[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Adieu ... ou presque ... puisque désormais il faudrait s'imposer à Istanbul, à Rome et à la maison contre Barcelone.
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15244
Très très dommage, mais pour ma part je peux pas vraiment être déçu, c'est tellement bon de voir ce genre de matchs ... Roanne fait plaisir à voir, et malgré une rotation limitée et 3 intérieurs, ils parviennent à faire bonne figure. Mais encore une fois, gros déficit aux rebonds, guère etonnant.
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15244
Très très dommage, mais pour ma part je peux pas vraiment être déçu, c'est tellement bon de voir ce genre de matchs ... Roanne fait plaisir à voir, et malgré une rotation limitée et 3 intérieurs, ils parviennent à faire bonne figure. Mais encore une fois, gros déficit aux rebonds, guère etonnant.
Adieu Zo ...
Carrière terminée pour Alonzo Mourning !!!
Victime d'une déchirure du tendon rotulien cette nuit face à Atlanta, Alonzo Mourning ne rejouera sans doute jamais en NBA. Il le sait, et c'est pour cette raison qu'il a refusé de quitter le parquet sur une civière.
"Jamais, je n'aurais jamais imaginé finir ma carrière sur une civière. C'est pour ça que j'ai refusé de monter dessus. J'ai vécu des moments tellement difficiles dans ma carrière, que s'il avait fallu ramper pour quitter le terrain, je l'aurais fait" déclare le pivot du Heat.
On est tous tristes à l'idée de ne plus jamais revoir "Bad Zo". Surtout de le voir quitter la NBA sur une vilaine blessure alors qu'il est un quasi-miraculé du sport puisqu'il joue avec un rein transplanté.
"Il répétait: c'est terminé, c'est terminé" raconte Udonis Haslem, qui a aidé son coéquipier à rejoindre les vestiaires.
Mourning ne se fait aucune illusion. Une déchirure du tendon rotulien, c'est au minimum 6 mois d'indisponibilité. A son âge (37 ans), on peut ajouter deux bons mois.
"On connaîtra les résultats des examens demain mais ça ne sent pas bon. Je suis très proche de lui et je suis vraiment touché de ce qui lui arrive" confie Pat Riley.
Le plus con dans l'histoire, c'est que Mourning s'est blessé tout seul. En défense sur Mario West d'Atlanta, son pied a glissé au moment de monter au contre.
"Vous savez tous que j'ai vécu des moments pires que ça. C'est décevant d'arrêter sa carrière comme ça mais la vie me réserve encore de belles choses" conclut celui qui restera comme l'un des meilleurs contreurs de la ligue.
Source : basketusa.com
Carrière terminée pour Alonzo Mourning !!!
Victime d'une déchirure du tendon rotulien cette nuit face à Atlanta, Alonzo Mourning ne rejouera sans doute jamais en NBA. Il le sait, et c'est pour cette raison qu'il a refusé de quitter le parquet sur une civière.
"Jamais, je n'aurais jamais imaginé finir ma carrière sur une civière. C'est pour ça que j'ai refusé de monter dessus. J'ai vécu des moments tellement difficiles dans ma carrière, que s'il avait fallu ramper pour quitter le terrain, je l'aurais fait" déclare le pivot du Heat.
On est tous tristes à l'idée de ne plus jamais revoir "Bad Zo". Surtout de le voir quitter la NBA sur une vilaine blessure alors qu'il est un quasi-miraculé du sport puisqu'il joue avec un rein transplanté.
"Il répétait: c'est terminé, c'est terminé" raconte Udonis Haslem, qui a aidé son coéquipier à rejoindre les vestiaires.
Mourning ne se fait aucune illusion. Une déchirure du tendon rotulien, c'est au minimum 6 mois d'indisponibilité. A son âge (37 ans), on peut ajouter deux bons mois.
"On connaîtra les résultats des examens demain mais ça ne sent pas bon. Je suis très proche de lui et je suis vraiment touché de ce qui lui arrive" confie Pat Riley.
Le plus con dans l'histoire, c'est que Mourning s'est blessé tout seul. En défense sur Mario West d'Atlanta, son pied a glissé au moment de monter au contre.
"Vous savez tous que j'ai vécu des moments pires que ça. C'est décevant d'arrêter sa carrière comme ça mais la vie me réserve encore de belles choses" conclut celui qui restera comme l'un des meilleurs contreurs de la ligue.
Source : basketusa.com
Il est ou celui qui m'as branché sur les Celtics? en disant qu'il allais se balader devant les Pistons........quel match encore de l'ami Billups 12 points dans le dernier quart pour offrir la victoire aux Pistons.........Moi je dis MONSIEUR BILLUPS........d'ailleurs j'attend impatiemment de savoir le joueur du mois dans la Conférence Est
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Bah ouais ils ont un peu laché sur la fin :lol: C'est pas très grave, les Celtics restent malgré tout largement premier de la conférence est. Ce n'est qu'un match de saison régulière, les choses sérieuses se passent au printemps. Et puis faut bien que Billups ait sa petite heure de gloire :arrow:vinsanity wrote:Qui a dit qu'ils allaient se ballader contre les Pistons ? :lol:
Last edited by El Couramiaud on 21 Dec 2007, 17:35, edited 1 time in total.
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Juste un petit mot pour les couche tard, ce soir à 2h du mat sur canal, un gros Boston - Chicago où l'on pourra voir notre Joakim noah et sa belle équipe des bulls face au BIG THREE !
je vous ferais un petit résumé de cette rencontre si vous le voulez !
good night !
je vous ferais un petit résumé de cette rencontre si vous le voulez !
good night !
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Et bah tiens donc ...
