[Basket] Reprise saison NBA
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Shaq de retour dimanche ?
Shaquille O’Neal ne devrait pas rejouer avant dimanche. Le pivot de Miami souffre de la hanche.
Quand tout va mal… Actuellement dernier de la Eastern Conference, Miami a des problèmes de blessures. Outre Zo Mourning out pour le reste de la saison, c’est Shaquille O’Neal qui est sur le flanc. Pat Riley espère pouvoir compter sur «Big Shaq Daddy» dès dimanche après les résultats positifs de l'IRM. Le pivot du Heat souffre de la hanche. Une blessure qui remonte au 22 décembre lors d’un match contre les Jazz. Elle s’est ensuite aggravée le 26 décembre contre les Sixers.
Shaquille O’Neal ne devrait pas rejouer avant dimanche. Le pivot de Miami souffre de la hanche.
Quand tout va mal… Actuellement dernier de la Eastern Conference, Miami a des problèmes de blessures. Outre Zo Mourning out pour le reste de la saison, c’est Shaquille O’Neal qui est sur le flanc. Pat Riley espère pouvoir compter sur «Big Shaq Daddy» dès dimanche après les résultats positifs de l'IRM. Le pivot du Heat souffre de la hanche. Une blessure qui remonte au 22 décembre lors d’un match contre les Jazz. Elle s’est ensuite aggravée le 26 décembre contre les Sixers.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
En effet. Et la même nuit je crois, Martell Webster, de Portaland, a marqué 24pts lui aussi mais dans le 3ème quart, permettant à son équipe de faire l'écart. Lors du 6ème match de la finale de conférence l'année dernière, James avait scoré 48pts dont les 28 derniers de son équipe je crois, le tout entre la fin du 4ème quart temps et la prolongation (où il avait marqué TOUS les points de son équipe).Le druide wrote:Je suis la NBA de très loin, mais j'ai entendu qu'il avait marqué 24 de ses 39 points dans le dernier quart temps :shock:vinsanity wrote:De leur côté, les Cavaliers de LeBron James (39 points-11 rebonds) ).
Sinon ce soir : Istanbul - Roanne à 19h15 !
Roanne joue sa dernière carte
Sixième du groupe C à égalité avec Rome, la Chorale a encore mathématiquement toutes les cartes en main pour rallier le Top 16 de l'Euroligue. Mais son menu lors des quatre dernières journées s'annonce indigeste avec notamment des matches face au Panathinaïkos et au Real Madrid. Dans ce contexte, le déplacement des champions de France à Istanbul, mercredi, pour y défier Fenerhahçe ressemble fortement au match de la dernière chance. S'imposer dans les Bosphore face à Solomon, Turkcan et consorts relèverait de l'exploit pour Roanne.
Au fil des matches, la Chorale s'est doucement prise au jeu de l'Euroligue. Avec trois victoires en dix journées, son bilan n'a rien de transcendant, bien que plus reluisant que celui du Mans, toujours en quête de son premier succès, Roanne peut toujours nourrir à quatre journées de la fin de la première phase l'espoir d'accéder au Top 16 avec les toutes meilleures équipes du continent. S'ils n'ont quasiment plus aucune chance de terminer à l'une des cinq premières places de leur groupe, les champions de France, actuellement septièmes, peuvent toujours lorgner sur la place de meilleur sixième qui délivre un billet pour le tour suivant.
A l'heure d'aborder le sprint final, les Roannais comptent le même nombre de points (13) que les trois sixièmes de chaque poule, à savoir Ljubljana, le Cibona Zagreb et la Virtus Roma qu'ils défieront de l'autre côté des Alpes lors de l'ultime journée de la première phase. Mais avant cette rencontre qui sera peut-être décisive, les hommes de Jean-Denys Choulet vont devoir s'attaquer à un triptyque pour le moins indigeste: un déplacement à Istanbul, mercredi soir, suivi la semaine prochaine d'un périple chez le Panathinaïkos, champion d'Europe en titre, avant de recevoir le Real Madrid dans quinze jours. Comme deux victoires paraissent être le minimum vital à la Chorale pour espérer poursuivre l'aventure européenne au-delà du mois de janvier, le match contre le Fenerbahçe cette semaine revêt une importance capitale tant le Pana et le Real semblent hors de portée des Rhônalpins.
Les dangers Solomon et Türkcan
Quatrièmes du groupe C, les Turcs n'ont plus besoin aujourd'hui que d'une victoire pour s'assurer de façon presque certaine la validation de leur billet pour le Top 16. Mi-novembre, les joueurs de Bogdan Tanjevic, l'ancien coach de Villeurbanne, étaient venus s'imposer à Clermont au terme d'un match hyper spectaculaire (90-97) durant lequel Marc Salyers avait compilé 40 points. Une rencontre qui avait laissé beaucoup de regrets aux Roannais, lesquels avaient compté jusqu'à 16 longueurs d'avance lors de la première période. Dans le Bosphore, les coéquipiers de Pape Badiane vont découvrir l'une des salles les plus chaudes du continent, eux qui avaient évité avant les fêtes le bouillonnant public du Partizan Belgrade en raison du huis clos imposé par les dirigeants de l'Euroligue au club serbe pour les trop nombreux débordements de ses supporters.
Dans la ferveur de l'Abdi Ipekçi Arena, les Roannais devront, s'ils veulent espérer ramener deux points de Turquie, prendre la mesure du duo Will Solomon et Mirsad Türkcan. Véritable fer de lance des Canaris, le meneur américain, qui tourne à 17,3 points de moyenne sur la scène européenne, est un véritable dragster que Marc-Antoine Pellin ne devra pas lâcher d'une semelle. L'intérieur turc, toujours aussi complet (17,1 points et 9,9 rebonds cette saison), est devenu lors de la dernière journée à Rome (victoire des Turcs 84-36, Ndlr) le premier homme à capter 1 000 rebonds en Euroligue. Du rendement des deux superstars de l'équipe, qui s'est séparée d'Ibrahim Kutluay en ce début d'année et l'a remplacé par l'arrière US Tarence Kinsey, pourrait dépendre l'issue de la partie. Motif d'espoir pour la Chorale, le «Fener» n'est pas imprenable dans sa salle cette saison: le Real, le Pana et Barcelone l'ont déjà démontré.
www.sports.fr
Sixième du groupe C à égalité avec Rome, la Chorale a encore mathématiquement toutes les cartes en main pour rallier le Top 16 de l'Euroligue. Mais son menu lors des quatre dernières journées s'annonce indigeste avec notamment des matches face au Panathinaïkos et au Real Madrid. Dans ce contexte, le déplacement des champions de France à Istanbul, mercredi, pour y défier Fenerhahçe ressemble fortement au match de la dernière chance. S'imposer dans les Bosphore face à Solomon, Turkcan et consorts relèverait de l'exploit pour Roanne.
