Basket - NBA - Bokolo à l'essai à Denver
A 22 ans, le temps de se présenter à la Draft est venu pour Yannick Bokolo. Mais le meneur du Mans, classé... 74e parmi les arrières inscrits en 2007 par le média américain ESPN, n'a qu'une chance infime de faire partie, jeudi, des 60 joueurs retenus par une équipe NBA. Ce qui ne l'empêche pas pas d'espérer être signé comme "joueur libre" et d'effectuer actuellement un essai avec les Nuggets. Denver, qui a signé avec ce système Yakhouba Diawara il y a un an, pourrait lui proposer un contrat non garanti (non réglé en cas de licenciement), de deux ans.
Resterait ensuite à régler le problème du transfert, Yannick Bokolo étant toujours sous contrat avec Le Mans. «S'il a une opportunité de signer en NBA, il n'est pas question de s'y opposer. Il dispose d'une clause dans son contrat (NDLR : dont le montant n'a pas été rendu public) qui lui permet de partir en NBA», assure le manager général du MSB, Christophe Lebouille. L'autre meneur-arrière de l'équipe, Pape Philippe Amagou, ayant aussi demandé à pouvoir partir, ce qu'ont accepté ses dirigeants, les Manceaux ont déjà commencé à reconstruire leur ligne arrière en signant le très prometteur espoir Antoine Diot, MVP de l'Euro Cadets en 2005.
[Basket] Reprise saison NBA
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Basket - NBA Les Lakers veulent Garnett
mar 26 jui, 12h01
Kevin Garnett (Minnesota Timberwolves) portera-t-il le maillot des Los Angeles Lakers la saison prochaine ? Les discussions entre les deux équipes se poursuivent. En échange, la franchise californienne proposerait Lamar Odom et Andrew Bynum, selon le Los Angeles Times.
Au départ, une négociation était en cours, incluant aussi les Indiana Pacers et les Boston Celtics. Mais ces derniers se sont finalement retirés, après que Garnett ait refusé de venir chez eux, laissant Los Angeles et Minnesota en tête à tête.
Il y a quatre semaines, Kevin Garnett avait demandé à être transféré. En 2004, il avait été désigné MVP du Championnat et les Timberwolves avaient échoué aux portes de la finale, battus par les Lakers. Depuis Minnesota n'a plus disputé les play-offs.
KG et Kobe ça ferait très mal !
et le départ de Odom et Bynum laisserait plus de temps de jeu à Rony Turiaf !
mar 26 jui, 12h01
Kevin Garnett (Minnesota Timberwolves) portera-t-il le maillot des Los Angeles Lakers la saison prochaine ? Les discussions entre les deux équipes se poursuivent. En échange, la franchise californienne proposerait Lamar Odom et Andrew Bynum, selon le Los Angeles Times.
Au départ, une négociation était en cours, incluant aussi les Indiana Pacers et les Boston Celtics. Mais ces derniers se sont finalement retirés, après que Garnett ait refusé de venir chez eux, laissant Los Angeles et Minnesota en tête à tête.
Il y a quatre semaines, Kevin Garnett avait demandé à être transféré. En 2004, il avait été désigné MVP du Championnat et les Timberwolves avaient échoué aux portes de la finale, battus par les Lakers. Depuis Minnesota n'a plus disputé les play-offs.
KG et Kobe ça ferait très mal !
et le départ de Odom et Bynum laisserait plus de temps de jeu à Rony Turiaf !
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Bon alors après être passé par Toulouse et Bordeaux je suis de retour dans ma patrie, la Loire, jusqu'à dimanche ... ça va faire du bien de rentrer un peu chez soi.
Au niveau basket ... demain ... la DRAFT !
Noah a la cote
Le grand jour approche. Jeudi soir, Joakim Noah sera sous les projecteurs du Madison Square Garden de New York pour la draft 2007. Le pivot français, qui jouit d'une cote immense aux Etats-Unis depuis le doublé des Gators de Florida en NCAA, suscite l'intérêt d'une dizaine de franchises NBA toutes prêtes à investir sur son talent. Annoncé parmi les quinze premiers choix du premier tour, le fils de l'ancien tennisman Yannick Noah aujourd'hui reconverti dans la chanson est fortement pressenti pour atterrir à Charlotte, chez les Bobcats.
Parmi les quatre Français inscrits à la draft 2007 (*), Joakim Noah ne devrait pas passer inaperçu dans les couloirs du Madison Square Garden jeudi soir. Personnage assez extravagant, une caractéristique dont il a certainement héritée de son père, le premier basketteur français à avoir décroché un titre NCAA laisse rarement insensible. Charismatique, l'ex-star des Gators de Florida, avec lesquels il est devenu double champion universitaire lors des deux saisons écoulées, une performance qui n'avait plus été réalisée depuis 1992 (par l'Université de Duke), possède également un look original. Grand (2,11m), mince, cheveux longs et bouclés, le jeune homme né aux Etats-Unis voilà 22 ans d'un père français et d'une mère suédoise a tout pour se faire remarquer. Egalement le talent.
C'est ainsi de manière logique que, dans la foulée du doublé de Florida, « Yooks », son surnom, annonçait qu'il effectuerait cette année le grand saut pour la NBA, et qu'il se présenterait donc à la draft 2007 organisée au Madison Square Garden de New York, sa ville natale. Une décision mûrement réfléchie, sachant qu'une année plus tôt il avait préféré poursuivre son cursus universitaire en Floride alors que de nombreuses franchises NBA lui faisaient déjà les yeux doux. Douze mois plus tard, sa cote n'a pas fléchi outre-Atlantique même si ses performances cette saison, notamment lors de la March Madness (les phases finales universitaires n'ont pas été du même calibre que lors du premier sacre de Florida lorsqu'il avait été élu MVP du Final Four.
Français drafté le plus haut ?
Joakim Noah, pivot de formation mais qui devrait davantage jouer ailier-fort en NBA, figure, à quelques heures de la draft, sur les petits papiers d'une dizaine de franchises nord-américaines. Il vient d'ailleurs d'effectuer des essais privés avec sept équipes qui possèdent toutes l'un des dix premiers choix: Chicago, Boston, Atlanta, Minnesota, Memphis, Sacramento et Charlotte. C'est d'ailleurs dans les rangs de cette dernière que le Français, réputé pour ses qualités de défenseur (rebond et contre notamment), a le plus de chances d'atterrir selon la presse spécialisée américaine. Des Bobcats dont l'un des actionnaires principaux n'est autre que Michael Jordan, bien décidé à ce que la formation de Caroline du Nord accède aux play-offs dès la saison prochaine.
