Il devient ainsi le 758ème joueur recruté par Arles-Avignon en deux ans.José wrote:Lu ce soir sur le site de la Provence :
Christophe Landrin tout près de l'ACA
Le milieu de terrain de 34 ans devrait parapher un contrat de deux ans avec Arles-Avignon dans les prochaines heures. Libéré par Saint-Etienne, Landrin a disputé 25 matches la saison dernière dans le Forez, inscrivant un but. Formé à Lille, le milieu de terrain défensif a aussi évolué une saison au PSG avant d'atterrir chez les Verts.
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[Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
[i]"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait"[/i] (Mark Twain).
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Timick wrote:Il devient ainsi le 758ème joueur recruté par Arles-Avignon en deux ans.José wrote:Lu ce soir sur le site de la Provence :
Christophe Landrin tout près de l'ACA
Le milieu de terrain de 34 ans devrait parapher un contrat de deux ans avec Arles-Avignon dans les prochaines heures. Libéré par Saint-Etienne, Landrin a disputé 25 matches la saison dernière dans le Forez, inscrivant un but. Formé à Lille, le milieu de terrain défensif a aussi évolué une saison au PSG avant d'atterrir chez les Verts.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
L'effet BompardTimick wrote:Il devient ainsi le 758ème joueur recruté par Arles-Avignon en deux ans.José wrote:Lu ce soir sur le site de la Provence :
Christophe Landrin tout près de l'ACA
Le milieu de terrain de 34 ans devrait parapher un contrat de deux ans avec Arles-Avignon dans les prochaines heures. Libéré par Saint-Etienne, Landrin a disputé 25 matches la saison dernière dans le Forez, inscrivant un but. Formé à Lille, le milieu de terrain défensif a aussi évolué une saison au PSG avant d'atterrir chez les Verts.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Mardi les Bleues rencontrent l’Allemagne, tenante du titre, pour leur troisième match de poule. Toutes deux assurées de leur qualification en...
En fin de contrat en juin 2013, le gardien de but de Grenoble Jody Viviani (29 ans) va s’engager avec le club grec du Skoda Xanthi.
Selon nos informations, Jody Viviani va quitter la France et Grenoble, en grande difficulté. Malgré un contrat courant jusqu’en juin 2013 avec le GF38, le gardien de but de 29 ans, passé par Montpellier et Saint-Etienne, va s’engager prochainement avec le Skoda Xanthi (première division grecque).
mercato365.com
En fin de contrat en juin 2013, le gardien de but de Grenoble Jody Viviani (29 ans) va s’engager avec le club grec du Skoda Xanthi.
Selon nos informations, Jody Viviani va quitter la France et Grenoble, en grande difficulté. Malgré un contrat courant jusqu’en juin 2013 avec le GF38, le gardien de but de 29 ans, passé par Montpellier et Saint-Etienne, va s’engager prochainement avec le Skoda Xanthi (première division grecque).
mercato365.com
La météo est une science qui permet de connaître le temps qu'il aurait dû faire .... un peu comme un Nanard avec les transferts
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
A 41 ans, Miklos Molnar va pouvoir mettre à profit son expérience internationale (il est passé par 7 pays différents comme joueur). Il vient d'accepter le poste de directeur sportif du club Danois B1908 qui évolue en deuxième division
http://politiken.dk/sport/fodbold/ECE13 ... k-fodbold/
http://politiken.dk/sport/fodbold/ECE13 ... k-fodbold/
2005 -->2020
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Cf potin du 30 juin : http://www.poteaux-carres.com/potin-B28 ... amite.html" onclick="window.open(this.href);return false;thomas99 wrote:A 41 ans, Miklos Molnar va pouvoir mettre à profit son expérience internationale (il est passé par 7 pays différents comme joueur). Il vient d'accepter le poste de directeur sportif du club Danois B1908 qui évolue en deuxième division
http://politiken.dk/sport/fodbold/ECE13 ... k-fodbold/
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Alors que la Gazette l'envoyait comme maxifoot à Ajaccio, c'est bien avec Arles Avignon que Landrin s'est engagé. L'ACAA n'est pas l'ACA !
AA.net : "Christophe, on a longtemps entendu dire que tu étais proche de t'engager avec le FC Nantes-Atlantique, quand ont eu lieu les premiers contacts entre l'ACA et toi ?"
