So long, Galette

31/03 09:54


Image

 

Le mensuel So Foot publie aujourd'hui une longue et passionnante interview de Christophe Galtier. Extraits.

 

"Pour moi, il n'y a rien de plus important que l'humain, ce qui est contradictoire par rapport à l'image que je pouvais renvoyer en tant que joueur. Un  jour, je me suis demandé comment je pouvais faire pour essayer de changer mon image. On m'a conseillé de ne rien faire, ça ne servait à rien. La relation humaine est primordiale. J'existe car j'ai 25 gars avec moi dans le vestiaire. Et avant d'être des footballeurs, ce sont des hommes. Si ma relation avec les joueurs n'était qu'une relation entraînés-entraineur, j'aurais du mal, je ne serais pas épanoui.

 

Je n'ai jamais voulu être numéro un. Je ne pensais pas qu'un coach pouvait avoir des relations fortes avec ses joueurs. On a été formaté avec ce truc qu'il faut de l'autorité et de la distance avec eux, mais c'est faux. Si vous me donnez une matraque ou un fouet, je ne saurai pas faire, ce n'est pas mon truc. En tant qu'adjoint, j'avais une certaine liberté dans ma relation avec les joueurs et je pensais que les entraîneurs ne pouvaient pas l'avoir.

 

J'étais une éponge avec les joueurs. Les joueurs pouvaient me dire ce qu'ils voulaient. Si ça te faisait du bien de me dire que l'entraîneur était un enculé, vas-y, lâche-toi, tu peux me le dire à moi. Aujourd'hui je vais chez les joueurs quand il y a un souci. Et si ce n'est pas à lui que je parle, c'est à son épouse. Mais derrière, je suis hyper exigeant. Je l'ai fait pendant onze ans comme adjoint. Après, les circonstances ont fait que j'ai pris la succession d'Alain Perrin.

 

Quand j'accepte la mission, je ne suis absolument pas lucide sur les conséquences que pourrait avoir un échec. En plus, je remplace un entraîneur qui m'a pris pour l'adjoint pendant des années, avec tous les fantasmes que ça peut créer. Mais tout est clair avec Alain. Je lui ai dit : "Je pense qu'ils vont me proposer le poste." Il me répond : "Si c'est le cas, il faut y aller." Il part en rendez-vous avec  les dirigeants, et en revenant il me dit : "C'est fini pour moi, mais s'ils te proposent l'équipe, il faut que tu la prennes."

 

La seconde place, même sans compétition européenne, je ne peux pas la garantir. Sinon, c'est que je suis fou. Après, je pense que jouer l'Europe tous les ans fait progresser les joueurs, moi, et le club en général. Le souci, c'est qu'on ne peut pas jouer de la même façon en disputant un match tous les trois jours, surtout avec les moyens que l'on a. Il faut peut-être revoir quelque chose chez nous, mais aussi l'organisation de notre championnat.

 

Wenger a dit que quand il était arrivé à Arsenal, il n'avait aucune idée de combien de temps il allait rester. Malgré tout, il a adapté son travail comme s'il allait durer longtemps. Selon moi, si l'on n'est pas dans cet état d'esprit, on ne dure pas longtemps. Ce qui va arriver en fin de saison, je n'en sais rien, mais j'ai toujours en tête d'essayer de voir ce que l'on peut faire pour progresser.

 

Je n'ai plus Bernès comme agent, ça fait un an que l'on n'a pas échangé un mot. Ce n'est absolument pas un signal envoyé à Labrune. Je connais Bernès depuis mes 14 ans, ça n'a rien à voir avec l'OM si on ne se parle plus, ça dépasse le cadre du football. Point. En plus, j'ai prolongé ici sans aucun agent. Je ne suis pas lassé d'être là. Le jour où je partirai d'ici, je serai en larmes. L'ASSE, c'est en moi. Je serai là tant que les dirigeants voudront de moi. Après, est-ce qu'il y a d'autres clubs, d'autres clubs qui pourraient me séduire… Et je ne parle pas d'un projet bling-bling, hein !

 

Un jour, le magazine du club a titré "Christophe Galtier, le bâtisseur". C'est un beau compliment. Me retrouver dans un club qui aurait des difficultés et où il y a des valeurs humaines, de la ferveur, c'est quelque chose qui pourrait m'attirer. Ici, je n'ai pas peur de faire l'année de trop. Une progression, ce n'est pas linéaire : on monte, on stagne, on redescend, pas tout en bas mais un peu, pour avoir le rebond nécessaire pour aller plus haut. Je n'ai pas peur de la régression dans le classement. Parce que cette année, on s'est amélioré en Coupe d'Europe, même si je ne vais pas me cacher derrière ça au moment de faire le bilan.

