Le topic des sports co à Sainté
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Tiens ça m'avait échappé ça. Elle est belle celle la, merci Mr Chamouleaud. En même temps, ce n'est pas méchant mais... Franchement, comment porter de l'intérêt à ce mec, si on n'est pas de sa famille.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Ce week end en Pro D2 : rencontre de tous les danges pour les CASE qui se déplace à Lyon....
ce serait marrant s'il pouvait refaire le coup de l'ASS mais j'ai bien peur que ce soit très dur
mais
Allez les Verts... et Rouges-et-Blancs
ce serait marrant s'il pouvait refaire le coup de l'ASS mais j'ai bien peur que ce soit très dur
mais
Allez les Verts... et Rouges-et-Blancs
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Chamoulaud n'a pas franchement tort : Roanne c'est quand même particulièrement pourri, à part le restau en face de la gare
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Disons que la pro A dans son ensemble, ça n'intéresse pas grand-monde.old_side wrote:Chamoulaud n'a pas franchement tort : Roanne c'est quand même particulièrement pourri, à part le restau en face de la gare
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
0-1 c'est pas possible au rugbyl'As de Saint-Etienne wrote:Ce week end en Pro D2 : rencontre de tous les danges pour les CASE qui se déplace à Lyon....
ce serait marrant s'il pouvait refaire le coup de l'ASS mais j'ai bien peur que ce soit très dur
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NON A LA VIDÉO
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
bon alors une petit 0-3...kbor01 wrote:0-1 c'est pas possible au rugbyl'As de Saint-Etienne wrote:Ce week end en Pro D2 : rencontre de tous les danges pour les CASE qui se déplace à Lyon....
ce serait marrant s'il pouvait refaire le coup de l'ASS mais j'ai bien peur que ce soit très dur
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Lu aujourd'hui dans La Croix :
Les Verts jouent aussi avec leurs mains
Pour la première fois de son histoire, Saint-Étienne compte une équipe de rugby jouant à un bon niveau. Les Stéphanois en sont les premiers surpris
Samedi 18 décembre se jouera à Lyon un match de Pro D2, l’équivalent de la deuxième division au rugby. Une rencontre hivernale entre professionnels qui pourrait être banale si elle n’opposait les Rouges et Noirs de Lyon aux Verts de Saint-Étienne. Des Verts qui jouent avec leurs mains. Qualifiée pour la première fois de leur histoire à ce niveau, l’équipe de Saint-Étienne fait mentir le dicton local selon lequel les bébés naissent… manchots dans la cité stéphanoise, ou alors les pieds chaussés de crampons de foot.
En football, cette confrontation pour la suprématie régionale tiendrait les clubs et les supporteurs en haleine pendant des semaines, monopoliserait l’attention des commentateurs. Rien de tout cela en rugby. Ce Lyon-Saint-Étienne relève plutôt de la curiosité, car Les Cols verts, surnom des XV stéphanois, sont les invités de cette Pro D2 que fréquentent les Lyonnais depuis des lustres. « On ne s’y attendait pas vraiment, reconnaît Frédéric Baudouin, industriel stéphanois qui tient ferme la présidence du club. Cela fait des années que notre équipe progresse, mais cette montée surprise a pris tout le monde de court. »
Entre le 13 juin (le match contre Bourg-en-Bresse qui a propulsé les Cols verts dans la division supérieure) et le début de la saison en septembre, il a fallu parer au plus pressé, afin de satisfaire aux exigences de la Ligue de rugby pour les clubs de ce niveau : agrandir une tribune, installer un panneau d’affichage électronique pour les scores, engager des joueurs professionnels, lancer un centre de formations… « Nous aurions pu refuser la montée, souligne le président Baudouin, nous l’avons d’ailleurs sérieusement envisagé. Si toutes les infrastructures n’avaient pas été un peu planifiées, au cas où, dans nos cartons, nous nous serions résignés à expliquer à nos joueurs que leurs victoires n’avaient servi à rien. Heureusement, nous n’avons pas eu à le faire. Certes, nous n’étions pas prêts, mais un peu préparés. »
Montée surprise
