[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
SEB - Boulazac demain à 20h et Roanne - Clermont samedi à 20h
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15492
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c'était horrible a voir :pleure:vinsanity wrote:Le Mans - Rytas ou plutôt Rytas - le MansBriKo wrote:Qui ?vinsanity wrote:Ils sont vraiment en train de prendre cher c'est clair :shock:
72-35 :shock:
:sad:
Score final 85-50 :sad:
121 d'éval à 32
Une vraie boucherie
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
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- Location: En bordure de forêt de Fontainebleau
Vinsanity j'ai blogué ça today : http://www.kickandblog.com/index.php?po ... -Game-2008
Je sais aps si tu avais vu ?
Je sais aps si tu avais vu ?
Gros gros match ce soir entre l'ASVEL et Nancy ...
Asvel-Nancy: duel de géants
Premier match de l'année et honneur aux cadors de la Pro A avec au programme vendredi soir le choc de la 13e journée entre Villeurbanne et Nancy, soit le leader qui se déplace chez son dauphin. Cette affiche alléchante sera l'occasion de voir se frotter les deux meilleurs secteurs intérieurs du championnat de France à l'Astroballe. L'Asvel, avec Troutman, Wilson et Nsonwu-Amadi et le Sluc, avec Julian, Samnick et Bauer ont de solides arguments à faire valoir pour le combat sous les panneaux. Ça va bouger dans la raquette !
Les arceaux de l'Astroballe pourraient bien se souvenir du 4 janvier 2008. Pour le premier match de l'année, ce sont ni plus ni moins que les deux plus grosses forces de frappe intérieures du championnat de France qui vont jouer des coudes vendredi soir dans le Rhône avec comme enjeu la première place de la Pro A. Les deux équipes les plus complètes et les plus séduisantes du premier tiers de la saison peuvent se vanter de posséder une rotation d'intérieurs digne d'une très bonne formation d'Euroligue et nul doute que celle qui sortira vainqueur de ce duel aura de fortes chances de faire main basse sur ce choc au sommet.
Villeurbanne, invaincue dans sa salle (tout comme Nancy et Cholet), s'appuie sur un trio 100% étranger composé des deux Américains Lamayn Wilson et Chevon Troutman et du Nigérian Uche Nsonwu-Amadi. Utilisé en poste 4, Wilson est un ailier-fort scoreur capable de s'écarter du panier et très adroit à 3 points. L'ex-Choletais, qui peut également jouer ailier, est un excellent complément de Troutman, lequel joue cette saison les sixième homme de luxe, suppléant un coup Wilson, un coup Nsonwu-Amadi. Déjà au club la saison passée, au contraire de ses deux acolytes, Troutman est très habile près du cercle et apporte toute son énergie dès sa sortie du banc. Tournant à 13,8 points et 6,5 rebonds de moyenne par match, «l'homme truite» est de loin le meilleur sixième homme de Pro A.
Julian premier Français à l'évaluation
Et s'il ne débute pas les matches au poste de pivot, c'est parce que son coéquipier Nsonwu-Amadi se montre très solide au poste depuis le coup d'envoi de la saison. Le massif pivot nigérian, en plus d'être dissuasif pour ses vis-à-vis, apporte son écho offensif avec 12,6 points en à peine plus de 24 minutes de moyenne. A bientôt 30 ans, il les aura le 17 janvier, l'ancien Gravelinois a vite trouvé sa place au sein du collectif coaché par Yves Baratet. Son face-à-face de titans avec Cyril Julian vendredi soir sera l'une des clés du match. Avec Julian donc, mais aussi Mike Bauer et Victor Samnick, les Lorrains ne sont donc pas dépourvus d'intérieurs d'envergure.
L'ex-international tricolore réalise un début de saison en tout point phénoménal qui lui vaut de pointer au premier rang à l'évaluation des joueurs français. Son abattage sous les panneaux- il tourne à 15,1 points et 8,4 rebonds de moyenne-, ainsi que ses qualités de meneur d'hommes, en font la pièce maitresse du collectif nancéien. Motivé comme jamais pour enfin mener ses troupes au titre cette année, Julian est parfaitement épaulé dans son secteur par les deux néo-Cougars que sont Bauer et Samnick. Après une saison partagée entre Pau-Orthez et Francfort, l'Américain s'épanouit en Lorraine tandis que le Camerounais, auteur d'un excellent début de championnat avant de connaître une période délicate au creux de l'automne, reste un bon rebondeur et un défenseur rigoureux.
Comme c'est le cas à Villeurbanne avec Wilson et Troutman, les deux hommes sont parfaitement complémentaires au poste 4, Bauer constituant une menace extérieure supplémentaire pour les adversaires du Sluc grâce à la fiabilité de son tir longue distance et Samnick apportant de l'explosivité dans la raquette. Cet Asvel-Nancy a vraiment toutes les chances de se jouer en très haute altitude.
www.sports.fr
D'autre part, en NBA :
Le champion digère mal
Les Spurs ont été battus sur le fil par les Nuggets (77-80), enregistrant au passage une sixième défaite lors de leurs dix derniers matches. La faute notamment aux 29 points d'Iverson alors que Parker et Duncan signaient 20 points chacun. Le changement d'année semble donc difficile pour le champion en titre mais la blessure de Manu Ginobili, absent pour le quatrième match consécutif, ne doit pas être étranger à ces contre-performances. De leur côté, les Suns ont signé un quatrième succès de rang en disposant de Seattle, 104-96.
Ces Nuggets n'ont donc pas été digérés par le champion en titre. San Antonio a ainsi subi jeudi la loi de Denver (80-77) encaissant au passage un sixième revers sur ses dix derniers matches. Et bien évidemment, cela fait un peu désordre du côté de la franchise texane lorsqu'on connaît la rigueur demandée par Gregg Popovich à ses hommes. A leur décharge, les Spurs n'ont pas à rougir non plus de cette défaite concédée sur le fil, alors que Michael Finley échoua au buzzer dans sa tentative à trois points.
Phoenix au pouvoir
On ne pourra pas toutefois s'empêcher de mettre en exergue la maladresse bien inhabituelle d'un Tim Duncan qui rata 14 de ses 18 premiers shoots ! Le natif des Iles Vierges, 20 points au total, ne fuit pas totalement absent des débats notamment quand il permit aux siens de prendre l'avantage à trois minutes de la fin (75-73) juste avant que Tony Parker, également auteur de 20 points, n'y aille de son panier pour un + 4 bienvenue (77-73). Les Spurs venaient de marquer là leurs derniers points de la rencontre, Denver leur infligeant ensuite un terrible 7-0.
Les Nuggets pouvaient alors savourer devant leur public ce succès de prestige à l'issue duquel Alan Iverson terminait meilleur scoreur (29 points), démontrant, s'il le fallait, que même sans entraînement, il pouvait être très performant. L'ex-star des Sixers expliquera à la fin de la rencontre que la santé de son fils de quatre ans, Isaiah, l'avait poussé à manquer toutes les séances de travail de la semaine: "Il était sur un tabouret assez haut et il est tombé la tête en avant". Un accident domestique qui a coûté une intervention chirurgicale au visage d'Iverson junior nanti d'une belle coupure tout près de sa bouche.
Toujours est il qu'avec ce 19e succès, pour 12 défaites, Denver se maintient dans le grand huit de la Conférence ouest désormais dominée par Phoenix. Les Suns, comptent le même nombre de revers que les Spurs (9) mais deux victoires supplémentaires (32) après celle enregistrée devant Seattle, 104-96. Et avec la manière puisque Diaw et consorts ont remonté un handicap de 20 points.
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Et puis pour finir, SEB - Boulazac ce soir à 20h ...
