Live! live! live!
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Re: Live! live! live!
RAY MANZAREK / ROBBY KRIEGER : Paris, Bataclan, 3/7/11
3 juillet 2011 : un jour un peu particulier puisque nous commémorons le 40ème anniversaire de la disparition de Jim Morrison, chanteur mythique des Doors.
Ray Manzarek et Robby Krieger sont en ville pour l'évènement en proposant un concert dans l'étuve "bataclanne"(je ne sais pas si ce mot existe mais je m'en branle).
Je décide, pour ma part, de partir en début d'après-midi pour me rendre au Père Lachaise où il est certain que les die-hards se rendront afin d'entonner les standards du groupe. Pour s'orienter dans le cimetière auparavant , il suffisait de repérer tous les "Jim" griffonnés sur les tombes aux alentours. Aujourd'hui, ayant beau les chercher, je constate que ce qui faisait le charme du parcours menant à la tombe la plus visitée de Paris, avait disparu.
Le seul moyen qu'il me restait, fut de tenter de percevoir les quelques clameurs qui s'élevaient au dessus des tombes serrées les unes contre les autres et ce, dans la torpeur et la lourdeur parisiennes.
En gravissant la légère montée, des badauds s'étaient déjà amassés à quelques mêtres, scandant à tue-tête, Five To One, Hello I Love You, People Are Strange, The End, bref une partie du répertoire y passe et ce, sous la haute surveillance d'agents de sécurité qui n'ont de cesse d'épier le moindre faux pas. L'ambiance est bon enfant, conviviale même, à tel point que lorsqu'un chanteur d'un jour se trompe ou démarre malencontreusement avant les autres, des rires complaisants fusent.
Il est bien évident que la tombe elle-même, est cernée de toutes parts mais je parviens à me frayer un chemin pour y prendre quelques clichés. Celle-ci est, comme vous pouvez bien l'imaginer, jonchée de quelques bouquets de fleurs mais aussi de détritus et bougies en tout genre, bref, il s'agit depuis 40 ans, de LA TOMBE qu'il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie.
La chaleur y est écrasante et je pressens que ce soir au Bataclan, il va faire très chaud, très chaud même. C'est d'ailleurs ce qui fait le charme de cette salle. Mais bon quand on y est, on souffre.
Je remonte sur la place Nadaud où se trouve garée la Punto pour y déposer quelques affaires, boire un bon coup de flotte, je le précise et me restaurer car j'ai la dalle.
Après ce petit intermède, je prends la direction du Bataclan, n'oubliant pas de saluer la Punto qui, elle au moins, ne fait pas défaut à son fidèle conducteur (n'est-ce pas Stormy ?), redescends l'avenue Gambetta puis la rue du Chemin Vert pour parvenir au boulevard Voltaire sous une chape de plomb. Quelques 10 minutes plus tard, j'atteins le Bataclan où déjà s'étire une modeste file. Michel et son épouse me rejoignent et comme à notre habitude, nous évoquons les dernières nouveautés musicales. Michel, que je connais depuis 1985, est un passionné , je ne le dirai jamais assez, lui qui a vu les plus grands dont le Zep à St Ouen en 73. Je tairai son âge par discrétion mais Blacky est un p'tit jeunot comparé à lui.
Comme nous devions retrouver Ronan, John et Mathieu, je prends l'initiative d'aller vers l'arrière de la file. Mathieu s'y trouve. De fait, nous nous dirigeons vers les avant postes où se trouvent encore Michel et son épouse.
19h10 : la file avance. Nous ne sommes pas très "chauds" pas rentrer dans la moiteur du Bataclan.
A peine 20 minutes se sont écoulées que H-Burns qui assure la première partie, monte sur scène pour y délivrer son répertoire à consonnance springsteenienne et qui, après deux chansons, finit par raser tout le monde. Le bougre, doté d'un joli brin de voix, persiste et signe puisqu'il interprète 4 titres supplémentaires (si j'ai bien compté) tous aussi ennuyeux les uns que les autres. Allez salut mec.
La torture terminée, ce sont cette fois-ci les choses sérieuses qui vont commencer avec l'intro de Carmina Burana de Carl Orff. Précisons qu'Ozzy , coutumier de l'intro pré-citée, ne sera pas présent ce soir. Le groupe,nonchalamment, monte sur scène, entamant Roadhouse Blues dans une version très puissante. La question que tout le monde se pose, à ce moment précis, concerne le chanteur Dave Brock (rien à voir avec le guitariste-chanteur d'Hawkwind). Les doutes sont vite dissipés : Brock assure véritablement bien les vocaux si particuliers du Roi Lézard. Vous devez bien vous imaginer que le titre suivant Break On Through va déchainer la foule. Les vinyls que j'ai amenés tiennent le coup mais je crois que cela sera la dernière fois que j'en amènerai. Bref, c'est la folie !!!!!!!Strange Days, issu de l'album du même nom que j'adore, fait suite à ce déluge de décibels. Sans sautiller comme pouvait le faire Morrison, jeu de scène repris ensuite par Ian Astbury en 2003, Brock offre quelque chose de plus sobre même si la façon de tenir le micro s'en inspire très fortement.
L'intro très reconnaissable de When The Music's Over résonne dans l'étuve du Bataclan, titre qui, généralement, s'étire sur une quinzaine de minutes en live. A signaler aussi que le décor est magnifique, laissant apparaître des effets de lumière du plus bel effet. Peace Frog et son rythme endiablé n'ont d'effet que de déchainer un peu plus le public déjà en transe. Moi, j'aime cette ambiance où le public se laisse emporter par cette musique si hypnotique. Blue Sunday est exécuté avec maestria tandis que Manzarek annonce non sans émotion, que pour le 40ème anniversaire de L.A. Woman , l'album sera interprété intégralement comme cela l'avait été au Zénith en 2003, concert auquel j'avais naturellement assisté. The Changeling , Love Her Madly, Been Down So Long sont interprétés à brides abattues. Robby y effectue des soli brillants comme quoi l'âge n'a guère d'effets sur sa façon de jouer tandis que le Manzarek, recourbé sur son orgue, assure les choeurs de sa voix puissante. Derrière, Ty Dennis avec son air d'Harry James, ex-batteur de Thunder assure efficacement. Brock de temps à autre, n'est pas toujours très perceptible mais, à aucun moment, ne commet d'erreurs. Mathieu qui se trouve à côté de moi, est visiblement impressionné.
Sur l'écran, apparaît une superbe Mustang, annonçant L.A. Woman interprétée dans une version superbe. On y aperçoit aussi des documents rares tels Morrison se baladant à L.A . L'America m'a toujours fait chier et me fait encore chier aujourd'hui. Du haut de ses 6 minutes, je supporte le titre qui, au final débouche sur Hyacinth House. Ce que j'attends, pour ma part, c'est Crawling King Snake, la cover de John Lee Hooker, que les Doors via Morrison, ont toujours su transcender. Bonne interprétation de la part de Brock. The WASP (Texas Radio & The Big Heat) n'est qu'un prélude à ce qui va suivre. Bien entendu, quand on évoque L.A. Woman, on pense immanquablement à ce chef d'oeuvre qu'est Riders On The Storm étiré à souhait (près de 10 minutes) en cette soirée estivale. De plus, le titre est accompagné de superbes effets de lumière, ce qui en renforce son aspect inquiétant. Phil Chen, le petit bassiste qui a notamment travaillé avec Rod Stewart, Eric Clapton, Jerry Lee Lewis et Bob Marley, ayant un CV long comme le bras, s'illustre en exécutant des p'tits solis de fort belle facture.
Le groupe se retire après 1h45 de concert intense, Ray et Robby étant naturellement et visiblement très fatigués. Le public est dingue à ce moment-là, réclame à corps et à cris les cinq compères qui reviennent presqu'aussitôt. C'est Love Me Two Times qui est expédié à 100 à l'heure suivi de Five To One qui n'a pour unique conséquence que de provoquer les "stage divings". Je manque de m'en prendre un mais l'esquive juste à temps. Je crois que le summum de la folie du public fut atteint à ce moment-là.