"C'est vrai, depuis la mi-mai, c'était quasi bouclé avec Nantes mais tout va très vite dans le football et cela ne s'est pas fait. Les contacts avec Arles ont débuté il y a dix jours. Ce qui a fait la différence ? Le discours du coach que j'ai très souvent eu au téléphone. Et puis Jessy Moulin (ndlr : joueur de l'ACA en 2008-09) et Vincent Planté ne m'ont dit que du bien de ce club. Ces bons échos, plus la réputation et le discours du coach ont fini de me convaincre."
"Vous venez de passer les tests médicaux nécessaires à la signature de votre contrat, comment cela s'est-il passé ?"
"Très bien, ces tests étaient assez courts, pour ne rien vous cacher. Mais je m'attends à une "batterie" de tests très poussés, mercredi prochain, en rentrant de stage. On m'a déjà prévenu."
"Vous allez pouvoir apporter toute votre expérience à ce groupe ?"
"Je l'espère, mais vous savez, j'arrive avant tout sur la pointe des pieds. Je vais découvrir des hommes, un groupe et je vais essayer de me fondre dans le collectif le plus rapidement possible. Mon principal but sera de faire ce que je fais de mieux : jouer au football."
Vous vous apprêtez à rejoindre le groupe en stage de préparation, où en êtes vous physiquement et psychologiquement ?"
"Reposé, mais j'ai vraiment hâte de reprendre. J'ai arrêté l'entraînement fin mai avec Saint-Etienne. La saison a été délicate pour moi. J'ai bien commencé avec les verts et puis j'ai moins joué mais je ne peux m'en prendre qu'à moi-même, l'équipe tournait bien sans moi. Depuis la fin de la saison, je me prépare seul pour être fin prêt car je savais que l'opportunité de rejoindre un nouveau club allait arriver. Je cours, je fais du vélo. Je sais que les séances de travail à Albertville sont dures en ce moment, mais je suis prêt."
http://www.arlesavignon.net" onclick="window.open(this.href);return false;
AA.net : "Christophe, on a longtemps entendu dire que tu étais proche de t'engager avec le FC Nantes-Atlantique, quand ont eu lieu les premiers contacts entre l'ACA et toi ?"
"C'est vrai, depuis la mi-mai, c'était quasi bouclé avec Nantes mais tout va très vite dans le football et cela ne s'est pas fait. Les contacts avec Arles ont débuté il y a dix jours. Ce qui a fait la différence ? Le discours du coach que j'ai très souvent eu au téléphone. Et puis Jessy Moulin (ndlr : joueur de l'ACA en 2008-09) et Vincent Planté ne m'ont dit que du bien de ce club. Ces bons échos, plus la réputation et le discours du coach ont fini de me convaincre."
"Vous venez de passer les tests médicaux nécessaires à la signature de votre contrat, comment cela s'est-il passé ?"
"Très bien, ces tests étaient assez courts, pour ne rien vous cacher. Mais je m'attends à une "batterie" de tests très poussés, mercredi prochain, en rentrant de stage. On m'a déjà prévenu."
"Vous allez pouvoir apporter toute votre expérience à ce groupe ?"
"Je l'espère, mais vous savez, j'arrive avant tout sur la pointe des pieds. Je vais découvrir des hommes, un groupe et je vais essayer de me fondre dans le collectif le plus rapidement possible. Mon principal but sera de faire ce que je fais de mieux : jouer au football."
Vous vous apprêtez à rejoindre le groupe en stage de préparation, où en êtes vous physiquement et psychologiquement ?"
"Reposé, mais j'ai vraiment hâte de reprendre. J'ai arrêté l'entraînement fin mai avec Saint-Etienne. La saison a été délicate pour moi. J'ai bien commencé avec les verts et puis j'ai moins joué mais je ne peux m'en prendre qu'à moi-même, l'équipe tournait bien sans moi. Depuis la fin de la saison, je me prépare seul pour être fin prêt car je savais que l'opportunité de rejoindre un nouveau club allait arriver. Je cours, je fais du vélo. Je sais que les séances de travail à Albertville sont dures en ce moment, mais je suis prêt."
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Lu aujourd'hui dans le quotidien colombien La Opinion :
Andreina, una cucutena que cautivo el corazon de Guarin
El fútbol colombiano ha quedado en alto esta temporada con la representación en Europa de los jugadores que actúan en Italia y Portugal.
Quizás el logro más significativo e importante es el título alcanzado por el Oporto de Portugal, con los colombianos, Freddy Guarín, James Rodríguez (cucuteño de nacimiento) y Radamel Falcao García, al ganar la Liga Europa (antigua Copa Uefa).
