Plus aucun blessé pour les trois dernières journées ?

01/05 07:55

Interrogé sur les absences au Roazhon Park de Ryad Boudebouz, Romain Hamouma et Wahbi Khazri, Pascal Dupraz a bon espoir de disposer d'un groupe au complet pour les dernières importantes échéances de la saison.

"On va les revoir rapidement. Nous avons sagement évoqué les cas des trois joueurs cités pour savoir s’il était opportun qu’ils viennent à Rennes ce soir. C’était trop juste pour eux. Sauf catastrophe à l’entraînement, nous allons récupérer tous nos joueurs" a déclaré hier l'entraîenur stéphanois en conférence de presse. "Aïmen Moueffek, probablement Enzo Crivelli et je l’espère Falaye Sacko. Tous étaient à l’ouvrage à L’Etrat aujourd’hui. Nous avons encore trois rencontres à disputer et nous avons besoin de toutes les forces en présence."

 

Quel csc de Florentin Pogba !

01/05 07:35

D'une passe en retrait aveugle, excentrée et parfaitement brossée du pied gauche, Florentin Pogba a marqué de plus de 20 mètres contre son camp hier lors de la 36e journée de L2.

Malgré cette égalisation concédée à la 79e, les Lionceaux ont arraché la victoire contre le SC Bastia à la 90e et conforté leur 4e place. Déjà assuré de disputer les barrages, l'ancien défenseur central stéphanois pourrait retrouver les Verts les 26 et 29 mai...

L'AC Ajaccio d'Olivier Pantaloni a de bonnes chances de monter sans avoir à passer par les barrages. Les Corses ont consolidé leur deuxième place en renversant le HAC. C'est grâce à un tir de Jean-Philippe Krasso repoussé par le gardien adverse qu'ils ont égalisé dès la 9e minute de jeu. L'ACA compte toujours 3 points d'avance sur l'AJA (3e), qui a battu 1-0 l'USL Dunkerque (avant-dernier) de Romain Revelli et Jérémy Vachoux.

On aura noté que Charles Abi n'est entré en jeu qu'à la 89e minute alors que son équipe était encore menée à la 70e. C'est avant la courte apparition sur le terrain de l'attaquant stéphanois que Guingamp a réussi à renverser Caen (2-1). Apparu 18 fois cette saison de L2 mais seulement 5 fois en tant que titulaire, le natif de Clermont devra encore attendre pour inscrire son second but...

Comme Khazri, Gourna ratera les Niçois

30/04 23:30

A l'instar de Wahbi Khazri, Lucas Gourna sera suspendu pour le prochain match des Verts programmé le mercredi 11 mai à 19h00. Déjà averti contre Metz et à Bordeaux, le matru a encore mangé une biscotte après avoir mis une semelle à Flavien Tait au mitan de la seconde période.

Majer enfonce encore les Verts

30/04 22:58

Auteur de trois passes décisives lors de la manita du match aller, le milieu de terrain croate Lovro Majer a marqué les deux buts de la logique victoire (2-0) de Rennes ce soir, bien aidé par le capitaine stéphanois Eliaquim Mangala.

La réserve tenue en échec à Aurillac

30/04 19:55

Vous avez pu suivre la rencontre en direct sur notre forum grâce à notre envoyé spécial Stéphanois (le match était également diffusé en léger différé sur Fuchs Sports) : la réserve a été tenue en échec 2-2 à Aurillac en début de soirée sur le piètre terrain du stade Baradel.

Surpris à la 19e par un tir lointain que Bangaly Sylla n'a pas réussi à arrêter, les Verts ont égalisé 5 minutes plus tard sur un centre de El Hadji Dieye repris par par Yanis Lhery. Sur un coup franc de Louis Mouton suivi d'un cafouillage, Abdoulaye Bakayoko a donné l'avantage à son équipe à la demi-heure de jeu.

Dominateurs en début de seconde période, les Verts auraient pu faire le break si l'entrant Abdoulaye Sidibe avait cadré sa frappe à la 68e. La minute suivante, Abdoulaye Bakayoko a mangé une biscotte et sur le coup franc, repoussé par le poteau, Aurillac a égalisé. Suite à un coup franc de Louis Mouton, Abdoulaye Sidibe a raté une balle de match à la 85e. Sur un coup franc obtenu par El Hadj Dieye et tiré par Victor Petit, Abdoulaye Bakayoko en a manqué une autre en tirant sur le gardien dans le temps additionnel marqué par l'expulsion d'un Cantalou.

La compo : Sylla - Djile, Bakayoko, Leleux, Llort - Petit,Ah. Sidibé (Calodat, 72'), Mouton, Rivera (Gabard, 78') - Dieye, Lhery (Ab. Sidibe, 61'),

Modeste et Losilla brillent en Bundesliga

30/04 18:57

Décidément, les Anthony brillent en Bundesliga ! Grâce à un penalty qu'il a lui-même provoqué puis à une mine du droit dans la lucarne, Modeste a réalisé un doublé victorieux cet après-midi sur le terrain d'Augsbourg. Le fils de Guy a claqué pas moins de 19 pions cette saison en Bundesliga. 