Inévitablement, Light My Fire est interprété dans une version de près de 10 minutes, chacun y allant de son petit solo, le Brock s'en sortant avec tous les honneurs.
2h15 de concert intense pour des papys de presque 70 ans s'avèrent être un véritable exploit pour ces légendes du Rock qui, en dépit de leur âge, continuent de captiver des générations encore plus jeunes car il est à noter qu'outre la "vieille garde", de nombreux jeunes étaient présents et ce, sous l'oeil avisé du Roi Lézard.
3 juillet 2011 : un jour un peu particulier puisque nous commémorons le 40ème anniversaire de la disparition de Jim Morrison, chanteur mythique des Doors.
Ray Manzarek et Robby Krieger sont en ville pour l'évènement en proposant un concert dans l'étuve "bataclanne"(je ne sais pas si ce mot existe mais je m'en branle).
Je décide, pour ma part, de partir en début d'après-midi pour me rendre au Père Lachaise où il est certain que les die-hards se rendront afin d'entonner les standards du groupe. Pour s'orienter dans le cimetière auparavant , il suffisait de repérer tous les "Jim" griffonnés sur les tombes aux alentours. Aujourd'hui, ayant beau les chercher, je constate que ce qui faisait le charme du parcours menant à la tombe la plus visitée de Paris, avait disparu.
Le seul moyen qu'il me restait, fut de tenter de percevoir les quelques clameurs qui s'élevaient au dessus des tombes serrées les unes contre les autres et ce, dans la torpeur et la lourdeur parisiennes.
En gravissant la légère montée, des badauds s'étaient déjà amassés à quelques mêtres, scandant à tue-tête, Five To One, Hello I Love You, People Are Strange, The End, bref une partie du répertoire y passe et ce, sous la haute surveillance d'agents de sécurité qui n'ont de cesse d'épier le moindre faux pas. L'ambiance est bon enfant, conviviale même, à tel point que lorsqu'un chanteur d'un jour se trompe ou démarre malencontreusement avant les autres, des rires complaisants fusent.
Il est bien évident que la tombe elle-même, est cernée de toutes parts mais je parviens à me frayer un chemin pour y prendre quelques clichés. Celle-ci est, comme vous pouvez bien l'imaginer, jonchée de quelques bouquets de fleurs mais aussi de détritus et bougies en tout genre, bref, il s'agit depuis 40 ans, de LA TOMBE qu'il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie.
La chaleur y est écrasante et je pressens que ce soir au Bataclan, il va faire très chaud, très chaud même. C'est d'ailleurs ce qui fait le charme de cette salle. Mais bon quand on y est, on souffre.
Je remonte sur la place Nadaud où se trouve garée la Punto pour y déposer quelques affaires, boire un bon coup de flotte, je le précise et me restaurer car j'ai la dalle.
Après ce petit intermède, je prends la direction du Bataclan, n'oubliant pas de saluer la Punto qui, elle au moins, ne fait pas défaut à son fidèle conducteur (n'est-ce pas Stormy ?), redescends l'avenue Gambetta puis la rue du Chemin Vert pour parvenir au boulevard Voltaire sous une chape de plomb. Quelques 10 minutes plus tard, j'atteins le Bataclan où déjà s'étire une modeste file. Michel et son épouse me rejoignent et comme à notre habitude, nous évoquons les dernières nouveautés musicales. Michel, que je connais depuis 1985, est un passionné , je ne le dirai jamais assez, lui qui a vu les plus grands dont le Zep à St Ouen en 73. Je tairai son âge par discrétion mais Blacky est un p'tit jeunot comparé à lui.
Comme nous devions retrouver Ronan, John et Mathieu, je prends l'initiative d'aller vers l'arrière de la file. Mathieu s'y trouve. De fait, nous nous dirigeons vers les avant postes où se trouvent encore Michel et son épouse.
19h10 : la file avance. Nous ne sommes pas très "chauds" pas rentrer dans la moiteur du Bataclan.
A peine 20 minutes se sont écoulées que H-Burns qui assure la première partie, monte sur scène pour y délivrer son répertoire à consonnance springsteenienne et qui, après deux chansons, finit par raser tout le monde. Le bougre, doté d'un joli brin de voix, persiste et signe puisqu'il interprète 4 titres supplémentaires (si j'ai bien compté) tous aussi ennuyeux les uns que les autres. Allez salut mec.
La torture terminée, ce sont cette fois-ci les choses sérieuses qui vont commencer avec l'intro de Carmina Burana de Carl Orff. Précisons qu'Ozzy , coutumier de l'intro pré-citée, ne sera pas présent ce soir. Le groupe,nonchalamment, monte sur scène, entamant Roadhouse Blues dans une version très puissante. La question que tout le monde se pose, à ce moment précis, concerne le chanteur Dave Brock (rien à voir avec le guitariste-chanteur d'Hawkwind). Les doutes sont vite dissipés : Brock assure véritablement bien les vocaux si particuliers du Roi Lézard. Vous devez bien vous imaginer que le titre suivant Break On Through va déchainer la foule. Les vinyls que j'ai amenés tiennent le coup mais je crois que cela sera la dernière fois que j'en amènerai. Bref, c'est la folie !!!!!!!Strange Days, issu de l'album du même nom que j'adore, fait suite à ce déluge de décibels. Sans sautiller comme pouvait le faire Morrison, jeu de scène repris ensuite par Ian Astbury en 2003, Brock offre quelque chose de plus sobre même si la façon de tenir le micro s'en inspire très fortement.
L'intro très reconnaissable de When The Music's Over résonne dans l'étuve du Bataclan, titre qui, généralement, s'étire sur une quinzaine de minutes en live. A signaler aussi que le décor est magnifique, laissant apparaître des effets de lumière du plus bel effet. Peace Frog et son rythme endiablé n'ont d'effet que de déchainer un peu plus le public déjà en transe. Moi, j'aime cette ambiance où le public se laisse emporter par cette musique si hypnotique. Blue Sunday est exécuté avec maestria tandis que Manzarek annonce non sans émotion, que pour le 40ème anniversaire de L.A. Woman , l'album sera interprété intégralement comme cela l'avait été au Zénith en 2003, concert auquel j'avais naturellement assisté. The Changeling , Love Her Madly, Been Down So Long sont interprétés à brides abattues. Robby y effectue des soli brillants comme quoi l'âge n'a guère d'effets sur sa façon de jouer tandis que le Manzarek, recourbé sur son orgue, assure les choeurs de sa voix puissante. Derrière, Ty Dennis avec son air d'Harry James, ex-batteur de Thunder assure efficacement. Brock de temps à autre, n'est pas toujours très perceptible mais, à aucun moment, ne commet d'erreurs. Mathieu qui se trouve à côté de moi, est visiblement impressionné.
Sur l'écran, apparaît une superbe Mustang, annonçant L.A. Woman interprétée dans une version superbe. On y aperçoit aussi des documents rares tels Morrison se baladant à L.A . L'America m'a toujours fait chier et me fait encore chier aujourd'hui. Du haut de ses 6 minutes, je supporte le titre qui, au final débouche sur Hyacinth House. Ce que j'attends, pour ma part, c'est Crawling King Snake, la cover de John Lee Hooker, que les Doors via Morrison, ont toujours su transcender. Bonne interprétation de la part de Brock. The WASP (Texas Radio & The Big Heat) n'est qu'un prélude à ce qui va suivre. Bien entendu, quand on évoque L.A. Woman, on pense immanquablement à ce chef d'oeuvre qu'est Riders On The Storm étiré à souhait (près de 10 minutes) en cette soirée estivale. De plus, le titre est accompagné de superbes effets de lumière, ce qui en renforce son aspect inquiétant. Phil Chen, le petit bassiste qui a notamment travaillé avec Rod Stewart, Eric Clapton, Jerry Lee Lewis et Bob Marley, ayant un CV long comme le bras, s'illustre en exécutant des p'tits solis de fort belle facture.