Falcao además se convirtió en el máximo artillero de esta competición con 16 goles, superando el récord del alemán Jürgen Klismann, de 15 anotaciones.
Pero lo que poco o muchos no saben, es que detrás de este “fenómeno”, hay una cucuteña, una nortesantandereana de pura cepa, nacida en el barrio Carora. Andreina Fiallo Soto, esposa de Freddy Guarín, campeón de Europa.
Guarín fue quien dio el pase a gol a Adrián Ramos, para la anotación del triunfo el sábado sobre Costa Rica, en el estreno de Colombia en la Copa América de Argentina.
Aunque es cucuteña, al otro lado de la línea del teléfono su acento se escucha paisa. Aún así se siente cucuteña de “racamandaca”, lo cual afirma con mucha seguridad.
El primer gol de corazón
¿Pero dónde, cuándo y cómo conoció a Freddy?
“Conocí a mí esposo en la casa de mi mamá (en Medellín), por intermedio de un compañero de él (Henry Rojas, defensa) cuando jugaba en las divisiones menores de Nacional”.
Andreina, quien lleva más de 15 años viviendo en la capital antioqueña con su familia, recuerda que aunque es seguidora de Nacional no le gustaba ir al estadio.
No obstante, con todo lo que ha vivido siguiendo los pasos de Freddy por el Boca Juniors (Argentina), el Saint Etienne (Francia) y ahora con Oporto, ha despertado cierta pasión por el fútbol.
A los 18 años y después de tanto coqueteo, y salidas, encuentros en Medellín, Freddy Guarín logró anotar su primer gol de su vida: conquistar a Andreina, con quien no dudó en formar un hogar. Lo hizo cuando apenas integraba la selección Sub-20 de Colombia en el año 2005.
De esa unión nació Daniel Alejandro Guarín Fiallo.
Tras su paso por la selección, Freddy viajó a Argentina para jugar con el Boca Juniors donde actuó poco, debido a que el técnico Alfio ´El Coco´ Basile, lo llevaba al banco de suplentes.
“A los 15 días no nos aguantamos sacamos el pasaporte y viajé con el niño a Argentina, allí permanecimos un año, fue una experiencia nueva donde tuvimos que luchar juntos, éramos muy jóvenes para convivir lejos de nuestras familias, pero nos fue bien”, apuntó la esposa de Guarín.
Camino espinoso
Fiallo señaló que después vino en el 2006, el salto al Saint Etienne (Francia), donde tampoco fueron fáciles las cosas para Freddy. La disputa por un puesto en el equipo principal fue complicada.
“Fue difícil para los tres, llegar a un país donde no se conoce a nadie, no entiende uno el idioma, aunque había dos argentinos, las cosas no eran iguales, porque Freddy quería jugar y no había como”, relató Andreina.
Añadió que hubo momentos en los que quiso regresar a Colombia donde tenía algunas ofertas importantes, pero Andreina y Freddy no se querían rendir ante las dificultades.
“Desde abajo nos hemos hecho la compañía, nos hemos apoyado el uno al otro, lo he apoyado en su fútbol dándole ánimos, fuerza, para que el no tomará un decisión de decir: “no quiero estar más acá quiero devolverme para Colombia, que hubiera sido lo más fácil”, aseveró.
No obstante, la perseverancia, alcanza lo que la dicha no logra.
Como todo jugador profesional, hizo fila en el equipo francés, jugando en la segunda división, hasta que por fin en el 2008, logró actuar en la Liga francesa, destacándose en varios partidos, y pese a que mejoró la situación parecía un reflejo de lo vivido con el Boca Juniors, pocas oportunidades.
“Allí en Francia alcanzó a ser titular, se destacó en los varios partidos, pero no se le dieron las cosas como cuando llegamos a Oporto”, afirmó Andreina Fiallo.
La justicia divina
Sin embargo, cosas buenas estaban por venir para el puerto boyacense. Cuando se dio el paso al Oporto de Portugal, del técnico Vilas Boas en el 2008, esa luz tenue comenzó a vislumbrar en el firmamento.
“Cuando nos fuimos a (vivir) a Argentina, no me imaginaba la magnitud de lo que se sentiría, porque no la había vivido y no era tan apasionada al fútbol. Para Freddy fue una oportunidad hermosa. Todo el mundo no tiene el privilegio de jugar en Boca”, manifestó, la cucuteña.