Cette 32e journée de l'élite allemande a été marquée par la spectaculaire victoire (4-3) du VfL Bochum de Losilla (titulaire et capitaine) sur le terrain de Dortmund malgré un triplé de Erling Haaland. Une sacrée perf pour l'ancien réserviste de l'ASSE, qui avait déjà tapé le Bayern 4-2 il y a deux mois et demi !

Raveyre et Aiki sélectionnés pour l'Euro U17

30/04 16:27

Noah Raveyre et Ayman Aiki viennent d'être sélectionnés en équipe de France U17 pour jouer la phase finale de l'Euro, qui se déroulera du 16 mai au 1er juin en Israël. Les petits Bleus démarreront leur premier tour contre la Pologne le lundi 16 mai (16h30). Leur deuxième match de poule les opposera à la Bulgarie le jeudi 19 mai (19h00), avant de terminer cette première phase face aux Pays-Bas, le dimanche 22 mai (16h30). Les deux premiers seront qualifiés pour les quarts de finale, programmés le mercredi 25 mai pour les formations issues de cette poule.

On aura noté que seul le Stade de Reims est mieux représenté que l'ASSE dans cette sélection, José Alcocer ayant retenu trois milieux de terrain champenois. Le seul vilain du groupe aurait pu être vert car il s'agit de Mamadou Sarr, qui jouera la finale de la Coupe Gambardella dans une semaine contre Caen. Pour rappel, Pape Sarr avait vainement tenté de placer son fils à Sainté avant de céder aux avances des banlieusards.

Oscar ne reviendra pas en victime expiatoire

30/04 16:05

Entraîneur d'une équipe qui avec 40 points a autant de chances de descendre que la formation de Frédéric Antonetti n'en a de se maintenir, Oscar Garcia a de quoi aborder très sereinement cette fin de saison. Mais il n'entend pas pour autant revenir en victime expiatoire au stade Geoffroy-Guichard, qu'il avait quitté sur une vilaine manita.  En conférence de presse, l'ancien coach catalan des Verts a évoqué hier ce match de l'avant-dernière journée qui aura lieu le 14 mai à 21h00. Extraits.

"On va jouer à Lorient et à Saint-Etienne, deux équipes qui jouent le maintien. Et on va recevoir Lens et Nice, deux équipes qui jouent l'Europe. J'attends qu'on gagne les quatre matches. On va essayer, on se doit d'être exigeant et professionnel car on porte le maillot du Stade de Reims. Le championnat dure 38 journées, on veut finir le plus haut possible, pourquoi pas devant Montpellier voire Brest. Si on peut gagner nos quatre derniers matches, ce serait une très bonne chose, non seulement pour le club mais aussi pour moi et pour les joueurs.

J'ai une expérience en Angleterre avec Brighton. On jouait le dernier match à Nottingham mais on dépendait d'un autre match entre Reading et Barnley. C'était un match sans enjeu pour Barnley, qui était déjà promu. Mais Barnley a fait un match nul à l'extérieur. Comme de notre côté on a gagné, on a joué les barrages d'accession à la Premier League. Le professionnalisme de l'entraîneur et des joueurs de Barnley m'a beaucoup marqué. Nottingham aussi avait fait preuve de professionnalisme, on avait arraché la victoire dans le temps additionnel."

Desjars de Keranrouë a retrouvé La Voix

30/04 14:47

Les interdictions de déplacement qui frappent ce samedi les supporters nantais à Bollaert et les supporters stéphanois au Roazhon Park ne sont pas pour déplaire au patron de la police lensoise.  Emamnuel Desjars de Keranrouë propose même une solution radicale dans La Voix du Nord.

"L'interdiction de déplacements des supporters adverses à Bollaert permet d'alléger considérablement le dispositif. Au lieu d'avoir 200 à 300 policiers mobilisés, il n'y en a plus qu'une cinquantaine. Et le reste peut aller mener ses missions ailleurs que dans le secteur. Un jour de match, c'est plus de six heures de travail avant, pendant et après. Pendant que le policier s'occupe des supporters, il ne fait pas autre chose. Il faut se poser la question : pourquoi cela n'arrive que dans ce sport ?

Pourquoi les supporters de rugby, de handball peuvent aller voir un match dans un stade adverse sans qu'il n'y ait de débordements ? Ce n'est pas qu'un problème français le hooliganisme. A un moment, il faut se demander s'il ne faut pas interdire les déplacements tout court. On a essayé de les séparer en tribunes, ça ne marche pas. Il y a une poignée qui prive tout le monde d'un beau spectacle. Certes, certains arguments judiciaires ne tiennent pas la route. Mais ras-le-bol de mobiliser des forces de police pour ça !"

Du gâchis pour Antonetti

30/04 14:12

Avant de se déplacer demain à Montpellier, Frédéric Antonetti s'est confié au Républicain Lorrain. Extraits.

