En général, ce sont les éléments qui font appliquer les choses. Les humains ne changent dans le sens de moins de confort que sous la contrainte.
Si on arrive à un point de rupture dans un seul de ces domaines :
- fin du pétrole pas cher
- catastrophes climatiques/écologique d'importance (atteingant les capacité agricoles de larges zones par exemple, déplacement massif, conflit)
- baisse continue de la satisfaction des peuples catalysé par le complotisme à tout va
- crise économique paralysante
- Guerre d'intensité moyenne à importante pour les dernières ressources stratégiques.
Les conséquence seront d'entrainer une contraction du confort et un retour au principe de régulation par le réel (par la nature). Et là c'est pas une préconisation
Après tant que ça tiens, effectivement, je ne pense qu'aucun programme réellement écologiste (c'est à dire mettant en place une diminution du confort moderne pour tous, même si les plus riches doivent passer en premier) n'a l'ombre du chance de faire plus de 0,001% aux élections ni de trouver plus de 25 manifestants dans toute la france. Et puis même, en toute logique, tant que le problème n'est pas là, dans un système chaotique il est inutile de l'anticiper.