. Jean-Loup Fayolle en parallèle de sa carrière cycliste professionnelle est en STAPS, à Lyon."

Il y a trois semaines, celui qui porte le même patronyme que l'ancien attaquant stéphanois Bertrand avait évoqué sur Direct Vélo son imminente arrivée chez les pros.

"Ça va être une grande découverte, je vais essayer d’emmagasiner un maximum d’expérience et voir où se situe mon niveau. Le but reste quand même de performer. Je voudrais aussi voir mes domaines de prédilection, pour l’instant j’étais assez polyvalent même si je pense que je suis meilleur en montagne. Je vais également apprendre sur le milieu professionnel, comment ça se passe, en peloton notamment."

Qu’attends-tu de ta première année chez les professionnels ?
Ça va être une grande découverte, je vais essayer d’emmagasiner un maximum d’expérience. Je vais voir où se situe mon niveau. Le but reste quand même de performer. Je voudrais aussi voir mes domaines de prédilection, pour l’instant j’étais assez polyvalent même si je pense que je suis meilleur en montagne. Je vais également apprendre sur le milieu professionnel, comment ça se passe, en peloton notamment.

Lire la suite : https://www.directvelo.com/actualite/109643/jean-loup-fayolle-je-suis-miracule?fbclid=IwAR0HWuq8wB09GAYbsA7gWzdZU4TwfkZABMTE8cjTgh_GZaXncDSkxNff7
Ça va être une grande découverte, je vais essayer d’emmagasiner un maximum d’expérience. Je vais voir où se situe mon niveau. Le but reste quand même de performer. Je voudrais aussi voir mes domaines de prédilection, pour l’instant j’étais assez polyvalent même si je pense que je suis meilleur en montagne. Je vais également apprendre sur le milieu professionnel, comment ça se passe, en peloton notamment.

Lire la suite : https://www.directvelo.com/actualite/109643/jean-loup-fayolle-je-suis-miracule?fbclid=IwAR0HWuq8wB09GAYbsA7gWzdZU4TwfkZABMTE8cjTgh_GZaXncDSkxNff7

Le mercato va se débloquer dès la semaine prochaine ?

31/12 19:20

En ce dernier jour de l'année 2023, Le Progrès a fait ce soir un rapide point sur le mercato hivernal qui démarre demain. Extraits.

"Certains comme Thomas Monconduit et Victor Lobry seront invités à aller chercher du temps de jeu loin du Forez. Ils seront remplacés numériquement à d’autres postes où l’effectif est cruellement en manque. Olivier Dall'Oglio souhaite voir arriver un latéral droit, un joueur offensif dans le couloir et un attaquant capable de prendre la profondeur. Le board stéphanois, qui a déjà bien avancé sur le dossier Irvin Cardona, souhaite faire au plus vite. "Cela pourrait se débloquer assez rapidement, peut-être cette semaine", confie un proche du club."

 

Karim Cissé en prépa contre le Nigéria

31/12 18:27

Sélectionné pour jouer la Coupe d'Afrique des Nations, Karim Cissé a retrouvé la sélection guinéenne ce jeudi à Conakry. Avant-hier, l'attaquant des Verts s'est rendu à Kaloum pour rendre hommage aux victimes de l'explosion d'un dépôt de carburant survenu à cet endroit le 18 décembre. Le numéro 32 de l'ASSE portant le numéro 14 au Syli National a ensuité été salué par le Colonel Mamady Doumbouya, chef des militaires au pouvoir en Guinée.

Ce dimanche, le nouveau protégé de Fousseni Diawara a rejoint Abou Dabi (Emirats Arabes Unis) pour un stage de préparation d'une douzaine de jours. Aux côtés de Saidou Sow et de Morgan Guilavogui, le feu follet stéphanois y jouera un match amical contre le Nigeria dans 8 jours avant de démarrer la CAN en Côte d'Ivoire le 15 janvier à Yamassoukro contre le Cameroun de Harold Moukoudi (AEK Athènes, 4e de L1 grecque actuellement) et d'Yvan Neyou (Leganés, leader de L2 espagnole).

Maçon de retour à la maison

31/12 16:06

Dans l'air depuis quelques temps, le retour d'Yvann Maçon à Saint-Etienne est acté selon Foot Mercato. Mais le latéral pourrait ne pas rester longtemps dans le Forez :

"Pour le moment, des discussions sont en cours entre les différentes parties pour savoir quel sera l’avenir du latéral droit de 25 ans capable d’évoluer également à gauche. Maçon suscite l’intérêt de plusieurs clubs de Championship, mais aussi de D1 belge. Deux clubs de Ligue 1 ont également pris des renseignements quant à la situation du joueur (sous contrat jusqu’en juin 2025 avec les Verts) qui pourrait donc repartir sur un nouveau prêt de six mois puisqu’il n’a pas joué avec le club stéphanois avant son départ pour Israël. A moins que l’actuel 7e de Ligue 2 ne décide finalement de le conserver."

Dall'Oglio avait annoncé la couleur

31/12 15:02

Cet été, alors qu'il était au chômage, Olivier Dall'Oglio s'était confié au Parisien. Extraits.

