Piatti, numéro 10 !

30/10 22:45

Pour la première fois de son histoire, l'Impact de Montréal s'est qualifié la nuit dernière pour les quarts de finale de la MLS (Major League Soccer) grâce à sa victoire 3-0 contre le Toronto FC de Damien Perquis (blessé). Passeur décisif sur l'ouverture du score, le numéro 10 Ignacio Piatti a claqué son 10e pion de la saison. L'ancien milieu offensif stéphanois devra éliminer Columbus Crew pour se hisser dans le dernier carré.

 

Cana, ça n'engage que lui...

30/10 19:57

Mystifié par Jonathan Bamba le 20 septembre dernier, le Canari Lorik Cana a parlé des Verts ce soir sur RMC au micro de Jean-Michel Larqué.

 

"La France a un tel vivier de talents qu'il en sort de partout et tout le temps. Je pense qu'elle a une des meilleures écoles de formation dans le monde. Déjà avant, c'était compliqué de les garder, mais il y avait des clubs qui réussissaient. Maintenant il y a de telles contraintes et une telle concurrence à l'étranger que ça devient très compliqué de rester dans la stabilité. Dès qu'un joueur fait une, deux voire trois belles années en France, il part tout de suite. Sur la scène européenne, on voit que les clubs français ont beaucoup de mal à passer les groupes de l'Europa League. Toi qui es Stéphanois, quand tu vois Saint-Etienne qui a beaucoup de problèmes pour passer, quand tu vois les groupes dans lesquels ils sont, ce n'est pas quelque chose qui est normal. Les clubs français n'ont plus la puissance de pouvoir tenir leurs meilleurs joueurs."

 

On rappellera à l'ancien phocéen qu'il est revenu en L1 faute d'avoir réussi à s'imposer à la Lazio, qui a fini sur le podium de la Série A la saison passée et domine logiquement le groupe G de l'Europa League. Il a sans doute échappé à l'international albanais que les Verts, actuellement deuxièmes, devancent le FC Dnipro, finaliste de l'épreuve la saison dernière. A défaut d'être un expoit, une qualification stéphanoise en seizième de finale serait une belle perf !

18 pour faire sauter le bouchon

30/10 18:29

Galette a convoqué un groupe de 18 joueurs pour la réception de Reims demain à 17h.

 

On notera les absences d'Hamouma, Bayal, Bamba, Théophile-Catherine, Corgnet, Brison, Lemoine.


Côté retour, Clément et Pajot réintègrent la ligne du milieu. Malcuit et Maupay pourraient profiter des absences et de la grosse semaine à venir pour glaner du temps de jeu.

 

Gardiens : 16.Stéphane RUFFIER; 30.Jessy MOULIN.

 

Défenseurs : 3.Pierre-Yves POLOMAT ; 19.Florentin POGBA ; 24.Loïc PERRIN ; 25.Kévin MALCUIT ; 29.François CLERC ; 32.Benoît ASSOU-EKOTTO.

 

Milieux : 5.Vincent PAJOT ; 6.Jérémy CLEMENT ; 10.Renaud COHADE ; 11.Valentin EYSSERIC ; 28.Ismaël DIOMANDE.

 

Attaquants : 7.Jean-Christophe BAHEBECK ; 9.Nolan ROUX ; 14.Neal MAUPAY ; 22.Kévin MONNET-PAQUET ; 27.Robert BERIC.


A noter que les rémois ne sont pas mieux lotis puisque 7 joueurs ne seront pas du déplacement dans le Chaudron (Conté (genou), Ha.Kamara (cuisse), Mandi (genou), Kankava (cuisse), M.Fofana (adducteurs), H.Rodriguez (adducteurs), Ngog (mollet))

N'Gog privé de GG

30/10 18:23

L'attaquant s'etant blessé au mollet mercredi soir en Côte d'Or, il loupera le déplacement de son équipe dans le Chaudron demain (17h, Canal+). Oliver Guégan, qui avait pourtant fait tourner son effectif en Coupe à Moustache, a convoqué un groupe de 19 joueurs pour afffronter les Verts.

 

Le groupe rémois :

 

Agassa, Placide, Bourillon, Signorino, Tacalfred, Traore, Turan, Weber, Bulot, Devaux, Fortes, M'Fulu, Oniangue, Peuget, Rigonato, Charbonnier, De Preville, Kyei, Siebatcheu

Un guignol peut en cacher plusieurs autres

30/10 18:09

L'ASSE a annoncé en fin de matinée, sur son site officiel, avoir déposé plainte suite à des dégradations constatées au siège du club, au stade et à la boutique. Il semblerait, au vu des images, que certains banlieusards, en substitution de leur président, aient souhaité ranimer les tensions à l'approche du derby...

