:frog2: Bravo à la Chorale !!!![Basket] Reprise saison NBA
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vertderage
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Formidables Choraliens ! Ils sont en finale ! Qui l'eu cru !
Victoire 89-80 face à Chalon, un âpre combat où l'attaque Choralienne et les coups de boutoir de Dee Spencer ont fini par prendre le dessus sur une vaillante et talentueuse équipe de Chalon.
La Chorale disputera la finale samedi prochain à Bercy !
Victoire 89-80 face à Chalon, un âpre combat où l'attaque Choralienne et les coups de boutoir de Dee Spencer ont fini par prendre le dessus sur une vaillante et talentueuse équipe de Chalon.
La Chorale disputera la finale samedi prochain à Bercy !
Y'en a sur ticketnet, sinon y'a aussi un déplacement organisé par la Chorale.OURASI wrote:Vraiment, quelle saison !!!! :shock: :shock:
Au fait je cherche 2 places pour Bercy.
ROANNE, 26 mai 2007 (AFP) - Jean-Denys Choulet (entraîneur de Roanne): "Nous avons resserré le jeu sur Everett qui a encore été fort mais moins que jeudi. Nous avons été plus présents physiquement aussi. Sur le match 2, les joueurs s'étaient mis trop de pression. Moi-même j'étais très irritable. Aujourd'hui, nous étions calmes, sereins. On fait un bon début de saison (sic). On ne va pas aller à Paris pour se promener. La tour Eiffel, on connaît."
Aaron Harper (ailier-shooteur de Roanne): "La défense, la défense, ça a été le secret aujourd'hui et ce le sera pour remporter le championnat, samedi à Bercy."
Dee Spencer (meneur de Roanne): "Vous vous rappellerez à tout jamais de cette équipe de Roanne. On est prêt. Dites à Nancy qu'on arrive, qu'on est prêt. Ce n'est pas fini. Il reste un match à gagner. Après la semaine des As, c'est mission possible 2."
Gregor Beugnot (entraîneur de Chalon): " Roanne a empoché la mise grâce aux rebonds offensifs. A partir du moment où on ne contrôle pas le rebond, on ne peut pas développer notre jeu de contre-attaques et de transition. Les rebonds offensifs ont été très destructeurs pour nous."
ProA - Finale inédite entre Nancy et Roanne
AFP - 26.05.2007, 18h36
PARIS, 26 mai 2007 (AFP) - Nancy et Roanne se disputeront le titre de champion de France de basket-ball, le 2 juin à Bercy, dans une finale inédite.
Les Nancéiens, qui s'étaient qualifiés dès jeudi pour leur troisième finale d'affilée en battant Villeurbanne en deux manches, ont été rejoints samedi par le Petit Poucet de la ProA, Roanne, vainqueur du match d'appui contre Chalon-sur-Saône 89 à 80.
L'affiche est originale puisqu'on n'y trouve ni Le Mans, le tenant du titre, ni les deux références du basket hexagonal des dix dernières années, Pau-Orthez et Villeurbanne, et pourtant elle conclut logiquement la saison. Nancy et Roanne avaient terminé premier et deuxième de la saison régulière.
Les Roannais semblaient avoir fait le plus difficile en gagnant le match aller à l'extérieur mardi. En réalité, c'est dans leur salle, où ils n'avaient pourtant perdu qu'une fois cette saison, que la bataille a été la plus rude.
Déjà jeudi, la Chorale s'était fait clouer sur place en fin de rencontre par le meneur Terrell Everett, après avoir mené de 15 points. Le scénario n'a pas été loin de se reproduire samedi avec toujours l'Américain dans le rôle principal (24 points).
Roanne, en tête de 13 points après 30 minutes, s'est laissé grignoter son avance dans le dernier quart-temps jusqu'à sentir dans son dos le souffle des Chalonnais revenus à deux points.
48 ans après
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Mais si l'Elan possède un Américain exceptionnel, la Chorale, elle, en a trois: le MVP (meilleur étranger de la saison) Dee Spencer (28 points), Aaron Harper (24 points) et Marc Salyers (15 points). C'était trop de feux à éteindre en même temps pour les joueurs de Greg Beugnot dans le "money time" (14-7 dans les trois dernières minutes).
