oui je l'ai vucedric26 wrote: Je viens d'apprendre que le match pouvait être vu sur F3 y avait un décrochage régionale pour la loire..... je suis dég...... via la livebox j'aurais pu voir le match.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Tout à fait : c'était sur FR3 Midi Pyrénées, Languedoc Roussillon, Auvergne et sur le département de la Loire. Très bon reportage vraiment.cedric26 wrote: Je viens d'apprendre que le match pouvait être vu sur F3 y avait un décrochage régionale pour la loire..... je suis dég...... via la livebox j'aurais pu voir le match.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Enorme perf du CASE rugby qui s'impose à Narbonne 24 à 15. L'espoir revient.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Je l'ai vu et j'avoue que je n'aurais pas misé un kopeck sur les verts mais ils ont été courageux en défense et opportunistes par le pied de Peclier.
Comme l'a dit ce dernier à la fin du match,il ne faut pas s'enflammer car ils ont de grosses lacunes:100% des points ont été marqués par l'ex Berjallien et on sait bien ce que c'est de dépendre d'un seul homme hein Féfé?
Les joueurs du CASE peuvent quand même espérer si ils prennent confiance en eux car ils on fait deux ou trois mouvements offensifs qui auraient pu se terminer dans l'en-but adverse.
Ça fait plaisir allez les verts!
Comme l'a dit ce dernier à la fin du match,il ne faut pas s'enflammer car ils ont de grosses lacunes:100% des points ont été marqués par l'ex Berjallien et on sait bien ce que c'est de dépendre d'un seul homme hein Féfé?
Les joueurs du CASE peuvent quand même espérer si ils prennent confiance en eux car ils on fait deux ou trois mouvements offensifs qui auraient pu se terminer dans l'en-but adverse.
Ça fait plaisir allez les verts!
Les joueurs et les dirigeants passent,les supporters restent.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Joli week-end sportif à Sainté: football, rugby et basket s'imposent!
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[i]"NOM DE NOM DE NOM DE NOM... mais qui a chié dans mon trombone?"[/i]
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
j'aurai trop voulu regarder le match, dégouté d'avoir raté ça mais j'étais dans le train
en tout cas super pour le CASE !!, une victoire de prestige en terre Narbonnaise!
en tout cas super pour le CASE !!, une victoire de prestige en terre Narbonnaise!
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Lu ce matin dans L'Indépendant :
Qui c'est les plus forts ? Evidemment c'est les Verts
Enorme désillusion, hier après-midi, au Parc des sports. Contre le promu stéphanois, promis à l'enfer dans cette Pro D2, le RCNM s'est incliné 24 à 15. Une défaite qui ne sera pas sans conséquence.
Allez les Verts, allez les Verts !" Il est 16 h 30. La tribu ne Clape rend hommage au vainqueur du jour. Et ce n'est pas le Racing. Pire que les sifflets, la belle ovation reçue hier par les joueurs du club athlétique de Saint-Étienne résonne encore comme une humiliation. Le RCNM est tombé bien bas hier après-midi en s'inclinant 24 à 15 contre le promu stéphanois, à qui on promettait l'enfer. "C'est à la limite de la honte pour le club, pour nos supporters. C'est quelque chose de lourd à assumer même si la saison ne s'arrête pas là", confie Patrick Arlettaz, l'entraîneur des trois quarts. Pendant ce temps, à la sortie du vestiaire, les insultes de quelques suppor ters mal léchés viennent plomber encore plus une journée noire. Comme à Aix-en-Provence, repêché de dernière minute en Pro D2, le Racing a perdu hier sans encaisser d'essai mais en donnant au buteur adverse, en l'occurrence l'impeccable Alexandre Péclier (7 sur 9), les clefs du tableau d'affichage. En cause, une indiscipline chronique. Ce n'est plus une allergie passagère du début de saison mais un mal plus profond. Car si Fortassin, le buteur tarbais, avait connu la même réussite que Péclier, le RCNM n'aurait à ce jour aucune victoire. Le rythme d'une équipe qui joue le maintien. "Il faut qu'on arrête de parler de cinquième place. Il ne faut plus penser qu'on est des grands garçons. On est des petits", tranche le manager Henri Ferrero.
