Pas trop ma tasse de thé non plus, Sweeney Todd. :???:Vert|treV wrote:Vu lundi soir "Sweeney Todd" de Tim Burton. J'avais quelques craintes avant d'y aller, craintes confirmées hélas à la sortie de la salle. Sentiment très mitigé, avec des décors et une réalisation très beaux, une interprétation honnête (avec une fois n'est pas coutume (surtout ces dernières années) un Johnny Depp plutôt bon, + Alan Rickman + Helena Bonham Carter). En revanche tout est saboté par des parties chantées très faibles (musique, paroles et interprétation en totale osmose), qui ne m'ont procuré aucune émotion. De plus la complaisance avec laquelle Burton s'attarde sur le côté sanglant n'est pas du meilleur goût. Très gore et bien macabre. Le moins bon film que j'ai vu depuis le début de l'année, mais je le reverrais bien quand même pour approfondir cette première impression.Skyman wrote:Sweeney Todd ! J'ai adoré. Enfin il faut aimer les comédies musicales et l'univers de Tim Burton. Ce qui n'était visiblement pas le cas de mes voisines de gauche qui à la première chanson on laché un grand "oh nonnnnnnn!!!", n'étant visiblement pas au courant qu'il s'agissait de ce genre de film
Un film à voir ?................ou à éviter
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Sweeney Todd de Tim Burton
Depuis quelques temps, les derniers films de Tim Burton ont un certain goût de déjà-vu lors desquels on retrouve avec plaisir et parfois une touche de déception les éléments caractéristiques de l'univers du réalisateur. Ce Sweeney Todd fraîchement sorti confirme la tendance : sorte de pot-pourri de ses précédentes oeuvres - on remarque une sacrée ressemblance entre Sweeney Todd et Edward - avec un casting assez courant et des bouilles comme Burton les aime - dont ce pâle sosie de Christina Ricci dans Sleepy Hollow qui interprète la fille de Todd, Johanna. Afin de changer un peu et ne pas donner l'impression de servir au spectateur le même plat assaisoné différemment, il change d'acolyte pour la partie musique et abandonne temporairement le talentueux Danny Elfman.
Après une introduction qui pose rapidement le décor et dont Burton a le secret, on découvre Depp à bord d'un bâteau - instant de panique ! Zut il s'agit de Pirates des Caraïbes 4 ? - revenant vers Londres dont il a été banni plusieurs années auparavant, séparé de son épouse et de sa jeune fille - en tout cas, c'est ce qu'on comprend grâce au barbier exilé qui pousse la chansonette. D'ailleurs, on constate rapidement que le film va souffrir de la surabondance de chants, aux textes pas toujours inspirés qui plus est. Plutôt que de servir le film et la narration, il est d'abord utilisé pour raconter le passé des protagonistes puis pour justifier la pseudo-romance entre un jeune matelot et la fille de Todd dont on se serait plus que passé. Première grosse déception donc dès le premier quart d'heure. Les scènes non-chantées se font rares et pourtant, ce sont celles qui donnent du cachet à l'oeuvre, puisque l'on ressent davantage le chagrin et la soif de vengeance dans les silences de Benjamin Barker (rebaptisé par ses propres soins Sweeney Todd) que dans ses sérénades.
Dès l'arrivée de Mrs Lovett, le film prend de l'ampleur. La cuisinière apporte l'ingrédient miracle qui donne enfin à l'oeuvre la saveur qu'on attendait : humour décalé, cynisme, émotion. Si Johnny Depp est à la hauteur - et se rattrape un peu des daubes qui ont récemment pollué sa carrière - si Alan Rickman se démontre toujours aussi inquiétant et à l'aise dans le rôle du méchant, Helena Bonham-Carter, elle, crève l'écran. Bien trop rare - et pourtant géniale dans Fight Club et excellente dans Conversation avec une femme - et abonnée aux seconds rôles sous la direction de son mari, cette fois-ci on ne peut louper sa remarquable performance en complice dévouée du barbier, qu'on n'aurait pas imaginée aussi sexy et charismatique vêtue d'une robe poussièreuse et rafistolée.
On retiendra également quelques séquences succulentes - à l'inverse des tourtes de Mrs Lovett - notamment Todd sortant dans la rue exposer son désir de vengeance au milieu des passants. Dommage que l'oeuvre soit aussi irrégulière. A certains moments, on se régale. D'autres fois, on soupire devant tant de mièvrerie (faites-nous grace de cette amourette entre la blondinette rêveuse aux yeux globuleux et l'alien le gentil garçon naïf, romantique et plein d'élan si bien qu'on aurait envie de s'arracher un bras pour qu'ils la ferment - I haaaaate you Johanna... On regrette également certains choix de mauvais goût (pas nécessaire de laisser couler le sang sur le visage de sa femme) et si peu de folie de la part d'un réalisateur qui nous avait habitué à plus de culot.