La Ruff out

30/10 11:11

Rassurez-vous, le portier stéphanois sera bien dans les buts demain face à Reims (17h).

 

L'autoproclamée bible du football a demandé à un ancien Vert et ancien gardien, Elie Baup, son avis sur les derniers remparts de Ligue 1. Si Ruffier reste pour l'ancien coach stéphanois un très bon gardien, il ne fait pas partie des "européens" de son classement.

 

Et Elie d'annoncer un quatuor Mandanda, Trapp, Enyeama et Subasic pour les 4 composant la crème de notre championnat.


«C’est un garçon qui a une telle qualité athlétique, une énorme présence. Il a une très grosse personnalité et dégage quelque chose de très fort. Mais cette saison, même s’il reste toujours présent et nécessaire à Saint-Étienne, il s’est pour l’instant montré moins fort, moins décisif, que lors des exercices précédents. Il a eu son intersaison à gérer, il y a eu aussi sa prise de position concernant son rôle en équipe de France. Il faudra suivre son évolution, avec peut-être un départ à l’étranger. Il me fait penser un peu à Sébastien Frey, pas toujours reconnu en France mais qui l’était en Italie. Il y avait une sorte d’incompréhension.»

 

Heureusement que Stéphane lui donnera tort, et que la qualification en Ligue des Champions la saison prochaine donnera enfin à la Ruff' la visibilité qu'il mérite.

Face à Reims, Champagne !

30/10 10:51

Reims, membre historique du championnat fait partie de ces clubs que nous aimons martyriser.

Les statistiques en font l'éclatante démonstration :

Les Rémois n'ont plus gagné à Sainté depuis ... 1959. Un temps que les moins de 55 ans ne peuvent pas connaître ! A l'époque c'est ce bon vieux Justo Fontaine qui, avec un triplé, avait assuré l'éclatante victoire 5-2 des Rémois. Depuis Reims est venu 16 fois à GG pour 12 défaites et 4 nuls, le dernier (0-0) n'est pas si éloigné puisqu'il date de septembre 2012.

La saison dernière, malgré l'ouverture du score par un csc de Dieu, les Verts, en plein mois d'août avaient tout renversé en scorant 3 fois en secondes mi-temps (Gradel, Monnet Paquet, Erding).

On notera au dela du passé récent que Sainté s'est quand même incliné 7 fois dans le Chaudron face aux Champenois, ce qui traduit parfaitement la courbe historique des performances des 2 clubs.

Deux dernières stats pour la route :

Qui donc a affronté le plus de fois Reims dans l'Elite ? Evidemment c'est les Verts, 62 fois.

Qui donc a battu le plus de fois Reims dans l'Elite ? Evidemment c'est les Verts, 26 fois.

Ah que t'es beau, Eric !

30/10 10:14

Interviewé par So Foot, Eric Bauthéac évoque essentiellement son arrivée à Lille, ses souvenirs niçois et dijonnais, et son engagement caritatif auprès d'enfants malades - il vient de créer l'association Aktebo. Il revient enfin sur un vert souvenir, avec du Cartoche dedans :

" Quand j'étais en formation à Saint-Étienne, Patrice Carteron était en pro et nous voyait jouer. Quand il est devenu directeur sportif et coach à Dijon, il m'a de suite appelé. J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour lui, car en tant que joueur, c'était un vrai chien sur le terrain, un mec qui mouille le maillot, j'adorais ça. Je savais qu'il me donnerait l'élan pour grandir et je l'ai suivi. "

Les Verts en colère, il l'espère !

30/10 07:42

En conférence de presse, Galette est revenu hier sur la lourde défaite au Parc avant d'évoquer la réception du Stade de Reims, ce samedi à 17h00.

 

"On a pris la fessée qu’on a prise mais Paris n’est pas injouable. Peut-être faudrait-il dans la préparation ne pas montrer d’images, y aller… Peut-être faudra-t-il dorénavant préparer ce match comme on prépare le derby. Pendant des années, on a fait des préparations avec des semaines à huis clos, des entraînements en public, des clips vidéo et à la sortie, on a eu très peu de résultats. Puis, en enchaînant les matches, on ne s’est pas focalisé sur ceux-là. Et les choses ont tourné. Peut-être faut-il donner moins d’importance à ces rendez-vous avec Paris.

 

On ne joue jamais le PSG au meilleur moment. À chaque fois qu’on y va, ce n’est pas dans les meilleures conditions. Chaque fois que vous, les médias, vous les piquez, ce ne sont pas des moustiques, mais des bourdons, des frelons qui piquent, qui font mal. J’espère que mes joueurs sont en colère. On a eu deux matches à 21 h, on ne peut pas dire que ce fut une belle réussite en termes d’image. C’est un peu emmerdant. Il faut de suite rebondir pour se maintenir dans une position confortable en championnat. On n’a pas beaucoup de marge. Il faut être pied au plancher."