Parker: "Je m'excuse auprès de Mike"
Ayant eu écho de la déception de Mickael Pietrus qui n'a que moyennement apprécié ses propos publié dans l'édition de L'Equipe Magazine samedi dernier lorsqu'il déclarait que l'ailier des Warriors n'aurait pas eu de mal à trouver un nouveau club en NBA l'été dernier s'il était davantage reconnu aux Etats-Unis, Tony Parker s'est excusé dans un entretien accordé à RMC.fr. "Je n'ai jamais voulu manquer de respect à Mike. Je suis vraiment désolé. Mike est quelqu'un que j'aime beaucoup", a ainsi déclaré le meneur de jeu des Spurs. "Je m'excuse auprès de Mike", a-t-il répété.
www.sports.fr
Parker: "Je m'excuse auprès de Mike"
Ayant eu écho de la déception de Mickael Pietrus qui n'a que moyennement apprécié ses propos publié dans l'édition de L'Equipe Magazine samedi dernier lorsqu'il déclarait que l'ailier des Warriors n'aurait pas eu de mal à trouver un nouveau club en NBA l'été dernier s'il était davantage reconnu aux Etats-Unis, Tony Parker s'est excusé dans un entretien accordé à RMC.fr. "Je n'ai jamais voulu manquer de respect à Mike. Je suis vraiment désolé. Mike est quelqu'un que j'aime beaucoup", a ainsi déclaré le meneur de jeu des Spurs. "Je m'excuse auprès de Mike", a-t-il répété.
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:roll:vinsanity wrote:Et bah tiens donc ...
Parker: "Je m'excuse auprès de Mike"
Ayant eu écho de la déception de Mickael Pietrus qui n'a que moyennement apprécié ses propos publié dans l'édition de L'Equipe Magazine samedi dernier lorsqu'il déclarait que l'ailier des Warriors n'aurait pas eu de mal à trouver un nouveau club en NBA l'été dernier s'il était davantage reconnu aux Etats-Unis, Tony Parker s'est excusé dans un entretien accordé à RMC.fr. "Je n'ai jamais voulu manquer de respect à Mike. Je suis vraiment désolé. Mike est quelqu'un que j'aime beaucoup", a ainsi déclaré le meneur de jeu des Spurs. "Je m'excuse auprès de Mike", a-t-il répété.
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Ah ... toi aussi tu trouves ça un peu facile ? :lol:Denis77 wrote::roll:vinsanity wrote:Et bah tiens donc ...
Parker: "Je m'excuse auprès de Mike"
Ayant eu écho de la déception de Mickael Pietrus qui n'a que moyennement apprécié ses propos publié dans l'édition de L'Equipe Magazine samedi dernier lorsqu'il déclarait que l'ailier des Warriors n'aurait pas eu de mal à trouver un nouveau club en NBA l'été dernier s'il était davantage reconnu aux Etats-Unis, Tony Parker s'est excusé dans un entretien accordé à RMC.fr. "Je n'ai jamais voulu manquer de respect à Mike. Je suis vraiment désolé. Mike est quelqu'un que j'aime beaucoup", a ainsi déclaré le meneur de jeu des Spurs. "Je m'excuse auprès de Mike", a-t-il répété.
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Genre, je casse du sucre sur le dos des gens, et puis hop, je me retracte gentiment et je m'excuse. Fallait réfléchir avant d'ouvrir ta bouche Tony Pizzle. T'as qu'à écrire une chanson à MP2 pour t'excuser
Ou les Pistons face à Memphis sur sport + à 2h également.......mon choix est vite fait.......boubynight wrote:Juste un petit mot pour les couche tard, ce soir à 2h du mat sur canal, un gros Boston - Chicago où l'on pourra voir notre Joakim noah et sa belle équipe des bulls face au BIG THREE !
je vous ferais un petit résumé de cette rencontre si vous le voulez !
good night !
Je crois pas qu'on puisse dire qu'il y a vraiment eu un match entre les Celtics et les Bulls avec une très large victoire des "Verts", 107-82. Le match état plié à la pause avec un score de 56 à 41. Côté Bulls rien de bien fameux, Gordon à 19pts, Aaron Gray à 14 (bof pour Noah ça ...), et 4pts 2rbds pour Noah. Côté Celtics, c'est un collectif encore une fois impressionnant, 6 joueurs entre 12 et 22pts, 25ast sur le match au total. 22pts pour Pierce avec le joli 4/6 à 3pts qui va bien, 12pts 7rbds 5ast 4stl pour Garnett avec seulement 6 shoots pris ... et à chaque fois un nouveau capable de faire mal en sortie de banc, cette fois ci c'est 12pts pour Tony Allen, 5pts 2stl 3blk pour Glen Davis aussi.
Les Lakers festoyent
Kobe Bryant a la main chaude. Après ses 39 points passés aux Knicks, le maître artificier des Lakers a remis ça face aux Suns avec, cette fois, 38 points et 7 passes. De quoi permettre aux Californiens de l'emporter (122-115), Andrew Bynum secondant efficacement son leader avec 28 points et 12 rebonds. Ça va fort également pour les Blazers, vainqueurs des Sonics (89-79) pour leur onzième succès de rang. A l'Est, ce sont les Cavs qui ont festoyé grâce à leur victoire sur le Heat (96-82). Côté bleu, Turiaf, Diaw ou Gelabale ont été bien discrets.
Le match
Cette fois, c'est sérieux. Les Lakers ont prouvé qu'il ne faudrait pas les enterrer trop vite cette saison. Avec un bilan de dix-huit victoires contre dix défaites, et la cinquième place de la conférence Ouest à la clé, Los Angeles est encore loin de son omnipotence d'il y a cinq ans, lorsque le duo Shaquille O'Neal-Kobe Bryant affolaient les compteurs et les défenses. Mais les neuf succès sur leurs onze dernières sorties montrent que les Californiens sont sur la bonne voie.
En témoigne la nouvelle démonstration offensive contre les Phoenix Suns (122-115), la nuit dernière, dans un Staples Center comble malgré Noël. "Nous avons une fondation solide. Nous disposons d'une bonne longueur de banc, nous avons pour nous la vitesse, le contre. Nos joueurs peuvent aussi intercepter les ballons. Cela semble vraiment très solide", expliquait Bryant à l'issue de la rencontre. L'arrière All-Star des Lakers, qui se sentait désespérément seul ces dernières saisons, a une nouvelle fois brillé en inscrivant 38 points et distribuant 7 passes, deux jours après avoir scoré 39 points face aux New York Knicks. Mais il n'était pas l'unique joueur en verve puisqu'Andrew Bynum s'est fendu de 28 points et 12 rebonds, le meilleur total de sa carrière. "Il est très costaud", réagissait Shawn Marion.