Asvel-Nancy: duel de géants
Premier match de l'année et honneur aux cadors de la Pro A avec au programme vendredi soir le choc de la 13e journée entre Villeurbanne et Nancy, soit le leader qui se déplace chez son dauphin. Cette affiche alléchante sera l'occasion de voir se frotter les deux meilleurs secteurs intérieurs du championnat de France à l'Astroballe. L'Asvel, avec Troutman, Wilson et Nsonwu-Amadi et le Sluc, avec Julian, Samnick et Bauer ont de solides arguments à faire valoir pour le combat sous les panneaux. Ça va bouger dans la raquette !
Les arceaux de l'Astroballe pourraient bien se souvenir du 4 janvier 2008. Pour le premier match de l'année, ce sont ni plus ni moins que les deux plus grosses forces de frappe intérieures du championnat de France qui vont jouer des coudes vendredi soir dans le Rhône avec comme enjeu la première place de la Pro A. Les deux équipes les plus complètes et les plus séduisantes du premier tiers de la saison peuvent se vanter de posséder une rotation d'intérieurs digne d'une très bonne formation d'Euroligue et nul doute que celle qui sortira vainqueur de ce duel aura de fortes chances de faire main basse sur ce choc au sommet.
Villeurbanne, invaincue dans sa salle (tout comme Nancy et Cholet), s'appuie sur un trio 100% étranger composé des deux Américains Lamayn Wilson et Chevon Troutman et du Nigérian Uche Nsonwu-Amadi. Utilisé en poste 4, Wilson est un ailier-fort scoreur capable de s'écarter du panier et très adroit à 3 points. L'ex-Choletais, qui peut également jouer ailier, est un excellent complément de Troutman, lequel joue cette saison les sixième homme de luxe, suppléant un coup Wilson, un coup Nsonwu-Amadi. Déjà au club la saison passée, au contraire de ses deux acolytes, Troutman est très habile près du cercle et apporte toute son énergie dès sa sortie du banc. Tournant à 13,8 points et 6,5 rebonds de moyenne par match, «l'homme truite» est de loin le meilleur sixième homme de Pro A.
Julian premier Français à l'évaluation
Et s'il ne débute pas les matches au poste de pivot, c'est parce que son coéquipier Nsonwu-Amadi se montre très solide au poste depuis le coup d'envoi de la saison. Le massif pivot nigérian, en plus d'être dissuasif pour ses vis-à-vis, apporte son écho offensif avec 12,6 points en à peine plus de 24 minutes de moyenne. A bientôt 30 ans, il les aura le 17 janvier, l'ancien Gravelinois a vite trouvé sa place au sein du collectif coaché par Yves Baratet. Son face-à-face de titans avec Cyril Julian vendredi soir sera l'une des clés du match. Avec Julian donc, mais aussi Mike Bauer et Victor Samnick, les Lorrains ne sont donc pas dépourvus d'intérieurs d'envergure.
L'ex-international tricolore réalise un début de saison en tout point phénoménal qui lui vaut de pointer au premier rang à l'évaluation des joueurs français. Son abattage sous les panneaux- il tourne à 15,1 points et 8,4 rebonds de moyenne-, ainsi que ses qualités de meneur d'hommes, en font la pièce maitresse du collectif nancéien. Motivé comme jamais pour enfin mener ses troupes au titre cette année, Julian est parfaitement épaulé dans son secteur par les deux néo-Cougars que sont Bauer et Samnick. Après une saison partagée entre Pau-Orthez et Francfort, l'Américain s'épanouit en Lorraine tandis que le Camerounais, auteur d'un excellent début de championnat avant de connaître une période délicate au creux de l'automne, reste un bon rebondeur et un défenseur rigoureux.
Comme c'est le cas à Villeurbanne avec Wilson et Troutman, les deux hommes sont parfaitement complémentaires au poste 4, Bauer constituant une menace extérieure supplémentaire pour les adversaires du Sluc grâce à la fiabilité de son tir longue distance et Samnick apportant de l'explosivité dans la raquette. Cet Asvel-Nancy a vraiment toutes les chances de se jouer en très haute altitude.
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D'autre part, en NBA :
Le champion digère mal
Les Spurs ont été battus sur le fil par les Nuggets (77-80), enregistrant au passage une sixième défaite lors de leurs dix derniers matches. La faute notamment aux 29 points d'Iverson alors que Parker et Duncan signaient 20 points chacun. Le changement d'année semble donc difficile pour le champion en titre mais la blessure de Manu Ginobili, absent pour le quatrième match consécutif, ne doit pas être étranger à ces contre-performances. De leur côté, les Suns ont signé un quatrième succès de rang en disposant de Seattle, 104-96.
Ces Nuggets n'ont donc pas été digérés par le champion en titre. San Antonio a ainsi subi jeudi la loi de Denver (80-77) encaissant au passage un sixième revers sur ses dix derniers matches. Et bien évidemment, cela fait un peu désordre du côté de la franchise texane lorsqu'on connaît la rigueur demandée par Gregg Popovich à ses hommes. A leur décharge, les Spurs n'ont pas à rougir non plus de cette défaite concédée sur le fil, alors que Michael Finley échoua au buzzer dans sa tentative à trois points.
Phoenix au pouvoir
On ne pourra pas toutefois s'empêcher de mettre en exergue la maladresse bien inhabituelle d'un Tim Duncan qui rata 14 de ses 18 premiers shoots ! Le natif des Iles Vierges, 20 points au total, ne fuit pas totalement absent des débats notamment quand il permit aux siens de prendre l'avantage à trois minutes de la fin (75-73) juste avant que Tony Parker, également auteur de 20 points, n'y aille de son panier pour un + 4 bienvenue (77-73). Les Spurs venaient de marquer là leurs derniers points de la rencontre, Denver leur infligeant ensuite un terrible 7-0.
Les Nuggets pouvaient alors savourer devant leur public ce succès de prestige à l'issue duquel Alan Iverson terminait meilleur scoreur (29 points), démontrant, s'il le fallait, que même sans entraînement, il pouvait être très performant. L'ex-star des Sixers expliquera à la fin de la rencontre que la santé de son fils de quatre ans, Isaiah, l'avait poussé à manquer toutes les séances de travail de la semaine: "Il était sur un tabouret assez haut et il est tombé la tête en avant". Un accident domestique qui a coûté une intervention chirurgicale au visage d'Iverson junior nanti d'une belle coupure tout près de sa bouche.
Toujours est il qu'avec ce 19e succès, pour 12 défaites, Denver se maintient dans le grand huit de la Conférence ouest désormais dominée par Phoenix. Les Suns, comptent le même nombre de revers que les Spurs (9) mais deux victoires supplémentaires (32) après celle enregistrée devant Seattle, 104-96. Et avec la manière puisque Diaw et consorts ont remonté un handicap de 20 points.
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Et puis pour finir, SEB - Boulazac ce soir à 20h ...
Défaite au buzzer du SEB ... rageant ce match ... on a mené tout du long :evil:
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15535
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8ème triple double de la saison pour Jason Kidd, et 95ème en carrière cette nuit !
A l'Est, rien de nouveau...
Detroit et Boston sont en feu. Les Pistons ont enchaîné, la nuit dernière, une onzième victoire de rang en dominant les Toronto Raptors (101-85). Impresionnant, mais encore insuffisant pour inquiéter l'épouvantail de la conférence Est, les Boston Celtics, qui se sont imposés face aux Memphis Grizzlies (100-96), signant ainsi leur huitième succès d'affilée. A l'Ouest, les San Antonio Spurs ont pris le dessus sur les New York Knicks (97-93), avec 12 points et 5 passes pour Tony Parker. Tituaire avec les Lakers, Ronny Turiaf a inscrit 15 points.
Le match
A l'image de Richard Hamilton, dont le visage est recouvert de plexiglas, les Pistons avancent masqués cette saison. Dans l'ombre de Boston. La nuit dernière, Detroit a signé son onzième succès consécutif, cette fois contre les Toronto Raptors (101-85), grâce notamment aux 22 points, 4 rebonds et 4 passes de son arrière, leader offensif des siens depuis sept matches avec 21,6 points de moyenne.