 

Il faut une profonde réforme dans notre football, il faut qu'on ait plus de moyens. Rendez-vous compte : j'étais sur Gaël Kakuta et il a  préféré signer à Séville, où il savait qu'il n'avait aucune chance de jouer ! Là, il est en Chine, le mec ! Il a 24 ans ! Je ne lui en veux pas, c'est son choix, mais quand j'ai vu ça… Si la Ligue 1 ne peut pas récupérer des garçons de 23 ou 24 ans, que l'ASSE, malgré la promesse d'une campagne européenne et un stade plein n'y arrive pas non plus, je me dis que, putain, on est mort !

 

On a un salary cap et heureusement, sinon le club serait en danger. Si vous vendez les meilleurs, ce n'est pas pour racheter au même prix ou plus cher. Pour compenser, il faut trouver la perle rare ou faire le joueur, mais ça prend du temps.  Le nombre de joueurs qui partent en Angleterre et ne jouent pas, c'est terrible ! Et je ne peux pas les récupérer parce que je ne peux pas assumer leurs salaires. Putain, mais alors on fait quoi ?

 

Sur les stades, avec l'Euro, vous me dites qu'il y a quand même du bon. Mais vous iriez-vous un samedi à 20h00 à Geoffroy-Guichard l'hiver ? Vous êtes allés au nouveau stade de Lyon ? Allez-y, faites vous un kif. Il a refait l'Allemagne ! C'est un stade qui va accueillir une finale de Champions League, je le signe de suite.  A l'OL, une nouvelle génération est arrivée à maturité pile au moment où ils avaient besoin d'argent pour construire le stade. Mais ce n'est pas le fruit du hasard, l'autre c'est un visionnaire de folie !

 

Il y deux ans, j'ai reçu un appel du pied d'un pays du Golfe. Au départ, j'esquive. Ils reviennent, j'esquive encore. Au bout de la troisième fois, je me suis dit : "Bon, on va écouter quand même. " C'est la chose à ne pas faire : l'offre était incroyable. Moi, honnêtement, j'ai vacillé. C'était astronomique. Je me dis : "Jamais je ne vais au Qatar, il y a quoi là-bas ? Des tribunes vides et des mecs avec des cerceaux." Je suis allé à Abu Dhabi avec Alain. Le niveau est… pff… Et puis là, d'un coup, quand tout est posé devant moi, je me dis : "Qu'est-ce qu'il me raconte, il s'est trompé de chiffre." C'était fois six, parce que c'est du net d'impôts, hein ! Mes parents seraient incapables de lire le chiffre, quoi !

 

Roland Romeyer aimerait développer le modèle des socios ? Je ne sais pas bien ce que ça veut dire, je ne me suis pas penché là-dessus. Est-ce que c'est réalisable chez nous ? Je ne sais pas. Ici, c'est l'Angleterre. Pour l'obtention de mon diplôme d'entraîneur, je suis allé faire mon mémoire à Liverpool. Quand je suis arrivé là-bas, j'ai dit : "ici, c'est Saint-Etienne." Mais multiplié par dix en termes de moyens financiers.

 

Quans je suis arrivé à Sainté, fin novembre 2008, il faisait nuit, il neigeait. Le lendemain, tous les terrains du centre d'entraînement étaient remplis de joueurs. Je me suis dit : "Mais c'est l'académie !" J'avais dans la tête ce qui se faisait en Angleterre ou dans les universités américaines et j'ai dit : "Putain, ça pue le foot ici !" Si on veut rivaliser avec ceux qui ont plus de moyens financiers, ça passe par un travail extraordinaire avec la formation. Vous me dites que le problème de la formation, c'est qu'on est vite pillé. Mais Ils ne sont pas pillés à 60 kilomètres d'ici.

 

Ici, financièrement, on ne fait on ne fait pas plus que ce que l'on peut, mais il y a un secteur dans lequel on doit exceller c'est la formation. Et qu'on le veuille ou non, s'il y a un exemple à suivre, c'est celui qui est à 60 kilomètres d'ici. Eux, ils ont cette capacité à les sortir, à les garder, à gagner avec les transférer cher. Les mecs qui sont formés à l'OL mais qui ne passent pas pros font quand même carrière. Ils ont un savoir-faire. Evidemment, ils ont la vitrine des 7 titres d'affilée mais ils sont bons pour les trouver dans les quartiers. Putain, il faut qu'on y aille, pas espionner mais il faut s'en inspirer !

 

Il m'arrive de pleurer et de vomir après certaines défaites parce que je garde beaucoup de choses en moi. Des fois, j'essaie de ne pas laisser transparaître des moments de doute… Je suis tellement investi pour réussir… J'arrive à 8h30 et je pars à 20h00, hein ! A Bâle, je suis fou quand il y a cette fin. C'est long pour l'entraîneur, très long ! Après le coup de sifflet final, il y a une heure où il doit encore être dedans. Il y les médias, le vestiaire, ce qu'il doit renvoyer aux joueurs, aux dirigeants, le bilan médical, plein de trucs.