Phil Jackson, lui, tempérait les éloges sur son intérieur: "A la fin de l'année, si Andrew est MVP, alors nous dirons qu'il a connu une année fantastique." Peu probable, même s'il a été énorme dans ce match où les Suns auraient tout de même pu rafler la mise s'ils ne s'étaient pas effondrés en seconde période. Car à la pause (62-62), comme au milieu du troisième quart-temps (76-76), ils tenaient la distance. Comme à leur habitude, les joueurs de Mike d'Antoni affichaient une complémentarité de tous les instants, avec sept joueurs à plus de dix points dont Steve Nash (24 points, 14 passes). Mais cela ne suffisait pas pour anéantir la machine à scorer des Lakers, Kobe Bryant.
Les Français
Des huit joueurs arizoniens à avoir foulé le parquet des Lakers, Boris Diaw est le seul à ne pas avoir franchi le seuil des dix unités. En quinze minutes, le Français a compilé 8 points et 5 rebonds pour un total de 3/9 aux shoots. Insuffisant pour lui comme pour les Suns. Mais le rendement de l'ancien Palois est de loin supérieur à ceux de Ronny Turiaf, muet, Johan Petro et Mickaël Gelabale, appelés à jouer contre les Portland Trail Blazers la nuit dernière. Les deux tricolores des Supersonics n'ont pas inscrit le moindre point, Petro ne participant même pas à la défaite des siens (89-79).
La stat: 11
Onze, comme le nombre de victoires consécutives des Blazers, série en cours. Moribond en début d'exercice, Portland connaît en cette fin d'année un net regain de forme qui lui permet de revenir à la huitième place de la conférence Ouest. Face à Seattle, les Blazers ont pu compter sur les 17 points, 6 rebonds et 7 passes de Brandon Roy tandis que Joel Przybilla s'est montré intraitable dans la raquette, avec 16 rebonds. La longue blessure du rookie Greg Oden juste avant le coup d'envoi de la saison semble donc digérée et Portland peut aspirer à mieux s'il conserve cette cadence, infernale pour ses adversaires.
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Kobe Bryant a la main chaude. Après ses 39 points passés aux Knicks, le maître artificier des Lakers a remis ça face aux Suns avec, cette fois, 38 points et 7 passes. De quoi permettre aux Californiens de l'emporter (122-115), Andrew Bynum secondant efficacement son leader avec 28 points et 12 rebonds. Ça va fort également pour les Blazers, vainqueurs des Sonics (89-79) pour leur onzième succès de rang. A l'Est, ce sont les Cavs qui ont festoyé grâce à leur victoire sur le Heat (96-82). Côté bleu, Turiaf, Diaw ou Gelabale ont été bien discrets.
Le match
Cette fois, c'est sérieux. Les Lakers ont prouvé qu'il ne faudrait pas les enterrer trop vite cette saison. Avec un bilan de dix-huit victoires contre dix défaites, et la cinquième place de la conférence Ouest à la clé, Los Angeles est encore loin de son omnipotence d'il y a cinq ans, lorsque le duo Shaquille O'Neal-Kobe Bryant affolaient les compteurs et les défenses. Mais les neuf succès sur leurs onze dernières sorties montrent que les Californiens sont sur la bonne voie.
En témoigne la nouvelle démonstration offensive contre les Phoenix Suns (122-115), la nuit dernière, dans un Staples Center comble malgré Noël. "Nous avons une fondation solide. Nous disposons d'une bonne longueur de banc, nous avons pour nous la vitesse, le contre. Nos joueurs peuvent aussi intercepter les ballons. Cela semble vraiment très solide", expliquait Bryant à l'issue de la rencontre. L'arrière All-Star des Lakers, qui se sentait désespérément seul ces dernières saisons, a une nouvelle fois brillé en inscrivant 38 points et distribuant 7 passes, deux jours après avoir scoré 39 points face aux New York Knicks. Mais il n'était pas l'unique joueur en verve puisqu'Andrew Bynum s'est fendu de 28 points et 12 rebonds, le meilleur total de sa carrière. "Il est très costaud", réagissait Shawn Marion.
Phil Jackson, lui, tempérait les éloges sur son intérieur: "A la fin de l'année, si Andrew est MVP, alors nous dirons qu'il a connu une année fantastique." Peu probable, même s'il a été énorme dans ce match où les Suns auraient tout de même pu rafler la mise s'ils ne s'étaient pas effondrés en seconde période. Car à la pause (62-62), comme au milieu du troisième quart-temps (76-76), ils tenaient la distance. Comme à leur habitude, les joueurs de Mike d'Antoni affichaient une complémentarité de tous les instants, avec sept joueurs à plus de dix points dont Steve Nash (24 points, 14 passes). Mais cela ne suffisait pas pour anéantir la machine à scorer des Lakers, Kobe Bryant.
Les Français
Des huit joueurs arizoniens à avoir foulé le parquet des Lakers, Boris Diaw est le seul à ne pas avoir franchi le seuil des dix unités. En quinze minutes, le Français a compilé 8 points et 5 rebonds pour un total de 3/9 aux shoots. Insuffisant pour lui comme pour les Suns. Mais le rendement de l'ancien Palois est de loin supérieur à ceux de Ronny Turiaf, muet, Johan Petro et Mickaël Gelabale, appelés à jouer contre les Portland Trail Blazers la nuit dernière. Les deux tricolores des Supersonics n'ont pas inscrit le moindre point, Petro ne participant même pas à la défaite des siens (89-79).
La stat: 11
Onze, comme le nombre de victoires consécutives des Blazers, série en cours. Moribond en début d'exercice, Portland connaît en cette fin d'année un net regain de forme qui lui permet de revenir à la huitième place de la conférence Ouest. Face à Seattle, les Blazers ont pu compter sur les 17 points, 6 rebonds et 7 passes de Brandon Roy tandis que Joel Przybilla s'est montré intraitable dans la raquette, avec 16 rebonds. La longue blessure du rookie Greg Oden juste avant le coup d'envoi de la saison semble donc digérée et Portland peut aspirer à mieux s'il conserve cette cadence, infernale pour ses adversaires.