Des statistiques individuelles loin d'impressionner dans une Ligue où les scoreurs sont légion. Mais depuis maintenant plusieurs années, les Pistons ont pris le parti de la complémentarité, synonyme de régularité au plus haut niveau de la conférence Est. En témoigne, donc, cette série flamboyante. "Nous l'avons déjà réalisé dans le passé (en janvier 2006, les Pistons avaient également remporté onze matches de suite, ndlr). Mais ce qui est vraiment important, c'est que le banc joue un rôle primordial dans tout cela", expliquait Tayshaun Prince, auteur de 10 points et 11 rebonds.
A eux trois, Rodney Stuckey, Jarvis Hayes et Jason Maxiell ont effectivement compilé 26 points, soit environ le quart du total de leur équipe. De quoi, une fois n'est pas coutume, passer sous silence la performance de Rasheed Wallace à l'intérieur (20 points, 6 rebonds). "[Stuckey] a été bon des deux côtés du terrain, se satisfaisait le titulaire au poste de meneur, Chauncey Billups. Il apporte une dimension à notre équipe dont nous avons grand besoin." Avec 8 points et 6 passes, auxquels il faut ajouter deux interceptions importantes au moment où Detroit ne menait que d'un souffle dans le troisième quart-temps (62-60), le rookie des Pistons a mis les siens sur la voie de la gagne.
"C'est ce à quoi sert le banc, réagissait simplement Stuckey. Nous venons apporter notre énergie pour permettre à notre cinq majeur de se reposer un peu, et c'est ce que nous avons fait." Seuls les Portland Trail Blazers, auteurs d'une série de treize victoires de suite mais défaits lundi dernier à Utah, ont fait mieux que les Pistons cette saison. "Nous sommes bien évidemment satisfaits de notre niveau de jeu actuel. Pourquoi en serait-il autrement ?", ajoutait Billups, dont les Pistons recevront les Celtics samedi soir, pour le choc de la conférence. Des Celtics eux aussi en forme puique les hommes de Doc Rivers se sont offerts leur huitième victoire de suite aux dépens des Memphis Grizzlies (100-96), grâce surtout à Paul Pierce et Kevin Garnett, tous les deux à 23 points.
Les Français
De l'autre côté du continent américain, la lutte pour la prise de pouvoir de la conférence entre les Phoenix Suns et les San Antonio Spurs fait rage. Et les Texans sont revenus à une victoire des Arizoniens grâce à leur succès face aux New York Knicks (97-93). Toujours privés de Manu Ginobili, les champions en titre se sont appuyés sur leur collectif, Tony Parker rentrant dans le rang avec 12 points et 5 passes. Yakhouba Diawara (2 points, 1 passe), lui, s'est montré encore plus discret lors du succès des Denver Nuggets contre les moribons Minnesota Timberwolves (118-107). Dans la même lignée que les 4 points et 2 rebonds de Mickael Pietrus, en 19 minutes de jeu avec les Golden State Warriors, battus par les New Orleans Hornets (116-104).
Mais la performance tricolore de la nuit est à mettre à l'actif de Ronny Turiaf. Titulaire dans la raquette des Los Angeles Lakers aux côtés de Kobe Bryant (15 points, 6 rebonds), laissé sur le banc une fois le score acquis, le pivot californien a inscrit 15 points et capté 4 rebonds en moins de 30 minutes passées sur le parquet. Mieux, avec 5 contres, il a égalé son record en carrière dans ce domaine. Une grosse pierre apportée à l'édifice des Lakers, larges vainqueurs des Philadelphia Sixers (124-93) et qui confirment ainsi leur retour au premier plan de la conférence Ouest.
La statistique: 8
Huit, comme le nombre de triple-doubles réalisés par Jason Kidd cette saison. La nuit dernière, le meneur de New Jersey a brillé avec 11 points, 10 rebonds et 12 passes, permettant aux Nets de l'emporter sur les Charlotte Bobcats (102-96). Vince Carter (30 points, 7 rebonds et 4 passes) n'était pas non plus en reste, bien épaulé par Richard Jefferson (28 points, 5 rebonds, 6 passes). Pour la franchise de Caroline du Sud, rien ne va plus avec une onzième défaite de rang en déplacement qui propulse les Bobcats dans les bas fonds de la conférence, non loin des New York Knicks et du Miami Heat, par ailleurs battu par les Dallas Mavericks (94-89). Preuve, s'il en était besoin, que rien ne bouge à l'Est...
www.sports.fr
L'Asvel forte tête
Villeurbanne a enlevé vendredi soir le choc au sommet de la 13e journée de Pro A qui a tenu toutes ses promesses à l'Astroballe. Menée de neuf de longueurs à cinq minutes de la fin du match, l'Asvel a alors pris feu dans le sillage de Robert Conley (21 points) et Lamayn Wilson (19 points) pour finalement faite tomber le leader nancéien sur le fil (79-76). Grâce à ce succès, le septième de la saison à domicile, les hommes d'Yves Baratet rejoignent les Lorrains en tête du classement.
Il s'en est fallu d'un rien pour que Villeurbanne ne connaisse, vendredi soir, sa première défaite de la saison à domicile. Battus pour la dernière fois à l'Astroballe face à... Nancy au printemps dernier lors des demi-finales du championnat de France, les Rhodaniens n'étaient pas sur la bonne voie lorsqu'à cinq minutes du coup de sifflet final le leader nancéien comptait neuf longueurs d'avance consécutifs à un tir primé réussi par Jeff Greer. Mais au courage, et grâce au talent de Robert Conley, inarrêtable dans le quatrième quart-temps qui le voyait inscrire 10 de ses 21 points du soir, les Villeurbannais ont su redresser la barre pour finalement remporter le choc au sommet de la Pro A de trois points (79-76) sur la base d'un 21-9 final et fatal aux Lorrains.
Intense, la rencontre entre les deux meilleures équipes de la Pro A n'a pas toujours atteint des sommets, la faute en partie à un manque de rythme dû à la trêve observée ces deux dernières semaines. En revanche, elle a tenu en haleine l'Astroballe une heure et demie durant tant le suspense s'est invité à la fête, l'écart entre les deux formations ne dépassant jamais les dix points. A égalité à l'issue de la première période (21-21), en raison notamment d'un shoot pris de son camp au buzzer par Jeff Greer que Chevon Troutman avait la mauvaise idée de dévier de sa course au-dessus du panier, les deux équipes rejoignaient les vestiaires presque dos à dos à la mi-temps. Pour un petit point, les coéquipiers de Cyril Julian, omniprésent lors des 20 premières minutes (9 points et 7 rebonds), menaient au repos (36-37, 20e).
Ricardo Greer au four et au moulin
Au retour sur le parquet, et malgré un shoot longue distance initial réussi par Yohann Sangaré, Nancy creusait petit à petit l'écart sur les ailes d'un Ricardo Greer de gala (51-56, 28e). Heureusement pour les locaux, Lamayn Wilson était en verve et le duo d'artilleurs Laurent Foirest-Yohann Sangaré avait la main chaude à l'extérieur. A égalité 20-20 sur le troisième quart-temps, l'Asvel et le Sluc étaient encore tous les deux en mesure de rafler la mise au moment d'entamer l'ultime période (56-57, 30e).
Si Ricardo Greer continuait son festival (23 points et 8 rebonds au final), le Dominicain né à New York n'était pas le seul à prendre feu, bien épaulé qu'il était notamment par son frère Jeff et Mike Bauer. Devant une assistance quelque peu abassourdie, les hommes de Jean-Luc Monschau sonnaient la charge pour creuser le plus gros écart au moment où les acteurs entraient dans le money-time (58-67, 35e). Battus lors de leurs deux précédentes sorties à Orléans et au Mans, les Cougars se prenaient à rêver de stopper cette mauvaise série et de s'offrir la tête de son dauphin pour le premier match de l'année. C'était sans compter sur l'orgueil des Rhodaniens qui grâce à Lamayn Wilson et Robert Conley signaient un 8-0 en l'espace d'une minute. Revenus à une longueur (66-67, 36e), les Villeurbannais, qui avaient réveillé leurs supporteurs, n'allaient plus rien lâcher jusqu'au coup de sifflet final.