 

Quand j'ai fini tout ça, je vais prendre une douche, et là je suis en morceaux, mort. C'est sous la douche que me dis que l'Europe, c'est fini. J'y avais mis tellement de choses… Cela s'est joué en une minute. Même après l'expulsion, je sais qu'on va revenir, qu'on à deux minutes à tenir et que ça va être difficile, et ça tombe… Une heure après, je suis dans ma douche, déconfit, accroupi, décomposé, à l'envers… Et dix minutes après, il faut que je sois dans le bus, tout droit."

Bamba out pour le derby

31/03 07:59


Image

 

Jonathan Bamba, qui s'est déchiré le psoas jeudi dernier lors de la victoire de l'équipe de France U20 contre la République Tchèque, est forfait pour le derby de lundi contre le Red Star et ratera également au moins le match suivant selon la dernière édition du Parisien. Décidément, ça ne va pas fort pour les jeunes attaquants stéphanois prêtés en L2 ! Touché aux ischios-jambiers, l'attaquant de l'ETG Dylan Saint-Louis se soigne actuellement à l'Etrat d'après Le Progrès du jour.

Bahebeck a fait le dos rond

31/03 07:35


Image

 

Alors qu'il en avait plein le dos, Jean-Chistophe Bahebeck a comme la veille participé à la séance d'entraînement d'hier contrairement à Franck Tabanou et Nolan Roux, dont le retour sur le terrain est prévu pour aujourd’hui selon Le Progrès. Kévin Monnet-Paquet a reçu un coup sur la cheville en début de semaine mais il devrait être du déplacement samedi à Ajaccio (20h), comme Jérémy Clément qui a fait de la récupération.

 

Christophe Galtier, qui a longuement échangé avec Ronaël Pierre-Gabriel suite à son agression à Sens, devrait selon le quotidien régional retrouver tous ses internationaux aujourd’hui : Florentin Pogba, Oussama Tannane, Ole Selnaes et Alexander Söderlund. Suspendu à Ajaccio, Moustapha Bayal Sall, qui avait bénéficié de quelques jours de repos supplémentaires en famille au Sénégal, était attendu hier en fin de matinée.

150 supporters stéphanois à Mezzavia !

31/03 07:14


Image

 

Selon la dernière édition de la Pravda, environ 150 supporters des Verts pourront se rendre à Ajaccio après-demain. Les pouvoirs publics ont accepté, après plusieurs jours de réflexion, d'autoriser leur déplacement à condition qu'ils soient encadrés par l'ASSE. "L'interdiction demeure une mesure exceptionnelle et non pérenne" confie le commissaire Antoine Boutonnet, patron de la Division nationale de lutte contre le hoolignisme. "Je préconise régulièrement les déplacements encadrés plutôt que els interdictions."

Briant n'a pas assez brillé

30/03 18:37


Image

 

Ancienne doublure de Fabien Barthez au FC Nantes et actuel buteur président du FC Odet (Finistère), Vincent Briant explique pourquoi il n'a percé chez les pros dans un entretien paru aujourd'hui sur le site de So Foot.

 

"Je n’ai pas joué tant de matchs que ça, donc sur le peu de temps de jeu que j’ai eu, il y a des rencontres où je n’ai pas fait les bons arrêts au bon moment. Un arrêt qui fait qu’on se souvient de toi, quoi ! Je pense notamment à un match contre Saint-Étienne avec Nantes à la Beaujoire, où ils égalisent à quelques secondes de la fin du match. [ndp2 : 2-2, le 11 novembre 2006] On mène 2-1 et Sainté obtient un corner dans le temps additionnel. Jérémie Janot monte dans la surface, touche deux fois le ballons, il y a un cafouillage et finalement ils marquent. La balle passe à deux centimètres de mon pied. Si je fais cet arrêt, on gagne et on reste dans la course au maintien."

 

L'occasion de revoir cette égalisation miraculeuse à la 93e minute signée Vincent Hognon !

 

Chaumier n'a pas chômé

30/03 10:05

Ancien directeur de la rédaction de France Football, Denis Chaumier nous informe que son livre anniversaire des Verts "Glasgow 1976" (éd. Hugo Sport), préfacé par Nanard et Roro, sera dans toutes les bonnes librairies dès le 7 avril.


Image

 

Quarante ans après, les poteaux carrés font toujours parler et écrire ! Yves Jean leur a consacré un ouvrage préfacé par l'Ange Vert paru le 24 mars dernier aux éditions Mareuil.

 

Image

En équilibre

30/03 08:55


Image

 

La Pravda a divulgué aujourd'hui un classement des comptes des clubs au 30 juin 2015 établi par la DNCG. Les Verts sont en équilibre, les vilains sont les plus déséquilibrés de l'élite.