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Des Pistons bien huilés
Detroit prend de plus en plus de place dans la conférence Est. Le leader de la Division Central n'a pas tremblé pour écarter les Nets (101-83). Un succès acquis notamment grâce à Hamilton (22 points) et Billups (17 points, 10 passes). Dans les autres rencontres, San Antonio a confirmé son retour en venant à bout de Chicago 94-79 avec un Parker en forme (28 points). De leur côté, les Celtics ont écrasé les Kings (89-69) et restent largement en tête des bilans de toute la NBA avec 23 victoires en 26 rencontres.
Le match
Les Pistons ont fait le ménage. Après deux premiers quarts-temps particulièrement serrés mercredi contre New Jersey, Detroit a passé la vitesse supérieure dans le troisième quart bouclé (31-18). Un avantage conséquent qui s'est rapidement révélé être décisif face à une formation des Nets en manque de réussite dans ses tirs à l'image d'un Jason Kidd pas vraiment dans ses baskets (0/8 aux tirs mais tout de même 13 passes). Vince Carter (21 points, 5 passes) ou encore Richard Jefferson (18 points mais 7 pertes de balle) ont bien tenté de freiner cette dégringolade. En vain...
Tant mieux pour Hamilton (22 points) et Billups (17 points, 10 passes) qui ne se sont pas fait prier pour enfoncer une porte ouverte vers un sixième succès de rang (101-83), le vingt et unième de la saison pour seulement sept défaites. Outre l'aspect offensif marqué par Hamilton, il convient également de noter l'aspect défensif de ce succès. Car si les Nets ont eu autant de mal aux tirs, ce n'est pas uniquement dû à leur maladresse. Les Pistons sont particulièrement habiles défensivement comme en témoigne ce septième match consécutif avec moins de 90 unités encaissées.
Voilà donc les Pistons lancés vers les sommets de la conférence est. La lutte avec des Celtics impressionnants, voire avec Orlando un ton en dessous, s'annonce particulièrement ardue. Le premier acte face à Boston leur avait permis de s'imposer (87-85). Le second prévu le 5 janvier pourrait leur permettre de prendre un ascendant psychologique intéressant.
Les Français
Le bilan de la nuit n'est pas flamboyant pour les Tricolores. L'exception se nomme évidemment Tony Parker. TP a en effet porté à bout de bras les Spurs pour une victoire contre les Chicago Bulls de Joakim Noah. Avec 28 points, 5 passes et 3 rebonds en 32 minutes, le meneur de jeu des Spurs, meilleur marqueur de la rencontre, a été particulièrement à son avantage. Aucune faute, aucune perte de balle. Pas mal... Face à lui, Joakim Noah n'aura eu droit qu'à 6 minutes de jeu avec 1 rebond à la clé.
De son côté Mike Pietrus est toujours aussi loin du 5 majeur. Il n'a passé que 8'44 sur le parquet avec un tir primé pour 3 points et 2 rebonds lors de la victoire des Warriors contre de faibles Wolves (105-101). Enfin, Diawara a participé à la victoire des Nuggets contre les Bucks 125-105. Mais il a dû se contenter de 7'54 pour 1 rebond. C'est tout...
La stat
Jason Kidd ne va pas fort ces dernières semaines. Le meneur de jeu des New Jersey Nets n'était d'ailleurs pas en réussite aux tirs ce mercredi face à Detroit avec un bien vilain 0/8. En revanche, il a compilé 13 passes décisives ce qui lui a permis d'obtenir un total de 8972 passes en carrière. Un bilan qui lui permet de passer à la sixième place des meilleurs passeurs de l'histoire de la NBA devant Gary Payton qui en a totalisé 8966.
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Detroit prend de plus en plus de place dans la conférence Est. Le leader de la Division Central n'a pas tremblé pour écarter les Nets (101-83). Un succès acquis notamment grâce à Hamilton (22 points) et Billups (17 points, 10 passes). Dans les autres rencontres, San Antonio a confirmé son retour en venant à bout de Chicago 94-79 avec un Parker en forme (28 points). De leur côté, les Celtics ont écrasé les Kings (89-69) et restent largement en tête des bilans de toute la NBA avec 23 victoires en 26 rencontres.
Le match
Les Pistons ont fait le ménage. Après deux premiers quarts-temps particulièrement serrés mercredi contre New Jersey, Detroit a passé la vitesse supérieure dans le troisième quart bouclé (31-18). Un avantage conséquent qui s'est rapidement révélé être décisif face à une formation des Nets en manque de réussite dans ses tirs à l'image d'un Jason Kidd pas vraiment dans ses baskets (0/8 aux tirs mais tout de même 13 passes). Vince Carter (21 points, 5 passes) ou encore Richard Jefferson (18 points mais 7 pertes de balle) ont bien tenté de freiner cette dégringolade. En vain...
Tant mieux pour Hamilton (22 points) et Billups (17 points, 10 passes) qui ne se sont pas fait prier pour enfoncer une porte ouverte vers un sixième succès de rang (101-83), le vingt et unième de la saison pour seulement sept défaites. Outre l'aspect offensif marqué par Hamilton, il convient également de noter l'aspect défensif de ce succès. Car si les Nets ont eu autant de mal aux tirs, ce n'est pas uniquement dû à leur maladresse. Les Pistons sont particulièrement habiles défensivement comme en témoigne ce septième match consécutif avec moins de 90 unités encaissées.
Voilà donc les Pistons lancés vers les sommets de la conférence est. La lutte avec des Celtics impressionnants, voire avec Orlando un ton en dessous, s'annonce particulièrement ardue. Le premier acte face à Boston leur avait permis de s'imposer (87-85). Le second prévu le 5 janvier pourrait leur permettre de prendre un ascendant psychologique intéressant.
Les Français
Le bilan de la nuit n'est pas flamboyant pour les Tricolores. L'exception se nomme évidemment Tony Parker. TP a en effet porté à bout de bras les Spurs pour une victoire contre les Chicago Bulls de Joakim Noah. Avec 28 points, 5 passes et 3 rebonds en 32 minutes, le meneur de jeu des Spurs, meilleur marqueur de la rencontre, a été particulièrement à son avantage. Aucune faute, aucune perte de balle. Pas mal... Face à lui, Joakim Noah n'aura eu droit qu'à 6 minutes de jeu avec 1 rebond à la clé.