"Mathématiquement on n'est pas encore relégué mais il faut être raisonnable. On n'a gagné qu'un match sur la phase retour et il faudrait qu'on gagne nos quatre derniers matches tout en espérant que les autres perdent les leurs. Il ne faut pas exagérer non plus. Ni prendre les gens pour des cons. Jusqu'à notre match à Brest, même si les chances étaient infimes, c'était encore jouable. Mais là... C'est un énorme gâchis !

Tout le monde pense à son avenir. Moi sans doute un peu moins que les joueurs parce que ma carrière est derrière moi, pas devant. Tout le monde doit se poser des questions à l'intérieur du club. C'est normal après un échec comme ça. Le journal L'Equipe dit que je vais délaisser le banc pour rendosser le costume de manager général ? Des conneries. Que des conneries ! Il ne faut pas penser pour moi. Je suis assez grand garçon pour penser par moi-même.

J'ai encore deux ans de contrat, c'est le président qui décide. Pour l'instant, je ne l'ai pas encore vu. Ma réflexion, je ne vous la livrerai pas maintenant. Moi, aujourd'hui, je suis entraîneur et j'entraîne. Point ! Il faut discuter, connaître les conditions, savoir si on a une équipe pour remonter tout de suite, etc. Je suis sous contrat, si le président me dit "tu restes entraîneur", je reste entraîneur et voilà. Et on fera le maximum pour remonter. En tout cas je me sens encore plein d'énergie, d'enthousiasme. Ce sont les évènements qui décideront."

Bouanga renaît sous Dupraz

30/04 13:42

Auteur de 5 buts et 4 passes décisives lors de ses 10 derniers matches, Denis Bouanga s'est confié au Progrès avant de jouer ce soir à Rennes son 104e match officiel sous le maillot vert. Extraits.

"La première partie de saison, j'avais un mal-être en moi. Je dribblais quand il ne fallait pas, je ne prenais pas les bons un contre un… Mes proches ne me reconnaissaient plus. Ils m’ont dit : “Si tu ne joues pas ton football, plus personne ne croira en toi. Il faut que tu te remettes vite en question, que tu arrêtes de veiller.” Quand je ne suis pas bien, je me couche de plus en plus tard et, forcément, les performances s’en ressentent. Je n’arrivais plus à jouer au foot.

C’était compliqué dans ma vie, je n’avais jamais connu ça avant mais je ne devais pas craquer. Expulsé à Reims, j'ai mis mes collègues dans la merde  et je le regrette. J’ai envoyé un message à Julien pour m’excuser. J’ai eu des moments compliqués avec l’ancien coach que le public ne comprenait pas forcément. C’est important d’avoir un entraîneur qui te fait vraiment confiance. Je n’ai pas envie de le décevoir. Quand je me sens aimé, je peux mourir sur le terrain."

Fournier tacle les supporters des vilains

30/04 12:53

Formé chez les banlieusards, l'ancien milieu de terrain stéphanois Laurent Fournier tacle les supporters des vilains dans la dernière édition de La Provence.

"L'OL ne maîtrise pas son sujet, ça part dans tous les sens. Avoir donné les clés aux supporters, s'être séparé de Bruno Genesio, parce que ce sont les supporters qui l'ont fait partir, ça leur a donné trop d'importance. Dans un club, ce n'est jamais la bonne politique. Des supporters de l'OL sont allés se battre en suivant leurs U18 près de Marseille, tout cela est vraiment dommage. Il faut que le foot reste sur le terrain."

Irles pas indifférent à Sainté

30/04 12:26

A la tête d'une équipe troyenne ne comptant actuellement que deux petits points d'avance sur le barragiste stéphanois, Bruno Irles s'est confié à L'Est-Eclair avant de titulariser à nouveau Jessy Moulin demain au Stade de l'Aube contre un LOSC privé de Jonathan Bamba (blessé).

"Depuis 2006, jamais Troyes ne s'est maintenu ? Il y a cette image du club qui fait l'ascenseur, qui va retourner en deuxième division. On veut refuser cette fatalité que le petit Estac ne puisse pas se maintenir. De nombreux acteurs du football français espèrent que Sainté et Bordeaux se maintiennent ? Moi aussi ça m'énerverait de voir ces clubs descendre. On aime le foot ! Quand j'étais petit, ces clubs étaient en D1. Pareil pour Auxerre, il y a cette nostalgie en tant qu'amoureux du foot. Nancy, ça m'énerve aussi qu'ils aillent en troisième division. Maintenant, c'est le terrain qui parle !

Prendre un but deux fois de suite dans les dernières minutes, contre Clermont et Nice, ce n'est pas anodin. Mais quand l'émotion prend le dessus, il faut garder son calme, ses principes, sa lucidité. Un bon résultat contre Lille augmenterait nos chances d'un maintien historique. Mon adjoint Claude Robin l'a dit aux joueurs, François Baroin aussi. Moi je suis nouveau, il y a moins d'effet si j'en parle. Le message est passé, mais il fallait que ce soit par le bon vecteur. Des personnes crédibles leur ont parlé de cette histoire."