Un film sans surprise : bon mais pas excellent, décalé mais sans génie, gore mais à la sauce ketchup. On regrettera donc une réalisation et un scénario un peu trop convenus - fidélité à l'oeuvre originale... - malgré une maîtrise technique indéniable, un certain manque de goût et de finesse, mais surtout une partie musicale trop envahissante et pas forcément toujours inspirée qui empêche le film de décoller. Néanmoins, si l'on devait choisir un éclair de génie qui vaille le détour, ce serait la séquence multicolore où Mrs Lovett expose ses projets de famille à Todd. Et si le point fort de ce dernier film de Burton serait finalement son épouse ?
Depuis quelques temps, les derniers films de Tim Burton ont un certain goût de déjà-vu lors desquels on retrouve avec plaisir et parfois une touche de déception les éléments caractéristiques de l'univers du réalisateur. Ce Sweeney Todd fraîchement sorti confirme la tendance : sorte de pot-pourri de ses précédentes oeuvres - on remarque une sacrée ressemblance entre Sweeney Todd et Edward - avec un casting assez courant et des bouilles comme Burton les aime - dont ce pâle sosie de Christina Ricci dans Sleepy Hollow qui interprète la fille de Todd, Johanna. Afin de changer un peu et ne pas donner l'impression de servir au spectateur le même plat assaisoné différemment, il change d'acolyte pour la partie musique et abandonne temporairement le talentueux Danny Elfman.
Après une introduction qui pose rapidement le décor et dont Burton a le secret, on découvre Depp à bord d'un bâteau - instant de panique ! Zut il s'agit de Pirates des Caraïbes 4 ? - revenant vers Londres dont il a été banni plusieurs années auparavant, séparé de son épouse et de sa jeune fille - en tout cas, c'est ce qu'on comprend grâce au barbier exilé qui pousse la chansonette. D'ailleurs, on constate rapidement que le film va souffrir de la surabondance de chants, aux textes pas toujours inspirés qui plus est. Plutôt que de servir le film et la narration, il est d'abord utilisé pour raconter le passé des protagonistes puis pour justifier la pseudo-romance entre un jeune matelot et la fille de Todd dont on se serait plus que passé. Première grosse déception donc dès le premier quart d'heure. Les scènes non-chantées se font rares et pourtant, ce sont celles qui donnent du cachet à l'oeuvre, puisque l'on ressent davantage le chagrin et la soif de vengeance dans les silences de Benjamin Barker (rebaptisé par ses propres soins Sweeney Todd) que dans ses sérénades.
Dès l'arrivée de Mrs Lovett, le film prend de l'ampleur. La cuisinière apporte l'ingrédient miracle qui donne enfin à l'oeuvre la saveur qu'on attendait : humour décalé, cynisme, émotion. Si Johnny Depp est à la hauteur - et se rattrape un peu des daubes qui ont récemment pollué sa carrière - si Alan Rickman se démontre toujours aussi inquiétant et à l'aise dans le rôle du méchant, Helena Bonham-Carter, elle, crève l'écran. Bien trop rare - et pourtant géniale dans Fight Club et excellente dans Conversation avec une femme - et abonnée aux seconds rôles sous la direction de son mari, cette fois-ci on ne peut louper sa remarquable performance en complice dévouée du barbier, qu'on n'aurait pas imaginée aussi sexy et charismatique vêtue d'une robe poussièreuse et rafistolée.
On retiendra également quelques séquences succulentes - à l'inverse des tourtes de Mrs Lovett - notamment Todd sortant dans la rue exposer son désir de vengeance au milieu des passants. Dommage que l'oeuvre soit aussi irrégulière. A certains moments, on se régale. D'autres fois, on soupire devant tant de mièvrerie (faites-nous grace de cette amourette entre la blondinette rêveuse aux yeux globuleux et l'alien le gentil garçon naïf, romantique et plein d'élan si bien qu'on aurait envie de s'arracher un bras pour qu'ils la ferment - I haaaaate you Johanna... On regrette également certains choix de mauvais goût (pas nécessaire de laisser couler le sang sur le visage de sa femme) et si peu de folie de la part d'un réalisateur qui nous avait habitué à plus de culot.
Un film sans surprise : bon mais pas excellent, décalé mais sans génie, gore mais à la sauce ketchup. On regrettera donc une réalisation et un scénario un peu trop convenus - fidélité à l'oeuvre originale... - malgré une maîtrise technique indéniable, un certain manque de goût et de finesse, mais surtout une partie musicale trop envahissante et pas forcément toujours inspirée qui empêche le film de décoller. Néanmoins, si l'on devait choisir un éclair de génie qui vaille le détour, ce serait la séquence multicolore où Mrs Lovett expose ses projets de famille à Todd. Et si le point fort de ce dernier film de Burton serait finalement son épouse ?
