(HS) La Bibliothèque Verte
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Inégal.
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et bien, un peu décevant pour le fan que je suis :
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
La rentrée littéraire vue par le potonaute sagender !
http://blog.slate.fr/sagalovitsch/2011/ ... teraire-i/" onclick="window.open(this.href);return false;
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Intéressant pour le sujet et l'angle, plutôt bon dans la réalisation, avec quelques points faibles et des passages ratés (dont la fin).
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte
José wrote:
[size=85][url=http://www.faucon.net][b]du bruit à dessein[/b] \ [b]une image qui m'enchante[/b] \ [b]grenouille en trompette[/b][/url][/size]
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Peut-être aurais-tu dû expliquer le contenu, ce n'est pas un roman, etc.José wrote:
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
J'ai beaucoup apprécié par rapport à "l'homme sans qualité", qui a force de longueur, m'est tombé des mains. Mais ces deux tentatives datent de 20ans, je dois dire.vertigogo wrote:et bien, un peu décevant pour le fan que je suis :
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Belle plongée en caméras embarquées dans la capitale et ses proches alentours, pendant ce bref -mais ô combien passionnant- épisode de l'histoire de France. Ces cahiers souvenirs ne sont pas toujours dans l'ordre chronologique mais tous ces témoignages (croisés souvent) montrent la richesse de la vie politique et sociale parisienne, l'implication des hommes et des femmes en temps de guerre et de désespoir. C'est bien écrit (l'auteur, Maxime Vuillaume était journaliste, reporter et actif politiquement ) et très vivant. A mettre (en partie) en parallèle avec l'histoire de la révolution française de Michelet, un de mes livres préférés quand j'avais 20 ans ...
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
L'homme sans qualités est moins accessible mais beaucoup plus riche. ça mérite peut-être un nouvel essai ?bab'trot wrote:J'ai beaucoup apprécié par rapport à "l'homme sans qualité", qui a force de longueur, m'est tombé des mains. Mais ces deux tentatives datent de 20ans, je dois dire.vertigogo wrote:et bien, un peu décevant pour le fan que je suis :
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Je le connaissais pas ce sujet :-) Le problème, c'est que je lis très peu de bouquins nouveaux...
En ce moment, Saint Louis de Jacques Le Goff, biographie de qui vous devinez par une star des historiens. Biographie épaisse mais pour le moment intelligente, avec une partie entière consacrée à étudier les différentes sources à disposition pour connaître le roi...et les biais qu'elles induisent.
En ce moment, Saint Louis de Jacques Le Goff, biographie de qui vous devinez par une star des historiens. Biographie épaisse mais pour le moment intelligente, avec une partie entière consacrée à étudier les différentes sources à disposition pour connaître le roi...et les biais qu'elles induisent.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Perso, je suis comme babtrot, mais effectivement, àa mérite une nouvelle tentative.vertigogo wrote:L'homme sans qualités est moins accessible mais beaucoup plus riche. ça mérite peut-être un nouvel essai ?bab'trot wrote:J'ai beaucoup apprécié par rapport à "l'homme sans qualité", qui a force de longueur, m'est tombé des mains. Mais ces deux tentatives datent de 20ans, je dois dire.vertigogo wrote:et bien, un peu décevant pour le fan que je suis :
Par contre, tenté les bienveillantes il y a quelques semaines, j'ai trouvé ça pas très réussi, assez ennuyeux.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
bab'trot wrote:Peut-être aurais-tu dû expliquer le contenu, ce n'est pas un roman, etc.José wrote:
Et préciser, si besoin était, que ce n'était pas l'oeuvre d'un certain entraîneur ...
Et dis-moi, mon Joselito, est-ce ton bouquin préfèré de Girard ?
Interro la semaine prochaine.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Peu de choses vraiment intéressantes :
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Je me suis fait une p'tite passade Giraudoux avec la lecture successive des pièces :
- Siegfried
- La guerre de Troie n'aura pas lieu
- Ondine
- Amphitryon 38
- Electre
Comme ses œuvres devraient passer dans le domaine public d'ici 2 ou 3 ans je crois, on risque de les voir re-créées en masse.