Conley plie l'affaire
Le tournant de la rencontre allait sans doute se situer à la 37e minute quand Lamayn Wilson récupérait un rebond offensif consécutif à un lancer-franc manqué par Robert Conley pour ponctuer une action à quatre points (70-69, 37e). Dans la foulée, Aymeric Jeanneau réussissait à son tour un tir primé avant que Robert Conley ne fasse montre de tout son toucher sur un fadeway jumpshoot du plus bel effet (75-71, 38e). C'est ce même Robert Conley qui enterrait les derniers espoirs nancéiens quand il plantait une nouvelle banderille derrière la ligne des 6 mètres 25 (78-73, 39e).
Le dernier shoot à trois points de Pape-Philippe Amagou, rentré à la sirène, ne changeait rien à l'histoire et l'Asvel enlevait à l'arraché le choc des géants. "On a souvent été dans le dur mais on a su être très bon dans les moments où il le fallait", analysait avec beaucoup de lucidité Aymeric Jeanneau au micro de Sport+. Sans démériter, le Sluc a donc concédé sa troisième défaite en treize journées, permettant à Villeurbanne de revenir à sa hauteur au classement. Si proches ce vendredi soir, les deux équipes qui affichent le même bilan (8V-3D) présentent également la même différence de points (+ 115)! Il est ainsi fort à parier que la prochaine grosse explication entre les deux armadas dominantes cette saison se situe à Toulon début février à l'occasion de la semaine des As.
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Sinon Pippen a rejoué :
Scottie Pippen est sorti de sa retraite pour disputer un match en Finlande
A l'Est, rien de nouveau...
Detroit et Boston sont en feu. Les Pistons ont enchaîné, la nuit dernière, une onzième victoire de rang en dominant les Toronto Raptors (101-85). Impresionnant, mais encore insuffisant pour inquiéter l'épouvantail de la conférence Est, les Boston Celtics, qui se sont imposés face aux Memphis Grizzlies (100-96), signant ainsi leur huitième succès d'affilée. A l'Ouest, les San Antonio Spurs ont pris le dessus sur les New York Knicks (97-93), avec 12 points et 5 passes pour Tony Parker. Tituaire avec les Lakers, Ronny Turiaf a inscrit 15 points.
Le match
A l'image de Richard Hamilton, dont le visage est recouvert de plexiglas, les Pistons avancent masqués cette saison. Dans l'ombre de Boston. La nuit dernière, Detroit a signé son onzième succès consécutif, cette fois contre les Toronto Raptors (101-85), grâce notamment aux 22 points, 4 rebonds et 4 passes de son arrière, leader offensif des siens depuis sept matches avec 21,6 points de moyenne.
Des statistiques individuelles loin d'impressionner dans une Ligue où les scoreurs sont légion. Mais depuis maintenant plusieurs années, les Pistons ont pris le parti de la complémentarité, synonyme de régularité au plus haut niveau de la conférence Est. En témoigne, donc, cette série flamboyante. "Nous l'avons déjà réalisé dans le passé (en janvier 2006, les Pistons avaient également remporté onze matches de suite, ndlr). Mais ce qui est vraiment important, c'est que le banc joue un rôle primordial dans tout cela", expliquait Tayshaun Prince, auteur de 10 points et 11 rebonds.
A eux trois, Rodney Stuckey, Jarvis Hayes et Jason Maxiell ont effectivement compilé 26 points, soit environ le quart du total de leur équipe. De quoi, une fois n'est pas coutume, passer sous silence la performance de Rasheed Wallace à l'intérieur (20 points, 6 rebonds). "[Stuckey] a été bon des deux côtés du terrain, se satisfaisait le titulaire au poste de meneur, Chauncey Billups. Il apporte une dimension à notre équipe dont nous avons grand besoin." Avec 8 points et 6 passes, auxquels il faut ajouter deux interceptions importantes au moment où Detroit ne menait que d'un souffle dans le troisième quart-temps (62-60), le rookie des Pistons a mis les siens sur la voie de la gagne.
"C'est ce à quoi sert le banc, réagissait simplement Stuckey. Nous venons apporter notre énergie pour permettre à notre cinq majeur de se reposer un peu, et c'est ce que nous avons fait." Seuls les Portland Trail Blazers, auteurs d'une série de treize victoires de suite mais défaits lundi dernier à Utah, ont fait mieux que les Pistons cette saison. "Nous sommes bien évidemment satisfaits de notre niveau de jeu actuel. Pourquoi en serait-il autrement ?", ajoutait Billups, dont les Pistons recevront les Celtics samedi soir, pour le choc de la conférence. Des Celtics eux aussi en forme puique les hommes de Doc Rivers se sont offerts leur huitième victoire de suite aux dépens des Memphis Grizzlies (100-96), grâce surtout à Paul Pierce et Kevin Garnett, tous les deux à 23 points.
Les Français
De l'autre côté du continent américain, la lutte pour la prise de pouvoir de la conférence entre les Phoenix Suns et les San Antonio Spurs fait rage. Et les Texans sont revenus à une victoire des Arizoniens grâce à leur succès face aux New York Knicks (97-93). Toujours privés de Manu Ginobili, les champions en titre se sont appuyés sur leur collectif, Tony Parker rentrant dans le rang avec 12 points et 5 passes. Yakhouba Diawara (2 points, 1 passe), lui, s'est montré encore plus discret lors du succès des Denver Nuggets contre les moribons Minnesota Timberwolves (118-107). Dans la même lignée que les 4 points et 2 rebonds de Mickael Pietrus, en 19 minutes de jeu avec les Golden State Warriors, battus par les New Orleans Hornets (116-104).
Mais la performance tricolore de la nuit est à mettre à l'actif de Ronny Turiaf. Titulaire dans la raquette des Los Angeles Lakers aux côtés de Kobe Bryant (15 points, 6 rebonds), laissé sur le banc une fois le score acquis, le pivot californien a inscrit 15 points et capté 4 rebonds en moins de 30 minutes passées sur le parquet. Mieux, avec 5 contres, il a égalé son record en carrière dans ce domaine. Une grosse pierre apportée à l'édifice des Lakers, larges vainqueurs des Philadelphia Sixers (124-93) et qui confirment ainsi leur retour au premier plan de la conférence Ouest.
La statistique: 8
Huit, comme le nombre de triple-doubles réalisés par Jason Kidd cette saison. La nuit dernière, le meneur de New Jersey a brillé avec 11 points, 10 rebonds et 12 passes, permettant aux Nets de l'emporter sur les Charlotte Bobcats (102-96). Vince Carter (30 points, 7 rebonds et 4 passes) n'était pas non plus en reste, bien épaulé par Richard Jefferson (28 points, 5 rebonds, 6 passes). Pour la franchise de Caroline du Sud, rien ne va plus avec une onzième défaite de rang en déplacement qui propulse les Bobcats dans les bas fonds de la conférence, non loin des New York Knicks et du Miami Heat, par ailleurs battu par les Dallas Mavericks (94-89). Preuve, s'il en était besoin, que rien ne bouge à l'Est...
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L'Asvel forte tête
Villeurbanne a enlevé vendredi soir le choc au sommet de la 13e journée de Pro A qui a tenu toutes ses promesses à l'Astroballe. Menée de neuf de longueurs à cinq minutes de la fin du match, l'Asvel a alors pris feu dans le sillage de Robert Conley (21 points) et Lamayn Wilson (19 points) pour finalement faite tomber le leader nancéien sur le fil (79-76). Grâce à ce succès, le septième de la saison à domicile, les hommes d'Yves Baratet rejoignent les Lorrains en tête du classement.