Naïveté
Le piège, contre une équipe de Saint-Étienne qui venait de prendre 90 points en deux matches, était de croire que les essais allaient s'enfiler comme des perles. Et la bande au capitaine Madaule est tombée dedans avec une naïveté déconcertante. Sans travail préparatoire, sans combat, sans les fondamentaux que l'on rabâche dès l'école de rugby, le Racing s'est exposé à la pire des désillusions. Les "orange et noir" n'ont pas respecté leur adversaire, ni le jeu. Comme lorsqu'ils oublient de prendre les points au pied. Comme lorsqu'ils veulent attaquer de leurs 22 mètres. On désespère de voir cette équipe jouer avec intelligence. En avant propos de cette saison, le président Joël Carrère et le staff louaient les qualités d'un groupe qui pouvait enfin travailler dans la continuité (euphémisme pour cacher un recrutement faiblard). Cela devait être l'année de la maturité. Au regard de ces trois premiers matches, on en est bien loin. En fin de saison dernière, les joueurs avaient même pris leur responsabilité en écartant un entraîneur de leur route. Ils sont maintenant au fond du trou. Et c'est inquiétant.
Christophe Parra
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Qui c'est les plus forts ? Evidemment c'est les Verts
Enorme désillusion, hier après-midi, au Parc des sports. Contre le promu stéphanois, promis à l'enfer dans cette Pro D2, le RCNM s'est incliné 24 à 15. Une défaite qui ne sera pas sans conséquence.
Allez les Verts, allez les Verts !" Il est 16 h 30. La tribu ne Clape rend hommage au vainqueur du jour. Et ce n'est pas le Racing. Pire que les sifflets, la belle ovation reçue hier par les joueurs du club athlétique de Saint-Étienne résonne encore comme une humiliation. Le RCNM est tombé bien bas hier après-midi en s'inclinant 24 à 15 contre le promu stéphanois, à qui on promettait l'enfer. "C'est à la limite de la honte pour le club, pour nos supporters. C'est quelque chose de lourd à assumer même si la saison ne s'arrête pas là", confie Patrick Arlettaz, l'entraîneur des trois quarts. Pendant ce temps, à la sortie du vestiaire, les insultes de quelques suppor ters mal léchés viennent plomber encore plus une journée noire. Comme à Aix-en-Provence, repêché de dernière minute en Pro D2, le Racing a perdu hier sans encaisser d'essai mais en donnant au buteur adverse, en l'occurrence l'impeccable Alexandre Péclier (7 sur 9), les clefs du tableau d'affichage. En cause, une indiscipline chronique. Ce n'est plus une allergie passagère du début de saison mais un mal plus profond. Car si Fortassin, le buteur tarbais, avait connu la même réussite que Péclier, le RCNM n'aurait à ce jour aucune victoire. Le rythme d'une équipe qui joue le maintien. "Il faut qu'on arrête de parler de cinquième place. Il ne faut plus penser qu'on est des grands garçons. On est des petits", tranche le manager Henri Ferrero.
Naïveté
Le piège, contre une équipe de Saint-Étienne qui venait de prendre 90 points en deux matches, était de croire que les essais allaient s'enfiler comme des perles. Et la bande au capitaine Madaule est tombée dedans avec une naïveté déconcertante. Sans travail préparatoire, sans combat, sans les fondamentaux que l'on rabâche dès l'école de rugby, le Racing s'est exposé à la pire des désillusions. Les "orange et noir" n'ont pas respecté leur adversaire, ni le jeu. Comme lorsqu'ils oublient de prendre les points au pied. Comme lorsqu'ils veulent attaquer de leurs 22 mètres. On désespère de voir cette équipe jouer avec intelligence. En avant propos de cette saison, le président Joël Carrère et le staff louaient les qualités d'un groupe qui pouvait enfin travailler dans la continuité (euphémisme pour cacher un recrutement faiblard). Cela devait être l'année de la maturité. Au regard de ces trois premiers matches, on en est bien loin. En fin de saison dernière, les joueurs avaient même pris leur responsabilité en écartant un entraîneur de leur route. Ils sont maintenant au fond du trou. Et c'est inquiétant.