Garande ne jouera pas la prolongation à Dijon

30/04 11:53

L'ancien attaquant stéphanois Patrice Garande a annoncé hier officiellement qu'il ne sera plus Dijonnais la saison prochaine.

"Quand je suis arrivé au DFCO au mois d’août 2021, l’équipe était en très mauvaise posture, 19e de Ligue 2 avec 1 point pris en 5 matchs. La mission que m’a confiée le Président Delcourt était de maintenir l’équipe en Ligue 2. Aujourd’hui, cette mission est réussie, le DFCO sera en Ligue 2 la saison prochaine.

A trois journées de la fin du championnat, j’ai décidé de ne pas continuer la saison prochaine, d’un commun accord avec mon Président. Nous avons évoqué ensemble la saison écoulée, et surtout le futur du DFCO en toute transparence. Nous n’avons pas la même vision pour la suite, donc il est préférable de mettre un terme à notre collaboration."

Georges Eo a vécu un calvaire face aux Verts

30/04 11:37

Ancien milieu de terrain des Canaris, Georges Eo revient aujourd'hui dans Ouest-France sur l'écrasante victoire (5-0) de l'ASSE contre Nantes en finale de Coupe de France. Extraits.

"Il s’agit de la dernière finale jouée au stade de Colombes. C’était impressionnant pour moi, qui étais jeune de découvrir ce stade, le seul olympique qui existait en France à l’époque et accueillait tous les grands événements sportifs organisés en France. Nous étions partis un peu nous mettre au vert, avant le jour de la finale sui s'est jouée le dimanche 31 mai 1970 dans l’après-midi. Je garde aussi le protocole et le fait de serrer la main au Président de la République, qui n’était autre que Charles de Gaulle. Ce sont des moments très intenses, uniques.

Le match fut un calvaire. Je me souviens avoir été transparent, peut-être à cause du contexte. Me retrouver là, à ce niveau, je n’ai pas pris conscience. J’ai été remplacé à la mi-temps. Les joueurs les plus expérimentés, comme Philippe Gondet et Roger Lemerre se demandaient ce qui était en train de se passer. Il faut aussi dire que Sainté était très très fort cette année-là. Les Verts ont réussi le doublé en 70. Nous représentions la force collective quand l’ASSE s’appuyait sur de fortes individualités, de nombreux internationaux aussi. Ils étaient aussi plus matures que nous.

Au coup de sifflet final, il y avait beaucoup de déception. Les regards étaient fuyants, il n’y a pas eu de grosse colère, José Arribas le coach était très paternaliste. Il y avait aussi une petite honte, une petite gêne. Surtout que le lendemain, les deux équipes étaient invitées au journal L’Équipe comme le voulait la tradition. Là il a donc fallu à nouveau croiser nos adversaires, euphoriques… On regardait le bout de nos chaussures."

 

 

Le poissardico

30/04 10:33

Comme le souligne Opta, seul le QSG (19) a plus souvent touché les montants adverses que Saint-Etienne (15) et Rennes (14) en Ligue 1 cette saison. Cela n'empêche pas Paris (79 pions) et le club breton (75) d'avoir les deux meilleurs attaques de l'élite tandis que l'ASSE (38) a la 14e....

Quand Rennes se déchaîne, il n'enchaîne pas

30/04 10:12

De bon augure pour ce soir ? "Les Rennais restent sur un 5-0 infligé à Lorient mais à chaque fois qu'ils ont gagné en inscrivant au moins cinq buts, ils n’ont jamais réussi à enchaîner avec un autre succès derrière" a rappelé hier Ouest-France. "La victoire fleuve contre Clermont (6-0), en septembre, avait été suivie d’un nul à Bordeaux (1-1), celle à Saint-Étienne (0-5) d’une défaite contre Nice (1-2), quand un revers à Clermont (2-1) et un nul à Nice (1-1) avaient respectivement succédé aux cartons contre Bordeaux (6-0) et Metz (6-1)".

En conférence de presse, Bruno Genesio a commenté cette stat et tenu un discours beaucoup plus prudent et humble que les journalistes suiveurs du Stade Rennais en début de semaine sur le plateau de TVR.

"Je ne connaissais pas cette statistique. Je ne ressens pas de relâchement à l’entraînement en tout cas.  Au contraire, je ressens un groupe concerné pour atteindre l’objectif de fin de saison. Si on bat Saint-Étienne, on sera troisième quoi qu’il arrive à l'issue de cette 35e journée. Il faut battre Saint-Étienne. Je ne suis pas là pour enfoncer les Verts,  je pense que des clubs comme Sainté, Bordeaux, qui sont de grands clubs français, doivent rester en Ligue 1. Mais je suis là pour atteindre le Stade Rennais à atteindre ses objectifs européens.