Il s'en est fallu d'un rien pour que Villeurbanne ne connaisse, vendredi soir, sa première défaite de la saison à domicile. Battus pour la dernière fois à l'Astroballe face à... Nancy au printemps dernier lors des demi-finales du championnat de France, les Rhodaniens n'étaient pas sur la bonne voie lorsqu'à cinq minutes du coup de sifflet final le leader nancéien comptait neuf longueurs d'avance consécutifs à un tir primé réussi par Jeff Greer. Mais au courage, et grâce au talent de Robert Conley, inarrêtable dans le quatrième quart-temps qui le voyait inscrire 10 de ses 21 points du soir, les Villeurbannais ont su redresser la barre pour finalement remporter le choc au sommet de la Pro A de trois points (79-76) sur la base d'un 21-9 final et fatal aux Lorrains.
Intense, la rencontre entre les deux meilleures équipes de la Pro A n'a pas toujours atteint des sommets, la faute en partie à un manque de rythme dû à la trêve observée ces deux dernières semaines. En revanche, elle a tenu en haleine l'Astroballe une heure et demie durant tant le suspense s'est invité à la fête, l'écart entre les deux formations ne dépassant jamais les dix points. A égalité à l'issue de la première période (21-21), en raison notamment d'un shoot pris de son camp au buzzer par Jeff Greer que Chevon Troutman avait la mauvaise idée de dévier de sa course au-dessus du panier, les deux équipes rejoignaient les vestiaires presque dos à dos à la mi-temps. Pour un petit point, les coéquipiers de Cyril Julian, omniprésent lors des 20 premières minutes (9 points et 7 rebonds), menaient au repos (36-37, 20e).
Ricardo Greer au four et au moulin
Au retour sur le parquet, et malgré un shoot longue distance initial réussi par Yohann Sangaré, Nancy creusait petit à petit l'écart sur les ailes d'un Ricardo Greer de gala (51-56, 28e). Heureusement pour les locaux, Lamayn Wilson était en verve et le duo d'artilleurs Laurent Foirest-Yohann Sangaré avait la main chaude à l'extérieur. A égalité 20-20 sur le troisième quart-temps, l'Asvel et le Sluc étaient encore tous les deux en mesure de rafler la mise au moment d'entamer l'ultime période (56-57, 30e).
Si Ricardo Greer continuait son festival (23 points et 8 rebonds au final), le Dominicain né à New York n'était pas le seul à prendre feu, bien épaulé qu'il était notamment par son frère Jeff et Mike Bauer. Devant une assistance quelque peu abassourdie, les hommes de Jean-Luc Monschau sonnaient la charge pour creuser le plus gros écart au moment où les acteurs entraient dans le money-time (58-67, 35e). Battus lors de leurs deux précédentes sorties à Orléans et au Mans, les Cougars se prenaient à rêver de stopper cette mauvaise série et de s'offrir la tête de son dauphin pour le premier match de l'année. C'était sans compter sur l'orgueil des Rhodaniens qui grâce à Lamayn Wilson et Robert Conley signaient un 8-0 en l'espace d'une minute. Revenus à une longueur (66-67, 36e), les Villeurbannais, qui avaient réveillé leurs supporteurs, n'allaient plus rien lâcher jusqu'au coup de sifflet final.
Conley plie l'affaire
Le tournant de la rencontre allait sans doute se situer à la 37e minute quand Lamayn Wilson récupérait un rebond offensif consécutif à un lancer-franc manqué par Robert Conley pour ponctuer une action à quatre points (70-69, 37e). Dans la foulée, Aymeric Jeanneau réussissait à son tour un tir primé avant que Robert Conley ne fasse montre de tout son toucher sur un fadeway jumpshoot du plus bel effet (75-71, 38e). C'est ce même Robert Conley qui enterrait les derniers espoirs nancéiens quand il plantait une nouvelle banderille derrière la ligne des 6 mètres 25 (78-73, 39e).
Le dernier shoot à trois points de Pape-Philippe Amagou, rentré à la sirène, ne changeait rien à l'histoire et l'Asvel enlevait à l'arraché le choc des géants. "On a souvent été dans le dur mais on a su être très bon dans les moments où il le fallait", analysait avec beaucoup de lucidité Aymeric Jeanneau au micro de Sport+. Sans démériter, le Sluc a donc concédé sa troisième défaite en treize journées, permettant à Villeurbanne de revenir à sa hauteur au classement. Si proches ce vendredi soir, les deux équipes qui affichent le même bilan (8V-3D) présentent également la même différence de points (+ 115)! Il est ainsi fort à parier que la prochaine grosse explication entre les deux armadas dominantes cette saison se situe à Toulon début février à l'occasion de la semaine des As.
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Sinon Pippen a rejoué :
Scottie Pippen est sorti de sa retraite pour disputer un match en Finlande
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Boston, le vrai patron
Même prémuni d'une série de 11 victoires consécutives avant le choc, Detroit a dû se résoudre au respect de la hiérarchie la nuit dernière, battu sur son parquet par Boston, le leader incontestable de la Conférence Est (85-92). Comptant avant la rencontre parmi les rares bourreaux des Celtics cette saison, les Pistons n'ont cependant lâché prise qu'en dernier ressort, dominés dans le dernier quart (19-29). Dans le même temps, les Bulls ont dominé les Kings (94-93) tandis que les Suns, malgré 11 points de Diaw, ont subi la loi des Hornets (113-118).
Le match:
Le doute n'était pas vraiment permis mais les Celtics, particulièrement consciencieux, ont démontré si besoin était qu'ils se trouvaient bien à leur place au faîte de la Conférence Est. N'en déplaise aux Pistons ! Il y a peine trois semaines de cela, Detroit s'était payé le luxe de s'imposer sur le parquet de Boston, malgré les 26 points de Garnett (85-87), infligeant à cette occasion aux Verts leur troisième et ultime défaite à ce jour de l'actuelle saison régulière. Depuis lors, les hommes de Doc Rivers ont durci le ton, vainqueurs de leurs neuf dernières sorties et crédités d'un pourcentage de victoires déconcertant (91% à 29 contre 3).
Face à la seule franchise NBA flanquée d'une série plus belle encore avant cette nuit - les Pistons étaient en effet invaincus depuis onze matches - les Celtics ont néanmoins soufflé le chaud comme le froid avant d'amorcer une brutale et fatale accélération dans le dernier acte, un temps muselés par la muraille dressée par Flip Saunders. Aussi, après un départ en trombe, sanctionné notamment par un score favorable de 10-3, Boston encaissait la réplique cinglante de Detroit et concédait la premier quart-temps sur la marque de 12-22.
Le Big Three moins tranchant qu'à l'accoutumée - Ray Allen en particulier, avec seulement neuf points au compteur quand Garnett et Pierce se contentaient au moins de 15 et 19 points respectivement - les Celtics ne tardaient toutefois pas à refaire leur retard, sous l'impulsion notamment du rookie Glen Davis, meilleur marqueur de la rencontre du haut de ses 20 points. En inversant la vapeur par un 29-21 placé avant la pause, les leaders de l'Est revenaient au contact de leurs hôtes avant le bouquet final. Un quatrième quart-temps qui voyait les Celtics se détacher sans trop forcer leur talent (29-19) pour une victoire relativement confortable en définitive (92-85) - la neuvième successive. Après une coupure de quatre jours, les Pistons, quant à eux, auront la lourde tâche de relancer la machine face à deux autres mastodontes, de l'Ouest cette fois: San Antonio et Dallas.
Les Français:
Les Suns et les Bulls sur le pont, Boris Diaw et Joakim Noah étaient les seuls Français susceptibles de s'illustrer cette nuit. Si le second n'a pas eu le loisir de faire montre de ses qualités, cantonné à deux minutes de jeu et auteur d'une passe à l'occasion de la victoire étriquée de Chicago sur Sacramento (94-93), le premier a pu davantage s'exprimer. Bien que Phoenix soit tombé face à la Nouvelle-Orléans, assommé notamment par les 28 points et 10 passe de Chris Paul, Boris Diaw a su tirer son épingle du jeu en compilant 11 points, 4 passes et 3 rebonds en l'espace de 31 minutes.
