In Vino non veritas
19/10 19:19
Dans la dernière édition de Sud-Ouest, Elie Baup revient sur le pétrin girondin. Extraits.
"Si on m'avait proposé cette équipe à l'intersaison ? Je serais revenu en marchant s'il avait fallu ! Même avec cette équipe, il y a de l'espoir. J'aime les gens à Bordeaux. J'ai eu ma part de responsabilité dans la fin de mon histoire avec ce club, mais tout le reste, je ne peux pas l'enlever. Ma carrière d'entraîneur est là. Tenez, j'ai assisté à la présentation du Tour de France mardi. Des coureurs comme Evans ou Vinokourov m'ont parlé de Bordeaux, pas de Nantes, Saint-Etienne ou Toulouse."
Malgré son début de carrière forezien (EC Saint-Etienne Loire puis Casino), Vino ne roule pas pour les Verts... mais avec Roro !
Janot a toujours la cote !
19/10 17:38
Après plus d'une semaine d'enchères acharnées, le maillot a trouvé preneur pour 270 € ... Une très belle somme, même si Jérémie n'a pas battu son record précédemment établi à 456 € (maillot d'ASSE-Caen , 1-1 , avec en bonus le dvd du pénal raté par Payet..).
Si le concept vous plaît, vous pouvez acheter en 3ème main le maillot d'un ancien vert ici .
Il peut pas, il a piscine ?
19/10 14:31
Interrogé hier sur l'état de ses troupes, le coach de Valenciennes, Daniel Sanchez, a évoqué le cas de Grégory Pujol souffrant des adducteurs : "il est en soin et travaille beaucoup en piscine".
Il ne devrait pas, sauf guérison miraculeuse passer du chlore à la chlorophylle d'ici samedi.
En dehors du goléador nordiste (17 pions l'an dernier) Sanchez n'aura a priori aucune autre défection à déplorer.
Back from Hell' !
19/10 10:25
Les uns restent, les autres partent !
19/10 08:42
22 Octobre 2011, l'ASSE recevra Valenciennes. Ce sera la 28ème confrontation dans le Chaudron entre les deux équipes. Le bilan est d'un Vert presque immaculé : 21 victoires, 3 nuls et 3 défaites.
La dernière défaite est très récente : le 24 Octobre 2009, l'ASSE recevait Valenciennes, il y a donc 2 ans à 2 jours près et Ducourtioux et Audel nous crucifiaient (0-2).
2 ans c'est rien. 2 ans c'est court. D'ailleurs sur les 11 titulaires de VA, 6 sont encore présents : Ducourtioux, Pujol, Danic, Mater, Sanchez et Cohade.
A Sainté, parmi les titulaires de l'époque, seul Janot est encore au club.
Si on élargit au banc des remplaçants, côté VA, on passe à 9 joueurs encore présents dans l'effectif. A Sainté, avec Coulibaly et Sako, on arrive à 3 joueurs. Quel exode vertigineux !
Parmi ces trois seul Sako est titulaire aujourd'hui.
Les uns sont restés, les autres sont partis. Les Verts sont ils partis pour rester dans la première moitié du classement à l'issue de cette 28ème édition d'ASSE-VA ?
Bafé, Dim et Maestro, c'est zéro !
18/10 20:55
Nos ex ont passé une sale soirée ce soir en Ligue des Champions. Les vilains ont été écrasés 4-0 par le Real Madrid. Titulaire, Bafé Gomis a été remplacé à la 80ème par Mouhamadou Dabo. Le LOSC de Rudi Garcia s'est incliné 1-0 à domicile face à l'Inter de Milan malgré l'entrée en jeu de Dimitri Payet à la 63ème. Averti à la 42ème minute, Didier Zokora a joué l'intégralité de la rencontre perdue 3-0 par Trabzonspor sur le terrain du CSKA Moscou.
La guerre des goals n'aura pas lieu
18/10 19:13
Jérémie Janot et Stéphane Ruffier nous offrent un sympathique échange dans la dernière édition de France Football.
Comment définissez-vous tous les deux le poste de gardien ?
SR : C'est un poste… particulier. A part. Très ingrat. On se doit d'être irréprochable. On n'a pas le droit à l'erreur. C'est une position propice à la pression, psychique, psychologique, physique. On doit être performant pour l'équipe. Décisif.
JJ : C'est un poste tellement formidable… Tous les jours, je me régale. Oui, c'est ça, c'est un régal !
