My name is Carteron, Patrice Carteron !
20/02 20:37
Avant l'important déplacement de l'AS Cannes (6ème avec 34 points) à Arles (3ème avec 40 points) ce samedi lors de la 24ème journée du national, Patrice Carteron a mis le costume de James Bond pour répondre au feu roulant des questions des supporters cannois. Morceaux choisis de cette sympatoche interview de Cartoche, amateur de moules, du club Dorothée, de dance et de Paolo Coelho (nobody's perfect...)
"A Saint-Etienne j’ai eu une proposition de reconversion, mais j’avais l’envie de continuer et de relever un nouveau challenge. J’aurai pu accepter une proposition de plusieurs clubs de Ligue 2, mais les deux propositions les plus intéressantes sportivement venaient de Cannes et de Nîmes parce que jouer un challenge de montée avec Cannes ou Nîmes c’était quand même plus excitant que de jouer le maintien avec une équipe de Ligue 2 (...)
J’ai trois amis dans le football : Julien Sablé (qui a d’ailleurs assisté à notre dernière victoire face à Sète), Jocelyn Gourvennec et Eric Carrière (...) J’ai apprécié Elie Baup pour sa gestion humaine et Fréderic Antonetti très fort tactiquement. J’essaye de prendre le meilleur de ce qu’ils m’ont donné pour le redonner aujourd’hui à mes joueurs (...).
Chaque semaine l’A.S. Cannes est attendu, car ce club représente quelque chose dans le Football français et nos adversaires ont envie de se faire remarquer contre nous. J’ai vécu la même situation avec Saint Etienne en Ligue 2, nous étions l’équipe à battre."
http://www.ascannes.info/ASCannesfootball/index.php
Anto champion de France !
20/02 14:59
Dans un entretien publié aujourd'hui dans Nice-Matin, Frédéric Antonetti entonne une nouvelle fois le couplet du petit obligé de faire en permanence des miracles pour rivaliser avec les gros.
"On nous demande de rivaliser avec Rennes, mais lorsque je regarde nos budgets respectifs, c'est du simple au double ! Et le problème, ce n'est pas l'écart sur une saison, mais il se creuse de plus en plus. C'est trop difficile de maintenir le cap. On ne peut pas exiger de nous ce que l'on exige avec 32 millions d'euros. Il faut un peu de bon sens ! Ce n'est pas un message, c'est un constat ! On est un club qui fait partie des fragiles !
On a de bons joueurs, de bons jeunes. C'est notre politique sportive, relancer des anciens compétitifs. Mais ça reste un challenge tous les ans. Cela ne peut pas durer éternellement ! Il faut être aux responsabilités pour comprendre. Les gens regardent le match du samedi. Ils veulent davantage. Je comprends, mais... Si quelqu'un peut faire mieux en l'état actuel, que le président et les actionnaires ne se privent pas !
L'Europe, vous croyez que je n'ai pas envie de la jouer ? Mais moi je suis réaliste. On ne peut pas être dernier en tout, avoir le stade le plus moche de France, les installations les moins performantes et avoir des prétentions. Cela ne va pas ensemble... Il faut mettre l'ambition en adéquation avec les moyens. Si l'on fait le ratio budget-résultats, on est champion de France !"
Nikos toujours tu m'intéresses !
20/02 13:59
L'ancien défenseur international (30 sélections) de l'Olympiakos Nikos Vamvakoulas a livré son analyse du 16ème de finale aller de la coupe UEFA à la radio grecque Zentra (103.3 FM) :
"C'était une mauvaise soirée pour le football grec, pas seulement parce que l'Olympiakos était absent. L'équipe a paru hors de forme, elle a manqué de rythme. C'est bien beau d'archidominer le championnat grec mais ça ne suffit pas. Il y a plusieurs blessés et les joueurs sont fatigués. Je ne comprends pas qu'on aligne tout le temps les mêmes joueurs. Quand on a 14 points d'avance, il faut faire tourner ! J'ai l'impression que l'Olympiakos a mis les priorités sur le championnat et la Ligue des champions. Comme si la coupe UEFA était secondaire. En tout cas, Saint-Etienne est une équipe jeune et fraîche avec des joueurs qui savent comment bien jouer, ils sont rapides en contre-attaque."
