[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Je cite Claude Bergeaud :TIB wrote:Imaginez la même chose dans le foot ce serait quand même hallucinant.Karamba wrote:Si je le déplore, on ne peut pas trouver ça surprenant.vinsanity wrote:C'est clair que c'est ahurissant. Encore que les Spurs rappellent TP blessé, ok, mais là, Boris n'a strictement rien. Tout juste quelques matchs manqués pendant la saison ... et il faut 500 000 $ d'assurance :shock:Greengexois wrote:C'est vraiment n'importe quoi ce qui se passe avec Bobo
Je continue d'éspérer que ça va s'arranger même si j'y crois de moins en moins ... :sad:
Diaw a été moins bon cette saison avec les Suns, notamment parce qu'il a été embêté toute la saison par des douleurs diverses et variées.
Phoenix a la possibilité de demander les garanties qui s'imposent pour qu'il soit à 100% quand il reprendra l'entrainement en Arizona et qu'il n'arrive pas encore plus blessé qu'aujourd'hui... ou d'être indemnisé entièrement en cas de rechute, ce serait une faute profesionelle de laisser faire.
L'épisode Gasol a marqué un tournant décisif dans la vigilance de la NBA sur les compét FIBA.
La NBA a vraiment un si grand pouvoir sur le basket ?
"La FIBA est incapable de discuter avec les américains, de mettre en place des projets, des règles de fonctionnement. Alors, dans ce vide, la NBA impose ses règles"
Dans l'équipe du jour :
- C'est bon pour Bobo qui va pouvoir participer au CE
- TP est bien de retour en France et il jouera à Strasbourg
- Les U18 éliminés
- Amara Sy en Grèce
...
Pour le football c'est différent, la FIFA a assez de pouvoir sur les différentes fédérations nationale. Si un joueur refuse une sélection elle peut lui interdire de jouer avec son club. Par contre en basket la NBA elle en a rien a taper de la FIBA. Si la FIBA exclu un joueur il pourra jouer en NBA de toute façon.TIB wrote:Imaginez la même chose dans le foot ce serait quand même hallucinant.Karamba wrote:Si je le déplore, on ne peut pas trouver ça surprenant.vinsanity wrote:C'est clair que c'est ahurissant. Encore que les Spurs rappellent TP blessé, ok, mais là, Boris n'a strictement rien. Tout juste quelques matchs manqués pendant la saison ... et il faut 500 000 $ d'assurance :shock:Greengexois wrote:C'est vraiment n'importe quoi ce qui se passe avec Bobo
Je continue d'éspérer que ça va s'arranger même si j'y crois de moins en moins ... :sad:
Diaw a été moins bon cette saison avec les Suns, notamment parce qu'il a été embêté toute la saison par des douleurs diverses et variées.
Phoenix a la possibilité de demander les garanties qui s'imposent pour qu'il soit à 100% quand il reprendra l'entrainement en Arizona et qu'il n'arrive pas encore plus blessé qu'aujourd'hui... ou d'être indemnisé entièrement en cas de rechute, ce serait une faute profesionelle de laisser faire.
L'épisode Gasol a marqué un tournant décisif dans la vigilance de la NBA sur les compét FIBA.
La NBA a vraiment un si grand pouvoir sur le basket ?
Bussiness humanum est.
Vers un retour de Reggie Miller ? :shock:
Danny Ainge, le GM des Celtics, a contacté Reggie Miller pour lui proposer une place dans la rotation des Celtics ! Reggie Miller s'est contenté de déclaré que "c'est toujours flatteur quand mon nom est mentionné comme quelqu'un capable d'aider un candidat au titre". Reggie Miller n'a jamais remporté le titre suprème et il pourrait être séduit par cette proposition. En 18 ans de carrière, il a toujours porté le maillot des Pacers d'Indianapolis, avec lesquels il a atteint une fois la finale. Reggie Miller est le meilleur shooteur à 3pts de l'histoire de la NBA avec 2560 tirs à 3pts réussis en saison régulière. Il est notamment connu pour ses exploits de clutch player et fut le bourreau des Knicks de New York à plusieurs reprises.
Petite vidéo mythique :
http://youtube.com/watch?v=YtPaMgyz4ec
Danny Ainge, le GM des Celtics, a contacté Reggie Miller pour lui proposer une place dans la rotation des Celtics ! Reggie Miller s'est contenté de déclaré que "c'est toujours flatteur quand mon nom est mentionné comme quelqu'un capable d'aider un candidat au titre". Reggie Miller n'a jamais remporté le titre suprème et il pourrait être séduit par cette proposition. En 18 ans de carrière, il a toujours porté le maillot des Pacers d'Indianapolis, avec lesquels il a atteint une fois la finale. Reggie Miller est le meilleur shooteur à 3pts de l'histoire de la NBA avec 2560 tirs à 3pts réussis en saison régulière. Il est notamment connu pour ses exploits de clutch player et fut le bourreau des Knicks de New York à plusieurs reprises.
Petite vidéo mythique :
http://youtube.com/watch?v=YtPaMgyz4ec
C'est au tour de Tariq Kirskay d'etre blessé :x
http://www.sport24.com/sport24-fil-info ... 65268.html
Eric Campbell (ex MSB ) a signé pour 1 an en Israel dans un club qui vient d'accéder en 1ere division : Hapoel Holon :shock:
Pas de Coupe d'Europe pour lui la saison prochaine, quel gachis :evil:
Kenny Gregrory, qui a signé a Efes Pilsen, sera de retour a Antares le 10 janvier 2008 :p
http://www.sport24.com/sport24-fil-info ... 65268.html
Eric Campbell (ex MSB ) a signé pour 1 an en Israel dans un club qui vient d'accéder en 1ere division : Hapoel Holon :shock:
Pas de Coupe d'Europe pour lui la saison prochaine, quel gachis :evil:
Kenny Gregrory, qui a signé a Efes Pilsen, sera de retour a Antares le 10 janvier 2008 :p
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Diaw ne sera pas de trop
Boris Diaw va enfin pouvoir rejouer au basket. Contraint à l'immobilisation depuis le début de la préparation de l'équipe de France en raison d'un problème d'assurance, le capitaine tricolore a reçu le feu vert des dirigeants des Suns pour reprendre les entraînements collectifs. Un véritable soulagement pour l'ex-Palois, lequel devrait même renouer avec la compétition dès vendredi lors du tournoi de Strasbourg. En Alsace, les chocs face à la Serbie, la Grèce et la Slovénie permettront d'en savoir un peu plus sur le potentiel des Bleus à moins d'un mois de l'Euro.
Après deux semaines d'une attente interminable, Boris Diaw va pouvoir goûter à nouveau au plaisir de fouler un terrain de basket. La situation inconfortable dans laquelle était empêtré le capitaine de l'équipe de France depuis le 23 juillet et le début de la préparation des Bleus à l'Euro espagnol s'est enfin décantée. Contraint depuis le premier stage à Divonne-les-Bains à s'entraîner, ou plutôt s'entretenir physiquement, à l'écart de ses camarades, l'ailier tricolore a enfin reçu le feu vert pour exercer à nouveau son métier. Immobilisé en raison d'un différend entre sa franchise NBA et l'équipe de France - les dirigeants de Phoenix exigeant selon la nouvelle loi en vigueur de l'autre côté de l'Atlantique que le dos de l'ancien Palois soit pris en charge par une assurance couverte par la Fédération française de basket quand il honore des sélections nationales - Diaw va donc pouvoir commencer les entraînements collectifs, ce qui à moins d'un mois du coup d'envoi d'une échéance majeure comme l'est l'Euro 2007 n'a rien d'un luxe.
La Fédération française de basket a en effet pu réunir 750 000 dollars, le montant exorbitant de la prime d'assurance couvrant le dos de l'intéressé, soumis à une lombalgie au mois de février, au cas où il venait à flancher d'ici la fin du Championnat d'Europe (500 000 dollars s'il restait intact), mais aussi réussi à convaincre les dirigeants des Suns de renoncer à la clause selon laquelle le contrat d'assurance pouvait être acquis par une franchise autre en cas de transfert de Diaw cet été. Enfin délivré de ces chaînes dont il était prisonnier sans pouvoir agir, le polyvalent capitaine de l'équipe de France, qui sort d'une saison mitigée à Phoenix où il n'aura pas su confirmer son titre de Most Improved Player décroché un an plus tôt, va désormais pouvoir se concentrer exclusivement sur le jeu. Son éclectisme, son altruisme et son expérience désormais des grands rendez-vous avec Phoenix en play-offs, feront à coup sûr le reste.
Parker cloué au banc ?
Le retour aux affaires d'un joueur majeur comme l'est Diaw en équipe de France devrait vite rejaillir sur la tenue d'un groupe tricolore qui a démontré des choses encourageantes à l'occasion de ces deux premiers matches de préparation remportés face à la Suisse (74-56) et la Belgique (98-75). Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, Tony Parker, la deuxième star des Bleus, a retrouvé ses coéquipiers mercredi après-midi à Strasbourg après un aller-retour éclair à San Antonio exigé par ses dirigeants soucieux de prendre eux-mêmes des nouvelles de la cheville gauche de leur meneur de jeu chéri. Pour autant, si les examens complémentaires passés dans le Texas n'ont rien révélé de sérieux, la contusion osseuse dont a été victime TP en tout début de stage de Divonne-les-Bains ne devrait pas, selon toutes vraisemblances, lui permettre de participer au tournoi de Strasbourg qui verra les hommes de Claude Bergeaud affronter respectivement la Serbie, la Grèce et la Slovénie de vendredi à dimanche.
Un tournoi hyper-relevé qui devrait permettre au sélectionneur de l'équipe de France et à son staff d'évaluer, et ce contre des sélections de tout premier plan, le niveau du collectif, et mesurer le travail encore à accomplir d'ici le début du Championnat d'Europe. La Slovénie que les Bleus retrouveront d'ailleurs le 5 septembre à Alicante à l'occasion de leur troisième et dernier match du premier tour (auparavant, les Français auront ouvert la compétition face à la Pologne, puis contre l'Italie, Ndlr), mais également à deux reprises le 24 et le 26 août à Maribor, lieu du dernier stage des Tricolores avant leur envol pour l'Espagne.
