Il rate un lancer qui fait louper la prolongation aux Cavaliers, cette nuit, face aux Nuggets de ... Carmelo Anthony :lol:
[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Il y avait aussi eu un Lakers-Cavs la semaine dernière au cours duquel Kobe prend le dernier shoot des Lakers et le met pour donner un court avantage à LA. Cleveland a quelques secondes et une ultime possession mais LeBron rate le shoot...djibgreen wrote:Une preuve que LeBron n'est pas "clutch"
Il rate un lancer qui fait louper la prolongation aux Cavaliers, cette nuit, face aux Nuggets de ... Carmelo Anthony :lol:
J'avais d'ailleurs été surpris que tu ne le reportasses point.
Sinon, pourquoi "TP se reprend" ? J'ai pas eu l'impression qu'il s'était relaché ces derniers temps, il restait sur un très gros match contre Memphis.
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titigreenfan
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c'est clair ! il me semble meme qu'il avait planté 28 pts avec deux ratés seulement à deux points je crois et que master tim a dit qu'il avait fait gagner l'équipeKaramba wrote:
Sinon, pourquoi "TP se reprend" ? J'ai pas eu l'impression qu'il s'était relaché ces derniers temps, il restait sur un très gros match contre Memphis.
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El Couramiaud
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La semaine dernière TP semblait s'essoufler un petit peu avec des lignes de stats un peu moins importantes. Une baisse de régime relative, mais on s'est tellement habitué à voir TP à plus de vingt points avec un bon pourcentage de shoot, que l'on s'inquiète dès qu'il repasse en dessous.
Sinon match moyen de Bobo :lol: avec seulement 6 pts 4 passes lors de la victoire des Suns face aux Clippers 112-102.
Sinon match moyen de Bobo :lol: avec seulement 6 pts 4 passes lors de la victoire des Suns face aux Clippers 112-102.
Quelques news du team USA, avec le roster qu'on pourrai avoir en 2006 au Japon ...
http://hoopshype.com/usa_basketball.htm
Il y a ceux qui sont interessés par le team USA, ceux qui sont douteux, et ceux qui ne sont pas interessés. Rien qu'avec ceux qui sont d'ores et déjà interessés, y'a moyen de faire un sacré roster, très équilibré, car, ne l'oublions pas, ce fut le principal problème des dernier JO, les States n'avaient pas de bon shooteur à 3pts, et avait aussi un problème de pivot ...
Billups
Iverson
Redd
Johnson
Wade
James
Prince
Howard
Brand
Bosh
Camby
Miller
http://hoopshype.com/usa_basketball.htm
Il y a ceux qui sont interessés par le team USA, ceux qui sont douteux, et ceux qui ne sont pas interessés. Rien qu'avec ceux qui sont d'ores et déjà interessés, y'a moyen de faire un sacré roster, très équilibré, car, ne l'oublions pas, ce fut le principal problème des dernier JO, les States n'avaient pas de bon shooteur à 3pts, et avait aussi un problème de pivot ...
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o_vert_seas1
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Je lâche rien non plus: sur staxion, il me semble que les Cavs ont sont à 3pts à 3sec de la fin, une faute est faite sur Lebron pour qu'il shoote 2lfs, mais, après avoir marqué le 1er, il vendange intentionnellement le second pour avoir la possibilité d'égaliser, il prend alors son propre rebond et obtient la faute, mais ne peut conclure en ratant le 2e lf... On ne peut pas dire qu'il se soit troué dans les grandes largeurs, mais il a effectivement gaché une occasion de montrer qu'il peut être un tueur.djibgreen wrote:Une preuve que LeBron n'est pas "clutch"
Il rate un lancer qui fait louper la prolongation aux Cavaliers, cette nuit, face aux Nuggets de ... Carmelo Anthony :lol:
lequipe.fr
Miami Heat - San Antonio Spurs : 94-101
Le 1er décembre dernier, Tony Parker avait déjà affolé les compteurs avec 30 points inscrits contre Dallas. Et puis, cette nuit sur le parquet de l'American Airlines Arena, TP a littéralement fait exploser son record personnel avec 38 unités. Jamais encore, il n'avait été aussi efficace. Une démonstration de force qui a servi les intérêts des Spurs, vainqueurs de la franchise floridienne pour une quatrième victoire de rang qui leur permet de rester solidement installés aux commandes de la Conférence Ouest. En plus de ce score historique, Parker a réussi 13 de ses 18 tirs et a rentré 10 de ses 13 lancers francs, complétant ses statistiques avec 4 rebonds et 5 passes décisives pour finir meilleur marqueur de la rencontre. A la pause, les champions sortants avaient déja creusé le sillon de la victoire (49-38) avec 20 points dans la besace de Parker. A 38 secondes de la fin, le Parisien a effectué une superbe pénétration et offert aux siens un matelas confortable (97-90). Tim Duncan a fait dans la sobriété (14 pts, 11 rbds) mais Parker a été tellement éblouissant. Seul bémol à la victoire des Texans, la blessure de Manu Ginobili, qui s'est malencontreusement tordu la cheville lors de la troisième période. Un coup dur pour San Antonio qui avait déjà dû se passer des services de son arrière argentin durant huit matches. Le Heat, qui restait sur un revers à Los Angeles face aux Lakers, a subi un nouveau coup de chaud mais n'a pas été ridicule, loin s'en faut, avec sa doublette O'Neal-Wade. Le Shaq s'est fendu de 23 points alors que le second a parfaitement rivalisé avec Tony Parker en s'offrant la bagatelle de 36 unités.
