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Bafé s'est marié devant Romeyer

24/06 21:35

En fin de contrat à Galatasaray, Bafé Gomis, qui fêtera dans un mois et demi ses 38 ans, s'est marié cet après-midi en banlieue (à l'église de la Rédemption dans le quartier des Brotteaux). Selon Le Progrès, ses anciens présidents Roland Romeyer et Jean-Michel Aulas ainsi que plusieurs anciens joueurs dont Blaise Matuidi ont assisté à la cérémonie.

Curko le répète, tout est dans la tête

24/06 16:58

Ivan Curkovic s'est confié sans langue de bois à Denis Chaumier dans le livre  AS Saint-Etienne, 90 ans de légende paru le 14 juin aux éditions Hugo & Cie. Droit dans ses bottes comme il était adroit dans ses buts, le mythique gardien de l'épopée des Verts n'épargne pas son ancien président et son ex-entraîneur. Extraits.

"En écartant le PSV Eindhoven en demi-finale, l’équipe avait suscité un courant de sympathie jamais vu en France pour une équipe de football et cette euphorie générale lui avait fait oublier l’enjeu premier : la finale n’était pas un but en soi, il fallait la gagner ! Mais une dimension nous a fait défaut. Sans qu’il soit forcément conscient, il y a eu un relâchement psychologique que subissent toutes les équipes novices à ce niveau. Ça n’a pas pardonné. Notre frustration a été d’autant plus grande que cette finale était vraiment à notre portée. Sur le plan national, la machine est repartie, avec le 10e titre de champion de France et une 6e Coupe de France, mais dans les compétitions européennes, nous n’avons jamais retrouvé nos dispositions de 1975 et 1976

Contre Manchester puis Liverpool, on n’a pas été à la hauteur. Chacun a son caractère, j’ai le mien. J’ai très vite compris la façon de vivre « à la française ». Il aurait fallu une mentalité plus accrocheuse, plus de détermination, car tout se passe dans la tête. On est battus en finale et on se retrouve à défiler sur les Champs-Elysées. On rentre bredouilles et on est célébrés comme jamais… Cette envie de gagner ne nous a jamais quittés, mais toute cette fièvre autour de nous, tous ces médias qui chantaient nos louanges… On ne pouvait pas se comporter comme si ça n’existait pas. Il a été parfois compliqué de refroidir les têtes. Et là, on a touché nos limites.

Quand je suis arrivé au club en 1972, la formule était idéale avec une équipe dirigeante de grande qualité, quelques joueurs cadres, des jeunes issus du centre de formation et deux étrangers, pas plus. On n’a jamais imaginé mieux pour réussir. Mais on a eu tendance à l’oublier en chemin. Platini et Rep ont été engagés. Ils étaient tous les deux de grands joueurs, c’est incontestable. J’ai souvent parlé avec Michel, avec lequel je suis resté très ami. Il me disait : Je ne me suis jamais senti chez moi à Saint-Etienne, contrairement à Nancy. »

Ce n’est pas que Michel a été mal adopté mais l’ambiance n’était plus la même. Je ne dirais pas que Michel et Johnny ont déséquilibré l’équipe mais plutôt que quelque chose avait changé : on s’éloignait de ce que l’on faisait auparavant, de la fameuse formule idéale. L’équipe était plus spectaculaire dans son expression mais aussi plus fragile sur ses bases. C’était aussi d’ordre mental. Je ne peux que me répéter : tout est dans la tête, qui précède et commande le comportement sur le terrain. En France, ça passait encore, mais au niveau international, ce n’était plus aussi évident.

En Yougoslavie, la tactique revêtait une importance particulière, pas trop en France, où les joueurs couraient beaucoup, à la différence des Yougoslaves. J’en ai souvent parlé avec Herbin : comme positionner une défense, comment associer Lopez et Piazza dans l’axe ? Comment rendre une équipe cohérente ? Comment assurer le lien entre les différentes lignes ? On cogitait ensemble, on cherchait à prolonger nos réflexions en les adaptant au terrain mais c’était lui, et lui seul, qui tenait le poste de commande. Les joueurs connaissaient notre mode de fonctionnement et ils l’acceptaient.

Mais peu à peu, tout le monde a pensé que je voulais prendre sa place. Herbin aussi. Entraîner, c’est être soumis en permanence à la critique du public, des médias, des dirigeants et même des joueurs. Je n’en voulais pas, je vous l’assure. Je lui ai dit en 1980 que je voulais arrêter ma carrière de joueur. Je sentais que mes coéquipiers m’écoutaient moins, qu’ils étaient moins réceptifs à mes conseils. Je me suis convaincu qu’il était temps d’arrêter. Avant un déplacement au mois d’août à Bastia, j’ai prévenu Herbin que j’allais disputer mon dernier match.

Je l’ai annoncé à Rocher, qui m’a regardé un peu interloqué. Après quelques secondes, il m’a lancé : «Bon, toi, tu veux une augmentation, hein ? » Il faisait fausse route. Mon choix était clair : c’était fini. J’avais de bons rapports avec lui, il m’a même proposé de devenir président délégué. Rien à voir avec Herbin, qui à force d’entendre que je voulais lui succéder, m’a tourné le dos, tout comme Garonnaire, qui était pourtant venu me chercher à Belgrade. Ils ont voulu mettre de la distance entre eux et moi.