Les Verts ont un effectif avec des joueurs de qualité, un coach qui connaît ce genre de situation. Il a déjà sauvé des clubs qui étaient quasi condamnés à la trêve par tout le monde. Il a cette faculté à motiver son groupe, à le faire se surpasser pour un objectif. Il faut être prudent, plein d’humilité. On sait que si on est à notre niveau et qu’on fait ce qu’on a l’habitude de faire pratiquement à tous les matches ici, il y a de grandes chances qu’on prenne les trois points. Si on baisse la garde, on sera en difficulté."

Rennes dans la merde sans Aguerd ?

30/04 08:12

Suspendu ce soir contre les Verts, Nayef Aguerd ratera son 5e match de la saison de L1. On aura noté que sans leur excellent défenseur central marocain, le Stade Rennais a perdu 4 fois (contre Monaco à deux reprises, contre Lens et Clermont) et ne s'est imposé que contre Bordeaux.

Le matru prend exemple sur les anciens

30/04 07:41

Ayant déjà joué 61 matches officiels en équipe première avec les Verts alors qu'il n'a que 18 ans, Lucas Gourna s'est longuement confié à Onze Mondial. Extraits.

"Des gens disent que je parais très confiant et que j’ai le boulard. Mais ils ne me connaissent pas personnellement. Je préfère que ces personnes viennent me voir et parlent avec moi pour savoir qui je suis vraiment. Ce que tu vas dégager sur un terrain peut n’avoir aucun rapport avec la personne que tu es en dehors du terrain. Et j’ajouterai que la confiance est un des facteurs clé de performance. On en a tous besoin pour pouvoir donner notre pleine mesure. Des gens se disent "le petit a le boulard" car ils voient un jeune de 18 ans faire des gestes directifs à des joueurs plus âgés que lui. Ce genre de choses fait partie de ma personnalité. J’ai un leadership naturel. J’essaie de m’en servir.

Le football doit être la priorité de toute mon organisation. Je me dois de tout faire pour réussir. Par exemple, je vais à l’entraînement à 8h et je quitte à midi. Et là, je me dois de faire du travail supplémentaire. Travail supplémentaire ne veut pas dire aller en salle et gonfler. Ça peut être des soins, du travail invisible comme la sieste, dormir plus tôt, bien manger, s’attacher les services d’un cuisinier, d’un kiné, d’un préparateur physique, d’un analyste vidéo, tu choisis un bon entourage pour être performant le week-end. Tu mets tout en place pour atteindre tes objectifs.

Kolodziejczak a remporté deux fois la Coupe d’Europe, Mangala a joué à Manchester City et a été le défenseur le plus cher du monde. Quand je vois ces joueurs faire des choses, je me dis : « Mais pourquoi je ne fais pas ça ? ». Je regarde les habitudes, l’alimentation, j’observe tout, je vois qu’ils ont toujours le sourire. Et là, je me dis : « Attends, je vais parler un peu avec eux ». Je vais piocher un peu chez tout le monde, avoir les informations de tout le monde. Après, je réunis toutes ces infos, je prends ce qui m’intéresse et ce qui peut améliorer ma performance. Par exemple, avec Mangala, on doit rester deux fois par semaine 15 minutes dans le sauna. On se pose lui et moi, et on parle de la vie. Les effets du sauna, c’est la récupération. Je prends exemple sur tous les anciens de l’équipe.

En deux ans, j’ai connu deux coachs qui ont deux manières différentes de travailler. D’abord, Claude Puel, un coach qui aime lancer les jeunes. Ce qui m’a marqué chez lui, c’est qu’il a vraiment pris le temps avec moi. Lors de ma formation, on me disait : « Attention, chez les pros, on ne peut prend pas le temps avec les joueurs ». Et ce coach a bien pris le temps avec moi, il m’a lancé au bon moment, il me parlait régulièrement, il communiquait très bien avec moi. J’étais choqué de ça, car j’étais un jeune joueur qui arrivait dans un vestiaire composé de grands joueurs. Il m’a appris plein de choses. Je suis désormais sous les ordres de Pascal Dupraz. Il continue le travail mis en place par Claude Puel avec moi. Ce sont des faits marquants car ces deux personnes me font avancer. Grâce à eux, j’engrange du temps de jeu en équipe première. 

Kolodziejczak est très exigeant avec moi. Il lui est arrivé de me reprendre, pour X ou Y raison, d’un signe dans le vestiaire. Ça me calme immédiatement. Mais c’est pour mon bien. Quand il fait ça devant tout le monde, je ne me sens pas gêné, j’acquiesce. Ça, ce sont des faits marquants dans mon apprentissage. J'ai besoin de fluidifier mon jeu et je travaille ça quotidiennement à l’entraînement, en regardant des matchs de joueurs plus expérimentés. Il faut répéter les gammes. Avec le coach Dupraz, je ne fais que ça. Je joue à deux touches de balle, je me concentre pour savoir si je dois fixer ou ne pas fixer, quand je dois donner ou ne pas donner, je dois être au service de collectif. À force de travailler et de répéter les gestes, mon jeu deviendra meilleur. 