"Une séparation reste brutale. J’étais quand même 11e en Ligue 1 quand Montpellier m'a viré. Mais mon éviction de Dijon s’était révélée plus douloureuse. Le poste d’entraîneur s’accompagne d’une forme de précarité. Il est entré dans les mœurs de zapper les coachs. Il faut en avoir conscience. La fonction d’entraîneur est tellement prenante que quand tout s’arrête, du jour au lendemain, tu n’as "plus rien". Ton téléphone ne sonne plus. Tu as un peu l’impression d’être oublié. Il y a une forme d’impuissance. On est tributaire du choix d’autrui.

Quand tu te retrouves au chômage, tu n’es plus dans la machine laver. Tu as un travail de deuil, plus ou moins long selon les personnes, à accomplir. D’abord tu te reposes, tu relâches la pression et tu récupères. Mais ensuite ? L’ennui peut rapidement s’installer. Il importe, alors, de meubler son temps libre afin d’éviter, justement, de tourner en rond et de ressasser sa déception. Ça nécessite un travail sur soi-même. Dans les formations d’entraîneur, il importe vraiment d’insister sur l’aspect mental. On doit avoir les codes pour se préparer à une éviction.

Je suis en quête d’un challenge intéressant et surtout réalisable, au regard de l’effectif mis à disposition. S’il se présente, je me sens prêt à repartir. Dans le cas contraire, mieux vaut reculer et décliner la proposition sous peine d’être dégagé deux mois plus tard. Depuis mon départ de Montpellier, j'ai eu quelques contacts, mais pas des masses non plus. Je serai sur le marché quand les premiers confrères vont tomber. C’est malheureux à dire, mais c’est la réalité de notre métier où tu prends toujours la place de quelqu’un."

ODO avait donc annoncé la couleur. Et la couleur, il connaît, comme l'attestent ces extraits d'une interview à RMC en février 2022.

"De temps en temps quand je peux, je passe devant mon petit atelier, je prends une couleur ou deux et je me lance dans la peinture. Ça me permet de sortir, de voir autre chose. Ce sont souvent des moments un peu plus calmes. Le cerveau travaille différemment notamment le côté créatif. D’ailleurs parfois quand je suis devant le tableau, j’ai des idées qui viennent pour le foot. Je fais rarement des tableaux sans couleur, c’est toujours pétillant. Il y a toujours de la couleur, de la vie. Et je n’aime pas que mon équipe soit terne, soit grisâtre. On doit faire des choses toujours avec cette notion de plaisir. Parfois des matches peuvent être frustrants, des tableaux peuvent être moches et ça me contrarie quand les choses ne me plaisent pas."

L'actuel entraîneur des Verts, qui peignait déjà quand il était joueur, avait eu droit il y a 30 ans à une parodie de son coéquipier rennais Patrick Guillou.

Pour rappel, l'ex-latéral stéphanois s'est mis à son tour à la peinture quand il a été interné suite à ses tentatives de suicide. "Tu es seul devant ton tableau, tu te recrées une bulle, mais tu sais pourquoi tu te la crées. Elle n’est pas artificielle, c’est parce que tu veux te retrouver, te recentrer sur toi. J’avais commencé à faire 5-6 tableaux quand j’étais dans cette clinique, et aujourd’hui je peins quand je vais moins bien" avait déclaré en 2022 à beIN Sports celui qui publie des chroniques exutoires depuis plusieurs années dans Le Progrès.

 

 

 

 

Nadé en Turquie ?

31/12 09:34

Selon la dernière édition de Yenigün Gazetesi, Goztepe (3e de D2 turque) souhaiterait enrôler cet hiver Mickaël Nadé. En fin de contrat dans 6 mois, le défenseur central stéphanois de 24 ans a joué 8 matches officiels cette saison avec les pros (6 en L2 + 2 en Coupe de France).

Platini voyait tout avant les autres

31/12 07:23

Dans la dernière édition de la Pravda, le vilain Raymond Domenech évoque Platoche.

"Platini avait pour lui quelque chose de génial, une faculté incroyable : il voyait tout avant les autres. La preuve, lors d’un match contre le Variétés, Platini était dans l’équipe adverse et j’ai eu envie de le tacler ! Alors j’ai attendu qu’on lui fasse une passe. Je me suis mis pile dans l’axe derrière lui, là où il ne pouvait pas me voir. Puis dès que le ballon lui parvient, j’arrive comme un fou et me jette. Et là, paf ! Il décale le ballon, se retourne et file. Il m’avait vu, ce con! Mais je ne sais toujours pas quand et comment !"

Olivier comme Olivier

30/12 22:02

Je me prénomme Olivier, mon groupe a repris l'entraînement hier et déplore encore l'absence de plusieurs joueurs blessés. Mon équipe peut encore espérer remonter en L1, mais n'a marqué que 20 buts lors de la phase aller. 14e attaque de la L2, je cherche du renfort offensif avec des joueurs rapides mais je souhaite également enrôler un défenseur capable de jouer sur les deux côtés. Mon club s'est fait éliminer de la Coupe de France en perdant à domicile contre une équipe de National donc j'ai calé un match amical le wek-end prochain. Je suis, je suis... Dall'Oglio ? Oui mais aussi Pantaloni !