Phoenix Suns - Los Angeles Lakers : 106-93
Les Lakers ont confirmé qu'ils étaient à l'heure actuelle en perte de vitesse. Les Californiens, après une belle série de trois victoires consécutives, ont subi un second revers de rang après avoir trébuché à Sacramento jeudi soir. Au contraire des Lakers, les Suns restent au zénith avec une nouvelle victoire qui fait suite à celle obtenue sur le parquet des Clippers et qui leur vaut de rester troisièmes à l'Ouest. Shaw Marion (22 pts, 16 rbds) a été l'élément catalyseur de la victoire des siens avec un Boris Diaw-Riffiod qui a rendu une copie intéressante (9 pts pour un 4/8 aux tirs, 6 rbds et 6 passes décisives). Chez les Lakers, Kobe Bryant s'est une nouvelle fois pourtant démené comme un beau diable (37 pts) mais il était trop esseulé au sein d'un collectif au moteur passablement grippé. Lamar Odom (11 rebonds) a été, lui, très précieux sous les panneaux. Ronny Turiaf, qui n'avait pas fait le déplacement, devra de son côté encore patienter pour faire ses débuts sous le maillot de la franchise californienne. En attendant, il continue de peaufiner ses gammes.
Miami Heat - San Antonio Spurs : 94-101
Le 1er décembre dernier, Tony Parker avait déjà affolé les compteurs avec 30 points inscrits contre Dallas. Et puis, cette nuit sur le parquet de l'American Airlines Arena, TP a littéralement fait exploser son record personnel avec 38 unités. Jamais encore, il n'avait été aussi efficace. Une démonstration de force qui a servi les intérêts des Spurs, vainqueurs de la franchise floridienne pour une quatrième victoire de rang qui leur permet de rester solidement installés aux commandes de la Conférence Ouest. En plus de ce score historique, Parker a réussi 13 de ses 18 tirs et a rentré 10 de ses 13 lancers francs, complétant ses statistiques avec 4 rebonds et 5 passes décisives pour finir meilleur marqueur de la rencontre. A la pause, les champions sortants avaient déja creusé le sillon de la victoire (49-38) avec 20 points dans la besace de Parker. A 38 secondes de la fin, le Parisien a effectué une superbe pénétration et offert aux siens un matelas confortable (97-90). Tim Duncan a fait dans la sobriété (14 pts, 11 rbds) mais Parker a été tellement éblouissant. Seul bémol à la victoire des Texans, la blessure de Manu Ginobili, qui s'est malencontreusement tordu la cheville lors de la troisième période. Un coup dur pour San Antonio qui avait déjà dû se passer des services de son arrière argentin durant huit matches. Le Heat, qui restait sur un revers à Los Angeles face aux Lakers, a subi un nouveau coup de chaud mais n'a pas été ridicule, loin s'en faut, avec sa doublette O'Neal-Wade. Le Shaq s'est fendu de 23 points alors que le second a parfaitement rivalisé avec Tony Parker en s'offrant la bagatelle de 36 unités.
Phoenix Suns - Los Angeles Lakers : 106-93
Les Lakers ont confirmé qu'ils étaient à l'heure actuelle en perte de vitesse. Les Californiens, après une belle série de trois victoires consécutives, ont subi un second revers de rang après avoir trébuché à Sacramento jeudi soir. Au contraire des Lakers, les Suns restent au zénith avec une nouvelle victoire qui fait suite à celle obtenue sur le parquet des Clippers et qui leur vaut de rester troisièmes à l'Ouest. Shaw Marion (22 pts, 16 rbds) a été l'élément catalyseur de la victoire des siens avec un Boris Diaw-Riffiod qui a rendu une copie intéressante (9 pts pour un 4/8 aux tirs, 6 rbds et 6 passes décisives). Chez les Lakers, Kobe Bryant s'est une nouvelle fois pourtant démené comme un beau diable (37 pts) mais il était trop esseulé au sein d'un collectif au moteur passablement grippé. Lamar Odom (11 rebonds) a été, lui, très précieux sous les panneaux. Ronny Turiaf, qui n'avait pas fait le déplacement, devra de son côté encore patienter pour faire ses débuts sous le maillot de la franchise californienne. En attendant, il continue de peaufiner ses gammes.
[size=95]"The natural state of a football fan is bitter disappointment, no matter what the score."[/size]
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o_vert_seas1
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Un Parker record
Exceptionnel Tony Parker! Car le Français a bel et bien livré un récital à l'occasion du choc au sommet face au Heat. Non content de porter une fois encore son équipe jusqu'à la victoire, les Spurs l'emportant 94-101 chez leur rival floridien, et ce en dépit de la nouvelle blessure de Manu Ginobili, le meneur tricolore a en effet battu son record de points en carrière, signant 38 points à 13 sur 18 aux tirs et 10 sur 13 sur la ligne des lancers pour surpasser les 36 points de Dwyane Wade et permettre aux Spurs de conforter leur statut de leader de la cofnérence ouest.
Les gros bras de Shaq n'ont pourtant pas arrété Tony ...
Cette fois, Tony Parker a sans doute achevé de convaincre les derniers sceptiques et validé, pour de bon, son billet pour le prochain All-Star Game. S'il devra patienter jusqu'au verdict des entraîneurs début février, les fans de la Ligue lui préférant Steve Nash et Kobe Bryant pour les deux places de titulaire, sa sélection pour l'habituel raout des étoiles ne fait plus, désormais, guère de doutes. Car s'il lui manquait jusqu'alors un match référence pour aller avec sa superbe régularité, une prestation mémorable à même de marquer les esprits les plus réfractaires, son festival face au Heat devrait lui suffire pour atteindre son Graal.