Avant de vous rencontrer, quelle image aviez-vous l'un de l'autre ?
SR : Quand on parlait de Saint-Etienne, on parlait de Jérémie Janot. Jérémie, pour moi, c'est un symbole de ce club mythique qui provoque un engouement énorme. Cela fait quinze ans qu'il est là. Même plus, puisqu'il a été formé ici ! Tout le monde sait qu'il a beaucoup d'amour pour ce club. Il l'a démontré par sa fidélité.
JJ : Je pourrais reprendre la formule d'Albert Rust, qui parle de Steph comme de l'Oliver Kahn français. Stéphane a cette carrure. Il a une gueule, une présence. Je lui souhaite de faire la même carrière !
Dans le vestiaire, à Geoffroy-Guichard, êtes-vous assis côte à côte ?
SR : "Non, je suis à côté de Florent Sinama-Pongolle. Avec Jérémie, on n'a pas besoin d'être assis côte à côte pour échanger. Lui et moi, on connaît le poste. On n'a presque pas besoin de se parler. J'arrive à savoir ce qu'il ressent, à certains moments, ce à quoi il pense pour sortir de certaines situations. On expérimente toutes ces situations, les bonnes et les mauvaises. On vit toujours ce poste pleinement : les moments où vous arrivez à être décisif et la joie que ça peut vous apporter, la confiance que cela vous donne. Ou, au contraire, l'erreur qui vous met dans un état où vous vous sentez fautif. Tout ça, on le sent et on le ressent, comme quand on regarde u match à la télé avec Jérémie.
Vous regardez des matches à la télé… ensemble ?
JJ : Oui. Et on les analyse. L'un des derniers exemples : c'était le but de la tête de Rémy contre Evian, le premier, celui venant d'un centre hypertendu passant dans les six mètres. Et les commentateurs disaient : "Le gardien n'est pas sorti." Parfois, tu ne peux pas sortir, tout simplement. On s'est regardés avec Steph et on s'est dit : "Mais comment le mec peut-il dire ça ?" Il y a un bon centre, un super timing de l'attaquant, bravo ! On parle de tout. De nos enfants… Steph aime bien les voitures et il m'explique un peu comment ça marche, car je ne suis pas très fort sur le sujet. Mais on en revient toujours au poste de gardien. Quand vous prenez deux gardiens, ça finira toujours par parler de gardiens.
Beaucoup annonçaient une cohabitation houleuse : l'a-elle été un moment ?
SR : Non. Ecoutez : à Monaco, j'ai connu Flavio Roma, grand gardien italien, international, ayant joué une finale de Ligue des Champions. Ça s'est toujours très bien passé. Avec Sébastein Chabbert également. Je n'ai jamais eu de conflit avec un gardien avec lequel j'ai travaillé. Cela montre combien ce poste est à part. On a tant de points communs, le même ressenti, le même quotidien qui amènent à l'échange. Et puis c'est toujours bien de travailler dans une atmosphère saine.
JJ : J'ai été surpris de lire ou d'entendre qu'on annonçait "la guerre Janot-Ruffier". C'était un peu déplacé, et c'était également mal nous connaître. Il y a des étapes dans une carrière. Au début, j'étais le p'tit jeune aux dents longues. Ensuite, je suis devenu titulaire. J'ai fait une carrière dont je suis extrêmement fier. Si je ne suis pas allé plus haut, c'est que je ne le pouvais pas. L'une de mes plus grandes fiertés est d'avoir su exploiter mes capacités à 120%. J'ai utilisé le maximum de mon potentiel. Je me suis même parfois mis dans le rouge. Quand je vois là où je suis parvenu, ce n'est que du bonheur. L'arrivée de Stéphane ne m'ennuie pas. Il est jeune, talentueux, et je souhaite lui apprendre des choses, lui apporter un plus qui le mène très haut dans sa carrière. Je pourrai alors me dire que j'ai un peu participé à ce succès. C'est le poste de gardien qui veut ça. C'est la vie. Il n'y a que les grands comme Barthez et Lama qui n'ont pas eu à laisser leur place, mais c'était d'immenses gardiens. Ulrich Ramé, Cédric Carrasso, Christophe Revault, Jérôme Alonzo, tous ont dû aussi, en leur temps, laisser leur place… Quand Stéphane réalise un bel arrêt, je suis heureux pour lui. Quand il en laisse passer un, je suis triste pour lui. C'est aussi simple que ça.
