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[Basket] Reprise saison NBA
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o_vert_seas1
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:???:vinsanity wrote: A croire que les salaires versés aux arbitres NBA ne suffisent pas.
Il me semble avoir lu quelque part que ce cher Timmy émarge à 260k$/an, tout de même, ce qui pour un arbitre est quand même plus qu'honorable :shock:
Non, vraiment, l'addiction au "jeu" n'a rien de proportionnel avec les ressources des individus.
Last edited by o_vert_seas1 on 21 Aug 2007, 08:33, edited 1 time in total.
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boubynight
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sur yahoo sport
Claude Bergeaud, qui revient sur sa sélection définitive à 12 joueurs, veut désormais profiter de tous les instants pour aller de l'avant. Le sélectionneur de l'équipe de France explique ses choix sur Cédric Ferchaud, Pape Badiane mais aussi sur les prochains axes de travails des Bleus.
Plus d'infosBergeaud a tranché
Les promesses bleues
CLAUDE BERGEAUD, quelle a été la réaction des sélectionnés et de ceux qui n'ont pas été retenus ?
C.B : Vous savez, il y a la carapace extérieure. Il y a l'écorce de l'arbre. Le tronc et le coeur. Les arbres ont un coeur et les hommes aussi. Ce soir (Dimanche), c'est bien sûr émouvant car on n'a pas passé que quinze jours ensemble mais un mois. On savait que si on donnait la décision au bout de quinze jours se serait plus facile. Mais voilà, les circonstances ont changé la donne. A partir de là, le groupe a réagi comme d'habitude. Il y a beaucoup de proximité. On a voulu affronter la difficulté. Et dire au revoir avec tout le monde car ce sont peut-être des moments qui soudent, qui vont induire le respect. Voir des gens déçus, ça fait toujours quelque chose.
Pourquoi avoir donné autant de temps de jeu à Michel Morandais dimanche alors que Cédric Ferchaud avait déjà pris une nette avance ? Surtout que Morandais part donc finalement sur un gros match (16 pts à 4 sur 6 à trois points)...
C.B. : Rien n'était tranché avant le match... Et surtout, on a fixé les critères au départ. Dès le début de la préparation. Voilà, on a voulu respecter nos règles. Aller jusqu'au bout de la logique. Mais malheureusement pour Michel Morandais, la sélection ne se fait pas sur un match. Mais sur les six rencontres, on a pris en compte les statistiques cumulées parce que l'on recherche de l'efficacité dans le tir.
La présence de Cédric Ferchaud à l'Euro, peut-il lui permettre de passer un cap sur le plan international ? D'avoir un nouveau statut ?
C.B. : Vous savez, en France, on voit toujours le mauvais côté des choses. Si Cédric évoluait dans un autre pays, il aurait une toute autre valeur. Dans les autres pays, on respecte les joueurs pour ce qu'ils savent faire. Pas pour ce qu'ils ne savent pas faire. On respecte tous les styles de joueur. Cédric a construit une carrière à part car on a la représentation des modèles juvéniles. A 18 ans, on doit savoir si le joueur peut être professionnel. Mais cela ne marche qu'avec les joueurs de l'équipe de France. Cédric s'est construit sur le tard avec toujours la même arme, la même efficacité, la même confiance en lui Il est parti de loin (ça fait quatre ans qu'il joue avec les A') mais ça porte ses fruits.
L'option de partir avec seulement deux meneurs spécifiques et donc d'écarter Yohann Sangaré, a-t-elle été étudiée ?
C.B. : A un moment donné oui. Mais dans ce cas, on devait bouger le puzzle construit au départ. Alors que là, ça commence à prendre forme. Joseph Gomis trouve ses marques aux côtés de Tony Parker. Les habitudes de jeu s'installent. On ne voulait pas changer ça et demander à Joseph de jouer de manière différente en faisant un petit peu de tout. On ne peut pas jouer aux girouettes avec le temps qu'il nous est imparti.
La sélection de Pape Badiane pour l'Euro est-elle liée au fait que Fred Weis a des problèmes au genou.
C.B. : Evidemment. On était indécis. Mais voilà, partir avec quelqu'un qui n'aura peut-être pas la plénitude de ses moyens change la donne. Comme on ne peut pas se permettre de jouer sans un grand gabarit dans ce genre de compétition et qu'on n'est pas certain que Fred Weis soit à 100% à l'Euro, on a donc décidé de garder Pape Badiane, il a des bras, une envergure de 2,10 m et a montré des choses durant cette préparation. L'année passée, on avait un peu trop fait jouer Fred en préparation. Cette année, on voulait lui donner du temps de jeu en-dessous de 20 minutes. Même si lui en réclame plus car c'est vraiment le vieux diesel qui met deux heures à chauffer. Il a besoin de jouer de rester sur le terrain. C'est ce qu'il fait en Espagne. Il joue 34-37 minutes. Il est à la peine mais il est efficace. A l'Euro c'est différent car on joue tous les jours.
Vous avez trois jours de repos. Les séances de travail vont désormais être réduites jusqu'à l'Euro. Quels sont les axes sur lesquels vous voulez appuyer ?
C.B. : En Slovénie, on a la possibilité d'avoir trois entraînements. On ne va pas s'en priver. On n'a pas de temps à perdre. On compte continuer de créer des vrais reflexes offensifs et défensifs. Aujourd'hui, on doit encore ne rien inventer. On verra ensuite si on a besoin du talent des joueurs pour faire la différence. Par exemple, je ne veux pas que l'on fasse que des pick and roll avec Tony Parker. Sinon, on se prive des autres joueurs et on n'a pas la première mi-temps contre la Russie où on a vu une belle cohésion. Or le jeu pratiqué dans les 20 premières minutes contre les Russes peut nourrir une équipe entière pendant 40 minutes.
Claude Bergeaud, qui revient sur sa sélection définitive à 12 joueurs, veut désormais profiter de tous les instants pour aller de l'avant. Le sélectionneur de l'équipe de France explique ses choix sur Cédric Ferchaud, Pape Badiane mais aussi sur les prochains axes de travails des Bleus.
Plus d'infosBergeaud a tranché
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CLAUDE BERGEAUD, quelle a été la réaction des sélectionnés et de ceux qui n'ont pas été retenus ?
C.B : Vous savez, il y a la carapace extérieure. Il y a l'écorce de l'arbre. Le tronc et le coeur. Les arbres ont un coeur et les hommes aussi. Ce soir (Dimanche), c'est bien sûr émouvant car on n'a pas passé que quinze jours ensemble mais un mois. On savait que si on donnait la décision au bout de quinze jours se serait plus facile. Mais voilà, les circonstances ont changé la donne. A partir de là, le groupe a réagi comme d'habitude. Il y a beaucoup de proximité. On a voulu affronter la difficulté. Et dire au revoir avec tout le monde car ce sont peut-être des moments qui soudent, qui vont induire le respect. Voir des gens déçus, ça fait toujours quelque chose.
Pourquoi avoir donné autant de temps de jeu à Michel Morandais dimanche alors que Cédric Ferchaud avait déjà pris une nette avance ? Surtout que Morandais part donc finalement sur un gros match (16 pts à 4 sur 6 à trois points)...
C.B. : Rien n'était tranché avant le match... Et surtout, on a fixé les critères au départ. Dès le début de la préparation. Voilà, on a voulu respecter nos règles. Aller jusqu'au bout de la logique. Mais malheureusement pour Michel Morandais, la sélection ne se fait pas sur un match. Mais sur les six rencontres, on a pris en compte les statistiques cumulées parce que l'on recherche de l'efficacité dans le tir.
La présence de Cédric Ferchaud à l'Euro, peut-il lui permettre de passer un cap sur le plan international ? D'avoir un nouveau statut ?
C.B. : Vous savez, en France, on voit toujours le mauvais côté des choses. Si Cédric évoluait dans un autre pays, il aurait une toute autre valeur. Dans les autres pays, on respecte les joueurs pour ce qu'ils savent faire. Pas pour ce qu'ils ne savent pas faire. On respecte tous les styles de joueur. Cédric a construit une carrière à part car on a la représentation des modèles juvéniles. A 18 ans, on doit savoir si le joueur peut être professionnel. Mais cela ne marche qu'avec les joueurs de l'équipe de France. Cédric s'est construit sur le tard avec toujours la même arme, la même efficacité, la même confiance en lui Il est parti de loin (ça fait quatre ans qu'il joue avec les A') mais ça porte ses fruits.
L'option de partir avec seulement deux meneurs spécifiques et donc d'écarter Yohann Sangaré, a-t-elle été étudiée ?
C.B. : A un moment donné oui. Mais dans ce cas, on devait bouger le puzzle construit au départ. Alors que là, ça commence à prendre forme. Joseph Gomis trouve ses marques aux côtés de Tony Parker. Les habitudes de jeu s'installent. On ne voulait pas changer ça et demander à Joseph de jouer de manière différente en faisant un petit peu de tout. On ne peut pas jouer aux girouettes avec le temps qu'il nous est imparti.
La sélection de Pape Badiane pour l'Euro est-elle liée au fait que Fred Weis a des problèmes au genou.
C.B. : Evidemment. On était indécis. Mais voilà, partir avec quelqu'un qui n'aura peut-être pas la plénitude de ses moyens change la donne. Comme on ne peut pas se permettre de jouer sans un grand gabarit dans ce genre de compétition et qu'on n'est pas certain que Fred Weis soit à 100% à l'Euro, on a donc décidé de garder Pape Badiane, il a des bras, une envergure de 2,10 m et a montré des choses durant cette préparation. L'année passée, on avait un peu trop fait jouer Fred en préparation. Cette année, on voulait lui donner du temps de jeu en-dessous de 20 minutes. Même si lui en réclame plus car c'est vraiment le vieux diesel qui met deux heures à chauffer. Il a besoin de jouer de rester sur le terrain. C'est ce qu'il fait en Espagne. Il joue 34-37 minutes. Il est à la peine mais il est efficace. A l'Euro c'est différent car on joue tous les jours.