J’ai pris une fois Herbin entre quatre yeux pour lui dire : « Ecoute-moi bien une fois pour toutes, je ne veux pas être entraîneur ! » J’ai eu beau lui dire qu’il ne voulait pas de son poste, il n’a pas voulu l’entendre. Il a été déstabilisé par un environnement qui ne l’a pas aidé. Et c’est ainsi que survient, souvent, le déchirement entre les hommes. J’ai toujours respecté les hommes, mais j’ai senti que le bateau tanguait et que j’étais devenu gênant. J’avais certes la capacité de devenir entraîneur, mais je ne le voulais pas. On ne m’a pas entendu.

En voulant recruter des stars, Rocher s’est exposé à leur demande : gagner plus. L’ouverture de la boutique des Verts l’a aidé à alimenter une caisse noire et à les rétribuer. Il a été la propre victime de son moment de faiblesse, d’autant plus incompréhensible qu’en France les institutions mènent l’Etat et qu’il est impossible de les tromper sous peine d’être rattrapé et sanctionné. On en connaît les conséquences. Je l’avais compris. Un jour, devant les enquêteurs, Rocher a été obligé de présenter un tableau où figuraient les noms de tous ceux qui avaient touché de l’argent illégalement. Le mien n’y figurait pas…"

Anto proche de la sortie ?

24/06 11:07

Après avoir maintenu Strasbourg sans trembler, Frédéric Antonetti serait menacé suite au rachat du club alsacien par les américains de BlueCo - détenteurs de Chelsea - comme le rapporte la Pravda :

"Le sujet de l'avenir à court terme de Frédéric Antonetti a été l'un de ceux traités dans le cadre des discussions entre Marc Keller et les représentants du consortium américain. Quelques heures après l'officialisation du rachat du RCSA, la question est désormais centrale : le technicien, qui dispose encore d'un an de contrat, peut-il encore résister à la « révolution » en cours ? Ces derniers jours, ce n'était pas la tendance. Les nouveaux boss américains s'interrogent sur la capacité du technicien français à incarner leur projet ambitieux, avec une volonté assumée de recruter des jeunes éléments de talent et les faire émerger au plus haut niveau. Signe de la fragilité du poste de l'ancien entraîneur de Nice, vendredi, Marc Keller apportait un soutien plutôt timide, à son coach : « Quand le deal a été signé, je l'ai appelé en premier. Il a fait un travail formidable en obtenant le maintien mais il a terminé la saison très éprouvé. Nous lui avons laissé le temps pour se reposer avant de retravailler sur un projet à partir de ce vendredi. Nous allons nous voir très vite pour discuter et faire le point. »

Frédéric Antonetti, qui a enregistré le départ de son précieux adjoint Benoît Tavenot, attend désormais d'être fixé alors qu'il assurait vendredi se sentir « de nouveau en pleine forme ». « La composition du staff fera partie de la discussion, tout comme le projet sportif ou les moyens mis à disposition, nous a-t-il expliqué, alors qu'il se voit poursuivre sa mission avec un effectif enrichi. Le but est toujours de chercher à s'améliorer » Le Corse aura-t-il la possibilité de le faire cette saison avec Strasbourg ? Le fait que le marché des entraîneurs soit sondé - des renseignements auraient déjà été pris, notamment, sur le très courtisé Belge Karel Geraerts (41 ans, ex-Union Saint-Gilloise) - invite à la prudence.''

Les Merlus démarrent leur marché avec Kaba ?

24/06 10:04

Alors que son nom avait été évoqué avec insistance chez nous en août dernier, le jeune milieu valenciennois Kaba, sous contrat jusqu'en 2024, pourrait filer à Lorient selon la Pravda du jour.

A 21 ans, Kaba vient d'enchaîner deux grosses saisons sous le maillot de VA avec à chaque fois 32 titularisations (agrémentées de 5 pions cette année).

Lopez a marié Veretout

24/06 07:29

Nice-Matin rapporte aujourd'hui aujourd'hui qu'un ancien Vert en a marié un autre hier.

"Le footballeur Jordan Veretout, milieu de terrain de l’OM et de l’équipe de France, a épousé sa compagne Sabrina ce vendredi matin à la mairie du Cannet. Il affichait les couleurs blanches et bleues de Marseille, lui qui est aussi passé par Nantes ou Saint-Etienne avant de s’illustrer en Italie (La Fiorentina puis l’AS Rome).

Pour officier dans la salle de mariages aux côtés de la députée Michèle Tabarot, encore un footballeur : l’adjoint municipal Christian Lopez, ancien capitaine des Bleus (39 sélections entre 1975 et 1982) et de la mythique équipe de Saint-Etienne finaliste de la Coupe d’Europe en 1976, avait lui aussi opté volontairement pour un costume vert !

"Jordan Veretout est comme sur le terrain, plutôt réservé, mais j’ai été agréablement surpris qu’il me connaisse, et il m’a dit que son père était un supporter des Verts", sourit l’ancien défenseur. "Jordan est un joueur qu’on n’entend pas, il ne se la ramène jamais et ne joue pas la star, alors qu’il a de grosses qualités athlétiques. Dans la vie, il a l’air pareil, assez réservé, mais il est très sympa."

Khoutri au GOAL FC

24/06 07:08

Ancien coéquipier de Saidou Sow, Louis Mouton, Yanis Lhéry, Mathys Saban et Maxence Rivera dans l'équipe des U17 nationaux entraînés à l'époque par Christophe Chaintreuil, Hichem Khoutri (21 ans) s'est engagé hier avec le GOAL FC, club basé à Chasselay et promu en National 1.

