Le topic des sports co à Sainté

Discussion générale sur l'ASSE

Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but

M. Røcheteau
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by M. Røcheteau »

Et ya DIMITRI !!!!!!!!!!!!!!!!!!! :mrgreen: :coeur: :super: :taré1: :amen: :D :]
[img]http://www.foot-sur7.fr/wp-content/uploads/2014/04/victoire-asse-derby-gerland-2014-300x149.jpg[/img]

[size=134][color=black][b]On m'appelait l'ange vert[/b][/color][/size]

[b][color=#00BF00]Membre du groupe "Forza Mayi" ![/color][/b]

[quote=" Caiazzo"]Roland Romeyer et moi, allons prendre du recul. [/quote]

l'As de Saint-Etienne
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by l'As de Saint-Etienne »

A noter que le prochain match du CASE Rugby contre Bègles aura lieu le 9/10 à 18H30 à GG :super:
http://www.caserugby.com/" onclick="window.open(this.href);return false;
[img]http://compilationverte.voila.net/image/forum.jpg[/img]

Kevlevert
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Kevlevert »

l'As de Saint-Etienne wrote:A noter que le prochain match du CASE Rugby contre Bègles aura lieu le 9/10 à 18H30 à GG :super:
http://www.caserugby.com/" onclick="window.open(this.href);return false;
ce serait pas mal qu'il y ait au moins 10 000 personnes :super:

brescia
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by brescia »

programme du sport stephanois pour ce week:

rugby: PRO D2 CASE - Begles samedi 18h30 a GG
volley: NATIONALE 2 CASE - Mende dimanche 15h00 gymnase villeboeuf
basket: NATIONALE 1 CASE - Lievin vendredi 20h00 stdium p.maisionnal

tiens je vais faire le grand chelem ce week end...lol
Lubo on t'aime ,on t'adore, ne part pas tu es magique !

Ganache
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Ganache »

Il y a aussi la N3 du HBSA qui joue a dommicile il me semble :)

Gonzalo Sanogo
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Gonzalo Sanogo »

Des news du rugby ?
Mort au topic politique

pierre
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by pierre »

Gonzalo Vicente wrote:Des news du rugby ?
9 - 34 à la 51 ème :triste1: 4 essais à 0 pour Bordeaux bègles

http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/20 ... live.shtml" onclick="window.open(this.href);return false;

Parasar
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Parasar »

16-41
I'm waiting for my club...
It's never early, it's always late,
First thing you learn is that you always got to wait...

Gonzalo Sanogo
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Gonzalo Sanogo »

Parasar wrote:16-41
Et le juste prix est 16-48 ...
Le CASE doit arrêter de jouer à GG !
Mort au topic politique

Kevlevert
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Kevlevert »

Vu que je n'ai pas pu aller au match, quelqu'un sait combien il y avait de personnes au match ?

José
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by José »

Saint-Etienne - Pau décalé au dimanche

C'est le dimanche 24 octobre, dans l'après-midi, que la Section ira jouer à Saint-Etienne pour le compte de la 8e journée. Le CASE préfère en effet éviter d'entrer en concurrence avec la rencontre de Ligue 1 entre l'AS Saint-Etienne et Caen programmée le samedi à 19 heures.

http://lesinfosdepyc.blogs.sudouest.fr" onclick="window.open(this.href);return false;
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)

callaghan

Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by callaghan »

Kevlevert wrote:Vu que je n'ai pas pu aller au match, quelqu'un sait combien il y avait de personnes au match ?
8125
http://www.lequipe.fr/Rugby/RugbyFicheMatch15187.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Kevlevert
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Kevlevert »

callaghan wrote:
Kevlevert wrote:Vu que je n'ai pas pu aller au match, quelqu'un sait combien il y avait de personnes au match ?
8125
http://www.lequipe.fr/Rugby/RugbyFicheMatch15187.html" onclick="window.open(this.href);return false;
merci bien :super:

c'est un peu mieux que la dernière fois mais bon, c'est pas génial

José
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by José »

Intéressant entretien de Frédéric Baudouin dans Le Journal de l'Entreprise du 8 octobre :

Image

Frédéric Baudouin. Un gestionnaire au naturel

L'ex P-dg de Gibaud, aujourd'hui président du club de rugby de Saint-Étienne (CASE), est un gestionnaire. Passé par le Club Med, il est devenu au fil des années un acteur économique important de la région stéphanoise tout en restant tourné vers le monde.

