ASSE - poteaux-carres.com

Fini Lost un truc de fou cette série !!!!!!!!

La fin est a chié!

Dis donc Punky, tu ne posterais pas sur le forum de Lost Island. Même pseudo et même théorie, je t'ai démasqué.

Pendant ce temps-là à l'université, on joint l'utile à l'agréable et on étudie les séries (Moi, c'est décidé, j'y vais, surtout que c'est une copine qui parle de The Wire, qui est effectivement, selon moi, la meilleure série EVER ! )

The Contemporary American Television Series:

Between Fiction, Fact, and the Real

One-day conference, Institut Charles 5, Université Paris-Diderot. 10 rue Charles V, 75004 Paris

Mardi 8 juin 2010, 9 :30-17 :00

Salle A 50 (Bâtiment A, 4è étage)




9h30 Ouverture de la journée d'étude (Ariane Hudelet et Sophie Vasset)

9h45 Shannon Wells-Lassagne (Université Bretagne Sud)
"Crossing the Pond: Adapting The Office to an American Audience"

10h15 Beth Kowaleski-Wallace (Boston College)
"Realism, Mimesis, and the Commodity in Season One of Mad Men"

10h45 PAUSE

11h15 Lionel Dufaye (Université Paris-Diderot)
"AD(wo)MEN, ou l'autre dans mAD MEN""

11h45 Flore Coulouma (Université Paris X)
"The Wire et le lieu commun dans l'élaboration de l'identité linguistique".


12h30 PAUSE


14h Monica Michlin (Université Paris IV)
“Beyond the Mirroring of Fiction and Reality: US Presidents in Contemporary TV Series”
(The West Wing, 24, Battlestar Galactica, Commander-in-Chief)

14h30 Michel Etcheverry (Université Paris IV)
"Carnivale, ou la métaphysique en pleine dépression"

15h PAUSE

15h30 Sarah Hatchuel (Université du Havre)
"'Lost in Lost': Les séquences d'ouverture entre quotidien anodin et déstabilisation fantastique"

16h00 Eric Toubiana (Université Paris Diderot)
“Les machineries addictives”

16h30: Bilan et préparation du colloque de mai 2011



Les séries télévisées américaines contemporaines : entre la fiction, les faits et le réel

Journée d'étude, université Paris-Diderot - 8 juin 2010


Depuis le milieu des années 1990, les séries américaines connaissent un nouvel « âge d’or », marqué par des productions de grande qualité, par un engouement international spectaculaire (lié aussi aux nouveaux modes de visionnage – DVD, streaming ou VOD), et par un nouveau respect critique pour la forme elle-même. Cette journée d’étude se propose d’explorer le lien que tissent ces œuvres entre fiction et réalité. Pourquoi, par exemple, certaines réalités semblent-elles se prêter plus particulièrement à la forme sérielle (le monde médical, policier, ou judiciaire par exemple)? Les communications pourront aussi s’interroger sur l’idéologie qui sous-tend les choix de la fiction : quelle fonction la fiction a-t-elle quand elle prend en charge un certain aspect de la réalité (sociale, politique, économique) à un moment donné ? (comme la représentation de l’administration américaine dans The West Wing [A la Maison Blanche], ou la dénonciation des dysfonctionnements institutionnels dans The Wire [Sur Ecoute]).
Les approches plus esthétiques et formelles pourront se pencher sur les modes et stratégies utilisées par ces fictions pour représenter le réel. En quoi consiste le « réalisme » prétendument affiché par certaines d’entre elles, depuis la représentation en « temps réel » de 24 jusqu’à l’utilisation de la caméra à l’épaule dans Californication, ou encore aux détails corporels très crus de Nip/Tuck ? D’autres œuvres, au contraire, témoignent d’une ambition de stylisation ou de caricature (Desperate Housewives), et que dire des mondes fantasmés de Battlestar Galactica ou True Blood, ou du rapport à une quelconque « réalité historique » dans des séries comme Deadwood, Mad Men, ou Rome ?
Ce lien entre fiction et réalité pourra aussi nous aider à réfléchir sur la manière dont ces séries s’inscrivent dans la réalité même des spectateurs. Le processus d’identification et d’appropriation semble atteindre des niveaux sans précédents. Les spectateurs poursuivent l’expérience de « leur » série sur internet, par des discussions, des « re-créations » audiovisuelles, ou tout simplement par la consommation de produits dérivés. Les séries influent par la suite sur la manière dont nous appréhendons la réalité qui nous entoure. De tout temps bien sûr, l’individu s’est construit en partie grâce aux fictions auxquelles il était exposé, mais on pourra s’interroger, lors de ce colloque, sur la spécificité de l’impact des séries sur le spectateur, qui y trouve à la fois le pouvoir hypnotique et séducteur du film de cinéma et le plaisir de la complexité narrative et de la durée plus généralement associé au roman littéraire.