De son côté Mike Pietrus est toujours aussi loin du 5 majeur. Il n'a passé que 8'44 sur le parquet avec un tir primé pour 3 points et 2 rebonds lors de la victoire des Warriors contre de faibles Wolves (105-101). Enfin, Diawara a participé à la victoire des Nuggets contre les Bucks 125-105. Mais il a dû se contenter de 7'54 pour 1 rebond. C'est tout...
La stat
Jason Kidd ne va pas fort ces dernières semaines. Le meneur de jeu des New Jersey Nets n'était d'ailleurs pas en réussite aux tirs ce mercredi face à Detroit avec un bien vilain 0/8. En revanche, il a compilé 13 passes décisives ce qui lui a permis d'obtenir un total de 8972 passes en carrière. Un bilan qui lui permet de passer à la sixième place des meilleurs passeurs de l'histoire de la NBA devant Gary Payton qui en a totalisé 8966.
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La mauvaise passe des Spurs
San Antonio n'est pas au mieux. Les Spurs se sont en effet inclinés vendredi soir à domicile contre les Raptors (83-73). Un troisième revers en cinq matches qui fait mauvais effet pour le champion en titre. Il faut reconnaître qu'avec un Parker de retour de blessure, un Duncan diminué et Ginobili toujours absent, les raisons ne manquent pas. Dans les autres rencontres, les Pistons ont battu les Pacers 114-101 pour un 7e succès de rang, Les Bulls ont disposé des Bucks (103-99) tandis que les Lakers ont battu les Jazz (123-109).
Le match
Le champion n'est pas au mieux. Loin de ses habituelles statistiques, San Antonio n'a pas réussi à enflammer le AT&T Center face à Toronto (83-73). Un revers en forme de rechute pour des Spurs qui avaient réussi à inverser la tendance avec le retour de Tony Parker en s'imposant deux fois de suite. Le fait est que lorsque le meneur de jeu tricolore n'est pas dans un grand soir, c'est tout l'édifice des Spurs qui vacille. Face aux Raptors, TP n'a tourné qu'à 4/12 aux tirs pour un modeste (pour lui) total de 15 points et 4 passes.
Tim Duncan n'étant pas non plus au mieux (6/12 aux tirs) pour 16 points et 12 rebonds, c'est Michael Finley qui a pris le plus de shoots mais avec une réussite très moyenne (7/19) et 20 unités au compteur. Finalement, c'est toute l'équipe qui était à la peine avec seulement 31,9% de réussite (23/72). Voilà qui explique en grande partie le plus petit total de points inscrits par les Spurs cette saison... Tant mieux pour les Raptors qui, bien que privés de Nesterovic et Garbajosa, ont su tirer leur épingle du jeu. Ils pourront remercier deux éléments issus du banc : Jason Kapono qui a inscrit 10 de ses 15 points dans le dernier quart-temps et Kris Humphries qui a totalisé 14 points et 11 rebonds.
Grâce à ce succès, Toronto confirme son bilan positif cette saison avec 16 succès en 30 matches, ce qui les place en 5e position de toute la conférence est et la deuxième de la Division Atlantic. Pour les Spurs, il n'y a évidemment pas le feu à la maison. Le leader de la conférence ouest ferait cependant bien de reprendre ses bonnes habitudes.
Les Français
Une fois n'est pas coutume, Parker n'a pas brillé avec les Spurs. Auteur de 15 points (4/12), 4 passes et 7... balles perdues, TP n'a pas réussi à mettre son équipe sur de bons rails lors de la défaite contre les Raptors (83-73). De son côté Mike Pietrus a passé 14'22 sur le parquet avec 5 points, 3 rebonds et 1 interception à la clé. Insuffisant toutefois puisque son équipe s'est incliné contre les Nuggets (Diawara n'a pas joué) 124-120.
Boris Diaw a apporté sa pierre à l'édifice lors du succès de Phoenix contre les Clippers. Il a marqué 8 points, 5 rebonds et 4 passes en 28'37 sur le parquet. Enfin, Ronny Turiaf a disputé 10'50 avec 8 points, 4 rebonds et 2 passes à la clé et un succès tranquille 123-109 contre les Jazz.
La stat
Les Nuggets passent à l'attaque! Comme toujours... En fait, la franchise de Denver joue tout pour l'attaque et sa moyenne de points marqués pourrait faire pâlir plus d'une autre franchise. Vendredi soir, ils l'ont emporté 124-120 contre les Warriors. Un succès qui a permis à Allen Iverson de cumuler 39 points tandis que Carmelo Anthony en a marqué 30 ! Cela fait plus de la moitié des 124 points des Nuggets !
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San Antonio n'est pas au mieux. Les Spurs se sont en effet inclinés vendredi soir à domicile contre les Raptors (83-73). Un troisième revers en cinq matches qui fait mauvais effet pour le champion en titre. Il faut reconnaître qu'avec un Parker de retour de blessure, un Duncan diminué et Ginobili toujours absent, les raisons ne manquent pas. Dans les autres rencontres, les Pistons ont battu les Pacers 114-101 pour un 7e succès de rang, Les Bulls ont disposé des Bucks (103-99) tandis que les Lakers ont battu les Jazz (123-109).
Le match
Le champion n'est pas au mieux. Loin de ses habituelles statistiques, San Antonio n'a pas réussi à enflammer le AT&T Center face à Toronto (83-73). Un revers en forme de rechute pour des Spurs qui avaient réussi à inverser la tendance avec le retour de Tony Parker en s'imposant deux fois de suite. Le fait est que lorsque le meneur de jeu tricolore n'est pas dans un grand soir, c'est tout l'édifice des Spurs qui vacille. Face aux Raptors, TP n'a tourné qu'à 4/12 aux tirs pour un modeste (pour lui) total de 15 points et 4 passes.