Sobre la vivencia de los títulos en la Liga Portuguesa y la Liga Europa, expresó Fiallo que fue un momento emotivo, mágico, sin precedentes, algo único e repetible.
“Como te comenté, no soy muy fanática del fútbol, pero cuando empiezas a vivirlo, a convivir con una persona donde su vida y pasión es esto (el fútbol), que te cuenta las historias de la niñez, donde todo era fútbol, fútbol, terminas encariñándote con todo el medio”, declaró Andreina.
Agregó que “para mí es un orgullo, me siento orgullosa como cucuteña que soy, porque mi esposo (Freddy) se lo merecía, viene de muy abajo luchando, al comienzo no jugaba mucho, pero lo tenían en cuenta, siempre he estado motivándolo para adelante, no importaba si se caía una o dos veces, lo importante era que tenía que levantarse una y otra vez para continuar adelante”.
Vida en familia
Un día particular de los Guarín Fiallo, es compartir con su hijo Daniel Alejandro y con la nueva heredera de la familia, Danna Fernanda, de cuatro meses y nacionalidad portuguesa. Andreina manifestó que es una familia muy unida.
Declaró que Freddy es una persona sencilla, tranquila, que tiene gusto por la buena comida.
Obviamente no puede faltar la típica bandeja paisa y los pasteles cucuteños de garbanzo para no perder la tradición de la familia.
En cuanto a lo que significa ser la dueña del corazón del campeón de Europa, dijo que “más allá de eso, de lo cual me siento orgullosa, me siento afortunada porque es un gran hombre, una persona maravillosa, un excelente papá. Como persona es muy valioso, aparte de lo que ha logrado como profesional”.
Andreina manifestó que la mayor ilusión de Freddy es jugar en el laureado Manchester United de Inglaterra.
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Andreina, una cucutena que cautivo el corazon de Guarin
El fútbol colombiano ha quedado en alto esta temporada con la representación en Europa de los jugadores que actúan en Italia y Portugal.
Quizás el logro más significativo e importante es el título alcanzado por el Oporto de Portugal, con los colombianos, Freddy Guarín, James Rodríguez (cucuteño de nacimiento) y Radamel Falcao García, al ganar la Liga Europa (antigua Copa Uefa).
Falcao además se convirtió en el máximo artillero de esta competición con 16 goles, superando el récord del alemán Jürgen Klismann, de 15 anotaciones.
Pero lo que poco o muchos no saben, es que detrás de este “fenómeno”, hay una cucuteña, una nortesantandereana de pura cepa, nacida en el barrio Carora. Andreina Fiallo Soto, esposa de Freddy Guarín, campeón de Europa.
Guarín fue quien dio el pase a gol a Adrián Ramos, para la anotación del triunfo el sábado sobre Costa Rica, en el estreno de Colombia en la Copa América de Argentina.
Aunque es cucuteña, al otro lado de la línea del teléfono su acento se escucha paisa. Aún así se siente cucuteña de “racamandaca”, lo cual afirma con mucha seguridad.
El primer gol de corazón
¿Pero dónde, cuándo y cómo conoció a Freddy?
“Conocí a mí esposo en la casa de mi mamá (en Medellín), por intermedio de un compañero de él (Henry Rojas, defensa) cuando jugaba en las divisiones menores de Nacional”.
Andreina, quien lleva más de 15 años viviendo en la capital antioqueña con su familia, recuerda que aunque es seguidora de Nacional no le gustaba ir al estadio.
No obstante, con todo lo que ha vivido siguiendo los pasos de Freddy por el Boca Juniors (Argentina), el Saint Etienne (Francia) y ahora con Oporto, ha despertado cierta pasión por el fútbol.
A los 18 años y después de tanto coqueteo, y salidas, encuentros en Medellín, Freddy Guarín logró anotar su primer gol de su vida: conquistar a Andreina, con quien no dudó en formar un hogar. Lo hizo cuando apenas integraba la selección Sub-20 de Colombia en el año 2005.
De esa unión nació Daniel Alejandro Guarín Fiallo.
Tras su paso por la selección, Freddy viajó a Argentina para jugar con el Boca Juniors donde actuó poco, debido a que el técnico Alfio ´El Coco´ Basile, lo llevaba al banco de suplentes.
“A los 15 días no nos aguantamos sacamos el pasaporte y viajé con el niño a Argentina, allí permanecimos un año, fue una experiencia nueva donde tuvimos que luchar juntos, éramos muy jóvenes para convivir lejos de nuestras familias, pero nos fue bien”, apuntó la esposa de Guarín.