SR :Ça me fait rire quand j'entends les journalistes dire : "Untel attend la bourde de l'autre." Non, c'est faux ! C'est de la méchanceté gratuite. On attend la boulette de personne car on sait très bien, quand ça nous arrive, combien cela peut être frustrant pour nous, joueurs, et pour l'équipe. Toute cette guerre, c'est de la foutaise. C'est mal nous juger. On est un groupe. On vit ensemble. Chaque joueur a son importance. Chacun apporte ce qu'il peut. J'apporte quelque chose, Jérémie aussi, Coulibaly aussi… Le but est le résultat. Le classement. Gagner des choses ensemble. C'est le seul truc qui compte. Après… mettre des bâtons dans les roues de l'autre, attendre qu'il fasse une boulette, je ne crois absolument pas à ça.
Quels sont vos échanges avant et après le match ?
JJ : Par rapport aux matches de Steph, on discute. Même à l'entraînement. On essaie d'échanger et de débriefer, mais pas seulement sur nous. Je peux lui dire : "T'as vu, lui, il a fait un super match… Tiens, ça il le fait bien dans telle situation; il faudrait peut-être que tu arrives à faire pareil…" A l'échauffement, avant la partie, je lui glisse toujours deux ou trois mots, trois ou quatre phrases de mise en confiance : "Ce soir Steph, c'est pour toi, tu vas nous faire gagner !" Pour lui montrer qu'on est derrière lui. Je n'en fais pas trop et je m'applique au mieux sur les centres et les frappes que je lui adresse. A la fin du match, je lui donne mon ressenti.
SR : Oui, j'échange, mais pas seulement avec Jérémie. Avec Albert, avant tout, c'est lui le coach. C'est lui "l'expérimenté", celui qui a le plus de vécu. Autrement, avant les matches, à la mi-temps, on est toujours ensemble. A l'échauffement, on parle du match à venir. On échange toujours entre gardiens, mais aussi avec les joueurs de champ, qui nous donnent leur ressenti. Quand je relance, le joueur part excentré ou en profondeur et veut le ballon dans les pieds… Ce sont les paroles d'un vestiaire.
Que vous dites-vous à la mi-temps ?
JJ : "Je ne veux pas interférer sur son jugement. Lui a peut-être un ressenti que je ne veux pas brouiller. Je n'irai donc pas voir Steph pour lui dire : "Lui, l'an passé, m'a tiré un penalty comme ça", parce que je vais l'influencer. Et moi, je veux que Steph garde son instinct. Je n'aime pas intervenir à la pause, ou alors pour le féliciter pour un arrêt, pour le conforter. Lui dire : "C'est bien", plutôt que :"Tu aurais pu faire ci ou ça." Ça peut le déstabiliser.
SR. "Ça sert à ça la mi-temps : remettre en place les choses qui n'ont pas été bonnes. Mais tout dépend du match, des échanges se font, à trois ou à deux, moi seul avec Albert ou moi et Jérémie seulement. Si lui a vu un point précis, s'il sent que j'ai capté le ballon comme ci ou comme ça, qu'il faut que je relance vite sur l'un de nos joueurs, seul à l'opposé…Il peut nous arriver de revenir sur certaines situations : comment je capte, comment je peux essayer d'avancer plus vite, ou chercher un joueur à côté, etc.
Quels sont les exercices communs que vous réalisez à l'entraînement ?
On travaille toujours ensemble. Le premier entraînement spécifique de la semaine, on arrive à rester plus longtemps avec Albert. Après, les mardi et mercredi, malheureusement, les joueurs de champ ont besoin de nous aussi. Les spécifiques ont donc plus courts, plus intenses, plus rapides, c'est-à-dire une demi-heure ou quarante-cinq minutes. Après, on rejoint le groupe.
Sur le terrain, Stéphane, êtes-vous plus à l'écoute des conseils que vous donne Jérémie ?
SR : Non. Quand je suis dans la cage, je ne regarde pas trop sur le banc. Sauf si on m'appelle, bien sûr. Si le coach à un message à me faire passer concernant le plan de jeu ou la relance, je tends l'oreille. Mais autrement, non. On se doit d'être concentré pendant tout le match. L'erreur est si vite arrivée ! Et ça va de plus en plus vite !
Que représente à vos yeux la notion de gardien numéro 1 et de numéro 2, et comment la vivez-vous ?