Au fil des matches, la Chorale s'est doucement prise au jeu de l'Euroligue. Avec trois victoires en dix journées, son bilan n'a rien de transcendant, bien que plus reluisant que celui du Mans, toujours en quête de son premier succès, Roanne peut toujours nourrir à quatre journées de la fin de la première phase l'espoir d'accéder au Top 16 avec les toutes meilleures équipes du continent. S'ils n'ont quasiment plus aucune chance de terminer à l'une des cinq premières places de leur groupe, les champions de France, actuellement septièmes, peuvent toujours lorgner sur la place de meilleur sixième qui délivre un billet pour le tour suivant.
A l'heure d'aborder le sprint final, les Roannais comptent le même nombre de points (13) que les trois sixièmes de chaque poule, à savoir Ljubljana, le Cibona Zagreb et la Virtus Roma qu'ils défieront de l'autre côté des Alpes lors de l'ultime journée de la première phase. Mais avant cette rencontre qui sera peut-être décisive, les hommes de Jean-Denys Choulet vont devoir s'attaquer à un triptyque pour le moins indigeste: un déplacement à Istanbul, mercredi soir, suivi la semaine prochaine d'un périple chez le Panathinaïkos, champion d'Europe en titre, avant de recevoir le Real Madrid dans quinze jours. Comme deux victoires paraissent être le minimum vital à la Chorale pour espérer poursuivre l'aventure européenne au-delà du mois de janvier, le match contre le Fenerbahçe cette semaine revêt une importance capitale tant le Pana et le Real semblent hors de portée des Rhônalpins.
Les dangers Solomon et Türkcan
Quatrièmes du groupe C, les Turcs n'ont plus besoin aujourd'hui que d'une victoire pour s'assurer de façon presque certaine la validation de leur billet pour le Top 16. Mi-novembre, les joueurs de Bogdan Tanjevic, l'ancien coach de Villeurbanne, étaient venus s'imposer à Clermont au terme d'un match hyper spectaculaire (90-97) durant lequel Marc Salyers avait compilé 40 points. Une rencontre qui avait laissé beaucoup de regrets aux Roannais, lesquels avaient compté jusqu'à 16 longueurs d'avance lors de la première période. Dans le Bosphore, les coéquipiers de Pape Badiane vont découvrir l'une des salles les plus chaudes du continent, eux qui avaient évité avant les fêtes le bouillonnant public du Partizan Belgrade en raison du huis clos imposé par les dirigeants de l'Euroligue au club serbe pour les trop nombreux débordements de ses supporters.
Dans la ferveur de l'Abdi Ipekçi Arena, les Roannais devront, s'ils veulent espérer ramener deux points de Turquie, prendre la mesure du duo Will Solomon et Mirsad Türkcan. Véritable fer de lance des Canaris, le meneur américain, qui tourne à 17,3 points de moyenne sur la scène européenne, est un véritable dragster que Marc-Antoine Pellin ne devra pas lâcher d'une semelle. L'intérieur turc, toujours aussi complet (17,1 points et 9,9 rebonds cette saison), est devenu lors de la dernière journée à Rome (victoire des Turcs 84-36, Ndlr) le premier homme à capter 1 000 rebonds en Euroligue. Du rendement des deux superstars de l'équipe, qui s'est séparée d'Ibrahim Kutluay en ce début d'année et l'a remplacé par l'arrière US Tarence Kinsey, pourrait dépendre l'issue de la partie. Motif d'espoir pour la Chorale, le «Fener» n'est pas imprenable dans sa salle cette saison: le Real, le Pana et Barcelone l'ont déjà démontré.
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Charlotte a bon goût
Une fois n'est pas coutume, la meilleure équipe de la Ligue a été battue. Après neuf victoires consécutives, Boston est tombé à domicile devant les Bobcats (83-95), emmenés notamment par Jason Richardson, auteur de 34 points. Malgré cela, les Celtics restent évidemment de solides leaders à l'Est. Leurs alter ego de la Conférence ouest, les Suns de Phoenix, ont battu Indiana (129-122), avec un Boris Diaw à 8 points et 7 passes en 41 minutes. Quant à Miami, la chute continue avec ce nouveau revers face à Milwaukee (92-98).
Le match
Les séries sont faites pour prendre fin, un jour où l'autre. Et Boston l'a appris à ses dépens la nuit dernière. Invaincus lors des neuf derniers matches, les Celtics ont chuté dans leur TD Banknorth Garden pour la deuxième fois de la saison. Le 19 décembre dernier, Detroit s'était offert le scalp des leaders de la conférence Est. Cette fois, l'oeuvre est signée des Charlotte Bobcats.
Des Bobcats qui eux aussi mettent un terme à une piteuse série en déplacement puisqu'ils restaient sur onze rencontres sans le moindre succès hors de leurs bases. "Je ne suis pas surpris parce que nous avons une assez bonne équipe, réagissait Jason Richardson. Simplement, cela ne se voit pas sur notre bilan." A savoir 13 victoires contre 21 défaites. Si l'arrière des Bobcats réitère le genre de performance qu'il a livrée face aux Celtics, alors la franchise de Caroline du Nord pourrait rapidement grimper dans la hiérarchie. Car Richardson a été énorme avec 34 points, 9 rebonds et 3 passes, bien épaulé par Gerald Wallace (15 points, 10 rebonds) et Nazr Mohammed (18 points, 10 rebonds). Il fallait bien une telle concentration de talents pour venir à bout d'un Big Three toujours amputé de Ray Allen. Dominateurs à l'intérieur, les Bobcats ont en réalité pris l'ascendant en seconde période.