Un guignol privé de derby

30/10 07:28

Comme son homologue phocéen, qu'il avait traité de guignol le 21 septembre dernier, le président des vilains a écopé hier de deux matchs de suspension (dont un avec sursis) de terrain, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles. La sanction prenant effet le mardi 3 novembre, Jean-Michel Aulas ratera donc le derby programmé le dimanche 8 novembre à 21h00.

Jérémy se contredit

30/10 07:14

Dans la Pravda du jour, Jérémy Clément revient sur la récente déroute des Verts au Parc des Princes.

 

"Quand les Parisiens sont dans une telle forme, ils sont injouables (...) Il ne faut pas être résigné. Il faut essayer de combattre cette fatalité. Il faut lutter contre l'idée que jouer face à Paris, c'est compliqué et que l'on va perdre."

Euronews (23)

29/10 19:35

Le FC Dnipro, qui tentera de reprendre à l'ASSE la 2e place du groupe G de l'Europa League dans le Chaudron le jeudi 5 novembre, s'est qualifié hier pour les quarts de finale de la Coupe d'Ukraine en dominant 3-2 l'Olimpik Donetsk. Vainqueurs 2-0 à l'aller, les protégés de Myron Markevych ont ouvert le score grâce à un suberbe extérieur du droit de Bruno Gama. Après avoir pris deux pions coup sur coup à l'entame du dernier quart d'heure, ils ont égalisé à la 88e sur un tir de leur milieu nigerian Michael Babatunde avant d'arracher la victoire à la 94e sur un magnifique enchaînement contrôle de la poitrine / retourné acrobatique de Roman Zozyula. Le FC Dnipro retrouvera l'Olimpik Donetsk ce samedi à 13h00 lors de la 13e journée du championnat ukrainien.

 

 

Rosenborg, qui accueillera les Verts le jeudi 26 novembre à 19h00, a été tenu en échec 3-3 par Stromsgodset dimanche dernier. Ayant décroché son 23e titre de champion de Norvège le 18 octobre dernier, le club cher à Bjorn Kwarme a décroché ce nul à l'extérieur grâce à un doublé d'Anders Konradsen et à un pion de Yann-Erik de Lanlay.

 

 

Attendue dans le Chaudron le jeudi 10 décembre à 21h05, la Lazio a battu le Torino 3-0 le week-end dernier grâce à un doublé du Brésilien Felipe Anderson et un but du Bosnien Senad Lulic.

 

 

Mais le club romain a rétrogradé hier à la 6e place de la Série A après avoir perdu 2-1 sur le terrain de l'Atalanta Bergame malgré l'ouverture du score sur coup franc de l'Argentin Lucas Biglia.

 

Hoggas s'agace

29/10 14:06

Buteur l'an dernier avec Belfort en CFA contre l'équipe réserve de l'ASSE et évoluant cette saison à l'ETG sous les ordres de Safet Susic et Romain Revelli, le meneur de jeu Kévin Hoggas s'agace quand L'Est Républicain le compare au numéro 21 des Verts. "Il y a une petite ressemblance parce qu’il a fait le bond de CFA à Ligue 2. Mais je ne me compare pas. Romain Hamouma, aujourd’hui, il joue la coupe d’Europe. J’en suis loin…"

 

 

 

 

Ménétrieux en a mis trois

29/10 13:47

Comme prévu, Lamine Ghezali et Francis Ménétrieux ont disputé cette semaine avec la sélection Rhône-Alpes les Inter Ligues à Grandvillars, dans le Territoire de Belfort. Ils ont écrasé hier l'équipe alsacienne 7-0 grâce à un but du premier et à un doublé du second, qui a également scoré aujourd'hui contre la sélection franc-comtoise, victorieuse 2-1. Les deux attaquants des U17 stéphanois étaient restés mutiques avant-hier face aux Lorrains (0-0).

Trois in, trois out

29/10 13:45

La conférence de presse a été l'occasion de faire un point sur l'état des troupes vertes : Hamouma et Brison seront forfaits contre Reims, ainsi que Bayal pour les 3 prochains matches.

 

Si la défense centrale fait un peu dépeuplée (n'oublions pas que le joker KTC est toujours sur le flanc), le milieu, lui, reprend du poil de la bête : Pajot et Clément sont de retour, tandis que Cohade est considéré par Galette comme "prêt à jouer".

Aubame est fort et met tout le monde d'accord !

29/10 13:26

La Pravda publie aujourd'hui un long entretien de Pierre-Emerick Aubameyang, meilleur buteur européen depuis le début de saison. Extraits.