 

1. QSG : +10,6 M€ de bénéfices

2. MHSC : +2,1 M€

3. OGC Nice et LOSC : +0,9 M€

5. EAG : +0,5 M€

6. ASSE, Reims, Nantes, Monaco, ETG : 0

11. Caen : -0,2 M€

12. Bastia : -1,2 M€

13. Metz : -1,5 M€

14. Lorient : -1,6 M€

15. TFC : -2,4 M€

16. OM : -3,8 M€

17. Lens : -10,1 M€

18. Bordeaux : -13,4 M€

19. Rennes : -15,8 M€

20. Vilains : -21,4 M€

Maxou cartonne à Khartoum

30/03 08:34


Image

 

Grâce à leur petit poulet d'Abidjan, les Eléphants ont fait match nul 1-1 face aux Crocodiles du Nil (Soudan) hier soir à Khartoum. Max Gradel a en effet marqué d'une frappe croisée du droit son 9e but en sélection.

 

 

L'attaquant de Bournemouth accueillera le Gabon de son ancien coéquipier stéphanois Pierre-Emerick Aubameyang en juin prochain et devrait le retrouver chez lui l'hiver prochain pour la CAN 2017, les Eléphants étant en ballottage favorable pour la qualification.

Holà Ole et Alex ! (3)

30/03 08:04


Image

 

La Norvège a battu la Finlande 2-0 hier soir à Oslo. Comme lors de leur précédent match nul jeudi dernier en Estonie, Alexander Söderlund et Ole Selnes ont démarré ce match amical sur le banc. Le premier a joué l'intégralité de la seconde période, le second est entré en jeu à la 79e minute. Ils ne sont pas impliqués sur les deux buts marqués après la pause.

 

Ilan fan de Tannane

30/03 07:48


Image

 

Consultant dans l'émission "Club ASSE" sur TL7, Ilan parle des deux recrues offensives du dernier mercato hivernal dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

 

"On voit qu'Oussama Tannane est un technicien. C’est une très bonne arrivée. Il a montré son talent déjà. Alexander Söderlund a peut-être besoin d’un temps d’adaptation un peu plus long. Passer du championnat norvégien à la Ligue 1, ça change beaucoup. La L1 est pour moi l’un des deux championnats les plus difficiles au monde. Tout va plus vite. C’est plus tactique, plus défensif. Il y a pas mal de joueurs africains qui ont une grosse puissance physique. Pour un attaquant qui n’y est pas habitué, ça peut être embêtant."

Kevin et Aurélien ont battu les vilains

30/03 00:44


Deux anciens verts, Kevin M'Bongo (4ème à partir de la gauche 2ème rang) et Aurélien Javelle (avant dernier en partant de la gauche 1er rang) jouent désormais dans l'équipe des U17 Nationaux du Puy. Mais ils ont sûrement encore l'âme verte puisque samedi dernier, ils ont tout donné avec leurs coéquipiers ponots et se sont permis de l'emporter plus largement que ne l'indique le score (1-2) à Gerland devant les petits vilains.

Souhaitons qu'ils en fassent de même samedi 2 avril puisqu'ils se rendent chez le leader auxerrois derrière lequel courent les poulains de Lionel Vaillant et Gilles Rodriguez.

Aurélien Javelle, latéral gauche ou droit repositionné aujourd'hui en milieu de terrain,  faisait partie de l'équipe U15 Elite de Philippe Guillemet qui avait conquis le titre régional en 2014, devant ......les vilains.

Payet à la fête

29/03 23:15

Deux minutes après son entrée en jeu, Dimitri Payet a marqué le soir de ses 29 ans de 29 mètres le troisième but de la victoire (4-2) des Bleus contre la Russie d'un magnifique coup franc.
Son coéquipier Lloris, lui, savait pourtant qu'il faut se méfier des coup-francs directs de Dimitri...

 

Pour rappel, l'ancien attaquant stéphanois avait déjà marqué sous le maillot bleu, le 7 juin 2015 contre la Belgique.

Tannane en panne qualifié pour la CAN

29/03 22:57

Alors qu'il s'était battu comme un Lion au match aller, Oussama Tannane a été très discret ce soir à Marrakech face au Cap Vert. Aligné au poste d'ailier droit avec un nouveau numéro (2), l'attaquant stéphanois s'est uniquement signalé par un coup franc lointain à la 8e minute sans danger pour le portier adverse. Il a été remplacé à la pause par Hervé Renard alors que le score était nul et vierge. Les Lions de l'Atlas, qui ont une nouvelle fois battu les Requins Bleus grâce à un doublé de Youssef El Arabi, se sont donc qualifiés pour la CAN 2017 qui se déroulera au Gabon du 21 janvier au 12 février 2017.

Allez Oussama, faudra retrouver du gaz pour éteindre le Gaz samedi !

Revelli ne chôme pas (3)

29/03 21:55


Image

 

Travaillant depuis janvier 2015 au service insertion de la Ville de Saint-Etienne afin de faciliter l'accompagnement du retour à l’emploi de chômeurs, Hervé Revelli avait parlé de ses nouvelles missions dans la Pravda du 18 mars 2015. L'ancien attaquant des Verts a eu ce soir les honneurs du 20h00 de France 2 !