Et quand les hommes de Doc Rivers espéraient revenir au score, Richardson, à 14/22 aux tirs, se chargeait de conserver une avance suffisante en rentrant plusieurs shoots importants. "Jason Richardon a été tout simplement fantastique", commentait le coach des Celtics, pas vraiment déboussolé par cette défaite qui empêche la franchise du Massachussets de réaliser le meilleur départ de son histoire, en date de la saison 1959-1960, avec 30 victoires contre 4 défaites. Cette année, les Celtics ne pourront que l'égaler s'ils l'emportent dans le New Jersey dans deux jours. "Nous n'allons pas gagner tous les matches de la saison, expliquait Paul Pierce, irrégulier la nuit dernière avec 13 points à 4/14 aux shoots. Nous devons nous attendre à affronter les meilleurs, et c'était là l'un des tout meilleurs matches de Charlotte." Kevin Garnett, lui, avait assuré l'essentiel avec 24 points et 8 rebonds. Mais à lui seul, "Big Ticket" ne peut pas tout faire.
Les Français
Quand le chat, Tony Parker, n'est pas là, les souris dansent. Meilleur rongeur de la nuit dernière, Johan Petro a éclaboussé l'IZOD Center du New Jersey de sa jeune classe. Malgré la défaite des Sonics contre les Nets (88-99), l'intérieur tricolore a brillé avec 22 points au compteur, à 10/15 aux shoots, auxquels se sont ajoutés 9 rebonds et 3 contres. Le tout en 30 minutes de jeu, soit trois fois plus que Mickael Gelabale, vierge de points. Avec les Warriors, défaits à Portland (91-109), Mickael Pietrus a eu l'occasion de se mettre en valeur et l'ancien Palois a profité de la demi-heure passée sur le parquet pour inscrire 13 points et capter 8 rebonds. Boris Diaw, moins brillant que ses deux compatriotes avec 8 points, 6 rebonds et 7 passes en 41 minutes de jeu, a tout de même eu plus de chance puisque les Suns se sont imposés face aux Pacers après prolongation (129-122), conservant ainsi les commandes de la conférence Ouest. En 15 minutes, Ronny Turiaf n'a compilé que 5 points et 4 rebonds lors du succès des Lakers sur les Hornets (109-80).
Le chiffre: 9
Plus dure sera la chute. Même contre une équipe des Milwaukee Bucks sans volume depuis le début de saison (15-20), le Miami Heat ne parvient pas à redresser la tête. La nuit dernière, les hommes du vieillissant Pat Riley se sont écroulés (92-98), pour la neuvième fois de suite. Et ce malgré les efforts de Dwyane Wade, à son aise avec 34 points, 9 rebonds et 5 passes mais trop seul pour retenir à lui seul la franchise californienne. Surtout quand en face, Mo Williams, toujours inspiré par le Heat puisqu'il avait signé la plus belle partition de sa carrière - 38 points - le 2 mars 2007 face à Miami, sort le match de sa saison avec 35 points et 6 passes...
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Une fois n'est pas coutume, la meilleure équipe de la Ligue a été battue. Après neuf victoires consécutives, Boston est tombé à domicile devant les Bobcats (83-95), emmenés notamment par Jason Richardson, auteur de 34 points. Malgré cela, les Celtics restent évidemment de solides leaders à l'Est. Leurs alter ego de la Conférence ouest, les Suns de Phoenix, ont battu Indiana (129-122), avec un Boris Diaw à 8 points et 7 passes en 41 minutes. Quant à Miami, la chute continue avec ce nouveau revers face à Milwaukee (92-98).
Le match
Les séries sont faites pour prendre fin, un jour où l'autre. Et Boston l'a appris à ses dépens la nuit dernière. Invaincus lors des neuf derniers matches, les Celtics ont chuté dans leur TD Banknorth Garden pour la deuxième fois de la saison. Le 19 décembre dernier, Detroit s'était offert le scalp des leaders de la conférence Est. Cette fois, l'oeuvre est signée des Charlotte Bobcats.
Des Bobcats qui eux aussi mettent un terme à une piteuse série en déplacement puisqu'ils restaient sur onze rencontres sans le moindre succès hors de leurs bases. "Je ne suis pas surpris parce que nous avons une assez bonne équipe, réagissait Jason Richardson. Simplement, cela ne se voit pas sur notre bilan." A savoir 13 victoires contre 21 défaites. Si l'arrière des Bobcats réitère le genre de performance qu'il a livrée face aux Celtics, alors la franchise de Caroline du Nord pourrait rapidement grimper dans la hiérarchie. Car Richardson a été énorme avec 34 points, 9 rebonds et 3 passes, bien épaulé par Gerald Wallace (15 points, 10 rebonds) et Nazr Mohammed (18 points, 10 rebonds). Il fallait bien une telle concentration de talents pour venir à bout d'un Big Three toujours amputé de Ray Allen. Dominateurs à l'intérieur, les Bobcats ont en réalité pris l'ascendant en seconde période.
Et quand les hommes de Doc Rivers espéraient revenir au score, Richardson, à 14/22 aux tirs, se chargeait de conserver une avance suffisante en rentrant plusieurs shoots importants. "Jason Richardon a été tout simplement fantastique", commentait le coach des Celtics, pas vraiment déboussolé par cette défaite qui empêche la franchise du Massachussets de réaliser le meilleur départ de son histoire, en date de la saison 1959-1960, avec 30 victoires contre 4 défaites. Cette année, les Celtics ne pourront que l'égaler s'ils l'emportent dans le New Jersey dans deux jours. "Nous n'allons pas gagner tous les matches de la saison, expliquait Paul Pierce, irrégulier la nuit dernière avec 13 points à 4/14 aux shoots. Nous devons nous attendre à affronter les meilleurs, et c'était là l'un des tout meilleurs matches de Charlotte." Kevin Garnett, lui, avait assuré l'essentiel avec 24 points et 8 rebonds. Mais à lui seul, "Big Ticket" ne peut pas tout faire.