Comme le rapporte Corse-Matin, ce dernier est toujours privé de nombreux joueurs. S'étant fait les croisés, son ailier burkinabé Bayala suit sa rééducation. Marchetti, Avinel, Baretto et Campanini ne sont pas encore prêts pour reprendre l'entraînement collectif. "Je pensais pouvoir récupérer des joueurs mais il va falloir encore attendre malheureusement" a déclaré l'ancien milieu de terrain stéphanois. "On a des manques et le départ de Bammou n'a rien arrangé. Nous cherchons à avoir avant tout deux attaquants supplémentaires, soit un axial ou un couloir ou deux couloirs, avec de la vitesse et de la profondeur et aussi un défenseur polyvalent."

Force est de constater que Sainté et Ajaccio ont de très nombreux points communs. Mais on aura noté qu'à la trêve le club de Corse du Sud compte 2 points d'avance sur les Verts alors que Sainté a un budget qui représente plus du double de celui des Insulaires !

Roland a fait son temps

30/12 20:51

De passage à Sainté cette semaine pour offrir des repas à des personnes isolées et précaires, Bafé Gomis a évoqué dans la foulée la situation de l'ASSE comme le rapporte Le Progrès. Extraits.

"Ça me fait mal pour Saint-Étienne, un club qui doit jouer l’Europe chaque année (...) L'ASSE doit franchir un palier (...) Ce serait bien de passer par une vente. Maintenant, je ne sais pas où ça en est (...) Roland a fait son temps mais il a bien géré le club, notamment en injectant de l’argent avec la Sacma. Il a plus fait de bien que de mal au club. 

Jouer un rôle à l’avenir au sein du club en cas de rachat ? Pourquoi pas ! Souvent, j'en parle dans les pays du Golfe, où j’ai pas mal d’amis. S’il y a un club à acheter, je leur dis que ça peut être Saint-Étienne. Le club et la ville en ont besoin. J’aimerais bien un jour qu’un de mes amis rachète l’ASSE. 

Loïc est en place et je suis de tout cœur derrière lui. Pour l’instant, je suis seulement supporter. Mais c’est vrai, quand tu as une riche carrière, cette compétence et cette légitimité, et à condition qu’il y ait un vrai projet qui permette de remettre Saint-Étienne à la place qu’il mérite, je reviendrai avec plaisir."

La CAN fatale aux Picards ?

30/12 08:38

Selon la dernière édition du Courrier Picard, quatre joueurs de l'Amiens SC (12e à 3 points de l'ASSE) participeront à la CAN : Mamadou Fofana (Mali), Gaël Kakuta (RD Congo), Abdoul Tapsoba (Burkina Faso) et Nicholas Opoku (Ghana). Ils ne pourront donc pas jouer dans le Chaudron le 27 janvier à 15h00 en ouverture de la 22e journée de L2.

Modeste remporte son premier trophée

30/12 07:51

L'ancien attaquant stéphanois Anthony Modeste (35 ans) a remporté avant-hier le premier trophée de sa carrière. Entré en jeu à l'entame du dernier quart d'heure du temps réglementaire, le fils de Guy a marqué à la 114e minute le 3e but d'Al-Ahly en Supercoupe d'Egypte avant de délivrer une passe décisive qui a scellé le sort d'une rencontre remportée 4-2 contre le Future FC.

Son entraîneur suisse Marcel Koller a tenu à lui rendre hommage en conférence de presse d'après-match comme le rapporte KingFut. "Modeste est un grand joueur, il a été l'un des meilleurs joueurs dans les championnats européens. Je lui fais confiance et j'attends beaucoup de lui. Tous ceux qui comprennent le football savent qu'il a une touche différente. Quand il est arrivé, il n'était pas prêt car il avait été mis à l'écart pendant un certain temps à cause du Covid. Mais il est de retour à son meilleur niveau maintenant."

 

Galtier relaxé (2)

30/12 07:24

Selon la dernière édition de la Pravda, le parquet de Nice a renoncé à faire appel de la décision du tribunal correctionnel ayant relaxé Galette le 21 décembre dernier. Extraits.

"Christophe Galtier vit une fin d'année contrastée. Jeudi, son équipe d'Al-Duhail a de nouveau perdu, face à Al-Arabi, en quarts de finale de la Coupe du Qatar, concédant sa 4e défaite consécutive toutes compétitions confondues. Mais son avenir personnel et professionnel s'est largement éclairci depuis sa relaxe par le tribunal correctionnel de Nice. Hier, Damien Martinelli, procureur de la République de la ville, a annoncé à Nice-Matin et confirmé à L'Equipe qu'il ne ferait pas appel du jugement rendu huit jours plus tôt. Le délai officiel est censé courir jusqu'à demain.

Comme pressenti, cette décision n'est pas une surprise de la part du parquet, dans une position affaiblie après avoir essuyé un sérieux revers. A l'audience du 15 décembre, le procureur avait requis une peine de 12 mois de prison avec sursis, 45 000 € d'amende et 3 ans d'inéligibilité à l'encontre de l'ancien entraîneur de l'OGC Nice, qui était poursuivi pour "discrimination" et "harcèlement moral."