Reste qu'il est toujours très difficile de tirer des plans sur la comète dans un système où les franchises doivent s'adapter en temps et en heures aux choix faits par les équipes qui les précèdent. Sans oublier que tous les dirigeants NBA seront au Madison Square Garden jeudi soir, et nombreux seront ceux à l'affût du moindre échange susceptible d'améliorer leur effectif. Il faudra donc attendre tard jeudi soir, vendredi matin pour les Français, pour connaître le nom de la future destination de Joakim Noah. Rappelons qu'à ce jour, Tariq Abdul-Wahad et Mickael Pietrus demeurent les Français draftés le plus haut dans l'histoire de la Ligue nord-américaine (11e choix en 1997 par les Sacramento Kings pour le premier, 11e choix en 2003 par les Golden State Warriors).
Un rang élevé qui n'assure en rien un avenir doré sur les parquets NBA. En comparaison, Tony Parker, MVP des Finals cette année, n'avait été drafté qu'en 28e position par les Spurs en 2001. Sans l'ombre d'un doute, on peut affirmer que Joakim Noah fera mieux que TP à l'époque. On ne peut que lui souhaiter d'épouser une trajectoire semblable à celle du meneur de jeu des Spurs.
*: Yannick Bokolo (Le Mans), Sidiki Sidibe (Real Madrid) et Ali Traore (Roanne).
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Draft: Traoré, deuxième invité tricolore ?
Joakim Noah ne sera peut-être pas le seul Français à rejoindre les parquets estampillés NBA la saison prochaine. Ali Traoré, qui tournait à 10 points et 5 rebonds par match cette année sous le maillot du Havre, serait pressenti pour être drafté aux alentours de la 45e position, au deuxième tour. Cet intérieur de 22 ans a participé ces dernières semaines au camp d'entraînement d'Orlando et aurait fait belle impression auprès des nombreux recruteurs présents.
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Au niveau basket ... demain ... la DRAFT !
Noah a la cote
Le grand jour approche. Jeudi soir, Joakim Noah sera sous les projecteurs du Madison Square Garden de New York pour la draft 2007. Le pivot français, qui jouit d'une cote immense aux Etats-Unis depuis le doublé des Gators de Florida en NCAA, suscite l'intérêt d'une dizaine de franchises NBA toutes prêtes à investir sur son talent. Annoncé parmi les quinze premiers choix du premier tour, le fils de l'ancien tennisman Yannick Noah aujourd'hui reconverti dans la chanson est fortement pressenti pour atterrir à Charlotte, chez les Bobcats.
Parmi les quatre Français inscrits à la draft 2007 (*), Joakim Noah ne devrait pas passer inaperçu dans les couloirs du Madison Square Garden jeudi soir. Personnage assez extravagant, une caractéristique dont il a certainement héritée de son père, le premier basketteur français à avoir décroché un titre NCAA laisse rarement insensible. Charismatique, l'ex-star des Gators de Florida, avec lesquels il est devenu double champion universitaire lors des deux saisons écoulées, une performance qui n'avait plus été réalisée depuis 1992 (par l'Université de Duke), possède également un look original. Grand (2,11m), mince, cheveux longs et bouclés, le jeune homme né aux Etats-Unis voilà 22 ans d'un père français et d'une mère suédoise a tout pour se faire remarquer. Egalement le talent.
C'est ainsi de manière logique que, dans la foulée du doublé de Florida, « Yooks », son surnom, annonçait qu'il effectuerait cette année le grand saut pour la NBA, et qu'il se présenterait donc à la draft 2007 organisée au Madison Square Garden de New York, sa ville natale. Une décision mûrement réfléchie, sachant qu'une année plus tôt il avait préféré poursuivre son cursus universitaire en Floride alors que de nombreuses franchises NBA lui faisaient déjà les yeux doux. Douze mois plus tard, sa cote n'a pas fléchi outre-Atlantique même si ses performances cette saison, notamment lors de la March Madness (les phases finales universitaires n'ont pas été du même calibre que lors du premier sacre de Florida lorsqu'il avait été élu MVP du Final Four.
Français drafté le plus haut ?
Joakim Noah, pivot de formation mais qui devrait davantage jouer ailier-fort en NBA, figure, à quelques heures de la draft, sur les petits papiers d'une dizaine de franchises nord-américaines. Il vient d'ailleurs d'effectuer des essais privés avec sept équipes qui possèdent toutes l'un des dix premiers choix: Chicago, Boston, Atlanta, Minnesota, Memphis, Sacramento et Charlotte. C'est d'ailleurs dans les rangs de cette dernière que le Français, réputé pour ses qualités de défenseur (rebond et contre notamment), a le plus de chances d'atterrir selon la presse spécialisée américaine. Des Bobcats dont l'un des actionnaires principaux n'est autre que Michael Jordan, bien décidé à ce que la formation de Caroline du Nord accède aux play-offs dès la saison prochaine.
Reste qu'il est toujours très difficile de tirer des plans sur la comète dans un système où les franchises doivent s'adapter en temps et en heures aux choix faits par les équipes qui les précèdent. Sans oublier que tous les dirigeants NBA seront au Madison Square Garden jeudi soir, et nombreux seront ceux à l'affût du moindre échange susceptible d'améliorer leur effectif. Il faudra donc attendre tard jeudi soir, vendredi matin pour les Français, pour connaître le nom de la future destination de Joakim Noah. Rappelons qu'à ce jour, Tariq Abdul-Wahad et Mickael Pietrus demeurent les Français draftés le plus haut dans l'histoire de la Ligue nord-américaine (11e choix en 1997 par les Sacramento Kings pour le premier, 11e choix en 2003 par les Golden State Warriors).
Un rang élevé qui n'assure en rien un avenir doré sur les parquets NBA. En comparaison, Tony Parker, MVP des Finals cette année, n'avait été drafté qu'en 28e position par les Spurs en 2001. Sans l'ombre d'un doute, on peut affirmer que Joakim Noah fera mieux que TP à l'époque. On ne peut que lui souhaiter d'épouser une trajectoire semblable à celle du meneur de jeu des Spurs.
*: Yannick Bokolo (Le Mans), Sidiki Sidibe (Real Madrid) et Ali Traore (Roanne).