Comme disait Boris Vian, Monica Michlin, elle est pneumatique ???

Mavsoul wrote:Dis donc Punky, tu ne posterais pas sur le forum de Lost Island. Même pseudo et même théorie, je t'ai démasqué.

Si. Je me suis inscrit juste après avoir regardé le final.

Je viens de voir la fin de Lost, et voici une explication qui correspond assez à ce que j'ai compris : http://www.fredzone.org/explications-sur-la-fin-de-lost" onclick="window.open(this.href);return false;

"'Lie to me '" reprend a la fin du mois

Sinon, j'aimerai decouvrir une nouvelle serie. Vous avez des conseils?

J?i vu, ou je suis toujours: The Wire, Oz, Dexter, Desperate housewives, The Dollhouse, lie to me, BBT, HIMYM, Sons of anarchy, Greys anatomy, Glee, Skin, Shameless, Dirty Sexy Money, Six feet under, 24.

Jamais franchi le pas pour Heroes, Lost, The sopranos. A priori completement stupide qui fait que je ne suis pas tent?...

Melkyor wrote:"'Lie to me '" reprend a la fin du mois

Sinon, j'aimerai decouvrir une nouvelle serie. Vous avez des conseils?

J?i vu, ou je suis toujours: The Wire, Oz, Dexter, Desperate housewives, The Dollhouse, lie to me, BBT, HIMYM, Sons of anarchy, Greys anatomy, Glee, Skin, Shameless, Dirty Sexy Money, Six feet under, 24.

Jamais franchi le pas pour Heroes, Lost, The sopranos. A priori completement stupide qui fait que je ne suis pas tent?...

D'interessant il y a chuck une parodie des film d'espion, Friday nights light une des meilleurs serie actuellement sur le foot US un tres bon drama, si tu aimes la SF il y a Battlestar gallactica, Fringe qui est une sorte de x-files fait pas le createur de lost et alias. Il y a aussi legend of seeker un serie d'heroic fantasy pas mal. Et enfin il y a The pacific une serie de Speilberg sur la second guerre mondial dans le pacific.

BriKo wrote:Je viens de voir la fin de Lost, et voici une explication qui correspond assez à ce que j'ai compris : http://www.fredzone.org/explications-sur-la-fin-de-lost" onclick="window.open(this.href);return false;

J'adhère assez à cette vision de la série.

Melkyor wrote:"'Lie to me '" reprend a la fin du mois

Sinon, j'aimerai decouvrir une nouvelle serie. Vous avez des conseils?

J?i vu, ou je suis toujours: The Wire, Oz, Dexter, Desperate housewives, The Dollhouse, lie to me, BBT, HIMYM, Sons of anarchy, Greys anatomy, Glee, Skin, Shameless, Dirty Sexy Money, Six feet under, 24.

Jamais franchi le pas pour Heroes, Lost, The sopranos. A priori completement stupide qui fait que je ne suis pas tent?...

Il y a éventuellement Life on mars, une série anglaise de 16 épisodes mêlant policier et fantastique, qui joue par ailleurs sur la nostalgie des années 70. A découvrir.

Punky wrote:

Asse Of Spades wrote:J'ai lu, je n'ai pas résisté

Vilain.
Après, ce n'est que mon interprétation et on peut en avoir d'autres.

Moi je suis pas du tout d'accord avec ta théorieµ.
Excepté le dernier paragraphe (le lieu de réunion dans l'église) qui est effectivement assez bien expliqué.

J'essaierai de développer cà plus tard ici.

El Couramiaud wrote:

BriKo wrote:Je viens de voir la fin de Lost, et voici une explication qui correspond assez à ce que j'ai compris : http://www.fredzone.org/explications-sur-la-fin-de-lost" onclick="window.open(this.href);return false;

J'adhère assez à cette vision de la série.