Compan perce
20/02 13:22
Dans un entretien publié hier dans Le Bien Public, Lilian Compan affiche son bonheur héraultais : "Ici je m'éclate. On a la meilleure attaque du championnat, on joue la montée... On manque encore de régularité. On est capables de réaliser de très bons matches mais aussi des matches très moyens. C'est vrai qu'on marque un peu le pas par rapport à des grosses équipes comme Lens ou Metz. Mais à nous de ne pas décrocher davantage, une victoire contre Dijon nous replacerait en bonne position. Et puis je ne vois pas Metz continuer à ce rythme, il y aura donc deux places à prendre sur le podium derrière Lens. Alors pour l'instant, nous jouons toujours la montée. On est dans le coup.
L'attaque est notre grande force. On possède un bon milieu de terrain, qui nous donne beaucoup de bons ballons, et avec Victor, on arrive à bien se trouver. C'est un joueur qui va très vite et qui est facile à trouver dans la profondeur. Dans ce rôle d'attaquant d'appui, je touche plus de ballons. Quand on est plus jeune, on veut se mettre en évidence, mais aujourd'hui, cela me convient."
L'ami Lilian en remet une couche dans une interview publiée aujourd'hui dans France Football :
"Connaissons-nous un passage à vide ? Peut-être. Mais j'ai tendance à penser que les équipes en forme aujourd'hui, le seront moins en fin de saison. Et vice versa. Aujourd'hui, le mot d'ordre est de ne pas décrocher. On est à cinq points du deuxième et à quatre du troisième. Il faut absolument rester à cette distance. D'ailleurs, cette position, en embuscade, nous va bien. On est mieux dans nos baskets quand on est cinquièmes ou sixièmes que quand on occupe une place du podium. On sortira au grand jour sur la fin... Une chose est sûre, on a un effectif pour être dans les trois premiers en fin de saison. En tout cas, moi j'y crois !"
Platoche : "Je ferai tout, faites le reste !"
19/02 22:03
"Je ferai tout pour le sport que j’aime et les valeurs qu’il véhicule. Mesdames et Messieurs les Députés ; je ferai tout, mais je vous demande de faire le reste." C'est en ces termes que Michel Platini a achevé hier son discours devant le Parlement Européen à Bruxelles. Platoche jonglait avec le ballon, désormais il en fait de même avec les mots. Morceaux choisis.
"Je crois qu’en deux ans de Présidence de l’UEFA j’ai fait plus de discours sur le thème du football et de l’Union européenne que tiré de coup-francs tout au long de ma carrière de milieu de terrain (...) Combien d’enfants venus des quatre coins du monde ont appris les premiers rudiments de nos langues, en commençant par corner, hors-jeu ou pénalty ? C’est cette Europe du football, cette Europe en devenir, cette Europe de l’espoir que j’ai l’honneur de représenter (...)
Le football professionnel n’est pas plus un service financier qu’il n’est une activité agricole. Il est tout aussi absurde de vouloir réglementer le football à travers l’application mécanique du droit de la concurrence qu’il le serait à travers l’instrument de la politique agricole commune! Et pourtant, après tout, nous faisons aussi pousser du gazon ! (...) Depuis quinze ou vingt ans, on nous répète à s’en lasser, qu’il ne faut pas réglementer, que le marché s’autorégule parfaitement, que les excès et les déséquilibres disparaîtront d’eux-mêmes, que la croissance des revenus du football est une spirale positive sans fin. Nous savons aujourd’hui que tout cela n’est pas vrai : dans le football comme dans l’économie en général, le marché n’est pas capable de corriger ses propres excès, et ce n’est pas le Président de l’UEFA qui le dit, c’est Barack Obama ! (...)
Payer un enfant pour taper dans un ballon n’est pas si différent que de payer un enfant pour travailler à la chaîne. Il s’agit dans les deux cas d’exploitation du travail de mineurs. Et quand on paye un enfant ou ses parents pour lui faire traverser un océan, pour le déraciner culturellement, pour lui faire perdre ses repères affectifs, j’appelle cela un trafic d’enfants. Nous avons affaire à une sorte de proxénétisme sportif ! (...) Certains parlent de libre circulation des travailleurs. Moi je parle de protection de l’enfance. Certains parlent de droit de la concurrence. Moi je parle du droit au respect de l’intégrité humaine. Du droit pour un enfant de grandir entouré des siens. Alors soyons conséquents, Mesdames et Messieurs, et essayons de parler le même langage. Celui du coeur et de la raison.