Les Français
Quand le chat, Tony Parker, n'est pas là, les souris dansent. Meilleur rongeur de la nuit dernière, Johan Petro a éclaboussé l'IZOD Center du New Jersey de sa jeune classe. Malgré la défaite des Sonics contre les Nets (88-99), l'intérieur tricolore a brillé avec 22 points au compteur, à 10/15 aux shoots, auxquels se sont ajoutés 9 rebonds et 3 contres. Le tout en 30 minutes de jeu, soit trois fois plus que Mickael Gelabale, vierge de points. Avec les Warriors, défaits à Portland (91-109), Mickael Pietrus a eu l'occasion de se mettre en valeur et l'ancien Palois a profité de la demi-heure passée sur le parquet pour inscrire 13 points et capter 8 rebonds. Boris Diaw, moins brillant que ses deux compatriotes avec 8 points, 6 rebonds et 7 passes en 41 minutes de jeu, a tout de même eu plus de chance puisque les Suns se sont imposés face aux Pacers après prolongation (129-122), conservant ainsi les commandes de la conférence Ouest. En 15 minutes, Ronny Turiaf n'a compilé que 5 points et 4 rebonds lors du succès des Lakers sur les Hornets (109-80).
Le chiffre: 9
Plus dure sera la chute. Même contre une équipe des Milwaukee Bucks sans volume depuis le début de saison (15-20), le Miami Heat ne parvient pas à redresser la tête. La nuit dernière, les hommes du vieillissant Pat Riley se sont écroulés (92-98), pour la neuvième fois de suite. Et ce malgré les efforts de Dwyane Wade, à son aise avec 34 points, 9 rebonds et 5 passes mais trop seul pour retenir à lui seul la franchise californienne. Surtout quand en face, Mo Williams, toujours inspiré par le Heat puisqu'il avait signé la plus belle partition de sa carrière - 38 points - le 2 mars 2007 face à Miami, sort le match de sa saison avec 35 points et 6 passes...
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Ca faisait longtemps que j'avais pas vu le MSB en EL, bah j'ai pas été déçu ... pendant 3 quart temps. J'ai vu un MSB qui jouait très bien, et puis d'un coup, quand les stanbuliotes ont haussé le niveau, plus rien. Une équipe qui se délite dès que ça joue dur. Il en résulte un 23-4 et un 34-10 sur le dernier quart et la prolongation ! Incroyable ! Bon alors y'a le physique qui joue en prolong, où la moitié des manceaux étaient sur les rotules, mais tout de même ... :sad:
Et hop 2 victoires à l'extérieur
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15731
Jamais 2 sans 3 demain ?
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15731
Jamais 2 sans 3 demain ?
vinsanity wrote:Et hop 2 victoires à l'extérieur
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15731
Jamais 2 sans 3 demain ?
yyyyyeeeeeeessssss
on a encore niké les canaris.
Atlanta-Miami : 51 secondes à rejouer !
Pour la première fois depuis 1982, la NBA va faire rejouer la dernière minute d'une rencontre. Atlanta et Miami devront en découdre le 8 mars. Battu à Atlanta après prolongation (117-111), Miami avait porté réclamation en raison d'une erreur de la table de marque, qui avait expulsé injustement Shaquille O'Neal pour une sixième faute. Les deux équipes vont donc devoir rejouer les 51 dernières secondes. Le match redémarrera à 114-111. A l'origine de l'erreur, les Hawks ont pris une amende de 50 000 dollars.
www.eurosport.fr
Pour la première fois depuis 1982, la NBA va faire rejouer la dernière minute d'une rencontre. Atlanta et Miami devront en découdre le 8 mars. Battu à Atlanta après prolongation (117-111), Miami avait porté réclamation en raison d'une erreur de la table de marque, qui avait expulsé injustement Shaquille O'Neal pour une sixième faute. Les deux équipes vont donc devoir rejouer les 51 dernières secondes. Le match redémarrera à 114-111. A l'origine de l'erreur, les Hawks ont pris une amende de 50 000 dollars.
www.eurosport.fr
J'étais donc à Bercy hier...vinsanity wrote:Et hop 2 victoires à l'extérieur
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15731
Jamais 2 sans 3 demain ?
Je dirais 5000 personnes environ ce qui ne faisait pas grand monde dans cette grande salle. D'ailleurs comment féderer une équipe et ses supporters lorsqu'on joue à 3 endroits différents...
Aucune ambiance, simplement des personnes comme moi qui vennaient voir un spectacle. Certains n'ayant jamais vu un match de basket.
En tout cas, belle équipe de Roanne, qui n'a jamais laissé un Paris Levallois très brouillon, revenir dans la partie lorsque la chorale avait un coup de moins bien ! Je pense que j'irais les voir à Coubertin et/ou Levallois voir comment ça se passe dans ces salles. En tout cas, Jean Baptiste Adolphe, ancien joueur de Levallois était le plus apprécié et le plus applaudi dans le public...
C'est vrai que Bercy sonnait creux, mais à la décharge du PLB, contrairement à l'année dernière, ils n'ont pas pu avoir les panneaux d'affichage de la mairie puisqu'ils sont occupés par les voeux de Delanoé, et il y a eu finalement peu de pub pour cette rencontre (lu sur basketinfo). C'est clair que les gens étaient venus pour voir du spectacle, et avec Roanne ça ne pouvait que bien marcher. Il y a eu une paire d'actions assez spectaculaires. Vraiment pas mal à voir.BriKo wrote:J'étais donc à Bercy hier...vinsanity wrote:Et hop 2 victoires à l'extérieur
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15731
Jamais 2 sans 3 demain ?
Je dirais 5000 personnes environ ce qui ne faisait pas grand monde dans cette grande salle. D'ailleurs comment féderer une équipe et ses supporters lorsqu'on joue à 3 endroits différents...
Aucune ambiance, simplement des personnes comme moi qui vennaient voir un spectacle. Certains n'ayant jamais vu un match de basket.
En tout cas, belle équipe de Roanne, qui n'a jamais laissé un Paris Levallois très brouillon, revenir dans la partie lorsque la chorale avait un coup de moins bien ! Je pense que j'irais les voir à Coubertin et/ou Levallois voir comment ça se passe dans ces salles. En tout cas, Jean Baptiste Adolphe, ancien joueur de Levallois était le plus apprécié et le plus applaudi dans le public...