Parti de rien il y a dix ans, le rugby stéphanois a grimpé quatre à quatre les échelons de la hiérarchie ces dernières années, grâce à une bande de patrons locaux passionnés de rugby. Petit Poucet de la Fédérale 2, le Case-Rugby, nom officiel du club, a dû trouver 2,6 millions d’euros pour couvrir les frais de sa première saison en Pro D2. Reste que cette montée surprise a laissé plus d’un Stéphanois pantois. À commencer par l’historien du sport Pascal Charroin, enseignant à l’université de Saint-Étienne et au Cris (Centre de recherche et d’innovation du sport) : « Historiquement, le rugby n’existe pas ici. Après le football qui écrase tout, le deuxième sport est le basket. Avant le rugby viennent aussi le handball, le volley, le tennis de table et l’athlétisme, activités populaires, organisées par les amicales laïques et les patronages. »
De là à dire que le rugby est une activité bourgeoise réservée à l’élite économique, il y a un pas que l’historien n’hésite pas à franchir, tout comme le président Baudouin. « Il est indéniable que les valeurs de l’entreprise et celles du rugby se rejoignent, analyse ce dernier. Mais ce n’est pas une raison pour nous coller une étiquette politique. Cependant, il faut reconnaître que le conseil général, de droite, nous aide beaucoup plus que la mairie de Saint-Étienne, ancrée à gauche. »
Le football de gauche et le rugby à droite ? Vieux refrain. Didier Bigard, patron des sports au journal Le Progrès, ou Patrick Révelli, ex-gloire des Verts de la grande époque, grand amateur de rugby et conseiller aux sports du maire socialiste, ne s’embarrassent pas de ces considérations. Pour ces deux techniciens, l’équipe trouvera son public si elle… gagne des matchs. « La seule vérité est celle du terrain », dit le journaliste. « Peut-être qu’il leur manque deux ou trois très bons joueurs », ajoute l’ancien ailier droit, qui ne rechigne pas aller boire un verre de temps en temps à la Table de Fauriel, le bar de la poignée de supporteurs qui suit l’équipe dans ses déplacements. Côté résultat, les Verts sont pour l’instant bons derniers de la Pro D2, en position donc de retourner l’an prochain en division inférieure. « C’est allé trop vite, soupire Éric Morizot, le président de l’association des supporteurs baptisée les Verts ovales. Même s’ils redescendent, on continuera à les soutenir. »
« On ne lâchera pas »
Un discours qui réconforte le président du club : « La marche est vraiment très haute entre les amateurs que nous étions et les professionnels que nous sommes devenus. Si nous devons la redescendre, nous ferons ce qu’il faut pour que l’édifice construit depuis des années ne s’effondre pas d’un coup. Beaucoup de clubs ont explosé après une montée trop rapide et une descente en catastrophe. Nous sommes armés financièrement pour que ça n’arrive pas. Derrière l’équipe première, il y a 450 licenciés, l’école le rugby, les équipes de jeunes. On ne lâchera pas. »
« Si le club descend et s’il ne s’écroule pas dans la foulée, on pourra alors dire que le rugby a un avenir à Saint-Étienne », conclut Didier Bigard, du Progrès. « Ce n’est pas gagné », soupire Patrick Révelli, que la dernière défaite dimanche dernier à domicile n’a pas rassuré. Les Cols verts ont été battus d’un cheveu (9-10) par Auch dans leur petit stade de L’Etivallière. Lequel est situé au pied des célèbres tribunes de Geoffroy-Guichard, théâtre de tous les exploits des footballeurs. Difficile de ne pas y voir un symbole.
Jean-François FOURNEL
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Les Verts jouent aussi avec leurs mains
Pour la première fois de son histoire, Saint-Étienne compte une équipe de rugby jouant à un bon niveau. Les Stéphanois en sont les premiers surpris
Samedi 18 décembre se jouera à Lyon un match de Pro D2, l’équivalent de la deuxième division au rugby. Une rencontre hivernale entre professionnels qui pourrait être banale si elle n’opposait les Rouges et Noirs de Lyon aux Verts de Saint-Étienne. Des Verts qui jouent avec leurs mains. Qualifiée pour la première fois de leur histoire à ce niveau, l’équipe de Saint-Étienne fait mentir le dicton local selon lequel les bébés naissent… manchots dans la cité stéphanoise, ou alors les pieds chaussés de crampons de foot.