Christophe Parra
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Superbe exploit b
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Lu aujourd'hui dans France Soir :
Les Verts s’ouvrent au rugby
A Saint-Etienne, terre historique de football, le rugby commence à exister grâce à un club qui évolue dans l’antichambre de l’élite.
Le mythique chaudron de Geoffroy-Guichard rugit de nouveau après le bon début de saison des Verts, actuels troisièmes de la Ligue 1. Le haut lieu du football français crie aux exploits des Dimitri Payet et autres Emmanuel Rivière mais ses nombreux fidèles pourraient bien apprendre à découvrir d’autres noms dans les prochaines semaines. Car désormais à Saint-Etienne le football n’a plus le monopole du sport de haut niveau. Silencieusement, mais méticuleusement, le ballon ovale se fraye un chemin vers l’élite. Obscur club de Fédérale 3 en 2004 (l’équivalent de la CFA2 en football) le Club Athlétique de Saint-Etienne Rugby est aujourd’hui en Pro D2 dans l’antichambre du Top 14, ses strass et ses paillettes. Il a même remporté le week-end dernier sa première rencontre sur la pelouse de Narbonne (24-15). Un succès qui en appelle d’autres pour cette formation à la réussite fulgurante, presque trop rapide.
En fin de saison dernière, quelques semaines avant la montée le discours se voulait très humble à l’image de celui de Jean-Christophe Colin, ancien joueur du club et désormais investi dans son développement : « L’objectif est de nous stabiliser en Fédérale 1 et de viser plus haut d’ici cinq ans. » L’histoire en a donc décidé autrement et la victoire en barrage d’accession face à Bourg-en-Bresse a propulsé le club vers le Pro D2. Pour affronter ce nouveau défi inattendu, les dirigeants ont dû composer et mettre sur pied un effectif compétitif. Pour appuyer l’expérimenté Alexandre Péclier le troisième-ligne aile de l’Algérie Mohammed Dridri s’est ainsi engagé jusqu’en 2011 ainsi que le pilier Pierre Gicollet, le talonneur Amédée Domenech et le centre Sidney Galopin.
22.000 spectateurs à Geoffroy-Guichard
Un mélange d’habitué de la deuxième division et d’anciens pensionnaires de Top 14 qui n’a pas tardé à montrer son efficacité sur le terrain. Cette nouvelle aventure ne laisse pas insensible le public puisque plus de 7.000 spectateurs étaient présents pour assister à la première de la saison à domicile face à Oyonnax le 4 septembre. Ils étaient déjà 22.000 à avoir pris place à Geoffroy-Guichard pour la demi-finale de Fédérale 1 face à Bourg-en-Bresse la saison dernière. Ce record pourrait bien être battu le 8 mai prochain à l’occasion d’un derby haut en couleur face au Lyon Olympique Universitaire, grand favori pour la montée. Lyon - Saint-Etienne, dans un chaudron probablement plein à craquer, voilà un rendez-vous pimenté qui pourrait bien doper l’image d’un sport encore trop confidentiel dans une région qui rime depuis un siècle avec ballon rond.
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Les Verts s’ouvrent au rugby
A Saint-Etienne, terre historique de football, le rugby commence à exister grâce à un club qui évolue dans l’antichambre de l’élite.