Jean Baptiste Adolphe, Michel de son prénom est vraiment pas mal. Il a commencé le basket à 18 ans et jouait en N1 il y a deux ans. Belle progression. C'est un battant qui est vite devenu le chouchou du public du PLB.
Roanne a paru très serein sur ce match. Avec l'effectif au complet, sans compter l'apport de Koné dans pas longtemps, cette équipe a les armes pour défendre son titre à mon avis. Sur le banc y'a vraiment de la qualité, même si il n'y a plus le même trident aussi talentueux que l'année dernière. Mais cette équipe a des cojones, plusieurs joueurs capables de prendre feu, les coups peuvent pleuvoir d'un peu partout avec Rush, Salyers, Hess, Cazalon, Hale voir même Badiane et Pellin de plus en plus investis en attaque. Pellin marque peu de points, mais c'est un sacré poison, et un formidable gestionnaire. Il a vraiment les armes d'un très bon meneur : capable de gérer un tempo lent, capable de jouer vite, voir très vite, gros défenseur. Il ne lui manque finalement qu'un shoot plus consistant, mais vu les décalages qu'il est capable de créer, ce n'est pas vraiment un problème.
Les résultats en N1 et N2, manque encore la Pontoise ...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15756
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15756
Les Suns étaient d'attaque
Quand Phoenix se fâche, ça fait des dégâts. Opposés à Milwaukee, les Suns se sont imposés 122-114. Un score large qui a permis à Nash 35 points à (13/17 aux tirs) ou à Stoudemire 31 unités (12/16) de se mettre en avant. Boris Diaw, qui figurait dans le 5 majeur a compilé 21 points, 11 rebonds et 4 passes. Un double-double forcément très bon pour son moral... Dans le même temps, les Spurs de Parker et Ginobili ont donné la leçon aux Timberwolves 105-88. En revanche, Boston est tombé contre les Wizards (85-78).
Le match
Et dire que Steve Nash ne se sentait pas en forme... Il était même incertain avant la rencontre. Le meneur de jeu canadien a pourtant profité de ce duel contre les Bucks, samedi, pour réaliser sa meilleur prestation de la saison. Avec 35 points à 13/17 aux tirs et 7 passes décisives, il a enflammé l'US Airways center de Phoenix D'autant que ses coéquipiers étaient au diapason avec notamment un Amare Stoudemire auteur d'un super 12/16 aux shoots pour un total de 31 points, 8 rebonds et 3 passes.
Avec un tel élan, Boris Diaw ne pouvait pas se rater. Le Français, placé dans le 5 de départ, a été à la hauteur avec 21 points (10/15 aux tirs), 11 rebonds et 4 passes. Il a clairement participé à la nette victoire de son équipe en rendant sa meilleure copie de la saison avec un joli double-double à la clé. Diaw de retour en très grande forme, c'est une excellente nouvelle pour les Suns. «C'est un joueur incroyable. Quand il utilise toutes ses armes, qu'il est agressifs, il est fantastique», assure Steve Nash.
Un nouveau succès qui permet aux Suns de prendre une petite avance sur les Lakers dans la Division Pacific (26-11 contre 24-11). Un duel à l'Ouest qui n'a pas fini de faire parler tant les équipes sont proches. En ce sens, tous les succès sont importants.
Les Français
Outre la performance de Boris Diaw avec les Suns, Tony Parker a aussi été à la fête. Le meneur de jeu des Spurs a ainsi compilé 21 points et 8 passes décisives lors de la victoire des Texans contre les Minnesota Timberwolves (105-88). Seul hic à cette performance, les six ballons rendus à l'adversaire.
La stat
Bien qu'il n'ait pas souhaité fêter ce succès différemment d'un autre, Gregg Popovich a tout de même réalisé une sacré performance en enregistrant son 600e succès, samedi face à Minnesota, en tant qu'entraîneur en saison régulière de NBA. Un succès il est vrai attendu tant les Spurs ont pris l'habitude de faire mieux que les Timberwolves. Les coéquipiers de Parker restent en effet sur 16 succès en 18 rencontres contre Minnesota.
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Quand Phoenix se fâche, ça fait des dégâts. Opposés à Milwaukee, les Suns se sont imposés 122-114. Un score large qui a permis à Nash 35 points à (13/17 aux tirs) ou à Stoudemire 31 unités (12/16) de se mettre en avant. Boris Diaw, qui figurait dans le 5 majeur a compilé 21 points, 11 rebonds et 4 passes. Un double-double forcément très bon pour son moral... Dans le même temps, les Spurs de Parker et Ginobili ont donné la leçon aux Timberwolves 105-88. En revanche, Boston est tombé contre les Wizards (85-78).
Le match
Et dire que Steve Nash ne se sentait pas en forme... Il était même incertain avant la rencontre. Le meneur de jeu canadien a pourtant profité de ce duel contre les Bucks, samedi, pour réaliser sa meilleur prestation de la saison. Avec 35 points à 13/17 aux tirs et 7 passes décisives, il a enflammé l'US Airways center de Phoenix D'autant que ses coéquipiers étaient au diapason avec notamment un Amare Stoudemire auteur d'un super 12/16 aux shoots pour un total de 31 points, 8 rebonds et 3 passes.
Avec un tel élan, Boris Diaw ne pouvait pas se rater. Le Français, placé dans le 5 de départ, a été à la hauteur avec 21 points (10/15 aux tirs), 11 rebonds et 4 passes. Il a clairement participé à la nette victoire de son équipe en rendant sa meilleure copie de la saison avec un joli double-double à la clé. Diaw de retour en très grande forme, c'est une excellente nouvelle pour les Suns. «C'est un joueur incroyable. Quand il utilise toutes ses armes, qu'il est agressifs, il est fantastique», assure Steve Nash.
Un nouveau succès qui permet aux Suns de prendre une petite avance sur les Lakers dans la Division Pacific (26-11 contre 24-11). Un duel à l'Ouest qui n'a pas fini de faire parler tant les équipes sont proches. En ce sens, tous les succès sont importants.