En football, cette confrontation pour la suprématie régionale tiendrait les clubs et les supporteurs en haleine pendant des semaines, monopoliserait l’attention des commentateurs. Rien de tout cela en rugby. Ce Lyon-Saint-Étienne relève plutôt de la curiosité, car Les Cols verts, surnom des XV stéphanois, sont les invités de cette Pro D2 que fréquentent les Lyonnais depuis des lustres. « On ne s’y attendait pas vraiment, reconnaît Frédéric Baudouin, industriel stéphanois qui tient ferme la présidence du club. Cela fait des années que notre équipe progresse, mais cette montée surprise a pris tout le monde de court. »
Entre le 13 juin (le match contre Bourg-en-Bresse qui a propulsé les Cols verts dans la division supérieure) et le début de la saison en septembre, il a fallu parer au plus pressé, afin de satisfaire aux exigences de la Ligue de rugby pour les clubs de ce niveau : agrandir une tribune, installer un panneau d’affichage électronique pour les scores, engager des joueurs professionnels, lancer un centre de formations… « Nous aurions pu refuser la montée, souligne le président Baudouin, nous l’avons d’ailleurs sérieusement envisagé. Si toutes les infrastructures n’avaient pas été un peu planifiées, au cas où, dans nos cartons, nous nous serions résignés à expliquer à nos joueurs que leurs victoires n’avaient servi à rien. Heureusement, nous n’avons pas eu à le faire. Certes, nous n’étions pas prêts, mais un peu préparés. »
Montée surprise
Parti de rien il y a dix ans, le rugby stéphanois a grimpé quatre à quatre les échelons de la hiérarchie ces dernières années, grâce à une bande de patrons locaux passionnés de rugby. Petit Poucet de la Fédérale 2, le Case-Rugby, nom officiel du club, a dû trouver 2,6 millions d’euros pour couvrir les frais de sa première saison en Pro D2. Reste que cette montée surprise a laissé plus d’un Stéphanois pantois. À commencer par l’historien du sport Pascal Charroin, enseignant à l’université de Saint-Étienne et au Cris (Centre de recherche et d’innovation du sport) : « Historiquement, le rugby n’existe pas ici. Après le football qui écrase tout, le deuxième sport est le basket. Avant le rugby viennent aussi le handball, le volley, le tennis de table et l’athlétisme, activités populaires, organisées par les amicales laïques et les patronages. »
De là à dire que le rugby est une activité bourgeoise réservée à l’élite économique, il y a un pas que l’historien n’hésite pas à franchir, tout comme le président Baudouin. « Il est indéniable que les valeurs de l’entreprise et celles du rugby se rejoignent, analyse ce dernier. Mais ce n’est pas une raison pour nous coller une étiquette politique. Cependant, il faut reconnaître que le conseil général, de droite, nous aide beaucoup plus que la mairie de Saint-Étienne, ancrée à gauche. »
Le football de gauche et le rugby à droite ? Vieux refrain. Didier Bigard, patron des sports au journal Le Progrès, ou Patrick Révelli, ex-gloire des Verts de la grande époque, grand amateur de rugby et conseiller aux sports du maire socialiste, ne s’embarrassent pas de ces considérations. Pour ces deux techniciens, l’équipe trouvera son public si elle… gagne des matchs. « La seule vérité est celle du terrain », dit le journaliste. « Peut-être qu’il leur manque deux ou trois très bons joueurs », ajoute l’ancien ailier droit, qui ne rechigne pas aller boire un verre de temps en temps à la Table de Fauriel, le bar de la poignée de supporteurs qui suit l’équipe dans ses déplacements. Côté résultat, les Verts sont pour l’instant bons derniers de la Pro D2, en position donc de retourner l’an prochain en division inférieure. « C’est allé trop vite, soupire Éric Morizot, le président de l’association des supporteurs baptisée les Verts ovales. Même s’ils redescendent, on continuera à les soutenir. »
« On ne lâchera pas »
Un discours qui réconforte le président du club : « La marche est vraiment très haute entre les amateurs que nous étions et les professionnels que nous sommes devenus. Si nous devons la redescendre, nous ferons ce qu’il faut pour que l’édifice construit depuis des années ne s’effondre pas d’un coup. Beaucoup de clubs ont explosé après une montée trop rapide et une descente en catastrophe. Nous sommes armés financièrement pour que ça n’arrive pas. Derrière l’équipe première, il y a 450 licenciés, l’école le rugby, les équipes de jeunes. On ne lâchera pas. »
« Si le club descend et s’il ne s’écroule pas dans la foulée, on pourra alors dire que le rugby a un avenir à Saint-Étienne », conclut Didier Bigard, du Progrès. « Ce n’est pas gagné », soupire Patrick Révelli, que la dernière défaite dimanche dernier à domicile n’a pas rassuré. Les Cols verts ont été battus d’un cheveu (9-10) par Auch dans leur petit stade de L’Etivallière. Lequel est situé au pied des célèbres tribunes de Geoffroy-Guichard, théâtre de tous les exploits des footballeurs. Difficile de ne pas y voir un symbole.