Frédéric Baudouin est un homme au parcours atypique marqué par la fidélité professionnelle et par l'international. Gestionnaire de formation, il travaille chez Gibaud depuis 24 ans et n'a connu que quelques structures ayant compté dans son parcours.

Du Club Med à Gibaud

Au début de sa carrière, Frédéric Baudoin a fait les beaux jours de nombreux villages du Club Med. «À la fin de mes études au sein de l'EBS (European Business School), j'avais un stage de 6 mois à faire. Ayant déjà apprécié les vacances au Club Med, je me suis rapproché de ce groupe pour effectuer mon stage. Au final, ils m'ont recruté en tant que gestionnaire de village et je suis resté 8 ans au sein de cette société, explique "l'homme au chapeau". Pendant cette période, j'ai eu la chance de travailler dans 12 pays, en ayant dirigé 14 villages. J'ai également eu la chance de côtoyer un grand patron en la personne de Gilbert Trigano. Il était un modèle de management humain.» À 30 ans, Frédéric Baudouin a souhaité poser ses valises et ainsi créer une vie de famille. «La vie du Club Med est passionnante mais c'est une vie de célibataire, avoue-t-il. Je suis donc rentré en France et j'ai travaillé pendant deux ans chez Havas, sur tout le territoire français. Ce travail m'a permis de faire une transition lors de mon retour.» Cette expérience de commercial fut assez courte puisqu'en 1986, il entre chez Gibaud. Franco-Suisse, il est tout d'abord chargé de développer la filiale suisse du groupe, à Genève. Par la suite, il arrive à Saint-Étienne et évolue en tant que responsable export puis comme Directeur général commercial.

La reprise de Gibaud

En 2001, Gibaud est mis en vente. Frédéric Baudouin décide de se placer avec d'autres cadres pour le rachat de l'entreprise. «Notre projet LMBO a eu l'aval des salariés et nous avons racheté la société, explique Frédéric Baudouin. L'expérience a duré 6 ans. Pendant cette période j'étais P-dg. Nous avons réussi à éponger presque toutes les dettes et mener à bien de beaux projets de développement. Nous avons par exemple racheté une entreprise de bas et collants. Ce fut une très belle expérience. Nous avons ensuite été mis sur le marché et nous avons intégré le groupe islandais Ossür en 2006, deuxième fabricant mondial de prothèses pour les membres inférieurs»

De l'International au local

Aujourd'hui, Frédéric Baudouin travaille toujours au sein de Gibaud. Responsable des opérations Europe, il continue de traiter de nombreuses affa beaucoup avec l'étranger. Au cours de sa vie «internationale», il a eu l'occasion de se former à plusieurs langues. «Modestement, je parle Anglais couramment, et jecomprends et me fais comprendre en Allemand, Espagnol, Italien, un peu en Hébreu et en Arabe, tempère-t-il. En ce moment, je prends des cours de Thaïlandais...L'International a toujours compté pour moi.» Parallèlement à ses multiples voyages, Frédéric Baudouin reste attaché à Saint-Étienne et sa région. Comme le prouve son autre vie professionnelle avec la présidence du CASE Rugby. «J'ai intégré le CASE pour mon fils, qui est rugbyman au CASE. J'en suis devenu le président. C'était une belle opportunité que m'a laissée Jean-Marc Boudon, l'ex-président.»

*********************************************************************************************************************

«Le territoire stéphanois a un véritable potentiel»

Comment s'est passée votre arrivée à la tête du CASE Rugby ?

Je suis arrivé à la présidence du club dans une situation que personne n'attendait. J'ai débarqué dans un club amateur qui est devenu en quelques mois un club professionnel. Ce n'est pas du tout la même gestion. Il y a un fossé incroyable entre l'amateurisme et le professionnalisme. On avait un projet de monter entre trois et cinq ans (ndlr: montage d'une SASP dans ce but-là). Il a fallu dans un espace de 3 semaines faire ce qu'on a avait prévu de faire en 3 ans... et ainsi construire une équipe compétitive pour la Pro D2.

Comment avez-vous géré ce chamboulement pour le club ?