Vous avez trois jours de repos. Les séances de travail vont désormais être réduites jusqu'à l'Euro. Quels sont les axes sur lesquels vous voulez appuyer ?
C.B. : En Slovénie, on a la possibilité d'avoir trois entraînements. On ne va pas s'en priver. On n'a pas de temps à perdre. On compte continuer de créer des vrais reflexes offensifs et défensifs. Aujourd'hui, on doit encore ne rien inventer. On verra ensuite si on a besoin du talent des joueurs pour faire la différence. Par exemple, je ne veux pas que l'on fasse que des pick and roll avec Tony Parker. Sinon, on se prive des autres joueurs et on n'a pas la première mi-temps contre la Russie où on a vu une belle cohésion. Or le jeu pratiqué dans les 20 premières minutes contre les Russes peut nourrir une équipe entière pendant 40 minutes.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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boubynight
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J'ai deux amours... le football et le basket, les Verts et la Chorale de Roanne. Vous ne le savez sans doute pas, amis passionnés par le seul ballon rond, mais l'équipe de Roanne est devenue la saison dernière championne de France de basket. Si cette nouvelle avait tout pour me réjouir, à priori, elle marquait aussi l'absolue nullité de la Pro A depuis la mise en place de l'arrêt Bosman. Fuite des meilleurs éléments vers les championnats étrangers et notamment la riche NBA, incapacité chronique des gros clubs du pays à dominer la compétition, lent déclin de sa locomotive, Pau-Orthez, émergence de présumées petites formations... ça ne vous rappelle rien ?
Pau-Lyon, des similitudes
Un président emblématique qui n'hésite pas à tirer la couverture à soi, une pépinière de jeunes talents qui bientôt joueront dans le plus riche championnat du monde, six titres de champion France lors d'une décennie de succès et soudain le trou noir. Je n'évoque pas ici le funeste destin annoncé de l'Olympique Lyonnais de Jean-Michel Aulas mais bien du Pau-Orthez de Pierre Seillant, équipe que je haïssais (bien sûr) au début des années 2000, malgré la présence dans l'effectif de Boris Diaw, Mickael et Florent Pietrus... La fin de la domination béarnaise est née du départ des Internationaux tricolores alors que Pau rêvait d'Euroligue... Suivez mon regard.
A vendre ses meilleurs éléments pour les riches Premiership (Essien, Malouda) et Liga (Diarra, Abidal), contraint et forcé, il faut le reconnaître, l'OL s'est affaibli sur le plan national et continental. Alors, comme Pau en Pro A depuis quatre ans, le club champion de France tente de colmater avec des étrangers, un nouveau technicien et quelques jeunes prometteurs. Depuis trois ans, Pau-Orthez ne règne plus...
La révolte des petits
Du coup, le championnat de basket devient chaque année plus ouvert. L'Asvel ressemble d'ailleurs beaucoup au PSG, annonçant toujours un renouveau mais sans parvenir à trouver la solution à ses errements sportifs... Les équipes se succèdent au palmarès -Le Mans, Strasbourg, Roanne-, alors que le basket français de club recule sur le front européen avec une incapacité à résister aux écuries espagnoles, italiennes ou grecques, et même désormais à faire jeu égal avec les équipes de l'Est de l'Europe...
Là encore, les similitudes affleurent. Dans le quintet de tête de la Ligue 1, on retrouve trois villes qui occupent les premiers rangs de la Pro A, Strasbourg, Le Mans et Nancy... Je vous laisse deviner qui pour moi est le Roanne de cette saison de Ligue 1...
Un affaiblissement général
Seulement voilà, la présence des petits moyens clubs en tête du championnat de France de football indiquent un grave affaiblissement général. Les performances, dans le jeu, de Lens à Berne et de Toulouse face Liverpool ont illustré la semaine dernière l'incroyable faiblesse générale de notre championnat. Il paraît loin le temps où deux clubs français étaient en finale des deux Coupes européennes (2004, avec l'OM et Monaco).
Comme en Pro A, les meilleurs joueurs quittant le navire, le collectif fait souvent la différence, les individualités restantes n'étant pas nettement au-dessus de la concurrence, de nombreux clubs privilégient les pistes exotiques et la jeunesse, faute de mieux et le championnat devient d'une densité infernale, sans aucune certitude. Et si jamais Canal + met ses menaces à exécution avec une diminution des droits télé, le football français pourrait devenir aussi faible que la Pro A, désormais condamnée à l'exploit pour faire passer à son meilleur club la première phase de poule de l'Euroligue.
Pau-Lyon, des similitudes
Un président emblématique qui n'hésite pas à tirer la couverture à soi, une pépinière de jeunes talents qui bientôt joueront dans le plus riche championnat du monde, six titres de champion France lors d'une décennie de succès et soudain le trou noir. Je n'évoque pas ici le funeste destin annoncé de l'Olympique Lyonnais de Jean-Michel Aulas mais bien du Pau-Orthez de Pierre Seillant, équipe que je haïssais (bien sûr) au début des années 2000, malgré la présence dans l'effectif de Boris Diaw, Mickael et Florent Pietrus... La fin de la domination béarnaise est née du départ des Internationaux tricolores alors que Pau rêvait d'Euroligue... Suivez mon regard.
A vendre ses meilleurs éléments pour les riches Premiership (Essien, Malouda) et Liga (Diarra, Abidal), contraint et forcé, il faut le reconnaître, l'OL s'est affaibli sur le plan national et continental. Alors, comme Pau en Pro A depuis quatre ans, le club champion de France tente de colmater avec des étrangers, un nouveau technicien et quelques jeunes prometteurs. Depuis trois ans, Pau-Orthez ne règne plus...
La révolte des petits
Du coup, le championnat de basket devient chaque année plus ouvert. L'Asvel ressemble d'ailleurs beaucoup au PSG, annonçant toujours un renouveau mais sans parvenir à trouver la solution à ses errements sportifs... Les équipes se succèdent au palmarès -Le Mans, Strasbourg, Roanne-, alors que le basket français de club recule sur le front européen avec une incapacité à résister aux écuries espagnoles, italiennes ou grecques, et même désormais à faire jeu égal avec les équipes de l'Est de l'Europe...
Là encore, les similitudes affleurent. Dans le quintet de tête de la Ligue 1, on retrouve trois villes qui occupent les premiers rangs de la Pro A, Strasbourg, Le Mans et Nancy... Je vous laisse deviner qui pour moi est le Roanne de cette saison de Ligue 1...
Un affaiblissement général
Seulement voilà, la présence des petits moyens clubs en tête du championnat de France de football indiquent un grave affaiblissement général. Les performances, dans le jeu, de Lens à Berne et de Toulouse face Liverpool ont illustré la semaine dernière l'incroyable faiblesse générale de notre championnat. Il paraît loin le temps où deux clubs français étaient en finale des deux Coupes européennes (2004, avec l'OM et Monaco).
Comme en Pro A, les meilleurs joueurs quittant le navire, le collectif fait souvent la différence, les individualités restantes n'étant pas nettement au-dessus de la concurrence, de nombreux clubs privilégient les pistes exotiques et la jeunesse, faute de mieux et le championnat devient d'une densité infernale, sans aucune certitude. Et si jamais Canal + met ses menaces à exécution avec une diminution des droits télé, le football français pourrait devenir aussi faible que la Pro A, désormais condamnée à l'exploit pour faire passer à son meilleur club la première phase de poule de l'Euroligue.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
En effet. Même le grand Michael Jordan a été critiqué pour son gros penchant pour le jeu. Et Dieu sait si il gagnait bien sa vie ...o_vert_seas1 wrote:Non, vraiment, l'addiction au "jeu" n'a rien de proportionnel avec les ressources des individus.
Sympa le dernier article boubynight ... mais, c'est quoi la source ? :oops:
C'est pas du basket mais du foot américain, une histoire assez hallucinante ...
Falcons: Vick va plaider coupable
Michael Vick va sans doute devoir regarder le prochain Superbowl... de sa cellule de prison ! Le joueur des Atlanta Falcons a en effet confié qu'il plaiderait coupable dans l'affaire des combats de chiens illégaux qu'il aurait régulièrement organisés depuis 2001. L'ancien joueur des Virginia Tech Hokies risque une peine allant de 12 à 18 mois de prison, mais pourrait très vite refouler les pelouses américaines une fois sa peine purgée. Considéré comme l'un des joueurs les plus prometteurs de sa génération et véritable star de la NFL, Vick devrait en effet avoir l'embarras du choix à sa sortie, Quinze formations professionnelles étant d'ores et déjà sur les rangs pour accueillir un quarterback de sa trempe.
www.sports.fr
Quelqu'un en connait un peu plus sur le sujet ?
Falcons: Vick va plaider coupable
Michael Vick va sans doute devoir regarder le prochain Superbowl... de sa cellule de prison ! Le joueur des Atlanta Falcons a en effet confié qu'il plaiderait coupable dans l'affaire des combats de chiens illégaux qu'il aurait régulièrement organisés depuis 2001. L'ancien joueur des Virginia Tech Hokies risque une peine allant de 12 à 18 mois de prison, mais pourrait très vite refouler les pelouses américaines une fois sa peine purgée. Considéré comme l'un des joueurs les plus prometteurs de sa génération et véritable star de la NFL, Vick devrait en effet avoir l'embarras du choix à sa sortie, Quinze formations professionnelles étant d'ores et déjà sur les rangs pour accueillir un quarterback de sa trempe.
www.sports.fr
Quelqu'un en connait un peu plus sur le sujet ?
bastien sur basketinforum.com wrote:Le lobby américain de la protection des animaux (PETA) est très puissant aux states et risque de lui faire payer cher cette sinistre histoire: la superstar est soupçonnée d'avoir éxécuté plusieurs chiens par pendaison et par noyade...
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boubynight
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juste qu'il voulait plaidé non coupable mais qu'avec les preuves qu'on avait contre lui il aurait pris de 4 à 6 ans de prison s'il mentait, son avocat lui a donc dit de plaidé coupable pour diminué la peine !vinsanity wrote:C'est pas du basket mais du foot américain, une histoire assez hallucinante ...