 

One, two, three, viva Faouzi !

29/03 21:25


Image

 

Dans un scénario digne d'un 15 août 1999 au Vélodrome, l'Algérie a fait match nul 3-3 en Ethiopie en recollant à chaque fois au score. Auteur de son 5e pion en sélection, Faouzi Ghoulam a transformé avec calme et autorité le pénalty de la 85e minute. Les Fennecs devront attendre la réception des Seychelles en juin prochain pour se qualifier pour la CAN 2017.

 

En prison, le vilain !

29/03 18:33

France Bleu l'avait annoncé dans l'après-midi, France Football le relaye sur son site internet : le supporter des vilains qui avait violemment agressé en réunion un fan de l'ASSE devant son lieu de travail, le 7 septembre 2013 à Veauche (42), va passer par la case prison.

Malgré les 8 mois de prison ferme (dont 4 avec sursis) requis à son encontre, le tribunal correctionnel de Saint-Étienne a tenu à alourdir la peine en déclarant l'accusé coupable et en le condamnant à un an de prison ferme (dont 6 mois avec sursis).
"Je suis satisfait de cette décision car il était important pour mon client que le principe de culpabilité ait été reconnu", a déclaré Me Laurent Vérilhac, l'avocat de la victime.

Le condamné était la seule personne identifiée parmi les agresseurs ayant participé au passage à tabac de la victime.

Pogba éteint les Flammes (2)

29/03 17:29

Il y avait le feu pour Luis Fernandez, qui aurait été débarqué en cas de mauvais résultats. Mais La Guinée s'est imposée 2-1 au Malawi cet après-midi. Titulaire comme au match aller face aux Flammes, Florentin Pogba a disputé l'intégraité de cette rencontre des éliminatoires de la CAN 2017. Auteur d'une prestation correcte même s'il a été un brin passif sur l'ouverture du score des locaux, le défenseur stéphanois caresse encore l'espoir d'être au Gabon d'Aubameyang l'hiver prochain. Le Syli National remonte en effet à la troisième place de son groupe, à égalité de points avec le deuxième (Swaziland), qu'il défiera le 3 juin à Lobamba (Jonathan, tu réponds ?) et à trois points du leader (Zimbabwe), qu'il accueillera le 2 septembre lors de la dernière journée.

 

Matuidi comme Tigana ?

29/03 16:33

C'est par cette comparaison flatteuse que Christophe Galtier a jugé la progression de Blaise Matuidi dans un article du Progrès paru ce jour: "Il joue libéré. Il a toujours ses tentacules pour récupérer le ballon. Il a la capacité d’accélérer quand plus personne ne le fait comme en fin de match, où il marque. Contre les Pays-Bas, il m’a fait penser à Jean Tigana qui s’arrache pour donner le ballon à Platini en demi-finale de l’Euro 1984 face au Portugal (3-2)"

 

Rappellons que Galette a eu Blaise sous ses ordres en tant qu'entraîneur-adjoint puis entraîneur de l'ASSE pendant 2 saisons et demi (2008 à 2011).

 

Pour rappel ou pour les plus jeunes: le fameux France - Portugal en question:

 

RFI plonge dans le Chaudron

29/03 10:26


Image

 

Inaugurant une série sur les villes qui accueillent l'Euro, Radio France Internationale a diffusé ce matin un reportage de 20 minutes "Ici c'est le Chaudron" à (ré)écouter sur le site de la radio.

Panov épatant hépatique

29/03 09:39
Image

 

Alors que la Russie s'apprête à faire son retour dans l'enceinte dyonisienne pour affronter la bande à Dimitri Payet et Blaise Matuidi, Alexander Panov (40 ans) se remémore sur le site de la FIFA le doublé qu'il a réalisé au Stade de France le 5 juin 1999.

 

 

"Ce match a donné de l’espoir aux gens. Nous avions pris l’habitude d’être déçus par l’équipe nationale. Notre déplacement à Paris ne s’annonçait pas bien. Personnellement, je ne pensais pas à la victoire. J’étais déjà content d’affronter des champions du monde pour la première fois ! Quand je suis triste et que j’ai besoin de me remonter le moral, je regarde la cassette du match. Ça me fait tout de suite un bien fou ! Alors que nous allions entrer sur le terrain, Desailly m’a pris la main, comme si j’étais un enfant qui devait l’accompagner. Je l’ai repoussé et je lui ai dit que j’étais joueur professionnel, pas un enfant ! Je crois qu’il ne s’y attendait pas. Il avait l’air un peu surpris.

 

Ce match, c’était ma finale de Coupe du Monde. Je me suis rappelé de ma jeunesse compliquée et de ma recherche du bonheur à travers le sport. Tout le monde n’a pas la chance d’entrer sur la pelouse du Stade de France pour défier les champions du monde. On vit rarement autant d’émotions sur toute une carrière, alors sur un match… Il y a eu de la joie quand nous avons ouvert le score, de la déception quand ils ont mené 2:1, de nouveau de la joie quand nous sommes revenus à 2:2 et de l’euphorie quand nous avons repris l’avantage. Tous les gens que je croise me parlent de ce match.