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Draft: Traoré, deuxième invité tricolore ?
Joakim Noah ne sera peut-être pas le seul Français à rejoindre les parquets estampillés NBA la saison prochaine. Ali Traoré, qui tournait à 10 points et 5 rebonds par match cette année sous le maillot du Havre, serait pressenti pour être drafté aux alentours de la 45e position, au deuxième tour. Cet intérieur de 22 ans a participé ces dernières semaines au camp d'entraînement d'Orlando et aurait fait belle impression auprès des nombreux recruteurs présents.
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Même les joueurs du Havre tu les vois à Roannevinsanity wrote:Bon alors après être passé par Toulouse et Bordeaux je suis de retour dans ma patrie, la Loire, jusqu'à dimanche ... ça va faire du bien de rentrer un peu chez soi.
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Noah a la cote
Le grand jour approche. Jeudi soir, Joakim Noah sera sous les projecteurs du Madison Square Garden de New York pour la draft 2007. Le pivot français, qui jouit d'une cote immense aux Etats-Unis depuis le doublé des Gators de Florida en NCAA, suscite l'intérêt d'une dizaine de franchises NBA toutes prêtes à investir sur son talent. Annoncé parmi les quinze premiers choix du premier tour, le fils de l'ancien tennisman Yannick Noah aujourd'hui reconverti dans la chanson est fortement pressenti pour atterrir à Charlotte, chez les Bobcats.
Parmi les quatre Français inscrits à la draft 2007 (*), Joakim Noah ne devrait pas passer inaperçu dans les couloirs du Madison Square Garden jeudi soir. Personnage assez extravagant, une caractéristique dont il a certainement héritée de son père, le premier basketteur français à avoir décroché un titre NCAA laisse rarement insensible. Charismatique, l'ex-star des Gators de Florida, avec lesquels il est devenu double champion universitaire lors des deux saisons écoulées, une performance qui n'avait plus été réalisée depuis 1992 (par l'Université de Duke), possède également un look original. Grand (2,11m), mince, cheveux longs et bouclés, le jeune homme né aux Etats-Unis voilà 22 ans d'un père français et d'une mère suédoise a tout pour se faire remarquer. Egalement le talent.
C'est ainsi de manière logique que, dans la foulée du doublé de Florida, « Yooks », son surnom, annonçait qu'il effectuerait cette année le grand saut pour la NBA, et qu'il se présenterait donc à la draft 2007 organisée au Madison Square Garden de New York, sa ville natale. Une décision mûrement réfléchie, sachant qu'une année plus tôt il avait préféré poursuivre son cursus universitaire en Floride alors que de nombreuses franchises NBA lui faisaient déjà les yeux doux. Douze mois plus tard, sa cote n'a pas fléchi outre-Atlantique même si ses performances cette saison, notamment lors de la March Madness (les phases finales universitaires n'ont pas été du même calibre que lors du premier sacre de Florida lorsqu'il avait été élu MVP du Final Four.
Français drafté le plus haut ?
Joakim Noah, pivot de formation mais qui devrait davantage jouer ailier-fort en NBA, figure, à quelques heures de la draft, sur les petits papiers d'une dizaine de franchises nord-américaines. Il vient d'ailleurs d'effectuer des essais privés avec sept équipes qui possèdent toutes l'un des dix premiers choix: Chicago, Boston, Atlanta, Minnesota, Memphis, Sacramento et Charlotte. C'est d'ailleurs dans les rangs de cette dernière que le Français, réputé pour ses qualités de défenseur (rebond et contre notamment), a le plus de chances d'atterrir selon la presse spécialisée américaine. Des Bobcats dont l'un des actionnaires principaux n'est autre que Michael Jordan, bien décidé à ce que la formation de Caroline du Nord accède aux play-offs dès la saison prochaine.
Reste qu'il est toujours très difficile de tirer des plans sur la comète dans un système où les franchises doivent s'adapter en temps et en heures aux choix faits par les équipes qui les précèdent. Sans oublier que tous les dirigeants NBA seront au Madison Square Garden jeudi soir, et nombreux seront ceux à l'affût du moindre échange susceptible d'améliorer leur effectif. Il faudra donc attendre tard jeudi soir, vendredi matin pour les Français, pour connaître le nom de la future destination de Joakim Noah. Rappelons qu'à ce jour, Tariq Abdul-Wahad et Mickael Pietrus demeurent les Français draftés le plus haut dans l'histoire de la Ligue nord-américaine (11e choix en 1997 par les Sacramento Kings pour le premier, 11e choix en 2003 par les Golden State Warriors).
Un rang élevé qui n'assure en rien un avenir doré sur les parquets NBA. En comparaison, Tony Parker, MVP des Finals cette année, n'avait été drafté qu'en 28e position par les Spurs en 2001. Sans l'ombre d'un doute, on peut affirmer que Joakim Noah fera mieux que TP à l'époque. On ne peut que lui souhaiter d'épouser une trajectoire semblable à celle du meneur de jeu des Spurs.
*: Yannick Bokolo (Le Mans), Sidiki Sidibe (Real Madrid) et Ali Traore (Roanne).
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Draft: Traoré, deuxième invité tricolore ?
Joakim Noah ne sera peut-être pas le seul Français à rejoindre les parquets estampillés NBA la saison prochaine. Ali Traoré, qui tournait à 10 points et 5 rebonds par match cette année sous le maillot du Havre, serait pressenti pour être drafté aux alentours de la 45e position, au deuxième tour. Cet intérieur de 22 ans a participé ces dernières semaines au camp d'entraînement d'Orlando et aurait fait belle impression auprès des nombreux recruteurs présents.
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"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Noah: I hated MJ as N.Y. fan
Dans le Chicago Tribune. Autant te dire que ça n'a pas plu aux fans de Chicago et qu'il ne jouera jamais aux Bulls.
Du reste, ça n'a pas fait rire grand monde aux States.
Dans le Chicago Tribune. Autant te dire que ça n'a pas plu aux fans de Chicago et qu'il ne jouera jamais aux Bulls.
Du reste, ça n'a pas fait rire grand monde aux States.
Noah: I hated MJ as N.Y. fan
By K.C. Johnson
Tribune staff reporter
Published June 9, 2007
Joakim Noah grew up a Knicks fan in New York, which is why these words rolled off his tongue fairly easily on Friday.
"Damn," Noah said, "I hated Michael Jordan."