Falcons: Vick va plaider coupable
Michael Vick va sans doute devoir regarder le prochain Superbowl... de sa cellule de prison ! Le joueur des Atlanta Falcons a en effet confié qu'il plaiderait coupable dans l'affaire des combats de chiens illégaux qu'il aurait régulièrement organisés depuis 2001. L'ancien joueur des Virginia Tech Hokies risque une peine allant de 12 à 18 mois de prison, mais pourrait très vite refouler les pelouses américaines une fois sa peine purgée. Considéré comme l'un des joueurs les plus prometteurs de sa génération et véritable star de la NFL, Vick devrait en effet avoir l'embarras du choix à sa sortie, Quinze formations professionnelles étant d'ores et déjà sur les rangs pour accueillir un quarterback de sa trempe.
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Quelqu'un en connait un peu plus sur le sujet ?
bastien sur basketinforum.com wrote:Le lobby américain de la protection des animaux (PETA) est très puissant aux states et risque de lui faire payer cher cette sinistre histoire: la superstar est soupçonnée d'avoir éxécuté plusieurs chiens par pendaison et par noyade...
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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boubynight wrote:Ligue 1, Pro A, même combat ?
J'ai deux amours... le football et le basket, les Verts et la Chorale de Roanne. Vous ne le savez sans doute pas, amis passionnés par le seul ballon rond, mais l'équipe de Roanne est devenue la saison dernière championne de France de basket. Si cette nouvelle avait tout pour me réjouir, à priori, elle marquait aussi l'absolue nullité de la Pro A depuis la mise en place de l'arrêt Bosman. Fuite des meilleurs éléments vers les championnats étrangers et notamment la riche NBA, incapacité chronique des gros clubs du pays à dominer la compétition, lent déclin de sa locomotive, Pau-Orthez, émergence de présumées petites formations... ça ne vous rappelle rien ?
Pau-Lyon, des similitudes
Un président emblématique qui n'hésite pas à tirer la couverture à soi, une pépinière de jeunes talents qui bientôt joueront dans le plus riche championnat du monde, six titres de champion France lors d'une décennie de succès et soudain le trou noir. Je n'évoque pas ici le funeste destin annoncé de l'Olympique Lyonnais de Jean-Michel Aulas mais bien du Pau-Orthez de Pierre Seillant, équipe que je haïssais (bien sûr) au début des années 2000, malgré la présence dans l'effectif de Boris Diaw, Mickael et Florent Pietrus... La fin de la domination béarnaise est née du départ des Internationaux tricolores alors que Pau rêvait d'Euroligue... Suivez mon regard.
A vendre ses meilleurs éléments pour les riches Premiership (Essien, Malouda) et Liga (Diarra, Abidal), contraint et forcé, il faut le reconnaître, l'OL s'est affaibli sur le plan national et continental. Alors, comme Pau en Pro A depuis quatre ans, le club champion de France tente de colmater avec des étrangers, un nouveau technicien et quelques jeunes prometteurs. Depuis trois ans, Pau-Orthez ne règne plus...
La révolte des petits
Du coup, le championnat de basket devient chaque année plus ouvert. L'Asvel ressemble d'ailleurs beaucoup au PSG, annonçant toujours un renouveau mais sans parvenir à trouver la solution à ses errements sportifs... Les équipes se succèdent au palmarès -Le Mans, Strasbourg, Roanne-, alors que le basket français de club recule sur le front européen avec une incapacité à résister aux écuries espagnoles, italiennes ou grecques, et même désormais à faire jeu égal avec les équipes de l'Est de l'Europe...
Là encore, les similitudes affleurent. Dans le quintet de tête de la Ligue 1, on retrouve trois villes qui occupent les premiers rangs de la Pro A, Strasbourg, Le Mans et Nancy... Je vous laisse deviner qui pour moi est le Roanne de cette saison de Ligue 1...
Un affaiblissement général
Seulement voilà, la présence des petits moyens clubs en tête du championnat de France de football indiquent un grave affaiblissement général. Les performances, dans le jeu, de Lens à Berne et de Toulouse face Liverpool ont illustré la semaine dernière l'incroyable faiblesse générale de notre championnat. Il paraît loin le temps où deux clubs français étaient en finale des deux Coupes européennes (2004, avec l'OM et Monaco).
Comme en Pro A, les meilleurs joueurs quittant le navire, le collectif fait souvent la différence, les individualités restantes n'étant pas nettement au-dessus de la concurrence, de nombreux clubs privilégient les pistes exotiques et la jeunesse, faute de mieux et le championnat devient d'une densité infernale, sans aucune certitude. Et si jamais Canal + met ses menaces à exécution avec une diminution des droits télé, le football français pourrait devenir aussi faible que la Pro A, désormais condamnée à l'exploit pour faire passer à son meilleur club la première phase de poule de l'Euroligue.
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Ok, merci. Enfin le gars a quand même l'air bien taré ... j'ai du mal à croire que 15 franchises seraient prêtes à le reprendre ? :shock:boubynight wrote:juste qu'il voulait plaidé non coupable mais qu'avec les preuves qu'on avait contre lui il aurait pris de 4 à 6 ans de prison s'il mentait, son avocat lui a donc dit de plaidé coupable pour diminué la peine !
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boubynight
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c'est l'un des 3 meilleurs quaterback de totue la NFL, donc normal, mais après plus d'un an de prison, pas dit qu'il reviendra au même niveau !vinsanity wrote:Ok, merci. Enfin le gars a quand même l'air bien taré ... j'ai du mal à croire que 15 franchises seraient prêtes à le reprendre ? :shock:boubynight wrote:juste qu'il voulait plaidé non coupable mais qu'avec les preuves qu'on avait contre lui il aurait pris de 4 à 6 ans de prison s'il mentait, son avocat lui a donc dit de plaidé coupable pour diminué la peine !
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Je suis assez motivé pour faire une petite présentation poste par poste, joueur par joueur de l'EDF de basket avec éventuellement quelques petits points tactique sur les différentes possibilité de rotation ... à condition que ça intéresse quelques personnes ^^ alors dites moi 
Après je peux aussi voir ce que je peux faire sur les adversaires de la France à l'euro ... si vous préférez :lol:
Après je peux aussi voir ce que je peux faire sur les adversaires de la France à l'euro ... si vous préférez :lol:
Trés interessévinsanity wrote:Je suis assez motivé pour faire une petite présentation poste par poste, joueur par joueur de l'EDF de basket avec éventuellement quelques petits points tactique sur les différentes possibilité de rotation ... à condition que ça intéresse quelques personnes ^^ alors dites moi
Je n'interviens que peu sur votre post, mais je suis un fidèle lecteur.
+1LE SPHINX wrote:Trés interessévinsanity wrote:Je suis assez motivé pour faire une petite présentation poste par poste, joueur par joueur de l'EDF de basket avec éventuellement quelques petits points tactique sur les différentes possibilité de rotation ... à condition que ça intéresse quelques personnes ^^ alors dites moi
Je n'interviens que peu sur votre post, mais je suis un fidèle lecteur.
2005 -->2020
La séléction américaine pour le tournoi des Amériques (qui offre 2 places aux JO) est tombée, et c'est du lourd (même si ça veut pas dire que ça gagnera ...) :
Meneurs :
Chauncey Billups (Detroit Pistons) Jason Kidd (New Jersey Nets) Deron Williams (Utah Jazz)
Arrières-ailiers
Kobe Bryant (Los Angeles Lakers) Michael Redd (Milwaukee Bucks) LeBron James (Cleveland Cavaliers) Mike Miller (Memphis Grizzlies) Tayshaun Prince (Detroit Pistons)
Intérieurs
Carmelo Anthony (Denver Nuggets) Tyson Chandler (New Orleans Hornets) Dwight Howard (Orlando Magic) Amaré Stoudemire (Phoenix Suns)
En gras les titulaires à tous les matchs annoncé par coach K. Pour les autres ce sera selon l'adversaire. Par ailleurs, aussi bizarre que celà puisse paraître, Mike K a décid de faire évoluer Melo comme titulaire au poste 4 :shock: afin de pouvoir aligner le trident Kobe-Melo-LeBron ... j'aurais plutôt vu LeBron comme poste 4 :dontknow:
1er match face au Vénézuela demain
Meneurs :
Chauncey Billups (Detroit Pistons) Jason Kidd (New Jersey Nets) Deron Williams (Utah Jazz)
Arrières-ailiers
Kobe Bryant (Los Angeles Lakers) Michael Redd (Milwaukee Bucks) LeBron James (Cleveland Cavaliers) Mike Miller (Memphis Grizzlies) Tayshaun Prince (Detroit Pistons)
Intérieurs
Carmelo Anthony (Denver Nuggets) Tyson Chandler (New Orleans Hornets) Dwight Howard (Orlando Magic) Amaré Stoudemire (Phoenix Suns)
En gras les titulaires à tous les matchs annoncé par coach K. Pour les autres ce sera selon l'adversaire. Par ailleurs, aussi bizarre que celà puisse paraître, Mike K a décid de faire évoluer Melo comme titulaire au poste 4 :shock: afin de pouvoir aligner le trident Kobe-Melo-LeBron ... j'aurais plutôt vu LeBron comme poste 4 :dontknow:
1er match face au Vénézuela demain
Dans l'équipe du jour :
- Un point sur le tournoi des Amériques
- La CAN c'est fini pour Monclar
- On va bientôt savoir pour Fred Weis
...
Je remets ma proposition :
Wolves: Eddie Griffin périt dans un accident
Eddie Griffin, ancien joueur des Minnesota Timberwolves, est décédé à la suite d'un accident de voiture, en fin de semaine dernière. Mardi, l'hôpital du Harris County a révélé que les empreintes dentaires relevées sur le corps de l'ailier de vingt-cinq ans, qui avait percuté un train avec son véhicule de sport, avait permis de l'identifier. Griffin avait commencé sa carrière en NBA chez les Houston Rockets, en 2001.
www.sports.fr
- Un point sur le tournoi des Amériques
- La CAN c'est fini pour Monclar
- On va bientôt savoir pour Fred Weis
...