Les Français
Outre la performance de Boris Diaw avec les Suns, Tony Parker a aussi été à la fête. Le meneur de jeu des Spurs a ainsi compilé 21 points et 8 passes décisives lors de la victoire des Texans contre les Minnesota Timberwolves (105-88). Seul hic à cette performance, les six ballons rendus à l'adversaire.
La stat
Bien qu'il n'ait pas souhaité fêter ce succès différemment d'un autre, Gregg Popovich a tout de même réalisé une sacré performance en enregistrant son 600e succès, samedi face à Minnesota, en tant qu'entraîneur en saison régulière de NBA. Un succès il est vrai attendu tant les Spurs ont pris l'habitude de faire mieux que les Timberwolves. Les coéquipiers de Parker restent en effet sur 16 succès en 18 rencontres contre Minnesota.
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Les Knicks éteignent les Pistons
Performance aussi belle que surprenante que celle réussie par New York la nuit dernière au Madison Square Garden. Avant-derniers de la conférence Est, les Knicks ont battu les Pistons avec la manière en ne concédant que 65 points (89-65) face à la deuxième meilleure équipe de la Ligue. Un résultat qui ne fait que confirmer le gros potentiel des hommes d'Isiah Thomas guidés dimanche par Zach Randolph (25 points). De l'autre côté du Mississippi, les Lakers ont signé, face à Memphis (100-99) un sixième succès de rang.
Le match: Knicks-Pistons 89-65
Quand ils jouent bien ensemble, les Knicks ont fière allure. Malheureusement pour eux, et pour leurs innombrables fans, le fait est plutôt rare ces dernières années. Comptant encore parmi les cadors de la Ligue nord-américaine il y a une petite dizaine d'années, New York a rétrogradé dans la hiérarchie du basket outre-Atlantique. Ce n'est pourtant pas le talent qui manque à Big Apple. Avec des joueurs du standing de Stephon Marbury, Jamal Crawford, Zach Randolph, Eddy Curry ou encore Quentin Richardson, les Knicks ne sont pas les plus mal servis en terme de stars de la balle orange. Mais les grosses individualités ne font pas toujours tout dans les sports collectifs et le bilan new-yorkais depuis le début de la saison est là pour le démontrer (10 victoires-26 défaites).
Dimanche, les Knicks ne faisaient pas leur classement. Loin de là. Alors que beaucoup s'attendaient à ce qu'ils connaissent une nouvelle déconvenue à l'occasion de la réception des Pistons, qui restaient sur 13 succès lors de leurs 15 derniers matches avant d'arriver au Madison, les protégés du si controversé Isiah Thomas, lequel cumule la double casquette de président-coach, ont livré leur meilleur match depuis des lustres. Capables de prendre les Pistons sur leurs propres forces, à savoir la défense, les Knicks ont fait exploser le collectif pourtant si bien huilé des champions 2005.
Déjà devant de onze longueurs à la mi-temps (43-32), les coéquipiers de Zach Randolph, meilleur marqueur de la partie avec 25 points, ont assommé les hommes du Michigan dans le troisième quart-temps en ne concédant que dix petits points (28-10). Entamant l'ultime période avec 31 points d'avance, les Knicks pouvaient gérer la fin de match, Isiah Thomas et Flip Saunders ouvrant alors largement leur banc, pour finalement l'emporter un score à l'européenne (89-65). Reste à savoir désormais si ce succès acquis avec la manière face à l'un des prétendants au titre servira de déclic aux Knicks déjà bien mal embarqués dans la course aux play-offs, ou s'il ne s'agira que d'un coup d'éclat sans lendemain.
Les Français:
Les trois Français en lice la nuit dernière n'ont pas brillé, ou alors tout simplement pas pu s'exprimer. Ce fut le cas de Joakim Noah réduit à regarder ses partenaires de Chicago mordre la poussière à Atlanta (84-105). De leur côté, Mickael Pietrus et Ronny Turiaf ont connu le succès avec les Warriors et les Lakers, respectivement face aux Pacers (106-101) et aux Grizzlies (100-99). L'ailier de Golden State a terminé la rencontre avec 3 points et 5 rebonds, compilés en 23 minutes. MP2 dont toutes les tentatives de shoot ont été prises derrière la ligne à 3 points (1/5). Lors du sixième succès consécutif des Lakers, Ronny Turiaf a lui aussi inscrit 3 points et réussi un contre lors des 12 minutes que lui a octroyées Phil Jackson.
La stat:
58. Comme le nombre de minutes qu'il aura fallu aux Raptors pour battre les Blazers. C'est en effet au terme de deux prolongations que Toronto est venu à bout de l'un des équipes en forme du moment (116-109, a.p.). Chris Bosh, avec 38 points et 14 rebonds, a été le grand artisan du succès des Canadiens. A Portland, Brandon Roy n'a pas démérité, arrachant la deuxième prolongation grâce à un tir à huit mètres effectué à deux secondes du buzzer, et terminant la rencontre avec 33 points et 10 rebonds.
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Performance aussi belle que surprenante que celle réussie par New York la nuit dernière au Madison Square Garden. Avant-derniers de la conférence Est, les Knicks ont battu les Pistons avec la manière en ne concédant que 65 points (89-65) face à la deuxième meilleure équipe de la Ligue. Un résultat qui ne fait que confirmer le gros potentiel des hommes d'Isiah Thomas guidés dimanche par Zach Randolph (25 points). De l'autre côté du Mississippi, les Lakers ont signé, face à Memphis (100-99) un sixième succès de rang.
Le match: Knicks-Pistons 89-65
Quand ils jouent bien ensemble, les Knicks ont fière allure. Malheureusement pour eux, et pour leurs innombrables fans, le fait est plutôt rare ces dernières années. Comptant encore parmi les cadors de la Ligue nord-américaine il y a une petite dizaine d'années, New York a rétrogradé dans la hiérarchie du basket outre-Atlantique. Ce n'est pourtant pas le talent qui manque à Big Apple. Avec des joueurs du standing de Stephon Marbury, Jamal Crawford, Zach Randolph, Eddy Curry ou encore Quentin Richardson, les Knicks ne sont pas les plus mal servis en terme de stars de la balle orange. Mais les grosses individualités ne font pas toujours tout dans les sports collectifs et le bilan new-yorkais depuis le début de la saison est là pour le démontrer (10 victoires-26 défaites).