Yann M’Vila, je le regarde encore. C’est un joueur qui sait gérer les temps forts et les temps faibles, il sait jouer en deux touches de balle quand il faut, il est très précis, un peu comme N’golo Kanté. Ce sont des joueurs comme ça que je regarde au quotidien. Quand je regarde Chelsea ou Manchester United, j’aime insister sur Kanté et Pogba. Leur manière de jouer m’intéresse énormément. Je peux également te citer Geoffrey Kondogbia. Je suis vraiment pointilleux sur leur attitude en observant ce qu’ils font lorsqu’ils ont le ballon, ce qu’ils font quand ils n’ont pas le ballon… À force, toutes ces informations rentrent dans ma tête. Ça nourrit mon subconscient.

Ce qui me plaît, c'est leur jeu sans ballon et leurs déplacements. Pour moi, c’est le plus important. Souvent, on va dire : « Ah ce joueur-là est trop fort ! ». Mais pourquoi il est fort ? Parce qu’il a dribblé trois joueurs. Moi, je veux savoir : est-ce qu’il crée du jeu sans ballon derrière l’attaquant ? Comment il crée le jeu sans ballon ? Comment il se détache de son joueur ? Comment il crée une attractivité ? Je regarde toutes ces attitudes-là. J’analyse aussi le comportement du joueur, son leadership, comment il s’adresse à ses partenaires, comment il fonctionne tout simplement. J’ai plusieurs noms en tête, essentiellement des milieux défensifs comme Makélélé, Vieira, Pogba, Kanté, Kondogbia… J’ai un profil similaire à ces joueurs. Je me base sur ces joueurs et je les admire encore. 

J’en ai bavé durant toute ma formation et lors de mes débuts professionnels. On m’a constamment répété : « Bosse ton jeu sans ballon ! », « Attention à ta prise d’information ! ». Pour ça, j’ai répété mes gammes encore et encore. Au départ, c’était un axe d’amélioration, et là, ça commence à rentrer dans mes qualités. Je faisais de la vidéo du lundi au vendredi sur mon jeu sans ballon. Les questions étaient les suivantes : comment je dois créer l’attractivité ? Comment je dois me déplacer pour ouvrir un espace pour mon partenaire ? J’ai énormément bossé avec le coach Julien Sablé, il me prenait tout le temps et me criait dessus. Parfois, j’en avais marre. Maintenant, j’en suis fier car ça fait partie de mes bagages.  J’ai un analyste vidéo qui m’envoie mon match séquencé. Ensuite, j’échange avec lui sur mes séquences. On discute sur mon jeu sans ballon et avec ballon.

Quand tu es au centre de formation, on te formate pour être en équipe première. Équipe première veut dire : jouer de grands matchs avec son club formateur, faire 40 matchs par saison. J’ai fait plus de 60 matchs. Je suis dans la continuité de ma progression. Je pense à être régulier avec mon équipe. On a une grande mission, c’est le maintien. Je ne pense qu’à ça ! J’ai conscience de la chance que j’ai, je peux engranger du temps de jeu dans mon club formateur, à Saint-Étienne, une institution du football français. Mais je pense être dans la norme, je ne suis pas en avance, je ne le vis pas comme ça.

Je ne me satisfais pas de ma situation, car on est mal classés. Je le serai quand on sera maintenu à la 38ème journée. Comment être auto-satisfait dans un contexte comme le nôtre ? Je me mets au service de l’équipe. On vit une saison très mitigée, mais on est en train de remonter la pente tous ensemble, on doit continuer dans ce sens. Travailler, être unis et réaliser ce que tout le peuple stéphanois attend de nous."

Avec Sow à Rennes

29/04 20:31

Malgré les critiques de son entraîneur en conférence de presse, Saïdou Sow est bien présent dans le groupe de 20 joueurs convoqués pour le déplacement à Rennes. Entre la CAN, les blessures et la réserve, il n'a joué que deux minutes sous les ordres de Pascal Dupraz, fin décembre dernier en Coupe de France...

 

Le groupe, avec pas moins de 8 défenseurs et 5 milieux défensifs :

Bernardoni, Green - Maçon, Moukoudi, Mangala, Nadé, Kolo, Sow, Silva, Trauco - Camara, Gourna, Zaydou, Neyou, Dioussé - Aouchiche, Bouanga, Nordin, Thioub, Sako

Avec trois absents de plus !

29/04 13:22

Déjà privés d'Enzo Crivelli, Falaye Sacko et Aïmen Moueffek, les Verts comptent 3 forfaits de plus pour le déplacement à Rennes demain comme l'annonce la Pravda :

"Touché à un adducteur, Ryad Boudebouz ne pourra pas être du voyage en Bretagne. Il en ira de même pour Romain Hamouma (mollet) et Wahbi Khazri (cuisse). À noter que ce dernier, actuel meilleur buteur des Verts (10 buts en 28 matches de Ligue 1), sera également suspendu pour le second déplacement d'affilée chez un candidat à l'Europe, à Nice, le mercredi 11 mai."