Tim Duncan n'étant pas non plus au mieux (6/12 aux tirs) pour 16 points et 12 rebonds, c'est Michael Finley qui a pris le plus de shoots mais avec une réussite très moyenne (7/19) et 20 unités au compteur. Finalement, c'est toute l'équipe qui était à la peine avec seulement 31,9% de réussite (23/72). Voilà qui explique en grande partie le plus petit total de points inscrits par les Spurs cette saison... Tant mieux pour les Raptors qui, bien que privés de Nesterovic et Garbajosa, ont su tirer leur épingle du jeu. Ils pourront remercier deux éléments issus du banc : Jason Kapono qui a inscrit 10 de ses 15 points dans le dernier quart-temps et Kris Humphries qui a totalisé 14 points et 11 rebonds.
Grâce à ce succès, Toronto confirme son bilan positif cette saison avec 16 succès en 30 matches, ce qui les place en 5e position de toute la conférence est et la deuxième de la Division Atlantic. Pour les Spurs, il n'y a évidemment pas le feu à la maison. Le leader de la conférence ouest ferait cependant bien de reprendre ses bonnes habitudes.
Les Français
Une fois n'est pas coutume, Parker n'a pas brillé avec les Spurs. Auteur de 15 points (4/12), 4 passes et 7... balles perdues, TP n'a pas réussi à mettre son équipe sur de bons rails lors de la défaite contre les Raptors (83-73). De son côté Mike Pietrus a passé 14'22 sur le parquet avec 5 points, 3 rebonds et 1 interception à la clé. Insuffisant toutefois puisque son équipe s'est incliné contre les Nuggets (Diawara n'a pas joué) 124-120.
Boris Diaw a apporté sa pierre à l'édifice lors du succès de Phoenix contre les Clippers. Il a marqué 8 points, 5 rebonds et 4 passes en 28'37 sur le parquet. Enfin, Ronny Turiaf a disputé 10'50 avec 8 points, 4 rebonds et 2 passes à la clé et un succès tranquille 123-109 contre les Jazz.
La stat
Les Nuggets passent à l'attaque! Comme toujours... En fait, la franchise de Denver joue tout pour l'attaque et sa moyenne de points marqués pourrait faire pâlir plus d'une autre franchise. Vendredi soir, ils l'ont emporté 124-120 contre les Warriors. Un succès qui a permis à Allen Iverson de cumuler 39 points tandis que Carmelo Anthony en a marqué 30 ! Cela fait plus de la moitié des 124 points des Nuggets !
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un petit hommage svp a un joueur que j'aime beaucoup qui l'ouvre pas qui n'est pas particulièrement spectaculaire qui ne joue pas dans une grande équipe qui n'est plus tout jeune mais toujours là:
Jason Kidd des Nets... les stats de cette saison parlent pour lui...
points 11.3
rebonds 8.7
passes 10.5
en gros double double tous les soirs et régulièrement des triples doubles voilà c'était juste un petit "up" pour lui. :prayer:
Jason Kidd des Nets... les stats de cette saison parlent pour lui...
points 11.3
rebonds 8.7
passes 10.5
en gros double double tous les soirs et régulièrement des triples doubles voilà c'était juste un petit "up" pour lui. :prayer:
Effectivement il effectue encore une saison grandiose, très impressionant, même si les Nets sont un peu dans la difficulté. Mais cette équipe a les moyens de remonter. Jason Kidd en est actuellement à 94 triples doubles en carrière il me semble, autant dire qu'il risque de passer la centaine cette saison ... quel joueur ! Il a quand même sorti un match à 19 rebonds cette saison :shock: Malheureusement l'adresse aux shoots lui fait encore plus défaut cette saison que par le passé, 37% au total contre 40% en carrière. celà dit il compense largement.
Ce sera show à Bercy !
Comme tous les ans, le Palais Omnisports de Paris-Bercy profite de la trêve hivernale en Pro A pour accueillir le All-Star Game. Simple exutoire pour certains, véritable faire-valoir pour d'autres, le match des étoiles du championnat et ses festivités ne laissent en tout cas jamais les spectateurs indifférents. Mais cette 22e édition risque fort de tourner au vinaigre pour la sélection française, battue depuis deux saisons et encore opposée à une équipe étrangère dont l'armada offensive fait froid dans le dos.
91-56. Sur le papier, la sélection étrangère, à forte consonnance américaine, pèse bien plus lourd en terme de points que son homologue tricolore. Et cet écart, qui montre clairement la pauvreté d'un basket hexagonal en panne sèche de talents, risque encore de se refléter au tableau d'affichage du Palais Omnisports de Paris-Bercy, samedi, à l'occasion du All-Star Game.
Sortie vainqueur des deux dernières confrontations, l'équipe étrangère vise donc une passe de trois déjà réalisée entre 1993 et 1995. Vu le potentiel offensif de ces All-Star en puissance, on voit mal comment il pourrait en être autrement. Sean Colson, Brion Rush, Ricardo Greer, Jimmal Ball, Tony Williams, John Cox et bien sûr Marc Salyers figurent tous dans le top 10 des meilleurs marqueurs de la Ligue nationale (LNB) alors que le premier Français sélectionné, Cyril Julian, finalement apte malgré une entorse du pouce contractée il y a peu, ne pointe qu'au quinzième rang avec 15 points de moyenne par match.
Deux cultures diamétralement opposées
Au grand dam du clan tricolore, tous ces bijoux à la finition d'orfèvre seront bien présents sur le parquet du POPB, contrairement à Laurent Foirest, victime d'une entorse de la cheville droite et forfait. Pour éviter la boucherie, Yves Baratet, habituellement coach de l'Asvel et propulsé pour l'occasion sur le banc de la sélection française, pourra compter sur la complémentarité d'Alain Koffi et Nicolas Batum, associés au Mans et en plein boum depuis quelques semaines. Le Roannais Marc-Antoine Pellin sera lui chargé de la mène, épaulé dans le cinq majeur par le Choletais Nando De Colo-Letien.