Jean-François FOURNEL
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Derby Lyon Saint Etienne... version rugby !
Pour la première fois, le LOU Rugby affronte le CA Saint-Étienne samedi (18h30) dans le cadre de la 15e journée de Pro D2.
On connaissait la version footballistique de l'évènement, il faut désormais y ajouter la mouture rugby. Le LOU reçoit à Vuillermet le CASE, et le match semble totalement déséquilibré. Les Lyonnais sont seconds du classement derrière Albi tandis que les Verts (la couleur stéphanoise y compris pour le ballon ovale) sont bons derniers du championnat et enchaînent les lourdes défaites. L'objectif du LOU est donc très simple: la victoire bonifiée pour rester au contact du leader qui reçoit de son côté Aix-en-Provence. On attend un match à guichets fermé&s du côté du stade Vuillermet, et ce malgré le froid. Il s'agit là du dernier match aller de la saison régulière de Pro D2. Coup d'envoi à 18h30
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Pour la première fois, le LOU Rugby affronte le CA Saint-Étienne samedi (18h30) dans le cadre de la 15e journée de Pro D2.
On connaissait la version footballistique de l'évènement, il faut désormais y ajouter la mouture rugby. Le LOU reçoit à Vuillermet le CASE, et le match semble totalement déséquilibré. Les Lyonnais sont seconds du classement derrière Albi tandis que les Verts (la couleur stéphanoise y compris pour le ballon ovale) sont bons derniers du championnat et enchaînent les lourdes défaites. L'objectif du LOU est donc très simple: la victoire bonifiée pour rester au contact du leader qui reçoit de son côté Aix-en-Provence. On attend un match à guichets fermé&s du côté du stade Vuillermet, et ce malgré le froid. Il s'agit là du dernier match aller de la saison régulière de Pro D2. Coup d'envoi à 18h30
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
A 15 minutes de la fin du derby, les Colverts sont menés 30-0 (je parle bien de rugby )
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Score final : 37-0Greengexois exilé wrote:A 15 minutes de la fin du derby, les Colverts sont menés 30-0 (je parle bien de rugby )
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
vraiment dur l'apprentissage du professionnalisme quand même
Surtout avec pléthore de titulaires absents
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[b]L'important c'est l'essentiel.JJ 17/01/12[/b]
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Week end satisfaisant pour le basket et la victoire du CASE sur Saint Quentin (troisième) 93-89 et pour le rugby : défaite très honorable à domicile face au leader Albi 13-16!
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Interview de Dessel parue ce jour dans Cycloismag : http://www.cyclismag.com/article.php?sid=6347" onclick="window.open(this.href);return false;
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Spéciale dédicace à Sorbinette
Lu ce matin dans La Voix du Nord :
Rousset, un Stéphanois bien lancé dans le chaudron du circuit ATP
Il est sympa, disponible, ne semble pas se prendre la tête et pour ne rien gâcher, il ne manque pas de talent. Révélation de cet Open de Lille, Elie Rousset, 21 ans, a poursuivi, hier, sa belle aventure dans le Nord en dominant Medy Chettar en deux manches (6-3, 6-3), se qualifiant, par la même occasion, pour la première fois de sa carrière pour le dernier carré d'un tournoi de ce niveau.