Le mythique chaudron de Geoffroy-Guichard rugit de nouveau après le bon début de saison des Verts, actuels troisièmes de la Ligue 1. Le haut lieu du football français crie aux exploits des Dimitri Payet et autres Emmanuel Rivière mais ses nombreux fidèles pourraient bien apprendre à découvrir d’autres noms dans les prochaines semaines. Car désormais à Saint-Etienne le football n’a plus le monopole du sport de haut niveau. Silencieusement, mais méticuleusement, le ballon ovale se fraye un chemin vers l’élite. Obscur club de Fédérale 3 en 2004 (l’équivalent de la CFA2 en football) le Club Athlétique de Saint-Etienne Rugby est aujourd’hui en Pro D2 dans l’antichambre du Top 14, ses strass et ses paillettes. Il a même remporté le week-end dernier sa première rencontre sur la pelouse de Narbonne (24-15). Un succès qui en appelle d’autres pour cette formation à la réussite fulgurante, presque trop rapide.
En fin de saison dernière, quelques semaines avant la montée le discours se voulait très humble à l’image de celui de Jean-Christophe Colin, ancien joueur du club et désormais investi dans son développement : « L’objectif est de nous stabiliser en Fédérale 1 et de viser plus haut d’ici cinq ans. » L’histoire en a donc décidé autrement et la victoire en barrage d’accession face à Bourg-en-Bresse a propulsé le club vers le Pro D2. Pour affronter ce nouveau défi inattendu, les dirigeants ont dû composer et mettre sur pied un effectif compétitif. Pour appuyer l’expérimenté Alexandre Péclier le troisième-ligne aile de l’Algérie Mohammed Dridri s’est ainsi engagé jusqu’en 2011 ainsi que le pilier Pierre Gicollet, le talonneur Amédée Domenech et le centre Sidney Galopin.
22.000 spectateurs à Geoffroy-Guichard
Un mélange d’habitué de la deuxième division et d’anciens pensionnaires de Top 14 qui n’a pas tardé à montrer son efficacité sur le terrain. Cette nouvelle aventure ne laisse pas insensible le public puisque plus de 7.000 spectateurs étaient présents pour assister à la première de la saison à domicile face à Oyonnax le 4 septembre. Ils étaient déjà 22.000 à avoir pris place à Geoffroy-Guichard pour la demi-finale de Fédérale 1 face à Bourg-en-Bresse la saison dernière. Ce record pourrait bien être battu le 8 mai prochain à l’occasion d’un derby haut en couleur face au Lyon Olympique Universitaire, grand favori pour la montée. Lyon - Saint-Etienne, dans un chaudron probablement plein à craquer, voilà un rendez-vous pimenté qui pourrait bien doper l’image d’un sport encore trop confidentiel dans une région qui rime depuis un siècle avec ballon rond.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Un Domenech joue à Sainté
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Défaite du case face a castre 43 a 38 avec le bonus défensif
allez les verts
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
dommage ils sont bien revenus, ils perdaient 24-43 à 20 minutes de la finraphe58 wrote:Défaite du case face a castre 43 a 38 avec le bonus défensif
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Tarbes, pas Castre. Castre, c'est du haut de tableau de top 14raphe58 wrote:Défaite du case face a castre 43 a 38 avec le bonus défensif
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
oui pardon j ai meme pas fait attention a mon erreur je m en escuse encore
allez les verts
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
hier le case basket s'impose de 4 points a brest ! avec un joli 21-0 pour finir!
j'etais au rugby cette apres midi et l'equipe progresse a vitesse grand v. Petit stade champetre avec une bonne ambiance.
j'etais au rugby cette apres midi et l'equipe progresse a vitesse grand v. Petit stade champetre avec une bonne ambiance.
Lubo on t'aime ,on t'adore, ne part pas tu es magique !
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
38 pions marqués, pas de quoi rougir
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Incroyable la fin de match de nos basketteurs ce week-end !
Lu aujourd'hui dans Le Télégramme :
N1M/ Etendard Brest - Case Saint-Etienne (73-77) Un hara-kiri sportif !
Du jamais vu à Cerdan ! Comment les Brestois ont-ils pu laisser échapper la victoire devant Saint-Etienne, samedi soir, alors qu'ils comptaient dix-sept points d'avance à quatre minutes du gong...