 

"Vous voulez la vérité ? Parfois je me dis : "Putain, je suis fort quand même !" En rigolant bien sûr! Ça fait vraiment plaisir. C'est kiffant même. Surtout quand on se repasse toutes les images, tout ce qu'on a pu vivre avant. Et je me dis : "Ouais, j'ai fait du chemin". Ça fait plaisir d'être récompensé, même si ce n'est pas fini. Si un Ronaldo peut mettre 50 buts dans une saison, pourquoi n'en serais-je pas capable ?

 

Devenir un attaquant de classe mondiale, c'est l'objectif, ça l'a toujours été. Je ne l'ai peut-être pas toujours dit mais là, je peux parler puisque les statistiques sont avec moi. Peut-être qu'avant je n'aurais pas été pris au sérieux. Mais aujourd'hui je peux le dire. Je suis croyant et quand je prie, je demande à devenir l'un des meilleurs attaquants de la planète. J'ai confiance en moi, je sais pouvoir arriver à quelque chose de grand. Il me fallait seulement travailler les défauts, me mettre au boulot. On y arrive tout doucement. Et on va encore gratter.

 

Je dois continuer sur cette lancée, répéter les efforts et de telles saisons, comme le font les Messi et Ronaldo. Je suis en leur compagnie, parmi les meilleurs buteurs européens en 2015. C'est bien, mais je ne suis pas le premier. Il faut travailler encore. Je ne veux rien lâcher. J'avais dit, il y a quelques années, qu'un jour j'aimerais inscrire, moi aussi, une quarantaine de buts. Je travaille pour. Là, je suis en train de franchir une grosse marche.

 

Sur le terrain, je suis plus libéré. Il n'y a aucun stress. Je prends du plaisir à jouer, j'essaye de profiter un max. C'est ma troisième année ici, je me sens bien, comme chez moi, je prends du plaisir avec mes potes. Je ne peux pas me plaindre de la façon dont mes partenaires me servent. Devant, on s'entend tous très bien, on cherche à se faire marquer les uns et les autres, et c'est ce qui nous permet d'être efficaces.

 

Mon positionnement dans l'axe participe bien sûr à cet épanouissement. C'est là où je me sens le mieux, y'a pas à dire ! J'ai peut-être aussi moins d'effort à accomplir que quand je joue sur le côté. Ça me permet d'avoir un peu plus d'énergie pour terminer les actions. Si un coach veut te placer sur un côté, tu dois accepter. Pas à contrecœur, car je veux toujours aider l'équipe. Je travaille tout le temps pour elle. Mais au fond de moi, je savais que mon meilleur poste se situait dans l'axe. Et j'ai trouvé un coach qui me donne la chance d'avoir de la stabilité à ce poste. Jürgen Klopp s'est aperçu que je pouvais apporter encore plus dans l'axe, et avec Thomas Tuchel, on est dans la continuité. Au final, je suis axial. J'ai mis tout le monde d'accord, sans prétention.

 

J'ai progressé, j'ai beaucoup travaillé devant le but, notamment sur le sang-froid, avec l'idée de ne pas forcément jouer tout le temps en une touche ou de ne pas tenter d'avoir une balle parfaite. Le dernier but face à Augsbourg, c'est un pointu. Et j'en ai mis un autre le jeudi d'avant. J'éprouve à nouveau des sensations que j'avais devant le but quand j'étais petit, je retrouve des gestes que je n'aurais pas exécutés quelques années en arrière. Parfois il ne faut pas se poser de questions et je pense que c'est sur ce point-là que je me suis vraiment amélioré : je fonce, je tente !

 

La plupart du temps, quand on voit un joueur rapide, on se dit : "Il a un peu les pieds carrés." C'est ce que j'ai entendu au début de ma carrière. Je n'ai jamais fait attention. On m'a trop longtemps réduit à ma rapidité. C'était très frustrant, d'autant plus quand c'est au sein de votre propre club qu'on dit de telles choses. A Monaco, je sais que pas mal de gens disaient : "Il n'a qu'à faire de l'athlétisme, il ne sait que courir." Guy Lacombe, lui, m'a fait beaucoup jouer, il croyait en moi. Il me disait : "Je sais très bien que tu peux devenir un très grand joueur, que tu peux marquer beaucoup mais tu dois travailler pour faire taire les bouches." Aujourd'hui, je suis content de fermer certaines bouches. J'étais peut-être un peu maladroit par moments, mais j'avais cette marge de progression.

 

Avec le travail, on peut montrer des choses. J'ai fait beaucoup de spécifique à l'entraînement. Lors de ma première saison ici, j'étais celui qui restait le plus longtemps après les séances pour tirer des coups francs ou me placer devant le but. Parfois, il n'y avait pas de gardien mais je répétais les gestes, pour pouvoir exécuter le bon au bon moment. Pour trouver des repères par rapport au but, aussi. Je fais tout un travail aussi en dehors du terrain. Mon père m'a souvent dit : "Tu dois faire la sieste, tu as besoin de beaucoup de repos pour garder ton énergie." Plus jeune, je la gaspillais à des bêtises, comme jouer à la console jusqu'à trois heures du matin. J'ai appris à canaliser mon énergie et la transmettre sur le terrain."