Je remets ma proposition :
Et enfin :sad: :shock: :???:Je suis assez motivé pour faire une petite présentation poste par poste, joueur par joueur de l'EDF de basket avec éventuellement quelques petits points tactique sur les différentes possibilité de rotation ... à condition que ça intéresse quelques personnes ^^ alors dites moi
Après je peux aussi voir ce que je peux faire sur les adversaires de la France à l'euro ... si vous préférez :lol:
Wolves: Eddie Griffin périt dans un accident
Eddie Griffin, ancien joueur des Minnesota Timberwolves, est décédé à la suite d'un accident de voiture, en fin de semaine dernière. Mardi, l'hôpital du Harris County a révélé que les empreintes dentaires relevées sur le corps de l'ailier de vingt-cinq ans, qui avait percuté un train avec son véhicule de sport, avait permis de l'identifier. Griffin avait commencé sa carrière en NBA chez les Houston Rockets, en 2001.
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boubynight
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si je me souviens bien, il avait été viré de minnesota pour dopage en corus de saison ! c'est triste quand même !vinsanity wrote:Dans l'équipe du jour :
- Un point sur le tournoi des Amériques
- La CAN c'est fini pour Monclar
- On va bientôt savoir pour Fred Weis
...
Je remets ma proposition :
Et enfin :sad: :shock: :???:Je suis assez motivé pour faire une petite présentation poste par poste, joueur par joueur de l'EDF de basket avec éventuellement quelques petits points tactique sur les différentes possibilité de rotation ... à condition que ça intéresse quelques personnes ^^ alors dites moi
Après je peux aussi voir ce que je peux faire sur les adversaires de la France à l'euro ... si vous préférez :lol:
Wolves: Eddie Griffin périt dans un accident
Eddie Griffin, ancien joueur des Minnesota Timberwolves, est décédé à la suite d'un accident de voiture, en fin de semaine dernière. Mardi, l'hôpital du Harris County a révélé que les empreintes dentaires relevées sur le corps de l'ailier de vingt-cinq ans, qui avait percuté un train avec son véhicule de sport, avait permis de l'identifier. Griffin avait commencé sa carrière en NBA chez les Houston Rockets, en 2001.
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[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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boubynight
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c'est ce qu'il me semblait !
Basket - NBA Décès d'Eddie Griffin
Le jeune intérieur Eddie Griffin (25 ans) est mort vendredi dernier dans un accident de voiture près de Houston. Le délai entre le décès et son annonce s'explique par la difficulté pour identifier le corps, le véhicule ayant brisé une barrière de chemin de fer avant d'être écrasé par un train. Selon l'agence de presse américaine AP, des doutes demeuraient mardi soir sur le caractère involontaire de cet accident.
Ancien joueur coté de l'université de Seton Hall, drafté en n°7 en 2001 avant de devenir le pivot titulaire des Houston Rockets lors de sa deuxième saison NBA, Griffin avait été licencié par les Minnesota Timberwolves en mars dernier pour non respect du programme anti-drogue de la ligue. Excellent contreur sur le terrain (7,2 pts, 5,8 rbds, 1,7 ctre et 22 minutes de moyenne en 303 matches de saison régulière), il avait été placé à côté de Kevin Garnett dans le vestiaire des Wolves afin d'obtenir un peu d'équilibre mais il avait été rejoint par des problèmes d'alcoolisme et de violence.
Basket - NBA Décès d'Eddie Griffin
Le jeune intérieur Eddie Griffin (25 ans) est mort vendredi dernier dans un accident de voiture près de Houston. Le délai entre le décès et son annonce s'explique par la difficulté pour identifier le corps, le véhicule ayant brisé une barrière de chemin de fer avant d'être écrasé par un train. Selon l'agence de presse américaine AP, des doutes demeuraient mardi soir sur le caractère involontaire de cet accident.
Ancien joueur coté de l'université de Seton Hall, drafté en n°7 en 2001 avant de devenir le pivot titulaire des Houston Rockets lors de sa deuxième saison NBA, Griffin avait été licencié par les Minnesota Timberwolves en mars dernier pour non respect du programme anti-drogue de la ligue. Excellent contreur sur le terrain (7,2 pts, 5,8 rbds, 1,7 ctre et 22 minutes de moyenne en 303 matches de saison régulière), il avait été placé à côté de Kevin Garnett dans le vestiaire des Wolves afin d'obtenir un peu d'équilibre mais il avait été rejoint par des problèmes d'alcoolisme et de violence.
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Pietrus: "J'ai plus confiance"
A 26 ans, Florent Pietrus fait désormais figure de cadre au sein de l'équipe de France. Le vice-capitaine des Bleus en a bien conscience et prend très au sérieux son rôle depuis le début de la préparation à l'Euro. Le nouveau joueur de l'Estudiantes Madrid, pour qui revêtir le maillot tricolore reste un honneur, essaie également de transmettre à ses nouveaux coéquipiers sa hargne défensive, secteur dans lequel les hommes de Claude Bergeaud devront exceller selon l'ex-Palois s'ils veulent briller en Espagne d'ici quelques jours.
Ces dernières années, l'équipe de France, c'est un petit peu votre ballon d'oxygène, non ?
C'est sûr. Chaque été, je reviens encore plus motivé. Par rapport aux saisons passées à Malaga, j'arrive avec une grande soif de basket. J'ai envie de rejouer avec mes coéquipiers et de porter le maillot de l'équipe de France. Tant mieux pour le groupe s'il peut tirer profit de mon envie décuplée. Heureusement qu'il y a l'équipe de France d'ailleurs, je ne vais pas dire que c'était un cauchemar ces trois dernières années à Malaga mais bon. Disons que lors de mes deux premières saisons, je me suis vraiment amusé sur le terrain, ce n'était pas le cas cette année. Mais tout n'a pas été négatif.
Revenons un instant sur l'absence de votre frère dans le groupe. L'avez-vous digérée ?
Oui. C'est vrai que je n'ai pas compris au départ quand je ne voyais pas son nom sur la liste. Mais cela fait partie des choix du coach et il faut les respecter. Mickaël, ça lui a fait mal au début mais ce ne sont pas des décisions qui nous appartiennent.
Aujourd'hui, vous la comprenez cette décision ?
Même pas mais je ne pense plus à ça. On est en pleine préparation pour un Championnat d'Europe. Ce n'est pas le moment de penser à ce qui s'est passé avant. On doit regarder vers l'avant et avancer.
Est-ce que son absence vous pèse ?
C'est sûr que c'est beaucoup plus facile quand Mike est à mes côtés. On se comprend mieux que quiconque. Mais comme je l'ai dit, ce sont des choix de coach, on ne peut pas revenir dessus.
"Quand il faut secouer le groupe, on fait appel à moi"
Pouvez-vous nous en dire un petit peu plus sur votre rôle de vice-capitaine ?
J'accompagne Boris dans sa tâche. On est très complémentaire et tant mieux pour le groupe. Etre vice-capitaine d'une équipe, ce n'est pas rien. C'est beaucoup de responsabilités. Tu sais que tu es plus regardé par tes coéquipiers.
En quoi êtes-vous complémentaire avec Boris ?
Disons que Boris est très calme sur le terrain et moi je ne le suis pas du tout. On est le blanc et le noir sur un terrain. Quand il faut secouer le groupe, on fait appel à moi, à l'inverse, Boris intervient dès qu'il faut calmer le jeu.
Vous êtes souvent désigné comme le chef de défense chez les Bleus. Avec les différents changements de joueurs qu'il y a eu cet été, quel a été votre rôle au début du rassemblement ?
Dès le premier jour de la préparation, on a mis l'accent sur la défense. On sait que l'équipe de France est forte quand tout va bien derrière. On n'a pas les joueurs pour jouer sur demi-terrain en attaque. On doit donc récupérer des ballons en défense pour ensuite courir et faire valoir nos qualités athlétiques. Il faut être dur derrière mais les joueurs le savent en arrivant parce que depuis quelques années les Bleus ont bâti leur réputation sur une grande défense. On peut gagner des matches grâce à l'attaque, mais on gagne les grandes compétitions grâce à la défense.
Contribuez-vous à l'intégration des joueurs moins expérimentés au sein de l'équipe ?
Bien sûr. En tant que vice-capitaine, j'ai l'obligation de mettre à l'aise les nouveaux joueurs pour qu'ils comprennent le système France. Pour cela, il faut beaucoup parler aux jeunes et leur expliquer certaines choses.
Le système France, qu'est-ce que c'est exactement ?
C'est le fait qu'en équipe de France, tout le monde nous regarde et que l'on ne peut donc pas faire n'importe quoi. C'est la France du basket qui nous regarde, ce n'est pas comme quand on évolue en club. Lors d'un Euro, c'est tout le sport français qui regarde l'équipe de France. Le mot équipe de France en lui-même veut dire beaucoup de choses. Il n'y en a qu'une par sport. Tout le monde a les yeux rivés dessus. On a l'obligation de montrer une bonne image quand on porte le maillot bleu sur les épaules.
"Ça me tient à coeur de briller en Espagne"
Sur le plan personnel, votre shoot longue distance semble s'améliorer avec le temps.
Je pense que c'est une question de confiance. Tout le monde peut mettre des tirs à condition de se sentir en réussite. Regardez Michel Morandais, c'est un shooteur, mais quand il n'est pas en confiance, il ne met pas dedans. C'est vrai qu'en équipe de France j'ai plus de confiance qu'en club.
Est-ce un secteur dans lequel vous avez davantage travaillé à l'entraînement ?
Pas plus que d'habitude en tout cas. Le fait d'avoir joué avec Jorge Garbajosa m'a beaucoup aidé aussi. C'est un joueur qui shoote beaucoup extérieur et comme on jouait au même poste à Malaga, ça m'a forcé à davantage tirer de loin et à prendre mes responsabilités dans ce secteur de jeu.