Ce renoncement marque la fin, pour de bon, d'un copieux combat judiciaire et médiatique, qui aura duré plus de 8 mois. "Cette décision du parquet de ne pas faire appel de la relaxe clôture définitivement ce dossier et confirme le caractère calomnieux des accusations portées contre Christophe Galtier, qui est définitivement réhabilité" nous ont simplement fait savoir Maîtres Olivier Martin et Sébastien Schapira, les avocats de l'ex-coach du PSG."

Une reprise sans surprise

29/12 18:40

Comme le rapporte Le Progrès, les Verts ont repris aujourd'hui l'entraînement sans leurs numéros 9, 13, 21, 25, 30 et 32. Fortement pressenti pour être sur la liste (dévoilée le 3 janvier) des Maliens retenus pour la CAN, Ibrahim Sissoko est laissé à la disposition des Aigles. Mahmoud Bentayg et Ibrahima Wadji sont toujours blessés "pour plusieurs semaines". "Excusé pour raison personnelle" Gautier Larsonneur devrait être de retour samedi. Déjà assurés de jouer la CAN, Dylan Batubinsika et Karim Cissé (Guinée) étaient également absents.

Bamba et Achouri, yes you CAN !

29/12 10:14

Sélectionnés en équipe de Guinée, Karim Cissé (Saint-Etienne), Saidou Sow (Strasbourg) et Morgan Guilavogui (Lens) ne sont pas les seuls joueurs passés par le centre de formation de l'ASSE qui disputeront la CAN en Côte d'Ivoire.

A l'instar de Max Gradel (Gaziantep) et de Jean-Philippe Krasso (Etoile Rouge de Belgrade), Jonathan Bamba (Celta Vigo) fait en effet partie des 27 Eléphants retenus par Jean-Louis Gasset pour jouer cette compétition à la maison.

Ayant claqué 4 pions et délivré 9 passes décisives cette saison sous le maillot du FC Copenhague (qui affrontera Manchester City en 8e de finale de Ligue des Champions après avoir fini devant Manchester United et Galatasaray), Elias Achouri défendra les couleurs de la Tunisie.

Pressenti pour s'envoler lui aussi avec les Aigles de Carthage, Amin Cherni (titularisé tous les matches cette saison de L2 et auteur de 3 buts) n'a pas été retenu. Révélation du Stade Lavallois cette saison, le talentueux latéral gauche pourra donc défier les Verts dans le Chaudron le samedi 13 janvier pour la reprise du championnat.

 

Gourna garde le coeur vert

29/12 09:04

Le Progrès du jour relaye les propos tenus par Lucas Gourna à l'occasion de son récent passage à Sainté où il a assisté à la victoire des Verts contre Bastia. Extraits.

"Je n’oublie pas d’où je viens. J’avais quitté Saint-Étienne "en très mauvais termes". C’est une fierté de revenir à Geoffroy-Guichard, de voir les gens qui me reconnaissent dans la rue, de voir le stade et le centre, ça me rappelle de grands souvenirs. Tout le monde connaît ma relation avec Razik Nedder et Kevin de Jesus. On échange souvent en dehors du foot. Ils me manquent un peu et j’avais à cœur de les revoir, de partager avec mes petits frères du centre.

Merci au Red Bull Salzbourg de m’avoir permis de jouer la Ligue des champions, un rêve de gosse. Mais merci aussi à Sainté de m’avoir permis d’évoluer aujourd’hui au Red Bull. L'ASSE reste mon club de coeur. J’espère que l’ASSE va remonter en L1. Vous m’auriez posé la question il y a quelques semaines, je vous aurais dit : “Sainté y va tout droit”. Il y a aujourd’hui des résultats un peu moins positifs mais je fais confiance à mes anciens coéquipiers pour faire le taf."

Bouchouari, no you CAN't !

28/12 20:43

N'ayant pas délivré la moindre passe décisive ni claqué le moindre pion cette saison en 18 matches (17 en tant que titulaire), Benjamin Bouchouari, joueur stéphanois le plus averti du présent exercice (6 biscottes) ne fait pas partie des 27 Lions de l'Atlas retenus pour la CAN. Nul ne s'en plaindra du côté de l'ASSE et nul ne s'en étonnera vraiment. Walid Regragi l'avait certes convoqué plusieurs fois pour pallier des forfaits dans l'entrejeu marocain sans faire jouer la moindre minute le numéro 6 des Verts, même en amical. Nul doute que le natif de Borgerhout (Belgique), qui a fêté il y a un mois et demi ses 22 ans, sera l'un des artisans de l'opération remontée désormais chapeautée par Olivier Dall'Oglio ! On rappellera que c'est le joueur de l'effectif stéphanois qui a la plus grosse valeur marchande selon Transfermarkt (4 M€).

Cardona bientôt stéphanois ? (6)

28/12 18:38

"Irvin Cardona (Augsbourg) devrait faire son retour en France. C’est très avancé avec Saint-Etienne qui règle son arrivée pour un prêt cet hiver. L’attaquant a donné son accord pour venir. Il y retrouvera son ancien coach Olivier Dall'Oglio" a annoncé ce jeudi le journaliste du Parisien Benjamin Quarez sur son compte twitter.

"Les deux clubs ont débroussaillé les contours du deal, portant sur un prêt jusqu’à la fin de la saison sans option d’achat. Il reste un dernier détail autour de la prise en charge du salaire du joueur formé à l’AS Monaco pour que Cardona, capable d’évoluer en pointe ou sur une aile, ne devienne la première recrue de l’ASSE cet hiver" a ajouté dans la foulée Le Progrès.