Paul mate les Caennais

28/10 23:08

Titulaire pour ce 1/16 de finale de la Coupe de la Ligue contre le Stade Malherbe de Caen, Paul Baysse (aligné en défense centrale avec un autre ancien Stéphanois, Mathieu Bodmer) s'est qualifié avec Nice (2-1) pour les huitièmes de finale avec un but victorieux dans les dernières minutes du match.

 

 

Le tirage au sort aura lieu le 3 novembre prochain à 12h30, avec notamment l'entrée en lice des clubs européens (PSG, l'OL, l'OM, Monaco, Bordeaux et Saint-Etienne).

Reims coince

28/10 22:30

Auteur d'un bon début de saison (3 victoires lors des 4 premières journées de L1), le Stade de Reims est en nette baisse de régime. Prochain adversaire des Verts (ce samedi à 17h00 dans le Chaudron), le club champenois a concédé ce soir à Dijon sa quatrième défaite consécutive. Olivier Guégan a profité de ce 16e de finale de la Coupe de la Ligue pour faire tourner son équipe et mettre sur le banc plusieurs joueurs habituellement titulaires en championnat : le gardien Johny Placide, le latéral Franck Signorino, le milieu de terrain Frédéric Bulot et les attaquants Nicolas de Préville et Grejohn Kyei.

Alex fort et vert !

28/10 21:36

Comme l'atteste ce sympathique reportage diffusé hier soir dans l'émission J+1 de Canal Plus Sport, Alex a suivi depuis le Brésil le choc qui a opposé avant-hier ses deux anciens clubs français avec une casquette des Verts offerte par Galette !

 

Galtier, fils de...

28/10 20:13

Dans un entretien paru aujourd'hui sur le site Foot33, le potonaute Galette89 explique que son statut de "fils de" lui vaut parfois des insultes. Extraits.

 

"Etre "le fils de", cela ne m’a pas servi. Desservi, je ne sais pas, j’ai des doutes. En tout cas, je remercie mon père sincèrement de ne jamais m’avoir aidé en me pistonnant. Mais par contre, je ne sais pas si des personnes avec qui il était en conflit ne m’ont pas mis des bâtons dans les roues. En portant un nom connu dans le football, je n'ai pas ressenti qu’on attendait plus de moi que d’un autre joueur. Je ne joue pas au même poste où jouait mon père, pas dans les mêmes clubs. Je n’étais pas médiatisé. Après, il est sûr qu’il y a des mauvais côtés. Quand pendant 90 minutes des imbéciles m’insultent sur le terrain sous prétexte que je suis le fils de, c’est agaçant. Cela arrive les trois quarts du temps que j’entende des choses comme cela lors d’un match. Et ce sont des choses qui me touchent. Je ne fais pas du football pour me faire insulter.

 

Plus jeune, je vivais bien le fait d’être le fils d’un footballeur professionnel car mon père est quelqu’un de bien. Il a aussi une bonne image. Ce n’est donc pas compliqué d’être le fils de Christophe Galtier. Là où c’est difficile, c’est que je suis un peu parano dans mes relations. J’avais et j’ai toujours peur qu’on me parle ou m’apprécie car ils aiment bien mon père. Je craignais qu’il y ait aussi un peu de jalousie. C’est pour cela que je suis souvent fermé et que je peux paraître hautain. Tous les médias qui sont susceptibles de critiquer mon père, je les évite. Je suis trop touché et je prends trop à cœur ce qui peut être dit. J’essaie de ne pas trop regarder les réseaux sociaux aussi. Les seules émissions que je regarde c’est Jour de Foot car il n’y a pas de critique et J+1 car ils me font rire. Pour le reste, je ne veux plus savoir ce qui est dit sur lui. J’accepte les critiques mais très souvent, ce sont des propos polémiques, qui sont blessants.

 

Mon père m'avais dit : "Tu travailles, tu te tais, tu fais pas ta tête de con, le coach n’a pas à se justifier, c’est à toi de travailler." Mon père avait raison. Cette phrase était sensée car il n’allait pas à l’encontre des choix de l’entraineur. Il ne m’a pas fait miroiter quelque chose. Cette phrase m’avait fait à l’époque beaucoup de mal, elle reste en moi. Il m’avait aussi dit "en travaillant, tu auras peut-être ta chance d’y arriver. Si tu ne travailles pas, tu n’y arriveras pas". C’est pour cette raison que je ne suis jamais allé pleurer lorsque les entraineurs faisaient le choix de ne pas me mettre dans le groupe. Il m’avait dit ça quand j’avais 18 ans. C’est une phrase bienveillante. J’aimerais que beaucoup de parents s’en inspirent plutôt que de conforter leurs enfants en leur disant que ce sont les plus forts. Je le dis souvent aux jeunes que j’entraine. Ils ont du mal à y croire. Cette phrase était juste parfaite.