Capitaine de Feurs (N3) cette saison, ce défenseur avait fait une partie de la préparation estivale avec la réserve de l'ASSE l'été dernier. Il avait notamment défendu les couleurs des Verts de Razik Nedder au prestigieux tournoi européen U21 de Ploufragan (Côtes d'Armor).

Un 5e Mendy à l'ASSE ?

23/06 22:19

Selon RMC, "Caen a fait une offre de prolongation à Alexandre Mendy qui arrive en fin de contrat en juin 2024. Le joueur de 29 ans n'a pas donné suite pour le moment. En parallèle, Saint-Étienne est très intéressé par l'attaquant qui a marqué 19 buts et délivré 5 passes décisives en 37 matchs de Ligue 2. L'ASSE propose entre deux et trois ans de contrat et s'apprête à formuler une offre à Caen."

Né à Toulon, cet attaquant passé par Nice, Strasbourg, Nîmes, Guingamp, Bordeaux et Brest vient d'enchaîner 3 saisons chez les Malherbistes. La saison dernière, il a fini 3e meilleur buteur (16 pions) derrière Rhys Healey (20) et un certain Gaëtan Charbonnier (17). Cette saison, fort de ses 19 réalisations, il a fini à la 2e place derrière Georges Mikautadze (23), Jean-Philippe Krasso (17) complétant le podium.

A l'instar de ce dernier, Alexandre Mendy a transformé 7 pénos mais contrairement au nouvel attaquant de l'Etoile Rouge de Belgrade, qui s'était raté contre Niort, il n'en a pas raté un seul. Ayant toutfois délivré 10 passes décisives de moins que Zipé, celui qui a trompé sur péno Boubacar Fall à GG et mangé Anthony Briançon de la tête pour surprendre Gautier Larsonneur il y a un mois à d'Ornano deviendra-t-il le 5e Mendy à porter le maillot vert après Etienne, Bernard, Frédéric et l'ex-capitaine de l'équipe U19 Joris ?

Le 5e meilleur centre de formation de France

23/06 20:18

La DTN a dévoilé aujourd'hui le classement des centres de formation les plus efficaces de France. Si elle quitte le podium, l'ASSE reste dans le top 5 :

1. Rennes (4,2 étoiles)
2. Vilains (4,1)
3. Bordeaux (3,8)
4. Monaco (3,7)
5. Saint-Etienne (3,6)

Le classement a été établi sur la base de 5 critères.
1- professionnalisation (U16 à U23 sous contrat professionnel dans les deux premières divisions des dix premiers pays au classement UEFA et le National)
2- temps de jeu en équipe première du club formateur ;
3- sélections nationales (rencontres internationales disputées par le joueur, sans distinction de nation) ;
4- scolarité (diplômes obtenus lors de la saison précédente) ;
5- représentation européenne (joueurs de clubs ayant des points au classement UEFA, avec convention de formation d’au moins un an).

On aura noté que l'ASSE excelle sur le premier critère (5 étoiles) mais reste perfectible sur les 4 autres (moins de 4 étoiles).

Pour rappel, le classement de l'ASSE sur les 15 dernières années :
2023 : 5e
2022 : 3e
2021 : 6e
2020 : 4e
2019 : 8e
2018 : 20e
2017 : 15e
2016 : 21e
2015 : 20e
2014 : 18e
2013 : 15e
2012 : 18e
2011 : 20e
2010 : 14e
2009 : 6e
2008 : 19e

Maçon, mûr pour s'en aller ?

23/06 14:12

Après avoir été prêté au Paris FC en deuxième partie de saison - et bavé sur le club en interview - Yvann Maçon devrait faire ses valises cet été selon la Pravda qui nous apprend que "le Maccabi Tel-Aviv est en discussions avancées avec le latéral droit de 24 ans, sous contrat avec l’AS Saint-Etienne jusqu’en 2025."

Les joueurs sont de plus en plus capricieux

23/06 13:25

Dans son livre  AS Saint-Etienne, 90 ans de légende paru le 14 juin aux éditions Hugo & Cie, Denis Chaumier a recueilli les propos du directeur sportif Loïc Perrin. Extraits.

"Les générations changent, il faut s’y faire et s’adapter. Globalement, le collectif est moins mis en avant et l’individu prime sur le reste. Le sentiment d’appartenance à un club est beaucoup moins prononcé. En moyenne, un joueur reste deux ans dans un club, rarement plus. Les joueurs sont de plus en plus capricieux et pensent d’abord à eux, individuellement. Je n’ai connu qu’un seul club, c’est de plus en plus rare. Mais jamais je n’ai imaginé, en signant mon premier contrat pro à l’ASSE, que j’y resterai jusqu’à la fin de ma carrière.

Après le limogeage de Claude Puel, j’ai eu cette opportunité de reconversion et je l’ai saisie lorsqu’elle s’est présentée. Je savais dans quoi je m’embarquais, je n’ignorais rien de la situation. Quand j’ai pris mes fonctions, il existait à peu près 10% de chances de nous maintenir. On a tenté le coup. Je savais aussi qu’avec le nombre de joueurs en fin de contrat, la saison suivante serait l’occasion de repartir sur un nouveau projet. Malheureusement, il n’a pas pu être mis en œuvre en Ligue 1.