«C'est rare que je critique mes joueurs, mais là... J'ai rarement vu autant d'immaturité au sein d'un potentiel aussi élevé. C'est dramatique parce que, sur les deux derniers matchs, on a dû encaisser un 40-4 dans les dernières minutes», constate Freddy Massé qui n'en est toujours pas revenu de cet incroyable retournement de situation alors que ses troupes semblaient avoir le match parfaitement en mains (73-56): «je suis écoeuré parce qu'on produit plus de trente-cinq minutes de basket digne de ce nom. On pouvait envisager un bon mois de septembre en l'emportant alors que là, on gâche une belle occasion de remplir la salle Cerdan pour le reste de la saison». Navrant, effectivement.
Scénario catastrophe
Pourtant, les motifs de satisfaction n'ont pas manqué durant les trois-quarts du match avec, tour à tour, un élément de la Breizh Team en exergue. Julien Doreau ouvrait les débats avant d'être imité par Julien Blanchot, puis par Vaïdotas Pridotkas et, enfin, Jean-Yves Zahoui. En parallèle, Rafaël Lopez ferraillait adroitement dans la peinture avant le crash: «à plus 17, on tente un alley oop pour régaler la galerie au lieu de continuer à jouer avec application et sérieux jusqu'au bout. La jeunesse du groupe fait le reste et on bascule dans un scénario catastrophe... C'est une vraie balle dans le pied qu'on se tire», fulmine l'entraîneur brestois qui a probablement décelé un brin de suffisance chez ses joueurs, alors que l'Etendard caracolait en tête: «c'est nous qui avons remis Saint-Etienne dans le match», souligne Freddy Massé, dont les propos sont corroborés par son vis-à-vis Yann Jolivet: «on a été derrière tout le match sans, toutefois, jamais lâcher l'affaire. On a été moins bons, moins forts au plan basket et on réussit le hold-up parfait». Une incertitude du sport qui ne fait pas décolérer le coach étendardiste: «au lieu de s'interroger sur le bleu du survêtement qui est clair ou marine, certains auraient mieux fait de l'enlever et de jouer au basket».
Ronan Guennoc
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Lu aujourd'hui dans Le Télégramme :
N1M/ Etendard Brest - Case Saint-Etienne (73-77) Un hara-kiri sportif !
Du jamais vu à Cerdan ! Comment les Brestois ont-ils pu laisser échapper la victoire devant Saint-Etienne, samedi soir, alors qu'ils comptaient dix-sept points d'avance à quatre minutes du gong...
«C'est rare que je critique mes joueurs, mais là... J'ai rarement vu autant d'immaturité au sein d'un potentiel aussi élevé. C'est dramatique parce que, sur les deux derniers matchs, on a dû encaisser un 40-4 dans les dernières minutes», constate Freddy Massé qui n'en est toujours pas revenu de cet incroyable retournement de situation alors que ses troupes semblaient avoir le match parfaitement en mains (73-56): «je suis écoeuré parce qu'on produit plus de trente-cinq minutes de basket digne de ce nom. On pouvait envisager un bon mois de septembre en l'emportant alors que là, on gâche une belle occasion de remplir la salle Cerdan pour le reste de la saison». Navrant, effectivement.
Scénario catastrophe
Pourtant, les motifs de satisfaction n'ont pas manqué durant les trois-quarts du match avec, tour à tour, un élément de la Breizh Team en exergue. Julien Doreau ouvrait les débats avant d'être imité par Julien Blanchot, puis par Vaïdotas Pridotkas et, enfin, Jean-Yves Zahoui. En parallèle, Rafaël Lopez ferraillait adroitement dans la peinture avant le crash: «à plus 17, on tente un alley oop pour régaler la galerie au lieu de continuer à jouer avec application et sérieux jusqu'au bout. La jeunesse du groupe fait le reste et on bascule dans un scénario catastrophe... C'est une vraie balle dans le pied qu'on se tire», fulmine l'entraîneur brestois qui a probablement décelé un brin de suffisance chez ses joueurs, alors que l'Etendard caracolait en tête: «c'est nous qui avons remis Saint-Etienne dans le match», souligne Freddy Massé, dont les propos sont corroborés par son vis-à-vis Yann Jolivet: «on a été derrière tout le match sans, toutefois, jamais lâcher l'affaire. On a été moins bons, moins forts au plan basket et on réussit le hold-up parfait». Une incertitude du sport qui ne fait pas décolérer le coach étendardiste: «au lieu de s'interroger sur le bleu du survêtement qui est clair ou marine, certains auraient mieux fait de l'enlever et de jouer au basket».