Le football transcende les frontières, efface les barrières, le football abolit les préjugés et combat résolument les discriminations partout où il faut les combattre. Il est intolérable de tolérer le racisme, l’exclusion, le sexisme ou l’homophobie. La couleur de la peau est invisible sous le maillot. Les convictions politiques ou les croyances religieuses ne sont pas des qualités footballistiques, les préférences sexuelles ne conditionnent pas le numéro 9 au moment de tirer le pénalty."
Helléniques amers
19/02 20:13
Amateurs d'Anti-gone, les supporters stéphanois ont salué avec joie le retour de la grande tragédie grecque hier soir.
Tandis que le Journal de Saône-et-Loire évoque l'importance de l'ouverture du score par "le Roumain Ilan" (!), la presse hélennique est amère. Le journal crétois BHMA stigmatise "l'erreur tragique de Domi". De son côté, le quotidien grec Ta Nea intitule son papier "Le cauchemar français".
Vexés d'être tombés brutalement de leur Olympe, les Rouge et Blanc accusent le coup et reconnaissent la supériorité stéphanoise sur les ondes de la radio Nova Sport. Ernesto Valverde, qui a pourtant connu Famagouste : "C'est ma plus mauvaise soirée depuis que j'entraîne ici." Diogo : "C'est le football. On n'a pas fait une bonne performance. Le résultat est juste. Nous avons sous-estimé nos adversaires. C'est une très bonne équipe, elle a de la qualité mais de notre côté on n'a pas bien joué".
Galletti, maux au logis
19/02 18:45
Sorti hier sur blessure à la 65ème minute juste après la réduction du score, Luciano Galletti (Olympiakos) souffre d'un gros hématome. Selon le quotidien grec Ethnos, le milieu de terrain argentin est forfait pour une dizaine de jours et sera donc indisponible pour le match retour à Geoffroy-Guichard. Absent au match aller, son compatriote Sebastian Leto sera probablement aligné dans le Chaudron.
Stathis et statistique
19/02 13:40
Dans une interview publiée aujourd'hui sur le site grec Goalday, Stathis Tavlaridis se déclare "surpris d'avoir passé une aussi agréable soirée." Même s'il a pris un carton jaune et s'il est sorti sur blessure, Tavla savoure : "Je ne m'attendais pas à ce qu'on soit aussi à l'aise. On a dominé en première mi-temps, en seconde période on a souffert. Gomis a marqué un joli but. C'est un très grand joueur, il a fait la différence mais la qualification n'est pas encore acquise. Il y a un match retour."
La prudence reste de mise mais notre défenseur grec peut se montrer résolument optimiste : sur 125 précédents toutes Coupes d’Europe confondues depuis la saison 1970-1971, 98% des équipes qui ont gagné 3-1 à l’extérieur à l’aller se sont ensuite qualifiées (stat de L'Equipe).
ASSE-OLYMPIAKOS : à Guichard fermé !
19/02 10:05
Dépêchez-vous d'aller chercher vos sésames, il n'y en aura pas pour tout le monde !
Même Platoche sera présent ce 26 février à Geoffroy-Guichard pour le match retour des Verts face aux Grecs de l'Olympiakos, et il prend de la place le néo-gros !
Rappelons que l'ASSE a atomisé, laminé, démonté, détruit, démoli, réduit en cendres, bouffé, dévoré, carbonisé, anéanti... l'Olympiakos le Pirée (est derrière nous), lors du match aller au Stade Georgios Karaiskakis. Victoire 3-1. pouf pouf. Sont nuls ces Grecs !
Le Pirée n'est pas le meilleur !
18/02 23:40
L’Olympiakos restait sur seize victoires d’affilée dans son stade. Les Grecs avaient atomisé Benfica (5-1) puis le Hertha Berlin (4-0) en phase de poules... Merci les Verts !
Karaiskaki profite le crime ?
18/02 16:50
Le nom du stade de l'Olympiakos est trompeur, les locaux ne font pas des mamours à tout ce qui porte du vert. Mais tout ce qui porte du vert est-il vraiment exemplaire ?