Pas moi. J'ai expliqué mon point de vue au dessus. Là, trop de choses ne collent pas. Un simple exemple : Pourquoi vont-on Aaron bébé dans l'église (cela voudrait dire qu'il est mort peu de temps après ?) ? Et pourquoi ne vont-on pas le bébé de Sun / Jin ?

Punky wrote:

El Couramiaud wrote:

BriKo wrote:Je viens de voir la fin de Lost, et voici une explication qui correspond assez à ce que j'ai compris : http://www.fredzone.org/explications-sur-la-fin-de-lost" onclick="window.open(this.href);return false;

J'adhère assez à cette vision de la série.

Pas moi. J'ai expliqué mon point de vue au dessus. Là, trop de choses ne collent pas. Un simple exemple : Pourquoi vont-on Aaron bébé dans l'église (cela voudrait dire qu'il est mort peu de temps après ?) ? Et pourquoi ne vont-on pas le bébé de Sun / Jin ?

Spoiler:
Rien ne te dit que cette scène ne se déroule pas des années voire des siècles plus tard (notamment car on y voit Hurley, censé être désormais immortel)
Aaron a été un élément déterminant de l'histoire et des divers agissements de certains personnages. en ce sens, il est lié à eux (Claire, Kate, Charlie...).
Le fils de Jin et Sun n'entre pas dans cette catégorie, tout comme Ana Lucia, Widmore, Rousseau, Faraday et bien sûr Ben qui refuse d'entrer.

J'ai lu le lien et c'est mot pour mot mon interprétation de la fin. Moi aussi, j'ai tout de suite pensé aux enfers dans le coeur de l'île et à la notion de "groupe par delà la mort" lors de la scène de l'Eglise.
Quant au fait que Jack ne meurt pas dans le cœur de l'île, je ne crois pas forcément à la notion de catalyseur mais Jack étant blessé, l'Île a sans doute en effet l'intention de le laisser mourir sa mort.

Si quelqu'un qui n'a jamais vu Lost me demandais s'il doit visionner toute la série, je lui dirais vas-y, fonce, mais surtout ne regarde jamais le dernier épisode qui ruine tout.

GreenPeace wrote:Si quelqu'un qui n'a jamais vu Lost me demandais s'il doit visionner toute la série, je lui dirais vas-y, fonce, mais surtout ne regarde jamais le dernier épisode qui ruine tout.

Je vois pas en quoi, personnellement.
Comme souvent, je me demande ce que les gens attendent comme fin de série.

En général, dans le cas des séries mystérieuses et/ou à tiroir, il n'y a que trois cas de fins:
- la fin ouverte qui laisse la place à l'interprétation (Lost, Evangelion, Le Prisonnier, Code Quantum...)
- la fin fermée qui donne toutes les réponses, quitte à ce qu'elles soient terre à terre ou tirées par les cheveux (X-Files, Jéricho, Alias)
- la fin inachevée car la série s'est arrêtée avant (John Doe)

Je ne connais pas de série fleuve qui se soit achevée sans laisser de place à l'interprétation et en satisfaisant tout le monde. Le propre d'une chute est au contraire de susciter un temps encore la réflexion de celui qui y est arrivé. C'est ainsi que fonctionnent de nombreuses excellentes œuvres littéraires ou cinématographiques (voire videoludiques).
Lost n'y fait pas exception. Les gens qui se disent déçus ne le sont que par pur caprice car ils seraient incapables de dire ce qu'ils voudraient vraiment ou en tous cas, incapables de s'en satisfaire.

Disons qu'en tant que fan et même si les scénaristes optent pour une fin ouverte, on est en droit d'avoir des réponses concrètes sur certains points. Même si cela n'est pas mon cas, je peux comprendre la frustration de certains après le final de Lost. Peu de réponses sur la nature même de l'île, sur Smokey Man. De toute façon, la force de Lost réside dans ce point : même après son clap de fin, cette série permet de débattre à l'infini, sans que personne ne puisse se targuer de détenir l'unique vérité.

Danish le Survivant wrote:

GreenPeace wrote:Si quelqu'un qui n'a jamais vu Lost me demandais s'il doit visionner toute la série, je lui dirais vas-y, fonce, mais surtout ne regarde jamais le dernier épisode qui ruine tout.