La stat:
New Jersey s'est imposé cette nuit à Atlanta et une fois de plus, Jason Kidd n'est pas totalement innocent sur le coup. Au four et au moulin, le meneur des Nets a rendu une copie de dix points, 14 passes et 13 rebonds. Un triple-double qui en soi n'a rien d'exceptionnel pour un J-Kidd multirécidiviste en la matière (96) mais une performance qui le rapproche à grands pas de la barre ahurissante des 100 triple-doubles en carrière. Plus que quatre...
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Même prémuni d'une série de 11 victoires consécutives avant le choc, Detroit a dû se résoudre au respect de la hiérarchie la nuit dernière, battu sur son parquet par Boston, le leader incontestable de la Conférence Est (85-92). Comptant avant la rencontre parmi les rares bourreaux des Celtics cette saison, les Pistons n'ont cependant lâché prise qu'en dernier ressort, dominés dans le dernier quart (19-29). Dans le même temps, les Bulls ont dominé les Kings (94-93) tandis que les Suns, malgré 11 points de Diaw, ont subi la loi des Hornets (113-118).
Le match:
Le doute n'était pas vraiment permis mais les Celtics, particulièrement consciencieux, ont démontré si besoin était qu'ils se trouvaient bien à leur place au faîte de la Conférence Est. N'en déplaise aux Pistons ! Il y a peine trois semaines de cela, Detroit s'était payé le luxe de s'imposer sur le parquet de Boston, malgré les 26 points de Garnett (85-87), infligeant à cette occasion aux Verts leur troisième et ultime défaite à ce jour de l'actuelle saison régulière. Depuis lors, les hommes de Doc Rivers ont durci le ton, vainqueurs de leurs neuf dernières sorties et crédités d'un pourcentage de victoires déconcertant (91% à 29 contre 3).
Face à la seule franchise NBA flanquée d'une série plus belle encore avant cette nuit - les Pistons étaient en effet invaincus depuis onze matches - les Celtics ont néanmoins soufflé le chaud comme le froid avant d'amorcer une brutale et fatale accélération dans le dernier acte, un temps muselés par la muraille dressée par Flip Saunders. Aussi, après un départ en trombe, sanctionné notamment par un score favorable de 10-3, Boston encaissait la réplique cinglante de Detroit et concédait la premier quart-temps sur la marque de 12-22.
Le Big Three moins tranchant qu'à l'accoutumée - Ray Allen en particulier, avec seulement neuf points au compteur quand Garnett et Pierce se contentaient au moins de 15 et 19 points respectivement - les Celtics ne tardaient toutefois pas à refaire leur retard, sous l'impulsion notamment du rookie Glen Davis, meilleur marqueur de la rencontre du haut de ses 20 points. En inversant la vapeur par un 29-21 placé avant la pause, les leaders de l'Est revenaient au contact de leurs hôtes avant le bouquet final. Un quatrième quart-temps qui voyait les Celtics se détacher sans trop forcer leur talent (29-19) pour une victoire relativement confortable en définitive (92-85) - la neuvième successive. Après une coupure de quatre jours, les Pistons, quant à eux, auront la lourde tâche de relancer la machine face à deux autres mastodontes, de l'Ouest cette fois: San Antonio et Dallas.
Les Français:
Les Suns et les Bulls sur le pont, Boris Diaw et Joakim Noah étaient les seuls Français susceptibles de s'illustrer cette nuit. Si le second n'a pas eu le loisir de faire montre de ses qualités, cantonné à deux minutes de jeu et auteur d'une passe à l'occasion de la victoire étriquée de Chicago sur Sacramento (94-93), le premier a pu davantage s'exprimer. Bien que Phoenix soit tombé face à la Nouvelle-Orléans, assommé notamment par les 28 points et 10 passe de Chris Paul, Boris Diaw a su tirer son épingle du jeu en compilant 11 points, 4 passes et 3 rebonds en l'espace de 31 minutes.
La stat:
New Jersey s'est imposé cette nuit à Atlanta et une fois de plus, Jason Kidd n'est pas totalement innocent sur le coup. Au four et au moulin, le meneur des Nets a rendu une copie de dix points, 14 passes et 13 rebonds. Un triple-double qui en soi n'a rien d'exceptionnel pour un J-Kidd multirécidiviste en la matière (96) mais une performance qui le rapproche à grands pas de la barre ahurissante des 100 triple-doubles en carrière. Plus que quatre...
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J' ai vu le match pistons- celtics hier en direct donc je peux commenté un peu mon sentiment.Whaouw quel intensité et ceux des la 1ère seconde du 1er quart temps alors que d'habitude en NBA les 1ere quart c'est assez tranquille la c'était on aurait dit un match de playoff.Ca s'est joué à peu de chose c'etait serré tout le match.Les Pistons n'ont pas su gérere quand ils avaient une bonne avance.Un arbitrage curieux par moment ou Garnett se ramasse des contres gigantesques de la part de Maxiell et l'arbitre voyait toujours une faute(star quans tu nous tiens...)Je reproche à Saunders d'avoir trop fait jouer Billups et il a payé dans le money time ou il jouait à l'envers mais malgré la victoire des Celtics les Pistons m'ont laissé une super impresion....
TP guide les Spurs
Pour la deuxième fois en quinze jours, les Spurs ont eu raison des Clippers (88-82), lundi, à l'occasion du troisième match de l'année des champions en titre. Ce coup-ci, les Texans l'ont emporté en Californie, derrière les 26 points de leur maître à jouer Tony Parker, meilleur marqueur de la rencontre. De leur côté, les Cavaliers de LeBron James (39 points-11 rebonds) sont venus à bout des Raptors (93-90) grâce à un dernier quart-temps à sens unique tandis que le Heat a connu sa septième défaite de rang chez les Grizzlies (94-101).
Le match: Spurs-Clippers 88-82
Assez peu en phase depuis quelque temps avec leur impressionnant rythme de croisière habituel, les Spurs ont signé, dimanche à Los Angeles, un deuxième succès d'affilée, ce qui ne leur était plus arrivé depuis l'année dernière... au lendemain de Noël. Perturbés par les petits pépins physiques qu'ont connu à tour de rôle les membres de leur Big Three Tony Parker, Manu Ginobili et Tim Duncan, les champions en titre ont eu du mal à s'exprimer ces dernières semaines et leur place de leader de la conférence Est ne tient de ce fait qu'à un fil face à la meute menée par les Suns, les Mavericks et les Hornets. Lundi soir, au Staples Center, les Texans ont pu compter entièrement sur la vista de leur trio magique. Et quand TP, El Manu et Dream Tim répondent présents en même temps, il ne peut (presque) rien arriver à San Antonio.
Rien ne fut néanmoins aisé en Californie. Longtemps accrochés par des locaux bien menés par le géant Chris Kaman (20 points-14 rebonds-3 contres), les hommes de Mike Dunleavy Senior ont chèrement vendu leur peau. Seulement voilà, Tony Parker était dans un grand soir. Sous les yeux d'une Eva Longoria qui n'en avait que pour lui, le Français a livré une prestation digne de son statut de all-star. Sachant prendre ses responsabilités quand le navire texan tanguait, notamment en plein coeur du troisième quart-temps, le meneur de jeu flanqué du numéro 9 su se montrer efficace aux bons moments. Terminant la partie meilleur marqueur avec 26 points, pour une réussite au tir plus que convenable (10 sur 17), l'ex-pensionnaire des parquets de Pro A a été le grand artisan du succès des Spurs, bien aidé en cela par Manu Ginobili (23 points) et Tim Duncan (17 points-17 rebonds).