Camino espinoso
Fiallo señaló que después vino en el 2006, el salto al Saint Etienne (Francia), donde tampoco fueron fáciles las cosas para Freddy. La disputa por un puesto en el equipo principal fue complicada.
“Fue difícil para los tres, llegar a un país donde no se conoce a nadie, no entiende uno el idioma, aunque había dos argentinos, las cosas no eran iguales, porque Freddy quería jugar y no había como”, relató Andreina.
Añadió que hubo momentos en los que quiso regresar a Colombia donde tenía algunas ofertas importantes, pero Andreina y Freddy no se querían rendir ante las dificultades.
“Desde abajo nos hemos hecho la compañía, nos hemos apoyado el uno al otro, lo he apoyado en su fútbol dándole ánimos, fuerza, para que el no tomará un decisión de decir: “no quiero estar más acá quiero devolverme para Colombia, que hubiera sido lo más fácil”, aseveró.
No obstante, la perseverancia, alcanza lo que la dicha no logra.
Como todo jugador profesional, hizo fila en el equipo francés, jugando en la segunda división, hasta que por fin en el 2008, logró actuar en la Liga francesa, destacándose en varios partidos, y pese a que mejoró la situación parecía un reflejo de lo vivido con el Boca Juniors, pocas oportunidades.
“Allí en Francia alcanzó a ser titular, se destacó en los varios partidos, pero no se le dieron las cosas como cuando llegamos a Oporto”, afirmó Andreina Fiallo.
La justicia divina
Sin embargo, cosas buenas estaban por venir para el puerto boyacense. Cuando se dio el paso al Oporto de Portugal, del técnico Vilas Boas en el 2008, esa luz tenue comenzó a vislumbrar en el firmamento.
“Cuando nos fuimos a (vivir) a Argentina, no me imaginaba la magnitud de lo que se sentiría, porque no la había vivido y no era tan apasionada al fútbol. Para Freddy fue una oportunidad hermosa. Todo el mundo no tiene el privilegio de jugar en Boca”, manifestó, la cucuteña.
Sobre la vivencia de los títulos en la Liga Portuguesa y la Liga Europa, expresó Fiallo que fue un momento emotivo, mágico, sin precedentes, algo único e repetible.
“Como te comenté, no soy muy fanática del fútbol, pero cuando empiezas a vivirlo, a convivir con una persona donde su vida y pasión es esto (el fútbol), que te cuenta las historias de la niñez, donde todo era fútbol, fútbol, terminas encariñándote con todo el medio”, declaró Andreina.
Agregó que “para mí es un orgullo, me siento orgullosa como cucuteña que soy, porque mi esposo (Freddy) se lo merecía, viene de muy abajo luchando, al comienzo no jugaba mucho, pero lo tenían en cuenta, siempre he estado motivándolo para adelante, no importaba si se caía una o dos veces, lo importante era que tenía que levantarse una y otra vez para continuar adelante”.
Vida en familia
Un día particular de los Guarín Fiallo, es compartir con su hijo Daniel Alejandro y con la nueva heredera de la familia, Danna Fernanda, de cuatro meses y nacionalidad portuguesa. Andreina manifestó que es una familia muy unida.
Declaró que Freddy es una persona sencilla, tranquila, que tiene gusto por la buena comida.
Obviamente no puede faltar la típica bandeja paisa y los pasteles cucuteños de garbanzo para no perder la tradición de la familia.
En cuanto a lo que significa ser la dueña del corazón del campeón de Europa, dijo que “más allá de eso, de lo cual me siento orgullosa, me siento afortunada porque es un gran hombre, una persona maravillosa, un excelente papá. Como persona es muy valioso, aparte de lo que ha logrado como profesional”.
Andreina manifestó que la mayor ilusión de Freddy es jugar en el laureado Manchester United de Inglaterra.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Un volontaire hispanophone pour nous traduire le passsage en gras ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Up ! Por favor !
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Le but de Pape hier lors de la victoire du Dynamo en super coupe d'Ukraine (3-1)
http://www.youtube.com/watch?v=NARNpZnI ... r_embedded[/video]
http://blog.isport.ua/football/communit ... /9153.html
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http://blog.isport.ua/football/communit ... /9153.html
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
José wrote:Un volontaire hispanophone pour nous traduire le passsage en gras ?
en deux mots, elle dit que pour Guarin c'était dur en France, que malgré quelques matches bien joués, i la jamais réussi à devenir titulaire et qu'il avait même pensé tout quitter et retourner en colombie.