Le staff technique a été en très grande partie modifié, et seuls Sow, Nadé, Moueffek et Green aussi présents la saison précédente sont restés dans le groupe. C’est dire si les changements ont été radicaux. Notre opération reconstruction est d’abord passée par le mercato d’été. Sur le moment, une certaine satisfaction a entouré nos choix, et en début de saison, nous avons vu de bonnes choses. Puis les évènements nous ont été contraires.

On ne pensait pas autant souffrir, preuve qu’il faut procéder étape par étape avant de démarrer un cycle. Nous avons vécu une saison de transition, la prochaine devrait nous permettre de jouer la montée. Quand on parle de Saint-Etienne, il y a toujours un rapport aux mineurs, dont les valeurs fondamentales demeurent dans l’esprit des gens. Sur le terrain, cela veut dire tout donner, même quand il n’y a pas la victoire au bout.

C’est la raison pour laquelle Laurent Batlles, qui connait bien la ville et le club, a été choisi comme entraîneur principal. Courir, se donner à fond, lutter pied à pied : Geoffroy-Guichard n’attend pas autre chose. C’était déjà ce que la grande équipe des Verts de l’épopée des années 70 incarnait. Elle ressemblait au public et le public se reconnaissait entre elle. C’est ce que j’ai envie de voir : un football engagé où, lorsqu’un joueur perd le ballon, il réagit immédiatement pour le récupérer.

Je ne repousse pas du tout la notion de spectacle, mais pour bâtir l’équipe, j’ai souhaité qu’elle s’identifie à notre public et présente un comportement exemplaire. L’idée était de laisser de côté une certaine image du footballeur qui ne colle pas avec l’esprit de notre territoire. Et finalement, il est plus facile d’opérer cette mutation en Ligue 2 qu’en Ligue 1 : les joueurs savent d’où ils viennent et n’ont pas le même rapport à l’argent."

Les Canaris sur Honorat ?

23/06 12:19

Encore sous contrat avec le Stade Brestois mais bénéficiant d'un bon de sortie, Franck Honorat est pisté par les Canaris d'après Ouest-France.

"Auteur de six buts et cinq passes décisives cette saison, l’ancien ailier de Nice, Sochaux, Clermont puis Saint-Étienne fait partie des profils ciblés par le club nantais dans le secteur offensif. Pierre Aristouy, confirmé pour les deux prochaines saisons au poste d’entraîneur la semaine dernière, a même échangé avec Franck Honorat au téléphone.

L’attaquant, qui a inscrit 25 buts en Ligue 1 avec les Ti-Zefs ces trois dernières saisons, avait déjà attisé les convoitises lors du mercato d’été 2022. Ses dirigeants avaient alors refusé les offres successives du Borussia Mönchengladbach, dont la plus importante s’élevait à 10 millions d’euros. Le directeur sportif brestois Grégory Lorenzi en attendait à l’époque 15 millions."

Pour rappel, la Pravda avait indiqué le 13 juin 2020 que l'ASSE touchera 20% sur la revente du Varois, qui fêtera le 11 août ses 27 ans.

Pour Bout'chou les JO passent par Rabat

23/06 12:08

Alors que Niels Nkounkou a démarré hier victorieusement l'Euro espoirs, Benjamin Bouchouari va faire son entrée dans la compétition (la CAN U23) demain contre la Guinée.

Dans sa poule, Bout'chou affrontera ensuite le Ghana (27 juin) et le Congo (30 juin). Les trois matchs du Maroc auront lieu à Rabat.

S'ils terminent dans les 2 premiers de leur poule Bout'chou and co prolongeront l'aventure avec une demi-finale programmée le 4 juillet. La finale aura lieu le 8 juillet. Notons enfin que les 3 premiers de la compétition seront automatiquement qualifiés pour les JO 2024.

Le tandem Caïazzo-Romeyer ne risque plus d’exister

23/06 08:11

Roro s'est confié à Denis Chaumier dans le livre  AS Saint-Etienne, 90 ans de légende paru le 14 juin aux éditions Hugo & Cie. Extraits.

"Je suis entré au club en 1996 comme actionnaire pour sauver le club de la liquidation judiciaire et j’ai intégré le directoire. En 2003 je suis devenu sponsor principal du maillot pour éviter la relégation en National, menace brandie par la DNCG. En juin 2004, Bernard m’a appelé. J’ai eu le sentiment d’avoir affaire à quelqu’un de curieux et d’intelligent. On a sympathisé malgré nos différences ou grâce à elles.  Quand on est pareil, qu’on a des idées identiques sur tout, on ne peut pas avancer. Quand j’ai pris les commandes opérationnelles, on ne brillait pas. Nous passions devant la DNCG avec appréhension. Mais on a redressé la situation en deux saisons. Bernard à Paris, moi à Saint-Etienne, on a respecté le partage des tâches. Je suis avant tout supporter de mon club, j’ai l’ASSE dans la peau ! J’ai eu 16 entreprises dans ma vie, il existe 2 façons de les diriger : un président avec un conseil d’administration ou un président du conseil de surveillance avec un président. A l’ASSE, il n’y a pas deux présidents mais un seul. J’en suis donc le responsable opérationnel.