Et si la voix de l'entraîneur du Heat ne comptera pas pour désigner les heureux élus de la conférence ouest, TP semble s'être fait un nouveau fan en la personne de Pat Riley: "Parker a été incroyable ce soir. Il a parfaitement mené son équipe et inscrit quelques paniers qui comptent double pour faire la différence ou stopper nos séries. On a été incapables de l'arrêter et même si on continue de se chercher en défense, le mérite lui en revient." Pour ce qui est du soutien de ses coéquipiers, le meneur texan sait pouvoir compter dessus de longue date, les louanges succédant aux louanges depuis le début de saison. Parker a ainsi eu droit à une nouvelle salve de compliments, Tim Duncan lâchant ainsi à l'issue de la rencontre: "Il nous a encore surpris avec sa réussite aux tirs. Il était dans la zone, dans le bon rythme et a shooté en confiance. Il a eu une incroyable soirée, à l'image de son début de saison." Fermez le ban.
"Une grosse victoire."
Force est de reconnaître que la performance du Français a bel et bien été exceptionnelle. Car cette fois, contrairement à sa précédente marque référence -35 points- établie face aux Warriors au printemps dernier, point de match en double-prolongation face à un adversaire de seconde zone ou d'absences conjuguées des tauliers Tim Duncan et Manu Ginobili pour expliquer cette flambée de points. Les Texans ont certes dû composer avec la nouvelle blessure de l'Argentin, victime d'une entorse à la cheville droite à l'entame du troisième acte, mais la présence, ou non, de son compère n'a rien changé à l'affaire: Tony Parker était inarrêtable. Et ce n'est pas la grossière faute de Shaquille O'Neal commise dans la dernière ligne droite qui allait le perturber, le Français parachevant en effet son œuvre avec le panier synonyme de victoire à 38 secondes du terme de la rencontre.
Une flèche décochée en tête de raquette comme un symbole d'une soirée en tout point réussie. Car l'ancien Parisien n'a pas seulement aligné les pénétrations pour des layups d'école (4 sur 6) mais également fait preuve d'une solide efficacité dans ses tirs à mi voire longue distance comme en attestent son 9 sur 11 pour ce qui est des tirs en dehors de la raquette, TP enquillant même ses deux tirs à trois points tentés. Ajoutez-y un 10 sur 13 sur la ligne des lancers, et vous obtenez 38 points agrémentés de 5 passes et 4 rebonds. De quoi permettre aux siens de signer un succès des plus probants chez un rival. "C'est une grosse victoire, vraiment une grosse victoire, soulignait ainsi le héros de la soirée, c'est toujours motivant de jouer contre une équipe comme Miami et après les deux revers face à Detroit, on voulait sortir un grand match et jouer un basket complet. C'est ce qu'on a fait." Et les champions en titre de signer une victoire leur permettant d'égaler le meilleur début de saison de l'histoire de la franchise après 40 matches avec 31 victoires pour 9 défaites.
San Antonio s'est pourtant fait quelques belles frayeurs après avoir pourtant compté jusqu'à quinze longueurs d'avance au cours du troisième acte. Mais sans doute déstabilisés par la sortie de leur feu follet argentin, les Texans encaissaient ainsi un 11-0 en à peine plus d'une minute, avant que TP ne leur redonne de l'air pour attaquer le quatrième quart, puis voyaient leurs hôtes passaient en tête à l'entame des cinq dernières minutes. En vain pour les Floridiens car dans le sillage de Tony Parker, Brent Barry veillait et enquillait deux tris primés des plus cruciaux. Il fallait bien ça pour faire fi des 36 points de Dwyane Wade, des 23 de Shaquille O'Neal ou des 18 à 8 sur 11 aux tirs de Jason Williams. D'autant plus que Tim Duncan livrait quant à lui une prestation discrète avec 14 points et 11 rebonds au compteur, Bruce Bowen et Michael Finley brillant eux par leur maladresse avec respectivement un 3 sur 10 et un 1 sur 8 aux tirs pour 10 et 5 points. De quoi rendre encore plus édifiante la prestation de Parker.
Les Suns plus brillants que Bryant...
Kobe Bryant a eu beau conforter son statut de meilleur marqueur de la Ligue en signant 37 points, et ce en dépit d'un piètre 12 sur 33 aux tirs, les Suns l'ont aisément emporté aux dépens des Lakers 106-93. Car à Phœnix, la lumière est venue du collectif. Si l'arrière californien n'a pu compter que sur le soutien de Lamar Odom et de Smush Parker, respectivement 15 points-12 rebonds et 12 points, six joueurs des Suns ont en effet émargé à plus de dix points. Parmi eux les all-stars Shawn Marion, 22 points-16 rebonds, et Steve Nash, 17 points-12 passes, ont évidemment été les plus en vue mais le super joker Eddie House, venu du banc pour inscrire 19 points dont 12 dans le second quart pour faire la différence, n'a pas été en reste. Longtemps fanny aux tirs, Boris Diaw a été moins productif au rayon points mais a tout de même compilé 9 points à 4 sur 8 aux tirs, 6 passes et 6 rebonds.
Les Warriors et Pietrus sans forcer
Il aura donc suffi que Mickael Pietrus réussisse à enchaîner les victoires. Après une série de cinq revers consécutifs, les Californiens ont en effet décroché un second succès de rang en s'imposant aisément des Cavaliers 99-79 bien trop orphelins de Larry Hugues comme en attestent leurs cinq défaites de suite. D'autant plus lorsque LeBron James est réduit à la portion congrue comme il l'a été par les Warriors, la vedette de Cleveland devant se contenter d'un rédhibitoire 5 sur 22 aux tirs pour 14 points, 9 rebonds et 5 passes. Pietrus n'a pourtant pas spécialement brillé en attaque avec ses 11 points à 4 sur 10 aux tirs et 2 sur 8 aux lancers, l'ancien Palois laissant la vedette au tandem Richardson-Dunleavy, 22 points chacun.