SR : Le poste de gardien de but, c'est simple : il y a le numéro 1, le numéro 2 et le numéro 3. Dans toutes les équipes c'est comme ça : la hiérarchie.
JJ : Je ne me suis jamais senti en concurrence avec untel ou untel. J'ai toujours vu leur présence comme une aide. Je me disais que Jody, Ronan, Vincent Planté, Dominique Casagrande pouvaient m'apporter quelque chose, qu'ils pouvaient m'aider. On apprend tous les jours. J'ai toujours eu cette soif et je n'ai jamais eu la prétention de penser que ce que je faisais était parfait et que le numéro 2 restait numéro 2. Non. Parfois, entre le 1 et le 2, il y a l'épaisseur d'une feuille de cigarette, mais le numéro 1 a besoin de confiance. J'ai toujours pensé qu'un numéro 3 était là pour apprendre et pour nous passer devant, aussi ! A lui de bousculer la hiérarchie. Il aura sa chance un jour. A lui de la saisir. Pour en revenir aux numéros 1 et 2, aujourd'hui, je n'ai pas le rôle d'une baby-sitter. Mais je suis là pour pousser Steph à ne pas s'endormir sur ses lauriers, même s'il ne le fait pas. Il faut quand même qu'il sente qu'au moindre relâchement, je suis là, et c'est bien pour lui et pour l'équipe !
Que prenez-vous et qu'utilisez-vous chez votre coéquipier ?
SR : Sa vision, grâce à son expérience. Jérémie, je m'en nourris, comme de Flavio Roma, qui avait vécu des rencontres avec la sélection italienne. Il m'a appris beaucoup de choses, de même que Sébastien Chabbert l'an passé, Yohann Thuram étant, lui, plus jeune. Mais ils m'ont également apporté leur vision.
JJ : Stéphane m'a apporté sa vision du poste, mais aussi celle de ceux avec lesquels il a travaillé. De ses années avec Jean-Luc Ettori et André Amitrano… C'est enrichissant pour mon présent et pour mon avenir. Cela me paraît un peu prétentieux de dire cela car Stéphane est international, mais, en partie, je me reconnais en lui. Quand j'étais jeune, j'étais un peu tête brûlée et brut de décoffrage, comme il l'est. C'est sûr que lui, c'est une montagne comparé à moi, mais j'ai l'impression de me voir. Je ne sais pas si c'est le crâne rasé… De me revoir dix ans en arrière : le mec qui ne doute de rien, qui dit : "Je suis le meilleur !" C'est ça que j'aime chez lui. On se ressemble dans le sens où on a été éduqués de la même façon. Là, je parle d'éducation familiale et footballistique.
Votre passage de témoin ressemble-t-il finalement à celui entre Ivan Curkovic et Jean Castaneda ?
SR : "Au début des années 80, je n'étais même pas né ! Mais je suppose que l'un est le vieux et l'autre est le jeune ! (rires) Eh bien voilà, Jérémie a trente-quatre ans, j'en ai dix de moins. On va dire qu'il est davantage vers la fin de sa carrière. Moi, j'en suis un peu au début. Lui a connu une période quinze ou vingt ans. Moi, je vais en connaître vingt autres. Un jour, je serai à la place de "Jé". Je crois qu'il ne regrette rien. Quand Flavio est parti de Monaco à trente-cinq ans, il m'a dit que ce n'était plus que du plaisir, que sa carrière était derrière lui. Pour "Jé" aussi, c'est du plaisir. Il y a toujours un vieux et un jeune qui arrive. Et moi, ensuite, je serai vieux et un jeune arrivera. Mais lui a encore les cannes, il va continuer et donner… tout ce qu'il peut.
JJ : "C'est ça, le cycle de la vie. C'est ça, le plaisir. J'essaie de récolter toutes les données pour devenir un jour un bon entraîneur de gardiens. Mais avant, nous tous ici, avec moi, on va l'emmener en équipe de France, Stéphane !
Centrer n'est pas gagner !
18/10 11:31
Avec 25 centres réalisés contre Evian l'ASSE se situe à la 3ème place de la L1 pour cette dixième journée.
Ce n'est pas un phénomène nouveau, nous centrons beaucoup, en moyenne 26,6 fois par match, ce qui nous place depuis le début du championnat sur le podium de la L1 derrière Valenciennes (34 centres) et Bordeaux (26,8).