Arrivé dans le Nord, vendredi en pensant disputer les qualifications, il a finalement obtenu une « wild card » de la fédération pour le tableau final et a donc ainsi bénéficié de cinq jours de quartier libre avant de faire son entrée dans le tournoi. « Je me suis entraîné et j'en ai profité pour visiter Lille, confie-t-il. Ça a l'air très jeune, très sympa. J'ai très bien mangé dans des bons petits restaurants conseillés par les organisateurs et mon entraîneur Cédric Lenoir, qui est originaire de votre région. » Passé le temps de la découverte de la ville, le jeune homme a, en revanche, prouvé qu'il n'était pas venu en touriste sur le court. D'abord poussé par Baptiste Dupuy au jeu décisif du troisième set, il a ensuite réalisé le plus beau coup de sa jeune carrière en sortant le Portugais Joao Sousa, 247e mondial et tête de série n°2, avant donc de dompter, hier, Medy Chettar. « Je réalise un bon parcours mais paradoxalement je n'ai pas l'impression de jouer mon meilleur tennis, d'avoir les meilleures sensations, explique-t-il. Face à Medy, nous étions tendus par l'enjeu.
Je m'en suis mieux sorti et ce succès va me permettre de rentrer directement dans le tableau final de Poitiers, la semaine prochaine. » De quoi valider le choix de cet enfant de Saint-Étienne, spectateur occasionnel des « Verts » qui, plutôt que de tomber tout petit dans la marmite du football, a choisi le tennis, sans doute un peu guidé par une maman titulaire d'un brevet d'État dans cette discipline. Et qui, plutôt que de se lancer aveuglément dans le chaudron du circuit ATP à dix-huit ans, a décidé de se donner un peu de temps. « Je suis allé à la faculté pour faire une licence de STAPS, je suis devenu vice champion de France 2009 puis champion du monde par équipes universitaire en 2010, précise-t-il.
Depuis juin, j'ai décidé de me consacrer au tennis. Je me donne deux ans et je ferai ensuite le point. » 891e joueur mondial avant Lille, il devrait, quoi qu'il arrive ce week-end, réaliser un joli bond en avant au classement, son objectif étant d'atteindre le top 500 en fin d'année. Un challenge largement dans ses cordes vu ce qu'il a démontré depuis le début de la semaine. •
Quarts de finale : Gicquel (Fra) bat De Schepper (Fra) 7-6, 6-3 Renavand (Fra) bat Martin (Fra) 7-6, 6-7, 6-1 Eysseric (Fra) bat Jouan (Fra) 6-3, 1-6, 7-6 Rousset (Fra) bat Chettar (Fra) 6-3, 6-3. Demi-finales, aujourd'hui, à partir de 13 h 30 au Palais Saint-Sauveur. Entrée gratuite.
DAVID DELPORTE
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Lu ce matin dans La Voix du Nord :
Rousset, un Stéphanois bien lancé dans le chaudron du circuit ATP
Il est sympa, disponible, ne semble pas se prendre la tête et pour ne rien gâcher, il ne manque pas de talent. Révélation de cet Open de Lille, Elie Rousset, 21 ans, a poursuivi, hier, sa belle aventure dans le Nord en dominant Medy Chettar en deux manches (6-3, 6-3), se qualifiant, par la même occasion, pour la première fois de sa carrière pour le dernier carré d'un tournoi de ce niveau.
Arrivé dans le Nord, vendredi en pensant disputer les qualifications, il a finalement obtenu une « wild card » de la fédération pour le tableau final et a donc ainsi bénéficié de cinq jours de quartier libre avant de faire son entrée dans le tournoi. « Je me suis entraîné et j'en ai profité pour visiter Lille, confie-t-il. Ça a l'air très jeune, très sympa. J'ai très bien mangé dans des bons petits restaurants conseillés par les organisateurs et mon entraîneur Cédric Lenoir, qui est originaire de votre région. » Passé le temps de la découverte de la ville, le jeune homme a, en revanche, prouvé qu'il n'était pas venu en touriste sur le court. D'abord poussé par Baptiste Dupuy au jeu décisif du troisième set, il a ensuite réalisé le plus beau coup de sa jeune carrière en sortant le Portugais Joao Sousa, 247e mondial et tête de série n°2, avant donc de dompter, hier, Medy Chettar. « Je réalise un bon parcours mais paradoxalement je n'ai pas l'impression de jouer mon meilleur tennis, d'avoir les meilleures sensations, explique-t-il. Face à Medy, nous étions tendus par l'enjeu.