Ancien coéquipier de Paul Bernardoni, Joris Gnagnon et Allan Saint-Maximin en équipe de France U20, le Nîmois de 26 ans n'a joué que 51 minutes en Bundesliga cette saison. La saison passée, il était entré en jeu 10 fois dans l'élite du football allemand et avait scoré dans le temps additionnel lors d'une défaite 5-3 contre le Bayern à Munich.

 

M'Vila se prépare avec Roro mais ne reverdira pas

28/12 09:10

Ayant eu son 5e enfant il y a une semaine, Yann M'Vila (33 ans) explique aujourd'hui au Progrès qu'il se retape physiquement depuis octobre en banlieue sous la houlette d'un coach sportif (Kévin Roberti) surnommé Roro, comme son ancien président. Extraits.

"J’ai discuté avec beaucoup de clubs de Ligue 1, mais je n’ai pas eu le petit truc. Vu mes qualités et mon leadership, je pense pouvoir aider pas mal d’équipes. Je crois en moi. En quête d’un bon projet, je veux prendre le temps, quitte à repousser certaines propositions alléchantes venues d’Arabie saoudite ou des Émirats arabes unis. Je n’ai pas besoin d’argent. Je veux jouer.

Quand "Roro" m’a récupéré, j’étais dans le faux, je courais sur tapis, je ne savais pas où j’en étais. Je me suis dirigé vers lui car il n’est pas spécialisé foot. Avec lui, pas de plots, de slaloms ou de passes comme les enfants, tu rentres direct dans le vif du sujet. Quand tu n’as pas de club, tu te dois de faire plus, de t’investir à 1000 %. C’est ce que je fais.

Un retour chez les Verts ? Avec tout le respect que j’ai pour la Ligue 2, je ne me vois pas jouer dans ce championnat. Il n’y a qu’un seul club pour lequel j’aurais accepté de retourner en division inférieure, c’est Sunderland, pour les aider à retrouver la Premier League. J’avais passé une année extraordinaire là-bas."

Il faut tourner la page

28/12 08:41

Il a joué 6 matches dans les buts stéphanois lors de l'inoubliable saison 1999-2000. Il a été viré par Damien Comolli un mois et demi après le sacre du TFC en Coupe de France au prétexte que les Violets auraient dû finir la saison dernière 10èmes ou 11èmes selon les datas et non 13èmes. Il a selon la Pravda refusé de succéder à Laurent Batlles au poste d'entraîneur de l'ASSE, qui s'est finalement rabattue sur Olivier Dall'Oglio. Pour la première fois depuis son départ de la ville rose, Philippe Montanier s'exprime aujourd'hui dans La Dépêche du Midi en reprenant le titre d'une chanson du plus illustre des chanteurs toulousains. Extraits.

"Je réside aujourd'hui du côté de Cannes et je profite de ma famille et de mes amis, ce que je n'ai pas le temps de faire quand on est coach à plein temps. J'ai toujours ce désir d'entraîner un club à court ou moyen terme. Le titre et le record de buts en Ligue 2, la Coupe de France, ça donne envie de continuer. J'ai des contacts, en France, à l'étranger, mais ce n'est pas facile en cours de saison. J'attends le projet sportif qui me convient le mieux. Je ne me suis pas exprimé sur mon limogeage du TFC et je ne le souhaite toujours pas. J'ai pris acte de la décision du président du TFC et je tourne la page du TFC.

Je garde un grand souvenir de la ferveur du TFC. Mes collègues et moi-même avons été suprris, impressionnés par cette ferveur. Le Stadium était convivial, familial, il y avait une réelle communion. Les résultats sportis y sont pour beaucoup, ce sont des moments rares dans le football. On joue aussi pour ça, ces moments de communion avec le public. Cette saison, je suis la Ligue 1 mais pas le TFC. Ou je regarde de très loin. Il faut tourner la page. Mais je vais voir des matches au stade à Monaco, sur Nice. J'y vais en voisin. Je vois aussi beaucoup de matches à la télé, des matches français, des championnats étrangers. Je me tiens informé."

Dylan, yes you CAN ! (2)

27/12 14:34

Sans surprise, Dylan Batubinsika fait partie des 24 Léopards sélectionnés aujourd'hui pour jouer la CAN. Gaël Kakuta aussi, donc les deux hommes rateront le Sainté-Amiens programmé dans un mois dans le Chaudron en ouverture de la 22e journée de L2. Pour rappel, l'équipe de RDC affrontera successivement dans le groupe F la Zambie (le 17 janvier à 20h00), le Maroc (le 21 janvier à 15h00) et la Tanzanie (le janvier à 21h00).

Dur à avaler pour Mangala

27/12 14:07

Ayant joué 6 matches cette saison à Estoril (13e de l'élite portugaise actuellement), Eliaquim Mangala (32 ans) revient aujourd'hui dans DH Les Sports + sur son passage en vert ponctué d'une relégation en L2. Extraits.