Brest est 4ème de ce classement, et Marseille 5ème. Hormis les Verts, 9èmes, les cinq premiers de ce classement sont donc tous à la peine en championnat.
Et si le nombre de centres, plutôt que de traduire une domination, reflétait plutôt une impuissance offensive ? Faute de combinaisons pour percer une défense, on donne le ballon à un milieu excentré qui centre (souvent comme il peut)...
A l'opposé de nos stats, Montpellier a ainsi claqué 5 pions contre Dijon tout en ne centrant qu'à 14 reprises !
On peut aussi considérer que le système de jeu pèse également dans la balance : nos deux milieux excentrés rapides nous prédisposent à user et abuser de centres. Reste à mieux les ajuster et à trouver plus fréquemment quelqu'un à la chute du ballon.
L'un reste, l'autre part
18/10 08:11
Cela pourrait bien être le destin de nos deux exilés outre-Manche Gelson et N'Daw. Les deux jouent en Championship, l'équivalent de notre L2.
N'Daw, prêté seulement jusqu'à Noël n'a que quelques mois pour convaincre les dirigeants de Birmingham. Et c'est mal parti puisque le dernier Vert a avoir versé des larmes sur la pelouse de GG ne faisait comme très souvent pas partie du groupe ce week end : Guirane n'a joué qu'un match sur neuf de son club en championnat, et fait une seule apparition en Europa League.
De son côté Gelson s'est bien installé comme pilier du milieu de Leicester City. Il n'a raté qu'un match depuis le début de saison, et tout irait pour le mieux pour notre ex-petit Suisse si Leicester n'était pas en train de s'enliser dans le ventre mou du championship, en particulier suite à la défaite subie 0-2 ce dimanche ... à Birmingham.
De là à penser que nos Lofteurs pourront jouer au tarot à 4 dès janvier, il n'y a qu'un pas...
Signé José !
17/10 20:01
Huit jours après son show contre Paysandu, José Aloisio a marqué contre la même équipe l'unique but de la victoire du CRB la nuit dernière.
Objectif nul
17/10 19:32
Après avoir gagné chez la plus mauvaise équipe du championnat à domicile, l'ASSE va recevoir la plus mauvaise formation à l'extérieur. Particulièrement vulnérable hors de ses bases, le VAFC n'a réussi à choper qu'un seul petit point (chez la lanterne rouge Nancy) lors de ses cinq précédents déplacements.
Au sortir de sa belle victoire contre d'hier soir contre Sochaux, Matthieu Dossevi a fixé l'objectif de son équipe pour le prochain match dans L'Observateur du Valenciennois : "Un nul à Saint-Etienne serait un très bon résultat pour la suite du championnat."
Vaz écrase Montchat
17/10 19:12
De bon augure avant la double confrontation entre les Verts et les vilains ? Evoluant pourtant un échelon plus bas que ses adversaires banlieusards, La Fouillouse s'est qualifiée pour le 6ème tour de la Coupe de France en écrasant Lyon Montchat sur son terrain (1-5) grâce à un doublé de Romain Vaz, ancien U17 à l'ASSE.
Aubame t'es rieur à l'extérieur !
17/10 18:50
Pierre-Emerick Aubemeyang a inscrit quatre buts en L1 cette saison, tous à l'extérieur. Comme le souligne l'agence d'informations sportives Opta, l'ancien Monégasque possède également la particularité d'avoir claqué neuf de ses dix pions dans l'élite à l'extérieur. Allez PEA, ça rigolera aussi à Geoffroy !
Les supporters sont à la rue (89) !
17/10 18:18
Et si les supporters s'offraient leur club de foot ? s'interroge Rue89. "En France, seuls les supporters de Saint-Etienne sont associés à la gestion du club et cela depuis 1970" rappelle le site d'information et de débat participatif. "La Fédération des associés supporters a gardé jusqu'à aujourd'hui une part minoritaire du capital du club au nom de ses 7 000 adhérents." Jean-Charles Schuler, président de la fédération, affirme : "En 1995, on a conjuré la faillite du club. On défend nos convictions auprès du propriétaire du club."
Après VA, ça va ?
17/10 12:21
Avec 13pts à l'issue de la 10ème journée, l'ASSE retrouve un bilan équilibré (3 victoires - 4 nuls - 3 défaites).