J'ai trouvé la Guerre de Troie absolument excellente, et à la hauteur de sa réputation ; pour les autres, j'ai trouvé que le style très lyrique faisait daté. Malgré l'actualité de certains thèmes, ce théâtre d'entre deux guerres a vieilli ; les futurs metteurs en scène auront du boulot pour en faire des versions qui ne soient pas que de l'exhumation poussiéreuse !
Je suis dur comme ça, mais ce sont quand même des textes excellents.
- Siegfried
- La guerre de Troie n'aura pas lieu
- Ondine
- Amphitryon 38
- Electre
Comme ses œuvres devraient passer dans le domaine public d'ici 2 ou 3 ans je crois, on risque de les voir re-créées en masse.
J'ai trouvé la Guerre de Troie absolument excellente, et à la hauteur de sa réputation ; pour les autres, j'ai trouvé que le style très lyrique faisait daté. Malgré l'actualité de certains thèmes, ce théâtre d'entre deux guerres a vieilli ; les futurs metteurs en scène auront du boulot pour en faire des versions qui ne soient pas que de l'exhumation poussiéreuse !
Je suis dur comme ça, mais ce sont quand même des textes excellents.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
A propos de Vaclav Havel, des lecteurs ? Des avis, des conseils, sur ses livres?
J'ai vu une de ses pièce y a très longtemps. Je ne me rappelle pas grand chose à part que j'avais bien aimé.
J'ai vu une de ses pièce y a très longtemps. Je ne me rappelle pas grand chose à part que j'avais bien aimé.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Lu en une semaine :
"La mort suspendue" de Joe Simpson
"Sukkwan island " de David Vann
A venir : "Aylal : Une année en Mongolie", de Linda Gardelle.
En pendant la pause de midi, au travail, je lis en ce moment "Les derniers rois de Thulé",de Jean Malaurie.
"La mort suspendue" de Joe Simpson
"Sukkwan island " de David Vann
A venir : "Aylal : Une année en Mongolie", de Linda Gardelle.
En pendant la pause de midi, au travail, je lis en ce moment "Les derniers rois de Thulé",de Jean Malaurie.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Le journalisme gonzo à la française dans une amérique joliment décadente.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte
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et mon cadeau d'anniv :
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Quelques lectures parmi les dernières.
"La douce" de Fedor Dostoievski, 1876. Coll. Babel chez Actes Sud, trad. André Markowicz.
Dostoievski nous livre le récit halluciné d'un homme qui, seule face à sa femme suicidée étalée sur une table, essaie de se "remettre des idées dans le mille". Discours à la première personne, halluciné, tourbillonant. Le meilleur livre de Dostoievski qui j'ai lu - et la concurrence est bien fournie - cette petite nouvelle est un bijou de style et de psychologie - Nietzsche disait déjà que Dostoievski est la seule personne qui lui a appris quelque chose en psychologie.
Deux gros plus à cette édition : la traduction de Markowicz, peut-être moins élégante mais plus hirsute, reprenant l'esprit du texte original, et surtout la présence des notes préparatoires de Dostoievski, qui nous permettent de comprendre la petite cuisine et les fulgurances esthétiques qui participent de l'élaboration de l'oeuvre.
Il est à noter que Robert Bresson a fait de cette nouvelle un film : "Une femme douce", à mon sens décevant par bien des aspects.
Extrait :
"Du temps qu'on existait", Marien Defalvard, 2011. Grasset.
Un homme d'une quarantaine d'années se remémore son passé et ses tribulations dans quelques villes de France. Defalvard a été présenté comme "le petit prodige de la rentrée littéraire" et le "nouveau Radiguet". C'est assurément un phénomène - un rapide coup d'oeil à deux ou trois interviewes vous renseignera sur le genre de ce gosse - se tenant à 10 000 pieds de hauteur de ses contemporains.
Le livre, en revanche, m'est rapidement tombé des mains. On sent les références - Proust, Mallarmé entre autres - on se réjouit des images, de la mélancolie qui émerge. Mais Dieu que c'est précieux, que c'est orné - une littérature rococo, en somme, faite de stucs et de dorures. On est d'abord charmé, puis rapidement lassé par la profusion d'adjectifs et de noms de lieux. Ni beauté ni virtuosité, mais l'apparence de ceux-ci, l'épate continuelle. La maturité polira sans doute tout cela - Defalvard a un talent monstre, il suffit juste qu'il commence à vraiment écrire au lieu de faire des ronds avec sa plume. À suivre, donc.