Je ne suis pas seul à gérer le club. Nous sommes aujourd'hui 9 chefs d'entreprises, représentant 9 administrateurs et on s'est réparti les différentes tâches du club. Nous sommes structurés. Nous sommes aujourd'hui une PME de 45 salariés. Je ne sais pas si, cette année, beaucoup d'entreprises ont créé 45 emplois... Le seul point noir au tableau est le peu de soutien que nous recevons de la part des pouvoirs publics par rapport à d'autres sports comme le basket. Nous sommes aidés mais pas suffisamment. Nous avons 36 joueurs, dont 15 sur le terrain avec des Stéphanois d'origine. Nous avons un centre de formation, un public fidèle de 2.000 à 3.000 personnes à chaque match mais seulement 130.000€ de subventions. S'il n'y a pas d'argent dans les caisses publiques, on peut le comprendre mais alors il n'y en a pour personne. Ce qui est pénible, c'est qu'il faut toujours se battre, avec une impression de gêner alors que nous apportons un nouveau produit sportif à la ville, permettant de donner une bonne image de Saint-Etienne. Heureusement, nous pouvons compter sur un soutien fort du côté privé et entrepreneurial que nous souhaitons développer.

En parlant de Saint-Étienne, quelle image avez-vous de l'évolution de la ville ?

Je sais que le territoire stéphanois a un véritable potentiel mais il ne faut pas se tromper de combats. Saint-Étienne n'a pas ou peu de potentiels artistiques ou touristiques. Ca ne sert à rien d'investir là-dedans. Les alentours sont attrayants mais la ville pas vraiment. Il faut être réaliste, deux paramètres sont des atouts indéniables de Saint-Étienne. Tout d'abord, le tissu de PME est le deuxième de France. Capitalisons sur les entreprises, l'innovation et le dynamisme économique et arrêtons la "beausseign'attitude". On a connu des grands malheurs comme Manufrance mais c'est terminé. Notre avenir est devant nous. L'autre chose que nous avons, c'est le sport. Ca ne coûte pas très cher d'investir sur ce secteur. Montpellier a réussi par exemple à se donner une image extraordinaire grâce au sport. Arrêtons de nous diversifier. Par exemple, l'agrandissement de Geoffroy-Guichard est une erreur car ce serait simplement pour une manifestation ponctuelle. Il y a besoin d'autres infrastructures sportives... Notamment pour la boxe.

Quels sont désormais vos projets personnels?

J'aurais connu les trois vies de Gibaud: la vie familiale, la vie sous le LMBO, maintenant je connais la vie dans un groupe international. Il y a encore beaucoup de choses à faire pour intégrer Gibaud au sein d'Ossür. J'ai de grands projets à mener à bien. D'autre part, maintenir le CASE en Pro D2 est un dessein qui me tient à coeur. Même si nous ne partons pas gagnants, le fait d'y avoir goûté est important. J'aimerais également voir mes enfants heureux dans la vie et partir au bord de la mer, dans une maison à la fin de ma carrière.

http://www.lejournaldesentreprises.com" onclick="window.open(this.href);return false;
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Kevlevert
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Kevlevert »

Le CASE a perdu 60-10 8| :(

alexioninho
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by alexioninho »

José wrote:Intéressant entretien de Frédéric Baudouin dans Le Journal de l'Entreprise du 8 octobre :

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Frédéric Baudouin. Un gestionnaire au naturel

L'ex P-dg de Gibaud, aujourd'hui président du club de rugby de Saint-Étienne (CASE), est un gestionnaire. Passé par le Club Med, il est devenu au fil des années un acteur économique important de la région stéphanoise tout en restant tourné vers le monde.

Frédéric Baudouin est un homme au parcours atypique marqué par la fidélité professionnelle et par l'international. Gestionnaire de formation, il travaille chez Gibaud depuis 24 ans et n'a connu que quelques structures ayant compté dans son parcours.