Néanmoins, l'ASSE version 2011/12 se retrouve à 5pts de sa devancière qui comptait 18pts après 10 matches. Mais on était à cette époque déja rentré dans le dur, et 18pts c'est aussi le total que Payet, Matuidi and co comptaient après 11 journées.
Une victoire samedi contre Valenciennes nous amènerait donc, avec 16pts, à deux points du crû ASSE 2011...
A Cesena, c'est Ben perdu !
17/10 09:29
Yohan Benalouane ne faisait pas partie du groupe qui a ramené hier le deuxième point de Cesena en série A contre la Fiorentina (0-0).
2 points en 6 journées, c'est pas bezef, et Cesena reste scotché à la 20ème place du championnat.
Pour Benalouane, plus titulaire depuis la 1ère journée et son carton rouge reçu contre Naples, ça sent la saison galère à plein tarin.
Jesus et ses disciples crucifient Issenheim
17/10 05:58
Donnant "une leçon de réalisme" selon Les Dernières Nouvelles d'Alsace, les Vertes se sont imposées 3 buts à 1 sur le terrain redoutable d'Issenheim hier après-midi lors de la 6ème journée de championnat.
Laury Jésus a ouvert le score dès la 6ème minute. Sur une nouvelle contre-attaque rondement menée, Rose Lavaud a doublé la mise à la 20ème. Si les locales ont réduit le score avant la pause, la néo-internationale A Camille Catala a placé une tête dans la lucarne à la 70ème minute.
L'ASSE profite de ce succès pour remonter à la 6ème place du classement.
Le Roy rêve d'aligner Lynel
16/10 20:12
Selon le quotidien congolais Le Potentiel, le sélectionneur de la République Démocratique du Congo Claude Le Roy a prévu de rencontrer Lynel Kitambala demain à Paris pour le convaincre de rejoindre les Léopards en vue des éliminatoires pour la coupe du monde 2014. L'avant-centre stéphanois fait partie des 45 joueurs présélectionnés pour affronter le Swaziland le 11 novembre.
Degache appuie sur la gachette !
16/10 20:00
Mathias Degache a marqué ce week-end le troisième but de la victoire de Valence (CFA) sur le terrain de l'ES Amancy (PHR) lors du 5ème tour de la coupe de France. Entraînée par l'ancien Vert Patrick Moreau, l'AS Savigneux-Montbrison (PHR) a créé la surprise en sortant l'autre club de la préfecture drômoise (FC Valence, DH).
A Sète, Grégory Dutil a eu chaud mais l'ancien attaquant stéphanois a marqué l'unique but de la rencontre (son premier de la saison) en prolongation.
Quart de finaliste l'an dernier avec Chambéry (CFA2), David Guion ne rééditera pas cet exploit cette année avec l'AS Cannes (CFA) : Lilian Compan et ses coéquipiers ont été éliminés sans gloire par la Cayole, petit club marseillais évoluant en DHR !
Hip hip hip Houri !
16/10 19:08
Alors qu'il restait sur une série de cinq défaites en championnat, Samy Houri a marqué hier le deuxième but de la victoire (4-0) du FC Brussels sur le terrain de la lanterne rouge Wetteren.
Medjani a fait trembler Paris !
16/10 18:49
Pendant que Valenciennes (futur adversaire des Verts) domptait les Lionceaux 3-0, Carl Medjani a marqué aujourd'hui le but égalisateur d'Ajaccio contre le PSG. Mais Zoumana Camara, Sylvain Armand (titulaires) et Siaka Tiéné (remplaçant) ont conforté leur place de leader du championnat grâce à un triplé de Kevin Gameiro, qui en profite pour détrôner Bafé Gomis au classement des buteurs.
Postigooooooooooal !
16/10 18:00
Au grand dam de Philippe Montanier, Helder Postiga a réalisé cet après-midi un doublé synonyme de victoire 2-0 pour Saragosse. L'ouverture du score de l'ancien attaquant stéphanois est assurément le plus joli pion du week-end !
A Annecy, les U15 imitent les pros !
16/10 17:33
Comme les pros, les U15 se sont imposés à Annecy en marquant deux buts. Tandis que l'équipe une avait grandement besoin de renouer avec un succès qui la fuyait depuis le 13 août, les protégés de Philippe Guillemet ont remporté ce dimanche leur cinquième match consécutif !
Maisonnial - Pouyet (Djeridi, 65'), Barthélémy, Nadrani (cap), Kalala - Jensel, Chambost, Kotoké (Chatain, 57'), Saint-Maximin (Di Piazza, 57') - Dutreive (Saint-Maximin, 65'), Bangoura.