Si l'équipe de France a tout intérêt à se montrer performante en Alsace afin d'affirmer ses ambitions continentales face à la concurrence, certains éléments joueront eux leur avenir personnel au Rhénus. C'est en effet à l'issue du tournoi que Claude Bergeaud devrait annoncer sa liste définitive pour l'Euro. Et le passage de 14 joueurs à 12 pourrait coûter cher à Michel Morandais, Cédric Ferchaud, Sacha Giffa et Pape Badiane. Les deux premiers se disputant le dernier billet sur le poste 2 (arrière), les deux derniers étant en ballotage pour intégrer définitivement le secteur intérieur tricolore. Pour eux encore plus que les autres, Strasbourg marquera un tournant capital dans la préparation des Bleus.
www.sports.fr
Boris Diaw va enfin pouvoir rejouer au basket. Contraint à l'immobilisation depuis le début de la préparation de l'équipe de France en raison d'un problème d'assurance, le capitaine tricolore a reçu le feu vert des dirigeants des Suns pour reprendre les entraînements collectifs. Un véritable soulagement pour l'ex-Palois, lequel devrait même renouer avec la compétition dès vendredi lors du tournoi de Strasbourg. En Alsace, les chocs face à la Serbie, la Grèce et la Slovénie permettront d'en savoir un peu plus sur le potentiel des Bleus à moins d'un mois de l'Euro.
Après deux semaines d'une attente interminable, Boris Diaw va pouvoir goûter à nouveau au plaisir de fouler un terrain de basket. La situation inconfortable dans laquelle était empêtré le capitaine de l'équipe de France depuis le 23 juillet et le début de la préparation des Bleus à l'Euro espagnol s'est enfin décantée. Contraint depuis le premier stage à Divonne-les-Bains à s'entraîner, ou plutôt s'entretenir physiquement, à l'écart de ses camarades, l'ailier tricolore a enfin reçu le feu vert pour exercer à nouveau son métier. Immobilisé en raison d'un différend entre sa franchise NBA et l'équipe de France - les dirigeants de Phoenix exigeant selon la nouvelle loi en vigueur de l'autre côté de l'Atlantique que le dos de l'ancien Palois soit pris en charge par une assurance couverte par la Fédération française de basket quand il honore des sélections nationales - Diaw va donc pouvoir commencer les entraînements collectifs, ce qui à moins d'un mois du coup d'envoi d'une échéance majeure comme l'est l'Euro 2007 n'a rien d'un luxe.
La Fédération française de basket a en effet pu réunir 750 000 dollars, le montant exorbitant de la prime d'assurance couvrant le dos de l'intéressé, soumis à une lombalgie au mois de février, au cas où il venait à flancher d'ici la fin du Championnat d'Europe (500 000 dollars s'il restait intact), mais aussi réussi à convaincre les dirigeants des Suns de renoncer à la clause selon laquelle le contrat d'assurance pouvait être acquis par une franchise autre en cas de transfert de Diaw cet été. Enfin délivré de ces chaînes dont il était prisonnier sans pouvoir agir, le polyvalent capitaine de l'équipe de France, qui sort d'une saison mitigée à Phoenix où il n'aura pas su confirmer son titre de Most Improved Player décroché un an plus tôt, va désormais pouvoir se concentrer exclusivement sur le jeu. Son éclectisme, son altruisme et son expérience désormais des grands rendez-vous avec Phoenix en play-offs, feront à coup sûr le reste.
Parker cloué au banc ?
Le retour aux affaires d'un joueur majeur comme l'est Diaw en équipe de France devrait vite rejaillir sur la tenue d'un groupe tricolore qui a démontré des choses encourageantes à l'occasion de ces deux premiers matches de préparation remportés face à la Suisse (74-56) et la Belgique (98-75). Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, Tony Parker, la deuxième star des Bleus, a retrouvé ses coéquipiers mercredi après-midi à Strasbourg après un aller-retour éclair à San Antonio exigé par ses dirigeants soucieux de prendre eux-mêmes des nouvelles de la cheville gauche de leur meneur de jeu chéri. Pour autant, si les examens complémentaires passés dans le Texas n'ont rien révélé de sérieux, la contusion osseuse dont a été victime TP en tout début de stage de Divonne-les-Bains ne devrait pas, selon toutes vraisemblances, lui permettre de participer au tournoi de Strasbourg qui verra les hommes de Claude Bergeaud affronter respectivement la Serbie, la Grèce et la Slovénie de vendredi à dimanche.
Un tournoi hyper-relevé qui devrait permettre au sélectionneur de l'équipe de France et à son staff d'évaluer, et ce contre des sélections de tout premier plan, le niveau du collectif, et mesurer le travail encore à accomplir d'ici le début du Championnat d'Europe. La Slovénie que les Bleus retrouveront d'ailleurs le 5 septembre à Alicante à l'occasion de leur troisième et dernier match du premier tour (auparavant, les Français auront ouvert la compétition face à la Pologne, puis contre l'Italie, Ndlr), mais également à deux reprises le 24 et le 26 août à Maribor, lieu du dernier stage des Tricolores avant leur envol pour l'Espagne.
Si l'équipe de France a tout intérêt à se montrer performante en Alsace afin d'affirmer ses ambitions continentales face à la concurrence, certains éléments joueront eux leur avenir personnel au Rhénus. C'est en effet à l'issue du tournoi que Claude Bergeaud devrait annoncer sa liste définitive pour l'Euro. Et le passage de 14 joueurs à 12 pourrait coûter cher à Michel Morandais, Cédric Ferchaud, Sacha Giffa et Pape Badiane. Les deux premiers se disputant le dernier billet sur le poste 2 (arrière), les deux derniers étant en ballotage pour intégrer définitivement le secteur intérieur tricolore. Pour eux encore plus que les autres, Strasbourg marquera un tournant capital dans la préparation des Bleus.
www.sports.fr
NBA - Chicago: Joakim Noah officiellement Français
AFP - 09.08.2007, 23h04
NEW YORK, 9 août 2007 (AFP) - Joakim Noah, le joueur NBA de Chicago qui était en attente de sa naturalisation depuis quelques mois, est officiellement devenu citoyen français, a-t-on appris jeudi auprès de l'agent du joueur.
"C'est fait", a confirmé à l'AFP Donald Dell au sujet de la nouvelle recrue des Chicago Bulls.
Né à New York, Noah, fils de l'ancien champion de tennis Yannick Noah et de Cecilia Rhode (ex-Miss Suède), a vécu quelques années en France après le divorce de ses parents. Il a ensuite suivi sa mère à "Big Apple" où il a passé toute son adolescence.
Déjà détenteur de la double nationalité américaine et suédoise, celle de son lieu de naissance et celle de sa mère, Noah avait longtemps exprimé son souhait d'acquérir la nationalité de son père afin notamment de porter un jour les couleurs de l'équipe de France de basket-ball.
Sélectionné en 9e position par les Chicago Bulls, le 28 juin, dans la draft NBA, le pivot de 22 ans sera donc officiellement le 8e Français à évoluer dans le Championnat nord-américain la saison prochaine.
AFP.
AFP - 09.08.2007, 23h04
NEW YORK, 9 août 2007 (AFP) - Joakim Noah, le joueur NBA de Chicago qui était en attente de sa naturalisation depuis quelques mois, est officiellement devenu citoyen français, a-t-on appris jeudi auprès de l'agent du joueur.
"C'est fait", a confirmé à l'AFP Donald Dell au sujet de la nouvelle recrue des Chicago Bulls.
Né à New York, Noah, fils de l'ancien champion de tennis Yannick Noah et de Cecilia Rhode (ex-Miss Suède), a vécu quelques années en France après le divorce de ses parents. Il a ensuite suivi sa mère à "Big Apple" où il a passé toute son adolescence.
Déjà détenteur de la double nationalité américaine et suédoise, celle de son lieu de naissance et celle de sa mère, Noah avait longtemps exprimé son souhait d'acquérir la nationalité de son père afin notamment de porter un jour les couleurs de l'équipe de France de basket-ball.
Sélectionné en 9e position par les Chicago Bulls, le 28 juin, dans la draft NBA, le pivot de 22 ans sera donc officiellement le 8e Français à évoluer dans le Championnat nord-américain la saison prochaine.
AFP.
Basket - Amical - La France au finish
L'équipe de France a eu recours à la prolongation vendredi pour remporter sur le fil son premier match du tournoi de Strasbourg, préparatif à l'Euro 2008 en Espagne, face à des Serbes accrocheurs (93-87). Privés de ses deux leaders, Tony Parker et Boris Diaw (ainsi que de Tariq Kirksay et Yohan Sangaré), les Bleus s'en sont remis à l'adresse de Yakouba Diawarra, auteur de 18 points et de Ronny Turiaf, 16 points. Mais le meilleur marqueur de la rencontre a été le Serbe Milan Gurovic, 23 unités au compteur.
Basket-NBA-Transfert - "Penny" Hardaway à Miami!
Sensation dans le petit monde de la NBA, avec l'annonce vendredi de la signature de Anfernee "Penny" Hardaway à Miami. L'ancien Magic d'Orlando, 36 ans, retrouvera au sein du Heat Shaquille O'Neal, avec qui il formait en Floride l'un des duos les plus craints de la Ligue entre 1994 et 1996.
Ce retour du "vieux" Hardaway s'inscrit dans une tendance actuelle de retour des anciennes gloires de la NBA. Ainsi, les Celtics de Boston ont proposé un contrat à Reggie Miller, 42 ans, qui pourrait bien accepter de jouer aux côtés de Kevin Garnett. Enfin, Allan Houston, 36 ans, le joueur mythique des Knicks, a récemment déclaré vouloir faire son come-back sur les parquets de NBA.
Basket - Transferts - F. Pietrus à Estudiantes
Après plusieurs semaines de tractations et d'hésitations, Florent Pietrus s'est engagé pour une saison avec le club Estudiantes de Madrid et quitte donc Malaga. L'ailier-fort pouvant aussi jouer pivot, originaire de Guadeloupe, a signé pour un an à Estudiantes avec option pour une saison supplémentaire. Le club madrilène n'a terminé qu'en 9e position du dernier championnat espagnol.
Basket - Bleus - Diaw doit payer pour jouer
Le mardi 26 juin, la Fédération française (FFBB) apprenait qu'elle devait prendre en charge une assurance spécifique pour le dos un peu trop cambré de Boris Diaw. Il aura fallu 42 jours, soit un de plus que la durée totale de la prapération des Bleus pour l'Euro, pour trouver une solution. Celle-ci elle devait encore être validée jeudi soir avant d'être confirmée par le président de la Fédération, Yvan Mainini. De Madrid, où il supervise l'équipe de France juniors, le DTN, Jean-Pierre de Vincenzi, fait le point et confirme que le joueur de Phoenix devrait bien participer financièrement à sa propre prise en charge, comme avant lui Dirk Nowitzki ou Arvydas Sabonis.
«Jean-Pierre de Vincenzi, le problème d'assurance de Boris Diaw est-il réglé ce jeudi en début de soirée ?
L'assurance, avec la médiation de Mike d'Antoni (l'entraîneur des Phoenix Suns, assistant de la sélection américaine), a accepté les closes données. A partir de là, normalement, c'est bon. Boris était à l'hopital Cochin à Paris cet après-midi avant de repartir sur Strasbourg. Donc ça roule.
Le blocage a été révélé le 23 juillet mais existait déjà depuis la fin juin. Durant ces six semaines, y a-t-il eu des phases de découragement ?