Mes meilleurs souvenirs depuis que je suis en fonction, c’est incontestablement la victoire il y a 10 ans en Coupe de la Ligue. Le 100e derby gagné à Gerland avec un but magnifique de Dimitri Payet. Les matches de Coupe d’Europe avec une ferveur exceptionnelle. On a créé ASSE Cœur Vert qui a déjà distribué 3 M€ à des associations caritatives. On a constitué 3 équipes de Foot Fauteuil. L’ASSE est devenue propriétaire de son site à l’Etrat, dénommé depuis Centre Sportif Robert Herbin qui s’étend sur 15 hectares. C’est un sacré patrimoine pour le club.  Grâce au Département et à l’obstination de Philippe Gastal, nous avons inauguré le musée des Verts, premier musée de ce type en France. Encore une innovation forézienne maintenant copiée. Je sais ce que j’ai fait au club. Je peux me regarder chaque jour dans la glace. L’histoire jugera mon bilan.

Le 29 mai 2022, j’ai pris le plus gros coup de ma vie sur la tête. Autour de moi, ma famille, mes amis, tout le monde pleurait. La chute en L2, l’émeute au stade : une catastrophe. Ayant passé le relais au président exécutif Jean-François Soucasse depuis le 1er juillet 2021, je n’avais plus les manettes en mains et pourtant tout nous est tombé sur le dos. Le tandem Caïazzo-Romeyer ne risque plus d’exister. Le football a changé dans des proportions considérables. Une partie du public ne veut pas le comprendre. Si certains pensent qu’on peut, comme ça, retrouver notre lustre d’antan, ils se trompent. L’ASSE doit reprendre sa place en Ligue 1, bien sûr, mais plus pour la dominer. C’est pourquoi on nous insulte. Mais nous ne sommes pas des milliardaires. Je souhait vivement qu’un investisseur reprenne le club, avec une capacité financière qui permettra à l’ASSE de retrouver sa fierté et à ses supporters le bonheur, et bien sûr qu’il l’aime comme nous toutes et tous."

Mamade est resté proche de Bafé

23/06 07:33

Responsable de la start-up Eautours et coordinateur sportif de l’AS Dakar Sacré-Cœur (club partenaire des vilains), l'ancien latéral stéphanois Mouhamadou Dabo (36 ans) s'est confié cette semaine au Progrès. Extraits.

"J’ai quitté mon pays à 14 ans quand j’ai été pris par Saint-Etienne.  J’ai été lancé par Elie Baup à Saint-Etienne. Tous les entraîneurs m’ont apporté. Joueur, il faut de la résilience, avoir confiance, écouter ceux qui ont eu du vécu. J’ai toujours été à l’écoute. Après Saint-Etienne, j’ai failli aller à Aston Villa car Gérard Houllier, qui était là-bas, me voulait. Mais je suis parti à Séville, un club énorme, on l’a encore vu en Ligue Europa.

Quand l’OL a voulu m’enrôler, c’était une grande opportunité. J’ai été intégré tout de suite, à Lyon, en venant de Saint-Etienne. Les matches de Coupe d’Europe, le 7-1 à Zagreb, c’était grand. Je me souviens des discussions avec le président Jean-Michel Aulas. Il a fait des choses extraordinaires, il allait vers l’avant. C’est toujours un bonheur de retrouver ce club et de collaborer. Il y a des hommes de valeur à l’OL.

Je pense souvent à cette coupe de France 2012 [dernier trophée soulevé par les banlieusards, ndp2]. Je suis allé voir le musée de l’OL, tout y est, c’est émouvant. Lisandro était un compétiteur impressionnant. Et puis il y avait mon ami Bafétimbi Gomis qui est toujours resté debout malgré les obstacles. Quand le Sénégal a battu la France en Coupe du monde en Corée en 2002, j’étais avec Bafé au centre de formation de Saint-Etienne. On partageait la chambre, on avait regardé le match à la télé. Il était à 13 h en France avec le décalage. Du coup avec Bafé on n’était pas allé en cours, on nous avait compris…"

Nanard tacle le recrutement

23/06 07:13

Alors qu'il ne s'était plus exprimé au sujet des Verts depuis plusieurs années, notre inénarrable Nanard parle de l'ASSE dans le bouquin de Denis Chaumier AS Saint-Etienne, 90 ans de légende paru il y a 8 jours aux éditions Hugo & Cie. Extraits.

"En 2008, nous avons confié la direction du club au trio Tong-Cuong-Comolli-Perrin. Mais après les matches allers, on avait un pied en L2 eu un trou financier de 14,5 M€. J’ai demandé à Roland de revenir à la direction du club en tant que président du directoire pendant que je m’occupais du travail dans les instances, du développement des ressources et des partenariats nationaux, au conseil de surveillance. Depuis, chacun est dans son rôle, je n’ai même pas de bureau à l’Etrat. Il fallait quelqu’un pour gérer le club au quotidien. 18 mois plus tard, on était revenus à l’équilibre financier. Depuis, l’ASSE n’a plus enregistré le moindre déficit. Il est le seul club français dans ce cas, on ne le dit pas assez !

Notre organisation, c’est un modèle fréquent en Allemagne. L’avantage, c’est que le conseil de surveillance, qui représente les actionnaires, a du recul sur le quotidien, dont s’occupe le président du directoire. L’originalité, c’est que Roland est aussi actionnaire. Ce système fonctionne dans un certain nombre d’entreprises en dehors du football. Je ne vois pas d’inconvénients à cette organisation. Le président du conseil de surveillance donne un avis consultatif sur les dossiers mais ne peut rien décider. Préfèrerait-on un système où un seul homme disposerait de tous les pouvoirs ?