Dylan Chambost a ouvert le score à la 10ème minute sur une passe en retrait de Rocky Kotoké. Augustin Bangoura a doublé la mise à la 22ème sur une frappe contrée de Dylan Chambost. Après une première demi-heure nettement dominée par les p'tits Verts, la rencontre s'est rééquilibrée. Même si elle a marqué moins de but que lors de toutes ses précédentes rencontres, l'ASSE conserve la tête du championnat à l'issue de cette sixième journée.
U17 : la victoire sans la manière
16/10 17:09
Dans la douleur et malgré un fâcheux relâchement, les U17 de l'ASSE ont batu Annecy 4-3 cet après-midi à l'Etrat.
Contre le cours du jeu, les Verts ont marqué les deux premiers buts de la rencontre grâce à Dylan Saint-Louis (15') et Quentin Vandamme (28'). Surpris dès le retour des vestiaires, les Stéphanois ont refait le break grâce à Jonathan Bamba (57'). Après le quatrième pion d'Adrien Valente (70'), l'ASSE a déjoué en prenant deux buts coup sur coup.
La compo : Kacou - Cabaton, Desgats, Karamoko, Belkorchia (Suljic, 46') - Vandamme, Kayaci, Bamba, Assaf (Valente, 46') - Gattier, Saint-Louis.
La réaction de Gilles Rodriguez : "Le point positif, c'est la victoire. Le point négatif, c'est qu'on n'a pas fait un bon match. On a un problème de confiance. On n'a pas retrouvé dans le jeu la bonne première heure qu'on avait faite à Lyon. Avec Lionel [ndp2 : Vaillant, co-entraîneur des U17], on est déçu de la qualité de la prestation et de l'investissement de certains garçons. Les vacances vont faire du bien à tout le monde, il faudra repartir en novembre avec d'autres perspectives et d'autres ambitions car depuis le début de saison, c'est compliqué."
U19 : Ô sombre Hérault pour les Verts
16/10 14:59
Machado mâche un Lardon
16/10 11:24
Une nouvelle fois relégué en équipe réserve, l'international portugais Paulo Machado (TFC) a trompé Benjamin Lardon (Agen, CFA2) hier en match amical (1-1).
Payet-Rivière, destins croisés
16/10 10:53
Cailleux nous réchauffe
16/10 08:36
Bridonneau se donne à Chauray
16/10 08:04
Après s'être entraîné trois semaines à Chauray (DH), Damien Bridonneau (36 ans) s'est engagé avant-hier avec ce club de la banlieue niortaise qui affrontera Cognac cet après-midi en coupe de France. Le mythique buteur du titre de L2 en 2004 évoque son nouveau défi dans la dernière édition de La Nouvelle République.
"Tout s'est brutalement arrêté, il y a deux ans. Blessé aux tendons rotuliens d'un genou qui m'avait déjà donné du souci avec les croisés, j'ai dû prendre ma retraite, sans aller au terme de mon contrat avec Vannes. J'ai fait toute la saison avec l'OL Niort futsal, le club de mon frère, avec l'idée de m'entretenir physiquement, tout simplement. Et puis, en participant au tournoi des Portugais de Niort, en fin de saison, j'ai réalisé que les pelouses me manquaient; que j'avais toujours envie de jeu, mais uniquement pour le plaisir.
Je me suis d'abord tourné vers les Chamois Niortais, en proposant à Dodzi Eklu de donner, s'il le souhaitait, un coup de mains en DH, pour jouer un peu un rôle de taulier auprès des jeunes, rendre au club ce qu'il m'a apporté. Je ne voulais pas m'imposer. Je suis parti en Corse et à mon retour, Dodzi m'a dit qu'il avait son groupe. J'ai rencontré Denis Lhuillier et Benoît Beaumet que je connais bien. Ils font du bon travail à Chauray. Le projet du club est rationnel, intéressant. J'ai leur ai expliqué mon envie de rejouer, d'apporter modestement, et sérieusement mon expérience. Si ça peut les aider à monter dès cette année, tant mieux."
Hell envoie Bordeaux en enfer
16/10 07:29
Alors qu'il n'avait plus marqué en match officiel depuis le 2 mai 2010, David Hellebuyck a claqué hier le deuxième pion de la victoire des Aiglons contre des Girondins désormais 17èmes.