On s'est surtout dit : "on se battra jusqu'au bout". Mais on a eu un moment de découragement... juste avant que la solution soit trouvée. On pensait que ça allait capoter mais Mike D'Antoni lui-même est tombé des nues en voyant comment ça se passait, ce qui était demandé à la fin, et a fait changer le cours des choses.
Ce début de préparation perturbé abaisse-t-il les ambitions des Bleus ?
Non ! J'en ai parlé d'ailleurs avec Claude (Bergeaud), on est tous d'accord, l'objectif, c'est (les Jeux Olympiques de) Pékin en 2008. Quand on paye 750 000 dollars (la fourchette haute du contrat spécifique pour le dos) pour l'assurance de Boris, quand on mobilise tous les internationaux comme c'est le cas, ce n'est pas pour baisser les bras avant la fin. On se battra jusqu'au bout.
Qui paiera ces 750 000 dollars (546 000 euros) ?
La Fédération, un partenaire institutionnel (NDLR : le CNOSF et le ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports ont été sollicités), Boris lui même et, on l'espère, un partenaire privé (NDLR : Boris Diaw est sous contrat avec Kinder, le nouveau sponsor maillot des Bleus).»
www.lequipe.fr
L'équipe de France a eu recours à la prolongation vendredi pour remporter sur le fil son premier match du tournoi de Strasbourg, préparatif à l'Euro 2008 en Espagne, face à des Serbes accrocheurs (93-87). Privés de ses deux leaders, Tony Parker et Boris Diaw (ainsi que de Tariq Kirksay et Yohan Sangaré), les Bleus s'en sont remis à l'adresse de Yakouba Diawarra, auteur de 18 points et de Ronny Turiaf, 16 points. Mais le meilleur marqueur de la rencontre a été le Serbe Milan Gurovic, 23 unités au compteur.
Basket-NBA-Transfert - "Penny" Hardaway à Miami!
Sensation dans le petit monde de la NBA, avec l'annonce vendredi de la signature de Anfernee "Penny" Hardaway à Miami. L'ancien Magic d'Orlando, 36 ans, retrouvera au sein du Heat Shaquille O'Neal, avec qui il formait en Floride l'un des duos les plus craints de la Ligue entre 1994 et 1996.
Ce retour du "vieux" Hardaway s'inscrit dans une tendance actuelle de retour des anciennes gloires de la NBA. Ainsi, les Celtics de Boston ont proposé un contrat à Reggie Miller, 42 ans, qui pourrait bien accepter de jouer aux côtés de Kevin Garnett. Enfin, Allan Houston, 36 ans, le joueur mythique des Knicks, a récemment déclaré vouloir faire son come-back sur les parquets de NBA.
Basket - Transferts - F. Pietrus à Estudiantes
Après plusieurs semaines de tractations et d'hésitations, Florent Pietrus s'est engagé pour une saison avec le club Estudiantes de Madrid et quitte donc Malaga. L'ailier-fort pouvant aussi jouer pivot, originaire de Guadeloupe, a signé pour un an à Estudiantes avec option pour une saison supplémentaire. Le club madrilène n'a terminé qu'en 9e position du dernier championnat espagnol.
Basket - Bleus - Diaw doit payer pour jouer
Le mardi 26 juin, la Fédération française (FFBB) apprenait qu'elle devait prendre en charge une assurance spécifique pour le dos un peu trop cambré de Boris Diaw. Il aura fallu 42 jours, soit un de plus que la durée totale de la prapération des Bleus pour l'Euro, pour trouver une solution. Celle-ci elle devait encore être validée jeudi soir avant d'être confirmée par le président de la Fédération, Yvan Mainini. De Madrid, où il supervise l'équipe de France juniors, le DTN, Jean-Pierre de Vincenzi, fait le point et confirme que le joueur de Phoenix devrait bien participer financièrement à sa propre prise en charge, comme avant lui Dirk Nowitzki ou Arvydas Sabonis.
«Jean-Pierre de Vincenzi, le problème d'assurance de Boris Diaw est-il réglé ce jeudi en début de soirée ?
L'assurance, avec la médiation de Mike d'Antoni (l'entraîneur des Phoenix Suns, assistant de la sélection américaine), a accepté les closes données. A partir de là, normalement, c'est bon. Boris était à l'hopital Cochin à Paris cet après-midi avant de repartir sur Strasbourg. Donc ça roule.
Le blocage a été révélé le 23 juillet mais existait déjà depuis la fin juin. Durant ces six semaines, y a-t-il eu des phases de découragement ?
On s'est surtout dit : "on se battra jusqu'au bout". Mais on a eu un moment de découragement... juste avant que la solution soit trouvée. On pensait que ça allait capoter mais Mike D'Antoni lui-même est tombé des nues en voyant comment ça se passait, ce qui était demandé à la fin, et a fait changer le cours des choses.
Ce début de préparation perturbé abaisse-t-il les ambitions des Bleus ?
Non ! J'en ai parlé d'ailleurs avec Claude (Bergeaud), on est tous d'accord, l'objectif, c'est (les Jeux Olympiques de) Pékin en 2008. Quand on paye 750 000 dollars (la fourchette haute du contrat spécifique pour le dos) pour l'assurance de Boris, quand on mobilise tous les internationaux comme c'est le cas, ce n'est pas pour baisser les bras avant la fin. On se battra jusqu'au bout.
Qui paiera ces 750 000 dollars (546 000 euros) ?
La Fédération, un partenaire institutionnel (NDLR : le CNOSF et le ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports ont été sollicités), Boris lui même et, on l'espère, un partenaire privé (NDLR : Boris Diaw est sous contrat avec Kinder, le nouveau sponsor maillot des Bleus).»
www.lequipe.fr
victoire difficile de la France contre la Serbie 93 a 87 apres prolongation
http://live.basketfrance.com/match.php?id=2&t=STR
http://live.basketfrance.com/match.php?id=2&t=STR
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
trop tard :lol:lolo72 wrote:victoire difficile de la France contre la Serbie 93 a 87 apres prolongation
http://live.basketfrance.com/match.php?id=2&t=STR
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Désolé :oops: J'ai bien galéré pour trouver l'info pourtant :lol:lolo72 wrote:trop tard :lol:lolo72 wrote:victoire difficile de la France contre la Serbie 93 a 87 apres prolongation
http://live.basketfrance.com/match.php?id=2&t=STR
Quelqu'un a eu l'occase de voir le match ?
Le programme de l'EDF :
Demain à 20h30 : France - Grèce :twisted:
Dimanche à 15h : France - Slovénie
Le tout est diffusé en direct sur Sport + !
J'étais au Rhenus pour assister à la victoire française face à une équipe serbe accrocheuse (une antisportive d'entrée, un début de bagarre générale en fin de match et deux techniques en fin de prolongation).
J'ai trouvé l'équipe de France moins collective que les serbes. Offensivement on a de grosses difficultés à se créer des occasions. Sinon Giffa semble avoir pris le dessus sur Badiane qui n'a quasiment pas joué. A part ça Weiss est toujours aussi frustre.
En premier match les slovènes ont battu assez facilement les grecques (qui n'ont absolumet pas défendu en première mi temps). Une équipe slovène avec un basket collectif très léger et tros joli à regarder.
Voili voilou pour mes impressions
J'ai trouvé l'équipe de France moins collective que les serbes. Offensivement on a de grosses difficultés à se créer des occasions. Sinon Giffa semble avoir pris le dessus sur Badiane qui n'a quasiment pas joué. A part ça Weiss est toujours aussi frustre.
En premier match les slovènes ont battu assez facilement les grecques (qui n'ont absolumet pas défendu en première mi temps). Une équipe slovène avec un basket collectif très léger et tros joli à regarder.
Voili voilou pour mes impressions
''Le plus dur lorsque l'on se tourne les pouces c'est de savoir quand on a fini'' (N De Mille).
La France est un pays formidable, on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts (Clemenceau).
La France est un pays formidable, on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts (Clemenceau).
Badiane et Giffa ne sont pas vraiment en concurrence. Giffa est un poste 3/4 et Badiane un pur poste 5. Si Badiane joue si peu c'est parce que devant lui il a Weis et Turiaf. C'est Giffa qui va gicler, depuis le début il le sait. Bergeaud le lui a dit, il l'a selectionné pour faire le nombre, et sauf blessure il ne sera pas à l'euro.Nemo wrote:J'étais au Rhenus pour assister à la victoire française face à une équipe serbe accrocheuse (une antisportive d'entrée, un début de bagarre générale en fin de match et deux techniques en fin de prolongation).
J'ai trouvé l'équipe de France moins collective que les serbes. Offensivement on a de grosses difficultés à se créer des occasions. Sinon Giffa semble avoir pris le dessus sur Badiane qui n'a quasiment pas joué. A part ça Weiss est toujours aussi frustre.
En premier match les slovènes ont battu assez facilement les grecques (qui n'ont absolumet pas défendu en première mi temps). Une équipe slovène avec un basket collectif très léger et tros joli à regarder.
Voili voilou pour mes impressions
Pas étonnant que les Serbes soient meilleurs collectivement, c'est dans leur culture basket. Chez eux le collectif est toujours bien huilé, des cadets aux seniors.
Dans l'équipe du jour :
- Résumé du match contre la Serbie
- Résumé de Slovenie - Grèce
- Gros plan sur Ronny Turiaf (sans jeu de smiley mal placé :lol: )
...
Les Bleus au bout du suspense
Toujours privée de ses deux stars, Tony Parker et Boris Diaw, l'équipe de France a tout de même réussi à remporter son premier match du tournoi de Strasbourg, vendredi soir, au terme d'une rencontre chaude jusqu'au bout (93-87). A égalité à la fin du temps réglementaire, les Bleus ont été plus adroits aux lancers-francs lors de la prolongation. Ronny Turiaf (16 points, 6 rebonds) et Yakhouba Diawara (18 points) ont été les principaux fers de lance du cinq tricolore, qui a de beaux jours devant lui. Samedi, la Grèce sera tout aussi coriace.
Ce n'est un secret pour personne, la préparation des Bleus à l'Euro est tendue. Les absences forcées de Tony Parker et Boris Diaw dans les rangs de Claude Bergeaud, le sélectionneur, ont perturbé les deux dernières semaines. Plus que le terrain, ces deux feuilletons ont rythmé le quotidien des Bleus qui, vendredi soir, pour leur premier match au tournoi de Strasbourg, affrontaient une équipe serbe elle aussi amoindrie. Et malgré les turbulences, la France est parvenue à s'imposer, après prolongation (93-87), alors qu'elle a mené la rencontre de bout en bout. Sous l'impulsion de Ronny Turiaf (16 points, 6 rebonds) et Yakhouba Diawara (18 points), les Français n'ont pas répondu à la provocation de la Serbie en fin de match, gardant la tête froide pour inscrire les lancers-francs décisifs.