 

Dix jours auparavant, je m'étais déjà illustré en marquant pour le Zénit en finale de la Coupe de Russie. Courtisé par plusieurs formations, j'ai finalement signé à Saint-Étienne mais je n'y suis resté qu’une saison. J’étais bien là-bas. L’entraîneur me faisait confiance et il me titularisait souvent. Mais j’avais du mal car le niveau de jeu en Russie n’avait rien à avoir avec ce qui se faisait en France. Ensuite, un autre entraîneur est arrivé et j’ai fait l’objet de nombreuses critiques. Parallèlement, j’ai connu quelques soucis de santé.”

 

Au cours du long entretien qu'il nous avait accordé en février 2010, Alain Bompard avait évoqué les problèmes du petit attaquant russe, qui n'aura claqué qu'un petit pion (à Toulouse) lors de ses 16 matches officiels sous le maillot vert.

 

"Panov, ça reste un mystère pour moi. On est allé le voir avec Gérard Soler et Robert Nouzaret. On était tous les trois impliqués. On l'a vu jouer deux fois à Saint-Petersbourg. C'était un garçon exceptionnel qui avait marqué deux buts avec la Russie contre les Bleus au Stade de France. A chaque fois que nous l'avions visionné, il avait fait preuve de performances authentiques. Il avait été épatant lors du match amical contre l'Ajax qu'on avait gagné 5-2. Tout le monde avait dit: "C'est Speedy Gonzalez, c'est fou, quel joueur !" Tout le monde était du même avis.

 

Un mois plus tard, je vais à l'entraînement, et je trouve ce garçon lent, trainaillant, les yeux rouges. Je m'inquiète. Je vais voir le médecin. Je lui dis : "Ecoute, est-ce que ce garçon ne boit pas un petit peu d'alcool, je trouve qu'il a changé dans son comportement, il est moins efficace. Est-ce que vous avez fait les prises de sang nécessaires ?" On me répond : "Ah ben non car il fallait signer vite le contrat !" J'ai donc demandé à ce qu'on les fasse et là on a découvert qu'il avait l'hépatite A et l'hépatite B..."

Bahebeck en a plein le dos

29/03 08:31


Image

 

Le Progrès du jour nous donne quelques nouvelles sur l'état des troupes à quatre jour du déplacement à Ajaccio. On apprend que Loïc Perrin et Renaud Cohade ont participé à l'intégralité de la séance d'entraînement d'hier. Plusieurs joueurs manquaient à l'appel: Nolan Roux (douleur musculaire sans gravité), Jean-Christophe Bahebeck (mal au dos), Romain Hamouma (mollet) François Clerc et Moustapha Bayal Sall (suspendu contre le Gazelec et en vacances au Sénégal).

Pogum Beric ! (5)

29/03 08:16


Image

 

Selon la dernière édition du Progrès, Robert Beric impressionne le staff technique et médical par sa volonté de revenir au premier plan. "On dirait qu’il couche à l’Etrat, tellement il est là souvent !" s'étonne un proche du club. Pour rappel, l'attaquant slovène court et retouche le ballon depuis le 15 mars, comme il l’a encore fait hier matin lors de sa séance d’entraînement individualisée.

 

Le numéro 27 de l'ASSE espère toujours jouer les deux ou trois derniers matches de la saison. Son entraîneur, s'il reste prudent, n'écarte pas complètement cette possibilité: "Un éventuel retour de Beric ? Reposez-moi la question dans quelque temps… J'ai surtout en tête de le récupérer en pleine forme la saison prochaine."

Les U14 tombent sous le Sens !

28/03 21:37


Image

 

Entraîneur des U14 de l'ASSE, Philippe Durieu a expliqué à France 3 Bourgogne que la participation de son équipe au Tournoi Sans Frontière organisé ce week-end pascal (Françoise ? Despeyroux ? Feindouno ?) tombait sous le Sens, malgré l'agression dont a été victime RPG dimanche dernier.

 

 

Les petits Verts ont terminé à la 10e place (sur 20 équipes) ce tournoi très relevé remporté aux tirs au but par Bordeaux contre la Juve.

 

Lors de la première phase, les Stéphanois ont commencé par deux matches nuls et vierges contre le LOSC et le FC Metz avant de battre Toronto 2-0 (buts de Maxence Rivéra et Marvin Tshibuabua) .

 

Les Verts ont débuté la deuxième phase par une sévère défaite (0-3) contre Rennes alors qu'ils se sont procurés de nombreuses occasions. Sans démériter, ils ont concédé un nouveau revers (0-2) synonyme d'élimination contre le QSG.