Le groupe se retire après 1h45 de concert intense, Ray et Robby étant naturellement et visiblement très fatigués. Le public est dingue à ce moment-là, réclame à corps et à cris les cinq compères qui reviennent presqu'aussitôt. C'est Love Me Two Times qui est expédié à 100 à l'heure suivi de Five To One qui n'a pour unique conséquence que de provoquer les "stage divings". Je manque de m'en prendre un mais l'esquive juste à temps. Je crois que le summum de la folie du public fut atteint à ce moment-là.
Inévitablement, Light My Fire est interprété dans une version de près de 10 minutes, chacun y allant de son petit solo, le Brock s'en sortant avec tous les honneurs.
2h15 de concert intense pour des papys de presque 70 ans s'avèrent être un véritable exploit pour ces légendes du Rock qui, en dépit de leur âge, continuent de captiver des générations encore plus jeunes car il est à noter qu'outre la "vieille garde", de nombreux jeunes étaient présents et ce, sous l'oeil avisé du Roi Lézard.
Re: Live! live! live!
Je les avais vus il y a quelques années. Je craignais pour Krieger dont on disait qu'il avait un peu perdu de sa fougue mais j'avais trouvé qu'il n'en était rien. Manzarek et Krieger assurent presque comme à leur plus beaux jours : ça avait été un moment assez émouvant pour moi.
PS: si vous passez voir Morrison au Père Lachaise, allez faire un petit coucou à Gérard de Nerval de ma part, ça lui fera plaisir.
PS: si vous passez voir Morrison au Père Lachaise, allez faire un petit coucou à Gérard de Nerval de ma part, ça lui fera plaisir.
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Re: Live! live! live!
The Wall Vendredi soir, c'était juste parfait...
et dégouté je suis arrivé à la fermeture du Pére Lachaise dimanche
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Re: Live! live! live!
Bon ben vous me direz si c'était bien, hein ?kissmyasse wrote:Toujours pas ?????kissmyasse wrote:Je réédite ma demande, au cas où...kissmyasse wrote:Si par hazard un potonaute a pris 2 places pour les ARCTIC MONKEYS le 11 juillet aux nuits de Fourvière et finalement n'ira pas : JE SUIS PRENEUR ! => MPSorbiers wrote:Le programme des nuits de fourvière est sorti avec à noter :
- Arctic monkeys le 11 juillet
(c'est pour l'anniversaire de ma fille ainée mais je me suis bien fait griller )
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Re: Live! live! live!
À mon avis, ton dernier espoir, c'est d'aller traîner dans le coin une heure avant le concert et espérer que les vendeurs à la sauvette aient du stock et finissent par brader.kissmyasse wrote:Bon ben vous me direz si c'était bien, hein ?kissmyasse wrote:Toujours pas ?????kissmyasse wrote:Je réédite ma demande, au cas où...kissmyasse wrote:Si par hazard un potonaute a pris 2 places pour les ARCTIC MONKEYS le 11 juillet aux nuits de Fourvière et finalement n'ira pas : JE SUIS PRENEUR ! => MPSorbiers wrote:Le programme des nuits de fourvière est sorti avec à noter :
- Arctic monkeys le 11 juillet
(c'est pour l'anniversaire de ma fille ainée mais je me suis bien fait griller )
Sinon :
http://www.leboncoin.fr/annonces/offres ... ic+monkeys" onclick="window.open(this.href);return false;
"Galtier est enlisé dans ses idées et mourira avec !"
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Re: Live! live! live!
Tain le choc la tronche de Krieger
Moi qui ai vu People are strange il y a 2 semaines, ça fiche un coup. J'me serais bien plongé aussi dans l'étuve du Bataclan (ma salle parisienne de prédilection).
Bon pour me consoler, à défaut du roi Lézard j'irai mater à Fourvière l'homme Lou le 26 juillet.
Merci pour le c.rendu
Moi qui ai vu People are strange il y a 2 semaines, ça fiche un coup. J'me serais bien plongé aussi dans l'étuve du Bataclan (ma salle parisienne de prédilection).
Bon pour me consoler, à défaut du roi Lézard j'irai mater à Fourvière l'homme Lou le 26 juillet.
Merci pour le c.rendu
I'm waiting for my club...
It's never early, it's always late,
First thing you learn is that you always got to wait...
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Re: Live! live! live!
Le Bootleg de Prince au Stade de France le 30 Juin 2011 est en écoute ICI
Merci aux amis de Zdar
La setlist:
1. DMSR
2. Pop Life
3. Musicology
4. Shhh
5. Everyday People
6. Come Together
7. Controversy
8. Sexy Dancer/Le Freak
9. Love Rollercoaster
10. Play That Funky Music White Boy
11. The Look of Love (chanté par Andy Allo)
12. Nothing Compares 2 U
13. Pass The Peas
14. Bass medley : 777-9311/Head/The Stick/America/Thank You For Talking To Me Africa/Only Heaven Knows (nouvelle chanson)
15. Take Me With U
16. Raspberry Beret
17. Cream
18. Cool/Don’t Stop ‘Til You Get Enough
19. Purple Rain
20. Let’s Go Crazy
21. Delirious
22. 1999
23. Little Red Corvette
24. Sampler set : When Doves Cry/Nasty Girl/Sign’O'the Times/Darling Nikki/Forever in my Life/I Would Die 4 U
25. Kiss
A noter la présence de l'excellent Maceo Parker (get on up) au sax !
Merci aux amis de Zdar
La setlist:
1. DMSR
2. Pop Life
3. Musicology
4. Shhh
5. Everyday People
6. Come Together
7. Controversy
8. Sexy Dancer/Le Freak
9. Love Rollercoaster
10. Play That Funky Music White Boy
11. The Look of Love (chanté par Andy Allo)
12. Nothing Compares 2 U
13. Pass The Peas
14. Bass medley : 777-9311/Head/The Stick/America/Thank You For Talking To Me Africa/Only Heaven Knows (nouvelle chanson)
15. Take Me With U
16. Raspberry Beret
17. Cream
18. Cool/Don’t Stop ‘Til You Get Enough
19. Purple Rain
20. Let’s Go Crazy
21. Delirious
22. 1999
23. Little Red Corvette
24. Sampler set : When Doves Cry/Nasty Girl/Sign’O'the Times/Darling Nikki/Forever in my Life/I Would Die 4 U
25. Kiss
A noter la présence de l'excellent Maceo Parker (get on up) au sax !
Chambres d'Hôtes en Alsace : [url=http://www.laigle67.fr]www.laigle67.fr[/url]
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Re: Live! live! live!
merci pour le "tip" mais sur leboncoin j'ai clairement moins confiance qu'icipitchdobrasil wrote:À mon avis, ton dernier espoir, c'est d'aller traîner dans le coin une heure avant le concert et espérer que les vendeurs à la sauvette aient du stock et finissent par brader.kissmyasse wrote:Bon ben vous me direz si c'était bien, hein ?kissmyasse wrote:Toujours pas ?????kissmyasse wrote:Je réédite ma demande, au cas où...kissmyasse wrote:Si par hazard un potonaute a pris 2 places pour les ARCTIC MONKEYS le 11 juillet aux nuits de Fourvière et finalement n'ira pas : JE SUIS PRENEUR ! => MPSorbiers wrote:Le programme des nuits de fourvière est sorti avec à noter :
- Arctic monkeys le 11 juillet
(c'est pour l'anniversaire de ma fille ainée mais je me suis bien fait griller )
Sinon :
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Re: Live! live! live!
Un petit concert sympa à noter sur vos agendas :
Sur la Scène Ouverte du Ninkasi - Lyon
mardi 06 décembre 2011 21.00 Scène Ouverte : i.d pOp
Sur la Scène Ouverte du Ninkasi - Lyon
mardi 06 décembre 2011 21.00 Scène Ouverte : i.d pOp
Chambres d'Hôtes en Alsace : [url=http://www.laigle67.fr]www.laigle67.fr[/url]
Re: Live! live! live!
JOURNEY / FOREIGNER / NORBERT KRIEF : Paris, Palais des Sports, 7/7/11
Superbe package hier soir au Palais des Sports réunissant Journey, Foreigner et Nono. Mais aussi, premier concert de ma fille Léa avec son papounet, ce qui, pour elle constituait un véritable évènement.