"Je me sens parfaitement bien à Estoril. Je suis heureux d’être de retour dans le système. Après un an sans jouer, il a fallu réhabituer mon corps au rythme de la compétition. Après un temps d’adaptation, et grâce à la bonne prise en charge du club qui m’a laissé le temps de revenir, je me sens à nouveau bien mentalement et physiquement même s’il ne me manque que le rythme des matchs. J’ai signé pour un an afin de pouvoir me remettre sur pied et en fin de saison, on évaluera la situation. Je suis tombé dans un bon club, familial qui gère bien les choses. Je recommence dans un environnement sain.

Retrouver les sensations que procure le foot, l’adrénaline de la semaine qui précède le match, l’odeur du gazon, du vestiaire, cela m’avait manqué. Quant à mon objectif, c’est d’enchaîner les matchs et monter en intensité. Je dois réhabituer mon corps pour au moins disputer 20 matchs cette saison. Je me donne encore 5 ans au plus haut niveau. J’ai toujours cette rage de vaincre. À Saint-Étienne, j’ai enchaîné les matchs sans la moindre préparation. Maintenant, je veux éviter les blessures et prester à un bon niveau. Je ferai tout pour y arriver et prendre un maximum de plaisir.

Pas un instant après mon départ de Sainté je n’ai songé à arrêter. J’avais encore la motivation et l’envie. En fait, compte tenu de ma situation et de mon passif médical, je me suis dit que j’allais faire comme si je recommençais ma carrière. Je me suis mis dans la peau de ce joueur de 17 ans qui a débuté au Standard. Je devais recommencer à zéro mais en profitant de mon expérience. Ce dont j’avais besoin, c’était d’une préparation. Je voulais retrouver une équipe qui me laisserait le temps de redevenir un joueur de foot. J’étais ouvert à toute proposition mais quand tu es en dehors du système, c’est compliqué.

J’ai géré cette longue période sans club du bon côté car cela m’a permis d’avoir du temps pour d’autres choses, à commencer par ma famille, mes enfants. Je me suis également concentré sur mon projet « The Green Changers Club », que j’ai créé avec ma compagne Basma Hakim et avec mon associé Christian Ferreira. C’est une société qui apporte son aide aux jeunes athlètes mais aussi aux artistes ou encore aux dirigeants pour leur permettre d’être dans les meilleures dispositions mentales et physiques pour réussir. Cette idée m’est venue car, quand j’étais jeune, j’aurais aimé qu’on me prépare à ces différents aspects du foot. Quand vous n’êtes plus dans le circuit, vous voyez la vie autrement.

Je suis un joueur qui a un nom et qui n’a que trop peu joué ces dernières années. Cela a rebuté pas mal de clubs mais ces derniers n’ont pas pris le temps de savoir où j’en étais physiquement. On m’a rapidement catalogué. Les doutes ont freiné beaucoup de candidats. Aussi, la mode des défenseurs expérimentés semble un peu dépassée. Avant, un arrière central de 30 ans qui était libre, ça partait direct. Aujourd’hui, les clubs misent beaucoup plus sur les jeunes. Il y a eu des approches et demande de renseignements provenant du Golfe mais pour être franc, ce n’était pas mon objectif. Attention, je ne crache pas dans la soupe et on ne sait jamais ce qui peut arriver. Je sais que je suis plus proche de la fin que du début, mais ce n’est pas, actuellement, mon but premier.

Une carrière est faite de hauts et de bas et le plus important, c’est de savoir tirer les leçons et de la motivation lorsque tu es à la cave. J’ai découvert que j’avais une capacité de résilience que je ne soupçonnais pas. Après ma carrière de joueur, je veux devenir coach. Donc plus je passe de temps sur le terrain, plus j’apprendrai. Et je peux vous assurer que j’apprends chaque jour. Le foot d’aujourd’hui n’est plus le même que celui que j’ai connu à mes débuts au Standard. Il y a une nouvelle génération de footballeurs et la côtoyer, la comprendre m’aidera dans mon futur. Je suis comme un gosse, j’ai une grande soif d’apprendre.

En janvier 2022, j’ai découvert la Ligue 1 avec Saint-Étienne. Malheureusement, l’aventure s’est mal terminée. Jouer en France, c’était un peu boucler la boucle pour moi. À Saint- Étienne, j’ai enchaîné les matchs. Sur le plan personnel, c’était une satisfaction car en six mois, j’ai plus joué qu’en trois ans et ce, sans préparation. Mais collectivement, c’était dur. Je n’avais jamais été relégué et l’être avec un club mythique comme Saint-Étienne, c’est encore plus dur à avaler surtout quand ça arrive aux tirs au but.

Revenir au Standard ? C’est une possibilité. Je reste ouvert à tout et ne ferme aucune porte. C’est là où tout a commencé pour moi. Ah, l’enfer de Sclessin, quelle folie quand j’y repense ! J’ai un peu retrouvé la même ferveur à Saint-Étienne mais Sclessin, c’est incomparable. Je me souviens de la ferveur qui s’est emparée de Liège quand on a été sacré champion en 2009. La communion avec le public était dingue. Gagner un titre avec le Standard, c’est indescriptible. Je suis fier de faire partie de l’histoire de ce grand club qui souffle cette saison ses 125 ans d’existence. J’espère de tout cœur que le Standard retrouvera rapidement le sommet du football belge."