Avez-vous pris conscience de cette arme lors du Mondial japonais, l'an dernier, au cours duquel vous vous êtes découvert des facultés de scoreur ?
Non, ce n'est pas un déclic. Je savais simplement que j'étais capable de shooter de loin à l'entraînement. Je ne voyais donc pas pourquoi je ne pourrais pas le reproduire en match. J'ai juste mis en oeuvre ce que je faisais à l'entraînement.
Disputer l'Euro en Espagne, cela doit représenter quelque chose de particulier pour vous qui y jouez depuis trois ans.
Oui, j'ai envie de bien faire et que l'équipe de France ait une bonne image en Espagne. Ça me tient à coeur de briller là-bas, c'est quand même le pays dans lequel j'évolue (Après trois années passées à Malaga, Florent Pietrus a signé cet été un contrat d'un an, plus une année en option, avec le club de l'Estudiantes Madrid, Ndlr).
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A 26 ans, Florent Pietrus fait désormais figure de cadre au sein de l'équipe de France. Le vice-capitaine des Bleus en a bien conscience et prend très au sérieux son rôle depuis le début de la préparation à l'Euro. Le nouveau joueur de l'Estudiantes Madrid, pour qui revêtir le maillot tricolore reste un honneur, essaie également de transmettre à ses nouveaux coéquipiers sa hargne défensive, secteur dans lequel les hommes de Claude Bergeaud devront exceller selon l'ex-Palois s'ils veulent briller en Espagne d'ici quelques jours.
Ces dernières années, l'équipe de France, c'est un petit peu votre ballon d'oxygène, non ?
C'est sûr. Chaque été, je reviens encore plus motivé. Par rapport aux saisons passées à Malaga, j'arrive avec une grande soif de basket. J'ai envie de rejouer avec mes coéquipiers et de porter le maillot de l'équipe de France. Tant mieux pour le groupe s'il peut tirer profit de mon envie décuplée. Heureusement qu'il y a l'équipe de France d'ailleurs, je ne vais pas dire que c'était un cauchemar ces trois dernières années à Malaga mais bon. Disons que lors de mes deux premières saisons, je me suis vraiment amusé sur le terrain, ce n'était pas le cas cette année. Mais tout n'a pas été négatif.
Revenons un instant sur l'absence de votre frère dans le groupe. L'avez-vous digérée ?
Oui. C'est vrai que je n'ai pas compris au départ quand je ne voyais pas son nom sur la liste. Mais cela fait partie des choix du coach et il faut les respecter. Mickaël, ça lui a fait mal au début mais ce ne sont pas des décisions qui nous appartiennent.
Aujourd'hui, vous la comprenez cette décision ?
Même pas mais je ne pense plus à ça. On est en pleine préparation pour un Championnat d'Europe. Ce n'est pas le moment de penser à ce qui s'est passé avant. On doit regarder vers l'avant et avancer.
Est-ce que son absence vous pèse ?
C'est sûr que c'est beaucoup plus facile quand Mike est à mes côtés. On se comprend mieux que quiconque. Mais comme je l'ai dit, ce sont des choix de coach, on ne peut pas revenir dessus.
"Quand il faut secouer le groupe, on fait appel à moi"
Pouvez-vous nous en dire un petit peu plus sur votre rôle de vice-capitaine ?
J'accompagne Boris dans sa tâche. On est très complémentaire et tant mieux pour le groupe. Etre vice-capitaine d'une équipe, ce n'est pas rien. C'est beaucoup de responsabilités. Tu sais que tu es plus regardé par tes coéquipiers.
En quoi êtes-vous complémentaire avec Boris ?
Disons que Boris est très calme sur le terrain et moi je ne le suis pas du tout. On est le blanc et le noir sur un terrain. Quand il faut secouer le groupe, on fait appel à moi, à l'inverse, Boris intervient dès qu'il faut calmer le jeu.
Vous êtes souvent désigné comme le chef de défense chez les Bleus. Avec les différents changements de joueurs qu'il y a eu cet été, quel a été votre rôle au début du rassemblement ?
Dès le premier jour de la préparation, on a mis l'accent sur la défense. On sait que l'équipe de France est forte quand tout va bien derrière. On n'a pas les joueurs pour jouer sur demi-terrain en attaque. On doit donc récupérer des ballons en défense pour ensuite courir et faire valoir nos qualités athlétiques. Il faut être dur derrière mais les joueurs le savent en arrivant parce que depuis quelques années les Bleus ont bâti leur réputation sur une grande défense. On peut gagner des matches grâce à l'attaque, mais on gagne les grandes compétitions grâce à la défense.
Contribuez-vous à l'intégration des joueurs moins expérimentés au sein de l'équipe ?
Bien sûr. En tant que vice-capitaine, j'ai l'obligation de mettre à l'aise les nouveaux joueurs pour qu'ils comprennent le système France. Pour cela, il faut beaucoup parler aux jeunes et leur expliquer certaines choses.
Le système France, qu'est-ce que c'est exactement ?
C'est le fait qu'en équipe de France, tout le monde nous regarde et que l'on ne peut donc pas faire n'importe quoi. C'est la France du basket qui nous regarde, ce n'est pas comme quand on évolue en club. Lors d'un Euro, c'est tout le sport français qui regarde l'équipe de France. Le mot équipe de France en lui-même veut dire beaucoup de choses. Il n'y en a qu'une par sport. Tout le monde a les yeux rivés dessus. On a l'obligation de montrer une bonne image quand on porte le maillot bleu sur les épaules.
"Ça me tient à coeur de briller en Espagne"
Sur le plan personnel, votre shoot longue distance semble s'améliorer avec le temps.
Je pense que c'est une question de confiance. Tout le monde peut mettre des tirs à condition de se sentir en réussite. Regardez Michel Morandais, c'est un shooteur, mais quand il n'est pas en confiance, il ne met pas dedans. C'est vrai qu'en équipe de France j'ai plus de confiance qu'en club.
Est-ce un secteur dans lequel vous avez davantage travaillé à l'entraînement ?
Pas plus que d'habitude en tout cas. Le fait d'avoir joué avec Jorge Garbajosa m'a beaucoup aidé aussi. C'est un joueur qui shoote beaucoup extérieur et comme on jouait au même poste à Malaga, ça m'a forcé à davantage tirer de loin et à prendre mes responsabilités dans ce secteur de jeu.
Avez-vous pris conscience de cette arme lors du Mondial japonais, l'an dernier, au cours duquel vous vous êtes découvert des facultés de scoreur ?
Non, ce n'est pas un déclic. Je savais simplement que j'étais capable de shooter de loin à l'entraînement. Je ne voyais donc pas pourquoi je ne pourrais pas le reproduire en match. J'ai juste mis en oeuvre ce que je faisais à l'entraînement.
Disputer l'Euro en Espagne, cela doit représenter quelque chose de particulier pour vous qui y jouez depuis trois ans.
Oui, j'ai envie de bien faire et que l'équipe de France ait une bonne image en Espagne. Ça me tient à coeur de briller là-bas, c'est quand même le pays dans lequel j'évolue (Après trois années passées à Malaga, Florent Pietrus a signé cet été un contrat d'un an, plus une année en option, avec le club de l'Estudiantes Madrid, Ndlr).
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+2thomas99 wrote:+1LE SPHINX wrote:Trés interessévinsanity wrote:Je suis assez motivé pour faire une petite présentation poste par poste, joueur par joueur de l'EDF de basket avec éventuellement quelques petits points tactique sur les différentes possibilité de rotation ... à condition que ça intéresse quelques personnes ^^ alors dites moi
Je n'interviens que peu sur votre post, mais je suis un fidèle lecteur.
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? .............vive l'ardeche.................
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boubynight
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Les Etats-Unis ont réussi une entrée remarquée dans la nuit de mercredi à jeudi à Las Vegas, face au Vénézuela, lors de l'ouverture du championnat des Amériques, tournoi qualificatif aux prochains Jeux Olympiques de Pékin. Victorieux de la modeste formation vénézuélienne sur un score sans appel (112-69), «Team USA» n'a pas manqué son entrée dans la compétition.
Les Américains font la différence dès le premier quart-temps. Tout de suite dans le rythme, ils infligent un sévère 21-8 à leurs adversaires étouffés, qui ne peuvent suivre la cadence. Bien décidés à décrocher l'une des deux premières places, synonymes d'accession directe aux prochains Jeux de Pékin, les habituels pensionnaires de la NBA ne laissent aucun répit à leurs opposants. A la pause, il y a déjà vingt points d'écart (54-34), un retard qui ne va cesser de s'accentuer à la reprise. 38-17 puis 20-18, le ton est donné ! La «dream Team» n'est certes pas encore de retour mais sur le papier, malgré tout, elle s'en rapproche de plus en plus.
Pour ses grands débuts en équipe nationale, Kobe Bryant s'est notamment fondu dans le collectif mis en place par Mike Krzyzewski. Avec un total de 14 points et 5 passes en 16 minutes, le joueur des Lakers a aussi beaucoup apporté en défense avec notamment cinq rebonds et trois interceptions. A ses côtés, Lebron James a fait le minimum avec 11 unités au compteur tandis que Jason Kidd, de retour en sélection après sa médaille d'or à Sydney, n'a tenté aucun tir en 15 minutes passées sur le parquet. Il est toutefois à créditer de quatre passes décisives.
Si les trois stars de l'équipe se sont montrées plutôt discrètes, c'est aussi en grande partie parce que d'autres de leurs coéquipiers se sont mis en évidence. Parmi eux, Amare Stoudemire totalise notamment 16 points à 100% de réussite tandis que Carmelo Anthony et Michael Redd finissent tous les deux meilleurs marqueurs du match avec 17 points.