Thanks to the Eddy Curry trade, the Bulls own the ninth overall pick in the June 28 draft courtesy of the Knicks, a fact not wasted on the wit of Noah.
"As a kid, the Bulls made me cry a few times," he said following his draft workout at the Berto Center. "But you have to give credit where credit is due. I would love to come and play here. It's a team that has a lot of tradition in a city that expects winning, and winning is what's important to me."
Noah and his Florida Gators teammates proved that with back-to-back NCAA titles coached by Billy Donovan. Noah has text-messaged Donovan since his messy saga with the Orlando Magic ended and vowed to visit him in Gainesville, Fla., soon.
"I was really surprised," Noah said of Donovan's decision to take the Magic job briefly.
"But it doesn't affect my relationship with him. I love him regardless. He has done a lot for me. I don't know if I'd be in this situation if it weren't for him.
"I'm proud of him. You know what? He followed his heart. To me, that's really important."
Copyright © 2007, Chicago Tribune
By K.C. Johnson
Tribune staff reporter
Published June 9, 2007
Joakim Noah grew up a Knicks fan in New York, which is why these words rolled off his tongue fairly easily on Friday.
"Damn," Noah said, "I hated Michael Jordan."
Thanks to the Eddy Curry trade, the Bulls own the ninth overall pick in the June 28 draft courtesy of the Knicks, a fact not wasted on the wit of Noah.
"As a kid, the Bulls made me cry a few times," he said following his draft workout at the Berto Center. "But you have to give credit where credit is due. I would love to come and play here. It's a team that has a lot of tradition in a city that expects winning, and winning is what's important to me."
Noah and his Florida Gators teammates proved that with back-to-back NCAA titles coached by Billy Donovan. Noah has text-messaged Donovan since his messy saga with the Orlando Magic ended and vowed to visit him in Gainesville, Fla., soon.
"I was really surprised," Noah said of Donovan's decision to take the Magic job briefly.
"But it doesn't affect my relationship with him. I love him regardless. He has done a lot for me. I don't know if I'd be in this situation if it weren't for him.
"I'm proud of him. You know what? He followed his heart. To me, that's really important."
Copyright © 2007, Chicago Tribune
Je dis pas que c'est la fin des haricots. Juste que les médias US n'ont pas besoin de tant pour faire du foin. Que Noah n'est pas beaucoup aimé par les fans là-bas, que dire "I hated Jordan" n'est pas le meilleur moyen pour se faire une cote de sympathie et que pour le coup, il s'est fait une bien mauvaise pub. Les GM en général vont se dire : "Bon, drafter un mec qui déteste Jordan, ce n'est pas le top pour la popularité de mon équipe" et alors à Chicago, je ne te dis même pas.
De toute manière, on ne dit pas qu'on déteste Jordan. On se prosterne devant lui et on lui baise ses Nike.
De toute manière, on ne dit pas qu'on déteste Jordan. On se prosterne devant lui et on lui baise ses Nike.
Pietrus: "Je n'ai pas de haine"
De passage à Paris pendant ses vacances, Mickael Pietrus, arborant fièrement un maillot du PSG floqué de son nom :evil: , a accepté pour Sports.fr de revenir sur sa non-sélection pour l'Euro espagnol du mois de septembre. Déçu mais pas rancunier envers le sélectionneur Claude Bergeaud, l'ailier des Warriors affirme être déjà passé à autre chose. Bien décidé à travailler dur cet été aux Etats-Unis, MP2, qui organise début juillet des camps d'entraînement en Guadeloupe, a également tenu à faire taire les rumeurs l'envoyant chez les Spurs de Tony Parker.
Trois semaines après l'annonce de votre non-sélection pour l'Euro 2007, avez-vous digéré cette déception ?
Oui j'ai bien digéré ma non-sélection. Le sélectionneur a voulu repartir avec de nouveaux joueurs pour aussi pouvoir les tester au niveau européen. Pour ma part, j'ai déjà pu disputer un Championnat d'Europe et j'accepte le fait qu'il veuille donner l'opportunité à d'autres de pouvoir jouer un Euro.
Vous figurez sur une liste de cinq remplaçants amenés à pallier un éventuel forfait. Quelle sera votre réaction si jamais le sélectionneur fait appel à vous ?
Ma priorité à l'heure actuelle, c'est de repartir aux Etats-Unis pour deux mois afin de travailler mon jeu. Donc tout dépendra de l'endroit où je me trouverai au moment d'un éventuel appel. J'espère juste que le staff pourra accepter ma réponse avec le même respect dont j'ai fait preuve au moment de ma non-sélection.
Il existe donc une possibilité pour que vous refusiez...
(Un petit peu hésitant). C'est quand même difficile de refuser une sélection.
Vous avez dit avoir eu un mauvais pressentiment avant l'annonce de cette liste. Pourquoi ?
Je pense qu'au dernier Championnat du monde, le système ne me convenait pas beaucoup. On avait des joueurs de qualité mais on n'a pas adapté les systèmes dans la direction que l'on souhaitait. Je ne veux pas dire que c'est le système qui n'a pas fonctionné, mais davantage le moteur qui n'était pas vraiment adapté à la voiture. Après, avec l'absence de Tony, je pensais avoir plus de responsabilités. Mais en fait, il n'en a rien été.
"Je ne vais pas pleurer"
Est-ce que vous vous sentiez prêt à les assumer, ces responsabilités de leader ?
Quand il a s'agi de gagner la médaille de bronze, j'ai été l'un des artisans de la victoire sur l'Espagne en marquant 24 points. Je ne veux pas me mettre en avant mais je suis capable d'apporter du scoring. Je ne savais pas vraiment ce que l'on attendait de moi lors de cette compétition en fait. Mon but, cet été, était de revenir en équipe de France et que l'on fasse un bon championnat d'Europe. J'aurais bien voulu partager mon expérience acquise cette saison en disputant les play-offs NBA. Tant pis, cela va me permettre de repartir aux Etats-Unis et de retravailler pendant deux mois. C'est un choix qui a été fait. Je ne suis pas démoralisé. J‘espère juste que les autres joueurs vont pouvoir relever le challenge.
En avez-vous parlé avec d'autres coéquipiers. Avec Mickaël Gelabale, par exemple, qui lui non plus n'a pas été sélectionné ?
J'ai discuté avec Mike. Lui aussi voulait revenir en équipe de France. Il a aussi bien réagi. De toute façon, la vie continue, je ne vais pas pleurer.