Petro déçu, Seattle défait
Soirée à oublier pour Johan Petro et les Sonics. Tandis que le Français, pourtant une fois encore présent dans le cinq de départ, a dû se contenter de 12 maigres minutes pour 5 points à 1 sur 3 aux tirs et 3 rebonds, Seattle s'est en effet incliné à la Key Arena 113-121 face aux Raptors, concédant ainsi un quatrième revers d'affilée. La faute, notamment, aux 29 points et 13 rebonds de Chris Bosh et aux 28 points de Jalen Rose, Morris Petterson et Mike James complétant le tableau à Toronto avec 18 et 17 points. Il leur a néanmoins fallu attendre la dernière ligne droite pour faire la différence grâce à la sureté de Chris Bosh sur la ligne des lancers, le jeune intérieur rendant un parfait 17 sur 17 aux lancers-francs. Chez les Sonics, les inévitables Ray Allen et Rashard Lewis ont une nouvelle fois la paire avec respectivement 24 et 25 points, Luke Ridnour suivant avec 17 points.
Philadelphie à l'arraché
Opposés aux Grizzlies, il a fallu une prolongation pour permettre aux Sixers de renouer avec la victoire après deux défaites consécutives. Et si Chris Webber, Kyle Korver et Samuel Dalembert ont été les plus en vue au cours de la prolongation, l'intérieur haïtien en contrant à deux reprises Pau Gasol, le grand homme de la soirée a une nouvelle fois été Allen Iverson. Le meneur des Sixers a non seulement terminé meilleur marqueur de la rencontre avec 30 points, signant néanmoins un modeste 12 sur 29 aux tirs, mais il a également inscrit, à trois secondes de la fin du temps réglementaire, le panier permettant aux siens d'arracher la prolongation après avoir vu Eddie Jones manquer deux lancers cruciaux synonymes de victoire pour Memphis. Mais Allen Iverson n'a pas été le seul à briller puisque Chris Webber a compilé 29 points et 8 rebonds. De quoi rendre vains les efforts des Grizzlies, Eddie Jones, meilleur marqueur des siens avec 22 points, et Lorenzen Wright, auteur d'un double double avec 10 points et 10 rebonds étant les prolifiques. A noter qu'il s'agit de la quatrième défaite de suite des Grizzlies.
T-Mac soigne son retour
Tracy McGrady n'a pas manqué son retour sur les parquets de la Ligue. Absent depuis cinq matches, pour autant de défaites des Rockets, en raison d'une douleur persistante au dos, l'artificier texan a en effet porté Houston jusqu'à la victoire pour l'occasion, les hommes de Jeff Van Gundy l'emportant chez les Bulls 108-109 après une double-prolongation. T-Mac a en effet évidemment été le meilleur marqueur du match avec 35 points à 13 sur 29 aux tirs et a signé le panier de la victoire d'un maître tir à trois points. Juwan Howard n'a pas été en reste avec 30 points, Luol deng et Ben Gordon étant les plus en vue côté Chicago avec 19 et 18 points.
Exceptionnel Tony Parker! Car le Français a bel et bien livré un récital à l'occasion du choc au sommet face au Heat. Non content de porter une fois encore son équipe jusqu'à la victoire, les Spurs l'emportant 94-101 chez leur rival floridien, et ce en dépit de la nouvelle blessure de Manu Ginobili, le meneur tricolore a en effet battu son record de points en carrière, signant 38 points à 13 sur 18 aux tirs et 10 sur 13 sur la ligne des lancers pour surpasser les 36 points de Dwyane Wade et permettre aux Spurs de conforter leur statut de leader de la cofnérence ouest.
Les gros bras de Shaq n'ont pourtant pas arrété Tony ...
Cette fois, Tony Parker a sans doute achevé de convaincre les derniers sceptiques et validé, pour de bon, son billet pour le prochain All-Star Game. S'il devra patienter jusqu'au verdict des entraîneurs début février, les fans de la Ligue lui préférant Steve Nash et Kobe Bryant pour les deux places de titulaire, sa sélection pour l'habituel raout des étoiles ne fait plus, désormais, guère de doutes. Car s'il lui manquait jusqu'alors un match référence pour aller avec sa superbe régularité, une prestation mémorable à même de marquer les esprits les plus réfractaires, son festival face au Heat devrait lui suffire pour atteindre son Graal.
Et si la voix de l'entraîneur du Heat ne comptera pas pour désigner les heureux élus de la conférence ouest, TP semble s'être fait un nouveau fan en la personne de Pat Riley: "Parker a été incroyable ce soir. Il a parfaitement mené son équipe et inscrit quelques paniers qui comptent double pour faire la différence ou stopper nos séries. On a été incapables de l'arrêter et même si on continue de se chercher en défense, le mérite lui en revient." Pour ce qui est du soutien de ses coéquipiers, le meneur texan sait pouvoir compter dessus de longue date, les louanges succédant aux louanges depuis le début de saison. Parker a ainsi eu droit à une nouvelle salve de compliments, Tim Duncan lâchant ainsi à l'issue de la rencontre: "Il nous a encore surpris avec sa réussite aux tirs. Il était dans la zone, dans le bon rythme et a shooté en confiance. Il a eu une incroyable soirée, à l'image de son début de saison." Fermez le ban.
"Une grosse victoire."