Dans les autres matches de la nuit, Porto Rico, pourtant habituel trouble-fête, s'est laissé surprendre par le Mexique (100-89), tandis que le Brésil, emmené par son triplette Leandro Barbosa (30 pts), Nene Hilario (7 pts) et Tiago Splitter, le futur intérieur des Spurs (12 pts et 9 rbds), est difficilement venu à bout d'un Canada amoindri par l'absence de Steve Nash, son meneur vedette. A noter enfin que les deux équipes classées cinquièmes dans ces deux groupes lors de la première phase seront éliminées. Les huit équipes restantes se retrouvant ensuite dans une poule unique dont les quatres premières disputeront les demi-finales.
Les Américains font la différence dès le premier quart-temps. Tout de suite dans le rythme, ils infligent un sévère 21-8 à leurs adversaires étouffés, qui ne peuvent suivre la cadence. Bien décidés à décrocher l'une des deux premières places, synonymes d'accession directe aux prochains Jeux de Pékin, les habituels pensionnaires de la NBA ne laissent aucun répit à leurs opposants. A la pause, il y a déjà vingt points d'écart (54-34), un retard qui ne va cesser de s'accentuer à la reprise. 38-17 puis 20-18, le ton est donné ! La «dream Team» n'est certes pas encore de retour mais sur le papier, malgré tout, elle s'en rapproche de plus en plus.
Pour ses grands débuts en équipe nationale, Kobe Bryant s'est notamment fondu dans le collectif mis en place par Mike Krzyzewski. Avec un total de 14 points et 5 passes en 16 minutes, le joueur des Lakers a aussi beaucoup apporté en défense avec notamment cinq rebonds et trois interceptions. A ses côtés, Lebron James a fait le minimum avec 11 unités au compteur tandis que Jason Kidd, de retour en sélection après sa médaille d'or à Sydney, n'a tenté aucun tir en 15 minutes passées sur le parquet. Il est toutefois à créditer de quatre passes décisives.
Si les trois stars de l'équipe se sont montrées plutôt discrètes, c'est aussi en grande partie parce que d'autres de leurs coéquipiers se sont mis en évidence. Parmi eux, Amare Stoudemire totalise notamment 16 points à 100% de réussite tandis que Carmelo Anthony et Michael Redd finissent tous les deux meilleurs marqueurs du match avec 17 points.
Dans les autres matches de la nuit, Porto Rico, pourtant habituel trouble-fête, s'est laissé surprendre par le Mexique (100-89), tandis que le Brésil, emmené par son triplette Leandro Barbosa (30 pts), Nene Hilario (7 pts) et Tiago Splitter, le futur intérieur des Spurs (12 pts et 9 rbds), est difficilement venu à bout d'un Canada amoindri par l'absence de Steve Nash, son meneur vedette. A noter enfin que les deux équipes classées cinquièmes dans ces deux groupes lors de la première phase seront éliminées. Les huit équipes restantes se retrouvant ensuite dans une poule unique dont les quatres premières disputeront les demi-finales.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Bon voilà j'ai fait un "petit" article pour vous parler de la séléction française. Au départ je voulais faire un récapitulatif, joueur par joueur, mais j'ai préféré faire un texte hierarchisé pour expliquer, d'une part, les choix du selectionneur, et d'autre part, le rôle de chaque joueur dans l'équipe. En faisant de cette manière ça me permattait de mieux parler des associations de joueurs tout en présentant un peu chacun d'entre eux. Si vous avez des questions, ou des fautes d'orthographe qui vous écorchent les yeux
Des Bleus renouvelés
L’équipe de France de basket va disputer du 3 au 16 septembre l’eurobasket 2007. Pour cette troisième campagne majeure sous les ordres du sélectionneur Claude Bergeaud après l’euro 2005 et le championnat du monde 2006, l’équipe de France et son sélectionneur en tête, ont tenté de remédier aux carences apparues durant les dernières campagnes. Nous allons donc tenter de décrypter ces choix audacieux et de comprendre un peu mieux quelle sera la hiérarchie de l’EDF version 2007 pour cet euro en Espagne.
La première nouveauté fut l’annonce par Claude Bergeaud, avant même de dévoiler la sélection, du cinq majeur de la compétition. Un cinq majeur pour le moins étonnant puisque si les cadres habituels sont là : Tony Parker à la mène, Boris Diaw et Florent Pietrus à l’aile et Frédéric Weis sous les panneaux, le poste d’arrière a révélé une petite surprise avec la titularisation de Joseph Gomis (qui évolue à Valladolid en Espagne).
Un backcourt novateur et dynamique
Petite surprise, car Jo Gomis est loin de sortir d’une grande saison avec son club. Terminant 16ème de l’ACB, Valladolid a raté de peu la relégation, avec un Joseph Gomis pas toujours à son aise. Le petit combo-guard (meneur/arrière) a réalisé une saison mitigée, car si sur le plan offensif il a été efficace (11,9pts), ses 2,4 ballons perdus et ses 45% à 2pts ont fait baisser son évaluation à 8,7. Cependant, Claude Bergeaud avait de bonnes raisons d’en faire son titulaire au poste 2 …
Tout d’abord, avec un duo Parker-Gomis à l’arrière, les carences au niveau de la remontée de balle constatée lors de l’euro 2005 et du championnat du monde 2006, vont devenir un mauvais souvenir. Et Claude Bergeaud ne s’en cache pas, c’est une des principales raisons à la titularisation de Joseph Gomis. D’autre part, son adresse à 3pts (39% en ACB) ainsi que sa grande capacité à scorer de près ou de loin, conjuguée au talent et à la vitesse de Tony Parker, permettent de former un backcourt très dynamique capable de dynamiter n’importe quelle défense.
En recherche d’adresse …
Un choix qui peut donc paraître curieux au premier abord, mais qui peut parfaitement s’expliquer. L’autre problème de l’équipe de France au cours de ses dernières campagnes a bien évidemment été l’adresse de loin, avec des statistiques catastrophiques, notamment lors du mondial japonais en 2006. Pour remédier à cela, Claude Bergeaud a pris des décisions radicales puisqu’il a décidé de ne pas sélectionner Mickael Pietrus, très maladroit en EDF ses deux dernières années, mais qui sortait d’une excellente saison avec les Warriors de Golden State en NBA.
Mais là encore ce choix peut parfaitement s’expliquer. En ayant choisi de former un duo Parker-Gomis à l’arrière, Claude Bergeaud n’avait plus besoin d’un titulaire avec un gros temps de jeu, mais d’un arrière qui soit bon shooter et capable d’être très efficace sur un petit temps de jeu. Un profil qui ne court pas les parquets en France. Son choix s’est donc orienté tardivement certes, vers … Cédric Ferchaud.
L’arrière palois a réalisé une saison pleine d’efficacité. Malgré un petit temps de jeu, l’ex-choletais a réalisé de grosses performances à 3pts avec un pourcentage remarquable (41%). Et c’est ce qui a fait pencher la balance en sa faveur en lieu et place de Michel Morandais. Car l’arrière de Napoli, malgré une plus grande polyvalence et un talent indéniable, n’excelle pas dans ce registre de pur shooter enfilant les paniers à froid. Pourtant, il est le seul joueur français titulaire en euroleague avec un temps de jeu important …
Un déficit de créativité
Enfin, la dernière surprise concoctée par Claude Bergeaud fut la non séléction de Mickael Gelabale. Très régulier au cours des deux dernières campagnes, cette éviction avait de quoi surprendre, car en plus d’être un excellent défenseur, les qualités athlétiques hors normes de Mike apportaient un vrai plus à l’aile française.
Cependant, Bergeaud ayant décidé de faire jouer Boris Diaw le plus souvent à l’aile, son temps de jeu allait se voir réduit, et le sélectionneur avait une autre idée en tête. En effet, il a préféré Tariq Kirksay à Mickael Gelabale afin de combler le déficit de créativité des français. Un domaine ou le récent naturalisé français excelle.
Malgré sa taille, il n’est pas rare de voir Tariq Kirksay annoncer les systèmes et remonter le ballon. Il est par ailleurs un excellent rebondeur et passeur, et malgré son adresse à 3pts très irrégulière, il est un choix logique pour l’équipe de France. Bergeaud compte d’ailleurs sur l’association Kirksay-Diaw ensemble sur le parquet afin de créer des positions de shoot pour les autres joueurs. L’idée d’associer ces deux excellents créateurs est d’ailleurs particulièrement séduisante.
Des choix plus évidents à l’intérieur
On pourrait aussi disserter sur la non sélection de Johan Petro, le pivot des Sonics en NBA, mais son attitude à la limite lors du dernier mondial, ainsi que ses performances médiocres en NBA, l’ont rapidement poussé hors de la course à l’euro. A sa place, Pape Badiane (qui a par ailleurs remplacé Ian Mahinmi) semble un choix logique : un pivot de grande taille, très mobile, et excellent dans le registre rebond/défense. Mais il sera cantonner un un rôle de 3ème pivot.
Au poste de pivot remplaçant, Claude Bergeaud a jeté son dévolu sur Ronny Turiaf. L’intérieur des Lakers, à l’état d’esprit exemplaire, grand ami de Boris Diaw et Tony Parker, les tauliers de la sélection, est capable d’évoluer aux deux postes d’intérieurs. Sa dureté sous les panneaux, ses qualités athlétiques, ainsi que son adresse à mi-distance seront une arme de choix pour les Bleus. Des qualités que l’on a d’ailleurs entrevue au curs des matchs de préparation, Ronny étant le meilleur marqueur intérieur des bleus.
Pour le poste 4, Florent Pietrus est apparu comme une évidence. Il est le seul intérieur français à évoluer au plus haut niveau en Europe et a réalisé un mondial de très bonne tenue au milieu du marasme ambiant. Il sera d’ailleurs le vice-capitaine des bleus aux cotés de Boris Diaw.
Sous les panneaux, ce sera encore une fois Fred Weis qui sera chargé des tâches obscures. Le géant français (2m18) sera le dernier rempart intérieur des bleus. Son expérience et ses qualités de défenseurs seront une nouvelle fois précieuses, même si son jeu peut paraître bien obscur au premier abord puisque Fredzilla n’est ni scoreur, ni spectaculaire.