 

Devenir adjoint de mon père ? Si jamais, il me le demande, nous en discuterions. Je veux être pris pour mes qualités et je ne veux l’être que si c’est légitime et non pas car je suis le fils de… Je ne vais pas faire l’hypocrite mais cela me plairait vraiment. Mais pour le moment, je préfère travailler de mon côté. Je suis un anxieux dans la vie alors je ne le ferai pas si je sens que je n’ai pas le niveau et la compétence. Cela me donne une voie pour travailler. Il serait en tout cas plaisant pour moi de travailler pour un club comme Saint-Etienne mais ce n’est pas dans l’air du temps."

Crémillieux dans les Bleus (4)

28/10 19:54

Deuxième match en équipe de France U16 et deuxième clean sheet pour Nathan Crémillieux ! Impérial contre le Pays de Galles le 24 septembre dernier, le prometteur gardien des U17 nationaux de l'ASSE a été intraitable hier à Vitry-sur-Seine contre les Pays-Bas lors de l'entrée en lice des petits Bleus au Tournoi du Val-de-Marne.

 

Auteur d'une bonne prestation, le natif de Guilherand-Granges a effectué un arrêt important en première mi-temps avant de montrer ses qualités dans les sorties aériennes, la gestion de la profondeur, les prises de balle et le jeu au pied. Vainqueurs 1-0, les Français affronteront le Japon ce jeudi à 16h00 au Plessis-Trévise.

Un nouveau sponsor sur le short

28/10 14:50

Vous l'avez peut-être remarqué dimanche soir au Parc des Princes, les joueurs de l'ASSE avaient un nouveau sponsor sur l'avant gauche du short. Il s'agit d'Investing Area, créée en 2009, qui accompagne les traders dans leurs opérations et conseille de nombreux cabinets d’affaires dans le monde. La société sera également présente sur les panneaux LED (autour du terrain) dès samedi face à Reims. Elle s'est engagée pour deux saisons comme partenaire officiel du club.

Dans un communiqué, Tamar Schoppik, directrice générale de Capital Media, agence marketing d’Investing Area, a commenté ce nouveau partenariat : « Nous avons choisi l’AS St-Etienne pour notre premier investissement dans le sport. C’est un club historique du football français mais aussi un club ambitieux. Partager la ferveur des supporters dans cette nouvelle expérience de marque est unique ».

Mouss a les adducteurs qui sifflent

28/10 07:11

Dans le journal sénégalais Le Quotidien, Moustapha Bayal Sall est revenu hier sur sa blessure aux adducteurs avant d'évoquer son avenir en club et en sélection. Extraits.

 

"Nous n’avons pas démérité contre Paris. Nous avons réussi à avoir des occasions. On avait cette envie de faire un bon résultat au Parc. Mais bon, ce n’est pas facile de venir prendre des points chez eux. Je suis sorti par précaution pour une douleur aux adducteurs. Au cours d’une action de jeu où je devais couvrir sur le côté, j’ai ressenti une douleur. Au début, j’ai senti qu’au niveau des adducteurs, c’était un peu tendu. Mais j’ai pensé que ça allait passer, car il faisait un peu froid. J’ai fait des accélérations et sur la dernière, j’ai senti que ça n’allait pas. Je n’ai pas voulu prendre de risques. Alors, j’ai demandé à sortir.

 

C’est un peu inquiétant, parce que je n’arrivais pas à lever ma jambe et courir plus vite. Il fallait sortir pour ne pas pénaliser mes coéquipiers. Je ne voulais pas prendre trop de risques et j’ai demandé un changement. Je ne voulais pas que ce qui s’est passé la saison dernière se répète. Je ne voulais pas aggraver les choses et avoir une blessure qui m’empêcherait de jouer le reste de la saison. La saison dernière, j’avais forcé à tel point que ça m’a grillé une partie de ma saison.

 

J’avais des douleurs au niveau des adducteurs avant le match contre Paris. En milieu de semaine, c’était plus compliqué. J’ai revu le médecin, car j’avais toujours mal. J’ai fait un examen radio, après je me suis rendu compte que ce n’était pas une blessure grave. J’ai pensé que j’avais un claquage. Je viens de voir le médecin dans les vestiaires, il m’a dit qu’on va suivre l’évolution. Pour l’instant, ça va. Je n’ai plus de douleurs. On verra comment ça va évoluer dans les prochains jours.