Ronan Guennoc
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Lu ce matin dans La Dépêche du Midi :
Fantasia dans le Forez
Pro D2. Les Tarbais s'imposent face à Saint-Étienne, au terme d'un match complètement fou (43-38).
Enfin du rugby comme on l'aime ! Pas de celui que l'on entrevoit de plus en plus entre des golgoths toujours prompts à se rentrer dedans, oubliant d'ouvrir la visière d e leur casque et qui ont par trop abandonné l'idée que ce jeu, peut et doit rester un amusement. Même si le monde du professionnalisme en a singulièrement altéré le sens. À Unieux, dans un petit village du Forez situé à une quinzaine de kilomètres de Saint-Étienne, on a retrouvé toutes les valeurs dont s'est toujours réclamé le rugby. L'environnement d'abord. Champêtre et joyeux comme ces supporters stéphanois saluant à « ombra » leurs joueurs vaincus mais tellement fiers. Fiers d'être parvenus à décrocher le bonus défensif, au terme de deux combinaisons simples mais jouées dans un parfait timing avec un Péclier manœuvrant à la perfection pour libérer l'espace, la première fois à son centre, Galopin et la seconde fois à son ailier, Marie.
Le rideau tarbais transpercé à chaque fois, n'eut plus qu'à constater les dégâts. Et d'un coup, d'un seul, ce match que l'on avait cru perdre de sa substance, tant les Tarbais, martiaux, avaient pointé le glaive aux meilleurs moments (essai de Bernad juste avant la pause et nouvel essai du flanker tarbais dès la reprise), ce match donc, a finalement pris une ampleur insoupçonnée. Et c'est tant mieux.
Les Tarbais ont remporté le match qu'ils ne devaient pas perdre mais on sait que le tandem Bérot-Mavrodin en a vu de toutes les couleurs.
La surprise, majeure, est venue du jeu stéphanois. Au travers des informations récoltées ici et là, on l'imaginait un peu lourdaud, voire emprunté, manquant surtout et sans doute d'ambition. Or, c'est en déplaçant le ballon loin des zones d'affrontement que les hommes en vert, ont pris leurs distances d'entrée et ont été à deux doigts de décrocher leurs rivaux. Curieux. Les Stéphanois avaient ils aussi peu confiance en leurs armes traditionnelles ? Peut-être. On sait maintenant qu'ils avaient raison. Ce match, ils l'ont perdu de manière inexorable face à la puissance tarbaise s'exerçant sur les impacts mais aussi dans le secteur de la mêlée. Une mêlée sanctionnée invariablement par Fortassin mais aussi par un essai, celui de Bernad, juste après la pause. Mais les Tarbais ont également proposé de beaux enchaînements, de même qu'ils ont inscrit deux magnifiques essais, au terme de vastes mouvements. Ainsi, celui de Bernad avant la pause, venu au terme d'un bon jeu vers le large mais aussi celui de Labarthe (transformation vers le large par Fortassin et Terblanche). Le rugby comme on l'aime !
Gérald Gauthier
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Fantasia dans le Forez
Pro D2. Les Tarbais s'imposent face à Saint-Étienne, au terme d'un match complètement fou (43-38).