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[color=#408080]"Si tu penses que la vie est un distributeur automatique où tu mets de la vertu et que du bonheur ressort, alors, tu seras probablement déçu."[/color]
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Joli film. Bon cadre et bon montage (on ne voit pas passer les 2h30).Flamby wrote:Pas vu mais il semblerait que "Into the wild" soit une merveille.
Quelqu'un l'a vu ?
Assez esthétisant mais ça passe plutôt bien.
Bon cast.
Quelques naïvetés dans le scenar mais l'ensemble est assez cohérent.
A voir.
Attention : me demande si enchaîner No country for old men et Into the wild ne risque pas de conduire directement au suicide.
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En effet c'est un super film qui ne devrait pas être loin des meilleurs réalisations de 2008.Flamby wrote:Pas vu mais il semblerait que "Into the wild" soit une merveille.
Quelqu'un l'a vu ?
De supers paysages, une réalisation tout en sobriété de Sean Penn, des acteurs convaincants et attachants et une histoire prenante, même si certains pourront peut être trouver le message un peu naîf.
En tout cas perso, j'ai vraiment bien accroché, alors que j'ai eu un peu peur de m'emmerder sur les premières minutes.
Par ailleurs, je ne le savais pas avant la fin du film, mais celui-ci est tiré d'une histoire vrai, ce qui rend quelque part ce dernier encore plus touchant.
Sinon quelqu'un aurait il vu Cloverfield, le film produit par JJ Abrams? Visiblement il y a un grosse hype autour de celui-ci et sur ce que j'en ai lu cela a l'air diablement excitant.
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C'est ce que j'ai fait , on sent un Rambo plus mature , mais toujours efficace au combat et enclin à secourir le plus faible .Bauhausfc01 wrote:Si vous voulez de la tendresse, de la fraternité, du don de soi etc......Foncez les yeux fermés voir "John Rambo" !
Il se sert aussi bien de son arc que l'ex champion olympique Sébastien Flute , degaine plus vite que Lucky Luke et tranche ses ennemis aussi efficacement qu'un sécateur.
Un dernier volet qui se conclut en beauté sur une touche émouvante.
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Toi aussi, t'es sorti de la séance les larmes aux yeux ???patches o'houlihan wrote:C'est ce que j'ai fait , on sent un Rambo plus mature , mais toujours efficace au combat et enclin à secourir le plus faible .Bauhausfc01 wrote:Si vous voulez de la tendresse, de la fraternité, du don de soi etc......Foncez les yeux fermés voir "John Rambo" !
Il se sert aussi bien de son arc que l'ex champion olympique Sébastien Flute , degaine plus vite que Lucky Luke et tranche ses ennemis aussi efficacement qu'un sécateur.
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Bah en fait , je sais pas si c'est le fait de savoir que il n'y aura plus de Rambo ou alors le geste contre nature que celui-çi fait à la fin du film , mais on est pas tous sortis de la salle immédiatement .Bauhausfc01 wrote:Toi aussi, t'es sorti de la séance les larmes aux yeux ???patches o'houlihan wrote:C'est ce que j'ai fait , on sent un Rambo plus mature , mais toujours efficace au combat et enclin à secourir le plus faible .Bauhausfc01 wrote:Si vous voulez de la tendresse, de la fraternité, du don de soi etc......Foncez les yeux fermés voir "John Rambo" !
Il se sert aussi bien de son arc que l'ex champion olympique Sébastien Flute , degaine plus vite que Lucky Luke et tranche ses ennemis aussi efficacement qu'un sécateur.
Un dernier volet qui se conclut en beauté sur une touche émouvante.
Il y avait toutes les catégories d'age , je rappele d'ailleurs que ce film est interdit au moins de 12 ans, et certains ont repris leur souffle . Le film ne fait que 1h30 , je trouve ça un peu court, c'est la faute des compagnies je parie ça encore , enfin bref so long john.
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J'ai bien peur que 20 minutes supplémentaires d'un tel chef d'oeuvre, n'auraient pas été sans conséquences sur les statistiques de la population birmane.patches o'houlihan wrote:Bah en fait , je sais pas si c'est le fait de savoir que il n'y aura plus de Rambo ou alors le geste contre nature que celui-çi fait à la fin du film , mais on est pas tous sortis de la salle immédiatement .Bauhausfc01 wrote:Toi aussi, t'es sorti de la séance les larmes aux yeux ???patches o'houlihan wrote:C'est ce que j'ai fait , on sent un Rambo plus mature , mais toujours efficace au combat et enclin à secourir le plus faible .Bauhausfc01 wrote:Si vous voulez de la tendresse, de la fraternité, du don de soi etc......Foncez les yeux fermés voir "John Rambo" !