Après l'heure et demie passée dans les bouchons parisiens (eh oui, ici, en région parisienne, on ne parle jamais en distance kilométrique mais en temps passé dans la circulation), nous parvenons à notre but, trouvons une place sans problème, puis descendons le boulevard pour rejoindre le Palais des Sports où se trouvent déjà François (venu de son patelin de misère qu'est Verneuil sur Avre), Cathy puis Ponpon. avec lesquels nous convenons de nous retrouver à la porte principale à l'issue du concert.
Je sens ma fille enthousiaste, le regard scintillant et impatiente à l'idée d'assister à ces 3 mini concerts. En effet, celle-ci s'émerveille pour les effets de lumière que les roadies testent. Bref, l'innocence d'un premier concert.
Les lumières s'éteignent quand Nono et ses 3 compères envahissent la scène sous un éclairage bleu infâme. Nous avons peine à les distinguer. Par ailleurs, le son est mauvais, ce que me fait remarquer ma fille, le guitariste-chanteur étant à peine perceptible et puis comme je l'ai dit précédemment ces lights bleus nuisent véritablement à la performance du monsieur. On sent chez Nono et ses amis, cependant, une réelle envie de bien faire. La communication très laconique de Nono fait que cela ne passe pas et à priori, ce dernier aurait eu des problèmes d'avant-concert. Au bout d'une grosse demi heure, le groupe se retire sur une excellente cover de Canned Head à savoir On The Road Again.
Une demi heure se passe, les lumières se ré-éteignent à nouveau , une longue intro s'échappe et v'là ti pas que les gaillards de Foreigner surgissent sur un Double Vision très percutant. Kelly Hansen, le vocaliste, à peine audible au départ, court dans tous les sens. mais au bout de quelques minutes, sa voix merveilleuse (parce qu'il n'y a pas d'autres termes pour la qualifier) se fait clairement entendre. Pas de pause, on va droit à l'essentiel et on enchaine sur Head Games à 100 à l'heure dans une ambiance de feu. Jeff Pilson, le bassiste se croit encore dans Dokken car il ne cesse de headbanguer comme un dingue. Vraiment, tout est en place, Hansen, à lui assurant tout seul le show, a bien observé Steven Tyler live puisqu'il reproduit bon nombre de ses gimmicks et par ailleurs, la ressemblance s'avère être particulièrement frappante. Pendant ce temps-là, ma fille me jette des regards émerveillés à chaque fois que je prends une photo que l'on qualifiera de "réussie", compte tenu de la distance à laquelle nous nous trouvons. Et puis, tous les titres, elle les connaît et il y a encore jours, je la surprenais à écouter le Live In '05 (chef d'oeuvre live !!!!!!) qu'elle a aussitôt mis dans son MP3.
Un p'tit bonjour au public et c'est un de mes morceaux préférés du groupe, Cold As Ice qui retentit dans l'enceinte du Palais des Sports, délivrée dans une version très hard étirée. Mick Jones nous gratifia d'un superbe solo.
Même si Can't Slow Down date d'il y a deux ans, le groupe continue à en assurer la promotion en interprétant le morceau-titre, promotion renforcée aussi par l'excellent double live Can't Slow Down ...When it's Live paru l'année dernière.
Il ne s'agit pas pour le groupe d'oublier 4 LEUR album et c'est au tour de Waiting For A Girl Like You d'être interprété après une intro concoctée au clavier par Mr. Jones. Cet album recèle d'un nombre incalculable de pépites telles que Break It Up, I'm Gonna Win, Night Life, Woman In Black ou même encore Girl On The Moon. Pourquoi ne pas 'se risquer" à interpréter l'un d'entre eux en tablant sur le fait que 2011 célébrait le 30ème anniversaire de la sortie de cet OPUS majeur. Manque de temps sans doute dans un tel package mais je crois qu'il serait bon d'y penser.
Le groupe déploie une vitalité rare : je suis impressionné, ma fille l'est tout autant et tape passionnément dans ses mains sur Dirty White Boy.
Après l'acclamation faite à Mick Jones , celui-ci, dans un français très convenable, présente Starrider en le qualifiant de "spacy". Belle voix le Mick après toutes ces années.
"Revenons au Rock'n'roll !!!!!!!!!" lance le blond guitariste et c'est au tour de Feels Like The First Time d'apparaître en bonne place dans la set-list. N'oublions pas Tom Gimbel, le guitariste rythmique qui, outre le fait de revêtir la casquette de saxophoniste, ma foi, très talentueux, accompagne fort bien le Mick. Le son est clair et puissant, le groupe se transcende sur Urgent où notre ami Tom effectue un solo de saxo du plus bel effet. Hansen sur le final vocal du groupe, effectue une véritable performance, bluffant tout le monde et renvoyant Lou Gramm à ses chères études (bon là, je ne suis pas gentil).
Le titre attendu et espéré par ma fille , I Want To Know What Love Is donne l'opportunité au svelte chanteur de faire participer le public qui réagit magnifiquement bien. Léa, presqu'émue, est aux anges. Sortie de scène rapide et le groupe ré-attaque dans une version complètement débridée de Hot Blooded qui, comme me le le dira plus tard Ponpon, fut d'enfer.
Puis c'est au tour de Juke Box Hero de conclure le set d'une heure et quart. Hansen, encore une fois, l'élément fédérateur du groupe, met tout le monde d'accord sur son réel talent, taquinant tour à tour les différents musiciens et occupant la scène comme personne. Le seul petit regret réside dans le fait que, pour ma part, j'aurais souhaité que le morceau dérive sur Whole Lotta Love ainsi que nous pouvons l'entendre sur les deux live du groupe.
Concert intense et plein d'énergie : telles sont les expressions que l'on pourrait attribuer à cette prestation vraiment ENORME. La tâche de Journey n'allait pas être simple.
Double Vision
Head Games
Cold As Ice
Can't Slow Down
Waiting For A Girl Like You
Dirty White Boy
Starrider
Feels Like For The First Time
Urgent
I Want To Know What Love Is
Hot Blooded
Juke Box hero
Pendant ce que l'on pourrait appeler "l'entracte", je rencontre successivement Michel vu, il y a 3 jours lors du concert de Ray Manzarek et de Robby Krieger et Steph du BSF reconnaissable entre mille mille grâce à son épaisse crinière grisonnante. Mais comment fait-il le bougre pour garder de tels cheveux ? Le temps de faire une p'tite tof en compagnie aussi de ma fille qui tenait à rencontrer tous mes potes et de taper la discute sur les derniers concerts effectués et les dernières rencontres forumiques notamment avec le Philou lors du Hellfest (j'imagine bien le contraste entre la crinière de Steph et le crâne dégarni du Breton), nous découvrons un superbe backdrop représentant le symbole du groupe. La scène est vraiment magnifique, ce qui laisse présager un excellent concert.
Les lumières s'éteignent une nouvelle fois. Le groupe, comme sur le boot de Manchester, entame Separate Ways, ravissant le public au plus haut point. Ask The Lonely s'avère être interprété d'une manière efficace suivi d'une très belle version de Send Her My Love. City Of hope, à mon sens, le meilleur morceau du nouvel album, envoie bien, même si globalement, Eclipse n'a pas l'envergure d'un Revelation. Ma fille est heureuse, cela se voit et me fait, à chaque fois signe lorsqu'Arnel Pineda, pas très en voix, à mon sens, effectue des sauts dignes d'un David Lee Roth des grandes années.
On poursuit avec Stone In Love (très bonne version), Edge Of The Moment et Lights, titre sur lequel Pineda donne quelques petits signes de faiblesse, le groupe aussi, manquant de conviction et d'enthousiasme. Ma fille me dit : "C'est mou !!!!"Elle n'est pas loin d'avoir tort dans sa réflexion. Heureusement, Open Arms est là pour re-captiver l'attention du public. Escape, le morceau titre de l'album de 1981 se voit interprété dans une version qui, en rien , ne transcende la version studio. Dommage.