Josuha y croit

29/04 13:05

Capitaine d'une équipe qui compte actuellement 4 points de retard sur le barragiste stéphanois, l'ancien milieu de terrain Josuha Guilavogui a déclaré en conférence de presse qu'il croyait encore au maintien des Girondins en attendant de retrouver Christophe Galtier après-demain au Matmut Atlantique.

"Avec les réseaux sociaux, on peut mesurer la détresse de nos supporters, mais nous sommes les premiers malheureux. Ce sont des scénarios dramatiques, quand Jimmy rentre et que pour un talon son but n’est pas validé contre Saint-Etienne. À Nantes, on pense que le scénario est en notre faveur et finalement on perd. J’ai vécu un lundi catastrophique. C’est le foot, on doit l’accepter. La défaite à Nantes est due à mon erreur de relance.

Je sais ce que ça représente de prendre un but si tôt après la mi-temps. Si on avait tenu plus longtemps, je pense qu’on aurait remporté ce match. C’est pour ça que je m’en suis voulu. C’était l’occasion de retrouver cette cohésion. Il va falloir gérer les temps faibles, c’est une histoire de concentration. Même quand l’adversaire a un temps fort, il faut rester sur notre plan de jeu qui fonctionne depuis le début du match, et non pas défendre, défendre, défendre, car on finit par encaisser un but à force de subir.

Il va falloir s’appuyer sur ce qu’on a fait de bien contre Saint-Etienne et Nantes, ce début de match où on arrive à marquer, à aller chercher ce deuxième but. Il va falloir apprendre à gérer le score. Quand on voit nos deux derniers matchs, on a joué une équipe à notre portée, une autre qui fait une bonne saison et on maîtrise notre sujet. Dès qu’on prend un but on a du mal à gérer nos temps faibles car l’adversaire fait un peu plus. C’est là qu’on aura besoin du public qui joue un rôle très important. On se doit de prendre cette victoire à domicile.

Ce match contre Nice est-il à la vie, à la mort ? On peut le voir comme ça. La vie, ce serait trois points qui nous laisseraient en vie pour les trois derniers matchs. La mort aussi car avec le temps il y aura de moins en moins d’opportunités d’accrocher la 17e ou la 18e place. On s’est retrouvés plusieurs fois dos au mur dans la saison. Aujourd’hui, on y est plus que jamais. On se doit de croire encore au maintien. Il y a encore 12 points à prendre. Nos adversaires ne nous voient pas encore morts. On ne peut pas se dire que c’est fini."

 

Ah bon c'est superbe les fumis ?

29/04 10:04

Une atmosphère folkorique et superbe ... c'est ainsi que la Pravda décrit l'ambiance hier à Rotterdam pour le match opposant le Feyenoord à Marseille (3-2), avec pour l'illustrer une photo du parcage marseillais brillant du feu d'une centaine de fumigènes et légendée d'un savoureux les supporters de l'OM ont assuré l'ambiance dans les travées supérieures du stade De Kuip.

Revenant plus en détail sur le match des tribunes le quotidien qui aime pourtant parler des incidents à Geoffroy et ne s'émeut guère des sanctions collectives qui nous frappent semble sous le charme : Le contingent marseillais n'a pas démérité, de son côté (...) il a offert un craquage de fumigènes spectaculaire répondant ainsi au kop du De Kuip, en face. Celui-ci avait lui aussi un beau budget pyrotechnie, dépensé dans des fusées voletant vers le toit du stade, des torches rougeoyantes et de costauds pétards.

Donc nous ce sont des incidents dangereux, et au De Kuip c'est superbe et folklorique, va comprendre Charles...

 

Et par-dessus, Doku !

29/04 09:04

S'il devra encore se passer demain soir de son attaquant ghanéen Kamaldeen Sulemana, le Stade Rennais disposera néanmoins d'une sacrée escouade offensive contre Sainté. Bruno Genesio a annoncé hier que le Belge Jérémy Doku fera son retour après un mois et demi d'absence dans une équipe qui compte beaucoup d'autres joueurs dangereux : Martin Terrier, Gaëtan Laborde, Benjamin Bourigeaud, Serhou Guirassy, Lovro Majer, Flavien Tait.

Dure soirée pour Zouma, Saliba et Fofana

29/04 08:51

Dans un secteur de jeu où Sainté affiche actuellement un niveau bien trop faible pour l'élite, trois défenseurs centraux formés à l'ASSE ont été titularisés hier en demi-finale aller de Coupe d'Europe. En Europa League, Kurt Zouma a même été passeur décisif sur l'égalisation de West Ham, qui a fini par s'incliner 2-1 dans son antre face à l'Eintracht Francfort.

Auteur d'un mauvais match, William Saliba a été battu 3-2 aux côtés de Dimitri Payet à Rotterdam par Feyenoord en Conference League. Dans la même compétition, Wesley Fofana (Leicester) a dû se contenter d'un nul à domicile face à la Roma d'un Jordan Veretout entré en jeu dès la 57e minute.