Si le score a souvent été accroché, San Antonio ne l'emportant au final que de six longueurs (88-82), la plus grande frayeur des hommes en noir eut sans doute lieu dans l'ultime période quand Tim Duncan resta quelques minutes par terre en se tenant le genou suite à un choc reçu en heurtant Corey Maggette. Par mesure de précaution, l'ailier-fort né aux Iles Vierges a quitté les siens trois minutes avant la fin mais en marchant de manière plutôt rassurante. Rien ne dit cependant qu'il sera en mesure de tenir sa place ce lundi contre les Warriors de Mickael Pietrus.
Les Français:
Outre Tony Parker, quatre Français étaient sur le front la nuit dernière. Mais deux d'entre eux, Yakhouba Diawara chez les Nuggets et Mickael Gelabale chez les Sonics n'ont pas eu droit de citer. Le coéquipier de Gelabale à Seattle, Johan Petro, a lui eu droit à 17 minutes de temps de jeu à Washington durant lesquelles il n'a pu éviter un énième revers des siens (86-108) malgré une contribution correcte (5 points et 6 rebonds). Enfin, Ronny Turiaf n'a que très peu utilisé par Phil Jackson lors de la victoire des Lakers sur les Pacers (112-96). L'ancienne star de Gonzaga n'a eu que 9 minutes pour s'exprimer, un laps de temps pendant lequel il aura capté un rebond et apporté beaucoup d'énergie sur le parquet.
La stat:
Elle revient au King LeBron James. La star des Cavaliers a tout simplement été géniale lors du dernier quart-temps de la rencontre entre Toronto et Cleveland. Menés de treize longueurs à l'entame du dernier quart-temps, les Cavs ont pu s'appuyer sur leur homme à tout faire qui a compilé 24 points lors des douze dernières minutes pour pouvoir renverser la vapeur et s'imposer au Air Canada Center. Le numéro 23 de la franchise de l'Ohio a terminé la rencontre en frôlant le triple-double (39 points, 11 rebonds et 8 passes).
Pour la deuxième fois en quinze jours, les Spurs ont eu raison des Clippers (88-82), lundi, à l'occasion du troisième match de l'année des champions en titre. Ce coup-ci, les Texans l'ont emporté en Californie, derrière les 26 points de leur maître à jouer Tony Parker, meilleur marqueur de la rencontre. De leur côté, les Cavaliers de LeBron James (39 points-11 rebonds) sont venus à bout des Raptors (93-90) grâce à un dernier quart-temps à sens unique tandis que le Heat a connu sa septième défaite de rang chez les Grizzlies (94-101).
Le match: Spurs-Clippers 88-82
Assez peu en phase depuis quelque temps avec leur impressionnant rythme de croisière habituel, les Spurs ont signé, dimanche à Los Angeles, un deuxième succès d'affilée, ce qui ne leur était plus arrivé depuis l'année dernière... au lendemain de Noël. Perturbés par les petits pépins physiques qu'ont connu à tour de rôle les membres de leur Big Three Tony Parker, Manu Ginobili et Tim Duncan, les champions en titre ont eu du mal à s'exprimer ces dernières semaines et leur place de leader de la conférence Est ne tient de ce fait qu'à un fil face à la meute menée par les Suns, les Mavericks et les Hornets. Lundi soir, au Staples Center, les Texans ont pu compter entièrement sur la vista de leur trio magique. Et quand TP, El Manu et Dream Tim répondent présents en même temps, il ne peut (presque) rien arriver à San Antonio.
Rien ne fut néanmoins aisé en Californie. Longtemps accrochés par des locaux bien menés par le géant Chris Kaman (20 points-14 rebonds-3 contres), les hommes de Mike Dunleavy Senior ont chèrement vendu leur peau. Seulement voilà, Tony Parker était dans un grand soir. Sous les yeux d'une Eva Longoria qui n'en avait que pour lui, le Français a livré une prestation digne de son statut de all-star. Sachant prendre ses responsabilités quand le navire texan tanguait, notamment en plein coeur du troisième quart-temps, le meneur de jeu flanqué du numéro 9 su se montrer efficace aux bons moments. Terminant la partie meilleur marqueur avec 26 points, pour une réussite au tir plus que convenable (10 sur 17), l'ex-pensionnaire des parquets de Pro A a été le grand artisan du succès des Spurs, bien aidé en cela par Manu Ginobili (23 points) et Tim Duncan (17 points-17 rebonds).
Si le score a souvent été accroché, San Antonio ne l'emportant au final que de six longueurs (88-82), la plus grande frayeur des hommes en noir eut sans doute lieu dans l'ultime période quand Tim Duncan resta quelques minutes par terre en se tenant le genou suite à un choc reçu en heurtant Corey Maggette. Par mesure de précaution, l'ailier-fort né aux Iles Vierges a quitté les siens trois minutes avant la fin mais en marchant de manière plutôt rassurante. Rien ne dit cependant qu'il sera en mesure de tenir sa place ce lundi contre les Warriors de Mickael Pietrus.
Les Français:
Outre Tony Parker, quatre Français étaient sur le front la nuit dernière. Mais deux d'entre eux, Yakhouba Diawara chez les Nuggets et Mickael Gelabale chez les Sonics n'ont pas eu droit de citer. Le coéquipier de Gelabale à Seattle, Johan Petro, a lui eu droit à 17 minutes de temps de jeu à Washington durant lesquelles il n'a pu éviter un énième revers des siens (86-108) malgré une contribution correcte (5 points et 6 rebonds). Enfin, Ronny Turiaf n'a que très peu utilisé par Phil Jackson lors de la victoire des Lakers sur les Pacers (112-96). L'ancienne star de Gonzaga n'a eu que 9 minutes pour s'exprimer, un laps de temps pendant lequel il aura capté un rebond et apporté beaucoup d'énergie sur le parquet.
La stat:
Elle revient au King LeBron James. La star des Cavaliers a tout simplement été géniale lors du dernier quart-temps de la rencontre entre Toronto et Cleveland. Menés de treize longueurs à l'entame du dernier quart-temps, les Cavs ont pu s'appuyer sur leur homme à tout faire qui a compilé 24 points lors des douze dernières minutes pour pouvoir renverser la vapeur et s'imposer au Air Canada Center. Le numéro 23 de la franchise de l'Ohio a terminé la rencontre en frôlant le triple-double (39 points, 11 rebonds et 8 passes).
Le Heat n'est plus chaud
Miami s'enfonce doucement mais sûrement. Les Floridiens ont même réalisé un grand huit en subissant mardi, la loi des Wolves (101-91). Si Wade a bien inscrit 25 points, en face McCants en a compilé 27 et l'équipe de Pat Riley a concédé un huitième revers de rang... Une défaite qui ne fait bien évidemment que confirmer que le Heat est très malade. D'autant que le succès de New York contre Chicago (105-100) cède à Miami le plus mauvais bilan de la conférence Est avec 8 succès pour déjà 27 défaites. Les temps sont durs...
Les semaines se suivent et se ressemblent. Le Heat est au plus mal et rien ne semble vouloir changer la donne. Sans un Shaq O'Neal, de toute manière plus vraiment décisif, ni Alonzo Mourning, qui n'a plus joué depuis la mi-décembre et qui sera absent toute la saison, Dwyane Wade a tenté tout ce qu'il a pu pour réchauffer un peu les statistiques bien frisquettes de son équipe. Mais même avec 25 points (10/18 aux tirs), 5 rebonds et 7 passes, cela n'a pas suffi. Car en face, les Wolves ont fait le boulot, grâce notamment à Rashad McCants (27 points, 8 rebonds et 4 passes).
Le Heat a pourtant plutôt bien résisté aux Wolves durant trois quart-temps. Mais cela n'a pas suffi pour remonter un retard à l'allumage qui leur aura coûté très cher (29-18 à l'issue du premier quart-temps). Par la suite, l'écart ne dépassera pas le point 30-29, 23-24 et 19-20 mais cela n'a évidemment qu'une valeur très relative. Pat Riley, le très expérimenté entraîneur de Miami le sait pertinemment. Wade aussi. Son analyse semble aussi dure que lucide: "Nous sommes une des pires équipes de la Ligue. Nous n'avons besoin que d'une chose : mieux jouer. C'est aussi simple que ça."