C'est certes très pro. Je ne remets nullement en question la qualité du set mais cela manque d'un p'tit quelque chose qui donnerait à ce concert une dimension exceptionnelle. C'est juste un concert de plus pour le groupe. Wheel In The Sky, Be Good To Yourself, ce dernier étant extrait de l'excellent OPUS Raised On Radio de 1986 sont interprétés en pilotage automatique. Ross Valory, tentant de temps à autre d'amuser la galerie, sans pour autant parvenir à son but.
Le grand moment d'émotion intervient, néanmoins avec cette interprétation de Faithfully qui, reconnaissons-le, me fait toujours un p'tit quelque chose à chaque fois que je l'entends. Ma fille décide de filmer. Et puis quel solo brillant de Neil Schon !!!!!!!!!
L'actualité de Journey ne réside pas uniquement dans la parution d'Eclipse mais aussi à travers la série Glee qui a re-visité Don't Stop Believin', suscitant dans le public une vague d'excitation. Bonne version à mettre au crédit du groupe qui, après une éclipse (fallait la faire), clôt son scène de fort belle manière avec Anyway You Want It. Cependant, on sent le groupe un peu pressé d'en finir, se disant peut-être que Foreigner a été si bon ce soir qu'ils ne se sentaient pas capables de relever le défi. Bref, un concert, de l'avis général en demi-teinte.
Separate Ways
Ask The Lonely
Send Her My Love
City Of Hope
Stone In Love
Edge Of The Moment
Lights
Open Arms
Escape
Wheel In The Sky
Be Good To Yourself
Faithfully
Don't Stop Believin'
Anyway You Want It
Superbe package hier soir au Palais des Sports réunissant Journey, Foreigner et Nono. Mais aussi, premier concert de ma fille Léa avec son papounet, ce qui, pour elle constituait un véritable évènement.
Après l'heure et demie passée dans les bouchons parisiens (eh oui, ici, en région parisienne, on ne parle jamais en distance kilométrique mais en temps passé dans la circulation), nous parvenons à notre but, trouvons une place sans problème, puis descendons le boulevard pour rejoindre le Palais des Sports où se trouvent déjà François (venu de son patelin de misère qu'est Verneuil sur Avre), Cathy puis Ponpon. avec lesquels nous convenons de nous retrouver à la porte principale à l'issue du concert.
Je sens ma fille enthousiaste, le regard scintillant et impatiente à l'idée d'assister à ces 3 mini concerts. En effet, celle-ci s'émerveille pour les effets de lumière que les roadies testent. Bref, l'innocence d'un premier concert.
Les lumières s'éteignent quand Nono et ses 3 compères envahissent la scène sous un éclairage bleu infâme. Nous avons peine à les distinguer. Par ailleurs, le son est mauvais, ce que me fait remarquer ma fille, le guitariste-chanteur étant à peine perceptible et puis comme je l'ai dit précédemment ces lights bleus nuisent véritablement à la performance du monsieur. On sent chez Nono et ses amis, cependant, une réelle envie de bien faire. La communication très laconique de Nono fait que cela ne passe pas et à priori, ce dernier aurait eu des problèmes d'avant-concert. Au bout d'une grosse demi heure, le groupe se retire sur une excellente cover de Canned Head à savoir On The Road Again.
Une demi heure se passe, les lumières se ré-éteignent à nouveau , une longue intro s'échappe et v'là ti pas que les gaillards de Foreigner surgissent sur un Double Vision très percutant. Kelly Hansen, le vocaliste, à peine audible au départ, court dans tous les sens. mais au bout de quelques minutes, sa voix merveilleuse (parce qu'il n'y a pas d'autres termes pour la qualifier) se fait clairement entendre. Pas de pause, on va droit à l'essentiel et on enchaine sur Head Games à 100 à l'heure dans une ambiance de feu. Jeff Pilson, le bassiste se croit encore dans Dokken car il ne cesse de headbanguer comme un dingue. Vraiment, tout est en place, Hansen, à lui assurant tout seul le show, a bien observé Steven Tyler live puisqu'il reproduit bon nombre de ses gimmicks et par ailleurs, la ressemblance s'avère être particulièrement frappante. Pendant ce temps-là, ma fille me jette des regards émerveillés à chaque fois que je prends une photo que l'on qualifiera de "réussie", compte tenu de la distance à laquelle nous nous trouvons. Et puis, tous les titres, elle les connaît et il y a encore jours, je la surprenais à écouter le Live In '05 (chef d'oeuvre live !!!!!!) qu'elle a aussitôt mis dans son MP3.
Un p'tit bonjour au public et c'est un de mes morceaux préférés du groupe, Cold As Ice qui retentit dans l'enceinte du Palais des Sports, délivrée dans une version très hard étirée. Mick Jones nous gratifia d'un superbe solo.
Même si Can't Slow Down date d'il y a deux ans, le groupe continue à en assurer la promotion en interprétant le morceau-titre, promotion renforcée aussi par l'excellent double live Can't Slow Down ...When it's Live paru l'année dernière.
Il ne s'agit pas pour le groupe d'oublier 4 LEUR album et c'est au tour de Waiting For A Girl Like You d'être interprété après une intro concoctée au clavier par Mr. Jones. Cet album recèle d'un nombre incalculable de pépites telles que Break It Up, I'm Gonna Win, Night Life, Woman In Black ou même encore Girl On The Moon. Pourquoi ne pas 'se risquer" à interpréter l'un d'entre eux en tablant sur le fait que 2011 célébrait le 30ème anniversaire de la sortie de cet OPUS majeur. Manque de temps sans doute dans un tel package mais je crois qu'il serait bon d'y penser.
Le groupe déploie une vitalité rare : je suis impressionné, ma fille l'est tout autant et tape passionnément dans ses mains sur Dirty White Boy.
Après l'acclamation faite à Mick Jones , celui-ci, dans un français très convenable, présente Starrider en le qualifiant de "spacy". Belle voix le Mick après toutes ces années.
"Revenons au Rock'n'roll !!!!!!!!!" lance le blond guitariste et c'est au tour de Feels Like The First Time d'apparaître en bonne place dans la set-list. N'oublions pas Tom Gimbel, le guitariste rythmique qui, outre le fait de revêtir la casquette de saxophoniste, ma foi, très talentueux, accompagne fort bien le Mick. Le son est clair et puissant, le groupe se transcende sur Urgent où notre ami Tom effectue un solo de saxo du plus bel effet. Hansen sur le final vocal du groupe, effectue une véritable performance, bluffant tout le monde et renvoyant Lou Gramm à ses chères études (bon là, je ne suis pas gentil).
Le titre attendu et espéré par ma fille , I Want To Know What Love Is donne l'opportunité au svelte chanteur de faire participer le public qui réagit magnifiquement bien. Léa, presqu'émue, est aux anges. Sortie de scène rapide et le groupe ré-attaque dans une version complètement débridée de Hot Blooded qui, comme me le le dira plus tard Ponpon, fut d'enfer.
Puis c'est au tour de Juke Box Hero de conclure le set d'une heure et quart. Hansen, encore une fois, l'élément fédérateur du groupe, met tout le monde d'accord sur son réel talent, taquinant tour à tour les différents musiciens et occupant la scène comme personne. Le seul petit regret réside dans le fait que, pour ma part, j'aurais souhaité que le morceau dérive sur Whole Lotta Love ainsi que nous pouvons l'entendre sur les deux live du groupe.
Concert intense et plein d'énergie : telles sont les expressions que l'on pourrait attribuer à cette prestation vraiment ENORME. La tâche de Journey n'allait pas être simple.
Double Vision
Head Games
Cold As Ice
Can't Slow Down
Waiting For A Girl Like You
Dirty White Boy
Starrider
Feels Like For The First Time
Urgent
I Want To Know What Love Is
Hot Blooded
Juke Box hero
Pendant ce que l'on pourrait appeler "l'entracte", je rencontre successivement Michel vu, il y a 3 jours lors du concert de Ray Manzarek et de Robby Krieger et Steph du BSF reconnaissable entre mille mille grâce à son épaisse crinière grisonnante. Mais comment fait-il le bougre pour garder de tels cheveux ? Le temps de faire une p'tite tof en compagnie aussi de ma fille qui tenait à rencontrer tous mes potes et de taper la discute sur les derniers concerts effectués et les dernières rencontres forumiques notamment avec le Philou lors du Hellfest (j'imagine bien le contraste entre la crinière de Steph et le crâne dégarni du Breton), nous découvrons un superbe backdrop représentant le symbole du groupe. La scène est vraiment magnifique, ce qui laisse présager un excellent concert.