Dès l'entame de match, le contraste était saisissant. Aux intérieurs serbes répondaient les extérieurs français. Darko Milicic jouait les gros bras dans la raquette bleue mais ne permettait pas aux siens de prendre leurs distances d'entrée. La faute à un Diawara très inspiré à longue distance. L'arrière tricolore enchaînait les shoots et inscrivait 8 points en quatre minutes de jeu. Le joueur des Nuggets était déjà parfaitement épaulé par Turiaf, sorti du banc mais très adroit à mi-distance. L'intérieur se permettait même de claquer un dunk ravageur juste avant la fin du premier quart-temps, que la France remportait (24-22).
De son côté, Joseph Gomis apportait toute sa vivacité en contre-attaques, pour le plus grand plaisir de Tony Parker, attentif à la performance de ses coéquipiers depuis les tribunes, et élogieux envers Diawara. "C'est un bon shooteur, il l'a prouvé quand il jouait en Europe et même à Denver. On a confiance en lui", déclarait le meneur des San Antonio Spurs au micro de Sport+, avant d'ajouter ce qui, certainement, était la nouvelle la plus importante de la soirée: "J'espère reprendre l'entraînement demain (samedi), je pense que je jouerai à Strasbourg"
Parker jouera à Strasbourg, pas Diaw
Privés de Boris Diaw, Tariq Kirksay, Yohann Sangaré et donc, de Parker, les Bleus prenaient leurs responsabilités en deuxième quart-temps et s'offraient une avance confortable avant de rentrer aux vestiaires (49-38). Aymeric Jeanneau et Sacha Giffa plantaient quelques banderilles aux Serbes derrière la ligne à trois points, sous le regard impuissant des visiteurs, eux aussi amputés de plusieurs titulaires. "Pour la première fois depuis longtemps, je trouve qu'ils ont une équipe équilibrée. Ils ont compris que mettre uniquement des stars n'est pas suffisant", expliquait pourtant Claude Bergeaud avant le match. Sur le parquet, le constat ne semblait pas aussi évident. Marko Jaric, Mile Ilic et Milicic, les trois stars du cinq majeur serbe, tournaient alors à 4/17 aux shoots.
Mais après la pause, les Serbes se ressaisissaient et revenaient à cinq longueurs, notamment sous l'impulsion de Zoran Erceg. La défense française était nettement moins imperméable qu'en première période tandis que la zone des Serbes posait problème aux Bleus. Les leaders à la marque, Turiaf et Diawara, sombraient peu à peu, et même si le soutien de Frédéric Weis (6 points, 6 rebonds) ou Florent Pietrus (14 points, 7 rebonds, 5 passes) se faisait sentir, il restait timide. Si bien que les Serbes finissaient le troisième quart-temps à quatre longueurs des Français (66-62).
Les lancers-francs décisifs
Des Bleus visiblement pas près de retrouver Diaw. L'ailier des Phoenix Suns avouait que son histoire d'assurance n'était toujours pas réglée: "On est dans l'attente, les compagnies d'assurance doivent encore trouver les fonds nécessaires pour mon dos. Et comme le week-end, c'est fermé, ça va être difficile pour mois de jouer ici." Pas de quoi inhiber ses coéquipiers, Le banc des Tricolores se montrait particulièrement efficace en scorant autant que le cinq majeur mais l'adresse chutait cruellement en fin de quatrième quart-temps. Les Serbes captaient tous les rebonds et monopolisaient la marque, à tel point qu'ils revenaient à hauteur (73-73).
Jeanneau pensait ensuite donner la victoire aux Bleus en marquant un trois points à quelques secondes du terme mais les Serbes revenaient grâce à deux lancers-francs et forçaient la prolongation (77-77). D'abord maladroits sur la ligne de pénalité, les Bleus ne parvenaient pas à garder l'avantage et perdaient leur contrôle. La fin de rencontre échauffée, avec plusieurs fautes techniques distribuées du côté serbe, notamment au coach, allait finalement tourner en faveur des Français qui, cette fois, ne tremblaient pas aux lancers (8/10 en prolongation). Avec un score final de 93-87, les hommes de Bergeaud peuvent voir l'avenir avec plus de sérénité. Samedi, ils affronteront la Grèce, certainement sans Parker, qui reviendra sans doute pour la Slovénie dimanche.
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Toujours privée de ses deux stars, Tony Parker et Boris Diaw, l'équipe de France a tout de même réussi à remporter son premier match du tournoi de Strasbourg, vendredi soir, au terme d'une rencontre chaude jusqu'au bout (93-87). A égalité à la fin du temps réglementaire, les Bleus ont été plus adroits aux lancers-francs lors de la prolongation. Ronny Turiaf (16 points, 6 rebonds) et Yakhouba Diawara (18 points) ont été les principaux fers de lance du cinq tricolore, qui a de beaux jours devant lui. Samedi, la Grèce sera tout aussi coriace.
Ce n'est un secret pour personne, la préparation des Bleus à l'Euro est tendue. Les absences forcées de Tony Parker et Boris Diaw dans les rangs de Claude Bergeaud, le sélectionneur, ont perturbé les deux dernières semaines. Plus que le terrain, ces deux feuilletons ont rythmé le quotidien des Bleus qui, vendredi soir, pour leur premier match au tournoi de Strasbourg, affrontaient une équipe serbe elle aussi amoindrie. Et malgré les turbulences, la France est parvenue à s'imposer, après prolongation (93-87), alors qu'elle a mené la rencontre de bout en bout. Sous l'impulsion de Ronny Turiaf (16 points, 6 rebonds) et Yakhouba Diawara (18 points), les Français n'ont pas répondu à la provocation de la Serbie en fin de match, gardant la tête froide pour inscrire les lancers-francs décisifs.
Dès l'entame de match, le contraste était saisissant. Aux intérieurs serbes répondaient les extérieurs français. Darko Milicic jouait les gros bras dans la raquette bleue mais ne permettait pas aux siens de prendre leurs distances d'entrée. La faute à un Diawara très inspiré à longue distance. L'arrière tricolore enchaînait les shoots et inscrivait 8 points en quatre minutes de jeu. Le joueur des Nuggets était déjà parfaitement épaulé par Turiaf, sorti du banc mais très adroit à mi-distance. L'intérieur se permettait même de claquer un dunk ravageur juste avant la fin du premier quart-temps, que la France remportait (24-22).
De son côté, Joseph Gomis apportait toute sa vivacité en contre-attaques, pour le plus grand plaisir de Tony Parker, attentif à la performance de ses coéquipiers depuis les tribunes, et élogieux envers Diawara. "C'est un bon shooteur, il l'a prouvé quand il jouait en Europe et même à Denver. On a confiance en lui", déclarait le meneur des San Antonio Spurs au micro de Sport+, avant d'ajouter ce qui, certainement, était la nouvelle la plus importante de la soirée: "J'espère reprendre l'entraînement demain (samedi), je pense que je jouerai à Strasbourg"
Parker jouera à Strasbourg, pas Diaw
Privés de Boris Diaw, Tariq Kirksay, Yohann Sangaré et donc, de Parker, les Bleus prenaient leurs responsabilités en deuxième quart-temps et s'offraient une avance confortable avant de rentrer aux vestiaires (49-38). Aymeric Jeanneau et Sacha Giffa plantaient quelques banderilles aux Serbes derrière la ligne à trois points, sous le regard impuissant des visiteurs, eux aussi amputés de plusieurs titulaires. "Pour la première fois depuis longtemps, je trouve qu'ils ont une équipe équilibrée. Ils ont compris que mettre uniquement des stars n'est pas suffisant", expliquait pourtant Claude Bergeaud avant le match. Sur le parquet, le constat ne semblait pas aussi évident. Marko Jaric, Mile Ilic et Milicic, les trois stars du cinq majeur serbe, tournaient alors à 4/17 aux shoots.
Mais après la pause, les Serbes se ressaisissaient et revenaient à cinq longueurs, notamment sous l'impulsion de Zoran Erceg. La défense française était nettement moins imperméable qu'en première période tandis que la zone des Serbes posait problème aux Bleus. Les leaders à la marque, Turiaf et Diawara, sombraient peu à peu, et même si le soutien de Frédéric Weis (6 points, 6 rebonds) ou Florent Pietrus (14 points, 7 rebonds, 5 passes) se faisait sentir, il restait timide. Si bien que les Serbes finissaient le troisième quart-temps à quatre longueurs des Français (66-62).
Les lancers-francs décisifs
Des Bleus visiblement pas près de retrouver Diaw. L'ailier des Phoenix Suns avouait que son histoire d'assurance n'était toujours pas réglée: "On est dans l'attente, les compagnies d'assurance doivent encore trouver les fonds nécessaires pour mon dos. Et comme le week-end, c'est fermé, ça va être difficile pour mois de jouer ici." Pas de quoi inhiber ses coéquipiers, Le banc des Tricolores se montrait particulièrement efficace en scorant autant que le cinq majeur mais l'adresse chutait cruellement en fin de quatrième quart-temps. Les Serbes captaient tous les rebonds et monopolisaient la marque, à tel point qu'ils revenaient à hauteur (73-73).
Jeanneau pensait ensuite donner la victoire aux Bleus en marquant un trois points à quelques secondes du terme mais les Serbes revenaient grâce à deux lancers-francs et forçaient la prolongation (77-77). D'abord maladroits sur la ligne de pénalité, les Bleus ne parvenaient pas à garder l'avantage et perdaient leur contrôle. La fin de rencontre échauffée, avec plusieurs fautes techniques distribuées du côté serbe, notamment au coach, allait finalement tourner en faveur des Français qui, cette fois, ne tremblaient pas aux lancers (8/10 en prolongation). Avec un score final de 93-87, les hommes de Bergeaud peuvent voir l'avenir avec plus de sérénité. Samedi, ils affronteront la Grèce, certainement sans Parker, qui reviendra sans doute pour la Slovénie dimanche.
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T de Strasbourg: Pietrus out, Parker de retour
Blessé vendredi soir lors de la victoire de l'équipe de France sur la Serbie à l'occasion de la première journée du tournoi de Strasbourg, Florent Pietrus ne refoulera pas le parquet du Rhénus. L'intérieur tricolore souffre d'une élongation des ischio-jambiers de la cuisse gauche révélée ce samedi matin lors d'examens médicaux. Le nouveau joueur de l'Estudiantes Madrid sera indisponible au minimum cinq jours. En revanche, et comme il l'avait annoncé au micro de Sport +, Tony Parker devrait faire son grand retour puisque son nom a été couché sur la feuille de match de France-Grèce qui se dispute ce samedi soir à 20h30. Si Yohann Sangaré a également été autorisé à reprendre la compétition, Boris Diaw (problème d'assurance) et Tariq Kirksay (genou droit) seront eux une nouvelle fois en civil sur le banc des Bleus.
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Blessé vendredi soir lors de la victoire de l'équipe de France sur la Serbie à l'occasion de la première journée du tournoi de Strasbourg, Florent Pietrus ne refoulera pas le parquet du Rhénus. L'intérieur tricolore souffre d'une élongation des ischio-jambiers de la cuisse gauche révélée ce samedi matin lors d'examens médicaux. Le nouveau joueur de l'Estudiantes Madrid sera indisponible au minimum cinq jours. En revanche, et comme il l'avait annoncé au micro de Sport +, Tony Parker devrait faire son grand retour puisque son nom a été couché sur la feuille de match de France-Grèce qui se dispute ce samedi soir à 20h30. Si Yohann Sangaré a également été autorisé à reprendre la compétition, Boris Diaw (problème d'assurance) et Tariq Kirksay (genou droit) seront eux une nouvelle fois en civil sur le banc des Bleus.
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Grosse defaite de l'equipe de France face a la Grece 74 a 55
http://live.basketfrance.com/match.php?id=4&t=STR
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[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Une leçon à retenir
Premier accroc dans la préparation des Bleus à l'Euro 2007! Sereins face à la Suisse et la Belgique, autoritaires et agressifs face à la jeune Serbie vendredi soir, les hommes de Claude Bergeaud sont lourdement tombés, samedi, face à leur bête noire grecque, dans la cadre de la deuxième journée du Tournoi de Strasbourg (55-74). Malgré le retour aux affaires de Tony Parker, utilisé toutefois avec parcimonie, les coéquipiers de Ronny Turiaf, particulièrement maladroits, n'ont jamais su se hisser au niveau des Hellènes.
Tony Parker a beau souligner qu'"il ne s'agit que d'un match amical", que "la défaite est normale", que les Bleus "manquent d'automatismes collectifs en raison des blessures" qui ont émaillé la préparation tricolore aux Championnats d'Europe jusqu'alors, le scénario du revers français concédé devant la Grèce ce samedi soir n'en demeure pas moins préoccupant. D'accord, les Hellènes, champions d'Europe et vice-champions du monde, ne sont pas les premiers venus. Certes, l'équipe de Claude Bergeaud n'est pas en pleine possession de ses moyens à l'heure actuelle et la rentrée d'un Tony Parker injecté à dose homéopathique dans le cinq majeur bleu ne devait en aucun cas être déterminante.
Mais si les lacunes collectives des Tricolores sont on ne peut plus compréhensibles en l'absence de Boris Diaw, Tariq Kirksay et même Florent Pietrus, capitaine courageux victime la veille face à la Serbie d'une élongation des ischio-jambiers de la cuisse gauche, le déficit d'adresse des Français ce samedi interpelle. 27% de réussite au shoot, à 14 sur 51 dans la raquette et 3 sur 24 au tir primé, les coéquipiers de TP - meilleur artilleur face à la Grèce malgré son temps de jeu limité (9 points en 14 minutes) -, rassurants sur ce point face à des nations mineure telle que la Belgique la semaine passée, ont fait preuve d'une fébrilité coupable rédhibitoire contre un adversaire de la trempe de la sélection hellénique.
La Grèce ne force pas ses talents
Guère irrésistibles au niveau de ce même révélateur de la gâchette (48% de réussite), les hommes de Pannagiotis Giannakis, surpris pour leur entrée en lice dans le tournoi alsacien par d'étonnants Slovènes pourtant orphelins de la majorité de leurs stars estampillées NBA, se sont néanmoins révélés suffisamment accrocheurs pour rectifier le tir. Rassérénés, peut-être, par le retour de blessure de Theodoros Papaloukas (insuffisamment remis cependant pour peser sur les débats), inspirés, certainement, par Dimitrios Papadopoulos, tout bonnement exemplaire à la baguette grecque (12 points, 7 rebonds, 3 passes), les rois du Vieux-Continent n'ont jamais tremblé devant ceux qui aspirent à commettre le crime de lèse-majesté en septembre prochain.
Pris à la gorge d'entrée, menés de 10 longueurs dès le terme du premier quart-temps (13-23), les Bleus ont souffert de la comparaison avec les visiteurs du Rhénus toute la rencontre durant, pêchant non seulement sur le plan de l'adresse, mais également pris de court au rebond (39 à 29). L'intérieur, probablement le secteur de jeu où le naufrage des ouailles de Claude Bergeaud s'est dessiné sur le parquet strasbourgeois. Dimanche, face à la Slovénie, il faudra pourtant se ressaisir pour gagner en confiance et en certitudes. L'avant-veille, le sélectionneur tricolore avait loué la combativité de ses troupes dans le tournoi : "L'équipe a montré du sang, de la fierté. On voulait un tournoi dur, on est dans la configuration d'un Championnat d'Europe." Pas sûr ce samedi soir qu'il faille se réjouir d'être "dans la configuration d'un Euro"...
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Premier accroc dans la préparation des Bleus à l'Euro 2007! Sereins face à la Suisse et la Belgique, autoritaires et agressifs face à la jeune Serbie vendredi soir, les hommes de Claude Bergeaud sont lourdement tombés, samedi, face à leur bête noire grecque, dans la cadre de la deuxième journée du Tournoi de Strasbourg (55-74). Malgré le retour aux affaires de Tony Parker, utilisé toutefois avec parcimonie, les coéquipiers de Ronny Turiaf, particulièrement maladroits, n'ont jamais su se hisser au niveau des Hellènes.
Tony Parker a beau souligner qu'"il ne s'agit que d'un match amical", que "la défaite est normale", que les Bleus "manquent d'automatismes collectifs en raison des blessures" qui ont émaillé la préparation tricolore aux Championnats d'Europe jusqu'alors, le scénario du revers français concédé devant la Grèce ce samedi soir n'en demeure pas moins préoccupant. D'accord, les Hellènes, champions d'Europe et vice-champions du monde, ne sont pas les premiers venus. Certes, l'équipe de Claude Bergeaud n'est pas en pleine possession de ses moyens à l'heure actuelle et la rentrée d'un Tony Parker injecté à dose homéopathique dans le cinq majeur bleu ne devait en aucun cas être déterminante.
Mais si les lacunes collectives des Tricolores sont on ne peut plus compréhensibles en l'absence de Boris Diaw, Tariq Kirksay et même Florent Pietrus, capitaine courageux victime la veille face à la Serbie d'une élongation des ischio-jambiers de la cuisse gauche, le déficit d'adresse des Français ce samedi interpelle. 27% de réussite au shoot, à 14 sur 51 dans la raquette et 3 sur 24 au tir primé, les coéquipiers de TP - meilleur artilleur face à la Grèce malgré son temps de jeu limité (9 points en 14 minutes) -, rassurants sur ce point face à des nations mineure telle que la Belgique la semaine passée, ont fait preuve d'une fébrilité coupable rédhibitoire contre un adversaire de la trempe de la sélection hellénique.
La Grèce ne force pas ses talents
Guère irrésistibles au niveau de ce même révélateur de la gâchette (48% de réussite), les hommes de Pannagiotis Giannakis, surpris pour leur entrée en lice dans le tournoi alsacien par d'étonnants Slovènes pourtant orphelins de la majorité de leurs stars estampillées NBA, se sont néanmoins révélés suffisamment accrocheurs pour rectifier le tir. Rassérénés, peut-être, par le retour de blessure de Theodoros Papaloukas (insuffisamment remis cependant pour peser sur les débats), inspirés, certainement, par Dimitrios Papadopoulos, tout bonnement exemplaire à la baguette grecque (12 points, 7 rebonds, 3 passes), les rois du Vieux-Continent n'ont jamais tremblé devant ceux qui aspirent à commettre le crime de lèse-majesté en septembre prochain.
Pris à la gorge d'entrée, menés de 10 longueurs dès le terme du premier quart-temps (13-23), les Bleus ont souffert de la comparaison avec les visiteurs du Rhénus toute la rencontre durant, pêchant non seulement sur le plan de l'adresse, mais également pris de court au rebond (39 à 29). L'intérieur, probablement le secteur de jeu où le naufrage des ouailles de Claude Bergeaud s'est dessiné sur le parquet strasbourgeois. Dimanche, face à la Slovénie, il faudra pourtant se ressaisir pour gagner en confiance et en certitudes. L'avant-veille, le sélectionneur tricolore avait loué la combativité de ses troupes dans le tournoi : "L'équipe a montré du sang, de la fierté. On voulait un tournoi dur, on est dans la configuration d'un Championnat d'Europe." Pas sûr ce samedi soir qu'il faille se réjouir d'être "dans la configuration d'un Euro"...
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équipe de france féminine.....
La France bat la Suède
Samedi soir à l’Alpe d’Huez, l’équipe de France féminine s’est imposée devant la Suède (85-57) en match de préparation à l’Euro 2007. Belle entrée en matière pour les Bleues samedi soir à l’Alpe d’Huez. Pour leur premier match de préparation à l’Euro 2007, les Françaises ont largement dominé leurs homologues suédoises (85-57). Lawson finit notamment la rencontre avec 17 points.
La France bat la Suède
Samedi soir à l’Alpe d’Huez, l’équipe de France féminine s’est imposée devant la Suède (85-57) en match de préparation à l’Euro 2007. Belle entrée en matière pour les Bleues samedi soir à l’Alpe d’Huez. Pour leur premier match de préparation à l’Euro 2007, les Françaises ont largement dominé leurs homologues suédoises (85-57). Lawson finit notamment la rencontre avec 17 points.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
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Basket - T. de Strasbourg - La France se rassure
Après la sévère défaite de la veille face aux Grecs (74-55), la France s'est rachetée dimanche avec une victoire sans appel face à la Slovénie (80-60). Ce succès revêt une importance psychologique certaine puisque les Slovènes restaient invaincus à Strasbourg après avoir déroulé un basket très apprécié contre les Grecs, puis les Serbes. Toujours privés de Boris Diaw, Tariq Kirksay et Florent Piétrus, les Bleus, mordants défensivement, ont cherché leurs repères durant quelques minutes avant de réussir à trouver la clé pour dérouler leur jeu de transition.
«On avait manqué d'agressivité face aux Grecs, reculant sans cesse, confiait Boris Diaw avant le match. Il nous faut réagir dès le premier quart-temps aujourd'hui». Recette parfaitement appliquée en début de match par ses coéquipiers, emmenés par la vivacité de Tony Parker et la réussite de Yakhouba Diawara (7 pts dans le premier quart-temps, photo L'Equipe). En tête après dix minutes (20-16), les Bleus ont hoqueté durant le petit passage de Tony Parker sur le banc (24-23), profitant pour rester en tête de l'énergie bien canalisée de Papa Badiane (37-33 à la mi-temps).