Aujourd'hui, le Heat possède seul le plus petit total de victoires cette saison dans la conférence Est. En effet, les New York Knicks ont battu les Chicago Bulls (105-100) pour un neuvième succès. C'est évidemment symbolique, mais également terriblement révélateur...
Les Français
Les Sonics n'ont pas connu la même réussite. Si Johan Petro a disputé quasiment 25 minutes pour 6 points (2/6 aux tirs et 6 rebonds) Mickael Gelabale, lui, n'a eu droit qu'à 7 petites minutes avec 2 points et 1 interception à la clé. Les deux tricolores n'ont pas réussi à éviter la défaite de leur équipe contre les Cavaliers Lebron James (95-79).
De son côté, Ronny Turiaf a apporté sa pierre à l'édifice à la victoire des Lakers contre les Grizzlies (117-101). Le pivot tricolore a joué 12 minutes pour 4 points, 1 rebond, 1 passe et 4 fautes. Enfin, Joakim Noah a passé 14 minutes sur le parquet pour 6 rebonds et 3 points lors de la défaite des Bulls contre les Knicks (105-100).
La stat
Et de deux ! Les Knicks ont remporté un deuxième succès cette saison contre les Chicago Bulls (105-100). S'ils se sont inclinés à deux reprises, il s'agit de leur meilleur bilan contre une autre formation (2 victoires également contre New Jersey). Un succès très important pour les New Yorkais qui mettent ainsi fin à une série de sept échecs consécutifs. Après trois défaites en 2008, il s'agit de leur premier succès de l'année.
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J-Kidd qui tape son troisième triple double de suite !
Miami s'enfonce doucement mais sûrement. Les Floridiens ont même réalisé un grand huit en subissant mardi, la loi des Wolves (101-91). Si Wade a bien inscrit 25 points, en face McCants en a compilé 27 et l'équipe de Pat Riley a concédé un huitième revers de rang... Une défaite qui ne fait bien évidemment que confirmer que le Heat est très malade. D'autant que le succès de New York contre Chicago (105-100) cède à Miami le plus mauvais bilan de la conférence Est avec 8 succès pour déjà 27 défaites. Les temps sont durs...
Les semaines se suivent et se ressemblent. Le Heat est au plus mal et rien ne semble vouloir changer la donne. Sans un Shaq O'Neal, de toute manière plus vraiment décisif, ni Alonzo Mourning, qui n'a plus joué depuis la mi-décembre et qui sera absent toute la saison, Dwyane Wade a tenté tout ce qu'il a pu pour réchauffer un peu les statistiques bien frisquettes de son équipe. Mais même avec 25 points (10/18 aux tirs), 5 rebonds et 7 passes, cela n'a pas suffi. Car en face, les Wolves ont fait le boulot, grâce notamment à Rashad McCants (27 points, 8 rebonds et 4 passes).
Le Heat a pourtant plutôt bien résisté aux Wolves durant trois quart-temps. Mais cela n'a pas suffi pour remonter un retard à l'allumage qui leur aura coûté très cher (29-18 à l'issue du premier quart-temps). Par la suite, l'écart ne dépassera pas le point 30-29, 23-24 et 19-20 mais cela n'a évidemment qu'une valeur très relative. Pat Riley, le très expérimenté entraîneur de Miami le sait pertinemment. Wade aussi. Son analyse semble aussi dure que lucide: "Nous sommes une des pires équipes de la Ligue. Nous n'avons besoin que d'une chose : mieux jouer. C'est aussi simple que ça."
Aujourd'hui, le Heat possède seul le plus petit total de victoires cette saison dans la conférence Est. En effet, les New York Knicks ont battu les Chicago Bulls (105-100) pour un neuvième succès. C'est évidemment symbolique, mais également terriblement révélateur...
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Les Sonics n'ont pas connu la même réussite. Si Johan Petro a disputé quasiment 25 minutes pour 6 points (2/6 aux tirs et 6 rebonds) Mickael Gelabale, lui, n'a eu droit qu'à 7 petites minutes avec 2 points et 1 interception à la clé. Les deux tricolores n'ont pas réussi à éviter la défaite de leur équipe contre les Cavaliers Lebron James (95-79).
De son côté, Ronny Turiaf a apporté sa pierre à l'édifice à la victoire des Lakers contre les Grizzlies (117-101). Le pivot tricolore a joué 12 minutes pour 4 points, 1 rebond, 1 passe et 4 fautes. Enfin, Joakim Noah a passé 14 minutes sur le parquet pour 6 rebonds et 3 points lors de la défaite des Bulls contre les Knicks (105-100).
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Et de deux ! Les Knicks ont remporté un deuxième succès cette saison contre les Chicago Bulls (105-100). S'ils se sont inclinés à deux reprises, il s'agit de leur meilleur bilan contre une autre formation (2 victoires également contre New Jersey). Un succès très important pour les New Yorkais qui mettent ainsi fin à une série de sept échecs consécutifs. Après trois défaites en 2008, il s'agit de leur premier succès de l'année.
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Bergeaud successeur de Seillant ?
Pierre Seillant prépare sa sortie prévue pour 2008 et pense à Claude Bergeaud pour lui succéder à Pau-Orthez.
L’Elan Béarnais se prépare à vivre à une véritable révolution en juin 2008. Pierre Seillant devrait se retirer du club à partir de cette date. «Cela fait 41 ans que je préside l'Élan et il est peut-être temps de passer à autre chose», avance, dans Sud Ouest, celui qui ne veut plus être «l’otage des coaches.» Pour lui succéder, Seillant a pensé à Claude Bergeaud : «Dans le contexte palois, il a le bon profil pour ce poste. Il peut être rapidement opérationnel sur beaucoup de dossiers et pour le reste, je l'accompagnerai les premiers temps.» Claude Bergeaud est intéressé par le projet, lui qui a remporté trois titres de champion de France avec les Palois. «Attention ! Je ne suis pas l'homme providentiel et je ferai comme j'ai toujours fait. Je fonctionnerai en équipe. Cela implique un changement de méthode. Il faudra sans doute moderniser, réorganiser certains secteurs, faire des choix», prévient-il
Pierre Seillant prépare sa sortie prévue pour 2008 et pense à Claude Bergeaud pour lui succéder à Pau-Orthez.
L’Elan Béarnais se prépare à vivre à une véritable révolution en juin 2008. Pierre Seillant devrait se retirer du club à partir de cette date. «Cela fait 41 ans que je préside l'Élan et il est peut-être temps de passer à autre chose», avance, dans Sud Ouest, celui qui ne veut plus être «l’otage des coaches.» Pour lui succéder, Seillant a pensé à Claude Bergeaud : «Dans le contexte palois, il a le bon profil pour ce poste. Il peut être rapidement opérationnel sur beaucoup de dossiers et pour le reste, je l'accompagnerai les premiers temps.» Claude Bergeaud est intéressé par le projet, lui qui a remporté trois titres de champion de France avec les Palois. «Attention ! Je ne suis pas l'homme providentiel et je ferai comme j'ai toujours fait. Je fonctionnerai en équipe. Cela implique un changement de méthode. Il faudra sans doute moderniser, réorganiser certains secteurs, faire des choix», prévient-il
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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- Location: Anciennement LôlôLaPatate qui a migré dans l'Essônne
Pour le moment en NBA c'est portland en forçe, incroyable série 1 défaite en 17 matchs, équipe très jeune et en devenir,coaché par le très audacieux et talentueux MacMillan, si Greg oden N°1 de la dernière draft revient avant le play-off ça peut faire très mal
ça s'passssssssssssssssse comme çaaaaaaaaaaa à l'ASSE !!!
Le 20 avril 2013 vainqueur CdL
Le 20 avril 2013 vainqueur CdL