Enfin du rugby comme on l'aime ! Pas de celui que l'on entrevoit de plus en plus entre des golgoths toujours prompts à se rentrer dedans, oubliant d'ouvrir la visière d e leur casque et qui ont par trop abandonné l'idée que ce jeu, peut et doit rester un amusement. Même si le monde du professionnalisme en a singulièrement altéré le sens. À Unieux, dans un petit village du Forez situé à une quinzaine de kilomètres de Saint-Étienne, on a retrouvé toutes les valeurs dont s'est toujours réclamé le rugby. L'environnement d'abord. Champêtre et joyeux comme ces supporters stéphanois saluant à « ombra » leurs joueurs vaincus mais tellement fiers. Fiers d'être parvenus à décrocher le bonus défensif, au terme de deux combinaisons simples mais jouées dans un parfait timing avec un Péclier manœuvrant à la perfection pour libérer l'espace, la première fois à son centre, Galopin et la seconde fois à son ailier, Marie.
Le rideau tarbais transpercé à chaque fois, n'eut plus qu'à constater les dégâts. Et d'un coup, d'un seul, ce match que l'on avait cru perdre de sa substance, tant les Tarbais, martiaux, avaient pointé le glaive aux meilleurs moments (essai de Bernad juste avant la pause et nouvel essai du flanker tarbais dès la reprise), ce match donc, a finalement pris une ampleur insoupçonnée. Et c'est tant mieux.
Les Tarbais ont remporté le match qu'ils ne devaient pas perdre mais on sait que le tandem Bérot-Mavrodin en a vu de toutes les couleurs.
La surprise, majeure, est venue du jeu stéphanois. Au travers des informations récoltées ici et là, on l'imaginait un peu lourdaud, voire emprunté, manquant surtout et sans doute d'ambition. Or, c'est en déplaçant le ballon loin des zones d'affrontement que les hommes en vert, ont pris leurs distances d'entrée et ont été à deux doigts de décrocher leurs rivaux. Curieux. Les Stéphanois avaient ils aussi peu confiance en leurs armes traditionnelles ? Peut-être. On sait maintenant qu'ils avaient raison. Ce match, ils l'ont perdu de manière inexorable face à la puissance tarbaise s'exerçant sur les impacts mais aussi dans le secteur de la mêlée. Une mêlée sanctionnée invariablement par Fortassin mais aussi par un essai, celui de Bernad, juste après la pause. Mais les Tarbais ont également proposé de beaux enchaînements, de même qu'ils ont inscrit deux magnifiques essais, au terme de vastes mouvements. Ainsi, celui de Bernad avant la pause, venu au terme d'un bon jeu vers le large mais aussi celui de Labarthe (transformation vers le large par Fortassin et Terblanche). Le rugby comme on l'aime !
Gérald Gauthier
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
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allez les verts
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Oh, c'est pas mal ça :c'est une bonne nouvelle !raphe58 wrote:http://www.lequipe.fr/Rugby/breves2010/ ... arque.html
[color=#004000]BONUS POSTIS QUADRATUM POSTIM EST [/color]
[size=50][color=#FFFFFF]un bon poteau est un poteau carré[/color][/size]
[size=50][color=#FFFFFF]un bon poteau est un poteau carré[/color][/size]
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
1.79 m pour 111 kg, du massif !Seabass wrote:Oh, c'est pas mal ça :c'est une bonne nouvelle !raphe58 wrote: http://www.lequipe.fr/Rugby/breves2010/ ... arque.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
C'est un pilier quand même... A côté une armoire à glaces elle se brise rien qu'à un mouvement de son petit doigt !
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Excellent match nul du CASE à Colomiers 23 partout après avoir été mené 20-6 à l'heure de jeu, de bon augure pour le sport stéphanois ce week end?
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
Greengexois exilé wrote:Excellent match nul du CASE à Colomiers 23 partout après avoir été mené 20-6 à l'heure de jeu, de bon augure pour le sport stéphanois ce week end?
Il est monté haut, très haut dans le ciel de Geoffroy Guichard.
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Re: A Sainté, il y a aussi le rugby, le tennis...
On fait bonne figure quand même