Jonathan, on t'aime, on t'adore, ne pars pas, tu es magique!
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ech Chergui a été renvoyé de son club québécois.
http://mls-news.fr/index.php?option=com ... Itemid=130" onclick="window.open(this.href);return false;
http://mls-news.fr/index.php?option=com ... Itemid=130" onclick="window.open(this.href);return false;
[i][b]« L’attaque fait gagner des matches, la défense fait gagner des titres ».[/b][/i] M.Jordan
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Cf. potins du 30 juin !Egill le vert wrote:Ech Chergui a été renvoyé de son club québécois.
http://mls-news.fr/index.php?option=com ... Itemid=130" onclick="window.open(this.href);return false;
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
macrik wrote:Mathias Degache quitte Andrézieux pour l'AS Valence, qui accède au CFA
Dans tous les stades on chantera, le chant des Stéphanois
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
KAMENI (PRESQUE) À LA ROMA : L'arrivée de Carlos Idriss Kameni à l'AS Rome est imminente. Le gardien de l'Espanyol Barcelone doit s'engager pour quatre ans en faveur des Giallorossi. D'après la presse espagnole, le transfert rapporterait trois millions d'euros au club catalan.
eurosports.fr
eurosports.fr
La météo est une science qui permet de connaître le temps qu'il aurait dû faire .... un peu comme un Nanard avec les transferts
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Momo ?
J-A Bell vient de sortir son autobiographie
http://www.afriquejet.com/actualites/sp ... 15637.html
Football - La présentation de l'ouvrage « Vu de ma cage » de l'ancien portier des Lions Indomptables a drainé une foule importante mercredi dernier à Douala. Un tir au but à exécuter. Un gardien (Bell) dans sa cage. Et le tireur, l'« empereur » Ngassa Happi, ancien président de l'Union de Douala, qui réussit son pénalty. Contrairement à d'autres... La mise en scène est un clin d'oeil à l'actualité. Joseph Antoine Bell, pour la dédicace de « Vu de ma cage », son ouvrage autobiographique, a mis la barre haut. Entre prestation musicale et projection vidéo, où on apprend que les journalistes français étaient à ses pieds à la belle époque des années 86-87. Où on se remémore ces instants magiques au cours desquels Joseph Antoine Bell, par ses prestations, est devenu tout simplement l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire du football camerounais.
« Vu de ma cage ». Le titre fait bien sûr allusion à ce poste privilégié de gardien de but où, sur le terrain, ce joueur de foot a un regard global sur le jeu. Un recul que n'ont pas forcément les joueurs de champ. Ce « goalkeeper » des Lions Indomptables, fort en gueule - et aujourd'hui fort en texte - a donc pris du recul pour cette sortie littéraire. Plus de 15 ans après la fin de sa carrière, lui qui a vu, entendu et parfois dit (eh oui) des vertes et des pas mûres, a décidé de porter par écrit, « son long voyage de footballeur ». Et quel voyage ! « Vu de ma cage » est un livre attendu, qui est passé par plusieurs états. De rencontres en conseils, d'espoirs en reculades, il a fallu un déclic : tomber sur les Editions du Schabel, jeune éditeur aux dents longues, à qui l'on doit entre autres « Rois et royaumes Bamiléké », et « Programmés pour échouer », pour concrétiser le projet. Il a fallu près de dix ans !
L'autobiographie de Joseph Antoine Bell, qui révèle ce monde fait, au propre comme au figuré, de tacles par derrière, de simulations, d'actes d'antijeu, etc., a été présentée mercredi soir à Douala. Cérémonie où le gratin du football, des médias et même une délégation de la région du Littoral, ont fait le déplacement. « Il le mérite bien », susurre Rachel Sen Kong, la conseillère aux affaires sociales du gouverneur. Un moment d'hommage à ce footballeur de génie, dont le franc-parler et la vision ont parfois dérangé. Gaston Kelman, le préfacier, le compare à « cet albatros dont les ailes de géant l'empêchent de marcher. (...) Partout où il passait, il opérait une révolution. Il a « désethnicisé » le football », explique l'auteur de « Je suis noir et je n'aime pas le manioc ».