 

En matches de classement, l'ASSE a battu Nancy 2-0 (buts de Marvin Tshibuabua et Gaël Nzombi) avant de terminer le tournoi par une défaite (1-2) face au Servette de Genève (but de Marvin Tshibuabua).

 

Cette compétition a permis à plusiuers recrues de faire leurs débuts sous la maillot vert : Saidou Sow, Yanis Lhéry, Lucas Gourna ou encore Maxence Compagnon.

Charles perd en finale

28/03 20:55


Image

 

Les Etats-Unis ont battu l'équipe de France 3-2 en fin d'après-midi au tournoi U16 de Montaigu. Entré en jeu à un quart d'heure du coup de sifflet final, l'attaquant des U17 stéphanois Charles Abi a eu hélas très peu de ballons exploitables à se mettre sous le pied.

L'Allemagne gagne contre Ronaël et Rayan

28/03 19:02


Image

 

Après avoir joué le dernier quart d'heure de la première confrontation U18 Allemagne-France jeudi dernier (0-0), Ronaël-Pierre Gabriel et Rayan Souici (photo) étaient titulaires cet après-midi lors de la seconde, qui s'est ponctuée par une lourde défaite (1-4). A la peine mais pas blessé, le premier a été remplacé à la pause alors que les Bleus étaient menés 2-0. Titularisé en charnière centrale, le second a joué l'intégralité de la rencontre. Il est à l'origine de l'unique but tricolore grâce à son jeu long.

Fusillé par Nanard, Max fut revanchard

28/03 09:54
Image

 

Dans la dernière édition de So Foot Le Club, Max Gradel revient sur ses vertes années, marquées par son but victorieux en banlieue. Extraits.

 

"A la base, je devais aller jouer à Sochaux. J'étais en Suisse pour un match avec les Eléphants. A ce moment, un agent est venu me voir à la dernière minute pour me dire que Saint-Etienne me voulait. Sans manquer de respect à Sochaux, en matière de supporters ou de palmarès, Saint-Etienne, ce n'était pas la même chose. Je n'ai pas hésité. Il n'y avait pas à réfléchir.

 

J'ai vécu quatre belles saisons à l'ASSE. Mon plus beau moment, c'est ce but à Gerland en mars 2014. Je marque ce but de la victoire sur un mauvais renvoi d'Anthony Lopes !  Après le match, le coach a eu des mots forts dans le vestiaire. Il a dit qu'il avait été injuste avec moi, qu'il ne m'avait pas considéré à ma juste valeur, qu'aujourd'hui ce n'était pas un hasard si j'avais marqué le but de la victoire contre Lyon. Ça m'a consolé de tous les moments difficiles que j'ai eus.

 

C'était une belle revanche vis-à-vis des gens qui ont hésité à croire en moi. Ce match contre Lyon, ça faisait longtemps que je l'avais coché sur le calendrier, seul dans ma chambre. Parce que mon premier derby à Geoffroy-Guichard s'était très mal passé. Dans les arrêts de jeu, je me fais dribbler sur le côté par Gourcuff. Il fait un super centre sur la tête de Briand qui marque le but de la victoire. Horrible. Le président Caïazzo m'a fusillé à la radio. Le coach suit le mouvement, normal. A ce moment, je n'étais plus le bienvenu, je n'étais même plus dans le groupe. C'était très dur mais je n'ai pas voulu abandonner. J'ai dit à mon agent : "Je ne dois pas quitter Saint-Etienne comme ça, pas maintenant." J'étais dans le dur, il y avait une injustice à réparer, et ça ne pouvait se faire que contre Lyon.

 

Avec Saint-Etienne, ça s'est terminé comme ça devait se terminer. Le club et le joueur préservent leurs intérêts personnels, c'est normal. En matière de business, il n'y a pas de pitié, c'est soit tu gagnes, soit tu perds. Et ça donne toujours des malentendus. Mais moi, je n'ai aucun problème, tout est rentré dans l'ordre, aujourd'hui je vais au club comme je veux. Je suis très content d'être passé par Saint-Etienne, j'ai appris beaucoup de choses là-bas, j'ai progressé grâce à Christophe Galtier. Il y a eu plein de hauts et de bas, des saisons où j'aurais aimé plus jouer, d'autres où j'ai été blessé, où on m'a fait moins confiance.

 

Au moment de mon transfert à Bournemouth, tout le monde disait : "Gradel, il va là-bas pour l'argent", alors que c'est totalement faux. Cet été, j'ai reçu des offres du Qatar, c'était dix fois mon salaire. En Angleterre, c'est vrai que je gagne plus qu'à Saint-Etienne, mais ce qui m'a plu avant tout, c'est l'ambition du club et son projet.  Ce n'est pas parce que tu es promu que tu ne peux pas avoir d'ambitions. Regardez mon ancien club Leicester : l'année dernière, ils ont galéré, et aujourd'hui, ils jouent le titre. Bournemouth, c'est pareil, ils ont récemment recruté en prêt Juan Iturbe, avec une option d'achat fixée à 22 M€. C'est quand même ambitieux. Vous voyez un club de L1 hormis le PSG faire ça ?"