Force est de reconnaître que la performance du Français a bel et bien été exceptionnelle. Car cette fois, contrairement à sa précédente marque référence -35 points- établie face aux Warriors au printemps dernier, point de match en double-prolongation face à un adversaire de seconde zone ou d'absences conjuguées des tauliers Tim Duncan et Manu Ginobili pour expliquer cette flambée de points. Les Texans ont certes dû composer avec la nouvelle blessure de l'Argentin, victime d'une entorse à la cheville droite à l'entame du troisième acte, mais la présence, ou non, de son compère n'a rien changé à l'affaire: Tony Parker était inarrêtable. Et ce n'est pas la grossière faute de Shaquille O'Neal commise dans la dernière ligne droite qui allait le perturber, le Français parachevant en effet son œuvre avec le panier synonyme de victoire à 38 secondes du terme de la rencontre.
Une flèche décochée en tête de raquette comme un symbole d'une soirée en tout point réussie. Car l'ancien Parisien n'a pas seulement aligné les pénétrations pour des layups d'école (4 sur 6) mais également fait preuve d'une solide efficacité dans ses tirs à mi voire longue distance comme en attestent son 9 sur 11 pour ce qui est des tirs en dehors de la raquette, TP enquillant même ses deux tirs à trois points tentés. Ajoutez-y un 10 sur 13 sur la ligne des lancers, et vous obtenez 38 points agrémentés de 5 passes et 4 rebonds. De quoi permettre aux siens de signer un succès des plus probants chez un rival. "C'est une grosse victoire, vraiment une grosse victoire, soulignait ainsi le héros de la soirée, c'est toujours motivant de jouer contre une équipe comme Miami et après les deux revers face à Detroit, on voulait sortir un grand match et jouer un basket complet. C'est ce qu'on a fait." Et les champions en titre de signer une victoire leur permettant d'égaler le meilleur début de saison de l'histoire de la franchise après 40 matches avec 31 victoires pour 9 défaites.
San Antonio s'est pourtant fait quelques belles frayeurs après avoir pourtant compté jusqu'à quinze longueurs d'avance au cours du troisième acte. Mais sans doute déstabilisés par la sortie de leur feu follet argentin, les Texans encaissaient ainsi un 11-0 en à peine plus d'une minute, avant que TP ne leur redonne de l'air pour attaquer le quatrième quart, puis voyaient leurs hôtes passaient en tête à l'entame des cinq dernières minutes. En vain pour les Floridiens car dans le sillage de Tony Parker, Brent Barry veillait et enquillait deux tris primés des plus cruciaux. Il fallait bien ça pour faire fi des 36 points de Dwyane Wade, des 23 de Shaquille O'Neal ou des 18 à 8 sur 11 aux tirs de Jason Williams. D'autant plus que Tim Duncan livrait quant à lui une prestation discrète avec 14 points et 11 rebonds au compteur, Bruce Bowen et Michael Finley brillant eux par leur maladresse avec respectivement un 3 sur 10 et un 1 sur 8 aux tirs pour 10 et 5 points. De quoi rendre encore plus édifiante la prestation de Parker.
Les Suns plus brillants que Bryant...
Kobe Bryant a eu beau conforter son statut de meilleur marqueur de la Ligue en signant 37 points, et ce en dépit d'un piètre 12 sur 33 aux tirs, les Suns l'ont aisément emporté aux dépens des Lakers 106-93. Car à Phœnix, la lumière est venue du collectif. Si l'arrière californien n'a pu compter que sur le soutien de Lamar Odom et de Smush Parker, respectivement 15 points-12 rebonds et 12 points, six joueurs des Suns ont en effet émargé à plus de dix points. Parmi eux les all-stars Shawn Marion, 22 points-16 rebonds, et Steve Nash, 17 points-12 passes, ont évidemment été les plus en vue mais le super joker Eddie House, venu du banc pour inscrire 19 points dont 12 dans le second quart pour faire la différence, n'a pas été en reste. Longtemps fanny aux tirs, Boris Diaw a été moins productif au rayon points mais a tout de même compilé 9 points à 4 sur 8 aux tirs, 6 passes et 6 rebonds.
Les Warriors et Pietrus sans forcer
Il aura donc suffi que Mickael Pietrus réussisse à enchaîner les victoires. Après une série de cinq revers consécutifs, les Californiens ont en effet décroché un second succès de rang en s'imposant aisément des Cavaliers 99-79 bien trop orphelins de Larry Hugues comme en attestent leurs cinq défaites de suite. D'autant plus lorsque LeBron James est réduit à la portion congrue comme il l'a été par les Warriors, la vedette de Cleveland devant se contenter d'un rédhibitoire 5 sur 22 aux tirs pour 14 points, 9 rebonds et 5 passes. Pietrus n'a pourtant pas spécialement brillé en attaque avec ses 11 points à 4 sur 10 aux tirs et 2 sur 8 aux lancers, l'ancien Palois laissant la vedette au tandem Richardson-Dunleavy, 22 points chacun.
Petro déçu, Seattle défait
Soirée à oublier pour Johan Petro et les Sonics. Tandis que le Français, pourtant une fois encore présent dans le cinq de départ, a dû se contenter de 12 maigres minutes pour 5 points à 1 sur 3 aux tirs et 3 rebonds, Seattle s'est en effet incliné à la Key Arena 113-121 face aux Raptors, concédant ainsi un quatrième revers d'affilée. La faute, notamment, aux 29 points et 13 rebonds de Chris Bosh et aux 28 points de Jalen Rose, Morris Petterson et Mike James complétant le tableau à Toronto avec 18 et 17 points. Il leur a néanmoins fallu attendre la dernière ligne droite pour faire la différence grâce à la sureté de Chris Bosh sur la ligne des lancers, le jeune intérieur rendant un parfait 17 sur 17 aux lancers-francs. Chez les Sonics, les inévitables Ray Allen et Rashard Lewis ont une nouvelle fois la paire avec respectivement 24 et 25 points, Luke Ridnour suivant avec 17 points.