En voulez-vous à Claude Bergeaud ?
Je n'ai pas de haine, pas de rancune. Cela va me permettre d'avoir plus de vacances (rires). Je vais pouvoir bien me reposer. Plus sérieusement, je ne peux que respecter ses choix. Il a pris ses responsabilités.
Avez-vous le sentiment de payer au prix cher vos performances en dents de scie du Mondial japonais ?
Non, je ne paie rien du tout. Je n'ai rien à prouver quand je viens en équipe de France. Je suis juste là pour la France, pour essayer d'aider l'équipe à décrocher des médailles. Je ne me fixe pas d'objectifs personnels quand je viens défendre le maillot bleu. Ce ne sont que des objectifs de groupe.
Avez-vous parlé avec le sélectionneur depuis l'annonce ?
Oui.
Et que vous-êtes vous dit ?
Ce que j'ai dit au début, à savoir que je respectais ses choix et qu'il n'y avait pas de problème.
"J'espère vraiment faire les Jeux"
Comment voyez-vous votre avenir chez les Bleus ?
Je vois au-delà du Championnat d'Europe. Je souhaite que l'équipe se qualifie pour les Jeux. Ce ne sera pas une partie facile mais j'espère vraiment faire les J.O.
Concernant votre avenir en NBA, vous êtes agent-libre cet été, on parle beaucoup de vous du côté de San Antonio, en savez-vous plus aujourd'hui qu'à la fin des play-offs ?
Pour l'instant, ce ne sont que des rumeurs. Je suis même surpris que les journalistes parlent des Spurs alors que je ne suis au courant de rien. Les dirigeants n'ont de plus pas le droit d'entamer des négociations avant le 1er juillet. Cela me fait plaisir que l'on parle de moi à San Antonio, c'est une grande satisfaction, mais bon, il n'y a rien pour l'instant.
Pour conclure, pouvez-vous nous en dire un petit peu plus sur les camps d'entraînement et de détection que vous organisez depuis quelques années en Guadeloupe (durant la première semaine de juillet, Ndlr) ?
Je donne l'opportunité à quelques jeunes de pouvoir se tester sur une période d'une semaine, pour pouvoir découvrir le haut niveau. Il y a des scouts NBA qui se déplacent pour voir ces jeunes, il y a aussi des coachs américains qui font le déplacement. C'est une sorte d'occasion que je leur offre de passer du bon temps à mes côtés et de pouvoir montrer leur talent. Ils rêvent pour la plupart de NBA. Ils rêvent de devenir un jour Mike Pietrus. Et c'est une bonne chose si je peux leur permettre de s'intégrer dans des bons clubs français pour qu'ils puissent goûter au haut niveau. Il y a d'ailleurs un joueur de mon camp (le meneur de jeu Rodrigue Bobois) qui joue maintenant à Cholet. Il devrait même se présenter à la draft l'année prochaine.
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De passage à Paris pendant ses vacances, Mickael Pietrus, arborant fièrement un maillot du PSG floqué de son nom :evil: , a accepté pour Sports.fr de revenir sur sa non-sélection pour l'Euro espagnol du mois de septembre. Déçu mais pas rancunier envers le sélectionneur Claude Bergeaud, l'ailier des Warriors affirme être déjà passé à autre chose. Bien décidé à travailler dur cet été aux Etats-Unis, MP2, qui organise début juillet des camps d'entraînement en Guadeloupe, a également tenu à faire taire les rumeurs l'envoyant chez les Spurs de Tony Parker.
Trois semaines après l'annonce de votre non-sélection pour l'Euro 2007, avez-vous digéré cette déception ?
Oui j'ai bien digéré ma non-sélection. Le sélectionneur a voulu repartir avec de nouveaux joueurs pour aussi pouvoir les tester au niveau européen. Pour ma part, j'ai déjà pu disputer un Championnat d'Europe et j'accepte le fait qu'il veuille donner l'opportunité à d'autres de pouvoir jouer un Euro.
Vous figurez sur une liste de cinq remplaçants amenés à pallier un éventuel forfait. Quelle sera votre réaction si jamais le sélectionneur fait appel à vous ?
Ma priorité à l'heure actuelle, c'est de repartir aux Etats-Unis pour deux mois afin de travailler mon jeu. Donc tout dépendra de l'endroit où je me trouverai au moment d'un éventuel appel. J'espère juste que le staff pourra accepter ma réponse avec le même respect dont j'ai fait preuve au moment de ma non-sélection.
Il existe donc une possibilité pour que vous refusiez...
(Un petit peu hésitant). C'est quand même difficile de refuser une sélection.
Vous avez dit avoir eu un mauvais pressentiment avant l'annonce de cette liste. Pourquoi ?
Je pense qu'au dernier Championnat du monde, le système ne me convenait pas beaucoup. On avait des joueurs de qualité mais on n'a pas adapté les systèmes dans la direction que l'on souhaitait. Je ne veux pas dire que c'est le système qui n'a pas fonctionné, mais davantage le moteur qui n'était pas vraiment adapté à la voiture. Après, avec l'absence de Tony, je pensais avoir plus de responsabilités. Mais en fait, il n'en a rien été.
"Je ne vais pas pleurer"
Est-ce que vous vous sentiez prêt à les assumer, ces responsabilités de leader ?
Quand il a s'agi de gagner la médaille de bronze, j'ai été l'un des artisans de la victoire sur l'Espagne en marquant 24 points. Je ne veux pas me mettre en avant mais je suis capable d'apporter du scoring. Je ne savais pas vraiment ce que l'on attendait de moi lors de cette compétition en fait. Mon but, cet été, était de revenir en équipe de France et que l'on fasse un bon championnat d'Europe. J'aurais bien voulu partager mon expérience acquise cette saison en disputant les play-offs NBA. Tant pis, cela va me permettre de repartir aux Etats-Unis et de retravailler pendant deux mois. C'est un choix qui a été fait. Je ne suis pas démoralisé. J‘espère juste que les autres joueurs vont pouvoir relever le challenge.
En avez-vous parlé avec d'autres coéquipiers. Avec Mickaël Gelabale, par exemple, qui lui non plus n'a pas été sélectionné ?
J'ai discuté avec Mike. Lui aussi voulait revenir en équipe de France. Il a aussi bien réagi. De toute façon, la vie continue, je ne vais pas pleurer.
En voulez-vous à Claude Bergeaud ?