Khazri n'aura pas le Prix

28/04 22:46

Alors qu'il faisait partie des 12 joueurs nommés pour le Prix Marc-Vivien Foé, Wahbi Khazri n'aura pas  le trophée récompensant le meilleur joueur africain de la saison de L1. Malgré ses 10 pions (dont son incroyable lob de 68 mètres à Metz), le meilleur buteur stéphanois ne fait pas partie des trois finalistes contrairement aux défenseurs rennais Hamari Traoré et Nayef Aguerd et au au milieu de terrain lensois Seko Fofana.

Paulo et les plots

28/04 21:57

Comme le relaye le site girondins4ever, Jérôme Alonzo a déploré sur les ondes de la radio ARL que le gardien des Verts soit abandonné par sa défense.

"Tout le monde a encensé Paul Bernardoni quand il est arrivé à Saint-Etienne, et à juste titre parce que c’est un bon gardien. Mais Paul Bernardoni, tout talentueux soit-il, quand il a une défense catastrophique devant lui, il prend quatre buts, comme tout le monde. A un moment donné… C’est l’exemple parfait, comme pour Bordeaux. Le gardien peut et doit être décisif, mais si devant lui il a quatre plots…"

 

Le tribunal administratif il est vilain

28/04 19:10

Sans surprise, le tribunal administratif de Rennes a selon Ouest-France débouté l'Association de Défense des Supporters Stéphanois, qui avait demandé l'annulation de l'arrêté du préfet d'Ille-et-Vilaine interdisant aux supporters stéphanois d'assister au match de samedi soir au Roazhon Park.

Le quotidien régional nous apprend que la préfecture menace les supporters qui souhaiteraient braver cette interdiction. Extraits.

"Début avril, lors d’une première réunion préparatoire, la division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH) envisageait de classer ce match du 30 avril en niveau 2 ou 3 sur une échelle de 5. Cinq étant le niveau du risque le plus élevé. Cette semaine, la DNLH a finalement classé la rencontre en niveau 3, en raison "du risque de troubles à l’ordre public." L'arrêté se justifie par « le contentieux qui existe entre les deux équipes depuis des années », rappelle la préfecture.

Quatre rencontres entre Rennes et Saint-Étienne ont été émaillées de troubles à l’ordre public : le 10 mars 2018, le 21 octobre 2018, le 10 février 2019 et le 1er décembre 2019. Par ailleurs, au regard des troubles régulièrement causés par les supporters ultras stéphanois depuis le début de la saison 2021-2022, la commission de discipline de la Fédération française de football a prononcé la fermeture de l’espace visiteur de l’AS Saint-Étienne à l’extérieur, jusqu’à la fin de la saison 2021-2022.

Un "dispositif proportionné" sera mis place le jour du match, selon la préfecture. Des effectifs seront déployés autour du stade, et dans le quartier Centre. "Il n’est pas exclu que des supporters de l’ASSE se déplacent aux abords du Roazhon Park et/ou dans le centre-ville dans le seul but de manifester leur présence malgré l’arrêté préfectoral pris le 25 avril, soulignent les services de l’État. Les dégradations et violences répétées en réunion les exposent à une mesure de suspension de leur association voire à une dissolution."

Ils ont craqué, on va ramasser ? (5)

28/04 18:18

Il y a trois jours, l'ASSE avait indiqué qu'elle analysait les recours susceptibles d'être engagés contre le huis clos total du stade Geoffroy-Guichard décidé par la commission de discipline de la Ligue qu'on adule suite au feu d'artifice tiré en plein match contre Monaco par les Green Angels, le club a annoncé et après-midi qu'il venait de saisir le Comité national olympique et sportif français d’une demande de conciliation.

Pour rappel, l'ASSE avait déjà saisi le CNOSF en vain l'été 2020 quand les Amazones avaient été empêchées de monter en première division. Mais il est arrivé que l'intervention de ce comité fasse plier les instances. Pour rappel, elles avaient condamné le kop sud à deux matches ferme à huis clos quand les Green Angels avaient fêté leurs 25 ans en craquant plus de 300 fumis lors du dernier match à GG de Galtier (0-5 contre le QSG). Mais la sanction avait été ramenée à un match ferme.

 

Sow piqué

28/04 13:56

Interrogé sur la défense à mettre en place face à la meilleure attaque de L1, Pascal Dupraz a glissé une pique à son jeune international guinéen, absent du groupe professionnel en 2022 alors qu'il avait joué 11 matches de L1 lors de la phase aller puis participé à la CAN en janvier. :

"Même en prenant trop de buts, nous avons pris 4 points sur 9. Vous me parlez de Saïdou Sow mais vous avez vu le match de la réserve ? [A la peine, il a concédé un péno en N3 contre Clermont le week-end dernier, ndp2]. Il n'y a pas d'évidence mais il s'accroche. On ne revient pas comme ça du jour au lendemain. Vous voulez me voir faire des tests mais j'assume ma responsabilité. Actuellement, c'est impossible de jouer à 4 sur 94 minutes. Tous les jours, je m'en rends compte."

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