Dimanche, les Knicks ne faisaient pas leur classement. Loin de là. Alors que beaucoup s'attendaient à ce qu'ils connaissent une nouvelle déconvenue à l'occasion de la réception des Pistons, qui restaient sur 13 succès lors de leurs 15 derniers matches avant d'arriver au Madison, les protégés du si controversé Isiah Thomas, lequel cumule la double casquette de président-coach, ont livré leur meilleur match depuis des lustres. Capables de prendre les Pistons sur leurs propres forces, à savoir la défense, les Knicks ont fait exploser le collectif pourtant si bien huilé des champions 2005.
Déjà devant de onze longueurs à la mi-temps (43-32), les coéquipiers de Zach Randolph, meilleur marqueur de la partie avec 25 points, ont assommé les hommes du Michigan dans le troisième quart-temps en ne concédant que dix petits points (28-10). Entamant l'ultime période avec 31 points d'avance, les Knicks pouvaient gérer la fin de match, Isiah Thomas et Flip Saunders ouvrant alors largement leur banc, pour finalement l'emporter un score à l'européenne (89-65). Reste à savoir désormais si ce succès acquis avec la manière face à l'un des prétendants au titre servira de déclic aux Knicks déjà bien mal embarqués dans la course aux play-offs, ou s'il ne s'agira que d'un coup d'éclat sans lendemain.
Les Français:
Les trois Français en lice la nuit dernière n'ont pas brillé, ou alors tout simplement pas pu s'exprimer. Ce fut le cas de Joakim Noah réduit à regarder ses partenaires de Chicago mordre la poussière à Atlanta (84-105). De leur côté, Mickael Pietrus et Ronny Turiaf ont connu le succès avec les Warriors et les Lakers, respectivement face aux Pacers (106-101) et aux Grizzlies (100-99). L'ailier de Golden State a terminé la rencontre avec 3 points et 5 rebonds, compilés en 23 minutes. MP2 dont toutes les tentatives de shoot ont été prises derrière la ligne à 3 points (1/5). Lors du sixième succès consécutif des Lakers, Ronny Turiaf a lui aussi inscrit 3 points et réussi un contre lors des 12 minutes que lui a octroyées Phil Jackson.
La stat:
58. Comme le nombre de minutes qu'il aura fallu aux Raptors pour battre les Blazers. C'est en effet au terme de deux prolongations que Toronto est venu à bout de l'un des équipes en forme du moment (116-109, a.p.). Chris Bosh, avec 38 points et 14 rebonds, a été le grand artisan du succès des Canadiens. A Portland, Brandon Roy n'a pas démérité, arrachant la deuxième prolongation grâce à un tir à huit mètres effectué à deux secondes du buzzer, et terminant la rencontre avec 33 points et 10 rebonds.
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Basket - NBA - Boston encore battu
Petit événement dans la nuit de lundi à mardi en NBA. Pour la première fois de la saison régulière, Boston, l'incontestable leader de la Ligue, a subi une deuxième défaite consécutive. Comme deux jours avant, les Celtics ont subi la loi de Washington (88-83). Dans le même temps, un super Kobe Bryant a permis aux Lakers de Los Angeles, de dominer après prolongation Seattle (123-121), alors que San Antonio s'imposait face à Philadelphie (89-82).
Boston Celtics - Washington Wizards 83-88
Et si Washington devenait la bête noire de Boston, la terreur de cette saison régulière ? Pour la deuxième fois en trois jours, les Wizards ont en effet dominé les Celtics, sur leur parquet de surcroît. Après trois quart-temps serrés, les locaux espéraient pourtant avoir fait la différence dans la dernière période, en menant de 12 points à sept minutes de la sirène. Mais sous l'impulsion de Caron Butler, 21 points, 6 rebonds, et d'Antawn Jamison (20 points, 10 rebonds) Washington infligeait un 19-4 à leurs adversaires, qui leur permettait de reprendre la tête, et de s'imposer sur le fil. Une victoire qui permet aux Wizards, toujours privés de leur maître à jouer, Gilbert Arenas, de revoir leur ambition à la hausse. Côté, Boston, Kevin Garnett a tenu son équipe à bout de bras, avec 23 points, 9 rebonds et 6 passes. En vain.
Seattle Supersonics - Los Angeles Lakers 121-123 a.p.
Il a fallu un très grand Kobe Bryant pour que Los Angles ne subisse pas une défaite contrariante face à l'une des équipes les plus faibles cette saison. Non seulement le génial ailier des Lakers a inscrit 48 points, mais il a en outre inscrit le panier à trois points de la gagne à 4''3 de la fin du match. De son côté, Ronny Turiaf a réalisé une belle performance offensive, avec 14 points (à 8 sur 9 au tir), en 18 minutes de jeu. Moins de réussite pour les Français des Sonics. Johan Petro a inscrit 2 petits points en 4 minutes, alors que Mickaël Gelabale n'a pas joué. Los Angeles remporte ainsi sa 7e victoire consécutive, et rejoint Phoenix en tête de la conférence ouest.
San Antonio Spurs - Philadelphia Sixers 89-82
Manu Ginobili est un joueur fantasque. Parfois, ses performances frisent le catastrophique. Lors des trois premiers quart-temps de la rencontres des Spurs face à Philadelphie, l'Argentin a ainsi manqué les 6 tirs qu'il a tentés, n'inscrivant des points que sur la ligne des lancers francs. Puis dans les dix dernières minutes, "El Manu" est à nouveau devenu irrésistible. Ignorant royalement Tim Duncan qui lui réclamait la balle, Ginobili plantait quatre tirs à 3 points qui permettaient à San Antonio de prendre définitivement le dessus sur des Sixers accrocheurs. Avec 20 points, l'Argentin terminait meilleur marqueur des siens, devant Tim Duncan (18 points, mais également 16 rebonds). De son côté, Tony Parker a livré une prestation correcte, avec 14 points et 7 passes. Couché sur la feuille de match, Ian Mahinmi n'est pas entré sur le parquet.