Du Club Med à Gibaud

Au début de sa carrière, Frédéric Baudoin a fait les beaux jours de nombreux villages du Club Med. «À la fin de mes études au sein de l'EBS (European Business School), j'avais un stage de 6 mois à faire. Ayant déjà apprécié les vacances au Club Med, je me suis rapproché de ce groupe pour effectuer mon stage. Au final, ils m'ont recruté en tant que gestionnaire de village et je suis resté 8 ans au sein de cette société, explique "l'homme au chapeau". Pendant cette période, j'ai eu la chance de travailler dans 12 pays, en ayant dirigé 14 villages. J'ai également eu la chance de côtoyer un grand patron en la personne de Gilbert Trigano. Il était un modèle de management humain.» À 30 ans, Frédéric Baudouin a souhaité poser ses valises et ainsi créer une vie de famille. «La vie du Club Med est passionnante mais c'est une vie de célibataire, avoue-t-il. Je suis donc rentré en France et j'ai travaillé pendant deux ans chez Havas, sur tout le territoire français. Ce travail m'a permis de faire une transition lors de mon retour.» Cette expérience de commercial fut assez courte puisqu'en 1986, il entre chez Gibaud. Franco-Suisse, il est tout d'abord chargé de développer la filiale suisse du groupe, à Genève. Par la suite, il arrive à Saint-Étienne et évolue en tant que responsable export puis comme Directeur général commercial.

La reprise de Gibaud

En 2001, Gibaud est mis en vente. Frédéric Baudouin décide de se placer avec d'autres cadres pour le rachat de l'entreprise. «Notre projet LMBO a eu l'aval des salariés et nous avons racheté la société, explique Frédéric Baudouin. L'expérience a duré 6 ans. Pendant cette période j'étais P-dg. Nous avons réussi à éponger presque toutes les dettes et mener à bien de beaux projets de développement. Nous avons par exemple racheté une entreprise de bas et collants. Ce fut une très belle expérience. Nous avons ensuite été mis sur le marché et nous avons intégré le groupe islandais Ossür en 2006, deuxième fabricant mondial de prothèses pour les membres inférieurs»

De l'International au local

Aujourd'hui, Frédéric Baudouin travaille toujours au sein de Gibaud. Responsable des opérations Europe, il continue de traiter de nombreuses affa beaucoup avec l'étranger. Au cours de sa vie «internationale», il a eu l'occasion de se former à plusieurs langues. «Modestement, je parle Anglais couramment, et jecomprends et me fais comprendre en Allemand, Espagnol, Italien, un peu en Hébreu et en Arabe, tempère-t-il. En ce moment, je prends des cours de Thaïlandais...L'International a toujours compté pour moi.» Parallèlement à ses multiples voyages, Frédéric Baudouin reste attaché à Saint-Étienne et sa région. Comme le prouve son autre vie professionnelle avec la présidence du CASE Rugby. «J'ai intégré le CASE pour mon fils, qui est rugbyman au CASE. J'en suis devenu le président. C'était une belle opportunité que m'a laissée Jean-Marc Boudon, l'ex-président.»

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«Le territoire stéphanois a un véritable potentiel»

Comment s'est passée votre arrivée à la tête du CASE Rugby ?

Je suis arrivé à la présidence du club dans une situation que personne n'attendait. J'ai débarqué dans un club amateur qui est devenu en quelques mois un club professionnel. Ce n'est pas du tout la même gestion. Il y a un fossé incroyable entre l'amateurisme et le professionnalisme. On avait un projet de monter entre trois et cinq ans (ndlr: montage d'une SASP dans ce but-là). Il a fallu dans un espace de 3 semaines faire ce qu'on a avait prévu de faire en 3 ans... et ainsi construire une équipe compétitive pour la Pro D2.

Comment avez-vous géré ce chamboulement pour le club ?

Je ne suis pas seul à gérer le club. Nous sommes aujourd'hui 9 chefs d'entreprises, représentant 9 administrateurs et on s'est réparti les différentes tâches du club. Nous sommes structurés. Nous sommes aujourd'hui une PME de 45 salariés. Je ne sais pas si, cette année, beaucoup d'entreprises ont créé 45 emplois... Le seul point noir au tableau est le peu de soutien que nous recevons de la part des pouvoirs publics par rapport à d'autres sports comme le basket. Nous sommes aidés mais pas suffisamment. Nous avons 36 joueurs, dont 15 sur le terrain avec des Stéphanois d'origine. Nous avons un centre de formation, un public fidèle de 2.000 à 3.000 personnes à chaque match mais seulement 130.000€ de subventions. S'il n'y a pas d'argent dans les caisses publiques, on peut le comprendre mais alors il n'y en a pour personne. Ce qui est pénible, c'est qu'il faut toujours se battre, avec une impression de gêner alors que nous apportons un nouveau produit sportif à la ville, permettant de donner une bonne image de Saint-Etienne. Heureusement, nous pouvons compter sur un soutien fort du côté privé et entrepreneurial que nous souhaitons développer.