C'est au début du dernier quart-temps que les Français ont pris le large (9-0). Des Tricolores irréprochables en attaque, à l'image d'un Badiane qui a battu son record de points en sélection (16 points). A la fin du match, il pouvait jubiler : «C'était un peu difficile pour moi hier (samedi) et il était important pour moi de me rattraper. Mais une fois que notre jeu est ouvert, tout le monde s'amuse dans cette équipe.»
Tout le monde effectivement, puisqu'au final, quatre Bleus (Badiane, Diawara, Gomis, Ferchaud) atteignent la barre des 10 points. Altruiste tout au long du match, Parker a, lui, profité d'une dernière minute de feu pour compléter sa ligne de stats (8 points dont 6 en toute fin de match, 5 pds, 5 rbds).
De son côté, Claude Bergeaud, le sélectionneur, pouvait souffler :« Nous avions à coeur de pouvoir nous regarder dans les yeux à la fin du match en se disant qu'on était au moins dans les clous sur le plan athlétique et physique. A ce niveau, c'était même peut-être mieux que prévu. L'équipe de France aura un besoin vital d'une grosse intensité défensive. Ce sera une question de vie ou de mort pour pouvoir développer notre jeu rapide derrière. » En attendant Diaw, le programme des prochaines semaines est limpide.
La feuille de match
A Strasbourg (Rhénus sport) : France bat Slovénie 80 à 60 (20-16, 17-17, 23-19, 20-8)
Arbitres : MM. Castano, Koukoulekidis et Mortz
Spectateurs : 3500 environ
France : 29 paniers (dont 6 sur 20 à trois points) sur 57 tirs (51%) - 16 LF sur 19 tentés - 30 rebonds (Diawara, Parker et Badiane 5) - 18 passes décisives (Parker 5) - 8 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Gomis (13), Morandais (0), Jeanneau (5), Sangare (0), Diawara (12), Parker (8), Ferchaud (10), P. Badiane (16), Giffa (2), Turiaf (9), Weis (5)
Slovénie : 20 paniers (dont 5 sur 21 à trois points) sur 53 tirs (38%) - 15 LF sur 20 tentés - 34 rebonds (Jagodnik 11) - 9 passes décisives - 8 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Cebular (6), Capin (7), Dragic (2), Nesterovic (10), Smodis (11), Skolar (3), Koblucar (3), Jagodnik (8), D. Lorbek (1), Vidmar (0), E. Lorbek (9)
Après la sévère défaite de la veille face aux Grecs (74-55), la France s'est rachetée dimanche avec une victoire sans appel face à la Slovénie (80-60). Ce succès revêt une importance psychologique certaine puisque les Slovènes restaient invaincus à Strasbourg après avoir déroulé un basket très apprécié contre les Grecs, puis les Serbes. Toujours privés de Boris Diaw, Tariq Kirksay et Florent Piétrus, les Bleus, mordants défensivement, ont cherché leurs repères durant quelques minutes avant de réussir à trouver la clé pour dérouler leur jeu de transition.
«On avait manqué d'agressivité face aux Grecs, reculant sans cesse, confiait Boris Diaw avant le match. Il nous faut réagir dès le premier quart-temps aujourd'hui». Recette parfaitement appliquée en début de match par ses coéquipiers, emmenés par la vivacité de Tony Parker et la réussite de Yakhouba Diawara (7 pts dans le premier quart-temps, photo L'Equipe). En tête après dix minutes (20-16), les Bleus ont hoqueté durant le petit passage de Tony Parker sur le banc (24-23), profitant pour rester en tête de l'énergie bien canalisée de Papa Badiane (37-33 à la mi-temps).
C'est au début du dernier quart-temps que les Français ont pris le large (9-0). Des Tricolores irréprochables en attaque, à l'image d'un Badiane qui a battu son record de points en sélection (16 points). A la fin du match, il pouvait jubiler : «C'était un peu difficile pour moi hier (samedi) et il était important pour moi de me rattraper. Mais une fois que notre jeu est ouvert, tout le monde s'amuse dans cette équipe.»
Tout le monde effectivement, puisqu'au final, quatre Bleus (Badiane, Diawara, Gomis, Ferchaud) atteignent la barre des 10 points. Altruiste tout au long du match, Parker a, lui, profité d'une dernière minute de feu pour compléter sa ligne de stats (8 points dont 6 en toute fin de match, 5 pds, 5 rbds).
De son côté, Claude Bergeaud, le sélectionneur, pouvait souffler :« Nous avions à coeur de pouvoir nous regarder dans les yeux à la fin du match en se disant qu'on était au moins dans les clous sur le plan athlétique et physique. A ce niveau, c'était même peut-être mieux que prévu. L'équipe de France aura un besoin vital d'une grosse intensité défensive. Ce sera une question de vie ou de mort pour pouvoir développer notre jeu rapide derrière. » En attendant Diaw, le programme des prochaines semaines est limpide.
La feuille de match
A Strasbourg (Rhénus sport) : France bat Slovénie 80 à 60 (20-16, 17-17, 23-19, 20-8)
Arbitres : MM. Castano, Koukoulekidis et Mortz
Spectateurs : 3500 environ
France : 29 paniers (dont 6 sur 20 à trois points) sur 57 tirs (51%) - 16 LF sur 19 tentés - 30 rebonds (Diawara, Parker et Badiane 5) - 18 passes décisives (Parker 5) - 8 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Gomis (13), Morandais (0), Jeanneau (5), Sangare (0), Diawara (12), Parker (8), Ferchaud (10), P. Badiane (16), Giffa (2), Turiaf (9), Weis (5)
Slovénie : 20 paniers (dont 5 sur 21 à trois points) sur 53 tirs (38%) - 15 LF sur 20 tentés - 34 rebonds (Jagodnik 11) - 9 passes décisives - 8 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Cebular (6), Capin (7), Dragic (2), Nesterovic (10), Smodis (11), Skolar (3), Koblucar (3), Jagodnik (8), D. Lorbek (1), Vidmar (0), E. Lorbek (9)
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Trop fort même au basket il claque le Bafé :arrow:boubynight wrote:Basket - T. de Strasbourg - La France se rassure
Après la sévère défaite de la veille face aux Grecs (74-55), la France s'est rachetée dimanche avec une victoire sans appel face à la Slovénie (80-60). Ce succès revêt une importance psychologique certaine puisque les Slovènes restaient invaincus à Strasbourg après avoir déroulé un basket très apprécié contre les Grecs, puis les Serbes. Toujours privés de Boris Diaw, Tariq Kirksay et Florent Piétrus, les Bleus, mordants défensivement, ont cherché leurs repères durant quelques minutes avant de réussir à trouver la clé pour dérouler leur jeu de transition.
«On avait manqué d'agressivité face aux Grecs, reculant sans cesse, confiait Boris Diaw avant le match. Il nous faut réagir dès le premier quart-temps aujourd'hui». Recette parfaitement appliquée en début de match par ses coéquipiers, emmenés par la vivacité de Tony Parker et la réussite de Yakhouba Diawara (7 pts dans le premier quart-temps, photo L'Equipe). En tête après dix minutes (20-16), les Bleus ont hoqueté durant le petit passage de Tony Parker sur le banc (24-23), profitant pour rester en tête de l'énergie bien canalisée de Papa Badiane (37-33 à la mi-temps).
C'est au début du dernier quart-temps que les Français ont pris le large (9-0). Des Tricolores irréprochables en attaque, à l'image d'un Badiane qui a battu son record de points en sélection (16 points). A la fin du match, il pouvait jubiler : «C'était un peu difficile pour moi hier (samedi) et il était important pour moi de me rattraper. Mais une fois que notre jeu est ouvert, tout le monde s'amuse dans cette équipe.»
Tout le monde effectivement, puisqu'au final, quatre Bleus (Badiane, Diawara, Gomis, Ferchaud) atteignent la barre des 10 points. Altruiste tout au long du match, Parker a, lui, profité d'une dernière minute de feu pour compléter sa ligne de stats (8 points dont 6 en toute fin de match, 5 pds, 5 rbds).
De son côté, Claude Bergeaud, le sélectionneur, pouvait souffler :« Nous avions à coeur de pouvoir nous regarder dans les yeux à la fin du match en se disant qu'on était au moins dans les clous sur le plan athlétique et physique. A ce niveau, c'était même peut-être mieux que prévu. L'équipe de France aura un besoin vital d'une grosse intensité défensive. Ce sera une question de vie ou de mort pour pouvoir développer notre jeu rapide derrière. » En attendant Diaw, le programme des prochaines semaines est limpide.
La feuille de match
A Strasbourg (Rhénus sport) : France bat Slovénie 80 à 60 (20-16, 17-17, 23-19, 20-8)
Arbitres : MM. Castano, Koukoulekidis et Mortz
Spectateurs : 3500 environ
France : 29 paniers (dont 6 sur 20 à trois points) sur 57 tirs (51%) - 16 LF sur 19 tentés - 30 rebonds (Diawara, Parker et Badiane 5) - 18 passes décisives (Parker 5) - 8 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Gomis (13), Morandais (0), Jeanneau (5), Sangare (0), Diawara (12), Parker (8), Ferchaud (10), P. Badiane (16), Giffa (2), Turiaf (9), Weis (5)
Slovénie : 20 paniers (dont 5 sur 21 à trois points) sur 53 tirs (38%) - 15 LF sur 20 tentés - 34 rebonds (Jagodnik 11) - 9 passes décisives - 8 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Cebular (6), Capin (7), Dragic (2), Nesterovic (10), Smodis (11), Skolar (3), Koblucar (3), Jagodnik (8), D. Lorbek (1), Vidmar (0), E. Lorbek (9)
Survivor étape 4
Alfa, La buse, Ozzy, Sorbiers
Alfa, La buse, Ozzy, Sorbiers
Trop fort Pape Badiane :shock:
Une bonne note pour finir
Au lendemain d'une sortie ratée devant les Grecs, l'équipe de France a mis un point d'honneur, dimanche, à bien terminer le tournoi de Strasbourg. Face à la Slovénie invaincue jusque là en Alsace, les Bleus ont livré, et de loin, leur match le plus abouti du week-end conclu sur un joli succès 80-60. Pape Badiane (16 points), Joseph Gomis (13) et Yakhouba Diawara (12) ont profité du festival offensif tricolore pour briller. Les troupes de Claude Bergeaud ont désormais une semaine pour soigner leurs petits bobos et peaufiner les réglages en vue du tournoi de Paris.
Le public du Rhénus, lequel s'est d'ailleurs déplacé en masse depuis vendredi, en a pris plein les yeux. L'équipe de France du dimanche n'avait il est vrai rien à voir avec celle stérile de la veille corrigée par la toujours impeccable Grèce (55-74). Maladroits au possible samedi face aux vice-champions du monde hellènes (27% d'adresse), les artilleurs tricolores ont retrouvé la mire en cette troisième et dernière journée du tournoi de Strasbourg contre une équipe de Slovénie rajeunie en vue de l'Euro 2007 (ses stars NBA Udrih, Nachbar, Brezec et Vujacic ayant il est vrai gentiment décliné la sélection, Ndlr) mais non moins dangereuse comme l'avaient démontrées ses victoires convaincantes sur la Grèce, puis la Serbie, en Alsace.
Pour mettre un terme à l'invincibilité des Slovènes, que les Bleus retrouveront lors de leur troisième match de poule du Championnat d'Europe à Alicante le 5 septembre, Claude Bergeaud avait toutefois décidé de faire confiance au même cinq de départ que la veille avec Tony Parker, Joseph Gomis, Yakhouba Diawara, Sacha Giffa et Frédéric Weis alignés d'entrée. Attendu pour débuter au poste 4 à la place du local Giffa, l'ailier-fort évoluant à Strasbourg, Ronny Turiaf, de loin le Français le plus prolifique depuis le début de la préparation des Bleus, devait une nouvelle fois se contenter du banc.
Badiane métamorphosé
Si Tony Parker connaissait une entame assez délicate, le meneur des Spurs ne pouvant pas retrouver en deux bouts de match toutes ses sensations après près de deux mois sans compétition, les ailiers français Gomis et Diawara mettaient grâce à leur adresse extérieure les Bleus sur des bons rails malgré les velléités de Matjaz Smodis et Rasho Nesterovic, ce dernier formant avec Uros Slokar et Jaka Lakovic, ménagé dimanche, le trio des rescapés du dernier Mondial japonais. Cette équipe rajeunie avait néanmoins toutes les peines du monde à suivre le rythme imprimé par les dragsters français décidés à faire vivre le ballon afin de se procurer un maximum de shoots ouverts. La réussite étant au rendez-vous, l'équipe de France menait parfaitement sa barque pour tourner à la pause avec quatre longueurs d'avance grâce à un panier à 3 points au buzzer de Cédric Ferchaud (37-33).
Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre ne changeait guère si ce n'est que les combinaisons françaises se révélaient de mieux en mieux huilées, au point de voir des phases offensives d'une fluidité déconcertante et surtout à des années lumières de la copie brouillonne rendue vingt-quatre heures plus tôt face à la Grèce. Dans ce festival, certains joueurs se mettaient en évidence, et pas forcément les plus attendus. Ainsi, Pape Badiane, davantage reconnu pour son dévouement dans les tâches obscures que pour son leadership offensif, devenait inarrêtable en attaque au point que l'intérieur roannais, en plus de battre son record de points en sélection, terminait meilleur marqueur de la rencontre avec 16 unités au compteur. En balance avec Giffa pour une place dans la liste des 12 que Bergeaud pourrait bien n'annoncer qu'après le tournoi de Paris le week-end prochain, Badiane a clairement marqué des points dimanche au lendemain d'une sortie très discrète face aux intérieurs grecs.
Avantage Ferchaud
Pas sûr que Michel Morandais demeure dans les petits papiers de son sélectionneur.Pas sûr que Michel Morandais demeure dans les petits papiers de son sélectionneur.
"Le match de samedi a vraiment été dur pour moi, reconnaissait le néo-Bleu au micro de Sport +. Il était important de me rattraper. J'ai donné tout ce que j'ai pu pour le réussir", poursuivait-il modestement. Lui aussi en concurrence pour entrer dans la sélection finale, avec Cédric Ferchaud, et complètement transparent contre les Hellènes, Michel Morandais n'a pas connu la même réussite. Une nouvelle fois privé d'adresse (0 sur 3), l'arrière de Naples a terminé le tournoi avec un pitoyable 1 sur 17 aux tirs et ce n'est pas son monumental contre réussi lors du quatrième acte qui lui fera retrouver le sourire. Frustré par ses performances, alors que Ferchaud a livré une solide prestation (10 points à 4 sur 7), Morandais pourrait bien revivre la même désillusion que l'an passé où il avait été éjecté de la présélection avant le Championnat du monde au Japon.
"Ferchaud et Morandais n'ont pas de questions à se poser, confiait leur sélectionneur à la mi-temps. Ils doivent prendre les shoots qui se présentent. Le plus efficace sera gardé." C'est donc le Choletais qui devrait faire ses valises pour l'Espagne à la fin du mois d'août. Quant à la fin du match face à la Slovénie, l'équipe de France mettait beaucoup de soin pour finir en beauté mais aussi pour en mettre plein les yeux au public strasbourgeois conquis, lequel pouvait s'émerveiller devant les dunks tout en férocité de Diawara et Turiaf ou encore les slaloms d'un Parker beaucoup plus incisif en fin de partie. Clôturant la marque (80-60) par un petit tir drop au nez et à la barbe des intérieurs slovènes, le meneur vedette des Bleus aura rassuré son monde lors de ses deux matches de rentrée disputés à l'occasion de l'épreuve alsacienne.
Sa blessure à la cheville gauche n'est plus qu'un mauvais souvenir et son retour va désormais permettre aux Bleus de travailler plus sereinement les combinaisons à l'entraînement. Mais la montée en puissance des Bleus est également liée à la présence de Boris Diaw sur le parquet. Toujours dans l'attente du feu vert de la compagnie d'assurance censée couvrir son dos, l'ailier des Suns n'en finit plus de ronger son frein. Si l'épilogue de ce triste feuilleton devrait prendre fin en début de semaine, bien que les derniers épisodes ont montré qu'il fallait rester très prudent, le retour du capitaine français en compétition se ferait alors à Coubertin où les Bleus défieront le Portugal, la République tchèque et la Russie à partir de vendredi. Un tournoi destiné à l'origine à peaufiner les derniers réglages mais dont le staff tricolore pourrait tout simplement se servir pour enfin voir à l'oeuvre son équipe-type. A seulement deux semaines et demie du début de l'Euro...
www.sports.fr
Une bonne note pour finir
Au lendemain d'une sortie ratée devant les Grecs, l'équipe de France a mis un point d'honneur, dimanche, à bien terminer le tournoi de Strasbourg. Face à la Slovénie invaincue jusque là en Alsace, les Bleus ont livré, et de loin, leur match le plus abouti du week-end conclu sur un joli succès 80-60. Pape Badiane (16 points), Joseph Gomis (13) et Yakhouba Diawara (12) ont profité du festival offensif tricolore pour briller. Les troupes de Claude Bergeaud ont désormais une semaine pour soigner leurs petits bobos et peaufiner les réglages en vue du tournoi de Paris.
Le public du Rhénus, lequel s'est d'ailleurs déplacé en masse depuis vendredi, en a pris plein les yeux. L'équipe de France du dimanche n'avait il est vrai rien à voir avec celle stérile de la veille corrigée par la toujours impeccable Grèce (55-74). Maladroits au possible samedi face aux vice-champions du monde hellènes (27% d'adresse), les artilleurs tricolores ont retrouvé la mire en cette troisième et dernière journée du tournoi de Strasbourg contre une équipe de Slovénie rajeunie en vue de l'Euro 2007 (ses stars NBA Udrih, Nachbar, Brezec et Vujacic ayant il est vrai gentiment décliné la sélection, Ndlr) mais non moins dangereuse comme l'avaient démontrées ses victoires convaincantes sur la Grèce, puis la Serbie, en Alsace.
Pour mettre un terme à l'invincibilité des Slovènes, que les Bleus retrouveront lors de leur troisième match de poule du Championnat d'Europe à Alicante le 5 septembre, Claude Bergeaud avait toutefois décidé de faire confiance au même cinq de départ que la veille avec Tony Parker, Joseph Gomis, Yakhouba Diawara, Sacha Giffa et Frédéric Weis alignés d'entrée. Attendu pour débuter au poste 4 à la place du local Giffa, l'ailier-fort évoluant à Strasbourg, Ronny Turiaf, de loin le Français le plus prolifique depuis le début de la préparation des Bleus, devait une nouvelle fois se contenter du banc.
Badiane métamorphosé
Si Tony Parker connaissait une entame assez délicate, le meneur des Spurs ne pouvant pas retrouver en deux bouts de match toutes ses sensations après près de deux mois sans compétition, les ailiers français Gomis et Diawara mettaient grâce à leur adresse extérieure les Bleus sur des bons rails malgré les velléités de Matjaz Smodis et Rasho Nesterovic, ce dernier formant avec Uros Slokar et Jaka Lakovic, ménagé dimanche, le trio des rescapés du dernier Mondial japonais. Cette équipe rajeunie avait néanmoins toutes les peines du monde à suivre le rythme imprimé par les dragsters français décidés à faire vivre le ballon afin de se procurer un maximum de shoots ouverts. La réussite étant au rendez-vous, l'équipe de France menait parfaitement sa barque pour tourner à la pause avec quatre longueurs d'avance grâce à un panier à 3 points au buzzer de Cédric Ferchaud (37-33).
Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre ne changeait guère si ce n'est que les combinaisons françaises se révélaient de mieux en mieux huilées, au point de voir des phases offensives d'une fluidité déconcertante et surtout à des années lumières de la copie brouillonne rendue vingt-quatre heures plus tôt face à la Grèce. Dans ce festival, certains joueurs se mettaient en évidence, et pas forcément les plus attendus. Ainsi, Pape Badiane, davantage reconnu pour son dévouement dans les tâches obscures que pour son leadership offensif, devenait inarrêtable en attaque au point que l'intérieur roannais, en plus de battre son record de points en sélection, terminait meilleur marqueur de la rencontre avec 16 unités au compteur. En balance avec Giffa pour une place dans la liste des 12 que Bergeaud pourrait bien n'annoncer qu'après le tournoi de Paris le week-end prochain, Badiane a clairement marqué des points dimanche au lendemain d'une sortie très discrète face aux intérieurs grecs.
Avantage Ferchaud
Pas sûr que Michel Morandais demeure dans les petits papiers de son sélectionneur.Pas sûr que Michel Morandais demeure dans les petits papiers de son sélectionneur.
"Le match de samedi a vraiment été dur pour moi, reconnaissait le néo-Bleu au micro de Sport +. Il était important de me rattraper. J'ai donné tout ce que j'ai pu pour le réussir", poursuivait-il modestement. Lui aussi en concurrence pour entrer dans la sélection finale, avec Cédric Ferchaud, et complètement transparent contre les Hellènes, Michel Morandais n'a pas connu la même réussite. Une nouvelle fois privé d'adresse (0 sur 3), l'arrière de Naples a terminé le tournoi avec un pitoyable 1 sur 17 aux tirs et ce n'est pas son monumental contre réussi lors du quatrième acte qui lui fera retrouver le sourire. Frustré par ses performances, alors que Ferchaud a livré une solide prestation (10 points à 4 sur 7), Morandais pourrait bien revivre la même désillusion que l'an passé où il avait été éjecté de la présélection avant le Championnat du monde au Japon.