Charlotte Bobcats - Denver Nuggets 119-116
Dernier Français en lice sur les parquets de la NBA cette nuit, Yakhouba Diawara n'a joué que 14 minutes, pour 2 petits points, pour Denver. Carmelo Anthony, 35 points, ainsi que Marcus Camby (20 points, 23 rebonds), avaient pourtant fait le boulot pour les Nuggets. Mais en face, Gerald Wallace, avec 40 points, a été inarrêtable, et bien secondé par Emeka Okafor (19 points, 13 rebonds). Après avoir battu Boston la semaine passée, les Bobcats, pourtant mal en point cette saison avec déjà 23 défaites, accrochent donc un deuxième gros bras à leur tableau de chasse.
Petit événement dans la nuit de lundi à mardi en NBA. Pour la première fois de la saison régulière, Boston, l'incontestable leader de la Ligue, a subi une deuxième défaite consécutive. Comme deux jours avant, les Celtics ont subi la loi de Washington (88-83). Dans le même temps, un super Kobe Bryant a permis aux Lakers de Los Angeles, de dominer après prolongation Seattle (123-121), alors que San Antonio s'imposait face à Philadelphie (89-82).
Boston Celtics - Washington Wizards 83-88
Et si Washington devenait la bête noire de Boston, la terreur de cette saison régulière ? Pour la deuxième fois en trois jours, les Wizards ont en effet dominé les Celtics, sur leur parquet de surcroît. Après trois quart-temps serrés, les locaux espéraient pourtant avoir fait la différence dans la dernière période, en menant de 12 points à sept minutes de la sirène. Mais sous l'impulsion de Caron Butler, 21 points, 6 rebonds, et d'Antawn Jamison (20 points, 10 rebonds) Washington infligeait un 19-4 à leurs adversaires, qui leur permettait de reprendre la tête, et de s'imposer sur le fil. Une victoire qui permet aux Wizards, toujours privés de leur maître à jouer, Gilbert Arenas, de revoir leur ambition à la hausse. Côté, Boston, Kevin Garnett a tenu son équipe à bout de bras, avec 23 points, 9 rebonds et 6 passes. En vain.
Seattle Supersonics - Los Angeles Lakers 121-123 a.p.
Il a fallu un très grand Kobe Bryant pour que Los Angles ne subisse pas une défaite contrariante face à l'une des équipes les plus faibles cette saison. Non seulement le génial ailier des Lakers a inscrit 48 points, mais il a en outre inscrit le panier à trois points de la gagne à 4''3 de la fin du match. De son côté, Ronny Turiaf a réalisé une belle performance offensive, avec 14 points (à 8 sur 9 au tir), en 18 minutes de jeu. Moins de réussite pour les Français des Sonics. Johan Petro a inscrit 2 petits points en 4 minutes, alors que Mickaël Gelabale n'a pas joué. Los Angeles remporte ainsi sa 7e victoire consécutive, et rejoint Phoenix en tête de la conférence ouest.
San Antonio Spurs - Philadelphia Sixers 89-82
Manu Ginobili est un joueur fantasque. Parfois, ses performances frisent le catastrophique. Lors des trois premiers quart-temps de la rencontres des Spurs face à Philadelphie, l'Argentin a ainsi manqué les 6 tirs qu'il a tentés, n'inscrivant des points que sur la ligne des lancers francs. Puis dans les dix dernières minutes, "El Manu" est à nouveau devenu irrésistible. Ignorant royalement Tim Duncan qui lui réclamait la balle, Ginobili plantait quatre tirs à 3 points qui permettaient à San Antonio de prendre définitivement le dessus sur des Sixers accrocheurs. Avec 20 points, l'Argentin terminait meilleur marqueur des siens, devant Tim Duncan (18 points, mais également 16 rebonds). De son côté, Tony Parker a livré une prestation correcte, avec 14 points et 7 passes. Couché sur la feuille de match, Ian Mahinmi n'est pas entré sur le parquet.
Charlotte Bobcats - Denver Nuggets 119-116
Dernier Français en lice sur les parquets de la NBA cette nuit, Yakhouba Diawara n'a joué que 14 minutes, pour 2 petits points, pour Denver. Carmelo Anthony, 35 points, ainsi que Marcus Camby (20 points, 23 rebonds), avaient pourtant fait le boulot pour les Nuggets. Mais en face, Gerald Wallace, avec 40 points, a été inarrêtable, et bien secondé par Emeka Okafor (19 points, 13 rebonds). Après avoir battu Boston la semaine passée, les Bobcats, pourtant mal en point cette saison avec déjà 23 défaites, accrochent donc un deuxième gros bras à leur tableau de chasse.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Roanne se déplce au Pana jeudi ...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15807
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- Joined: 12 Sep 2005, 12:16
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Bynum out deux mois
Andrew Bynum, l'un des acteurs de la renaissance des Los Angeles Lakers cette saison, va manquer au moins les deux prochains mois en raison d'une blessure au genou gauche. Le pivot de 2,13 m affiche des statistiques de 13,1 points marqués et 10,2 rebonds en moyenne par match cette saison.
Mourning arrête
Gravement blessé au genou ( rupture du tendon rotulien) fin décembre, Alonzo Mourning, pivot du Heat de Miami, a décidé de mettre un terme à sa carrière à 37 ans. Sept fois All Star, meilleur défenseur de la Ligue à deux reprises, il avait également remporté le tire en 2
Andrew Bynum, l'un des acteurs de la renaissance des Los Angeles Lakers cette saison, va manquer au moins les deux prochains mois en raison d'une blessure au genou gauche. Le pivot de 2,13 m affiche des statistiques de 13,1 points marqués et 10,2 rebonds en moyenne par match cette saison.
Mourning arrête
Gravement blessé au genou ( rupture du tendon rotulien) fin décembre, Alonzo Mourning, pivot du Heat de Miami, a décidé de mettre un terme à sa carrière à 37 ans. Sept fois All Star, meilleur défenseur de la Ligue à deux reprises, il avait également remporté le tire en 2
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.