Je vois pas en quoi, personnellement.
Comme souvent, je me demande ce que les gens attendent comme fin de série.

En général, dans le cas des séries mystérieuses et/ou à tiroir, il n'y a que trois cas de fins:
- la fin ouverte qui laisse la place à l'interprétation (Lost, Evangelion, Le Prisonnier, Code Quantum...)
- la fin fermée qui donne toutes les réponses, quitte à ce qu'elles soient terre à terre ou tirées par les cheveux (X-Files, Jéricho, Alias)
- la fin inachevée car la série s'est arrêtée avant (John Doe)

Je ne connais pas de série fleuve qui se soit achevée sans laisser de place à l'interprétation et en satisfaisant tout le monde. Le propre d'une chute est au contraire de susciter un temps encore la réflexion de celui qui y est arrivé. C'est ainsi que fonctionnent de nombreuses excellentes œuvres littéraires ou cinématographiques (voire videoludiques).
Lost n'y fait pas exception. Les gens qui se disent déçus ne le sont que par pur caprice car ils seraient incapables de dire ce qu'ils voudraient vraiment ou en tous cas, incapables de s'en satisfaire.

Tout ça est évidemment très subjectif.
Je pense maintenant que la meilleure solution pour une fiction fleuve est l'interruption abrupte, l'inachevé ce qui est plus juste par rapport à un type d'écriture qui à sa genèse ne se pose aucune limite de temps, de ramification, bifurcation et dans laquelle tu peux entrer à n'importe quel épisode… Poser un point final est donc un peu contradictoire avec une structure qui n'a pas de début unique, le couperet au hasard est plus pertinent.

Sur le cas particulier de Lost, le trip mistico-guimauve du final aplati pour moi tout le plaisir du grand n'importe quoi qui faisait la saveur de cette série. J'aurais du arrêter de moi-même à l'antépénultième et rester sur l'illusion d'un univers ouvert.

Punky wrote:Disons qu'en tant que fan et même si les scénaristes optent pour une fin ouverte, on est en droit d'avoir des réponses concrètes sur certains points. Même si cela n'est pas mon cas, je peux comprendre la frustration de certains après le final de Lost. Peu de réponses sur la nature même de l'île, sur Smokey Man. De toute façon, la force de Lost réside dans ce point : même après son clap de fin, cette série permet de débattre à l'infini, sans que personne ne puisse se targuer de détenir l'unique vérité.

On est en droit de rien du tout. Un créateur ne doit pas se laisser influencer par le public si celà met à mal l'intégrité de son oeuvre.
Les "certains points" ne méritent pas forcément une explication concrète puisqu'elle serait inévitablement disséquée et rejetée. Alors qu'en réalité, tout le monde a à peu près compris ce qu'est l'île et ce qu'est Smokey, je ne vois pas l'intérêt que la série dise "Smokey et l'île c'était cà". Pourquoi ? Parce que tout le monde dirait "Mais non, ca n'a aucun sens au regard de cà, cà ou cà"

Les auteurs auraient du faire une fin lynchienne à la "Evangelion" (l'archétype même de la fin qui mettra 2 mois avant qu'on la comprenne), là on aurait compris notre douleur

Danish le Survivant wrote:

Punky wrote:Disons qu'en tant que fan et même si les scénaristes optent pour une fin ouverte, on est en droit d'avoir des réponses concrètes sur certains points. Même si cela n'est pas mon cas, je peux comprendre la frustration de certains après le final de Lost. Peu de réponses sur la nature même de l'île, sur Smokey Man. De toute façon, la force de Lost réside dans ce point : même après son clap de fin, cette série permet de débattre à l'infini, sans que personne ne puisse se targuer de détenir l'unique vérité.