Payet vu par Roussey

28/03 08:48


Image

 

Brillant cette saison avec West Ham et vendredi dernier contre les Pays-Bas, Dimitri Payet ne surprend pas son ancien entraîneur stéphanois Laurent Roussey, interrogé sur le site Foot 365. Extraits.

 

"Avec Dimitri, il y a de la qualité technique et un profil de dernier passeur. C’est un joueur qui joue juste dans les trente derniers mètres, c’est forcément un plus. Dimitri est un garçon qui a toujours besoin d’être mis en confiance. Son départ en Angleterre a démontré qu’il avait fait des nets progrès sur ça. Il est beaucoup plus sûr de lui, beaucoup plus fort. Sur la qualité intrinsèque du joueur, il ne fait qu’exploiter ce que je lui avais dit il y a maintenant plus de dix ans. Ça ne me surprend pas du tout.

 

Sa qualité sur coups de pied arrêtés, il l’a toujours possédée. Je ne découvre pas Dimitri. Il peut être une plus-value dans une équipe. Je ne comprends pas la mauvaise réputation qu’il traîne. Quand il est arrivé à Saint-Etienne, on me demandait déjà pourquoi je l’avais pris alors qu’il avait eu un problème avec Barthez à Nantes. On me traitait de tous les noms d’oiseaux. Pour l’avoir fréquenté, c’est quelqu’un de très attachant et très talentueux.


A l’image de beaucoup de Réunionnais que j’ai connus, puisque j’ai été joueur puis entraîneur là-bas, leur faiblesse se situe dans leur manque de confiance. De par son expérience et les divers clubs qu’il a fréquentés, avec ce départ à l’étranger, Dimitri a évolué et cela lui permet d’avoir cette conviction plus prononcée sur ses capacités à être vraiment le footballeur qu’il méritait d’être depuis le départ."

Pastore et à travers (11)

28/03 08:26


Image

 

Le ratage de Javier Pastore continue de faire couler de l'encre et de la salive. Premier à s'en offusquer, il y a six ans dans Le Progrès, Nanard en a remis une couche hier sur le plateau du Canal Football Club.

 

"Il allait avoir 18 ans. Avec deux ou trois joueurs, il était venu réaliser un stage de trois semaines à Saint-Etienne avec Osvaldo Piazza. Ensuite, quand on a posé la question aux gens qui les ont vus, ils nous ont dit "ah, ils ne seront jamais professionnels". Un an ou un an et demi plus tard, Pastore était champion d'Argentine et vous connaissez la suite. Il faut accepter que les autres puissent travailler mieux que vous, c'est une leçon à retenir."

Clément et Roro ont la tête à Ajaccio

28/03 08:11


Image

 

Jérémy Clément et Roland Romeyer évoquent dans Le Progrès du jour le déplacement à Ajaccio, ce samedi à 20h00.

 

"On manque de jus, on doit se ressaisir car la fin de championnat va être à couteaux tirés. On ne doit plus lâcher de points en route et cela commence, même si cela sera compliqué, par le déplacement à Ajaccio" lâche le milieu défensif des Verts.

 

"Il reste sept matches, les joueurs doivent tout donner pour revenir vers les équipes de têtes. Contre Montpellier, on a joué quinze minutes. Ce n’est jamais facile de jouer à Ajaccio, encore plus face à un candidat à la lutte pour le maintien" déclare Roro.

Les U11 champions du monde !

27/03 22:26

Image

 

Sans encaisser le moindre pion en 11 rencontres, l'ASSE a remporté aujourd'hui le Mini-Mondial d'Orvault auquel participaient 120 équipes U11 dont de nombreux clubs européens prestigieux (Barcelone, Juventus, Liverpool, Chelsea, Manchester City...).

 

Entraînés par Vincent Paccallet, les petits Verts se sont baladés dans le groupe K en remportant tous leurs matches (contre l'AS Cannes, Tillières, Saint-Herblain, ASSL Sud Loire et Thionville).

 

Image

 

Lors de la deuxième phase de la compétition, les Stéphanois se sont retrouvés dans une poule de trois avec le Stade Montois (étrillé 7-0) et les vilains. Ce mini derby s'étant achevé sur un score nul et vierge, les Verts ont éliminé les banlieusards à la différence de buts.

 

Après avoir sorti les Lyonnais, Sainté a battu les Yonnais 4-0 en huitième de finale. C'est sur le même score que l'ASSE a remporté son quart de finale contre Charleroi. Vainqueurs 1-0 contre Strasbourg en demi-finale, les Verts ont récidivé en finale contre Bordeaux, Jules Mouton ayant transformé un pénalty obtenu par l'ailier Robin Borgne, sacré meilleur joueur du tournoi (ci-dessous en action contre Cannes).

 

Image

Partager