Et de sa cage, qu'est-ce qu'il a vu Joseph Antoine Bell? Tout. Des dirigeants mégalomanes, des mésaventures scabreuses, des CAN amères, des adieux émouvants... Dans l'ouvrage, on suit la longue et élogieuse carrière du gardien de but. Tous ses plongeons effectués de l'Eclair de Douala à l'AS St-Etienne, en passant par l'Union de Douala, l'Olympique de Marseille, etc. L'ouvrage, d'une qualité d'édition appréciable, riche en anecdotes croustillantes est le foisonnement d'histoires aussi inattendues les unes que les autres, racontées par cette espèce d'intello du football, à la liberté de ton et à l'écriture agréables, qui a toujours su défendre son talent et se faire respecter dans les équipes où il est passé. Un parcours dont nombre de footballeurs professionnels récoltent aujourd'hui, avec une indécente hardiesse, les fruits du chemin ainsi balisé.
« Vu de ma cage », Joseph Antoine Bell, Editions du Schabel, juin 2011, 320 pages, 15.000 Fcfa.
Alain Tchakounte
J-A Bell vient de sortir son autobiographie
http://www.afriquejet.com/actualites/sp ... 15637.html
Football - La présentation de l'ouvrage « Vu de ma cage » de l'ancien portier des Lions Indomptables a drainé une foule importante mercredi dernier à Douala. Un tir au but à exécuter. Un gardien (Bell) dans sa cage. Et le tireur, l'« empereur » Ngassa Happi, ancien président de l'Union de Douala, qui réussit son pénalty. Contrairement à d'autres... La mise en scène est un clin d'oeil à l'actualité. Joseph Antoine Bell, pour la dédicace de « Vu de ma cage », son ouvrage autobiographique, a mis la barre haut. Entre prestation musicale et projection vidéo, où on apprend que les journalistes français étaient à ses pieds à la belle époque des années 86-87. Où on se remémore ces instants magiques au cours desquels Joseph Antoine Bell, par ses prestations, est devenu tout simplement l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire du football camerounais.
« Vu de ma cage ». Le titre fait bien sûr allusion à ce poste privilégié de gardien de but où, sur le terrain, ce joueur de foot a un regard global sur le jeu. Un recul que n'ont pas forcément les joueurs de champ. Ce « goalkeeper » des Lions Indomptables, fort en gueule - et aujourd'hui fort en texte - a donc pris du recul pour cette sortie littéraire. Plus de 15 ans après la fin de sa carrière, lui qui a vu, entendu et parfois dit (eh oui) des vertes et des pas mûres, a décidé de porter par écrit, « son long voyage de footballeur ». Et quel voyage ! « Vu de ma cage » est un livre attendu, qui est passé par plusieurs états. De rencontres en conseils, d'espoirs en reculades, il a fallu un déclic : tomber sur les Editions du Schabel, jeune éditeur aux dents longues, à qui l'on doit entre autres « Rois et royaumes Bamiléké », et « Programmés pour échouer », pour concrétiser le projet. Il a fallu près de dix ans !
L'autobiographie de Joseph Antoine Bell, qui révèle ce monde fait, au propre comme au figuré, de tacles par derrière, de simulations, d'actes d'antijeu, etc., a été présentée mercredi soir à Douala. Cérémonie où le gratin du football, des médias et même une délégation de la région du Littoral, ont fait le déplacement. « Il le mérite bien », susurre Rachel Sen Kong, la conseillère aux affaires sociales du gouverneur. Un moment d'hommage à ce footballeur de génie, dont le franc-parler et la vision ont parfois dérangé. Gaston Kelman, le préfacier, le compare à « cet albatros dont les ailes de géant l'empêchent de marcher. (...) Partout où il passait, il opérait une révolution. Il a « désethnicisé » le football », explique l'auteur de « Je suis noir et je n'aime pas le manioc ».
Et de sa cage, qu'est-ce qu'il a vu Joseph Antoine Bell? Tout. Des dirigeants mégalomanes, des mésaventures scabreuses, des CAN amères, des adieux émouvants... Dans l'ouvrage, on suit la longue et élogieuse carrière du gardien de but. Tous ses plongeons effectués de l'Eclair de Douala à l'AS St-Etienne, en passant par l'Union de Douala, l'Olympique de Marseille, etc. L'ouvrage, d'une qualité d'édition appréciable, riche en anecdotes croustillantes est le foisonnement d'histoires aussi inattendues les unes que les autres, racontées par cette espèce d'intello du football, à la liberté de ton et à l'écriture agréables, qui a toujours su défendre son talent et se faire respecter dans les équipes où il est passé. Un parcours dont nombre de footballeurs professionnels récoltent aujourd'hui, avec une indécente hardiesse, les fruits du chemin ainsi balisé.