Extrait :
"Bartleby le Scribe", Herman Melville, 1853. Allia, trad. Jean-Yves Lacroix.
Nouvelle absurde, qui relate l'histoire d'un homme, copiste dans un bureau juridique à Wall Street, dont les seules paroles sont "i would prefer not to". Vivant dans le bureau, il refuse de cette singulire tirade certains travaux donnés par son supérieur - jusqu'à refuser de quitter les locaux, une fois même que l'employeur l'aura déserté. On ne connait rien de cet homme, et ses congénères hésitent entre profonde pité et souverain agacement. Un livre libérateur dans une époque ou chacun enjoint l'autre de se prononcer, de s'engager, de s'impliquer, de se livrer - face à toutes ces injonctions, Bartleby reste invariablement sur la réserve, ce qui a le don de désespérer tous ceux qu'il fréquente bien malgré lui. Mais qui est donc Bartleby ? Malgré la forme limpide de ce conte satirique, les lecteurs comme le narrateur n'en sauront rien. Un des livres préféré de Renaud Camus - ce qui est plutôt engageant.
Extrait :
"Abécédaire de la bêtise ambiante", Alain Soral, 2003. Pocket.
Amis du bon sens, compagnons de la nuance, étalons de l'érudition, décampez ! Ce livre n'est pas fait pour vous. Alain Soral, pour recadrer, est un sociologue raté - et quand l'on voit les oeuvres des sociologues accomplis... - un homme politique avorté, un essayiste médiocre. Tout cela dans le même homme, c'est une performance. Dans ce court essai sous forme de dictionnaire, Soral ergote sur ses obsessions favorites : le communisme (monsieur a fréquenté le PCF), la finance (monsieur déteste les juifs), les gays, les gauchistes, le liberalisme-libertaire (quelle concept de haute-volée...). Une sorte de déferlement de névroses, dans un style des plus approximatif, sur tout ce qui lui déplait. Un syndrome de Mallory-Weiss étalé sur 250 pages.
Extrait :
"La douce" de Fedor Dostoievski, 1876. Coll. Babel chez Actes Sud, trad. André Markowicz.
Dostoievski nous livre le récit halluciné d'un homme qui, seule face à sa femme suicidée étalée sur une table, essaie de se "remettre des idées dans le mille". Discours à la première personne, halluciné, tourbillonant. Le meilleur livre de Dostoievski qui j'ai lu - et la concurrence est bien fournie - cette petite nouvelle est un bijou de style et de psychologie - Nietzsche disait déjà que Dostoievski est la seule personne qui lui a appris quelque chose en psychologie.
Deux gros plus à cette édition : la traduction de Markowicz, peut-être moins élégante mais plus hirsute, reprenant l'esprit du texte original, et surtout la présence des notes préparatoires de Dostoievski, qui nous permettent de comprendre la petite cuisine et les fulgurances esthétiques qui participent de l'élaboration de l'oeuvre.
Il est à noter que Robert Bresson a fait de cette nouvelle un film : "Une femme douce", à mon sens décevant par bien des aspects.
Extrait :
Parce que, pourquoi est-elle morte ? Quand même, cette question, elle se pose. Elle cogne, cette question, elle me cogne dans le crâne. Je l'aurais laissée seulement comme ça, si ç'avait été ça qu'elle voulait. Mais elle n'y a pas cru, voilà ! Non, non, n'importe quoi, pas du tout. Simplement, ce qu'il fallait, avec moi, c'est être honnête : si tu m'aimes, tu m'aimes complètement, et pas comme elle aurait pu être avec le boutiquier.[...] Honnête et trop honnête, n'est-ce pas ! Je voulais greffer de la largeur au fond de son âme, vous vous rappelez ?... Idée bizarre.
"Du temps qu'on existait", Marien Defalvard, 2011. Grasset.
Un homme d'une quarantaine d'années se remémore son passé et ses tribulations dans quelques villes de France. Defalvard a été présenté comme "le petit prodige de la rentrée littéraire" et le "nouveau Radiguet". C'est assurément un phénomène - un rapide coup d'oeil à deux ou trois interviewes vous renseignera sur le genre de ce gosse - se tenant à 10 000 pieds de hauteur de ses contemporains.