Il se sert aussi bien de son arc que l'ex champion olympique Sébastien Flute , degaine plus vite que Lucky Luke et tranche ses ennemis aussi efficacement qu'un sécateur.
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Il y avait toutes les catégories d'age , je rappele d'ailleurs que ce film est interdit au moins de 12 ans, et certains ont repris leur souffle . Le film ne fait que 1h30 , je trouve ça un peu court, c'est la faute des compagnies je parie ça encore , enfin bref so long john.
Vous êtes ironiques ou le film est il vraiment visible ?Bauhausfc01 wrote:J'ai bien peur que 20 minutes supplémentaires d'un tel chef d'oeuvre, n'auraient pas été sans conséquences sur les statistiques de la population birmane.patches o'houlihan wrote:Bah en fait , je sais pas si c'est le fait de savoir que il n'y aura plus de Rambo ou alors le geste contre nature que celui-çi fait à la fin du film , mais on est pas tous sortis de la salle immédiatement .Bauhausfc01 wrote:Toi aussi, t'es sorti de la séance les larmes aux yeux ???patches o'houlihan wrote:C'est ce que j'ai fait , on sent un Rambo plus mature , mais toujours efficace au combat et enclin à secourir le plus faible .Bauhausfc01 wrote:Si vous voulez de la tendresse, de la fraternité, du don de soi etc......Foncez les yeux fermés voir "John Rambo" !
Il se sert aussi bien de son arc que l'ex champion olympique Sébastien Flute , degaine plus vite que Lucky Luke et tranche ses ennemis aussi efficacement qu'un sécateur.
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Il y avait toutes les catégories d'age , je rappele d'ailleurs que ce film est interdit au moins de 12 ans, et certains ont repris leur souffle . Le film ne fait que 1h30 , je trouve ça un peu court, c'est la faute des compagnies je parie ça encore , enfin bref so long john.
Gamin, je me souviens avoir aimé le 1.
Bon ensuite il y a eu les suites qui ont été pour le 3ème art ce que les roosty frites de Mc Do ont été pour la gastronomie...
[b]Think positive, have the [color=green]Verte[/color] attitude![/b]
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John, le ciel bleu.......Il s'en fout !!!patoche wrote:D'aprés la météo il devrait faire beau ce week-end :lol:Bauhausfc01 wrote:Si vous voulez de la tendresse, de la fraternité, du don de soi etc......Foncez les yeux fermés voir "John Rambo" !
Au contraire, la mousson, le déluge, les orages, lui font donner le meilleur de lui même !
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ça fait plaisir de voir que le public français a bon goût !patches o'houlihan wrote:http://www.allocine.fr/film/critiquepub ... 61139.html
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Perso, je vais le voir lundi et j'aimerais aussi savoir si quelqu'un à vu ce film ... Ca a l'air d'être une vraie bombe avec la caméra à la style Blair Witch mais on sait jamais ^^El Couramiaud wrote:Sinon quelqu'un aurait il vu Cloverfield, le film produit par JJ Abrams? Visiblement il y a un grosse hype autour de celui-ci et sur ce que j'en ai lu cela a l'air diablement excitant.
En tout cas la BA donne envie
Sinon pour Astérix et Obélix au jeux Olympiques, clair que c'est une vraie daube :twisted: J'me suis endormi devant tellement ... J'avais entendu des critiques que c'était un mauvais film, mais j'me suis dis qu'avec un budget si énorme, à défaut d'être un film qui marque les anales, ca serait un film bon public, bin même pas ... Vraiment nul :sad: Dommage !
[img]http://img526.imageshack.us/img526/2657/ubnycb46al.jpg[/img]
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moi aussi. une semaine après, on y pense encore.
into the wild est un film très réussi à tous les niveaux, que ce soit la bonne tenue des comédiens, la photographie, la mise en scène, l'histoire.
ça fait du bien en ces temps de daubes cinématographiques téléphonées à gros budgets.
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ça fait du bien en ces temps de daubes cinématographiques téléphonées à gros budgets.
Le mistral, le sirocco, la tramontane..... et le virage nord.
Bon, je reviens de voir Cloverfield ... Je sais pas trop quoi en dire ... J'suis un peu retourné en fait :oops: Non vraiment, je me demande encore comment ils ont pu faire ce film, c'est effrayant tellement ça parait réel, tellement on est immergé dans le film, qu'on s'accroche aux personnages ...
Si on aime les films catastrophe, ou pas forcement, faut le voir je pense ... Moi j'ai adoré et j'me pose encore des questions ...
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- Location: tahiti of course !!!