Je m'en suis mieux sorti et ce succès va me permettre de rentrer directement dans le tableau final de Poitiers, la semaine prochaine. » De quoi valider le choix de cet enfant de Saint-Étienne, spectateur occasionnel des « Verts » qui, plutôt que de tomber tout petit dans la marmite du football, a choisi le tennis, sans doute un peu guidé par une maman titulaire d'un brevet d'État dans cette discipline. Et qui, plutôt que de se lancer aveuglément dans le chaudron du circuit ATP à dix-huit ans, a décidé de se donner un peu de temps. « Je suis allé à la faculté pour faire une licence de STAPS, je suis devenu vice champion de France 2009 puis champion du monde par équipes universitaire en 2010, précise-t-il.
Depuis juin, j'ai décidé de me consacrer au tennis. Je me donne deux ans et je ferai ensuite le point. » 891e joueur mondial avant Lille, il devrait, quoi qu'il arrive ce week-end, réaliser un joli bond en avant au classement, son objectif étant d'atteindre le top 500 en fin d'année. Un challenge largement dans ses cordes vu ce qu'il a démontré depuis le début de la semaine. •
Quarts de finale : Gicquel (Fra) bat De Schepper (Fra) 7-6, 6-3 Renavand (Fra) bat Martin (Fra) 7-6, 6-7, 6-1 Eysseric (Fra) bat Jouan (Fra) 6-3, 1-6, 7-6 Rousset (Fra) bat Chettar (Fra) 6-3, 6-3. Demi-finales, aujourd'hui, à partir de 13 h 30 au Palais Saint-Sauveur. Entrée gratuite.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Joselito
"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Magnifique victoire de prestige du CASE Basket face au leader bordelais 77-76 grâce à un shoot à la dernière seconde. Cela assure quasiment les playoffs aux Stéphanois.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Peut-être un signe pour le match de dimanche ?Greengexois exilé wrote:Magnifique victoire de prestige du CASE Basket face au leader bordelais 77-76 grâce à un shoot à la dernière seconde. Cela assure quasiment les playoffs aux Stéphanois.
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Petit exploit du CASE hier vainqueur de son 1/4 de finale ALEX térieur à St Quentin 91/89.
Place au Final 4 à Bordal où le CASE affrontera Angers.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Excellente performance d'autant que la salle de Saint Quentin est très chaude. Sur une finale à 4 tout est possible même si Angers et surtout Denain ont l'air au dessus.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
C'est peut-être de ta famille ce Rousset là ?Sorbiers wrote:Joselito
La météo est une science qui permet de connaître le temps qu'il aurait dû faire .... un peu comme un Nanard avec les transferts
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Sans aucun doute... Tous les bons Rousset ou Roussey sont de ma famille!Nanard wrote:C'est peut-être de ta famille ce Rousset là ?Sorbiers wrote:Joselito
Bon sinon bel exploit du CASE. Il faudra en réaliser 2 autres pour enfin revoir la ProB.
Disons que l'an prochain, avec la fusion (quand même...), ils devraient avoir encore plus d'ambition.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Apparemment aujourd'hui c'était "Caravane" Rezaï sur le cours de Roland Garros. Exit la stéphanoise.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
En rapport avec ses ennuis, elle a donné ce qu'elle a pu. Elle reviendra vite au tres haut niveau !guinnesstime wrote:Apparemment aujourd'hui c'était "Caravane" Rezaï sur le cours de Roland Garros. Exit la stéphanoise.
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait."
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
C'est quoi exactement ses problèmes familiaux? Pas trop suivi...Greenmax wrote:En rapport avec ses ennuis, elle a donné ce qu'elle a pu. Elle reviendra vite au tres haut niveau !guinnesstime wrote:Apparemment aujourd'hui c'était "Caravane" Rezaï sur le cours de Roland Garros. Exit la stéphanoise.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Toujours les histoires avec son père.Sorbiers wrote:C'est quoi exactement ses problèmes familiaux? Pas trop suivi...Greenmax wrote:En rapport avec ses ennuis, elle a donné ce qu'elle a pu. Elle reviendra vite au tres haut niveau !guinnesstime wrote:Apparemment aujourd'hui c'était "Caravane" Rezaï sur le cours de Roland Garros. Exit la stéphanoise.
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait."