[Basket] Reprise saison NBA
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Pooh Jeter à Chalon
L’Elan Chalon a recruté le jeune meneur américain Pooh Jeter. Greg Beugnot a bouclé son recrutement avec l’arrivée du jeune meneur américain Pooh Jeter. Agé de 24 ans, le joueur a notamment évolué durant quatre ans à l’université de Portland où il tournait à 18,5 points et 3 passes par match.
Pat Riley continue
Pat Riley a décidé de continuer à coacher le Heat de Miami pour les trois prochaines saisons. Déçu par l’élimination de son équipe au premier tour des play-offs, Pat Riley avait hésité à arrêter sa carrière de coach en mai dernier. Finalement, il a décidé d’aller au terme de son contrat. Il sera donc encore sur le banc de Miami lors des trois prochaines saisons. «J’ai décidé de rester entraîneur encore trois ans et d’aller au terme de mon contrat. C’est pourquoi, j’ai pris le temps de la réflexion avant de rendre ma décision», a-t-il déclaré lundi soir en conférence de presse.
Brevin Knight aux Clippers
Le meneur de jeu Brevin Knight s’est engagé avec les Los Angeles Clippers. Laissé libre par les Charlotte Bobcats, Brevin Knight s’est engagé avec les Los Angeles Clippers. La saison dernière, le meneur de jeu tournait à 9,1 points, 6,6 passes et 2,7 rebonds de moyenne par match.
Pooh Jeter à Chalon
L’Elan Chalon a recruté le jeune meneur américain Pooh Jeter. Greg Beugnot a bouclé son recrutement avec l’arrivée du jeune meneur américain Pooh Jeter. Agé de 24 ans, le joueur a notamment évolué durant quatre ans à l’université de Portland où il tournait à 18,5 points et 3 passes par match.
Pat Riley continue
Pat Riley a décidé de continuer à coacher le Heat de Miami pour les trois prochaines saisons. Déçu par l’élimination de son équipe au premier tour des play-offs, Pat Riley avait hésité à arrêter sa carrière de coach en mai dernier. Finalement, il a décidé d’aller au terme de son contrat. Il sera donc encore sur le banc de Miami lors des trois prochaines saisons. «J’ai décidé de rester entraîneur encore trois ans et d’aller au terme de mon contrat. C’est pourquoi, j’ai pris le temps de la réflexion avant de rendre ma décision», a-t-il déclaré lundi soir en conférence de presse.
Brevin Knight aux Clippers
Le meneur de jeu Brevin Knight s’est engagé avec les Los Angeles Clippers. Laissé libre par les Charlotte Bobcats, Brevin Knight s’est engagé avec les Los Angeles Clippers. La saison dernière, le meneur de jeu tournait à 9,1 points, 6,6 passes et 2,7 rebonds de moyenne par match.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Udoka d’accord avec les Spurs
Passé par Vichy lors de la saison 2004-2005, le Nigérian Ime Udoka jouera sous le maillot des San Antonio Spurs les deux prochaines années. Après des détours en France (dont Vichy) et en Espagne, Ime Udoka a réalisé sa première saison en NBA l’année dernière avec les Trail Blazers de Portland. Tournant à une moyenne de 8,4 points et 3,7 rebonds par match, le Nigérian est réputé pour être un excellent défenseur et pourrait être le successeur de Bruce Bowen aux Spurs.
Udoka d’accord avec les Spurs
Passé par Vichy lors de la saison 2004-2005, le Nigérian Ime Udoka jouera sous le maillot des San Antonio Spurs les deux prochaines années. Après des détours en France (dont Vichy) et en Espagne, Ime Udoka a réalisé sa première saison en NBA l’année dernière avec les Trail Blazers de Portland. Tournant à une moyenne de 8,4 points et 3,7 rebonds par match, le Nigérian est réputé pour être un excellent défenseur et pourrait être le successeur de Bruce Bowen aux Spurs.
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Pro A : Philip Ricci au Mans
A la recherche d’un intérieur pour boucler son recrutement, Le Mans vient de le dénicher en la personne de Philip Ricci (27 ans). Joueur très physique de 2m01, il a été formé à l’université d’Oregon State avant de vadrouiller en NBA, en ligue de développement, en Espagne et la saison dernière en Corée, cumulant à chaque fois de bonnes stats au rebond et au scoring.
Philip RicciAuteur de deux bonnes saisons en ACB avec Ricoh Manresa (14,6 puis 11,9 points de moyenne), ce solide intérieur (115 kgs) remplacera Eric Campbell qui a décidé de poursuivre sa carrière en Israël.
Né à Sacramento, après un passage dans le JuCo de San Joaquin Delta, Ricci a joué 2 saisons pour Oregon State faisant partie des meilleurs rebondeurs du pays. Coupé par les Kings juste avant le début de la saison 2003-2004, il a ensuite joué pour les Huntsville Flight en NBDL avant de démarrer sa carrière européenne en 2004-2005 en ACB.
L’entraîneur manceau, Vincent Collet, pourra donc compter sur un secteur intérieur composé d’Alain Koffi et des recrues Luka Bogdanovic, Sam Clancy et donc Philip Ricci.
http://www.basketinfo.com/article.php3?id_article=3893
une vidéo de notre nouveau "bébé" :
http://www.youtube.com/watch?v=KMby_FeeImA
A la recherche d’un intérieur pour boucler son recrutement, Le Mans vient de le dénicher en la personne de Philip Ricci (27 ans). Joueur très physique de 2m01, il a été formé à l’université d’Oregon State avant de vadrouiller en NBA, en ligue de développement, en Espagne et la saison dernière en Corée, cumulant à chaque fois de bonnes stats au rebond et au scoring.
Philip RicciAuteur de deux bonnes saisons en ACB avec Ricoh Manresa (14,6 puis 11,9 points de moyenne), ce solide intérieur (115 kgs) remplacera Eric Campbell qui a décidé de poursuivre sa carrière en Israël.
Né à Sacramento, après un passage dans le JuCo de San Joaquin Delta, Ricci a joué 2 saisons pour Oregon State faisant partie des meilleurs rebondeurs du pays. Coupé par les Kings juste avant le début de la saison 2003-2004, il a ensuite joué pour les Huntsville Flight en NBDL avant de démarrer sa carrière européenne en 2004-2005 en ACB.
L’entraîneur manceau, Vincent Collet, pourra donc compter sur un secteur intérieur composé d’Alain Koffi et des recrues Luka Bogdanovic, Sam Clancy et donc Philip Ricci.
http://www.basketinfo.com/article.php3?id_article=3893
une vidéo de notre nouveau "bébé" :
http://www.youtube.com/watch?v=KMby_FeeImA
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Quelle boule celui-là :shock: on dirait le Sofoklis Schorsianitis du pauvre :lol:
A propos des matchs truqués :
A propos des matchs truqués :
L'arbitre de la NBA, Tim Donaghy, impliqué dans l'affaire des matches truqués, devrait plaider coupable selon les médias américains.
Selon les quotidiens Philadelphia Daily News et le New York Post, qui citent des sources anonymes, Donaghy devrait se rendre aux autorités et admettre son rôle dans un système de paris portant sur des matches truqués.
"Nous avons été informés ce soir (mardi) qu'il (Donaghy) devrait plaider demain mais aucune autre information ne nous a été donnée", a déclaré le porte-parole de la NBA Mark Broussard au Philadelphia Daily News. Donaghy, 40 ans, qui a démissionné de son poste d'arbitre de la NBA, devrait être présenté mercredi devant le juge fédéral de Brooklyn, Carol Amon, pour répondre des accusations liées aux matches truqués, selon le New York Post. Le 20 juillet, le New York Post a révélé que le FBI avait lancé une enquête concernant Donaghy, qui aurait fait des paris lors des deux dernières saisons sur des matches de NBA, dont certains pour lesquels il officiait. Selon le quotidien, l'enquête a débuté il y a un an lorsque le FBI s'est aperçu que Donaghy, qui arbitre depuis 13 ans (792 rencontres), passait des appels téléphoniques à des parieurs pour récupérer des grosses mises.
(eurosport)
JO: Bosh quitte la sélection américaine
L'ailier des Toronto Raptors, Chris Bosh, a quitté jeudi le camp d'entraînement de la sélection américaine en raison d'une blessure au pied. Les Etats-Unis préparent actuellement le championnat des Amériques, qualificatif pour les Jeux Olympiques de Pékin. Ce forfait est le troisième après ceux de Kirk Hinrich des Chicago Bulls et de Shane Battier des Houston Rockets pour raisons personnelles. Alors que la compétition débute la semaine prochaine, le groupe américain est désormais réduit à quinze éléments.
www.sports.fr
Apparemment le cinq majeur des ricains sera :
Kidd-Bryant-Melo-James-Stoudemire
L'ailier des Toronto Raptors, Chris Bosh, a quitté jeudi le camp d'entraînement de la sélection américaine en raison d'une blessure au pied. Les Etats-Unis préparent actuellement le championnat des Amériques, qualificatif pour les Jeux Olympiques de Pékin. Ce forfait est le troisième après ceux de Kirk Hinrich des Chicago Bulls et de Shane Battier des Houston Rockets pour raisons personnelles. Alors que la compétition débute la semaine prochaine, le groupe américain est désormais réduit à quinze éléments.
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Apparemment le cinq majeur des ricains sera :
Kidd-Bryant-Melo-James-Stoudemire
Basket - Bleus - Incertitudes tricolores
Deux semaines. Voilà le temps qu'il reste à l'équipe de France et Claude Bergeaud son entraîneur pour enfin définir leur organisation et leurs systèmes de jeu, en vue des championnats d'Europe (Espagne du 3 au 16 septembre). Le tournoi de Paris qui débute vendredi constitue l'ultime répétition pour les Tricolores qui affronteront successivement le Portugal (vendredi), la République Tchèque (samedi) et la Russie (dimanche) à Coubertin. Au terme du tournoi de Strasbourg, que les Bleus ont remporté, Claude Bergeaud n'est cependant sûr de rien, tant la préparation est jalonnée de pépins (blessures) et autres couacs qui n'ont jamais permis au coach tricolore de disposer d'un effectif complet.
Au terme du Tournoi de Strasbourg, Claude Bergeaud avait espéré : «A Paris, il faudra gagner car nous serons au complet». Seulement voilà, le feuilleton Boris Diaw et de son contrat d'assurance traîne en longueur, sans que l'on puisse en deviner l'issue. Florent Pietrus (élongation) s'est exercé au shoot et Tarik Kirsay a repris l'entraînement avec l'espoir d'être sur le parquet ce week-end. Autant dire que Claude Bergeaud manque de garanties avant cette répétition générale.
TP monte en puissance
Toutes ces blessures et le «cas» Boris Diaw modifient donc fortement les projets du sélectionneur qui a finalement fait de Sacha Giffa - initialement sparring-partner - un ailier titulaire en l'absence de Diaw et Piétrus. Pape Badiane, censé grappiller quelques minutes ici ou là, alterne lui sur les deux postes à l'intérieur et se retrouve souvent à la conclusion des systèmes, au point de finir meilleur marqueur du dernier match à Strasbourg face à la Slovénie.
«Ce qui va être gênant c'est que certains ont aujourd'hui acquis un statut et un rôle qu'ils n'auront pas au Championnat d'Europe lorsque les absents seront revenus», soupire à cet égard Bergeaud qui, vu les circonstances, n'a pas non plus tranché entre Cédric Ferchaud et Michel Morandais pour le poste de deuxième arrière.
Les interrogations subsistent donc notamment pour ce qui concerne la mise en place du collectif. Certes le retour, à Strasbourg, de Tony Parker permet aux Tricolores de se rassurer et de disposer d'un véritable chef d'orchestre. Le leader de la sélection française se remet parfaitement de son entorse à la cheville gauche et sa dernière prestation face à la Slovénie, à Strasbourg, est source d'espoirs.
(avec AFP)
Le programme du Tournoi de Paris (Coubertin).
Vendredi: (18h00) République tchèque - Russie; (20h30) France - Portugal
Samedi: (18h00) Russie - Portugal; (20h30) France - République tchèque
Dimanche: (15h00) France - Russie; (17h30) Portugal - République tchèque
www.lequipe.fr
Deux semaines. Voilà le temps qu'il reste à l'équipe de France et Claude Bergeaud son entraîneur pour enfin définir leur organisation et leurs systèmes de jeu, en vue des championnats d'Europe (Espagne du 3 au 16 septembre). Le tournoi de Paris qui débute vendredi constitue l'ultime répétition pour les Tricolores qui affronteront successivement le Portugal (vendredi), la République Tchèque (samedi) et la Russie (dimanche) à Coubertin. Au terme du tournoi de Strasbourg, que les Bleus ont remporté, Claude Bergeaud n'est cependant sûr de rien, tant la préparation est jalonnée de pépins (blessures) et autres couacs qui n'ont jamais permis au coach tricolore de disposer d'un effectif complet.
Au terme du Tournoi de Strasbourg, Claude Bergeaud avait espéré : «A Paris, il faudra gagner car nous serons au complet». Seulement voilà, le feuilleton Boris Diaw et de son contrat d'assurance traîne en longueur, sans que l'on puisse en deviner l'issue. Florent Pietrus (élongation) s'est exercé au shoot et Tarik Kirsay a repris l'entraînement avec l'espoir d'être sur le parquet ce week-end. Autant dire que Claude Bergeaud manque de garanties avant cette répétition générale.
TP monte en puissance
Toutes ces blessures et le «cas» Boris Diaw modifient donc fortement les projets du sélectionneur qui a finalement fait de Sacha Giffa - initialement sparring-partner - un ailier titulaire en l'absence de Diaw et Piétrus. Pape Badiane, censé grappiller quelques minutes ici ou là, alterne lui sur les deux postes à l'intérieur et se retrouve souvent à la conclusion des systèmes, au point de finir meilleur marqueur du dernier match à Strasbourg face à la Slovénie.
«Ce qui va être gênant c'est que certains ont aujourd'hui acquis un statut et un rôle qu'ils n'auront pas au Championnat d'Europe lorsque les absents seront revenus», soupire à cet égard Bergeaud qui, vu les circonstances, n'a pas non plus tranché entre Cédric Ferchaud et Michel Morandais pour le poste de deuxième arrière.
Les interrogations subsistent donc notamment pour ce qui concerne la mise en place du collectif. Certes le retour, à Strasbourg, de Tony Parker permet aux Tricolores de se rassurer et de disposer d'un véritable chef d'orchestre. Le leader de la sélection française se remet parfaitement de son entorse à la cheville gauche et sa dernière prestation face à la Slovénie, à Strasbourg, est source d'espoirs.
(avec AFP)
Le programme du Tournoi de Paris (Coubertin).
Vendredi: (18h00) République tchèque - Russie; (20h30) France - Portugal
Samedi: (18h00) Russie - Portugal; (20h30) France - République tchèque
Dimanche: (15h00) France - Russie; (17h30) Portugal - République tchèque
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Warriors: Deux nouvelles équipes sur Pietrus
Dallas et Cleveland sont entrés dans la danse pour faire signer Mickaël Pietrus, d'après le Contra Costa Times. L'arrière des Golden State Warriors, agant libre sous certaines conditions, est très convoité car il pourrait servir de monnaie d'échange dès son transfert effectué. Le Heat de Miami s'est déjà manifesté, selon l'agent du joueur, Bill McCandless, car les Floridiens espèrent accueillir plusieurs éléments expérimentés dans un échange avec Pietrus.
www.sports.fr
Dallas et Cleveland sont entrés dans la danse pour faire signer Mickaël Pietrus, d'après le Contra Costa Times. L'arrière des Golden State Warriors, agant libre sous certaines conditions, est très convoité car il pourrait servir de monnaie d'échange dès son transfert effectué. Le Heat de Miami s'est déjà manifesté, selon l'agent du joueur, Bill McCandless, car les Floridiens espèrent accueillir plusieurs éléments expérimentés dans un échange avec Pietrus.
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Guillermo Diaz aux Clippers
L’arrière Guillermo Diaz s’est engagé avec les Los Angeles Clippers. Après avoir enrôlé récemment Brevin Knight, les Los Angeles Clippers poursuivent leur recrutement avec l’arrivée de l’arrière Porto Ricain Guillermo Diaz, drafté en 52e position en 2006 par la franchise californienne. Les termes du contrat n’ont pas été communiqués. La saison passée, il a joué 15 matches dans un club de République tchèque (CEZ Basketball Nymburk) avant de disputer 5 rencontres sous les couleurs de AEP Olimpiada Patron en Grèce.
L’arrière Guillermo Diaz s’est engagé avec les Los Angeles Clippers. Après avoir enrôlé récemment Brevin Knight, les Los Angeles Clippers poursuivent leur recrutement avec l’arrivée de l’arrière Porto Ricain Guillermo Diaz, drafté en 52e position en 2006 par la franchise californienne. Les termes du contrat n’ont pas été communiqués. La saison passée, il a joué 15 matches dans un club de République tchèque (CEZ Basketball Nymburk) avant de disputer 5 rencontres sous les couleurs de AEP Olimpiada Patron en Grèce.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Match contre le portugal en ce moment même :
http://live.basketfrance.com/match.php?id=8&t=PAR
Mais l'info majeure c'est que Boris Diaw joue !!!
http://live.basketfrance.com/match.php?id=8&t=PAR
Mais l'info majeure c'est que Boris Diaw joue !!!
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merci air canada pour ce live !vinsanity wrote:Match contre le portugal en ce moment même :
http://live.basketfrance.com/match.php?id=8&t=PAR
Mais l'info majeure c'est que Boris Diaw joue !!!
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Feu vert pour Boris Diaw
Obligé de ne pas s’entraîner depuis le début de la préparation à l’Euro, Boris Diaw enfin reçu le feu vert de ses dirigeants pour participer au Tournoi de Paris, dès vendredi. Le soulagement doit être important pour Boris Diaw, qui n’a pu que regarder ses coéquipiers s’entraîner sans lui jusqu’à présent. Le joueur des Suns va enfin pouvoir fouler les parquets avec ses compatriotes, et dès vendredi contre le Portugal au Tournoi de Paris
+
L'équipe de France a battu la Lituanie (74-51) lors de la première journée du tournoi d'Aix-les-Bains, vendredi. Cette compétition s'inscrit dans le cadre de la préparation à l'Euro (24 septembre au 7 octobre en Italie.)
+ TJ Lux prend sa retraite à 30 ans a cause d'une pubalgie....
Obligé de ne pas s’entraîner depuis le début de la préparation à l’Euro, Boris Diaw enfin reçu le feu vert de ses dirigeants pour participer au Tournoi de Paris, dès vendredi. Le soulagement doit être important pour Boris Diaw, qui n’a pu que regarder ses coéquipiers s’entraîner sans lui jusqu’à présent. Le joueur des Suns va enfin pouvoir fouler les parquets avec ses compatriotes, et dès vendredi contre le Portugal au Tournoi de Paris
+
L'équipe de France a battu la Lituanie (74-51) lors de la première journée du tournoi d'Aix-les-Bains, vendredi. Cette compétition s'inscrit dans le cadre de la préparation à l'Euro (24 septembre au 7 octobre en Italie.)
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victoire des français 86-64 !!!!!!!
FRANCE
Pts Tirs 2pts 3pts LF Rbs Pds Ft
T.PARKER 21 6/8 3/4 3/4 6/8 3 5 1
Y.DIAWARA 16 4/8 1/3 3/5 5/8 4 3 1
R.TURIAF 10 3/4 3/4 0/0 4/12 2 1 4
J.GOMIS 9 4/6 4/4 0/2 1/3 0 3 3
T.KIRKSAY 8 3/6 1/3 2/3 0/0 1 0 4
P.BADIANE 7 3/3 3/3 0/0 1/2 1 0 0
S.GIFFA 4 2/4 2/3 0/1 0/0 3 2 3
F.WEIS 4 1/4 1/4 0/0 2/2 6 0 2
B.DIAW RIFFIOD 4 1/1 1/1 0/0 2/2 6 4 1
M.MORANDAIS 3 1/3 0/0 1/3 0/0 2 0 2
Y.SANGARE 0 0/0 0/0 0/0 0/0 0 0 0
A.JEANNEAU 0 0/1 0/1 0/0 0/0 1 3 4
FRANCE
Pts Tirs 2pts 3pts LF Rbs Pds Ft
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R.TURIAF 10 3/4 3/4 0/0 4/12 2 1 4
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T.KIRKSAY 8 3/6 1/3 2/3 0/0 1 0 4
P.BADIANE 7 3/3 3/3 0/0 1/2 1 0 0
S.GIFFA 4 2/4 2/3 0/1 0/0 3 2 3
F.WEIS 4 1/4 1/4 0/0 2/2 6 0 2
B.DIAW RIFFIOD 4 1/1 1/1 0/0 2/2 6 4 1
M.MORANDAIS 3 1/3 0/0 1/3 0/0 2 0 2
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A.JEANNEAU 0 0/1 0/1 0/0 0/0 1 3 4
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Et Diaw est arrivé...
L'équipe de France a entamé le Tournoi de Paris par une victoire sur le Portugal (86-64) vendredi à Coubertin. Sans être transcendants, les Bleus se sont imposés grâce notamment à Boris Diaw, enfin autorisé par les Suns à jouer. Tony Parker fut l'un des grands artisans de la victoire avec 21 points. Si le jeu des Français fut brillant par instant, des réglages doivent encore être effectués avant d'entamer l'Euro, qui se tiendra début septembre en Espagne. Samedi, la France affronte la République tchèque, battue par la Russie (83-80).
L'équipe de France est passée à un niveau supérieur dans sa préparation à l'Euro qui se tiendra en Espagne du 3 au 16 septembre. Après un Tournoi de Strasbourg, qui a apporté quelques satisfactions, mais aussi bon nombre d'inquiétudes, les Bleus ont entamé le Tournoi de Paris avec une confiance décuplée, avant même d'affronter le Portugal pour leur première rencontre. A quelques minutes du coup d'envoi, Claude Bergeaud et ses hommes avaient en effet appris la bonne nouvelle. Boris Diaw, contraint à l'immobilisation par son club des Phoenix Suns depuis plus d'un mois en raison d'un problème d'assurance pour son dos, était enfin autorisé à jouer. Le sélectionneur tricolore ne cachait pas sa satisfaction au micro de Sport +: "Ça s'est fait dans la précipitation, nous avons appris la nouvelle il y a quelques minutes seulement. Nous sommes très heureux de pouvoir compter sur Boris, nous allons désormais pouvoir monter en puissance dans notre préparation".
Conséquence de ce retour, Cedric Ferchaud devait prendre place dans les tribunes de Coubertin, au même titre que Florent Pietrus pas encore remis de son élongation aux ischio jambiers. De son côté, le Choletais, à la lutte avec Michel Morandais pour une place sur la liste, ne semblait pourtant pas tenir rigueur à son coach de cette mise à l'écart : "On aimerait tous jouer tous les matches mais on ne peut pas être déçu si on n'est pas sur le parquet. Je me tiens prêt, c'est ça l'équipe de France". Claude Bergeaud avait sûrement choisi de maintenir Morandais dans le groupe afin de lui redonner confiance après un Tournoi de Strasbourg médiocre (1 sur 17 aux tirs). Pour affronter le Portugal, invité surprise de l'Euro, le coach tricolore avait décidé d'aligner un cinq de départ proche de celui qui avait débuté à Strasbourg, le seul Yakhouba Diawara laissant sa place à Tariq Kirksay à l'aile, accompagné de Parker, Gomis, Giffa et Weis.
Parker fait le show
Dans une salle chauffée à blanc, les Bleus entamaient parfaitement la rencontre avec un premier panier de Kirksay, suivi de près par une action individuelle de Parker qui, pour son retour à Coubertin où la star des Spurs n'avait plus jouée depuis près de six ans, prenait de vitesse la défense portugaise (4-0). Mais les Portugais infligeaient rapidement un 9-0 aux Bleus sur trois tirs primés, leur arme maîtresse (4-9). L'entrée rapide de Boris Diaw, sous les ovations du public, allait dynamiter l'attaque française. Sur un rebond défensif du joueur des Suns, Diawara adressait une passe lumineuse à Turiaf, tout seul sous le cercle, qui concluait l'action d'un dunk rageur pour recoller au score (9-9).
Le pressing très agressif de la défense française gênait considérablement les Portugais, dont l'ensemble des points du premier quart temps n'ont été marqués qu'à trois points. Au buzzer, les Bleus menaient péniblement d'un petit point (13-12). Dès l'entame du deuxième quart temps, Diaw se révélait précieux en défense et par sa capacité de porter rapidement le jeu vers l'avant. Véritable métronome du jeu français, il se mettait une fois de plus en valeur par son altruisme. Yakhouba Diawara n'était également pas en reste dans cette première période. Le joueur de Denver enchaînait deux paniers à trois points, qui portait son total à la pause à12 points en 14 minutes de jeu et un 3/3 à trois points. Les Bleus parvenaient à la mi-temps avec une bonne performance à trois points (5/8), mais de piètres résultats en lancer francs (4/13). Ils étaient tout de même parvenus à confirmer leur avance sur les Portugais (37-31).
Au retour des vestiaires, les Bleus passaient définitivement la vitesse supérieure en infligeant un 7-0 à leurs adversaires (44-31). Les Portugais étaient plus que dominés dans la raquette, mais ne perdaient pas leur adresse au tir, 10/22 à 3 pts à la fin de la rencontre. Malgré sa solidarité, le bloc lusitanien ne tarda pas à se lézarder, au moment où les Français commencèrent le show par leur revenant Boris Diaw. Sur une passe millimétrée de Parker, le joueur des Suns claquait un dunk arrière rageur (58-48). Dans le dernier quart temps, Claude Bergeaud profita de l'avance prise par les siens pour faire rentrer des joueurs en manque de temps de jeu comme Jeanneau, Badiane et Morandais. Les derniers instants furent entièrement à l'avantage des Bleus emmenés par un Tony Parker décidé à faire plaisir au public parisien. Le dernier MVP de la finale NBA, marquait la fin de match de son empreinte en rentrant deux tirs à trois points, dont un dernier de neuf mètres au buzzer. Le public était conquis et les Bleus se rassuraient avec une victoire aisée (86-64).
Avec Boris Diaw, avide de temps de jeu et précieux dans la dernière passe, Tony Parker (21 points), Yakhouba Diawara (16 points) et Ronny Turiaf (10 points) décisifs en attaque, la France peut viser haut à l'Euro, d'autant qu'elle enregistrera bientôt le retour de Florent Pietrus. Mais, cet ensemble d'individualités hors-normes doit continuer dans cette voie pour donner naissance à un collectif soudé et cohérent.
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L'équipe de France a entamé le Tournoi de Paris par une victoire sur le Portugal (86-64) vendredi à Coubertin. Sans être transcendants, les Bleus se sont imposés grâce notamment à Boris Diaw, enfin autorisé par les Suns à jouer. Tony Parker fut l'un des grands artisans de la victoire avec 21 points. Si le jeu des Français fut brillant par instant, des réglages doivent encore être effectués avant d'entamer l'Euro, qui se tiendra début septembre en Espagne. Samedi, la France affronte la République tchèque, battue par la Russie (83-80).
L'équipe de France est passée à un niveau supérieur dans sa préparation à l'Euro qui se tiendra en Espagne du 3 au 16 septembre. Après un Tournoi de Strasbourg, qui a apporté quelques satisfactions, mais aussi bon nombre d'inquiétudes, les Bleus ont entamé le Tournoi de Paris avec une confiance décuplée, avant même d'affronter le Portugal pour leur première rencontre. A quelques minutes du coup d'envoi, Claude Bergeaud et ses hommes avaient en effet appris la bonne nouvelle. Boris Diaw, contraint à l'immobilisation par son club des Phoenix Suns depuis plus d'un mois en raison d'un problème d'assurance pour son dos, était enfin autorisé à jouer. Le sélectionneur tricolore ne cachait pas sa satisfaction au micro de Sport +: "Ça s'est fait dans la précipitation, nous avons appris la nouvelle il y a quelques minutes seulement. Nous sommes très heureux de pouvoir compter sur Boris, nous allons désormais pouvoir monter en puissance dans notre préparation".
Conséquence de ce retour, Cedric Ferchaud devait prendre place dans les tribunes de Coubertin, au même titre que Florent Pietrus pas encore remis de son élongation aux ischio jambiers. De son côté, le Choletais, à la lutte avec Michel Morandais pour une place sur la liste, ne semblait pourtant pas tenir rigueur à son coach de cette mise à l'écart : "On aimerait tous jouer tous les matches mais on ne peut pas être déçu si on n'est pas sur le parquet. Je me tiens prêt, c'est ça l'équipe de France". Claude Bergeaud avait sûrement choisi de maintenir Morandais dans le groupe afin de lui redonner confiance après un Tournoi de Strasbourg médiocre (1 sur 17 aux tirs). Pour affronter le Portugal, invité surprise de l'Euro, le coach tricolore avait décidé d'aligner un cinq de départ proche de celui qui avait débuté à Strasbourg, le seul Yakhouba Diawara laissant sa place à Tariq Kirksay à l'aile, accompagné de Parker, Gomis, Giffa et Weis.
Parker fait le show
Dans une salle chauffée à blanc, les Bleus entamaient parfaitement la rencontre avec un premier panier de Kirksay, suivi de près par une action individuelle de Parker qui, pour son retour à Coubertin où la star des Spurs n'avait plus jouée depuis près de six ans, prenait de vitesse la défense portugaise (4-0). Mais les Portugais infligeaient rapidement un 9-0 aux Bleus sur trois tirs primés, leur arme maîtresse (4-9). L'entrée rapide de Boris Diaw, sous les ovations du public, allait dynamiter l'attaque française. Sur un rebond défensif du joueur des Suns, Diawara adressait une passe lumineuse à Turiaf, tout seul sous le cercle, qui concluait l'action d'un dunk rageur pour recoller au score (9-9).
Le pressing très agressif de la défense française gênait considérablement les Portugais, dont l'ensemble des points du premier quart temps n'ont été marqués qu'à trois points. Au buzzer, les Bleus menaient péniblement d'un petit point (13-12). Dès l'entame du deuxième quart temps, Diaw se révélait précieux en défense et par sa capacité de porter rapidement le jeu vers l'avant. Véritable métronome du jeu français, il se mettait une fois de plus en valeur par son altruisme. Yakhouba Diawara n'était également pas en reste dans cette première période. Le joueur de Denver enchaînait deux paniers à trois points, qui portait son total à la pause à12 points en 14 minutes de jeu et un 3/3 à trois points. Les Bleus parvenaient à la mi-temps avec une bonne performance à trois points (5/8), mais de piètres résultats en lancer francs (4/13). Ils étaient tout de même parvenus à confirmer leur avance sur les Portugais (37-31).
Au retour des vestiaires, les Bleus passaient définitivement la vitesse supérieure en infligeant un 7-0 à leurs adversaires (44-31). Les Portugais étaient plus que dominés dans la raquette, mais ne perdaient pas leur adresse au tir, 10/22 à 3 pts à la fin de la rencontre. Malgré sa solidarité, le bloc lusitanien ne tarda pas à se lézarder, au moment où les Français commencèrent le show par leur revenant Boris Diaw. Sur une passe millimétrée de Parker, le joueur des Suns claquait un dunk arrière rageur (58-48). Dans le dernier quart temps, Claude Bergeaud profita de l'avance prise par les siens pour faire rentrer des joueurs en manque de temps de jeu comme Jeanneau, Badiane et Morandais. Les derniers instants furent entièrement à l'avantage des Bleus emmenés par un Tony Parker décidé à faire plaisir au public parisien. Le dernier MVP de la finale NBA, marquait la fin de match de son empreinte en rentrant deux tirs à trois points, dont un dernier de neuf mètres au buzzer. Le public était conquis et les Bleus se rassuraient avec une victoire aisée (86-64).
Avec Boris Diaw, avide de temps de jeu et précieux dans la dernière passe, Tony Parker (21 points), Yakhouba Diawara (16 points) et Ronny Turiaf (10 points) décisifs en attaque, la France peut viser haut à l'Euro, d'autant qu'elle enregistrera bientôt le retour de Florent Pietrus. Mais, cet ensemble d'individualités hors-normes doit continuer dans cette voie pour donner naissance à un collectif soudé et cohérent.
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Les 12 Bleus connus dimanche
A l’issue de la victoire contre la République tchèque (76-72), Claude Bergeaud a confié qu’il donnerait sa liste pour l’Euro espagnol ce dimanche soir. L’équipe de France de basket n’a plus de temps à perdre à trois semaines de l’Euro. Après avoir repoussé au maximum l’annonce de sa liste définitive de 12 joueurs pour la compétition espagnole, Claude Bergeaud le fera finalement dimanche à l’issue du Tournoi de Paris et de la dernière rencontre contre la Russie. «Nous n'avons pas de temps à perdre car lundi, mardi et mercredi les joueurs sont au repos donc on ne pourra pas travailler. On le fera en Slovénie et en Espagne. C'est pour cette raison qu'on limite les rotations. Nous partirons avec 12 joueurs et mon choix sera fait dimanche soir», expliquait ainsi le sélectionneur sur le site de la FFBB.
A l’issue de la victoire contre la République tchèque (76-72), Claude Bergeaud a confié qu’il donnerait sa liste pour l’Euro espagnol ce dimanche soir. L’équipe de France de basket n’a plus de temps à perdre à trois semaines de l’Euro. Après avoir repoussé au maximum l’annonce de sa liste définitive de 12 joueurs pour la compétition espagnole, Claude Bergeaud le fera finalement dimanche à l’issue du Tournoi de Paris et de la dernière rencontre contre la Russie. «Nous n'avons pas de temps à perdre car lundi, mardi et mercredi les joueurs sont au repos donc on ne pourra pas travailler. On le fera en Slovénie et en Espagne. C'est pour cette raison qu'on limite les rotations. Nous partirons avec 12 joueurs et mon choix sera fait dimanche soir», expliquait ainsi le sélectionneur sur le site de la FFBB.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Les Bleus au complet Claude Bergeaud a donné sa liste des 12 joueurs qu’il a retenus pour disputer l’Euro en Espagne (3-16 septembre). On connait désormais les 12 Français qui seront du voyage en Espagne pour disputer l’Euro en septembre. Comme prévu, deux joueurs ont été écartés. Malgré son bon match face à la Russie, Michel Morandais n’a pas été retenu de même que Sacha Giffa.
La liste des 12 Français :
Joseph Gomis, Tony Parker, Cédric Ferchaud, Florent Pietrus, Boris Diaw, Ronny Turiaf, Pape Badiane, Yakhouba Diawara, Aymeric Jeanneau, Frédéric Weis, Tariq Kirksay, Yohann Sangaré.
La liste des 12 Français :
Joseph Gomis, Tony Parker, Cédric Ferchaud, Florent Pietrus, Boris Diaw, Ronny Turiaf, Pape Badiane, Yakhouba Diawara, Aymeric Jeanneau, Frédéric Weis, Tariq Kirksay, Yohann Sangaré.
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L'embarras du choix !
Claude Bergeaud le regrettait, malgré la victoire contre les Tchèques (76-72). Le jeu rapide des Bleus est réapparu, dimanche à Coubertin. Auteur d'une première période étincelante, l'équipe de France a surclassé la Russie (92-56), pour son dernier match du Tournoi de Paris. A la mène, Tony Parker se chargeait des caviars tandis que Michel Morandais, Cédric Ferchaud ou Florent Pietrus agrémentaient le tout d'un brin de réussite insolente. De quoi semer le trouble dans l'esprit du sélectionneur, qui doit évincer ce soir deux noms de sa liste pour l'Euro.
Personne n'aimerait être dans la peau de Claude Bergeaud. Le sélectionneur de l'équipe de France doit annoncer dans la soirée sa liste de douze joueurs retenus pour disputer le prochain championnat d'Europe, en Espagne. Avant la rencontre face à la Russie, en guise de conclusion au Tournoi de Paris, son choix semblait s'arrêter sur Sacha Giffa et Michel Morandais, tous deux peu en vue durant les matches de préparation. Mais qu'en sera-t-il ce soir, au moment de l'annonce officielle ? Car la démonstration des Bleus face aux Russes, dimanche à Coubertin (92-56), a de quoi faire douter l'entraîneur national. Michel Morandais a sorti un dernier quart-temps de folie, avec un total de 16 points, Cédric Ferchaud (15 points, à 5/8 à trois points) s'est montré très en réussite derrière la ligne et Pape Badiane précieux aux rebonds.
En revanche, Sacha Giffa, mis au repos par Claude Bergeaud, n'était pas sur la feuille de match. De là à y voir un signe, Cédric Ferchaud, lui aussi en ballotage, ne prenait pas le risque: "On saura ça ce soir, tout est possible. Mais maintenant que j'ai goûté à ça, j'ai envie d'aller au bout. On met tous nos égos de côté, on est au service de l'équipe de France." Sur le terrain, Tony Parker et Joseph Gomis assuraient le spectacle dès l'entame. Le meneur des Spurs gratifiait le public de Coubertin, dont les joueurs du XV de France faisaient partie, de quelques mouvements d'école sous le cercle. Quant à l'arrière de Valladolid, il enchaînait les shoots longue distance et permettait aux Bleus de prendre le large après cinq minutes de jeu seulement (19-4). Florent Pietrus osait même placer un alley-hoop sur les 2,06 mètres du joueur des Bulls, Viktor Khryapa.
Inexistants à 3/18 en premier quart-temps, les Russes ne trouvaient pas l'ailier des Jazz Andrey Kirilenko et subissaient les contre-attaques foudroyantes des Français, qui contrôlaient également l'ardeur de J.R. Holden en pénétration (28-9, 10e). "C'est notre meileur premier quart-temps de la préparation", avouait fort justement Yakhouba Diawara, laissé sur le banc par Claude Bergeaud, au micro de Sport+. Les Russes n'arrivaient pas à placer leurs systèmes et arrosaient en désespoir de cause. Nikita Morgunov rentraient quelques lay-ups dos au panier mais en face, Cédric Ferchaud et Tariq Kirksay alignaient les trois points sans sourciller. Les Français affichaient même un incroyable 8/12 derrière la ligne (42-17, 16e).
Pietrus: "Notre vrai visage"
Kirilenko attendait la fin du deuxième quart-temps pour enfin entrer un shoot, après quatre échecs. Mais Tony Parker, toujours aussi rapide sur ses appuis, et Florent Pietrus s'improvisaient maîtres de cérémonie d'un match qui prenait des allures de All-Star Game. Michel Morandais, fraîchement entré sur le parquet, plantait à son tour une première banderille derrière la ligne et jouait sa carte à fond pour convaincre son sélectionneur, rassuré par la prestation de ses joueurs durant cette période de gala (53-21): "On est dopé par une douce euphorie, mais il ne faut pas s'en bercer. Aujourd'hui, on est très adroit mais attention à la surconfiance." Florent Pietrus, lui, appréciait le retour en forme de ses coéquipiers: "On avait à coeur de réagir car, malgré la victoire d'hier (samedi), certaines choses n'avaient pas fonctionné. On voulait vraiment montrer notre vrai visage." Les Russes s'en seraient certainement passés.
Après le repos, ils retrouvaient pourtant de l'allant... l'espace de trois minutes. Andrey Kirilenko alignait quelques tirs à mi-distance, bien aidé par Nikita Morgunov. Seulement Cédric Ferchaud était passé en mode marteau-piqueur et enfonçait ses adversaires à coups de trois points meurtriers. Joseph Gomis l'imitait, certes avec moins de réussite, mais il conservait l'écart de trente points (70-40, 30e). Sacha Giffa, sur le banc, restait obnubilé par la future décision de son coach: "Moi, je suis venu en tant que sparring-partner mais j'espère bien passer mes vacances avec l'équipe de France plutôt qu'avec ma famille ! Maintenant, c'est bien, la Russie prend l'eau."
Morandais se libère enfin...
Le festival des arrières tricolores se poursuivait dans la dernière période. Michel Morandais inscrivait, pour la première fois depuis le début de la préparation, un deuxième puis un troisième shoot à trois points avant de claquer un dunk surpuissant en contre-attaque (82-44, 34e). Déboussollés, les Russes perdaient un nombre incalcuable de ballons en attaque, donnant la possibilité au Napolitain de complètement se libérer en fin de match. L'épée de Damoclès qui menaçait au-dessus de sa tête avait disparu et il plantait un nouveau smash pour terminer la rencontre meilleur marqueur, avec 16 unités. Cédric Ferchaud retenait la performance collective: "Le cinq majeur nous a mis dans le rythme. Nous, on avait la pression quand on est rentré parce qu'avec vingt points d'avance, on ne voulait pas être responsable en cas de remontée des Russes. Mais on a su garder le cap."
Boris Diaw, joueur le plus complet du match avec 10 points, 7 rebonds et 5 passes, voyait plus loin: "On a réussi à prendre la Russe à la gorge, mais ce qui est bien, c'est qu'on s'entraîne à gagner avant l'Euro." Une échéance que deux joueurs manqueront. Pape Badiane semble avoir gagné ses galons car sa taille pourrait être un atout dans la raquette. Cédric Ferchaud a été plus constant que Michel Morandais sur l'ensemble des matches de préparation et devrait obtenir son billet pour l'Espagne. Le shooteur de Naples, réveillé sur le tard, ferait donc ses valises. L'autre siège éjectable se jouera vraisemblablement entre le meneur Yohan Sangaré, pas indispensable avec Tony Parker, Aymeric Jeanneau et Joseph Gomis à la mène, et Sacha Giffa, qui n'a pas foulé le parquet cet après-midi.
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Le choix de Bergeaud
"Il y a toujours une part de subjectivité dans une sélection". C'est par ses mots, prononcés dimanche à Coubertin à l'issue de la victoire des Bleus face à la Russie (92-56), que Claude Bergeaud a débuté la conférence de presse au cours de laquelle il a annoncé la liste des 12 joueurs sélectionnés pour l'Euro espagnol début septembre. Michel Morandais et Sacha Giffa ont été écartés mais sont à la disposition du groupe en cas de blessures. Après un Tournoi de Paris convaincant, Tony Parker et sa bande affrontent la Slovénie vendredi.
Après la joie d'une victoire confortable face à la Russie lors de la "finale" du Tournoi de Paris, le couperet est tombé sur les 14 joueurs de l'équipe de France retenus pour effectuer la préparation à l'Euro espagnol. A l'issue de plus d'un mois de vie commune, Claude Bergeaud a dû prendre ses responsabilités et écarter deux joueurs de son groupe. "Il y a toujours une part de subjectivité dans une sélection. Les critères de sélection étaient connus des joueurs", a-t-il confié lors d'une conférence de presse organisée à Coubertin.
Si ce choix était inéluctable, il a dû évidemment être mal vécu par les deux joueurs concernés : Sacha Giffa et Michel Morandais. La nouvelle a dû être d'autant plus dure à entendre pour ce dernier qu'il avait déjà connu pareille situation lors de l'annonce de la liste pour les Championnats du monde disputés l'an dernier au Japon. Cette fois-ci, c'est l'arrière choletais, Cedric Ferchaud, qui lui a été préféré en raison de meilleures statistiques enregistrées lors des matches de préparation. Le joueur de Naples avait, il est vrai, été crédité d'un piètre 1/17 au Tournoi de Strasbourg. De son côté, Sacha Giffa (1m97) a souffert de la comparaison avec Pape Badiane (2m08), qui en cas de blessure de Fred Weis, handicapé par des douleurs au genou, pourrait être une solution de rechange crédible dans la raquette.
Bergeaud : "Un formidable mois ensemble"
Reconnaissant le caractère forcément arbitraire de son choix, Claude Bergeaud prenait toutefois le temps d'expliquer sa décision. "Sur le poste 2 il s'agissait de rentrer dans un moule défensif et montrer de l'efficacité dans le tir. Michel Morandais a un vrai statut en Europe et avait pris une petit avance au début de la préparation. Mais à partir du moment où nous avons attendu six matches et deux tournois avant de trancher, les statistiques parlent. Cédric Ferchaud et Michel ont été mis dans des conditions similaires et notre choix s'est porté sur Cédric qui s'est montré plus adroit. Concernant le dernier joueur sélectionné, nous avons aujourd'hui un doute sur le statut physique de Fred Weis qui souffre du genou droit. Pape Badiane possède une envergure d'un joueur de 2,10 m et il est impossible d'imaginer disputer un Euro sans un joueur de très grande taille".
Le coach des Bleus ne cachait pas non plus sa sympathie à l'encontre d'un groupe qu'il a forgé et vu évoluer: "C'est émouvant d'annoncer ces décisions aux joueurs car nous venons de passer un formidable mois ensemble. Mais les joueurs respectent les choix qui ont été faits. Nous gratifions Michel et Sacha de toute notre affection même si j'insiste sur le fait que l'on ne peut pas encore leur dire merci car en cas de blessure ils seraient les premiers remplaçants sur les postes 2 et 4".
Initialement programmée au terme du second match de préparation des Bleus face à la Belgique, l'annonce de la sélection avait été différée en raison des absences de plusieurs joueurs, Diaw et Parker notamment. Désormais, après avoir retrouvé son groupe dans son intégralité, Claude Bergeaud a pu faire son choix au sein d'un collectif qui semble monter en puissance. Composée d'individualités brillantes, l'équipe trouve de plus en plus ses marques, comme le prouve la nette domination face à la Russie. Reste à confirmer cette évolution positive lors des deux dernières semaines de préparation.
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Euro-2007/préparation - Bergeaud inquiet pour le genou de Weis
AFP - 19.08.2007, 17h40
PARIS, 19 août 2007 (AFP) - Le sélectionneur de l'équipe de France de basket, Claude Bergeaud, a fait part de son inquiétude quant à l'état de santé de Frédéric Weis, qui se plaint d'une douleur à un genou, dimanche en marge du tournoi de Paris.
"Il a un genou qui lui fait mal. Ca le ronge sans qu'on puisse dire: c'est le ménisque qui est touché, ou c'est un cartilage... on ne sait pas ce c'est. Cet après-midi, il n'a pas beaucoup joué (5 minutes) car la douleur était là et elle n'a pas disparu à l'échauffement.", a indiqué Bergeaud au sujet de son pivot de 2,18 m, poursuivi depuis le début de sa carrière par les blessures.
"On sait qu'il boîte tout le temps, a ajouté Bergeaud. Ca fait quelques années qu'il a ce problème-là. Lui, il fait avec, mais comme il y a la douleur il ne peut pas aller trop loin."
Au point d'envisager un forfait pour l'Euro qui commence dans deux semaines en Espagne? "Je ne sais pas, on va le mettre dans l'équipe bien sûr car on aura jusqu'à 48 heures avant la compétition pour se réadapter si jamais c'était nécessaire", a souligné Bergeaud.
"Si jamais on devait faire sans lui, ce ne serait plus pareil car on sait que c'est im-po-ss-ib-le de jouer un Championnat d'Europe sans joueur de grande taille", a conclu Bergeaud, avant d'ironiser: "voilà, je n'aurais pas dû vous en parler parce que maintenant Bilbao (le club de Weis) va le rappeler", en référence à l'épisode Tony Parker.
AFP.
Claude Bergeaud le regrettait, malgré la victoire contre les Tchèques (76-72). Le jeu rapide des Bleus est réapparu, dimanche à Coubertin. Auteur d'une première période étincelante, l'équipe de France a surclassé la Russie (92-56), pour son dernier match du Tournoi de Paris. A la mène, Tony Parker se chargeait des caviars tandis que Michel Morandais, Cédric Ferchaud ou Florent Pietrus agrémentaient le tout d'un brin de réussite insolente. De quoi semer le trouble dans l'esprit du sélectionneur, qui doit évincer ce soir deux noms de sa liste pour l'Euro.
Personne n'aimerait être dans la peau de Claude Bergeaud. Le sélectionneur de l'équipe de France doit annoncer dans la soirée sa liste de douze joueurs retenus pour disputer le prochain championnat d'Europe, en Espagne. Avant la rencontre face à la Russie, en guise de conclusion au Tournoi de Paris, son choix semblait s'arrêter sur Sacha Giffa et Michel Morandais, tous deux peu en vue durant les matches de préparation. Mais qu'en sera-t-il ce soir, au moment de l'annonce officielle ? Car la démonstration des Bleus face aux Russes, dimanche à Coubertin (92-56), a de quoi faire douter l'entraîneur national. Michel Morandais a sorti un dernier quart-temps de folie, avec un total de 16 points, Cédric Ferchaud (15 points, à 5/8 à trois points) s'est montré très en réussite derrière la ligne et Pape Badiane précieux aux rebonds.
En revanche, Sacha Giffa, mis au repos par Claude Bergeaud, n'était pas sur la feuille de match. De là à y voir un signe, Cédric Ferchaud, lui aussi en ballotage, ne prenait pas le risque: "On saura ça ce soir, tout est possible. Mais maintenant que j'ai goûté à ça, j'ai envie d'aller au bout. On met tous nos égos de côté, on est au service de l'équipe de France." Sur le terrain, Tony Parker et Joseph Gomis assuraient le spectacle dès l'entame. Le meneur des Spurs gratifiait le public de Coubertin, dont les joueurs du XV de France faisaient partie, de quelques mouvements d'école sous le cercle. Quant à l'arrière de Valladolid, il enchaînait les shoots longue distance et permettait aux Bleus de prendre le large après cinq minutes de jeu seulement (19-4). Florent Pietrus osait même placer un alley-hoop sur les 2,06 mètres du joueur des Bulls, Viktor Khryapa.
Inexistants à 3/18 en premier quart-temps, les Russes ne trouvaient pas l'ailier des Jazz Andrey Kirilenko et subissaient les contre-attaques foudroyantes des Français, qui contrôlaient également l'ardeur de J.R. Holden en pénétration (28-9, 10e). "C'est notre meileur premier quart-temps de la préparation", avouait fort justement Yakhouba Diawara, laissé sur le banc par Claude Bergeaud, au micro de Sport+. Les Russes n'arrivaient pas à placer leurs systèmes et arrosaient en désespoir de cause. Nikita Morgunov rentraient quelques lay-ups dos au panier mais en face, Cédric Ferchaud et Tariq Kirksay alignaient les trois points sans sourciller. Les Français affichaient même un incroyable 8/12 derrière la ligne (42-17, 16e).
Pietrus: "Notre vrai visage"
Kirilenko attendait la fin du deuxième quart-temps pour enfin entrer un shoot, après quatre échecs. Mais Tony Parker, toujours aussi rapide sur ses appuis, et Florent Pietrus s'improvisaient maîtres de cérémonie d'un match qui prenait des allures de All-Star Game. Michel Morandais, fraîchement entré sur le parquet, plantait à son tour une première banderille derrière la ligne et jouait sa carte à fond pour convaincre son sélectionneur, rassuré par la prestation de ses joueurs durant cette période de gala (53-21): "On est dopé par une douce euphorie, mais il ne faut pas s'en bercer. Aujourd'hui, on est très adroit mais attention à la surconfiance." Florent Pietrus, lui, appréciait le retour en forme de ses coéquipiers: "On avait à coeur de réagir car, malgré la victoire d'hier (samedi), certaines choses n'avaient pas fonctionné. On voulait vraiment montrer notre vrai visage." Les Russes s'en seraient certainement passés.
Après le repos, ils retrouvaient pourtant de l'allant... l'espace de trois minutes. Andrey Kirilenko alignait quelques tirs à mi-distance, bien aidé par Nikita Morgunov. Seulement Cédric Ferchaud était passé en mode marteau-piqueur et enfonçait ses adversaires à coups de trois points meurtriers. Joseph Gomis l'imitait, certes avec moins de réussite, mais il conservait l'écart de trente points (70-40, 30e). Sacha Giffa, sur le banc, restait obnubilé par la future décision de son coach: "Moi, je suis venu en tant que sparring-partner mais j'espère bien passer mes vacances avec l'équipe de France plutôt qu'avec ma famille ! Maintenant, c'est bien, la Russie prend l'eau."
Morandais se libère enfin...
Le festival des arrières tricolores se poursuivait dans la dernière période. Michel Morandais inscrivait, pour la première fois depuis le début de la préparation, un deuxième puis un troisième shoot à trois points avant de claquer un dunk surpuissant en contre-attaque (82-44, 34e). Déboussollés, les Russes perdaient un nombre incalcuable de ballons en attaque, donnant la possibilité au Napolitain de complètement se libérer en fin de match. L'épée de Damoclès qui menaçait au-dessus de sa tête avait disparu et il plantait un nouveau smash pour terminer la rencontre meilleur marqueur, avec 16 unités. Cédric Ferchaud retenait la performance collective: "Le cinq majeur nous a mis dans le rythme. Nous, on avait la pression quand on est rentré parce qu'avec vingt points d'avance, on ne voulait pas être responsable en cas de remontée des Russes. Mais on a su garder le cap."
Boris Diaw, joueur le plus complet du match avec 10 points, 7 rebonds et 5 passes, voyait plus loin: "On a réussi à prendre la Russe à la gorge, mais ce qui est bien, c'est qu'on s'entraîne à gagner avant l'Euro." Une échéance que deux joueurs manqueront. Pape Badiane semble avoir gagné ses galons car sa taille pourrait être un atout dans la raquette. Cédric Ferchaud a été plus constant que Michel Morandais sur l'ensemble des matches de préparation et devrait obtenir son billet pour l'Espagne. Le shooteur de Naples, réveillé sur le tard, ferait donc ses valises. L'autre siège éjectable se jouera vraisemblablement entre le meneur Yohan Sangaré, pas indispensable avec Tony Parker, Aymeric Jeanneau et Joseph Gomis à la mène, et Sacha Giffa, qui n'a pas foulé le parquet cet après-midi.
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Le choix de Bergeaud
"Il y a toujours une part de subjectivité dans une sélection". C'est par ses mots, prononcés dimanche à Coubertin à l'issue de la victoire des Bleus face à la Russie (92-56), que Claude Bergeaud a débuté la conférence de presse au cours de laquelle il a annoncé la liste des 12 joueurs sélectionnés pour l'Euro espagnol début septembre. Michel Morandais et Sacha Giffa ont été écartés mais sont à la disposition du groupe en cas de blessures. Après un Tournoi de Paris convaincant, Tony Parker et sa bande affrontent la Slovénie vendredi.
Après la joie d'une victoire confortable face à la Russie lors de la "finale" du Tournoi de Paris, le couperet est tombé sur les 14 joueurs de l'équipe de France retenus pour effectuer la préparation à l'Euro espagnol. A l'issue de plus d'un mois de vie commune, Claude Bergeaud a dû prendre ses responsabilités et écarter deux joueurs de son groupe. "Il y a toujours une part de subjectivité dans une sélection. Les critères de sélection étaient connus des joueurs", a-t-il confié lors d'une conférence de presse organisée à Coubertin.
Si ce choix était inéluctable, il a dû évidemment être mal vécu par les deux joueurs concernés : Sacha Giffa et Michel Morandais. La nouvelle a dû être d'autant plus dure à entendre pour ce dernier qu'il avait déjà connu pareille situation lors de l'annonce de la liste pour les Championnats du monde disputés l'an dernier au Japon. Cette fois-ci, c'est l'arrière choletais, Cedric Ferchaud, qui lui a été préféré en raison de meilleures statistiques enregistrées lors des matches de préparation. Le joueur de Naples avait, il est vrai, été crédité d'un piètre 1/17 au Tournoi de Strasbourg. De son côté, Sacha Giffa (1m97) a souffert de la comparaison avec Pape Badiane (2m08), qui en cas de blessure de Fred Weis, handicapé par des douleurs au genou, pourrait être une solution de rechange crédible dans la raquette.
Bergeaud : "Un formidable mois ensemble"
Reconnaissant le caractère forcément arbitraire de son choix, Claude Bergeaud prenait toutefois le temps d'expliquer sa décision. "Sur le poste 2 il s'agissait de rentrer dans un moule défensif et montrer de l'efficacité dans le tir. Michel Morandais a un vrai statut en Europe et avait pris une petit avance au début de la préparation. Mais à partir du moment où nous avons attendu six matches et deux tournois avant de trancher, les statistiques parlent. Cédric Ferchaud et Michel ont été mis dans des conditions similaires et notre choix s'est porté sur Cédric qui s'est montré plus adroit. Concernant le dernier joueur sélectionné, nous avons aujourd'hui un doute sur le statut physique de Fred Weis qui souffre du genou droit. Pape Badiane possède une envergure d'un joueur de 2,10 m et il est impossible d'imaginer disputer un Euro sans un joueur de très grande taille".
Le coach des Bleus ne cachait pas non plus sa sympathie à l'encontre d'un groupe qu'il a forgé et vu évoluer: "C'est émouvant d'annoncer ces décisions aux joueurs car nous venons de passer un formidable mois ensemble. Mais les joueurs respectent les choix qui ont été faits. Nous gratifions Michel et Sacha de toute notre affection même si j'insiste sur le fait que l'on ne peut pas encore leur dire merci car en cas de blessure ils seraient les premiers remplaçants sur les postes 2 et 4".
Initialement programmée au terme du second match de préparation des Bleus face à la Belgique, l'annonce de la sélection avait été différée en raison des absences de plusieurs joueurs, Diaw et Parker notamment. Désormais, après avoir retrouvé son groupe dans son intégralité, Claude Bergeaud a pu faire son choix au sein d'un collectif qui semble monter en puissance. Composée d'individualités brillantes, l'équipe trouve de plus en plus ses marques, comme le prouve la nette domination face à la Russie. Reste à confirmer cette évolution positive lors des deux dernières semaines de préparation.
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Euro-2007/préparation - Bergeaud inquiet pour le genou de Weis
AFP - 19.08.2007, 17h40
PARIS, 19 août 2007 (AFP) - Le sélectionneur de l'équipe de France de basket, Claude Bergeaud, a fait part de son inquiétude quant à l'état de santé de Frédéric Weis, qui se plaint d'une douleur à un genou, dimanche en marge du tournoi de Paris.
"Il a un genou qui lui fait mal. Ca le ronge sans qu'on puisse dire: c'est le ménisque qui est touché, ou c'est un cartilage... on ne sait pas ce c'est. Cet après-midi, il n'a pas beaucoup joué (5 minutes) car la douleur était là et elle n'a pas disparu à l'échauffement.", a indiqué Bergeaud au sujet de son pivot de 2,18 m, poursuivi depuis le début de sa carrière par les blessures.
"On sait qu'il boîte tout le temps, a ajouté Bergeaud. Ca fait quelques années qu'il a ce problème-là. Lui, il fait avec, mais comme il y a la douleur il ne peut pas aller trop loin."
Au point d'envisager un forfait pour l'Euro qui commence dans deux semaines en Espagne? "Je ne sais pas, on va le mettre dans l'équipe bien sûr car on aura jusqu'à 48 heures avant la compétition pour se réadapter si jamais c'était nécessaire", a souligné Bergeaud.
"Si jamais on devait faire sans lui, ce ne serait plus pareil car on sait que c'est im-po-ss-ib-le de jouer un Championnat d'Europe sans joueur de grande taille", a conclu Bergeaud, avant d'ironiser: "voilà, je n'aurais pas dû vous en parler parce que maintenant Bilbao (le club de Weis) va le rappeler", en référence à l'épisode Tony Parker.
AFP.