Je n'ai pas de haine, pas de rancune. Cela va me permettre d'avoir plus de vacances (rires). Je vais pouvoir bien me reposer. Plus sérieusement, je ne peux que respecter ses choix. Il a pris ses responsabilités.
Avez-vous le sentiment de payer au prix cher vos performances en dents de scie du Mondial japonais ?
Non, je ne paie rien du tout. Je n'ai rien à prouver quand je viens en équipe de France. Je suis juste là pour la France, pour essayer d'aider l'équipe à décrocher des médailles. Je ne me fixe pas d'objectifs personnels quand je viens défendre le maillot bleu. Ce ne sont que des objectifs de groupe.
Avez-vous parlé avec le sélectionneur depuis l'annonce ?
Oui.
Et que vous-êtes vous dit ?
Ce que j'ai dit au début, à savoir que je respectais ses choix et qu'il n'y avait pas de problème.
"J'espère vraiment faire les Jeux"
Comment voyez-vous votre avenir chez les Bleus ?
Je vois au-delà du Championnat d'Europe. Je souhaite que l'équipe se qualifie pour les Jeux. Ce ne sera pas une partie facile mais j'espère vraiment faire les J.O.
Concernant votre avenir en NBA, vous êtes agent-libre cet été, on parle beaucoup de vous du côté de San Antonio, en savez-vous plus aujourd'hui qu'à la fin des play-offs ?
Pour l'instant, ce ne sont que des rumeurs. Je suis même surpris que les journalistes parlent des Spurs alors que je ne suis au courant de rien. Les dirigeants n'ont de plus pas le droit d'entamer des négociations avant le 1er juillet. Cela me fait plaisir que l'on parle de moi à San Antonio, c'est une grande satisfaction, mais bon, il n'y a rien pour l'instant.
Pour conclure, pouvez-vous nous en dire un petit peu plus sur les camps d'entraînement et de détection que vous organisez depuis quelques années en Guadeloupe (durant la première semaine de juillet, Ndlr) ?
Je donne l'opportunité à quelques jeunes de pouvoir se tester sur une période d'une semaine, pour pouvoir découvrir le haut niveau. Il y a des scouts NBA qui se déplacent pour voir ces jeunes, il y a aussi des coachs américains qui font le déplacement. C'est une sorte d'occasion que je leur offre de passer du bon temps à mes côtés et de pouvoir montrer leur talent. Ils rêvent pour la plupart de NBA. Ils rêvent de devenir un jour Mike Pietrus. Et c'est une bonne chose si je peux leur permettre de s'intégrer dans des bons clubs français pour qu'ils puissent goûter au haut niveau. Il y a d'ailleurs un joueur de mon camp (le meneur de jeu Rodrigue Bobois) qui joue maintenant à Cholet. Il devrait même se présenter à la draft l'année prochaine.
www.sports.fr
Il ne deteste pas Jordan. Il le detestait. Quand on a 10-12 ans et qu'un joueur comme ça élimine notre équipe favorite, forcément on le deteste. Ce qui n'empèche pas de l'admirer quand on en a 20.Karamba wrote:Je dis pas que c'est la fin des haricots. Juste que les médias US n'ont pas besoin de tant pour faire du foin. Que Noah n'est pas beaucoup aimé par les fans là-bas, que dire "I hated Jordan" n'est pas le meilleur moyen pour se faire une cote de sympathie et que pour le coup, il s'est fait une bien mauvaise pub. Les GM en général vont se dire : "Bon, drafter un mec qui déteste Jordan, ce n'est pas le top pour la popularité de mon équipe" et alors à Chicago, je ne te dis même pas.
Je pense que tous les GM se foutent pas mal de savoir si il aimait Jordan quand il avait 10-12 ans, Paxson y compris. Et les fans s'en balancent aussi des gouts de Noah à 10 ans. Franchement je pense que ça n'aura strictement aucune influence sur le choix des franchises.
C'est une goutte d'eau dans l'océan
Last edited by vinsanity on 27 Jun 2007, 20:19, edited 1 time in total.
Bon. Va faire un tour sur n'importe quel forum US, alors. Tu ne penses pas comme les américains. Tant mieux, peut-être.vinsanity wrote:Il ne deteste pas Jordan. Il le detestait. Quand on a 10-12 ans et qu'un joueur comme ça élimine notre équipe favorite, forcément on le deteste. Ce qui n'empèche pas de l'admirer quand on en a 20.Karamba wrote:Je dis pas que c'est la fin des haricots. Juste que les médias US n'ont pas besoin de tant pour faire du foin. Que Noah n'est pas beaucoup aimé par les fans là-bas, que dire "I hated Jordan" n'est pas le meilleur moyen pour se faire une cote de sympathie et que pour le coup, il s'est fait une bien mauvaise pub. Les GM en général vont se dire : "Bon, drafter un mec qui déteste Jordan, ce n'est pas le top pour la popularité de mon équipe" et alors à Chicago, je ne te dis même pas.
Je pense que tous les GM se foutent pas mal de savoir si il aimait Jordan quand il avait 10-12 ans, Paxson y compris. Et les fans s'en balancent aussi je pense des gouts de Noah à 10 ans. Franchement je pense que ça n'aura strictement aucune influence sur le choix des franchises.
Bah les américains des forum sont stupides alors.Karamba wrote:Bon. Va faire un tour sur n'importe quel forum US, alors. Tu ne penses pas comme les américains. Tant mieux, peut-être.vinsanity wrote:Il ne deteste pas Jordan. Il le detestait. Quand on a 10-12 ans et qu'un joueur comme ça élimine notre équipe favorite, forcément on le deteste. Ce qui n'empèche pas de l'admirer quand on en a 20.Karamba wrote:Je dis pas que c'est la fin des haricots. Juste que les médias US n'ont pas besoin de tant pour faire du foin. Que Noah n'est pas beaucoup aimé par les fans là-bas, que dire "I hated Jordan" n'est pas le meilleur moyen pour se faire une cote de sympathie et que pour le coup, il s'est fait une bien mauvaise pub. Les GM en général vont se dire : "Bon, drafter un mec qui déteste Jordan, ce n'est pas le top pour la popularité de mon équipe" et alors à Chicago, je ne te dis même pas.
Je pense que tous les GM se foutent pas mal de savoir si il aimait Jordan quand il avait 10-12 ans, Paxson y compris. Et les fans s'en balancent aussi je pense des gouts de Noah à 10 ans. Franchement je pense que ça n'aura strictement aucune influence sur le choix des franchises.