Selon le site grec Goalday, de violents incidents ont éclaté aux alentours du stade Karaiskaki entre supporters des deux camps. La police grecque, qui a tardé à intervenir, a utilisé des gaz lacrymogènes pour désamorcer la situation et calmer les plus excités.
D'après le site hellénique Sport, des supporters stéphanois ont provoqué des supporters de l'Olympiakos assis dans des cafés avant de leur lancer des pierres.
Kohler ne se fait pas de bile
18/02 16:12
Colère Vient du grec kholê, "bile", qui a donné cholera. La colère était due à un échauffement de la bile : la chaude chole ou "bile chaude" et "cholère".
Journaliste à L'Equipe, Kohler ne se fait pourtant pas de bile pour les Verts, sans doute parce qu'il s'appelle Stéphane. Il s'est en effet montré optimiste à la radio grecque Zentra (103.3) avant le match de ce soir :
"L'Olympiakos devra se méfier. C'est difficile à expliquer mais en UEFA Saint-Etienne joue librement. L'équipe voit ça comme une nouvelle expérience et veut prolonger son aventure européenne. En championnat, c'est différent : les Verts ambitionnaient la 5ème place mais les choses ont mal tournée. Il y a eu des blessures, des problèmes et l'équipe n'a pas été en mesure de supporter la pression.
Les Stéphanois connaissent la force, la forme et l'efficacité de l'Olympiakos à domicile. Mais ils ont les moyens de contrarier cette équipe. Ils ont deux très bons milieux défensifs, Matuidi et Machado. Il peuvent également compter sur beaucoup de joueurs prometteurs et ont de réels arguments offensifs. Un joueur comme Gomis peut poser des problèmes à la défense centrale grecque, parfois statique.
Comme l'a dit Alain Perrin, les Stéphanois se méfieront notamment de la triplette latine de l'Olympiakos : Belluschi, Diogo et Galletti.
Saint-Etienne ne prendra pas beaucoup de risques dans le Karaiskaki. Les Verts vont essayer d'exploiter les contre-attaques. Les vingt ou trente premières minutes seront capitales. Si les Verts font une bonne entame et restent concentrés, ils peuvent faire quelque chose."
Domi cille pas à domicile
18/02 00:00
L'ancien défenseur du PSG Didier Domi (30 ans) joue actuellement sa troisième saison à l'Olympiakos. Dans une interview publiée dans le quotidien grec Ethnos, il se dit heureux en Grèce :
"Mon contrat s'achève en juin mais le club veut me garder et on a entamé des négociations en vue de ma prolongation. J'aime la vie à Athènes. Ma femme et mes enfants aussi. Je songe même à terminer ma carrière ici. La vie en France me manque parfois mais j'aime découvrir de nouvelles cultures. J'ai joué plus d'années à étranger (Angleterre, Espagne, Grèce) qu'en France. Je me sens bien ici car on joue pour gagner des titres. Je suis content à l'idée de retrouver un club français en coupe UEFA mais je vous préviens, l'Olympiakos n'est pas disposé à faire de cadeaux, surtout à domicile..."
Anto vise le Guinness
17/02 23:47
Non, l'entraîneur des Aiglons n'a pas des vues sur la cave d'un célèbre potonaute grisonnant ! Mais avant le match en retard de la 20e journée qui opposait ce soir Nancy à Nice, Frédéric Antonetti a déclaré avec humour à Nice-Matin : "On veut montrer que le groupe vit bien. Il faudra être à la fois concentré et décontracté. Quant aux suspendus, on peut entrer dans le Guinness Book !"
Anto devait en effet se passer de cinq joueurs suspendus (Rémy, Apam, Rool, Faé, Adeilson) et un joueur non qualifié (Sablé) mais ça ne l'a pas empêcher d'aller gagner sur le fil à Marcel Picot ! Si Vincent Hognon a été titularisé contre son club formateur, c'est un autre ancien Vert qui a donné la victoire aux Aiglons : meilleur passeur du championnat (8 passes décisives), David Hellebuyck a en effet marqué son premier but de la saison en lobant Bracigliano d'une balle piquée du droit à l'ultime minute de la rencontre !