Janot n'a pas pu manger Ruffier

27/12 09:51

Dans la dernière édition de So Foot, Stéphane Ruffier rappelle qu'il n'a pas laissé la moindre chance à Jérémie Janot de garder sa place de titulaire dans les buts des Verts.

"Quand j’arrive, Galtier est clair : je viens pour être son numéro un. A côté, Jérémie avait un peu ce truc de manger ses concurrents au mental. Là-dessus, moi, tu pouvais y aller… (rires) Récemment, il a avoué qu’il avait essayé le premier entraînement, puis le second et que c’était trop clair, net et précis. Il ne pouvait rien faire ! Mon mental à toute épreuve, ça a été ma qualité première. Après, pour les supporters, ça a été un autre style : les gens l’adoraient car il était beaucoup plus extravagant que moi, il pouvait rentrer sur le terrain en spiderman. C’était un pur showman. Moi, ça a été autre chose. Je suis venu performer, être carré, costaud, solide, afin de remettre le club en Europe.

Sainté était en milieu de tableau et devait retrouver les hauteurs du championnat. Et c’est ce qu’on a fait. Avec le numéro 2, honnêtement, il n’y avait pas trop de débat. J’étais international. Un mec comme Mandanda à Marseille, ça a aussi été ça. Barthez à son époque, pareil, comme Coupet ou Maignan aujourd’hui. Je ne regarde pas trop ce qu’il y a derrière moi et dans ma carrière, je n’ai finalement fait qu’une boulette : au Parc, en 2014, sur un contrôle raté. Cette boulette existe, ça a fait rire du monde et ça a fait parler. J’en ai fait une grosse sur plus de 500 matches. C’est rien mais pendant six mois, j’ai été la tête de Turc et j’ai bien ramassé alors que d’autres qui en font deux ou trois par saison restent des « grands gardiens »."

Un licenciement, c'est violent

27/12 09:15

Viré de Dijon il y a 5 ans, Olivier Dall'Oglio avait retrouvé un banc 5 mois plus tard à Brest. Limogé de Montpellier en octobre 2022, le natif d'Alès aura mis 14 mois pour retrouver un poste à Sainté. Dans la dernière édition du quotidien Ouest-France, l'actuel entraîneur des Verts explique comment il a vécu sa dernière période de chômage.

"Un licenciement, c’est violent car on vous enlève tout d’un seul coup. J'ai regardé encore plus de matches qu’avant. On a la chance d’avoir des outils comme WyScout, une plateforme qui permet de télécharger toutes les rencontres de Ligue 1, Ligue 2 et National. Il n’y a pas un jour où je n'ai pas vu de football. Ça m'a fait un petit pincement au cœur quand je n'étais pas à la reprise cet été. C’était la première fois en dix ans pour moi. Mais j’ai 59 ans et je parviens à prendre plus de recul."

Saint-Etienne, c'est l'entraide

27/12 08:18

Dans sa dernière édition, Le Progrès met en exergue la générosité de Bafé Gomis, de passage à Sainté hier avec Bernard Lacombe. Extraits.

"Chaque lundi du mois de décembre, le restaurant stéphanois Le Canopy distribue à des associations 100 repas bistronomiques pour des personnes isolées et précaires. Une opération financée par Bafé Gomis, pour la quatrième année consécutive. En tout, entre 8 et 10 associations bénéficient aujourd’hui de cette action. "C’est ça Saint-Étienne, c’est l’entraide" résume l'ancien buteur vedette de l'ASSE."

Les voyants sont au vert pour les Tango ?

26/12 15:52

Alors que son club n'a pris que 2 points lors des 4 derniers matches de L2 et réattaquera son championnat le 13 janvier dans un Chaudron qui ne lui a jamais réussi, le président lavallois Laurent Lairy fait le bilan de la première moitié de saison des Tango dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. Extraits.

"Je suis fier de ce premier bilan. On a fait un bon mercato, on s’est préparé très tôt et on a, je pense, surpris par cette forme globale qui nous a permis d’engranger 10 victoires en 19 journée. On voit que les choses se fixent un peu avec de belles équipes en tête. Quand je dis "de belles équipes en tête", j’inclus Laval. Notre place de 4e, on ne l’a pas volée. Notre objectif est bien de rester là, de jouer les premiers rôles et d’être le challenger. Tout le monde est bien focus là-dessus, jusqu’au bout, quoi qu’il arrive. Les voyants sont au vert. Chapeau messieurs, je vous aime comme Mayenne !

L’objectif n’est pas d’absolument monter en L1, le tout n’importe comment et en changeant notre politique. L’objectif, c’est de rêver et avancer avec les composantes mises en place. On est dans la continuité de notre projet "Remonter, Rester, Rêver". On est dedans, il faut le tenir. Si on le tient, on va peut-être vraiment rêver. Mais je n’ai pas plus non plus dit qu’on va monter en 2024. Il faut rêver tous les jours. Quand je dis rester, c’est rester en structurant. J’entends : "Oui, bah on rêve déjà, oui, on ferait mieux de rester en L2 parce que finalement on y est bien." Oui, OK, d’accord, peut-être… Mais dans mon for intérieur, je suis à 150 % concentré sur cet objectif annoncé avant la saison de finir entre la première et la neuvième place."