Quelques surprises à l’extérieur
Dans cette sélection il est un joueur qui incarne la polyvalence : Yakhouba Diawara. Ce « couteau suisse », comme aime à le nommer Claude Bergeaud, est capable d’évoluer aux postes 2/3/4, et même si il semble plutôt dévolu aux postes 2 et 3, sa carrure d’intérieur et sa dureté peuvent en faire un intermittent à l’intérieur. Au cours de la préparation, il a fait apprécier son adresse à 3pts, ses qualités de défenseur, et a souvent été le meilleur marqueur des bleus en l’absence de Parker et Diaw. C’est sans doute l’homme à suivre dans cette sélection.
Pour le poste de meneur remplaçant, le sélectionneur national a choisi la continuité avec Aymeric Jeanneau, auteur d’un superbe mondial en l’absence de TP. Sa saison moyenne, minée par les blessures, a cependant vite été oubliée grâce a de bonnes performances en préparation. Il fera apprécier sa vista et son adresse en progrès.
Enfin, la sélection de Yohan Sangare peut surprendre, mais tout comme Pape Badiane, il est avant tout un 12ème homme qui ne foulera sans doute que très peu les parquets espagnols. Sa polyvalence sur les postes 1 et 2 ainsi que ses qualités de défenseur ont fait la différence. Il est aussi un choix d’avenir et est le logique remplaçant de Yannick Bokolo, auteur d’une saison moyenne.
Des tauliers au sommet
Il est difficile de parler de basket sans parler de Tony Parker, car le meneur des Spurs est bel et bien le symbole du basket en France. Au cours de cette année pour le moins chargée, TP en aura vu de toutes les couleurs : champion NBA, MVP des Finals, mariage, … Reste à conquérir un titre en Bleus, une tâche qui lui tient vraiment à cœur. Et il s’est donné les moyens de réussir dans sa quête …
Grâce à un entraînement spécifique depuis 2 ans, Tony Parker est devenu une menace extérieure tout à fait crédible, LeBron James en témoignera. Cette nouveauté devrait lui permettre d’être beaucoup plus performant que par le passé dans le contexte FIBA où son jeu en pénétration était parfaitement connu et bloqué par les défenses européennes. Son adresse va lui ouvrir beaucoup plus d’opportunités, et il devrait pouvoir profiter de son premier pas supersonique.
Enfin, il est temps de parler du capitaine de la sélection : Boris Diaw. L’ailier multifonction des Suns sera la clé de voûte du collectif français. Sa possible absence qui a longtemps plané sur la sélection française aurait été une catastrophe, car le jeu de l’EDF mis en place par Claude Bergeaud est fondé sur son entente avec Tony Parker. Un axe majeur qui a semblé en pleine forme en préparation, prêt à rentrer dans l’arène espagnol pour venir glaner un ticket pour les JO, et pourquoi pas mieux …
La séléction française (la taille du nom correspond, approximativement bien sûr, au temps de jeu à chaque poste lors de l'euro)
Poste 1 : Parker Jeanneau Gomis Sangare
Poste 2 : Gomis Diawara Ferchaud Sangare
Poste 3 : Diaw Kirksay Diawara
Poste 4 : Pietrus Diaw Turiaf Diawara
Poste 5 : Weis Turiaf Badiane
Des Bleus renouvelés
L’équipe de France de basket va disputer du 3 au 16 septembre l’eurobasket 2007. Pour cette troisième campagne majeure sous les ordres du sélectionneur Claude Bergeaud après l’euro 2005 et le championnat du monde 2006, l’équipe de France et son sélectionneur en tête, ont tenté de remédier aux carences apparues durant les dernières campagnes. Nous allons donc tenter de décrypter ces choix audacieux et de comprendre un peu mieux quelle sera la hiérarchie de l’EDF version 2007 pour cet euro en Espagne.
La première nouveauté fut l’annonce par Claude Bergeaud, avant même de dévoiler la sélection, du cinq majeur de la compétition. Un cinq majeur pour le moins étonnant puisque si les cadres habituels sont là : Tony Parker à la mène, Boris Diaw et Florent Pietrus à l’aile et Frédéric Weis sous les panneaux, le poste d’arrière a révélé une petite surprise avec la titularisation de Joseph Gomis (qui évolue à Valladolid en Espagne).
Un backcourt novateur et dynamique
Petite surprise, car Jo Gomis est loin de sortir d’une grande saison avec son club. Terminant 16ème de l’ACB, Valladolid a raté de peu la relégation, avec un Joseph Gomis pas toujours à son aise. Le petit combo-guard (meneur/arrière) a réalisé une saison mitigée, car si sur le plan offensif il a été efficace (11,9pts), ses 2,4 ballons perdus et ses 45% à 2pts ont fait baisser son évaluation à 8,7. Cependant, Claude Bergeaud avait de bonnes raisons d’en faire son titulaire au poste 2 …
Tout d’abord, avec un duo Parker-Gomis à l’arrière, les carences au niveau de la remontée de balle constatée lors de l’euro 2005 et du championnat du monde 2006, vont devenir un mauvais souvenir. Et Claude Bergeaud ne s’en cache pas, c’est une des principales raisons à la titularisation de Joseph Gomis. D’autre part, son adresse à 3pts (39% en ACB) ainsi que sa grande capacité à scorer de près ou de loin, conjuguée au talent et à la vitesse de Tony Parker, permettent de former un backcourt très dynamique capable de dynamiter n’importe quelle défense.
En recherche d’adresse …
Un choix qui peut donc paraître curieux au premier abord, mais qui peut parfaitement s’expliquer. L’autre problème de l’équipe de France au cours de ses dernières campagnes a bien évidemment été l’adresse de loin, avec des statistiques catastrophiques, notamment lors du mondial japonais en 2006. Pour remédier à cela, Claude Bergeaud a pris des décisions radicales puisqu’il a décidé de ne pas sélectionner Mickael Pietrus, très maladroit en EDF ses deux dernières années, mais qui sortait d’une excellente saison avec les Warriors de Golden State en NBA.
Mais là encore ce choix peut parfaitement s’expliquer. En ayant choisi de former un duo Parker-Gomis à l’arrière, Claude Bergeaud n’avait plus besoin d’un titulaire avec un gros temps de jeu, mais d’un arrière qui soit bon shooter et capable d’être très efficace sur un petit temps de jeu. Un profil qui ne court pas les parquets en France. Son choix s’est donc orienté tardivement certes, vers … Cédric Ferchaud.
L’arrière palois a réalisé une saison pleine d’efficacité. Malgré un petit temps de jeu, l’ex-choletais a réalisé de grosses performances à 3pts avec un pourcentage remarquable (41%). Et c’est ce qui a fait pencher la balance en sa faveur en lieu et place de Michel Morandais. Car l’arrière de Napoli, malgré une plus grande polyvalence et un talent indéniable, n’excelle pas dans ce registre de pur shooter enfilant les paniers à froid. Pourtant, il est le seul joueur français titulaire en euroleague avec un temps de jeu important …
Un déficit de créativité
Enfin, la dernière surprise concoctée par Claude Bergeaud fut la non séléction de Mickael Gelabale. Très régulier au cours des deux dernières campagnes, cette éviction avait de quoi surprendre, car en plus d’être un excellent défenseur, les qualités athlétiques hors normes de Mike apportaient un vrai plus à l’aile française.
Cependant, Bergeaud ayant décidé de faire jouer Boris Diaw le plus souvent à l’aile, son temps de jeu allait se voir réduit, et le sélectionneur avait une autre idée en tête. En effet, il a préféré Tariq Kirksay à Mickael Gelabale afin de combler le déficit de créativité des français. Un domaine ou le récent naturalisé français excelle.
Malgré sa taille, il n’est pas rare de voir Tariq Kirksay annoncer les systèmes et remonter le ballon. Il est par ailleurs un excellent rebondeur et passeur, et malgré son adresse à 3pts très irrégulière, il est un choix logique pour l’équipe de France. Bergeaud compte d’ailleurs sur l’association Kirksay-Diaw ensemble sur le parquet afin de créer des positions de shoot pour les autres joueurs. L’idée d’associer ces deux excellents créateurs est d’ailleurs particulièrement séduisante.
Des choix plus évidents à l’intérieur
On pourrait aussi disserter sur la non sélection de Johan Petro, le pivot des Sonics en NBA, mais son attitude à la limite lors du dernier mondial, ainsi que ses performances médiocres en NBA, l’ont rapidement poussé hors de la course à l’euro. A sa place, Pape Badiane (qui a par ailleurs remplacé Ian Mahinmi) semble un choix logique : un pivot de grande taille, très mobile, et excellent dans le registre rebond/défense. Mais il sera cantonner un un rôle de 3ème pivot.
Au poste de pivot remplaçant, Claude Bergeaud a jeté son dévolu sur Ronny Turiaf. L’intérieur des Lakers, à l’état d’esprit exemplaire, grand ami de Boris Diaw et Tony Parker, les tauliers de la sélection, est capable d’évoluer aux deux postes d’intérieurs. Sa dureté sous les panneaux, ses qualités athlétiques, ainsi que son adresse à mi-distance seront une arme de choix pour les Bleus. Des qualités que l’on a d’ailleurs entrevue au curs des matchs de préparation, Ronny étant le meilleur marqueur intérieur des bleus.
Pour le poste 4, Florent Pietrus est apparu comme une évidence. Il est le seul intérieur français à évoluer au plus haut niveau en Europe et a réalisé un mondial de très bonne tenue au milieu du marasme ambiant. Il sera d’ailleurs le vice-capitaine des bleus aux cotés de Boris Diaw.
Sous les panneaux, ce sera encore une fois Fred Weis qui sera chargé des tâches obscures. Le géant français (2m18) sera le dernier rempart intérieur des bleus. Son expérience et ses qualités de défenseurs seront une nouvelle fois précieuses, même si son jeu peut paraître bien obscur au premier abord puisque Fredzilla n’est ni scoreur, ni spectaculaire.