La vidéo du but d'Hellebuyck : https://www.youtube.com/watch?v=MviqsBUGzMc
Les Verts dans le rouge
17/02 23:31
Valenciennes ayant battu Caen 2-0 ce soir en match en retard, les Verts sont relégables ! Si l'ASSE compte le même nombre de points que le VAFC, elle est pénalisée par son épouvantable différence de buts (-14 contre - 6).
Avant d'affronter les Rouges de l'Olympiakos en UEFA, les Verts sont désormais dans la zone rouge en L1 à cause des Rouges de Chico and co...
Rudi Garcia, "un mec classe"
17/02 22:21
L'entraîneur du LOSC est à l'honneur aujourd'hui dans L'Equipe. Fils d'un ancien international amateur (décédé en octobre dernier) ayant entraîné Corbeil-Essonnes pendant près de 20 ans, Rudi Garcia est tombé dans le football quand il était tout petit "comme Obélix".
On apprend que l'ancien entraîneur co-entraîneur de l'ASSE (avec Jean-Guy Wallemme), qui joue de la gratte avec ses potes et s’éclate sur du U 2, revendique deux mentors dans le football : Robert Nouzaret, "bâtisseur porté vers l’offensive", et Rafael Benitez, rencontré lors d'un stage à Valence en 2001. "Benitez est un tacticien qui fait très attention aux détails. J’ai retenu sa faculté à donner de l’importance aux coups de pied arrêtés, ce que j’ai appliqué depuis à toutes mes équipes."
Le Nouz garde de bons souvenirs de son ancien adjoint à l'ASSE : "C’était un mec classe, bien habillé. Il était aussi comme ça sur le terrain. À Saint-Étienne, il avait envoyé son CV et je l’avais reçu. Il avait un discours technique compétent. Ça m’a plu et je lui ai donné des responsabilités. Il était ce qu’un adjoint doit être, c’est-à-dire pas un mouton. Sur le plan du jeu, on était sur la même longueur d’onde, avec un penchant pour le spectacle, le plaisir. À mon avis, il ne s’arrêtera pas en si bon chemin."
Leto se resserre
16/02 23:52
Prêté par Liverpool, le jeune milieu de terrain argentin de l'Olympiakos Sebastian Leto (22 ans) va devoir déclarer forfait pour le 16ème de finale aller de la coupe UEFA selon le quotidien grec Ethnos.
Hérita Ilungoal, the return !
16/02 23:27
Samedi, en huitièlme de finale de la Cup, West Ham a arraché le nul à domicile face Middlesbrough à la 83ème minute du match. Sur un coup franc de Savio dévié par Collins, Hérita Ilunga a égalisé de la tête : https://www.youtube.com/watch?v=aCWjQUU-hFs
C'est le deuxième but de notre ancien défenseur sous les couleurs "claret and blue". Il avait marqué son premier but le 3 janvier dernier contre Barnsley, en 32ème de finale de la Cup (victoire des Hammers 3-0).
Le syllogisme duhamelicien
16/02 15:53
Prémisse majeure : Tous les arbitres ont des yeux.
Prémisse mineure : Monsieur Duhamel n'a pas d'yeux.
Conclusion : Donc Monsieur Duhamel n'est pas un arbitre.
Monsieur Duhamel est-il autre chose qu'un arbitre, par exemple un objet qu'on mettrait à la bouche et qui produirait, ou pas, de la fumée ?
Testons de nouveau un syllogisme aristotélicien :
Prémisse majeure : Une Pipe n'a pas d'œil.
Prémisse mineure : Monsieur Duhamel n'a pas d'œil.
Conclusion : Donc Monsieur Duhamel est une pipe.
Aristote est formel : Monsieur Duhamel est une pipe ! Et en matière de pipes, les Grecs sont sans doute les plus grands spécialistes !
Rodrigao a du coeur
16/02 06:44
Et dire que Chimène se posait encore la question ! Rodrigao a apporté la plus belle des réponses le jour de la Saint Valentin en réalisant un doublé contre Santo André. Grâce à sa victoire 4-0, Guaratingueta remonte à la 9ème place du Paulistao.
De son côté, Alex a marqué le 3ème but de la victoire de CRAC sur le terrain d'Aparecidense. Il domine toujours le groupe A du Goiano tandis que son ancien club Goias est le leader du groupe B.