« Vu de ma cage », Joseph Antoine Bell, Editions du Schabel, juin 2011, 320 pages, 15.000 Fcfa.
Alain Tchakounte
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Le 1er but de Payet pour Lille.
http://www.francefootball.fr/#!/news/20 ... lille.html" onclick="window.open(this.href);return false;
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Tous deux sous contrat jusqu'en juin 2012, David Gigliotti et Olivier Davidas n'ont toujours pas repris l'entraînement avec le Nîmes Olympique, relégué en National.
Face à ces absences, les dirigeants ont réagi. Après une mise en demeure, David Gigliotti et Olivier Davidas ont été, ce lundi, «mis à pied à titre conservatoire avec interdiction d'accès au centre de formation de la Bastide.» Les Crocodiles ont, dans le même temps, saisi la commission juridique de la Ligue de football professionnel
Tous deux sous contrat jusqu'en juin 2012, David Gigliotti et Olivier Davidas n'ont toujours pas repris l'entraînement avec le Nîmes Olympique, relégué en National.
Face à ces absences, les dirigeants ont réagi. Après une mise en demeure, David Gigliotti et Olivier Davidas ont été, ce lundi, «mis à pied à titre conservatoire avec interdiction d'accès au centre de formation de la Bastide.» Les Crocodiles ont, dans le même temps, saisi la commission juridique de la Ligue de football professionnel
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ilan en contact avec Ajaccio
http://www.corsematin.com/article/derni ... tiers-dete
Car l'ACA va essentiellement consacrer sa semaine aux matchs amicaux. Trois rencontres attendent en effet les Ajacciens durant ces sept prochains jours avec Bordeaux, Bayonne et la formation basque du Real Societad qu'elle affrontera à Azpeitia, près de San Sebastien. « Nous aurons sans doute des difficultés à faire tourner. Alors, nous espérons qu'un élément nous rejoindra sur place en milieu de semaine ».
Les contacts sont toujours intensifs avec différentes pistes dont une qui mènerait à Araujo Ilan. Mais l'ACA n'est pas seul à s'intéresser à l'attaquant brésilien et son budget ne lui permettra pas de surenchérir face à d'autres propositions...
En attendant, Olivier Pantaloni devra faire avec. Ou plutôt, sans.
http://www.corsematin.com/article/derni ... tiers-dete
Car l'ACA va essentiellement consacrer sa semaine aux matchs amicaux. Trois rencontres attendent en effet les Ajacciens durant ces sept prochains jours avec Bordeaux, Bayonne et la formation basque du Real Societad qu'elle affrontera à Azpeitia, près de San Sebastien. « Nous aurons sans doute des difficultés à faire tourner. Alors, nous espérons qu'un élément nous rejoindra sur place en milieu de semaine ».
Les contacts sont toujours intensifs avec différentes pistes dont une qui mènerait à Araujo Ilan. Mais l'ACA n'est pas seul à s'intéresser à l'attaquant brésilien et son budget ne lui permettra pas de surenchérir face à d'autres propositions...
En attendant, Olivier Pantaloni devra faire avec. Ou plutôt, sans.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Il me semble que Loic Chavériat a décidé de mettre un terme à sa carrière de joueur, il jouait la saison dernière pour le club de Mèze .... info transmise par le Président du club de Poussan qui a essayé de le recruter pour la saison à venir.
Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Yes papy, on a fait 4 potins à ce sujet !ozzy wrote:Il me semble que Loic Chavériat a décidé de mettre un terme à sa carrière de joueur, il jouait la saison dernière pour le club de Mèze .... info transmise par le Président du club de Poussan qui a essayé de le recruter pour la saison à venir.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
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Meze, Bouzigue ... mon foie connait tous les bons picpouls.
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Fier d'être un bâtard né dans la Capitale des Taudis.
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Re: [Anciens verts] Que sont-ils devenus ?
Ce n'est pas le fait qu'il jouait à Mèze la saison dernière ... mais qu'il a décidé d'arrêter de jouer ... c'est cela mon info .. il ne te reste plus qu'à la confirmer.José wrote:Yes papy, on a fait 4 potins à ce sujet !ozzy wrote:Il me semble que Loic Chavériat a décidé de mettre un terme à sa carrière de joueur, il jouait la saison dernière pour le club de Mèze .... info transmise par le Président du club de Poussan qui a essayé de le recruter pour la saison à venir.
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