Philadelphie à l'arraché
Opposés aux Grizzlies, il a fallu une prolongation pour permettre aux Sixers de renouer avec la victoire après deux défaites consécutives. Et si Chris Webber, Kyle Korver et Samuel Dalembert ont été les plus en vue au cours de la prolongation, l'intérieur haïtien en contrant à deux reprises Pau Gasol, le grand homme de la soirée a une nouvelle fois été Allen Iverson. Le meneur des Sixers a non seulement terminé meilleur marqueur de la rencontre avec 30 points, signant néanmoins un modeste 12 sur 29 aux tirs, mais il a également inscrit, à trois secondes de la fin du temps réglementaire, le panier permettant aux siens d'arracher la prolongation après avoir vu Eddie Jones manquer deux lancers cruciaux synonymes de victoire pour Memphis. Mais Allen Iverson n'a pas été le seul à briller puisque Chris Webber a compilé 29 points et 8 rebonds. De quoi rendre vains les efforts des Grizzlies, Eddie Jones, meilleur marqueur des siens avec 22 points, et Lorenzen Wright, auteur d'un double double avec 10 points et 10 rebonds étant les prolifiques. A noter qu'il s'agit de la quatrième défaite de suite des Grizzlies.
T-Mac soigne son retour
Tracy McGrady n'a pas manqué son retour sur les parquets de la Ligue. Absent depuis cinq matches, pour autant de défaites des Rockets, en raison d'une douleur persistante au dos, l'artificier texan a en effet porté Houston jusqu'à la victoire pour l'occasion, les hommes de Jeff Van Gundy l'emportant chez les Bulls 108-109 après une double-prolongation. T-Mac a en effet évidemment été le meilleur marqueur du match avec 35 points à 13 sur 29 aux tirs et a signé le panier de la victoire d'un maître tir à trois points. Juwan Howard n'a pas été en reste avec 30 points, Luol deng et Ben Gordon étant les plus en vue côté Chicago avec 19 et 18 points.
Exact, c'est ce que soulignait Georges Eddy à la fin du match ... c'est vraiment un match de mammouth qu'il a fait là, avec une efficacité exceptionnelle. 13/18 aux shoots, 2 interceptions qui ont débouchés sur 5pts, c'est aussi lui qui fait 2 fois la passe décisive à Brent Barry derrière les 7m23 pour enquiller à 3pts.
J'en reste bouche bée ... j'ai regardé ça ce matin, et on avait l'impression qu'il étais inarretable, dès que le ballon partait de ses mains, il allait directement dans la filoche. D'ailleurs, en dehors de son panier à 3pts qui a rebondi pas mal sur le cercle, il a fait que des filoches à mi distance. Et on a vraiment vu une amèlioration sur son geste aux LF. Comme le soulignait Georges Eddy, il prend mieux son temps, et il a une véritable finition, il n'envoi pas le ballon au petit bonheur la chance.
J'en reste bouche bée ... j'ai regardé ça ce matin, et on avait l'impression qu'il étais inarretable, dès que le ballon partait de ses mains, il allait directement dans la filoche. D'ailleurs, en dehors de son panier à 3pts qui a rebondi pas mal sur le cercle, il a fait que des filoches à mi distance. Et on a vraiment vu une amèlioration sur son geste aux LF. Comme le soulignait Georges Eddy, il prend mieux son temps, et il a une véritable finition, il n'envoi pas le ballon au petit bonheur la chance.
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El Couramiaud
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Super match pour TP qui avait certainement envie de briller face à Wade. Ce qu'il faut, c'est qu'il confirme sa réussite à mi-distance lors des prochaines rencontres.
Sinon voici quelques résultats du soir des clubs ligériens.
Dur pour la chorale qui s'incline d'un rien chez elle face à Nancy 91 à 92.
Vendredi sinté s'était imposé face à Levallois et se relance pour le maintien.
En N1: Pas de miracle pour Feurs qui s'incline devant le leader Poitiers, tandis que Saint-Chamond assure l'essentiel en allant s'imposer au centre fédéral 92-95.
Sinon voici quelques résultats du soir des clubs ligériens.
Dur pour la chorale qui s'incline d'un rien chez elle face à Nancy 91 à 92.
Vendredi sinté s'était imposé face à Levallois et se relance pour le maintien.
En N1: Pas de miracle pour Feurs qui s'incline devant le leader Poitiers, tandis que Saint-Chamond assure l'essentiel en allant s'imposer au centre fédéral 92-95.
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vieille allumette
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ils sont combien au classement feurs?El Couramiaud wrote:Super match pour TP qui avait certainement envie de briller face à Wade. Ce qu'il faut, c'est qu'il confirme sa réussite à mi-distance lors des prochaines rencontres.
Sinon voici quelques résultats du soir des clubs ligériens.
Dur pour la chorale qui s'incline d'un rien chez elle face à Nancy 91 à 92.
Vendredi sinté s'était imposé face à Levallois et se relance pour le maintien.
En N1: Pas de miracle pour Feurs qui s'incline devant le leader Poitiers, tandis que Saint-Chamond assure l'essentiel en allant s'imposer au centre fédéral 92-95.
[url=http://img82.imageshack.us/my.php?image=huetforpresidentmodfiedhk4.jpg][img]http://img82.imageshack.us/img82/5796/huetforpresidentmodfiedhk4.th.jpg[/img][/url]
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vieille allumette
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je te signale qu'il existe un post tennis!!goony wrote:c'est bizarre on a le droit de parler de NBA !!!
y a pas eu de remarque de blaireau sur ce post !!! c'est etonnant moi ma signature deplait car on est sur un forum des foot !! mais on parle de tout quand meme et cela me rassure !!
