Il a annoncé et acté sa prise de recul opérationnelle. Il l’assume pas parce que c’est un vieux têtu qui se rêve de laisser une trace à la Rocher, mais le reste c’est fait.Florent wrote:Dès qu’il aura annoncé, assumé et acté sa prise de recul opérationnelle, je serai d’accord avec toi. Aujourd’hui, cela n’est que supposition. Le patron revendiqué, aujourd’hui,c’est Romeyer.latornade wrote:C’est bien ce qu’il est en train de faire.Florent wrote:
C'est gentil de me traiter de "jeune"
Ça faisait longtemps qu'on ne me l'avait pas dit merci
Pour le fond, je sais plus vraiment comment le verbaliser...
On tente une dernière fois ?
J'attends donc dans un premier temps que Romeyer démissionne de ses mandats exécutifs avant, dans un second temps, de vendre ses parts.
Tu partages ou pas l'idée, c'est une chose, mais ne pas comprendre la position (me semble t il assez simple) m'interroges.
Donc c'est pas la nomination d'un n-1 qui change quelque chose.
Ce qui est demande est qu'il se casse
Et pourtant le N-1 étant un pré requis avant tout passage de témoin et encore plus dans la position actuelle de l’entreprise où une partie des actifs a besoin de stabilité. Le renversement de la table soudain pourrait de plus compromettre le recrutement. Caïazzo l’a bien compris, il aurait pu légalement le démettre lors du précédent conseil.
Personnellement je pense qu’il ne finira pas la saison et que Paquet en est le premier Jalon.
Tu files juste les dossiers proprement et tu évites que les types extérieurs se retrouvent avec un autre interlocuteur en plein milieu du mercato. Question de bon sens.
Tu peux tordre le truc dans tout les sens, c’est juste la réalité.
Alors oui, on voit bien qu’il s’essaye à un dernier baroud d’honneur. Qu’il essaye par tout les moyens cette semaine d’écrire l’histoire de l’asse à sa vision. Mais son départ est validé et souhaité par le comité : ça a été dit notamment lors de la conférence d’avant match avec Caïazzo. Je vous invite tous à l’écouter dans son intégralité, il y a peu de doute à avoir.
Là il se trouve un temps de pause pour le mercato et la transition des dossiers (franchement, les gars doivent même pas avoir la clé de la machine à café). Un temps de pause parce que le sportif a besoin de sérénité. Un temps de pause parce que, comme je l’ai déjà dit, un renversement de la table soudain serait la pire chose que nous aurions à subir à cette date où tout doit être fait en terme d’image et de communication pour rassurer sportifs, banques, institutions, investisseurs...
Il faudra vraisemblablement le pousser un peu plus dehors dans un mois ou deux. Mais le directoire qui s’en chargera. C’est acté, plus personne ne le veut. Ni moi, que l’on soit bien d’accord.
Donc pour moi, ce mouvement des supporters, si il devait se prolonger, serait contre productif. Il ressemble de plus en plus à un concours de bites du genre « on l’a fait tomber, c’est nous qu’on est les plus forts ». Et enfin, je le répète, je m’interroge sur l’unité des motivations de chacun.