 

Jusque-là, je suis satisfait de ma saison, même si tout n’a pas été parfait. Je me sens bien à Saint-Etienne. Je suis heureux ici. Je me sens comme chez moi. C’est un club fantastique. Et je n’ai pas l’intention de quitter le club même s’il ne me reste qu’un an de contrat. Je compte aller au bout de mon contrat. Après, je vais réfléchir à mon avenir. On ne sait jamais ce qui va se passer, mais pour le moment je suis un joueur de l’AS Saint-Etienne.

 

L’état d’esprit est excellent. Je suis très content pour l’équipe et pour tous les supporters. C’est extraordinaire de côtoyer des joueurs qui se donnent à fond. Je m’entends très bien avec le staff et les dirigeants du club. A Saint-Etienne, j’ai réussi à prouver que je pouvais aller loin, au bout de l’effort. Mon avantage est que je me suis bien entendu avec beaucoup de gens ici. Je veux tout donner cette saison à mon club de cœur. J’ai encore envie de bien jouer et de me battre chaque match. Nous allons essayer de faire mieux que la saison passée.

 

Rejoindre l’Equipe nationale est toujours un honneur pour moi. Si le coach Aliou Cissé a besoin de moi, je serai là. Je n’ai aucun contact avec lui Mais dès qu’il fera appel à moi, je répondrai présent. Je suis un footballeur donc j’ai envie de jouer encore pour mon pays. J’aime mon pays. Mais l’Equipe nationale n’est évidemment pas une fixation. Pour l’instant, je continue à travailler. Je me consacre à mes objectifs en club. La sélection viendra un jour peut-être. Je reste disponible. Le Sénégal peut toujours compter sur moi."

Jérémy s'est remis

28/10 06:45

Un mois jour pour jour après sa blessure à la cuisse contractée lors de la déroute face à Nice, Jérémy Clément a repris hier l'entraînement collectif selon la dernière édition du Progrès. Le milieu défensif devrait donc faire son retour dans le groupe stéphanois à l'occasion de la réception du Stade de Reims, ce samedi à 17h00.

Faouzi talonne Rudi

27/10 22:17

La Roma de Rudi Garcia a pris la tête de la Série A avant-hier grâce à sa victoire 2-1 sur le terrain du précédent leader (Fiorentina). Vainqueur 1-0 sur le terrain du Chievo Vérone grâce à la passe décisive de Faouzi Ghoulam pour Gonzalo Higuain, le Napoli a profité de cette 9e journée pour se hisser à la 2e place du classement.

 

Robby et les "cadets"

27/10 21:55

Dans sa dernière chronique, Robert Herbin revient sur la déroute stéphanoise au Parc face au PSG et compare nos Verts à de gentils "cadets"... Extrait :

 

"Après le premier but, j’ai eu l’impression qu’ensuite, il y a eu une forme de tétanisation, le début d’une soumission à l’adversaire, une acceptation de sa supériorité. On était dans l’affolement, un peu perdu. On a été déboussolé dès le début et après, ce fut un match à sens unique. J’ai vu une équipe stéphanoise qui n’est jamais arrivée à se décomplexer et à poser des problèmes au PSG. Parfois, j’avais l’impression de voir des cadets contre des seniors."


Patrice tout puissant ! (3)

27/10 21:44

France Football a publié aujourd'hui une interview de l'ancien capitaine stéphanois Patrice Carteron, entraîneur du Tout Puissant Mazembe depuis mai 2013, qui affrontera l'USM Alger les 31 octobre et 8 novembre prochains en finale de Ligue des Champions d'Afrique. Extraits.

 

"Hormis les grands clubs sud-africains, égyptiens et certains au Maghreb, il en existe peu aussi bien structurés en Afrique. On dispose de deux cliniques, une au stade et l'autre en ville, près de notre salle de sport. Pour nos déplacements, on voyage dans un avion privé du club doté de 160 places. On est des privilégiés ! Le président Moïse Katumbi est un passionné, présent au quotidien, qui assiste aux entraînements. On est très complices. Il est intelligent, charismatique, et n'hésite pas à jouer au bon flic ou au mauvais flic parfois. Et il est très proche des joueurs.

 

Ici, quand l'équipe ne gagne pas un titre, la saison est râpée ! Quand j'ai signé, l'équipe était en fin de cycle. Il a fallu gérer les départs de certains joueurs et rebâtir. Au TMP on n'a pas le temps, la pression est énorme et l'engouement considérable. C'est comparable à ce qu'on vit dans un grand club en Europe. Du coup, je suis assez fier d'entraîner dans un tel contexte. C'est ma troisième saison, et c'est en soi un petit exploit ! Depuis mon arrivée, nous avons un parcours quasiment sans faute dans notre nouveau stade de Kamalondo : 21 victoires et 1 nul !