Les lumières s'éteignent une nouvelle fois. Le groupe, comme sur le boot de Manchester, entame Separate Ways, ravissant le public au plus haut point. Ask The Lonely s'avère être interprété d'une manière efficace suivi d'une très belle version de Send Her My Love. City Of hope, à mon sens, le meilleur morceau du nouvel album, envoie bien, même si globalement, Eclipse n'a pas l'envergure d'un Revelation. Ma fille est heureuse, cela se voit et me fait, à chaque fois signe lorsqu'Arnel Pineda, pas très en voix, à mon sens, effectue des sauts dignes d'un David Lee Roth des grandes années.
On poursuit avec Stone In Love (très bonne version), Edge Of The Moment et Lights, titre sur lequel Pineda donne quelques petits signes de faiblesse, le groupe aussi, manquant de conviction et d'enthousiasme. Ma fille me dit : "C'est mou !!!!"Elle n'est pas loin d'avoir tort dans sa réflexion. Heureusement, Open Arms est là pour re-captiver l'attention du public. Escape, le morceau titre de l'album de 1981 se voit interprété dans une version qui, en rien , ne transcende la version studio. Dommage.
C'est certes très pro. Je ne remets nullement en question la qualité du set mais cela manque d'un p'tit quelque chose qui donnerait à ce concert une dimension exceptionnelle. C'est juste un concert de plus pour le groupe. Wheel In The Sky, Be Good To Yourself, ce dernier étant extrait de l'excellent OPUS Raised On Radio de 1986 sont interprétés en pilotage automatique. Ross Valory, tentant de temps à autre d'amuser la galerie, sans pour autant parvenir à son but.
Le grand moment d'émotion intervient, néanmoins avec cette interprétation de Faithfully qui, reconnaissons-le, me fait toujours un p'tit quelque chose à chaque fois que je l'entends. Ma fille décide de filmer. Et puis quel solo brillant de Neil Schon !!!!!!!!!
L'actualité de Journey ne réside pas uniquement dans la parution d'Eclipse mais aussi à travers la série Glee qui a re-visité Don't Stop Believin', suscitant dans le public une vague d'excitation. Bonne version à mettre au crédit du groupe qui, après une éclipse (fallait la faire), clôt son scène de fort belle manière avec Anyway You Want It. Cependant, on sent le groupe un peu pressé d'en finir, se disant peut-être que Foreigner a été si bon ce soir qu'ils ne se sentaient pas capables de relever le défi. Bref, un concert, de l'avis général en demi-teinte.
Separate Ways
Ask The Lonely
Send Her My Love
City Of Hope
Stone In Love
Edge Of The Moment
Lights
Open Arms
Escape
Wheel In The Sky
Be Good To Yourself
Faithfully
Don't Stop Believin'
Anyway You Want It
Re: Live! live! live!
WARREN HAYES / JOHNNY WINTER : Paris, Olympia, 8/7/11
Trois concerts en moins d'une semaine, cela faisait longtemps que je ne m'étais pas soumis à ce rythme d'enfer. Mais pour rien au monde, je n'aurais voulu rater le passage parisien de Warren Haynes accompagné pour l'occasion du mythique Johnny Winter que je n'avais jamais eu l'occasion de voir jusque là.
Bref, donc, direction l'Olympia en compagnie de Michel qui, avant de partir, avait pris soin de me montrer le vinyl de Man In Motion puis de me faire écouter le très convaincant dernier OPUS de Yes.
C'est donc à bord de sa voiture de société que nous atteignons le mythique temple du Music Hall qu'est l'Olympia vers lequel, Michel, pied au plancher il faut bien le dire, impatient d'y être au son de Man In Motion, nous achemine après avoir trouvé, non sans mal, une place qu'il fallut bien attendre 5 minutes car le conducteur s'y trouvant, semblait prendre un malin plaisir à mettre du temps à partir. Je sentais mon chauffeur bouillir telle une cafétière. "Fait chier ce con, lança t-il dans la voiture !!!!!!"
D'un pas assuré, c'était parti, bravant la circulation et traversant en dehors des clous, nous entrons dans le tunnel mythique débouchant sur la salle où curieusement, peu de spectateurs s'y trouvent, ce qui m'inquiète quelque peu.
Lylian et Ronan , tel un Stormy à l'affût se sont déjà postés à la barrière pour ne pas en perdre une seule miette.
Quelques trente minutes plus tard, Johnny Winter, soutenu par le présentateur , apparaît , hésitant , presque titubant. Une chaise placée face au micro accueille le guitariste albinos qui démarre tambour battant. Autant, le père Winter n'a plus la fougue d'antan, autant en termes de solos, il n'y a rien à dire : ils sont toujours aussi brillants même si, à la longue, cela peut être un peu gavant.
Pour mettre un peu de piquant, il attaque Johnny B. Goode et It's All Over Now puis jamme avec Warren venu le rejoindre sur Dust My Broom et non Highway 61 Revisited comme l'indique la vidéo. Un p'tit évènement en soi.
http://www.youtube.com/watch?v=-WWMyA_IKXw" onclick="window.open(this.href);return false;
Concert un peu longuet car il était évident qu'il ne fallait pas s'attendre à du Captured Live mais bon, il s'agissait de l'avoir vu au moins une fois.
En gros la set-list a dû donner ceci :
Intro
Hideaway
Sugar Coated Love
She Likes To Boogie Real Low
Good Morning Little Schoolgirl
Got My Mojo Working
Johnny B. Goode
Black Jack
Tore Down
Lone Wolf
Don't Take Advantage of Me
Boney Moroney
It's All Over Now
Dust My Broom
Highway 61 Revisited
Fort de son nouvel album Man In Motion qui cartonne .....................chez moi, Warren Haynes entame son set sur Man In Motion, morceau particulièrement rythmé et étiré en version live déjà que sur l'album, il dure presque 8 minutes. Le Warren , tout souriant, est un peu en terrain conquis dans la capitale, compte tenu que l'année dernière, le concert avec Gov't Mule au Bataclan, s'était avéré un véritable triomphe. Cependant, le réglage des micros n'est pas optimal car sa voix se trouve être légèrement en retrait. Le talentueux batteur, Raymond Weber, flanqué de sa casquette rouge fétiche, entame directement River's Gonna Rise, titre groovy à souhait. La choriste qui n'est pas celle qui figure sur l'album, assure avec une classe certaine le duo avec Warren. Excellente version de ce titre que je kiffe grave.
Croyant à ce moment-là qu'il va interpréter Everyday Will Be Like A Holiday (d'où une certaine déception de ma part), Warren s'attèle à reprendre un titre de la Mule à savoir Tear Me Down qui, lui aussi, dure mais dure presqu' une dizaine de minutes, lui donnant l'occasion d'enchainer les soli tous aussi brillants les uns que les autres. C'est la classe, ce mec.
Vous voulez du bon blues ? Warren vous en donne avec 32/20 Blues.
Promotion oblige, il s'agit de revenir à Man In Motion d'où sont extraits On A Real Lonely Night puis Take A Bullet qui dérive sur It's A Man's World de James Brown. Le Warren embarque alors le groupe dans une jam mémorable notamment un duel avec le saxophoniste Ron Holloway mais aussi Raymond Weber qui nous gratifie d'un solo de batterie efficace et inventif. Putain de groupe !!!!!!!!!
Bref retour sur Tales Of Ordinary Madness duquel, Warren extrait Invisible. Puis, c'est reparti sur Man In Motion où l'on se plait à entendre Hattiesburg Hustle en version écourtée (petit regret malgré tout) couplé à Sick Of My Shadow délivré dans une version dantesque. Putain que j'aime ce titre et l'album tout court.Croyant à ce moment-là qu'il va interpréter Everyday Will Be Like A Holiday (d'où une certaine déception de ma part), Warren s'attèle à reprendre un titre de la Mule à savoir Tear Me Down qui, lui aussi, dure mais dure presqu' une dizaine de minutes, lui donnant l'occasion d'enchainer les soli tous aussi brillants les uns que les autres. C'est la classe, ce mec.