Mes meilleurs souvenirs depuis que je suis en fonction, c’est la montée en L1 en 2004. J’étais nouveau dans le métier, je ne connaissais pas grand-chose et j’ai d’ailleurs commis quelques erreurs à ce moment-là. Mais c’est une période que j’ai beaucoup appréciée. J’étais un décideur que je ne suis plus depuis 2010. Mon plus mauvais souvenir, c’est incontestablement notre descente en L2. On ne peut pas vivre pire scénario. Il est la conséquence d’un recrutement défaillant pendant plusieurs années, qui a coûté des dizaines de millions d’euros. J’en suis la première victime, mais cela affecte tous ces jeunes qui souffrent d’une situation d’autant plus difficile à supporter que le but est de donner du bonheur, pas de la peine.

Le club rebondira, j’en suis convaincu ! Le football moderne réclame d’importants moyens financiers. Regardez l’évolution du PSG, de l’OM, Lyon, Monaco, Rennes ou Lille, qui sont aux mains de milliardaires. Je note qu’à l’étranger, des clubs peu fortunés comme AZ aux Pays-Bas, l’Atalanta en Italie ou Bilbao et la Real Sociedad en Espagne, savent tirer leur épingle du jeu en étant intelligents et malins dans le recrutement. Même un club comme Naples a su dénicher des talents en Corée ou en Géorgie.

L’ASSE doit emprunter ce chemin, car si son académie repose sur des fondations solides, son recrutement n’est pas toujours à la hauteur. Le club ne pourra pas s’offrir des joueurs payés une fortune, sauf à trouver un actionnaire hyper puissant. Mais est-ce qu’il correspondrait à la culture du club et de la ville ? Etre imaginatif, travailler d’arrache-pied, faire confiance à la jeunesse, c’est la voie à suivre.

Nkounkou bat l'Italie

22/06 23:13

Victorieux 2-1 contre l'Italie à Cluj (Roumanie), les Bleuets ont réussi leur entrée en lice à l'Euro Espoirs ce jeudi soir. Titularisé au poste de latéral gauche, Niels Nkounkou a joué l'intégralité de la rencontre. Averti au bout d'un quart d'heure pour une semelle sur Pietro Pellegri, le numéro 27 des Verts a été devancé par cet attaquant du Torino sur l'égalisation des Transalpins. Mais c'est grâce à sa bonne défense sur le joueur de l'Inter Raoul Bellanova que les Bleus ont amorcé leur contr victorieux à la 62e minute.

Les protégés de Sylvain Ripoll joueront leur prochain match dimanche soir contre la Norvège, qui a perdu 2-1 contre la Suisse.

 

Khazri jaune

22/06 14:08

Non, nous n'allons pas encore souligner la propension de Wahbi Khazri à manger des biscottes ! Cette fois, c'est son appétit pour les paris sportifs qui lui est reproché par la Ligue de Football Professionnel.

L'ancien Vert est condamné à une amende de 3 000€, tandis que les plus anciens Sylvain Monsoreau et Vincent Planté écopent d'un simple rappel à l'ordre, comme l'entraîneur adjoint de la réserve stéphanoise Aurélien Remoué.

Goodbye Lenny

22/06 14:01

Un an après son arrivée dans le Forez, Lenny Pintor devrait déjà plier bagages. Selon Foot Mercato, l'ancien troyen va quitter la France pour l'Autriche et s'engager avec le club de LASK où l'attend un contrat de 3 ans. Le journaliste du Progrès, Romain Colange, précise que l'ASSE ne recevra pas d'indemnité de transfert mais conservera un pourcentage à la revente, sur le modèle du transfert cet été entre les vilains et les Verts.

 

 

A Sainté, Lenny aura joué 21 matchs de L2 et aura marqué un but (sur pénalty à Pau). 

Ola Veauche !

22/06 13:57

A l'instar de leur entraîneur Laurent Batlles, qui a porté plusieurs saisons le maillot jaune et noir après avoir arrêté sa carrière de joueur professionnelle en 2012, Etienne Green, Louis Mouton et Dylan Chambost joueront au Complexe Irénée Laurent à Veauche ce dimanche à 16h30 avec des anciens Verts (dont Jérémie Janot, Jérémy Clément, Damien Bridonneau, Geoffrey Dernis) contre leur club (pré)formateur, qui fête ses 120 ans.

On aura noté que l'ES Veauche, dont est issu le capitaine des U19 stéphanois  Jules Mouton et où l'ancien directeur juridique de l'ASSE Didier Lacombe entraîne les U13, a compté dans ses rangs d'autres membres ayant connu la maison verte : Robert Salen, Gilles Rodriguez, Christophe Landrin, Julien Sablé, Jeannot Dées, Jean Candel, Mickaël Pontal, Jean-Marc Alves, sans oublier Baptiste Gabard, qui vient de quitter l'ASSE après y avoir passé 14 ans !

Si Pascal Feindouno figure sur l'affiche, sa présence n'est pas garantie car l'artiste guinéen est attendu la veille à Poitiers, où il jouera aux côtés de Lamine Diatta dans l'équipe des Black Stars qui affrontera une sélection du département de la Vienne, comme l'indique La Nouvelle République.

Larqué rendra hommage à son père aux côtés de l'Ange Vert

22/06 12:49

Comme le rapporte Le Journal du Dimanche, "à l’initiative de Jean-Michel Larqué, ancien capitaine des mythiques Verts de Saint-Étienne, le Variétés Club de France va jouer ce samedi 24 juin à 16 heures à Pau dans le cadre des festivités du 120e anniversaire de la Jeanne D'Arc de Bearn (JAB) et de l'inauguration du Stade Jean Larqué. Père de Jean-Michel et éducateur sportif, il fut notamment le "découvreur" de Jean-François Larios. François Bayrou, maire de la capitale du Béarn donnera le coup d’envoi du match et présidera la cérémonie d’inauguration." Les anciens Verts Dominique Rocheteau et Romarin Billong seront également de la partie.