[url=http://img82.imageshack.us/my.php?image=huetforpresidentmodfiedhk4.jpg][img]http://img82.imageshack.us/img82/5796/huetforpresidentmodfiedhk4.th.jpg[/img][/url]
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El Couramiaud
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vieille allumette
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oh punaise!!!!El Couramiaud wrote:Feurs est désormais 16 eme avec seulement deux équipes derrière eux, dont le centre fédéral qui ne descend pas, autant dire qu'il sont mal.
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je sais !!! mais apparement des forumistes ont dis qu'on était sur un forum de foot !! et que les autres sports on s'en foutai !!vieille allumette wrote:je te signale qu'il existe un post tennis!!goony wrote:c'est bizarre on a le droit de parler de NBA !!!
y a pas eu de remarque de blaireau sur ce post !!! c'est etonnant moi ma signature deplait car on est sur un forum des foot !! mais on parle de tout quand meme et cela me rassure !!
ce n'est pas une critique sur ce post rassure toi !!!
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vieille allumette
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pas besoin de me rassurer, mais si tu regardes bien sur ce forum ont parle de tous les sujets que ce soit de foot, de tennis, de basket, d'actualité, d'informatique....goony wrote:je sais !!! mais apparement des forumistes ont dis qu'on était sur un forum de foot !! et que les autres sports on s'en foutai !!vieille allumette wrote:je te signale qu'il existe un post tennis!!goony wrote:c'est bizarre on a le droit de parler de NBA !!!
y a pas eu de remarque de blaireau sur ce post !!! c'est etonnant moi ma signature deplait car on est sur un forum des foot !! mais on parle de tout quand meme et cela me rassure !!
ce n'est pas une critique sur ce post rassure toi !!!
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ce sont les reactions primaire de certaine personne qui me blasevieille allumette wrote:pas besoin de me rassurer, mais si tu regardes bien sur ce forum ont parle de tous les sujets que ce soit de foot, de tennis, de basket, d'actualité, d'informatique....goony wrote:je sais !!! mais apparement des forumistes ont dis qu'on était sur un forum de foot !! et que les autres sports on s'en foutai !!vieille allumette wrote:je te signale qu'il existe un post tennis!!goony wrote:c'est bizarre on a le droit de parler de NBA !!!
y a pas eu de remarque de blaireau sur ce post !!! c'est etonnant moi ma signature deplait car on est sur un forum des foot !! mais on parle de tout quand meme et cela me rassure !!
ce n'est pas une critique sur ce post rassure toi !!!
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El Couramiaud
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La Chorale perd mais retrouve de la voix
Dans une halle André Vacheresse revigorée par un bon match de leurs favoris, la Chorale n'a pu éviter la défaite face à d'excellents Nancéiens. Après une première mi-temps extrêmement serrée entre 2 équipes portées vers l'offensive, la seconde mi-temps fut d'une toute autre physionomie.
En effet, Nancy faisait rapidement un break de 8pts grâce à l'excellent Cyril Julian, qui dominait outrageusement la raquette. Le temps mort rapidement demandé par Jean-Denys Choulet, le coach choralien, fut salvateur. Grâce à un panier à 3pts de Mike Bauer et à un tir intérieur de Gary Alexander la Chorale revenait à 2pts. Dans la foulée, une nouvelle accélération des couguars Nancéiens mettait la Chorale à distance, avant que Tony Akins, le meneur Roannais, ne permette aux ligériens de recoller et même de mener 67-66 à la fin du 3ème quart temps.
Ces chassés-croisés avaient électrisé l'ambiance. La salle s'était levé comme un seul homme ou presque pour soutenir Roanne dès l'entame du 4ème quart temps. Cependant, la Chorale connaissait une entame de 4ème quart temps difficile, et se retouvait à 5 longueurs du SLUC (81-76) à 4 minutes de la fin de la rencontre. Le temps mort demandé par le coach Roannais allait une fois de plus relancer la Chorale.
Avec un panier derrière l'arc de Dee Spencer imité par Tony Akins, cette fois-ci à 2pts, puis par Aaron Harper qui inscrivait 4pts consécutif, la Chorale passait devant et menait de 4pts, 86 à 82 alors qu'il ne restait que 2 minutes à jouer. Le public était aux anges, mais Deron Hayes le vétéran du SLUC, faisait le métier à 3pts et relançait le SLUC. Revenu à 1pt, Nancy était de nouveau repoussé à 3pts grâce à un panier de l'excellent Tony Akins.
Le bourreau des Roannais allait finalement être Marques Green. En effet le petit meneur du SLUC réduisait la salle au silence en égalisant à 88 partout. Puis une interception de Maxime Zianveni suivi d'un dunk donnait 2pts d'avance à Nancy. Tony Akins ratait ensuite l'occasion d'égaliser, et Marques Green creusa l'écart décisif de 4pts grâce à une belle réussite sur la ligne des lancers francs. Il restait 3 secondes à jouer, et le panier à 3pts de Dee Spencer au buzzer donnait bien des regrets à la Chorale et à son public qui avait bien répondu présent durant le match.