Vous voulez du bon blues ? Warren vous en donne avec 32/20 Blues.
Promotion oblige, il s'agit de revenir à Man In Motion d'où sont extraits On A Real Lonely Night puis Take A Bullet qui dérive sur It's A Man's World de James Brown. Le Warren embarque alors le groupe dans une jam mémorable notamment un duel avec le saxophoniste Ron Holloway mais aussi Raymond Weber qui nous gratifie d'un solo de batterie efficace et inventif. Putain de groupe !!!!!!!!!
Bref retour sur Tales Of Ordinary Madness duquel, Warren extrait Invisible. Puis, c'est reparti sur Man In Motion où l'on se plait à entendre Hattiesburg Hustle en version écourtée (petit regret malgré tout) couplé à Sick Of My Shadow délivré dans une version dantesque. Putain que j'aime ce titre et l'album tout court.
Warren décide de conclure sa prestation par Soulshine réclamé par un spectateur alors qu'il y avait certainement de la place pour y caser Everyday Will Be Like A Holiday ou même Save Me, deux morceaux fantastiques de Man In Motion.
A l'issue du concert, je trouve le moyen de récupérer un médiator estampillé "Warren Haynes" ainsi que la setlist pour lesquels, il aura fallu s'imposer énergiquement pour me les procurer.
Une excellente soirée pour un artiste que j'apprécie de plus en plus avec les années.
Trois concerts en moins d'une semaine, cela faisait longtemps que je ne m'étais pas soumis à ce rythme d'enfer. Mais pour rien au monde, je n'aurais voulu rater le passage parisien de Warren Haynes accompagné pour l'occasion du mythique Johnny Winter que je n'avais jamais eu l'occasion de voir jusque là.
Bref, donc, direction l'Olympia en compagnie de Michel qui, avant de partir, avait pris soin de me montrer le vinyl de Man In Motion puis de me faire écouter le très convaincant dernier OPUS de Yes.
C'est donc à bord de sa voiture de société que nous atteignons le mythique temple du Music Hall qu'est l'Olympia vers lequel, Michel, pied au plancher il faut bien le dire, impatient d'y être au son de Man In Motion, nous achemine après avoir trouvé, non sans mal, une place qu'il fallut bien attendre 5 minutes car le conducteur s'y trouvant, semblait prendre un malin plaisir à mettre du temps à partir. Je sentais mon chauffeur bouillir telle une cafétière. "Fait chier ce con, lança t-il dans la voiture !!!!!!"
D'un pas assuré, c'était parti, bravant la circulation et traversant en dehors des clous, nous entrons dans le tunnel mythique débouchant sur la salle où curieusement, peu de spectateurs s'y trouvent, ce qui m'inquiète quelque peu.
Lylian et Ronan , tel un Stormy à l'affût se sont déjà postés à la barrière pour ne pas en perdre une seule miette.
Quelques trente minutes plus tard, Johnny Winter, soutenu par le présentateur , apparaît , hésitant , presque titubant. Une chaise placée face au micro accueille le guitariste albinos qui démarre tambour battant. Autant, le père Winter n'a plus la fougue d'antan, autant en termes de solos, il n'y a rien à dire : ils sont toujours aussi brillants même si, à la longue, cela peut être un peu gavant.
Pour mettre un peu de piquant, il attaque Johnny B. Goode et It's All Over Now puis jamme avec Warren venu le rejoindre sur Dust My Broom et non Highway 61 Revisited comme l'indique la vidéo. Un p'tit évènement en soi.
http://www.youtube.com/watch?v=-WWMyA_IKXw" onclick="window.open(this.href);return false;
Concert un peu longuet car il était évident qu'il ne fallait pas s'attendre à du Captured Live mais bon, il s'agissait de l'avoir vu au moins une fois.
En gros la set-list a dû donner ceci :
Intro
Hideaway
Sugar Coated Love
She Likes To Boogie Real Low
Good Morning Little Schoolgirl
Got My Mojo Working
Johnny B. Goode
Black Jack
Tore Down
Lone Wolf
Don't Take Advantage of Me
Boney Moroney
It's All Over Now
Dust My Broom
Highway 61 Revisited
Fort de son nouvel album Man In Motion qui cartonne .....................chez moi, Warren Haynes entame son set sur Man In Motion, morceau particulièrement rythmé et étiré en version live déjà que sur l'album, il dure presque 8 minutes. Le Warren , tout souriant, est un peu en terrain conquis dans la capitale, compte tenu que l'année dernière, le concert avec Gov't Mule au Bataclan, s'était avéré un véritable triomphe. Cependant, le réglage des micros n'est pas optimal car sa voix se trouve être légèrement en retrait. Le talentueux batteur, Raymond Weber, flanqué de sa casquette rouge fétiche, entame directement River's Gonna Rise, titre groovy à souhait. La choriste qui n'est pas celle qui figure sur l'album, assure avec une classe certaine le duo avec Warren. Excellente version de ce titre que je kiffe grave.
Croyant à ce moment-là qu'il va interpréter Everyday Will Be Like A Holiday (d'où une certaine déception de ma part), Warren s'attèle à reprendre un titre de la Mule à savoir Tear Me Down qui, lui aussi, dure mais dure presqu' une dizaine de minutes, lui donnant l'occasion d'enchainer les soli tous aussi brillants les uns que les autres. C'est la classe, ce mec.
Vous voulez du bon blues ? Warren vous en donne avec 32/20 Blues.
Promotion oblige, il s'agit de revenir à Man In Motion d'où sont extraits On A Real Lonely Night puis Take A Bullet qui dérive sur It's A Man's World de James Brown. Le Warren embarque alors le groupe dans une jam mémorable notamment un duel avec le saxophoniste Ron Holloway mais aussi Raymond Weber qui nous gratifie d'un solo de batterie efficace et inventif. Putain de groupe !!!!!!!!!
Bref retour sur Tales Of Ordinary Madness duquel, Warren extrait Invisible. Puis, c'est reparti sur Man In Motion où l'on se plait à entendre Hattiesburg Hustle en version écourtée (petit regret malgré tout) couplé à Sick Of My Shadow délivré dans une version dantesque. Putain que j'aime ce titre et l'album tout court.Croyant à ce moment-là qu'il va interpréter Everyday Will Be Like A Holiday (d'où une certaine déception de ma part), Warren s'attèle à reprendre un titre de la Mule à savoir Tear Me Down qui, lui aussi, dure mais dure presqu' une dizaine de minutes, lui donnant l'occasion d'enchainer les soli tous aussi brillants les uns que les autres. C'est la classe, ce mec.
Vous voulez du bon blues ? Warren vous en donne avec 32/20 Blues.
Promotion oblige, il s'agit de revenir à Man In Motion d'où sont extraits On A Real Lonely Night puis Take A Bullet qui dérive sur It's A Man's World de James Brown. Le Warren embarque alors le groupe dans une jam mémorable notamment un duel avec le saxophoniste Ron Holloway mais aussi Raymond Weber qui nous gratifie d'un solo de batterie efficace et inventif. Putain de groupe !!!!!!!!!
Bref retour sur Tales Of Ordinary Madness duquel, Warren extrait Invisible. Puis, c'est reparti sur Man In Motion où l'on se plait à entendre Hattiesburg Hustle en version écourtée (petit regret malgré tout) couplé à Sick Of My Shadow délivré dans une version dantesque. Putain que j'aime ce titre et l'album tout court.
Warren décide de conclure sa prestation par Soulshine réclamé par un spectateur alors qu'il y avait certainement de la place pour y caser Everyday Will Be Like A Holiday ou même Save Me, deux morceaux fantastiques de Man In Motion.
A l'issue du concert, je trouve le moyen de récupérer un médiator estampillé "Warren Haynes" ainsi que la setlist pour lesquels, il aura fallu s'imposer énergiquement pour me les procurer.