 

 

La Maison Jaune parle des Verts

22/06 11:10

A l'occasion de la sortie du bouquin de Denis Chaumier AS Saint-Etienne, 90 ans de légende paru aux éditions Hugo & Cie, le site La Maison Jaune revient aujourd'hui sur la rivalité entre les Verts et les Canaris. Extraits.

"Au beau milieu de l’ouvrage, deux pages complètes sont consacrées à la dualité des Verts avec le FC Nantes. Les témoignages (Gérard Janvion, Max Bossis, Gérard Farison, JC Suaudeau…) soulignent l’impatience qu’avait chaque camp à en découdre avec l’autre et la différence de style qui rendait les affrontements passionnants, entre le jeu athlétique des Stéphanois, prôné par Jean Snella et amélioré par Robert Herbin, face au jeu à la Nantaise conçu par José Arribas et dynamisé par Jean Vincent.

Le parti pris stéphanois de l’ouvrage se montre peu charitable pour nos couleurs : l’auteur souligne parmi les rendez-vous clés des épisodes marqués par de douloureux scores infligés à nos Canaris : La première confrontation en championnat ? 4-0 pour les Verts à Saupin. Le premier choc des promus en 1962 ? 6-1 pour les Verts. Les retrouvailles en finale de la Coupe de France ? 5-0 pour les Verts. Le choc majeur de la rivalité en 1977 ? 5-1 pour les Verts…

Difficile de contester la supériorité stéphanoise de cette époque, tant dans les scores pris en exemple qu’au niveau plus général du palmarès. Pourtant, en décortiquant les chiffres au plus près, on réalise que sur 104 oppositions entre les deux clubs (coupes et championnats confondus), Nantes compte 40 victoires contre seulement 32 pour les Verts. Les Jaunes ont en outre inscrit 143 buts alors que les Stéphanois n’en ont mis que 131. Des arguments à retenir en cas de discussions prolongées avec nos amis du Forez.

Depuis le milieu des années 1980 où Saint-Etienne a coulé à la suite de l’affaire de sa caisse noire, la rivalité entre Jaunes et Verts a perdu beaucoup d’intensité. Saint-Etienne est redevenu un club parmi d’autres, qui fait souvent l’ascenseur. Et le FC Nantes l'a rejoint en se laissant peu à peu aspirer par le fond du tableau, avec quelques passages en Ligue 2. Difficile de ne pas éprouver une certaine nostalgie dans ces conditions."

Penneteau avait bien été sollicité par Sainté

22/06 07:27

Sollicité en vain par l'ASSE il y a 14 ans et venant de raccrocher les gants à Reims à l'âge de 42 ans, Nicolas Penneteau se confie aujourd'hui dans Corse-Matin. Extraits.

"J'ai eu des sollicitations de Nantes quand j'étais à Bastia. Saint-Etienne, Galatasaray et Toulouse m'ont sollicité lorsque j'étais à Valenciennes, mais ça ne s'est pas fait. Lorsque que Sainté ambitionne de jouer la Ligue Europa, j'étais persuadé que le VAFC en était également capable (...) Les entraîneurs qui m'ont le plus marqué dans ma carrière ? Frédéric Antonetti m'a donné l'amour de la tactique. C'est grâce à Fred que j'ai pu guider mes défenses par la suite. Toutes ses causeries, elles étaient peut-être dures, mais tellement enrichissantes. Un apprentissage incroyable ! Je citerai également Robert Nouzaret car c'est lui qui m'a lancé en Ligue 1 à une époque où les clubs privilégiaient pourtant les joueurs d'expérience à mon poste. Philippe Montanier m'a beaucoup apporté également."

Forza Niels !

22/06 06:43

Après avoir battu le Mexique en amical vendredi dernier à Grenoble, Niels Nkounkou devrait à nouveau être titularisé par Sylvain Ripoll ce soir à 20h45 contre l'Italie à Cluj (Roumanie) pour l'entrée en lice des Bleuets à l'Euro Espoirs qui a démarré hier et s'achèvera le 8 juillet. Cette rencontre sera diffusée en direct sur W9 et beIN Sports.

L'équipe de France Espoirs n'a plus gagné ce tournoi depuis 1988. Cette année-là, plusieurs joueurs passés depuis par la maison verte avaient étés sacrés : Laurent Blanc, Pascal Despeyroux, Bertrand Reuzeau, Christophe Galtier, Jean-Luc Buisine et Jean-Luc Dogon.

Le kop sud suspendu d'entrée !

21/06 21:50

Suite au craquage de très nombrux fumis par les Green Angels lors du dernier match de la saison contre Valenciennes, la commission de discipline de la Ligue qu'on adule a décidé ce soir la fermeture pour un match ferme et un match avec sursis de la Tribune Jean Snella. Le kop sera donc fermé pour la 1ère journée de la nouvelle saison le week-end du 5 août....

Diony joue la prolongation

21/06 21:39

Ancien attaquant de l'ASSE et de l'Etoile Rouge de Belgrade, Loïs Diony (30 ans) aura attendu que Jean-Philippe Krasso l'imite en signant à son tour dans le plus grand club serbe pour prolonger ce mercredi son contrat avec le SCO jusqu'en 2025.