 

Ce qu'on vit dans le stade du Tout Puissant, je ne l'ai ressenti qu'à Anfield, à Liverpool. Il y a une intensité émotionnelle, presque spirituelle, qui donne un supplément d'âme aux joueurs. Dans mon équipe se côtoient des Congolais bien sûr mais aussi des Zambiens, des Maliens, des Ivoiriens, des Ghanéens et des Tanzaniens. J'aime cette diversité. Même si l'USM Alger réalise un parcours remarquable, la Ligue des Champions est l'objectif majeur de notre saison."

Coupet étonné par les résignés

27/10 07:43

Dans la Pravda du jour, Grégory Coupet revient à son tour sur la nouvelle déculottée des Verts à Paris.

 

"Contre le PSG, j'ai l'impression que les joueurs des autres équipes sont résignés sur le terrain. Par exemple dimanche, pour PSG-Sainté, on essaye d'en faire une affiche, mais... Dès la mi-temps, dans les commentaires, on sent bien que les mecs veulent éviter de prendre une valise. J'ai l'impression qu'aujourd'hui les dirigeants de clubs de L1, le week-end où ils jouent contre le PSG, ne prévoient pas de prendre trois points. Ni même un point, d'ailleurs. C'est une forme de découragement. On a l'impression que toutes les équipes qui affrontent le PSG se disent : "Bon, on va faire ce qu'on peut." Tout le monde s'est fait à cette idée. C'est étonnant."

 

 

Papy parle de Paris

27/10 07:02

Fabien Lemoine revient sur la lourde défaite des Verts au Parc dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

 

"Quand ils mettent autant d’intensité et une grosse détermination, comme ils l’ont eu sur la première période, il y a un gros écart entre eux et nous. Ça, c’est une évidence. En deuxième période, on a peut-être un peu plus osé mais eux aussi, inconsciemment, ont levé le pied. Il y a un très gros écart entre les joueurs du Paris Saint-Germain et nous. D’entrée, ils ont pris le ballon et on n’a jamais vraiment réussi à être sur eux, dans les duels. Ils se déplacent hyper bien. Ils ont une grosse intelligence de jeu. Ils se sont mis dans des zones où nous n’étions pas. Ils trouvent toujours la passe juste, les décalages.

 

Notre prestation n’est pas forcément liée à la fatigue. On a vu en seconde période que nous avons eu un peu plus le ballon. On s’est créé des occasions, on a tiré au but. Après, on s’est fait la réflexion au vestiaire à l’issue du match: dès que vous avez une situation offensive, si vous perdez le ballon à 25 mètres de leur but, c’est contre-attaque direct. Ça va à 2 000 à l’heure et c’est occase pour eux ! En plus, avec leur possession de balle, on n’a fait que courir. On était programmé pour cela. Mais c’est difficile. Dès qu’il y avait un placement approximatif de notre part, un joueur parisien était dans cette zone-là.

 

Lorsque le score était 2 à 0, on s’est dit qu’il fallait jouer notre va-tout, les presser. Mais même quand on les presse, ils ne paniquent pas, relancent. Ils font preuve d’une très grande maîtrise, jouent vraiment un très beau football. Je  trouve qu’ils sont encore plus rodés que la saison passée. S’ils jouent à leur niveau, ils peuvent être champions dès le mois de mars. Le PSG peut devenir un genre de Bayern de Munich qui gagne chaque week-end en Allemagne. S’ils jouent le jeu, sont déterminés et concentrés comme ils l’ont été ce soir, ils peuvent finir la saison invaincus."

Boghossian a failli être vert

27/10 06:43

Dans France Football à paraître demain, le champion du monde 1998 Alain Boghossian explique qu'il a failli succéder à Laurent Roussey sur le banc stéphanois il y a huit ans.

 

"J'ai été major de ma promotion lors de l'obtention en 2006 du DEPF en devançant dix-huit stagiaires dont Laurent Blanc, Patrice Garande et Thierry Laurey. Etre major est un plus dans le CV, pas une garantie, la preuve ! Il faudrait que je me vende un peu plus. Je ne tape pas aux portes. Et comme sur la place médiatique je n'ai pas d'agent qui travaille pour moi... J'ai déjà eu des contacts avec Sochaux, Saint-Etienne, Marseille ou Créteil il y a peu.

 

La proposition de Saint-Etienne, c'était du sérieux. En 2007, le club avait connu un mauvais début de saison. Les Verts étaient quatorzièmes ou quinzièmes après avoir concédé sept défaites en douze matches. J'ai été convoqué en milieu de semaine. On m'a assuré que je serai le coach le samedi soir en cas de défaite. Saint-Etienne a gagné et n'a plus arrêté, terminant à la cinquième place ! J'ai évolué et je ne veux pas reprendre de club en cours de saison."

 

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