Mais les arguments nationaux sont décidément moindres comparés à ceux de leurs adversaires. A moins que cette rencontre ne se joue dans la raquette, où le cinq français dispose de trois des quatre meilleurs rebondeurs de la Ligue, à savoir Vincent Masingue, Dounia Issa et Cyril Julian. Ce seront en tout cas deux cultures diamétralement opposées qui s'affronteront samedi. Celle du shoot à outrance pour les étrangers, dirigés par le Nancéien Jean-Luc Monschau, contre celle de la défense maîtrisée pour les All-Star tricolores.
L'an passé, Dewarick Spencer et les siens avaient tué le suspense en matant leurs rivaux (124-108). L'ailier de la Chorale, parti cette saison au Virtus Bologne, avait alors été élu meilleur joueur du match avec 19 points au compteur, succédant ainsi à K'Zell Wesson. La bataille pour le titre de MVP sera encore une fois acharnée lors de cette 22e édition du All-Star Game. Si elle devient l'enjeu principal de la rencontre pour les fortes individualités étrangères, alors elle pourrait aider les Français à prendre le dessus. Mais les chances sont infimes.
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Comme tous les ans, le Palais Omnisports de Paris-Bercy profite de la trêve hivernale en Pro A pour accueillir le All-Star Game. Simple exutoire pour certains, véritable faire-valoir pour d'autres, le match des étoiles du championnat et ses festivités ne laissent en tout cas jamais les spectateurs indifférents. Mais cette 22e édition risque fort de tourner au vinaigre pour la sélection française, battue depuis deux saisons et encore opposée à une équipe étrangère dont l'armada offensive fait froid dans le dos.
91-56. Sur le papier, la sélection étrangère, à forte consonnance américaine, pèse bien plus lourd en terme de points que son homologue tricolore. Et cet écart, qui montre clairement la pauvreté d'un basket hexagonal en panne sèche de talents, risque encore de se refléter au tableau d'affichage du Palais Omnisports de Paris-Bercy, samedi, à l'occasion du All-Star Game.
Sortie vainqueur des deux dernières confrontations, l'équipe étrangère vise donc une passe de trois déjà réalisée entre 1993 et 1995. Vu le potentiel offensif de ces All-Star en puissance, on voit mal comment il pourrait en être autrement. Sean Colson, Brion Rush, Ricardo Greer, Jimmal Ball, Tony Williams, John Cox et bien sûr Marc Salyers figurent tous dans le top 10 des meilleurs marqueurs de la Ligue nationale (LNB) alors que le premier Français sélectionné, Cyril Julian, finalement apte malgré une entorse du pouce contractée il y a peu, ne pointe qu'au quinzième rang avec 15 points de moyenne par match.
Deux cultures diamétralement opposées
Au grand dam du clan tricolore, tous ces bijoux à la finition d'orfèvre seront bien présents sur le parquet du POPB, contrairement à Laurent Foirest, victime d'une entorse de la cheville droite et forfait. Pour éviter la boucherie, Yves Baratet, habituellement coach de l'Asvel et propulsé pour l'occasion sur le banc de la sélection française, pourra compter sur la complémentarité d'Alain Koffi et Nicolas Batum, associés au Mans et en plein boum depuis quelques semaines. Le Roannais Marc-Antoine Pellin sera lui chargé de la mène, épaulé dans le cinq majeur par le Choletais Nando De Colo-Letien.
Mais les arguments nationaux sont décidément moindres comparés à ceux de leurs adversaires. A moins que cette rencontre ne se joue dans la raquette, où le cinq français dispose de trois des quatre meilleurs rebondeurs de la Ligue, à savoir Vincent Masingue, Dounia Issa et Cyril Julian. Ce seront en tout cas deux cultures diamétralement opposées qui s'affronteront samedi. Celle du shoot à outrance pour les étrangers, dirigés par le Nancéien Jean-Luc Monschau, contre celle de la défense maîtrisée pour les All-Star tricolores.
L'an passé, Dewarick Spencer et les siens avaient tué le suspense en matant leurs rivaux (124-108). L'ailier de la Chorale, parti cette saison au Virtus Bologne, avait alors été élu meilleur joueur du match avec 19 points au compteur, succédant ainsi à K'Zell Wesson. La bataille pour le titre de MVP sera encore une fois acharnée lors de cette 22e édition du All-Star Game. Si elle devient l'enjeu principal de la rencontre pour les fortes individualités étrangères, alors elle pourrait aider les Français à prendre le dessus. Mais les chances sont infimes.
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Euh il y a comme meme avec lui un certain Vinsanity et Jefferson.........cantalou wrote:un petit hommage svp a un joueur que j'aime beaucoup qui l'ouvre pas qui n'est pas particulièrement spectaculaire qui ne joue pas dans une grande équipe qui n'est plus tout jeune mais toujours là:
Jason Kidd des Nets... les stats de cette saison parlent pour lui...
points 11.3
rebonds 8.7
passes 10.5
en gros double double tous les soirs et régulièrement des triples doubles voilà c'était juste un petit "up" pour lui. :prayer:
Des bougies bleues !
Pour les 20 ans de la Ligue, les joueurs français ont renoué avec le succès samedi, à Bercy, à l'occasion du All-Star Game remporté (94-82) face aux étrangers de Pro A. Une conclusion idéale pour un show réussi et un match que les Bleus ont mis un point d'honneur à remporter. Si Cyril Julian, meilleur marqueur tricolore (16 points), reste indémodable, la nouvelle génération a pointé le bout de son nez, à l'image du Choletais Nando De Colo sacré MVP pour sa première apparition dans ce match des étoiles.
A l'heure où les équipes de Pro A peinent chaque saison un peu plus sur le front de l'Europe et où le basket français s'interroge encore sur les raisons qui le conduiront à assister l'été prochain aux JO devant sa télé, le All-Star Game de la Ligue, vingtième du nom, est assurément une belle éclaircie dans ce paysage assez morose et une source d'espoir pour l'avenir. Car la soirée fut une fois encore bien belle samedi à Bercy et les presque 15 000 veinards qui ont assisté à l'évènement en ont assurément eu pour leur argent.