Pour rappel, le natif de Mont-de-Marsan avait marqué et gagné 4-1 contre les Verts en juillet dernier lors du dernier match de la préparation estivale des hommes de Laurent Batlles. Gageons qu'il ne remettra pas ça la saison prochaine en Ligue 2...

Janot met à l'honneur Larsonneur

21/06 21:18

Jérémie Janot encense Gautier Larsonneur dans un entretien accordé au Progrès. Extraits.

"Une fois qu’on l’a signé à Valenciennes, je savais que ça serait que pour une saison. Il a un tel talent ! Gautier est le meilleur gardien de L2. Je pense que c’est le tournant du maintien pour l’ASSE. Et pour monter, c’est une belle fondation et une belle assurance. Je l’adore, ça faisait un moment que je le voulais. Sur le plan du jeu, il me ressemble.

Dans le vestiaire, c’est quelqu’un qui emmène les gens, c’est un très gros bosseur. Gautier, c’est un gardien déterminant. Quand le navire tangue, par une sortie, un duel gagné, il va faire en sorte que le rapport de force change.  Il est encore un peu foufou. Comme il a cette capacité à régler les problèmes, il a parfois cette tendance à vouloir tout régler."

 

Zipé séduit par une poule de luxe ?

21/06 14:32

Si la destination de notre JP Krasso en a surpris (voire déçu) plus d'un, il faut préciser que l’Etoile Rouge de Belgrade - qui s’est fait sortir l’an dernier au tour préliminaire de la Ligue des champions - est qualifiée directement pour la phase de poules de la C1 pour la saison 2023-2024 en raison de l'exclusion des clubs russes.

Si des clubs comme Braga, le PSV Eindhoven, Marseille ou les Glasgow Rangers devront, eux, passer par les préliminaires, JP Krasso aura donc la possibilité de disputer (a minima) 6 matchs de C1.

Etant dans le chapeau 3, fort d'un coefficient UEFA à 42 (ça ne s'invente pas), l'Etoile Rouge peut même espérer poursuivre son aventure européenne au printemps (En C1 ou en C3).

Galette et la Steph' connection !

21/06 09:49

Alors que son successeur sur le banc parisien est désormais connu, Christophe Galtier n’est pas encore tombé d’accord sur les conditions de son départ du QSG. Dans le même temps, s’il n’est pas le favori pour venir entraîner Marseille, La Pravda du jour évoque l’éventualité d’une Sainté-connexion pour pousser la candidature de Galette : en interne, un lobbying pour Christophe Galtier existe depuis plusieurs semaines. Toujours sous contrat avec le PSG, l’entraîneur de 56 ans a ses partisans à la Commanderie. Le clan des Stéphanois est l’un des systèmes solaires de la galaxie Longoria, avec David Friio, ou Stéphane Tessier, le directeur administratif et financier, l’homme qui rend possible les mercatos de son boss. D’autres anciens de l’AS Saint-Etienne ont rejoint l’OM, dans leur sillage, et leurs réseaux s’étendent au milieu des agents made in Rhône-Alpes. Parmi eux, John Valovic-Galtier, fils adoptif de l’entraîneur parisien et conseiller sportif souvent aperçu au centre d’entraînement ou au Vélodrome ces dernières saisons. Autre connexion notable : Maître Olivier Martin, l’avocat de Galtier, qui gère aussi des dossiers juridiques pour Longoria et pour l’état-major de l’OM depuis quelques mois.

Tannane au Qatar ?

21/06 07:11

Ayant claqué 7 pions et délivré 12 passes décisives cette saison en 28 matches officiels joués avec NEC Nimègue (Pays-Bas), Oussama Tannane (29 ans) est en pourparlers avec Umn Salal selon Gelderlander. D'après ce site néerlandais, l'ancien milieu offensif des Verts est sur le point de signer un contrat de deux ans avec ce club qatari qui a naguère compté dans ses rangs Alain Perrin et Nivaldo.

Il garde le 17 mais change de nom

20/06 23:35

S'il portera encore le numéro 17, Krasso est devenu Kpaco aujourd'hui. Le nouvel attaquant de l'Etoile Rouge de Belgrade s'est confié au site officiel du club serbe. Extraits.

"Je ne suis arrivé à Belgrade qu'hier soir, je n'ai pas pu faire le tour de la ville. Je suis très heureux d'être ici, j'ai hâte de commencer à m'entraîner et de faire ce que je sais faire, c'est-à-dire jouer au football. Je connais l'Etoile Rouge de Belgrade, je connais l'importance de ce club et de ses supporters, qui sont fantastiques. J'ai hâte de jouer devant eux. Outre le fait que les fans sont supers, le fait que j'aie la possibilité de devenir champion m'a décidé à venir. C'est extrêmement important pour moi, j'aime gagner.

Bien sûr, la taille du club est aussi un facteur, et j'ai aussi beaucoup parlé avec Marko Marino, ce qui a aussi eu un impact. J'ai joué des gros matchs en France, j'ai même affonté le PSG. L'Etoile Rouge, c'est davantage une motivation qu'une pression, je viens pour donner le meilleur notamment en Ligue des champions. Je portais le numéro 17 à Saint-Etienne, c'est pourquoi j'ai choisi ce numéro à l'Etoile Rouge de Belgrade. La polyvalence me convient, j'aime avoir le ballon et j'évite d'être passif dans le jeu."

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