"Ferchaud et Morandais n'ont pas de questions à se poser, confiait leur sélectionneur à la mi-temps. Ils doivent prendre les shoots qui se présentent. Le plus efficace sera gardé." C'est donc le Choletais qui devrait faire ses valises pour l'Espagne à la fin du mois d'août. Quant à la fin du match face à la Slovénie, l'équipe de France mettait beaucoup de soin pour finir en beauté mais aussi pour en mettre plein les yeux au public strasbourgeois conquis, lequel pouvait s'émerveiller devant les dunks tout en férocité de Diawara et Turiaf ou encore les slaloms d'un Parker beaucoup plus incisif en fin de partie. Clôturant la marque (80-60) par un petit tir drop au nez et à la barbe des intérieurs slovènes, le meneur vedette des Bleus aura rassuré son monde lors de ses deux matches de rentrée disputés à l'occasion de l'épreuve alsacienne.
Sa blessure à la cheville gauche n'est plus qu'un mauvais souvenir et son retour va désormais permettre aux Bleus de travailler plus sereinement les combinaisons à l'entraînement. Mais la montée en puissance des Bleus est également liée à la présence de Boris Diaw sur le parquet. Toujours dans l'attente du feu vert de la compagnie d'assurance censée couvrir son dos, l'ailier des Suns n'en finit plus de ronger son frein. Si l'épilogue de ce triste feuilleton devrait prendre fin en début de semaine, bien que les derniers épisodes ont montré qu'il fallait rester très prudent, le retour du capitaine français en compétition se ferait alors à Coubertin où les Bleus défieront le Portugal, la République tchèque et la Russie à partir de vendredi. Un tournoi destiné à l'origine à peaufiner les derniers réglages mais dont le staff tricolore pourrait tout simplement se servir pour enfin voir à l'oeuvre son équipe-type. A seulement deux semaines et demie du début de l'Euro...
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Tournoi de Strasbourg - Badiane et Gomis étonnent
Dans le sillage de Pape Badiane et de Joseph Gomis, la France a écrasé la Slovénie (80-60), lors du dernier match du tournoi de Strasbourg. L'intérieur de Roanne et l'arrière de Valladolid ont été époustouflants mais Cédric Ferchaud a aussi marqué des points dans son duel face à Michel Morandais.
Plus d'infosParker, retour perdant
Ils étaient attendus au tournant. Après la fameuse claque grecque reçue samedi, les Tricolores se devaient de réagir. De montrer que cette déroute n'était qu'une erreur de parcours. Ils n'ont pas déçu leurs supporteurs du Rhénus Sport de Strasbourg. Face à la solide équipe de Slovénie qui avait séduit tous les observateurs depuis l'ouverture du tournoi de Strasbourg (deux victoires), ils ont sorti un match convaincant. Avec une deuxième mi-temps de haute volée.
Après une première période déjà bien menée avec Tony Parker comme baromètre (37-33, 20e), les protégés de Claude Bergeaud ont sorti le grand jeu après la pause. Adroits, très solides en défense et mieux organisés offensivement, ils ont fait exploser les Slovènes en vingt minutes (43-27). Complètement assommés par le jeu tricolore et moins précis aux tirs de loin, les coéquipiers de Nesterovic, privés de leur meneur Lakovic, ont cédé au fil des minutes pour finir à vingt longueurs. Les Français répondaient à la leçon hellène avec une démonstration collective (huit joueurs à plus de 5 points). Une belle manière de reprendre confiance. Surtout qu'ils retrouveront la Slovénie au premier tour de l'Euro.
Ferchaud marque des points
Mais si le collectif a répondu présent, plusieurs joueurs ont surtout tiré leur épingle du jeu. Et ont marqué des points précieux auprès de Claude Bergeaud. Au premier rang arrive Pape Badiane. Le pivot de Roanne, critiqué après sa prestation timide contre la Grèce (0 sur 4), a mis tout le monde d'accord. Pour son cinquième match sous le maillot bleu, le champion de France a été époustouflant. Appelé de dernière minute après le forfait de Ian Mahinmi, il a montré qu'il pouvait jouer plus qu'un rôle de joker. En 21 minutes, il a apporté toute son envie mais également sa présence sous les panneaux en attaque (16 points à 5 sur 7, 5 rebonds et 1 passe en 21 minutes). Un vrai plus !
Mais si Badiane a surpris tout son monde, Joseph Gomis a également séduit. Déjà très en vue depuis son arrivée en Alsace, l'arrière de Valladolid a confirmé la confiance que Bergeaud place en lui. Au poste d'arrière titulaire, l'ancien joueur d'Evreux est insaisissable. C'est simple : il sait tout faire. Percutant, adroit et rapide, il a été l'un des grands artisans du succès français. Bien épaulé il est vrai par Yakhouba Diawara, Ronny Turiaf et un Tony Parker plus organisateur que finisseur (8 pts, 5 pds, 5 rbds). En clair : l'équipe commence à prendre forme et a montré un bel état d'esprit après la déroute grecque.
Mais voilà, les enseignements du tournoi de Strasbourg ne s'arrêtent pas là. Après trois matches dans l'Est, le duel de shooteur semble irrémédiablement tourner en faveur de Cédric Ferchaud. Déjà impeccable dans son rôle de shooteur depuis le début de la préparation, l'ailier de Pau-Orthez en a remis une couche dimanche. Comme à Pau, l'ancien Choletais aime sortir du banc pour planter quelques banderilles. Il l'a encore démontré contre la Slovénie avec un 4 sur 7 aux tirs pour terminer à 10 points. A l'inverse, Michel Morandais n'y arrive pas. Le joueur de Naples, qui termine avec un cinglant 1 sur 17 aux tirs à Strasbourg, a vécu une journée cauchemardesque, terminant avec 0 unité au compteur. Il perd du terrain. Et va devoir vite réagir. Sinon il va encore se retrouver sur le carreau. Comme l'année dernière...
LA DECLA : Pape Badiane (intérieur de l'équipe de France)
"J'ai essayé de plus me concentrer plus sur ce match-là vu ma prestation d'hier (samedi face à la Grèce). Il était super important de réagir chacun de son côté et aussi en tant que groupe. On s'est appliqué à jouer plus agressif, on a posé notre jeu, resserré notre défense et joué notre jeu rapide derrière. Deux victoires dans le tournoi, c'est plutôt pas mal vu la qualité des équipes en lice."
Dans le sillage de Pape Badiane et de Joseph Gomis, la France a écrasé la Slovénie (80-60), lors du dernier match du tournoi de Strasbourg. L'intérieur de Roanne et l'arrière de Valladolid ont été époustouflants mais Cédric Ferchaud a aussi marqué des points dans son duel face à Michel Morandais.
Plus d'infosParker, retour perdant
Ils étaient attendus au tournant. Après la fameuse claque grecque reçue samedi, les Tricolores se devaient de réagir. De montrer que cette déroute n'était qu'une erreur de parcours. Ils n'ont pas déçu leurs supporteurs du Rhénus Sport de Strasbourg. Face à la solide équipe de Slovénie qui avait séduit tous les observateurs depuis l'ouverture du tournoi de Strasbourg (deux victoires), ils ont sorti un match convaincant. Avec une deuxième mi-temps de haute volée.
Après une première période déjà bien menée avec Tony Parker comme baromètre (37-33, 20e), les protégés de Claude Bergeaud ont sorti le grand jeu après la pause. Adroits, très solides en défense et mieux organisés offensivement, ils ont fait exploser les Slovènes en vingt minutes (43-27). Complètement assommés par le jeu tricolore et moins précis aux tirs de loin, les coéquipiers de Nesterovic, privés de leur meneur Lakovic, ont cédé au fil des minutes pour finir à vingt longueurs. Les Français répondaient à la leçon hellène avec une démonstration collective (huit joueurs à plus de 5 points). Une belle manière de reprendre confiance. Surtout qu'ils retrouveront la Slovénie au premier tour de l'Euro.
Ferchaud marque des points
Mais si le collectif a répondu présent, plusieurs joueurs ont surtout tiré leur épingle du jeu. Et ont marqué des points précieux auprès de Claude Bergeaud. Au premier rang arrive Pape Badiane. Le pivot de Roanne, critiqué après sa prestation timide contre la Grèce (0 sur 4), a mis tout le monde d'accord. Pour son cinquième match sous le maillot bleu, le champion de France a été époustouflant. Appelé de dernière minute après le forfait de Ian Mahinmi, il a montré qu'il pouvait jouer plus qu'un rôle de joker. En 21 minutes, il a apporté toute son envie mais également sa présence sous les panneaux en attaque (16 points à 5 sur 7, 5 rebonds et 1 passe en 21 minutes). Un vrai plus !
Mais si Badiane a surpris tout son monde, Joseph Gomis a également séduit. Déjà très en vue depuis son arrivée en Alsace, l'arrière de Valladolid a confirmé la confiance que Bergeaud place en lui. Au poste d'arrière titulaire, l'ancien joueur d'Evreux est insaisissable. C'est simple : il sait tout faire. Percutant, adroit et rapide, il a été l'un des grands artisans du succès français. Bien épaulé il est vrai par Yakhouba Diawara, Ronny Turiaf et un Tony Parker plus organisateur que finisseur (8 pts, 5 pds, 5 rbds). En clair : l'équipe commence à prendre forme et a montré un bel état d'esprit après la déroute grecque.
Mais voilà, les enseignements du tournoi de Strasbourg ne s'arrêtent pas là. Après trois matches dans l'Est, le duel de shooteur semble irrémédiablement tourner en faveur de Cédric Ferchaud. Déjà impeccable dans son rôle de shooteur depuis le début de la préparation, l'ailier de Pau-Orthez en a remis une couche dimanche. Comme à Pau, l'ancien Choletais aime sortir du banc pour planter quelques banderilles. Il l'a encore démontré contre la Slovénie avec un 4 sur 7 aux tirs pour terminer à 10 points. A l'inverse, Michel Morandais n'y arrive pas. Le joueur de Naples, qui termine avec un cinglant 1 sur 17 aux tirs à Strasbourg, a vécu une journée cauchemardesque, terminant avec 0 unité au compteur. Il perd du terrain. Et va devoir vite réagir. Sinon il va encore se retrouver sur le carreau. Comme l'année dernière...
LA DECLA : Pape Badiane (intérieur de l'équipe de France)
"J'ai essayé de plus me concentrer plus sur ce match-là vu ma prestation d'hier (samedi face à la Grèce). Il était super important de réagir chacun de son côté et aussi en tant que groupe. On s'est appliqué à jouer plus agressif, on a posé notre jeu, resserré notre défense et joué notre jeu rapide derrière. Deux victoires dans le tournoi, c'est plutôt pas mal vu la qualité des équipes en lice."
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]