Une excellente soirée pour un artiste que j'apprécie de plus en plus avec les années.
Re: Live! live! live!
De retour de 2 jours de Sonisphère à Amnéville..... WOAW
Chambres d'Hôtes en Alsace : [url=http://www.laigle67.fr]www.laigle67.fr[/url]
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Re: Live! live! live!
Arctic Monkeys à Fourviére ce soir !
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Re: Live! live! live!
GreenFloyd wrote:Arctic Monkeys à Fourviére ce soir !
Re: Live! live! live!
Il y aurait eu pas mal de problèmes d'organisation.Baraban wrote:De retour de 2 jours de Sonisphère à Amnéville..... WOAW
Re: Live! live! live!
Quelques bugs, mais dans l'ensemble c'était plutôt réussiPhil wrote:Il y aurait eu pas mal de problèmes d'organisation.Baraban wrote:De retour de 2 jours de Sonisphère à Amnéville..... WOAW
Les bugs en question concernaient principalement les 2 campings de proximité (pas très confortables à priori), le Parking géant (un meilleur éclairage aurait été appréciable) et les toilettes (nombreuses mais vites "débordantes") - des erreurs de jeunesse
Du point de vue du festival, les enchaînements d'une scène à l'autre étaient bien négociés. Le son plutôt bon (hormis 2 rapides coupures durant le set de Dream Theatre) (même pour Gojira et Loudblast, ce qui n'est pas une mince affaire... )
L'éclectisme de la prog était également appréciable.
L'évacuation des spectateurs a été assez rapide (surtout le samedi, je m'attendais à pire....)
Franchement, bon WE.
Chambres d'Hôtes en Alsace : [url=http://www.laigle67.fr]www.laigle67.fr[/url]
Re: Live! live! live!
Petit Rappel :
Baraban wrote:
Petit rappel à tous du programme du Festival de la Foire aux Vins de Colmar qui se déroulera du 5 au 15 août 2011.
vendredi 5 août 2011 à 20h00
SCORPIONS (40,50€)
samedi 6 août 2011 à 20h00
YODELICE - BEN HARPER (39.50€)
dimanche 7 août 2011 à 17h00
KARELIA - STRATOVARIUS - APOCALYPTICA - SEPULTURA - JUDAS PRIEST (48,50€)
lundi 8 août 2011 à 19h00
ETE 67-ZAZ-BEN L'ONCLE SOUL (26,50€)
mardi 9 août 2011 à 21h00
YANNICK NOAH (Complet)
mercredi 10 août 2011 à 20h00
CALI - OLIVIA RUIZ (36,50€)
mercredi 10 août 2011 à 23h55
BOB SINCLAR - MARTIN SOLVEIG (38,50€)
jeudi 11 août 2011 à 18h30
SELAH SUE-GAËTAN ROUSSEL-MOBY (39,50)
vendredi 12 août 2011 à 20h00
TOURNEE DES ANNEES 90 - GENERATION DANCE MACHINE (36,50€)
samedi 13 août 2011 à 19h30
LA FOUINE - 50 CENT (42,50€)
dimanche 14 août 2011 à 21h00
EDDY MITCHELL (38,50€)
lundi 15 août 2011 à 18h00
SAGA - JOHN LEES' BARCLAY JAMES HARVEST - STATUS QUO (40,50€)
Les locations c'est sur www.foire-colmar.com
Chambres d'Hôtes en Alsace : [url=http://www.laigle67.fr]www.laigle67.fr[/url]
Re: Live! live! live!
Et à partir de demain à Selestat (67) (20mn de Strasbourg, 2h30 de Paris):
Festival Léz'Arts Scéniques
Festival Léz'Arts Scéniques
Chambres d'Hôtes en Alsace : [url=http://www.laigle67.fr]www.laigle67.fr[/url]
Re: Live! live! live!
Cherche 2 places pour les Vieilles Charrues ce dimanche ! Mersi bras !
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
Re: Live! live! live!
Y a Lou Reed et PJ Harvey le même jour ?
I'm waiting for my club...
It's never early, it's always late,
First thing you learn is that you always got to wait...
It's never early, it's always late,
First thing you learn is that you always got to wait...
Re: Live! live! live!
Le concert de Scorpions était au dire d'un ami présent disons pas terrible du tout...
Le chanteur ( Rudolf Schenker) ne fesait que brailler et bon des rockeurs de 65 ans en pantalons "moule burne" c'est moyen moyen...
J'ai vu qu'ils passaient à Colmar, j'espère que ce sera de meilleure qualité.
Le chanteur ( Rudolf Schenker) ne fesait que brailler et bon des rockeurs de 65 ans en pantalons "moule burne" c'est moyen moyen...
J'ai vu qu'ils passaient à Colmar, j'espère que ce sera de meilleure qualité.
Re: Live! live! live!
Pour info, tu pourras signaler à ton ami que le chanteur se nomme Klaus Meine .... et que Rudolf Schenker en est le guitariste rythmique.envert94 wrote:Le concert de Scorpions était au dire d'un ami présent disons pas terrible du tout...
Le chanteur ( Rudolf Schenker) ne fesait que brailler et bon des rockeurs de 65 ans en pantalons "moule burne" c'est moyen moyen...
J'ai vu qu'ils passaient à Colmar, j'espère que ce sera de meilleure qualité.
Sinon, concernant les tenues vestimentaires, cela ne me choque pas plus, l'essentiel est qu'ils soient à leurs aises pour nous gratifier de leurs meilleures prestations; il me semble de plus qu'ils ont toujours été ainsi fringués ... et que ce ne sont pas les seuls de ces groupes des 70's ou 80's à jouer sur scène avec ce genre d'accoutrements.
Quant à leur musique elle s'est bien adoucie du fait du succès de leurs nombreuses ballades qui ont fait leur renommée internationale; il ne faut pas s'attendre à des shows aussi énergiques qu'à la fin des années 70 ou début des années 80 .... c'est regrettable mais cela ne m'empêchera pas d'aller les voir mi novembre à la Halle Tony Garnier.
Last edited by ozzy on 19 Jul 2011, 10:13, edited 1 time in total.
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Re: Live! live! live!
Voilà, il nous l'a tout énervé notre Ozzy !!!
Sinon, je vois sur l'affiche les arts scéniques, GRAND MAGUS ! Je ne sais pas si tu connais mais c'est de l'excellent Heavy Metal epic à l'ancienne avec quelques sonorités Dio-esques dans la voix !
Là, je parle du seul album que je connaisse, "Iron Will" de 2008.
Sinon, je vois sur l'affiche les arts scéniques, GRAND MAGUS ! Je ne sais pas si tu connais mais c'est de l'excellent Heavy Metal epic à l'ancienne avec quelques sonorités Dio-esques dans la voix !
Là, je parle du seul album que je connaisse, "Iron Will" de 2008.
Re: Live! live! live!
TV on the radio à l'Olympia la semaine dernière. Une bonne grosse claque : je connaissais pas trop, et bien ça assure franchement sur scène. Bon, faut dire que je n'ai jamais vu de mauvais concert dans cette salle mythique...
http://www.youtube.com/watch?v=XsEp_oVLHeM[/video]
http://www.youtube.com/watch?v=XsEp_oVLHeM[/video]
Re: Live! live! live!
Pas du tout, mais c'est certain que s'il a vu Scorpions au Hellfest, leur prestation a certainement pu paraitre bien fade dans ce festival plus spécialisé dans le Heavy, le Black, le Death ue dans le Hard Rock mid tempo.Asse Of Spades wrote:Voilà, il nous l'a tout énervé notre Ozzy !!!
Sinon, je vois sur l'affiche les arts scéniques, GRAND MAGUS ! Je ne sais pas si tu connais mais c'est de l'excellent Heavy Metal epic à l'ancienne avec quelques sonorités Dio-esques dans la voix !
Là, je parle du seul album que je connaisse, "Iron Will" de 2008.
Quant à Grand Magus, je me pencherais un peu plus sur leur cas, j'étais certainement tombé sur un morceau qui ne m'avait guère emballé .... mais je te fais confiance comme dab.
edit: je viens de le commander