En parlant de Saint-Étienne, quelle image avez-vous de l'évolution de la ville ?

Je sais que le territoire stéphanois a un véritable potentiel mais il ne faut pas se tromper de combats. Saint-Étienne n'a pas ou peu de potentiels artistiques ou touristiques. Ca ne sert à rien d'investir là-dedans. Les alentours sont attrayants mais la ville pas vraiment. Il faut être réaliste, deux paramètres sont des atouts indéniables de Saint-Étienne. Tout d'abord, le tissu de PME est le deuxième de France. Capitalisons sur les entreprises, l'innovation et le dynamisme économique et arrêtons la "beausseign'attitude". On a connu des grands malheurs comme Manufrance mais c'est terminé. Notre avenir est devant nous. L'autre chose que nous avons, c'est le sport. Ca ne coûte pas très cher d'investir sur ce secteur. Montpellier a réussi par exemple à se donner une image extraordinaire grâce au sport. Arrêtons de nous diversifier. Par exemple, l'agrandissement de Geoffroy-Guichard est une erreur car ce serait simplement pour une manifestation ponctuelle. Il y a besoin d'autres infrastructures sportives... Notamment pour la boxe.

Quels sont désormais vos projets personnels?

J'aurais connu les trois vies de Gibaud: la vie familiale, la vie sous le LMBO, maintenant je connais la vie dans un groupe international. Il y a encore beaucoup de choses à faire pour intégrer Gibaud au sein d'Ossür. J'ai de grands projets à mener à bien. D'autre part, maintenir le CASE en Pro D2 est un dessein qui me tient à coeur. Même si nous ne partons pas gagnants, le fait d'y avoir goûté est important. J'aimerais également voir mes enfants heureux dans la vie et partir au bord de la mer, dans une maison à la fin de ma carrière.

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Et il ne veut pas venir à l'ASSE ce Monsieur ? C'est simple, clair, sans démagogie, humain, inteligent ... J'espère vraiment que ce club va se maintenir. meme s'il ne sera pas facile d'exister à côté du foot à Sainté ...

José
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by José »

Péclier incertain à Saint-Etienne

L'ouvreur et buteur du CA Saint-Etienne Rugby, Alexandre Péclier ne s'est pas encore entraîné de la semaine. Souffrant d'une jambe, il est très incertain pour la venue de la Section dimanche. "Et ce n'est pas de l'intox. On n'en est plus au stade ou on peut se permettre d'en faire", souligne, amusé, le manager stéphanois Richard McClintock. L'absence du troisième réalisateur de Pro D2 (90 points), ex-international français (33 points en 2 sélections) serait une bonne nouvelle pour les Palois. D'autant que d'autres cadres du CASE (le pilier Massimi, les troisièmes lignes Afeaki, Henri et Dridi) sont laissés au repos, en vue de l'affrontement de la peur, à Dax, la semaine prochaine.

Le groupe stéphanois : Ney, Garcia, Wende, Blanchard, Jourdain, Harris, Koita, Damiani, Petre, Seguin, M. Gicollet, Diotallevi, Parent, Belhocine ; Da Silva, Lopez, Péclier ou Pautric, Lotito, Hurator, Galopin, Boissière, Malzieu, Grimaud.

Une histoire belge

Le manager sportif du CA Saint-Etienne, Richard McClintock est aussi le sélectionneur de l'équipe nationale belge. A la question de savoir qui est le meilleur joueur d'outre-Quiévrain, le volubile technicien répond du tac-au-tac : Maxime Jadot, le jeune pilier du centre de formation de la Section Paloise. Puis il ajoute les noms du pilier Julien Massimi et du talonneur Norman Wende, des joueurs qu'il entraîne au CASE cette saison. Difficile de faire plus politiquement correct !