Quelques surprises à l’extérieur
Dans cette sélection il est un joueur qui incarne la polyvalence : Yakhouba Diawara. Ce « couteau suisse », comme aime à le nommer Claude Bergeaud, est capable d’évoluer aux postes 2/3/4, et même si il semble plutôt dévolu aux postes 2 et 3, sa carrure d’intérieur et sa dureté peuvent en faire un intermittent à l’intérieur. Au cours de la préparation, il a fait apprécier son adresse à 3pts, ses qualités de défenseur, et a souvent été le meilleur marqueur des bleus en l’absence de Parker et Diaw. C’est sans doute l’homme à suivre dans cette sélection.
Pour le poste de meneur remplaçant, le sélectionneur national a choisi la continuité avec Aymeric Jeanneau, auteur d’un superbe mondial en l’absence de TP. Sa saison moyenne, minée par les blessures, a cependant vite été oubliée grâce a de bonnes performances en préparation. Il fera apprécier sa vista et son adresse en progrès.
Enfin, la sélection de Yohan Sangare peut surprendre, mais tout comme Pape Badiane, il est avant tout un 12ème homme qui ne foulera sans doute que très peu les parquets espagnols. Sa polyvalence sur les postes 1 et 2 ainsi que ses qualités de défenseur ont fait la différence. Il est aussi un choix d’avenir et est le logique remplaçant de Yannick Bokolo, auteur d’une saison moyenne.
Des tauliers au sommet
Il est difficile de parler de basket sans parler de Tony Parker, car le meneur des Spurs est bel et bien le symbole du basket en France. Au cours de cette année pour le moins chargée, TP en aura vu de toutes les couleurs : champion NBA, MVP des Finals, mariage, … Reste à conquérir un titre en Bleus, une tâche qui lui tient vraiment à cœur. Et il s’est donné les moyens de réussir dans sa quête …
Grâce à un entraînement spécifique depuis 2 ans, Tony Parker est devenu une menace extérieure tout à fait crédible, LeBron James en témoignera. Cette nouveauté devrait lui permettre d’être beaucoup plus performant que par le passé dans le contexte FIBA où son jeu en pénétration était parfaitement connu et bloqué par les défenses européennes. Son adresse va lui ouvrir beaucoup plus d’opportunités, et il devrait pouvoir profiter de son premier pas supersonique.
Enfin, il est temps de parler du capitaine de la sélection : Boris Diaw. L’ailier multifonction des Suns sera la clé de voûte du collectif français. Sa possible absence qui a longtemps plané sur la sélection française aurait été une catastrophe, car le jeu de l’EDF mis en place par Claude Bergeaud est fondé sur son entente avec Tony Parker. Un axe majeur qui a semblé en pleine forme en préparation, prêt à rentrer dans l’arène espagnol pour venir glaner un ticket pour les JO, et pourquoi pas mieux …
La séléction française (la taille du nom correspond, approximativement bien sûr, au temps de jeu à chaque poste lors de l'euro)
Poste 1 : Parker Jeanneau Gomis Sangare
Poste 2 : Gomis Diawara Ferchaud Sangare
Poste 3 : Diaw Kirksay Diawara
Poste 4 : Pietrus Diaw Turiaf Diawara
Poste 5 : Weis Turiaf Badiane
Last edited by vinsanity on 24 Aug 2007, 21:19, edited 1 time in total.
Je vois que mon texte déchaine les passions :lol:
Afrique: Cameroun-Angola en finale
Equipe surprise du Championnat d'Afrique des Nations qui se dispute en Angola, le Cameroun est parvenu à se hisser en finale de la compétition grâce à sa victoire jeudi sur l'Egypte en demi-finale (58-52). Samedi en finale, les Lions Indomptables tenteront de crééer une nouvelle surprise face au favori et hôte de la compétition, l'Angola, qui s'est débarrassé du Cap Vert dans sa demi-finale (93-60).
Zianveni et Nancy, c'est fini
Désireux de changer d'air, Maxime Zianveni ne portera plus les couleurs de Nancy: le joueur et le club se sont mis d'accord autour une résiliation de contrat, à condition que l'ailier ne signe pas dans un autre club de Pro A. Le club grec de l'Aris Salonique semble tenir la corde pour s'attacher ses services.
NBA: Mahinmi signe aux Spurs
Tony Parker ne sera plus le seul Français des San Antonio Spurs: la franchise texane annonce sur son site Internet la signature du pivot Ian Mahinmi. Agé de 20 ans, ce dernier avait été drafté par les Spurs au premier tour en 28e position en 2005 avant d'être laisssé à la disposition de son premier club professionnel, Le Havre. La saison dernière, il s'était engagé à Pau-Orthez pour une saison moyenne (4,3 points, 3,2 rebounds et 12,7 minutes en 33 rencontres de Pro A.
www.sports.fr
:lol:Afrique: Cameroun-Angola en finale
Equipe surprise du Championnat d'Afrique des Nations qui se dispute en Angola, le Cameroun est parvenu à se hisser en finale de la compétition grâce à sa victoire jeudi sur l'Egypte en demi-finale (58-52). Samedi en finale, les Lions Indomptables tenteront de crééer une nouvelle surprise face au favori et hôte de la compétition, l'Angola, qui s'est débarrassé du Cap Vert dans sa demi-finale (93-60).
Zianveni et Nancy, c'est fini
Désireux de changer d'air, Maxime Zianveni ne portera plus les couleurs de Nancy: le joueur et le club se sont mis d'accord autour une résiliation de contrat, à condition que l'ailier ne signe pas dans un autre club de Pro A. Le club grec de l'Aris Salonique semble tenir la corde pour s'attacher ses services.
NBA: Mahinmi signe aux Spurs
Tony Parker ne sera plus le seul Français des San Antonio Spurs: la franchise texane annonce sur son site Internet la signature du pivot Ian Mahinmi. Agé de 20 ans, ce dernier avait été drafté par les Spurs au premier tour en 28e position en 2005 avant d'être laisssé à la disposition de son premier club professionnel, Le Havre. La saison dernière, il s'était engagé à Pau-Orthez pour une saison moyenne (4,3 points, 3,2 rebounds et 12,7 minutes en 33 rencontres de Pro A.
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boubynight
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A dix jours du début de l'Euro en Espagne, la sélection ibérique va peut-être devoir se passe de son ailier vedette Jorge Garbajosa, l'un des piliers du titre mondial l'an passé. Son club vient en effet de refuser de le libérer, alors qu'il se bat depuis plusieurs mois pour soigner à temps une grave blessure à la cheville (fracture et arrachement ligamentaire).
Après une série d'examens, scanners et radios passés récemment par Garbajosa et analysés par le staff médical du club, Bryan Colangelo, le manageur général des Toronto Raptors, a estimé qu'il était encore insuffisamment remis pour pouvoir disputer l'Euro, et sa fracture pas encore assez consolidée. «Bien que Jorge se sente prêt à jouer, les différents spécialistes du pied et de la cheville que nous avons consultés ont conclu qu'il y avait un risque élevé à le laisser jouer en compétition dès cette période-là» a déclaré Bryan Colangelo.
Cette décision est un gros coup dur pour l'Espagne, et le club canadien en a bien conscience, mais préfère voir à plus long terme: «Nous savons que cette décision est difficile pour Jorge et pour la fédération espagnole, mais nous considérons réèllement que c'est le meilleur moyen pour qu'il puisse continuer une carrière brillante et longue dans le basket.»
+
Basket: le pivot français Ian Mahinmi signe chez les Spurs
Les Spurs de San Antonio ont annoncé jeudi avoir recruté le basketteur français Ian Mahinmi, qui évoluait la saison dernière dans le championnat de France sous les couleurs de l'Elan béarnais Pau-Orthez.
Le pivot avait été retenu par les Spurs lors de la "draft" de la NBA en 2005, mais le club, où évolue Tony Parker, l'avait laissé en France pour qu'il poursuivre sa progression.
Agé de 20 ans, Mahinmi a été formé au Havre. En 2006, il a rejoint pour un an l'Elan béarnais, remportant la Coupe de France.
A dix jours du début de l'Euro en Espagne, la sélection ibérique va peut-être devoir se passe de son ailier vedette Jorge Garbajosa, l'un des piliers du titre mondial l'an passé. Son club vient en effet de refuser de le libérer, alors qu'il se bat depuis plusieurs mois pour soigner à temps une grave blessure à la cheville (fracture et arrachement ligamentaire).
Après une série d'examens, scanners et radios passés récemment par Garbajosa et analysés par le staff médical du club, Bryan Colangelo, le manageur général des Toronto Raptors, a estimé qu'il était encore insuffisamment remis pour pouvoir disputer l'Euro, et sa fracture pas encore assez consolidée. «Bien que Jorge se sente prêt à jouer, les différents spécialistes du pied et de la cheville que nous avons consultés ont conclu qu'il y avait un risque élevé à le laisser jouer en compétition dès cette période-là» a déclaré Bryan Colangelo.
Cette décision est un gros coup dur pour l'Espagne, et le club canadien en a bien conscience, mais préfère voir à plus long terme: «Nous savons que cette décision est difficile pour Jorge et pour la fédération espagnole, mais nous considérons réèllement que c'est le meilleur moyen pour qu'il puisse continuer une carrière brillante et longue dans le basket.»
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Basket: le pivot français Ian Mahinmi signe chez les Spurs
Les Spurs de San Antonio ont annoncé jeudi avoir recruté le basketteur français Ian Mahinmi, qui évoluait la saison dernière dans le championnat de France sous les couleurs de l'Elan béarnais Pau-Orthez.
Le pivot avait été retenu par les Spurs lors de la "draft" de la NBA en 2005, mais le club, où évolue Tony Parker, l'avait laissé en France pour qu'il poursuivre sa progression.
Agé de 20 ans, Mahinmi a été formé au Havre. En 2006, il a rejoint pour un an l'Elan béarnais, remportant la Coupe de France.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]