Postigoal gagne le petit derby
15/02 22:50
Hier, Helder Postiga (26 ans) a marqué le but de la victoire (2-1) du Sporting Lisbonne sur le terrain de Belenenses : https://www.youtube.com/watch?v=y9Il2VVdguc
Dimanche prochain, l'ancien attaquant stéphanois tentera de remettre ça à domicile lors du grand derby contre le Benfica.
La réserve victime de ses anciens réservistes
15/02 21:17
L'équipe réserve de l'ASSE s'est inclinée à l'Etrat cet après-midi 3 buts à 1 face à Fréjus. Alors que Manu Rivière a ouvert le score à la 17ème minute sur une ouverture en profondeur de Mehdi Messaoudi, l'ancien pensionnaire du centre de formation de l'ASSE Alexis Gharibian (25 ans) a égalisé quelques minutes avant la pause en reprenant de volée un corner mal dégagé. En début de seconde période, une autre vieille connaissance de la maison verte a donné l'avantage aux Varois : Grégory Dutil (28 ans) a remporté un duel contre Lounis Lanseur avant de glisser le ballon d'un pointu sous le corps de Coulibaly. Dans la foulée, Gharibian a une nouvelle fois fait trembler les filets de Coulibaly.
Invaincus à domicile depuis le 7 septembre, les Stéphanois ont enregistré leur septième défaite de la saison. A l'issue de cette 20ème journée, les Verts rétrogradent à la 12ème place du classement et se rapprochent dangeureusement de la zone de relégation... Samedi prochain, ils joueront un derby sur le terrain de Lyon-Duchère (4ème).
La compo : Coulibaly - Andreu (Néry, 60'), Lanseur, Monsoreau, Sauget (Vidal, 65') - Messaoudi, Boumal, Mansaly (Sagna, 75') - Dos Reis, Rivière, Gigliotti.
La réaction de Jean-Philippe Primard : "On a fait une première mi-temps correcte. Après un bon premier quart d'heure, Manu a ouvert le score. Ensuite il s'est procuré une belle occasion, un pénalty non sifflé. On a eu une autre grosse occasion de faire le break : suite à un corner dévié par le gardien de Fréjus, Mansaly seul aux cinq mètres a tiré sur la barre. C'était le tournant du match. On s'est fait égaliser quelques minutes avant la pause. On a fait un début de seconde mi-temps catastrophique, cauchemardesque. Pendant vingt minutes on n'y était pas du tout et on a encaissé coup sur coup deux buts. Fréjus aurait même pu planter deux ou trois buts de plus, on était complètement absent. Les vingt dernières minutes ont été plus équilibrées mais c'était illusoire de revenir au score vu la motivation de certains. Je suis déçu du comportement de plusieurs joueurs. On est tombé sur une belle équipe de Fréjus, qui joue beaucoup plus au ballon que Hyères, le leader.
J'ai pu aligner de nombreux pros mais tous n'étaient pas au top... Manu Rivière a fait un bon match, il a mis un beau but et s'est bien battu. David Sauget et Sylvain Monsoreau ont fait un match correct pour une reprise. Au bout d'une heure de jeu, Sauget était un peu cramé, c'est pour ça que je l'ai remplacé. Yoann Andreu a fait un match moyen. Il a pris un coup, il est donc sorti sur blessure. Quant à David Gigliotti, je ne préfère pas en parler...
La défense a eu beaucoup de difficultés aujourd'hui. Lounis Lanseur a joué récemment deux matches avec les Espoirs algériens, il était un peu fatigué. Sauget et Monsoreau étaient à court de rythme, ça fait un moment qu'ils n'avaient pas joué. Au milieu, mes "p'tits guerriers" Paye et Guilavogui sont encore blessés pour deux à trois semaines. Quant à Linganzi, il traîne ses problèmes aux adducteurs depuis plusieurs mois. On n'est pas épargné par les pépins physiques mais il faut faire avec et s'accrocher. On sait qu'on va devoir lutter pour le maintien, ça fait un bon moment que je le dis. Certains nous ont vu trop beaux mais c'est qu'ils avaient mal lu le classement en oubliant les matches en retard parfois nombreux de pas mal d'équipes".