On est en droit de rien du tout. Un créateur ne doit pas se laisser influencer par le public si celà met à mal l'intégrité de son oeuvre.
Les "certains points" ne méritent pas forcément une explication concrète puisqu'elle serait inévitablement disséquée et rejetée. Alors qu'en réalité, tout le monde a à peu près compris ce qu'est l'île et ce qu'est Smokey, je ne vois pas l'intérêt que la série dise "Smokey et l'île c'était cà". Pourquoi ? Parce que tout le monde dirait "Mais non, ca n'a aucun sens au regard de cà, cà ou cà"

Les auteurs auraient du faire une fin lynchienne à la "Evangelion" (l'archétype même de la fin qui mettra 2 mois avant qu'on la comprenne), là on aurait compris notre douleur

Euh...sans nous (les téléspectateurs), les scénaristes ne seraient rien. Sans audience, Lost n'aurait même pas eu de deuxième saison (il n'y a qu'à voir FlashForward). Que les auteurs ne se laissent pas influencer par les fans, on est tous d'accord. Maintenant, je peux comprendre que certains attendaient des réponses plus précises. Perso et même si elle n'est pas suivie par la majorité (et reste très critiquable), je maintiens la thèse de l'île purgatoire. Car sinon, la frustation de ne pas savoir me laisse un goût amer dans la bouche. Pire encore, je trouve la série moins intéressante, avec cette île qui au final ne correspond à rien (alors que c'est quand même l'élément central de lost).

Spoiler:
La porte des Enfers, ca me convient tout à fait comme explication.

Vous me faites rire avec votre série. JJA est un arnaqueur. Il brode à mort, ouvre des pistes mystiques à tout va et après quand il doit tout expliquer et tout refermer, c'est baclé et bidon, tout ce qu'on se dit c'est "tout ça pour ça". Déjà le cas avec Alias, re-belotte avec Lost et déjà sûrement pareil avec Flash Forward. Ça pue à plein nez l'arnaque. Tout ce qui l'intéresse c'est l'audimat.

Et question psychologie des personnages, faut vraiment pas être exigeant (MI3, Alias, Lost...).

Punky wrote:Disons qu'en tant que fan et même si les scénaristes optent pour une fin ouverte, on est en droit d'avoir des réponses concrètes sur certains points. Même si cela n'est pas mon cas, je peux comprendre la frustration de certains après le final de Lost. Peu de réponses sur la nature même de l'île, sur Smokey Man. De toute façon, la force de Lost réside dans ce point : même après son clap de fin, cette série permet de débattre à l'infini, sans que personne ne puisse se targuer de détenir l'unique vérité.

Parce que les scénaristes ne savent eux-mêmes pas ce qu'il en est. Ils avançaient à tâtons sans savoir.

Danish le Survivant wrote:Spoiler:
La porte des Enfers, ca me convient tout à fait comme explication.

Effectivement. Et ça expliquerait certains phénomènes surnaturels. Bordel Danish, arrêtes de me faire douter là...

Wilyrah wrote: Parce que les scénaristes ne savent eux-mêmes pas ce qu'il en est. Ils avançaient à tâtons sans savoir.

Je ne peux pas te laisser dire ça. Cela faisait plusieurs années que les scénaristes avaient prévu que Lost terminerait à la fin de la saison 6 (je me rappelle d'interviews, il y a deux ou trois ans). Et ces derniers clament depuis très longtemps qu'ils avaient en tête toute la trame de la série, avant même la diffusion du premier épisode. C'est d'ailleurs pareil pour FlashForward : avant son annulation ( ), il était prévu six saisons. D'ailleurs, la date "2016" apparaît clairement dans la série.

Punky wrote:

Wilyrah wrote: Parce que les scénaristes ne savent eux-mêmes pas ce qu'il en est. Ils avançaient à tâtons sans savoir.

Je ne peux pas te laisser dire ça. Cela faisait plusieurs années que les scénaristes avaient prévu que Lost terminerait à la fin de la saison 6 (je me rappelle d'interviews, il y a deux ou trois ans). Et ces derniers clament depuis très longtemps qu'ils avaient en tête toute la trame de la série, avant même la diffusion du premier épisode. C'est d'ailleurs pareil pour FlashForward : avant son annulation ( ), il était prévu six saisons. D'ailleurs, la date "2016" apparaît clairement dans la série.

D'ailleurs certaines éléments de la saison 6 présents dans les premières saisons, me font penser que beaucoup de choses étaient déjà bel et bien pensées...

N'empêche que la fin impromptue de Flashforward me laisse un gout amer. La première saison était au final très bonne. J'aurais pensé qu'avec la suspension de la série, ils auraient choisis l'option opposée, i.e empêcher un nouveau blackout.

Pour ceux qui ont aimé cette série et qui souhaitent qu'ABC revienne sur sa décision, une petite pétition.
http://www.petitionspot.com/petitions/SaveFlashForward" onclick="window.open(this.href);return false;