La Belgique affrontera le Canada le 6 novembre, avant de se déplacer en République Tchèque le 13. Jadot sera évidemment de la sélection. "Je tiens d'ailleurs à remercier David Aucagne, le directeur du centre de formation de la Section, qui s'est montré très gentleman en libérant Maxime avec enthousiasme. Tous les clubs ne se montrent pas aussi coopératifs. La Belgique n'est hélas pas très respectée", soupire McClintock.

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José
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by José »

Lu aujourd'hui dans Sud-Ouest :

McClintock : « Chez nous, ça ressemble à Verdun !»

C'est l'histoire d'un club qui évoluait encore dans les championnats de séries régionales du comité du Lyonnais, il y a six ans à peine. Après trois saisons en Fédérale 3, deux en Fédérale 2 et une seule en Fédérale 1, le CA Saint-Etienne se retrouve en Pro D2 pour la première fois de son histoire. Un rêve éveillé pour un groupe qui ne risque pas de se prendre pour ce qu'il n'est pas. Sans pression aucune, le CASE poursuit son apprentissage, entre grosses valises (92 points encaissés lors des deux premières rencontres, 108 points lors des deux dernières) et belles surprises (victoire à Narbonne, match nul à Colomiers). Richard McClintock, le manager sportif stéphanois sait que le maintien risque d'être difficile. Mais il sait aussi combien cette aventure n'a pas de prix.

« Sud Ouest ». Après trois résultats encourageants, le CASE reste sur deux lourdes défaites contre Bordeaux-Bègles et Mont-de-Marsan. Est-ce difficile à vivre ?
Richard McClintock. On commence à fatiguer, c'est normal. On paye physiquement notre reprise tardive. Il faut quand même savoir que nous avons fini notre saison dernière le 23 juin et nous avons réattaqué l'entraînement le 15 juillet. En plus, les clubs de Pro D2 avaient déjà programmé leurs matchs amicaux et nous nous sommes retrouvés à jouer contre des équipes de Fédérale 1. Voilà pourquoi on a pris des obus dès le début de la saison, à Albi et contre Oyonnax. L'apprentissage est difficile. Contre les gros, on souffre.

Le moral reste-t-il bon au sein de votre équipe ?
Oui, le moral tient, parce qu'on savait à quoi s'attendre. J'avais dit aux joueurs qu'on voulait recruter, qu'ici ça ressemblerait plus à Verdun qu'à Copacabana. Pour un promu comme Saint-Etienne, la Pro D2, c'est les tranchées et les obus qui tombent de partout. Nos recrues sont des joueurs et surtout des hommes intéressants. Ils ne me trahissent pas.

Y a-t-il un fossé entre la Fédérale 1 et la Pro D2 ?
Ce n'est pas un fossé, parce qu'un fossé, on arrive à la sauter. Moi j'appellerais plutôt ça le grand canyon ! On a été invité à un banquet et on s'y est présenté avec des couverts en plastique. Et comme on est au bout de la table, il n'y a plus de tiramisu ! Croyez-moi, ici on garde les pieds sur terre. Le noyau dur du groupe travaille ensemble depuis la Fédérale 2, il sait d'où il vient. C'est la différence avec Carcassonne, l'autre promu. C'est une ville de rugby, qui a une histoire au haut niveau et qui s'était préparée à y revenir.

Honnêtement, gagner à Narbonne (24-15), vous vous y attendiez ?
Évidemment que ça nous a surpris, mais c'était amplement mérité au vu du match. On a gagné sur une terre de rugby. Imaginez si le club de foot de Narbonne venait battre l'ASSE à Geoffroy-Guichard… Ben nous, c'est la même chose, toutes proportions gardées.

La Section Paloise, ça vous évoque quoi ?
Déjà, j'aime bien la couleur de leurs maillots ! (Il rigole) D'ailleurs, j'espère que les Palois viendront avec leurs maillots blancs, parce que nous, on n'en a pas d'autres. On joue toujours en vert ! Blague à part, la Section est un très gros morceau, avec un très bon manager, Thierry Cléda. Si les Palois voulaient bien nous faire la grâce de nous laisser gagner, ce serait très sympa avant d'aller à Dax pour essayer de quitter la dernière place. Mais je suis réaliste. Si on gagne, on sera heureux et si on prend un point, on ne sera pas triste…

Y a-t-il un public rugby à Saint-Etienne ?
Lors du match de la montée face à Bourg-en-Bresse, on a fait 25 000 personnes à Geoffroy-Guichard. Cette saison, contre Bordeaux par exemple, il y avait près de 9 000 personnes dans les tribunes. Si Pau nous laisse gagner, on en fera peut-être 20 000 au prochain match à domicile ! Dimanche, on inaugure notre nouvelle tribune au stade de l'Etivallière. Mais que les Palois ne s'y trompent pas. Ça ressemblera plus au stade de Sévignacq qu'au stade du Hameau !