18 ans : Nze M'Baba coule Bastia
15/02 18:13
Battus à domicile 2 buts à 1 par l'OM le week-end dernier, les 18 ans de l'ASSE ont bien réagi cet après-midi en s'imposant sur le même score à Bastia.
Auteurs d'une excellente entame de match, les jeunes Verts ont ouvert le score dès la 5ème minute de jeu. Abdou Nze M'Baba a profité du vent pour marquer sur corner direct. A la 16ème minute, le natif de Nanterre a adressé une passe décisive à Valentin Lavialle. Amoureux des beaux gestes, ce jeune attaquant stéphanois a enroulé une magnifique frappe des 20 mètres qui n'a laissé aucune chance au portier corse.
En fin de première mi-temps en en début de seconde période, les Stéphanois se sont procurés plusieurs occasions par Idriss Saadi, Kevin Salabiakou et Valentin Lavialle. Mais les Bastiais ont réduit la marque à la 75ème minute sur leur première grosse occasion. Les Verts ont bien su gérer la fin de match pour conserver leur court mais précieux avantage.
La compo de l'ASSE : Cassara - Luminet, Cros, Pellet, Ghoulam - Garric, Bencheikh (Charbonnier, 60'), Nze M'Baba, Salabiakou (Rafilibera, 70') - Lavialle, Saadi (Chaouki, 80')
La réaction d'Abdel Bouhazama : "On a su faire la différence grâce à notre très bonne entame de match. Dans des conditions difficiles (terrain bosselé, vent violent), on a eu la mainmise sur le jeu en première mi-temps. On aurait dû se mettre à l'abri en marquant un troisième but. Alors que Maxime Cassara n'avait eu aucun arrêt à faire, il a pris un but suite à une erreur d'alignement. On a mal joué le hors jeu sur cette action. On a conservé le score avec les tripes quand Bastia a essayé de revenir en faisant du jeu long. Certains garçons ont fini le match en traînant la patte, ils ont tout donné. Je suis satisfait de l'investissement de mes gars aujourd'hui."
Anciens Verts 2 - RMC 0
14/02 15:22
C'est le résumé de la 23ème journée de L2 disputée hier soir !
Le FC Metz d'Yvon Pouliquen a battu le Montpellier de "coach Courbis" 3 buts à 1. De son côté, comment te dire, Luis Fernandez a relativement beaucoup perdu sur le même score mais à domicile face aux jouors amiénois de Thierry Laurey.
Jau le plombier
14/02 15:05
La semaine dernière, Bastia s'était inspiré de Sainté en perdant lamentablement 4 buts à 1 à Guingamp. Hier, les Corses se sont rachetés en battant Tours 2-0.
Titulaire, Fabrice Jau a plombé les espoirs de Julien Cétout, entré en jeu à la 64ème. A l'origine de l'action ayant débouché sur l'ouverture du score (but de Genest sur un centre de Nicolas Marin), il a profité d'une passe de Serisay Barthélémy pour marquer son troisième but de la saison dans les ultimes secondes de la partie.
A l'issue de la rencontre, l'entraîneur tourangeau Daniel Sanchez a mis en exergue le rôle de Nicolas Marin, qui a remplacé Frédéric Mendy à la 56ème minute : "Nous sommes déçus car on espérait bien repartir avec un point. Mais la rentrée de Marin a été décisive."
Le résumé vidéo du match : http://www.sc-bastia.net/v4/?cat=14
Belluschi en rêve
13/02 16:04
Certains rêvent de Monica, lui rêve de la coupe UEFA... Bon, vous me direz, les deux peuvent faire fantasmer ! Interviewé par la chaîne de télévision Skaï, le milieu de terrain argentin de l'Olympiakos Fernando Daniel Belluschi : "Soulever la coupe UEFA n'est pas un rêve fou, à nous d'en faire une réalité. Ce que le Zénith Saint-Petersbourg a fait l'an dernier, on peut le faire. On travaille bien et on pratique un bon football. "
16 ans : beaucoup d'appelés mais peu d'élus
13/02 11:33
Trois jeunes Verts font partie des 59 joueurs convoqués pour un stage de détection par Guy Ferrier, l'entraîneur de l'Equipe de France des moins de 16 ans : Thomas Jacq, Kevin Mayi et Elian Tack.