Le show à l'américaine concocté par la LNB est désormais parfaitement rodé. Et l'enchaînement des animations (tir à 100 000 euros, concours de danse...) et des divers concours, avec en point d'orgue le match des étoiles entre la nouvelle génération française et les expérimentés mercenaires étrangers du championnat a une fois encore fait mouche. Pour être tout à fait honnête, le spectacle fut sans doute un peu moins sur le parquet à l'occasion de ce match des étoiles très verrouillé, vingtième du nom, que dans ces à-côtés si appréciés par le public. Et sans la victoire (94-82) des jeunes Tricolores, qui ont donc relevé le défi qu'ils s'étaient assignés de mettre au pas des étrangers vainqueurs des deux dernières éditions, le contenu de cette rencontre de piètre qualité, il faut bien le dire, avait de quoi laisser sur sa faim avec au final le plus faible total de points cumulés dans l'histoire de l'épreuve.
De Colo, première réussie
L'essentiel était ailleurs, et notamment dans l'émergence donc de ces nouvelles pousses françaises, qui auront fait la course en tête durant la majeure partie de la rencontre, exception faite d'une fin de deuxième quart-temps conclue sur un inquiétant 12-3 et un avantage de deux points à la pause (47-45) en faveur d'étrangers sortis de leur torpeur pour aussitôt y replonger après le repos. Et subir la vitesse et la grosse envie de ces Bleus, à l'image de l'arrière choletais Nando de Colo, auteur de 13 points et plein d'impact sur le déroulement du match, à défaut de présenter une ligne de statistiques renversante (9 passes et 2 rebonds).
Une prestation qui lui vaut pour sa première apparition au All-Star Game un premier titre de MVP. A vingt ans, s'il vous plaît! A ses côtés, le meneur orléanais Marc-Antoine Pellin (10 points) et l'ailier manceau Nicolas Batum (12 points) ne sont pas en reste et le joueur du MSB de jouer des gentiment mécaniques au micro de Sport+: "On a répondu présent, on les a bottés, c'est ce qu'il fallait." A leurs côtés, Cyril Julian, meilleur joueur du mois de décembre et meilleur marqueur français samedi avec 16 points, tenait bon la barre, même s'il avouait au coup de sifflet final dans un sourire: "C'est l'entraînement demain qui risque d'être difficile." Tout ce joli monde s'apprête en effet à vivre une fin d'année studieuse entre l'Euroligue et le retour de la Pro A au programme dès la semaine prochaine.
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Pour les 20 ans de la Ligue, les joueurs français ont renoué avec le succès samedi, à Bercy, à l'occasion du All-Star Game remporté (94-82) face aux étrangers de Pro A. Une conclusion idéale pour un show réussi et un match que les Bleus ont mis un point d'honneur à remporter. Si Cyril Julian, meilleur marqueur tricolore (16 points), reste indémodable, la nouvelle génération a pointé le bout de son nez, à l'image du Choletais Nando De Colo sacré MVP pour sa première apparition dans ce match des étoiles.
A l'heure où les équipes de Pro A peinent chaque saison un peu plus sur le front de l'Europe et où le basket français s'interroge encore sur les raisons qui le conduiront à assister l'été prochain aux JO devant sa télé, le All-Star Game de la Ligue, vingtième du nom, est assurément une belle éclaircie dans ce paysage assez morose et une source d'espoir pour l'avenir. Car la soirée fut une fois encore bien belle samedi à Bercy et les presque 15 000 veinards qui ont assisté à l'évènement en ont assurément eu pour leur argent.
Le show à l'américaine concocté par la LNB est désormais parfaitement rodé. Et l'enchaînement des animations (tir à 100 000 euros, concours de danse...) et des divers concours, avec en point d'orgue le match des étoiles entre la nouvelle génération française et les expérimentés mercenaires étrangers du championnat a une fois encore fait mouche. Pour être tout à fait honnête, le spectacle fut sans doute un peu moins sur le parquet à l'occasion de ce match des étoiles très verrouillé, vingtième du nom, que dans ces à-côtés si appréciés par le public. Et sans la victoire (94-82) des jeunes Tricolores, qui ont donc relevé le défi qu'ils s'étaient assignés de mettre au pas des étrangers vainqueurs des deux dernières éditions, le contenu de cette rencontre de piètre qualité, il faut bien le dire, avait de quoi laisser sur sa faim avec au final le plus faible total de points cumulés dans l'histoire de l'épreuve.
De Colo, première réussie
L'essentiel était ailleurs, et notamment dans l'émergence donc de ces nouvelles pousses françaises, qui auront fait la course en tête durant la majeure partie de la rencontre, exception faite d'une fin de deuxième quart-temps conclue sur un inquiétant 12-3 et un avantage de deux points à la pause (47-45) en faveur d'étrangers sortis de leur torpeur pour aussitôt y replonger après le repos. Et subir la vitesse et la grosse envie de ces Bleus, à l'image de l'arrière choletais Nando de Colo, auteur de 13 points et plein d'impact sur le déroulement du match, à défaut de présenter une ligne de statistiques renversante (9 passes et 2 rebonds).
Une prestation qui lui vaut pour sa première apparition au All-Star Game un premier titre de MVP. A vingt ans, s'il vous plaît! A ses côtés, le meneur orléanais Marc-Antoine Pellin (10 points) et l'ailier manceau Nicolas Batum (12 points) ne sont pas en reste et le joueur du MSB de jouer des gentiment mécaniques au micro de Sport+: "On a répondu présent, on les a bottés, c'est ce qu'il fallait." A leurs côtés, Cyril Julian, meilleur joueur du mois de décembre et meilleur marqueur français samedi avec 16 points, tenait bon la barre, même s'il avouait au coup de sifflet final dans un sourire: "C'est l'entraînement demain qui risque d'être difficile." Tout ce joli monde s'apprête en effet à vivre une fin d'année studieuse entre l'Euroligue et le retour de la Pro A au programme dès la semaine prochaine.
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La Chorale reçoit le Barça le 2 janvier :
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=15428
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C'est pour ce soir Chorale - Barça avec des roannais remontés à bloc après un Noël passé au repos (bon, ok, Salyers a certainement piccolé avant hier soir :lol: ). Ron Hale est totalement au point physiquement à ce qu'il paraît. On peut espérer quelque chose contre des espagnols qui n'ont pas connu de trève ...