D'un point de vue individuel, les joueurs Roannais ont été à la hauteur, notamment Mike Bauer avec 15 points et 10 rebonds, encore une fois meilleure évaluation de l'équipe avec 22. Il est suivi de près par Tony Akins avec 23pts 4 rebonds et 3 passes décisives. Le retour en forme de Dee Spencer s'est aussi confirmé, avec 18pts. Du coté du quatuor américain, seul Aaron Harper a été un peu moins à la hauteur avec 12pts 7 rebonds mais un 5 sur 15 aux tirs pour 8 d'évaluation. Par ailleurs, on peut noter le bon match de Gary Alexander, le vétéran Roannais, qui a retrouvé quelques couleurs avec 8pts et 6 rebonds. Mais le maître de la raquette hier soir était bien Cyril Julian …
L'ancien MVP français du championnat réalise une nouvelle grande performance avec 24 points et 11 rebonds pour 27 d'évaluation. Il a de nombreuses fois évité au SLUC d'être décroché grâce à 5 rebonds offensifs qui ont donné de nouvelles munition aux couguars après des paniers manqués. Tout comme la semaine dernière, c'est un nouvel arrivant, Germaine Boyette, et un ancien meneur de la Chorale, Marques Green, qui auront réduit à néant les espoirs de Jean-Denys Choulet et ses joueurs. En effet, le remplaçant de Tariq Kirksay, blessé, réalise un superbe match avec 21pts et 7 rebonds. De son coté, le lutin Marques Green, du haut de son mètre 66, inscrit 17pts et délivre 7 passes décisives, avec surtout, 5pts dans les deux dernières minutes.
3 joueurs clés qui auront empêché à la Chorale de l'emporter devant un public revigoré. Une déception d'autant plus forte que pour la première fois de la saison, Roanne a un bilan négatif, avec 9 défaites pour 8 victoires. Les 3 défaites consécutives qui clôturent la première moitié de saison de la Chorale ternissent un bilan jusque là très satisfaisant des ligériens.
Dans une halle André Vacheresse revigorée par un bon match de leurs favoris, la Chorale n'a pu éviter la défaite face à d'excellents Nancéiens. Après une première mi-temps extrêmement serrée entre 2 équipes portées vers l'offensive, la seconde mi-temps fut d'une toute autre physionomie.
En effet, Nancy faisait rapidement un break de 8pts grâce à l'excellent Cyril Julian, qui dominait outrageusement la raquette. Le temps mort rapidement demandé par Jean-Denys Choulet, le coach choralien, fut salvateur. Grâce à un panier à 3pts de Mike Bauer et à un tir intérieur de Gary Alexander la Chorale revenait à 2pts. Dans la foulée, une nouvelle accélération des couguars Nancéiens mettait la Chorale à distance, avant que Tony Akins, le meneur Roannais, ne permette aux ligériens de recoller et même de mener 67-66 à la fin du 3ème quart temps.
Ces chassés-croisés avaient électrisé l'ambiance. La salle s'était levé comme un seul homme ou presque pour soutenir Roanne dès l'entame du 4ème quart temps. Cependant, la Chorale connaissait une entame de 4ème quart temps difficile, et se retouvait à 5 longueurs du SLUC (81-76) à 4 minutes de la fin de la rencontre. Le temps mort demandé par le coach Roannais allait une fois de plus relancer la Chorale.
Avec un panier derrière l'arc de Dee Spencer imité par Tony Akins, cette fois-ci à 2pts, puis par Aaron Harper qui inscrivait 4pts consécutif, la Chorale passait devant et menait de 4pts, 86 à 82 alors qu'il ne restait que 2 minutes à jouer. Le public était aux anges, mais Deron Hayes le vétéran du SLUC, faisait le métier à 3pts et relançait le SLUC. Revenu à 1pt, Nancy était de nouveau repoussé à 3pts grâce à un panier de l'excellent Tony Akins.
Le bourreau des Roannais allait finalement être Marques Green. En effet le petit meneur du SLUC réduisait la salle au silence en égalisant à 88 partout. Puis une interception de Maxime Zianveni suivi d'un dunk donnait 2pts d'avance à Nancy. Tony Akins ratait ensuite l'occasion d'égaliser, et Marques Green creusa l'écart décisif de 4pts grâce à une belle réussite sur la ligne des lancers francs. Il restait 3 secondes à jouer, et le panier à 3pts de Dee Spencer au buzzer donnait bien des regrets à la Chorale et à son public qui avait bien répondu présent durant le match.
D'un point de vue individuel, les joueurs Roannais ont été à la hauteur, notamment Mike Bauer avec 15 points et 10 rebonds, encore une fois meilleure évaluation de l'équipe avec 22. Il est suivi de près par Tony Akins avec 23pts 4 rebonds et 3 passes décisives. Le retour en forme de Dee Spencer s'est aussi confirmé, avec 18pts. Du coté du quatuor américain, seul Aaron Harper a été un peu moins à la hauteur avec 12pts 7 rebonds mais un 5 sur 15 aux tirs pour 8 d'évaluation. Par ailleurs, on peut noter le bon match de Gary Alexander, le vétéran Roannais, qui a retrouvé quelques couleurs avec 8pts et 6 rebonds. Mais le maître de la raquette hier soir était bien Cyril Julian …
L'ancien MVP français du championnat réalise une nouvelle grande performance avec 24 points et 11 rebonds pour 27 d'évaluation. Il a de nombreuses fois évité au SLUC d'être décroché grâce à 5 rebonds offensifs qui ont donné de nouvelles munition aux couguars après des paniers manqués. Tout comme la semaine dernière, c'est un nouvel arrivant, Germaine Boyette, et un ancien meneur de la Chorale, Marques Green, qui auront réduit à néant les espoirs de Jean-Denys Choulet et ses joueurs. En effet, le remplaçant de Tariq Kirksay, blessé, réalise un superbe match avec 21pts et 7 rebonds. De son coté, le lutin Marques Green, du haut de son mètre 66, inscrit 17pts et délivre 7 passes décisives, avec surtout, 5pts dans les deux dernières minutes.
3 joueurs clés qui auront empêché à la Chorale de l'emporter devant un public revigoré. Une déception d'autant plus forte que pour la première fois de la saison, Roanne a un bilan négatif, avec 9 défaites pour 8 victoires. Les 3 défaites consécutives qui clôturent la première moitié de saison de la Chorale ternissent un bilan jusque là très satisfaisant des ligériens.