Le livre, en revanche, m'est rapidement tombé des mains. On sent les références - Proust, Mallarmé entre autres - on se réjouit des images, de la mélancolie qui émerge. Mais Dieu que c'est précieux, que c'est orné - une littérature rococo, en somme, faite de stucs et de dorures. On est d'abord charmé, puis rapidement lassé par la profusion d'adjectifs et de noms de lieux. Ni beauté ni virtuosité, mais l'apparence de ceux-ci, l'épate continuelle. La maturité polira sans doute tout cela - Defalvard a un talent monstre, il suffit juste qu'il commence à vraiment écrire au lieu de faire des ronds avec sa plume. À suivre, donc.
Extrait :
Nous avions quitté la ville dans le soir, le paysage en grande beauté au coucher brûlant du soleil, il coudoyait des mltitudes d'arbres au fond avec une ligne d'horizon lointaine et inaccessibles et des statues grecques roses qui dansaient sur le ciel de frangipane ; je ne le voyais plus, je ne l'entendais plus : maintenant, j'allais devoir lutter avec moi-même.
"Bartleby le Scribe", Herman Melville, 1853. Allia, trad. Jean-Yves Lacroix.
Nouvelle absurde, qui relate l'histoire d'un homme, copiste dans un bureau juridique à Wall Street, dont les seules paroles sont "i would prefer not to". Vivant dans le bureau, il refuse de cette singulire tirade certains travaux donnés par son supérieur - jusqu'à refuser de quitter les locaux, une fois même que l'employeur l'aura déserté. On ne connait rien de cet homme, et ses congénères hésitent entre profonde pité et souverain agacement. Un livre libérateur dans une époque ou chacun enjoint l'autre de se prononcer, de s'engager, de s'impliquer, de se livrer - face à toutes ces injonctions, Bartleby reste invariablement sur la réserve, ce qui a le don de désespérer tous ceux qu'il fréquente bien malgré lui. Mais qui est donc Bartleby ? Malgré la forme limpide de ce conte satirique, les lecteurs comme le narrateur n'en sauront rien. Un des livres préféré de Renaud Camus - ce qui est plutôt engageant.
Extrait :
"Bartleby ! Depêchez-vous, j'attends." J'entendis le lent crissement du fauteuil sur le sol nu, et il apparut bientôt au seuil de son ermitage. "De quoi s'agit-il ?" demanda-t-il avec délicatesse. "Les copies, les copies le pressé-je. Nous allons les collationner. Ici même." Et je lui tendis le quatrième quadruplicata. "Je préfèrerais ne pas", dit-il, et il disparut en douceur derrière le paravent.
Durant quelques instants, je restai figé comme une statue de sel, à la tête de ma colonne de clercs assis.
"Abécédaire de la bêtise ambiante", Alain Soral, 2003. Pocket.
Amis du bon sens, compagnons de la nuance, étalons de l'érudition, décampez ! Ce livre n'est pas fait pour vous. Alain Soral, pour recadrer, est un sociologue raté - et quand l'on voit les oeuvres des sociologues accomplis... - un homme politique avorté, un essayiste médiocre. Tout cela dans le même homme, c'est une performance. Dans ce court essai sous forme de dictionnaire, Soral ergote sur ses obsessions favorites : le communisme (monsieur a fréquenté le PCF), la finance (monsieur déteste les juifs), les gays, les gauchistes, le liberalisme-libertaire (quelle concept de haute-volée...). Une sorte de déferlement de névroses, dans un style des plus approximatif, sur tout ce qui lui déplait. Un syndrome de Mallory-Weiss étalé sur 250 pages.
Extrait :
Madelin, Alain : ancien facho romantique (au sens allemand du terme) devenu avec l'âge un facho rationnel, donc ultra-libéral ; et, puisque ultra-libéral, homme politique travaillant à la disparition du politique, donc de lui-même, ce qui n'est pas plus mal.
Re: (HS) La Bibliothèque Verte
Caiazzo démission !!!
Romeyer canonisation !!!
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte
J'ai bêtement terminé le 4e tome du Trône de Fer. Du coup, je dois attendre un mois avant la sortie du prochain volume.
"Galtier est enlisé dans ses idées et mourira avec !"
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte
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