Noah est né en 85. Lors du dernier titre des Bulls il avait 13 ans.
Si ils sont pas capables de comprendre ça ... :lol:
J'ai regardé hoopshype et insidehoops et pas trouvé de sujet là-dessus :oops:
C'est pas une histoire de "compréhension". Noah est assez largement détesté par les fans US, sauf en Floride, et à NYC, peut-être. Que ce soit une phrase en l'air, parfaitement compréhensible vu son background, personne n'en doute, sauf qu'à quelques jours de la draft, il me semble assez évident que ce n'est pas une bonne pub pour lui.
Maintenant, je ne pense pas qu'il s'imaginait que ça prendrait de telles proportions.
Maintenant, je ne pense pas qu'il s'imaginait que ça prendrait de telles proportions.
Ce que j'ai trouvé c'est ça :
Noah was funny when he made those comments and being from Chicago I understand why he hated MJ
No problumo. It's like when you were a kid arguing under the street light with your friends on a hot and sticky summer night. You would hear loud and clear the dislikes of Joe DiMagio, Ted Williams and every other great player depending on who you or the other parties rooted for. Hate was just another way of saying you feared that players talents on the field or court.
No big deal, it's really a fan thing.
Red Sox fans HATE Derrick Jeter.
Michigan fans HATE Tedd Ginn.
Duke fans HATE Dean Smith.
Cowboy fans HATE Donovan McNabb.
I hate Bobby Bowden.
I hate Lorenzo Booker.
I hate Deion Sanders.
I hate Derrick Brooks.
I hate Xavier Lee.
I hate that STUPID-ASS Chief Osceola.
I hate everything that was, is, or will ever be Florida State Football. (Except their field-goal kickers) But they're still some bad MF'ers when they wanna be!
I am by no means a Noah fan, but I can't come down on him too hard for that one...
Evidemment y'a des énergumènes ... mais les GM de NBA n'en font pas partie je pense.If anybody can not see the spirit of what Noah had to say as coming from his heart growing up in NY City and like all sports fans you do not like the team that stops you from gaining your desire in being the best even if that desire comes as a fan rooting for your team. Yes Noah is a Gator but crap is not what he is talking he is talking about being a loyal fan and has nothing to do with how great a player Jordan was, it is out of respect for your team that you do not like a guy that destroys your team! come on our yall loyal to the teams you cheer for or are you a changer at heart depending on who is winning that is who you cheer for?
Quelles proportions ça a pris ? Un sujet sur un forum ? :lol: Ca fait pas vraiment la une des journaux. Un petit article dans le Chicago Tribune et quelques commentaires sur des blogs ... bof.Karamba wrote:Maintenant, je ne pense pas qu'il s'imaginait que ça prendrait de telles proportions.
D'où tu tiens que Paxson a pas apprécié ?
Un forum. :sad: Mais ça ne va pas te plaire. :sad:
La NBA est un truc bizarre. Il vaut mieux être consensuel. Noah ne l'est pas.
Là, un mix des mock drafts les plus connus :
http://www.nba.com/draft2007/board/mock.html
Oden 1 et Durant 2, ça ne fait guère de doute, après c'est assez indécis.
La NBA est un truc bizarre. Il vaut mieux être consensuel. Noah ne l'est pas.
Là, un mix des mock drafts les plus connus :
http://www.nba.com/draft2007/board/mock.html
Oden 1 et Durant 2, ça ne fait guère de doute, après c'est assez indécis.
Bon après quand on voit la crédibilité des forum en France ... aux States c'est certainement pareil et peut être même pire :twisted:
Noah est en moyenne vers la 9ème place, mais quelques infos importantes :
- Memphis serait très interessé même si ils ont le pick #4
- Charlotte semble l'équipe la plus probable pour le drafter
- Spencer Hawes serait bien plus intéressant pour les Bulls car Noah ferait doublon avec Tyrus Thomas au niveau du style de jeu
Noah est en moyenne vers la 9ème place, mais quelques infos importantes :
- Memphis serait très interessé même si ils ont le pick #4
- Charlotte semble l'équipe la plus probable pour le drafter
- Spencer Hawes serait bien plus intéressant pour les Bulls car Noah ferait doublon avec Tyrus Thomas au niveau du style de jeu
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NBA - DRAFT 2007 - LE SOIR DE TOUS LES ESPOIRS
jeu 28 jui, 01h15
DRAFT 2007 - LE SOIR DE TOUS LES ESPOIRSagrandir la photo
Le sport US a ceci de particulier qu'il ne compte pas de montées, ni de descentes entre les ligues et que les franchises professionnelles ne disposent pas de centre de formation. Pour assurer un renouvellement dans la hiérarchie sportive, un système a été mis en place permettant de répartir entre les clubs, de manière relativement équitable, les meilleurs espoirs issus des universités et des championnats étrangers. Une fois par an, une bourse est organisée où les clubs vont sélectionner, suivant un ordre établi à l'avance, les jeunes joueurs qui souhaitent intégrer les ligues professionnelles. Celle de la NBA a lieu traditionnellement fin juin, après la finale. Chacune des trente équipes doit retenir normalement deux joueurs, un par tour, même si ces choix servent souvent de monnaies d'échange pour acquérir des basketteurs plus expérimentés. Une fois qu'une franchise a acquis les droits sur un joueur, celui-ci ne peut plus signer ailleurs mais il peut aussi ne pas recevoir de proposition de contrat. Si la situation se prolonge, le joueur redevient libre. Si, à l'inverse, le joueur n'a pas été retenu, le joueur peut signer où il veut. Mais par définition, son niveau est moindre.
Les équipes les moins performantes à l'issue de la saison régulière sont les premières à pouvoir choisir. Néanmoins, le classement n'est pas inversé de manière platement simpliste. Si le dernier classé devenait automatiquement le premier à choisir lors de la Draft, le risque serait grand d'assister à des courses à la défaite afin d'avoir le plus mauvais bilan. En fait, les quatorze équipes qui ne se sont pas qualifiées en play-offs participent à une loterie. 1000 balles sont placés dans une urne. Le dernier de la saison régulière en a 250 à son nom (Memphis cette saison), l'avant-dernier 125 (Boston)et ainsi de suite... Cette saison, Portland a eu beaucoup de chance puisque la franchise de l'Oregon a hérité de la première place alors que les Blazers n'étaient "que" 26es sur 30 au classement. Rien n'est gagné pour autant - même si tout devient plus facile - puisqu'il faut ensuite avoir du nez et bien choisir. En 1984, Portland avait le deuxième choix et a retenu Sam Bowie, un pivot qui a fait une carrière sans relief. Avec le troisième choix, Chicago a ensuite pris... Michael Jordan.