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José
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by José »

Il a le sens de la formule ce McClintock ! :hehe:
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Kevlevert
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Kevlevert »

Le CASE vient de perdre 19-26 contre Pau à domicile

Parasar
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Parasar »

Ils chopent un point de bonus defensif. Sont à 3pts de l'avant dernier et à 5 du "maintien".
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José
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by José »

Le CR de la République des Pyrénées : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2 ... 162659.php" onclick="window.open(this.href);return false;
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Greengexois exilé
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Greengexois exilé »

Le CASE aura tenu 15 minutes dans le match de la peur entre les deux derniers à Dax 0-0 au bout de 16 mn et 15-0 au bout de 22 8|
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.

Tom
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by Tom »

Bonjour à tous , je vais avoir besoin de vous .. Est-ce que quelqu'un de vous a des infos sur l'équipe de rugby de Andrézieux ? Merci !!
Je ne trouve rien sur leur niveau etc ..

TitusPullo77
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...

Post by TitusPullo77 »

8|
http://www.lequipe.fr/Basket/breves2010 ... -fout.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Le mot est tombé sans prévenir au détour d'un dossier consacré par «Maxi-Basket» (novembre 2010) aux relations complexes et douloureuses que la discipline entretient avec les médias nationaux. «Ce n'est pas méchant mais... Franchement, comment se passionner pour Roanne si vous n'êtes pas du coin. On s'en fout de Roanne !». Non, ce n'était pas méchant, juste très maladroit, limite méprisant, et la phrase de Lionel Chamoulaud, censée justifier du maigre intérêt de France Télévisions pour le basket, a connu un gros succès dans la Loire. Aujourd'hui, la Pro A, elle, ne se fout pas de Roanne. Samedi, la Chorale a encore chanté haut pour abattre Orléans sur son parquet. Du bon boulot, solide du jarret. On rejoindra Yann Ohnona qui, dans «L'Equipe» de dimanche, trouvait que ce Roanne-là commence à avoir une belle tête de favori dans un championnat toujours plein d'indécision et, nous semble-t-il, porteur d'une expression du jeu plus fournie que l'an passé. Au-delà, le tacle -pas méchant, non, non...- de notre confrère, nous a renvoyés à l'époque pas si lointaine où basket et rugby des clubs se poussaient du col pour gagner des parts de marché télévisuels. Et là, il faut croire que si l'on se fout de Roanne ou Cholet, on ne se foutait pas à l'identique de Castres ou d'Agen, qui tiraient pourtant bien dans la même catégorie. A croire que certains accents avaient plus de charme que d'autres au pays ingouvernable des 246 (et quelques...) fromages ou qu'on ne les jugeait pas à l'aune des mêmes -comment déjà ?- ah oui, «valeurs»...
Souriez, vous êtes filmés !

Le basket en a gardé une forme d'amertume compréhensible mais qui conduit les clubs à se renfermer sur leur quant-à-soi et à jouer parfois contre leur camp. On connut un Claude Bergeaud se plaignant du manque de médiatisation du basket tout en refusant de satisfaire aux conférences de presse d'avant-finale avec Pau. Super! Ce week-end, c'est Jean-Denys Choulet, coach de Roanne précisément, qui grognait de devoir coacher le All Star Game parce qu'il est leader et que cela allait lui «bouffer trois jours d'entraînement». Dans le genre «cache ta joie», c'était assez réussi mais c'est oublier qu'à ce jour, la Pro A n'a pas trop d'occasions de se faire voir qu'on puisse ainsi les dénigrer. Choulet s'en fout, adepte de l'adage chéri de Doc Rivers, le coach de Boston : «Gagner, c'est le meilleur déodorant, ça recouvre un paquet de grimaces». Mais souriez bon sang, vous êtes filmés ! - Jean-Luc THOMAS

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