Entraîneur des moins de 16 ans à l'ASSE, Romain Revelli nous les présente :
"Thomas Jacq joue en défense centrale, c'est un Breton. Il vient de Morlaix et il est passé par le pôle espoirs de Ploufragan. C'est un garçon doté d'une bonne lecture du jeu. Il est encore fin, il doit s'étoffer physiquement pour gagner en puissance et en agressivité. C'est un joueur élégant, appliqué dans les relances. C'est déjà un petit pro. Quand il joue avec les 15 ans, il est capitaine car il est mature et sérieux.
Elian Tack vient d'Yssingeaux, on l'a repéré quand il jouait à l'Olympique de Saint-Etienne. C'est un vrai buteur, un finisseur à la Trézéguet. Il participe peu au jeu mais il est bien placé et adroit devant le but. Il joue souvent avec les 15 ans de Gilles Rodriguez mais conformément à notre politique, je le fais parfois monter en 16 ans car il a de réelles qualités. C'est un joueur un peu introverti, qui doit encore s'affirmer. Comme il vient de se faire une petite contracture, il n'est pas encore sûr de participer au stage de détection.
Kevin Mayi est forfait pour ce stage car il a été victime d'un petit arrachement osseux lors d'un récent entraînement. Il est indisponible pour un mois et demi. C'est dommage car c'est sans doute celui qui a le plus de chances de rejoindre l'équipe de France des 16 ans. Il joue avant-centre. C'est un grand black puissant et rapide qui sait également dribbler. Il évolue un peu dans le même domaine qu'Idriss Saadi. C'est un garçon qui a vécu à Tahiti. Il a commencé à jouer au foot assez tard. On l'a soufflé à l'OL. C'est vraiment un joueur à suivre."
On en pince pour le Parc !
13/02 10:18
Sainté et le Parc des Princes ça a longtemps ressemblé à Je t'aime moi non plus.
Je t'aime parce que le public parisien a toujours eu un faible pour les Verts au point que chacun de nous se souvient de ces rencontres au Parc bercées par les "Allez les Verts" que nous transmettaient nos transistors au fond de nos chambres.
Moi non plus car au soir d'une triste fessée infligée aux hommes du Nouz (1-5) en Septembre 2000, le bilan de l'ASSE au Parc affichait un effroyable 16 défaites - 6 nuls en 22 matches.
Depuis cette très douloureuse virée, l'ASSE tient enfin tête au PSG dans l'un des stades les plus bruyants de France. Nos 4 derniers passages porte de Saint Cloud (ou d'Auteuil, t'as le choix dans la porte) se sont soldés par trois jolis nuls et une victoire historique le 25 Février 2007 (0-2) avec un but d'anthologie d'Ilan.
L'an dernier dans un stade porté en fusion par une fin de saison haletante, les Verts avaient tenu bon (1-1, but de Perrin) et n'avaient dû qu'à un juge de touche oublieux de ne pas revenir avec les 3 points.
Alors, comme disait un furtif attaquant parisien porté sur les desserts lactés et les transferts dorés, on remet ça ?
Juju voit rouge
13/02 10:15
Auteur d'un vilain tacle contre les vilains, Julien Sablé a été expulsé lors du dernier match de championnat. Juju a écopé hier de deux matches de suspension.
Jusqu'alors, il n'avait reçu qu'un seul carton rouge dans sa carrière. Lors de la saison 2004-2005, l'ancien capitaine stéphanois avait été expulsé à la dernière minute du match des Verts contre le PSG.
Fernandez en éclaireur
12/02 21:31
Selon la radio grecque Nova (94,6 FM), Gérard Fernandez assistera samedi soir au match de l'Olympiakos (leader avec 54 points) contre l'Aris Salonique (6ème avec 31 points). Clin d'oeil du destin, cette rencontre de la 22ème journée du championnat opposera le futur adversaire des Verts au seul club grec qu'avait rencontré jusqu'alors l'ASSE.
Lors de la saison 1979-1980, les Stéphanois avaient éliminé l'Aris Salonique en 8ème de finale de la coupe UEFA. Vainqueurs 4-1 à l'aller dans le Chaudron (buts de Platini, Larios, Lopez, Roussey), les Verts avaient fait un bon nul 3-3 au retour (buts de Larios, Zimako et Rep).