Arbitrage: Donaghy va donner des noms
Tim Donaghy, ancien arbitre inculpé dans une affaire de paris sur des rencontres NBA, serait sur le point de passer aux aveux. Et selon Sports Illustrated, il envisagerait de donner une liste d'environ vingt autres arbitres qui écumaient les tables de craps des casinos de Las Vegas à ses côtés, ce qui est contraire aux règles d'éthique fixées par la NBA. Si elles étaient avérées exactes, ces accusations mettraient David Stern, le président de la Ligue, en position inconfortable
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Tim Donaghy, ancien arbitre inculpé dans une affaire de paris sur des rencontres NBA, serait sur le point de passer aux aveux. Et selon Sports Illustrated, il envisagerait de donner une liste d'environ vingt autres arbitres qui écumaient les tables de craps des casinos de Las Vegas à ses côtés, ce qui est contraire aux règles d'éthique fixées par la NBA. Si elles étaient avérées exactes, ces accusations mettraient David Stern, le président de la Ligue, en position inconfortable
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Donaghy a sa liste noire
Parmi la constellation de stars qui illuminent les parquets NBA se cachait un homme au sifflet visiblement bien pendu. Tim Donaghy, arbitre de quarante ans inpliqué dans une affaire de paris sur certaines rencontres, serait sur le point de fournir aux procureurs une vingtaine de noms, tous collègues, qui auraient écumé les tables de craps de Las Vegas à ses côtés. Une pratique légale aux Etats-Unis mais contraire à la charte éthique de la Ligue, dont le président David Stern pourrait rapidement traverser une tempête dévastatrice.
Au pays du spectacle à outrance, les instances sont souvent aveugles... jusqu'à un certain point. Car lorsqu'il en va de la crédibilité de sa NBA, l'une des plus prestigieuses ligues du monde, David Stern monte au créneau. Dans son viseur, le président a placé au tableau d'honneur depuis plusieurs jours Tim Donaghy, ancien arbitre de quarante ans et près de huit cents rencontres officiées, inculpé dans une affaire de paris sur des rencontres disputées lors des deux dernières saisons. Mais la cible du grand patron de la NBA est tenace. En fin de semaine dernière, ESPN Radio affirmait dans un reportage que l'homme au sifflet était sur le point de livrer aux procureurs de son procès une liste d'environ vingt de ses pairs ayant fréquenté avec lui les casinos de Las Vegas, en Arizona.
En théorie, vouer une passion invétérée pour le craps et les tables de blackjack n'est pas un délit puni par la loi outre-Atlantique. Mais en pratique, un arbitre NBA n'est pas un individu comme les autres. La charte éthique de la ligue nord-américaine interdit toute tentation de ce genre à ses officiels. Et Donaghy a joué avec le feu en donnant des tuyaux sur certains matches à des amis parieurs et pire, en pariant lui-même alors qu'il arbitrait d'autres rencontres. Un acte impardonnable pour David Stern, qui entend faire un exemple du cas de celui qu'il qualifie d'"ordure". "Nous continuerons avec notre révision consciencieuse en cours du programme des arbitres de la ligue à garantir que les meilleures politiques et procédures possibles sont en place pour protéger l'intégrité de notre jeu", a-t-il assuré.
Un tiers des arbitres concerné
Tim Donaghy, qui a depuis fait son mea culpa, semblerait donc on ne peut plus d'accord avec son ancien boss. A tel point qu'il serait prêt à dévoiler sa liste noire de vingt arbitres. Sur la soixantaine d'officiels estampillés NBA, la proportion est lourde. Du coup, le syndicat des hommes en gris a donné sa version des faits sur cette affaire qui secoue le monde de la balle orange: "Cet incident est isolé. Nous sommes tout à fait intègres, irréprochables, et ouverts à la possibilité de nous asseoir avec la NBA afin de discuter l'adoption de mesures qui permettront d'assurer que l'intégrité du sport sera maintenue, a déclaré Lamell McMorris, le directeur du syndicat, avant d'insister. A ma connaissance, nos gars sont irréprochables. Cette situation se limite à un seul individu."
Ce discours, s'il a vocation à dédouaner les arbitres par rapport à leur illustre collègue, vise également à préserver le corps arbitral d'une éventuelle coupe franche effectuée par David Stern. Au cas où les accusations de Donaghy seraient avérées, elles obligeraient le patron de la NBA à amputer d'un bon tiers les effectifs d'officiels. Dans une ligue qui souhaite respecter l'éthique, un tel acte ferait forcément tâche. Mais pour l'heure et après treize saisons passées dans la Ligue, Tim Donaghy demeure seul contre tous, avec le FBI à ses trousses. Selon le New York Times, il aurait été l'objet, il y a un an déjà, de toute l'attention des services secrets américains, qui auraient depuis ouvert une enquête sur des appels téléphoniques passés entre l'intéressé et d'importants parieurs. A croire que les salaires versés aux arbitres NBA ne suffisent pas.
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Parmi la constellation de stars qui illuminent les parquets NBA se cachait un homme au sifflet visiblement bien pendu. Tim Donaghy, arbitre de quarante ans inpliqué dans une affaire de paris sur certaines rencontres, serait sur le point de fournir aux procureurs une vingtaine de noms, tous collègues, qui auraient écumé les tables de craps de Las Vegas à ses côtés. Une pratique légale aux Etats-Unis mais contraire à la charte éthique de la Ligue, dont le président David Stern pourrait rapidement traverser une tempête dévastatrice.
Au pays du spectacle à outrance, les instances sont souvent aveugles... jusqu'à un certain point. Car lorsqu'il en va de la crédibilité de sa NBA, l'une des plus prestigieuses ligues du monde, David Stern monte au créneau. Dans son viseur, le président a placé au tableau d'honneur depuis plusieurs jours Tim Donaghy, ancien arbitre de quarante ans et près de huit cents rencontres officiées, inculpé dans une affaire de paris sur des rencontres disputées lors des deux dernières saisons. Mais la cible du grand patron de la NBA est tenace. En fin de semaine dernière, ESPN Radio affirmait dans un reportage que l'homme au sifflet était sur le point de livrer aux procureurs de son procès une liste d'environ vingt de ses pairs ayant fréquenté avec lui les casinos de Las Vegas, en Arizona.
En théorie, vouer une passion invétérée pour le craps et les tables de blackjack n'est pas un délit puni par la loi outre-Atlantique. Mais en pratique, un arbitre NBA n'est pas un individu comme les autres. La charte éthique de la ligue nord-américaine interdit toute tentation de ce genre à ses officiels. Et Donaghy a joué avec le feu en donnant des tuyaux sur certains matches à des amis parieurs et pire, en pariant lui-même alors qu'il arbitrait d'autres rencontres. Un acte impardonnable pour David Stern, qui entend faire un exemple du cas de celui qu'il qualifie d'"ordure". "Nous continuerons avec notre révision consciencieuse en cours du programme des arbitres de la ligue à garantir que les meilleures politiques et procédures possibles sont en place pour protéger l'intégrité de notre jeu", a-t-il assuré.
Un tiers des arbitres concerné
Tim Donaghy, qui a depuis fait son mea culpa, semblerait donc on ne peut plus d'accord avec son ancien boss. A tel point qu'il serait prêt à dévoiler sa liste noire de vingt arbitres. Sur la soixantaine d'officiels estampillés NBA, la proportion est lourde. Du coup, le syndicat des hommes en gris a donné sa version des faits sur cette affaire qui secoue le monde de la balle orange: "Cet incident est isolé. Nous sommes tout à fait intègres, irréprochables, et ouverts à la possibilité de nous asseoir avec la NBA afin de discuter l'adoption de mesures qui permettront d'assurer que l'intégrité du sport sera maintenue, a déclaré Lamell McMorris, le directeur du syndicat, avant d'insister. A ma connaissance, nos gars sont irréprochables. Cette situation se limite à un seul individu."
Ce discours, s'il a vocation à dédouaner les arbitres par rapport à leur illustre collègue, vise également à préserver le corps arbitral d'une éventuelle coupe franche effectuée par David Stern. Au cas où les accusations de Donaghy seraient avérées, elles obligeraient le patron de la NBA à amputer d'un bon tiers les effectifs d'officiels. Dans une ligue qui souhaite respecter l'éthique, un tel acte ferait forcément tâche. Mais pour l'heure et après treize saisons passées dans la Ligue, Tim Donaghy demeure seul contre tous, avec le FBI à ses trousses. Selon le New York Times, il aurait été l'objet, il y a un an déjà, de toute l'attention des services secrets américains, qui auraient depuis ouvert une enquête sur des appels téléphoniques passés entre l'intéressé et d'importants parieurs. A croire que les salaires versés aux arbitres NBA ne suffisent pas.
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