Si on termine à la 9e place ? J’aurais une déception et une frustration si on n’a pas gardé notre comportement et le projet. Par contre, si on est 9e en se regardant dans les yeux et en ayant fait en sorte de ne rien avoir à se reprocher, je n’aurais aucun problème avec ça. À peu près un tiers de l’effectif sera remplacé la saison prochaine. Avec une option L2 ou L1.  Amin Cherni est suivi. S’il va à la CAN, il le sera encore plus. L’objectif est de garder le groupe qui a commencé le championnat. Si Amin a des sollicitations — ce n’est pas officiellement le cas aujourd’hui — on fera en sorte de peut-être conclure quelque chose tout en le gardant jusqu’à la fin de la saison."

Titularisé tous les matches de la phase aller alors qu'il n'avait jamais joué en pro auparavant, ce latéral gauche de 22 ans est devenu l'un des tauliers de l'actuelle 2e meilleure défense du chapionnat de L2. Il a de bonnes chances d'être convoqué pour jouer la CAN avec les Aigles de Carthage. 

Data gueule

26/12 15:10

Si aucun membre du board stéphanois n'a encore jugé bon de prendre la parole pour faire le (décevant) bilan à mi-saison, de très nombreux dirigeants de clubs évoluant en L1 et en L2 se sont exprimés. L'un des premiers à dégainer a été Damien Comolli, président d'un TFC restant sur une série de 10 matches de championnat sans succès et classé actuellement antépénultième donc barragiste. L'ancien directeur sportif de l'ASSE, qui avait viré Philippe Montanier un mois et demi après le sacre du TFC en Coupe de France au prétexte que les Violets auraient dû finir la saison dernière 10èmes ou 11èmes selon les datas et non 13èmes, ne regrette pas d'avoir viré l'ex-gardien stéphanois comme il l'a expliqué en conférence de presse.

"Si on fait un bilan sur la situation sportive, la situation en L1 n'est pas celle que l'on voulait voir et qu'on avait anticipée. On est en deçà de nos attentes en terme de jeu, en termes de points. La blessure de Zakaria Aboukhlal nous a fait mal. C'est le joueur décisif par excellence, qui peut briser un mur. On a eu aussi la perte d'Ibrahim Cissoko pendant 3 mois. On a reconstruit une équipe, ça prend du temps. Ce qui est sûr c'est qu'on est en deçà de ce qu'on voulait faire. On essaye de comprendre le pourquoi. À Lyon, on perd 3-0, mais on fait un xG supérieur à celui de Lyon, à Rennes aussi. 

Mais je suis très content qu'on ait changé d'entraîneur. L'apport de Carles Martinez Novell a tout changé. On a des outils de nos performances. On sait le potentiel de l'équipe. Ce ne sera qu'en fin de saison qu'on saura les réponses. Après 17 matches de championnat, il y a pleins d'aspects sur lesquels on manque de repères. Est-ce qu'on travaille mieux ? Est-ce qu'on est dans une trajectoire positive du club ? La réponse est oui. Tout ce qu'ont mis en place Carles et son staff montre qu'on est sur une courbe positive. Selon les xG, on devrait avoir 3 points de plus. On a 73% de chance de se maintenir. On est 16e mais on regarde vers le haut."

C'est son caractère, il n'aime pas la lumière

26/12 08:29

Dans la dernière édition de So Foot, Stéphane Ruffier répond aux critiques sur son caractère. Extraits.

"Encore aujourd’hui, je n’aime pas la lumière. Dans les endroits où il y a du monde, tu ne me verras jamais au milieu. Je vais toujours être un peu à l’écart. Je n’aime pas me retrouver dans un bain de foule, je ne vais pas danser sur une table. C’est une histoire de caractère. Au final, pendant ma carrière, on a parlé de moi, mais seulement par rapport à ce que je faisais sur le terrain. On ne connaissait pas ma vie. Au fond, je pense tout simplement que tu es aimé ou pas. Moi, j’ai été aimé comme j’ai été détesté, mais je n’ai joué aucun rôle et je n’ai jamais trahi qui j’étais. Je n’ai jamais couru pour me mettre derrière un micro après une grosse performance.  Il y a eu beaucoup de choses dites sur moi et mon "silence". Il a parfois été écrit que j’étais toujours à l’écart du groupe, que je m’isolais, que je mangeais seul dans mon coin, que je faisais chambre à part, sauf que jamais de la vie. Aucun coéquipier n’a jamais dit ça.

Il a aussi été dit que je me battais avec tous les gars du vestiaire… Sur le terrain, il y a parfois eu des désaccords sur des situations, mais ça n’est jamais allé plus loin. Par exemple je me suis engueulé avec Mouss Bayal Sall, qui est un bulldozer de 110 kilos. On a tellement de respect l’un pour l’autre… Pareil avec Yohan Mollo, avec qui je me suis un jour pris le bec en plein match. Il était au premier poteau, je le voulais au second car c’est ce qu’on avait préparé, mais j’ai uniquement élevé la voix pour le bien de l’équipe. Yohan et moi, on a été formés ensemble, on vivait dans le même immeuble à Monaco, je l’ai emmené à l’entraînement quand il n’avait pas le permis, je connais ses parents… Mais non, on a vu une scène à la télé et on a fait des grandes histoires…"

 

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