2007 devrait être une grande année pour la Draft. Le niveau des meilleurs joueurs, autant que la densité de l'ensemble, renvoie aux meilleurs crus : 2003 (LeBron James, Wade, Anthony...), 1992 (Shaquille O'Neal, Mourning, Horry...) ou encore la mythique cuvée 1984 (Jordan, Olajuwon, Barkley, Stockton...). Portland a déjà annoncé qu'il retiendra Greg Oden (Ohio State), le joueur le plus fébrilement attendu en NBA depuis LeBron James et probablement le meilleur intérieur depuis Tim Duncan. Kevin Durant , le premier joueur de l'histoire à avoir été élu MVP universitaire dès sa première saison, ira à Seattle en n°2. Ensuite, c'est la bouteille à la mer, même si tous ceux qui vont choisir dans les dix premiers se considèrent comme très chanceux. Joakim Noah devrait être, sauf catastrophe, dans le Top 10 et faire mieux que Tariq Abul-Wahad et Mickaël Piétrus, retenus en 11e position. S'il avait décidé de quitter Florida la saison dernière, il était annoncé comme n°1 d'une Draft beaucoup plus faible. Après le deuxième titre des Gators, sa cote a baissé en raison de carences offensives persistantes et deux de ses équipiers devraient être choisis avant lui : Al Horford , attendu à Atlanta en n°3, et Cory Brewer . "Jooks" est attendu entre les 5e et 10e palces, à Boston (n°5), Charlotte (n°8) ou Chicago (n°9). Tous les joueurs retenus au premier tour se verront proposer un contrat de trois ans avec une année optionnelle. Parmi eux, et c'est une relative surprise, se trouvent peu d'étrangers. A part Joakim Noah, seul le Chinois Yi Jianlian , est attendu dans les ténors, un an après que l'Italien Andrea Bargnani soit devenu le premier Européen choisi en première position.
jeu 28 jui, 01h15
DRAFT 2007 - LE SOIR DE TOUS LES ESPOIRSagrandir la photo
Le sport US a ceci de particulier qu'il ne compte pas de montées, ni de descentes entre les ligues et que les franchises professionnelles ne disposent pas de centre de formation. Pour assurer un renouvellement dans la hiérarchie sportive, un système a été mis en place permettant de répartir entre les clubs, de manière relativement équitable, les meilleurs espoirs issus des universités et des championnats étrangers. Une fois par an, une bourse est organisée où les clubs vont sélectionner, suivant un ordre établi à l'avance, les jeunes joueurs qui souhaitent intégrer les ligues professionnelles. Celle de la NBA a lieu traditionnellement fin juin, après la finale. Chacune des trente équipes doit retenir normalement deux joueurs, un par tour, même si ces choix servent souvent de monnaies d'échange pour acquérir des basketteurs plus expérimentés. Une fois qu'une franchise a acquis les droits sur un joueur, celui-ci ne peut plus signer ailleurs mais il peut aussi ne pas recevoir de proposition de contrat. Si la situation se prolonge, le joueur redevient libre. Si, à l'inverse, le joueur n'a pas été retenu, le joueur peut signer où il veut. Mais par définition, son niveau est moindre.
Les équipes les moins performantes à l'issue de la saison régulière sont les premières à pouvoir choisir. Néanmoins, le classement n'est pas inversé de manière platement simpliste. Si le dernier classé devenait automatiquement le premier à choisir lors de la Draft, le risque serait grand d'assister à des courses à la défaite afin d'avoir le plus mauvais bilan. En fait, les quatorze équipes qui ne se sont pas qualifiées en play-offs participent à une loterie. 1000 balles sont placés dans une urne. Le dernier de la saison régulière en a 250 à son nom (Memphis cette saison), l'avant-dernier 125 (Boston)et ainsi de suite... Cette saison, Portland a eu beaucoup de chance puisque la franchise de l'Oregon a hérité de la première place alors que les Blazers n'étaient "que" 26es sur 30 au classement. Rien n'est gagné pour autant - même si tout devient plus facile - puisqu'il faut ensuite avoir du nez et bien choisir. En 1984, Portland avait le deuxième choix et a retenu Sam Bowie, un pivot qui a fait une carrière sans relief. Avec le troisième choix, Chicago a ensuite pris... Michael Jordan.
2007 devrait être une grande année pour la Draft. Le niveau des meilleurs joueurs, autant que la densité de l'ensemble, renvoie aux meilleurs crus : 2003 (LeBron James, Wade, Anthony...), 1992 (Shaquille O'Neal, Mourning, Horry...) ou encore la mythique cuvée 1984 (Jordan, Olajuwon, Barkley, Stockton...). Portland a déjà annoncé qu'il retiendra Greg Oden (Ohio State), le joueur le plus fébrilement attendu en NBA depuis LeBron James et probablement le meilleur intérieur depuis Tim Duncan. Kevin Durant , le premier joueur de l'histoire à avoir été élu MVP universitaire dès sa première saison, ira à Seattle en n°2. Ensuite, c'est la bouteille à la mer, même si tous ceux qui vont choisir dans les dix premiers se considèrent comme très chanceux. Joakim Noah devrait être, sauf catastrophe, dans le Top 10 et faire mieux que Tariq Abul-Wahad et Mickaël Piétrus, retenus en 11e position. S'il avait décidé de quitter Florida la saison dernière, il était annoncé comme n°1 d'une Draft beaucoup plus faible. Après le deuxième titre des Gators, sa cote a baissé en raison de carences offensives persistantes et deux de ses équipiers devraient être choisis avant lui : Al Horford , attendu à Atlanta en n°3, et Cory Brewer . "Jooks" est attendu entre les 5e et 10e palces, à Boston (n°5), Charlotte (n°8) ou Chicago (n°9). Tous les joueurs retenus au premier tour se verront proposer un contrat de trois ans avec une année optionnelle. Parmi eux, et c'est une relative surprise, se trouvent peu d'étrangers. A part Joakim Noah, seul le Chinois Yi Jianlian , est attendu dans les ténors, un an après que l'Italien Andrea Bargnani soit devenu le premier Européen choisi en première position.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]