"Nous avons resserré le jeu sur Everett qui a encore été fort, mais moins que jeudi. Nous avons été plus présents physiquement aussi", a commenté le coach de Roanne Jean-Denys Choulet.
En finale, le favori sera Nancy, qui s'est imposé comme un des clubs qui comptent ces dernières années, en gagnant plusieurs compétitions, la Coupe Korac en 2002, la Semaine des As en 2005, mais jamais le titre national.
La pression sera très forte pour les joueurs du SLUC, battus à un match du titre ces deux dernières années, alors qu'elle sera nulle pour ceux de Roanne, le club que personne n'attendait en début de saison avec son budget réduit, le 14e de ProA, et qui n'a plus été champion depuis 48 ans.
Mais les Roannais ont montré qu'ils savent jouer les finales en gagnant la Semaine des As en février à... Nancy (contre Le Mans).
"On ne va pas aller à Paris pour se promener. La tour Eiffel, on connaît", a prévenu Jean-Denys Choulet.
AFP.
Source: lnb.fr
(place+train+t-shirt)-
El Couramiaud
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vinsanity wrote:Formidables Choraliens ! Ils sont en finale ! Qui l'eu cru !
Victoire 89-80 face à Chalon, un âpre combat où l'attaque Choralienne et les coups de boutoir de Dee Spencer ont fini par prendre le dessus sur une vaillante et talentueuse équipe de Chalon.
La Chorale disputera la finale samedi prochain à Bercy !
C'est clair quand début de saison on aurait jamais imaginé la chorale en finale. Maintenant au vu de la saison régulière c'est plutot normal et l'inverse aurait même été une déception. Roanne peut désormais viser un joli doublé, semaine des as championnat, qui n'a je pense, jamais été réalisé, ou alors en des temps reculés.
Sinon je pense qu'il n'y a pas vraiment de favori pour cette finale.
Le Mans la saison passéeEl Couramiaud wrote:vinsanity wrote:Formidables Choraliens ! Ils sont en finale ! Qui l'eu cru !
Victoire 89-80 face à Chalon, un âpre combat où l'attaque Choralienne et les coups de boutoir de Dee Spencer ont fini par prendre le dessus sur une vaillante et talentueuse équipe de Chalon.
La Chorale disputera la finale samedi prochain à Bercy !
C'est clair quand début de saison on aurait jamais imaginé la chorale en finale. Maintenant au vu de la saison régulière c'est plutot normal et l'inverse aurait même été une déception. Roanne peut désormais viser un joli doublé, semaine des as championnat, qui n'a je pense, jamais été réalisé, ou alors en des temps reculés.
Sinon je pense qu'il n'y a pas vraiment de favori pour cette finale.
La SDA n'existe pas depuis très longtemps (2003 je crois)
En ce moment même Andrézieux joue son accession en N1 ...
http://live.basketfrance.com/match.php?id=2&t=NM2
http://live.basketfrance.com/match.php?id=2&t=NM2
C'est à prendre avec des pincettes car le live de basketfrance se plante souvent, mais Andrézieux l'aurait emporté 73-71 grace à un panier au buzzer de Wayne Morris 
(big players make big plays in big games ...). Si cette information s'avère exacte, ce serait une bien belle journée pour le basket ligérien puisque Andrézieux accèderait à la N1
edit : c'est bien ce que je pensais : temps restant : 0sec, et Prissé trouve le moyen d'égaliser ... on aura donc des prolongations
(big players make big plays in big games ...). Si cette information s'avère exacte, ce serait une bien belle journée pour le basket ligérien puisque Andrézieux accèderait à la N1 edit : c'est bien ce que je pensais : temps restant : 0sec, et Prissé trouve le moyen d'égaliser ... on aura donc des prolongations
Hof Spencer ça fait longtemps qu'il est parti (propositions de 600 000 $ par an en Russie, et 300 000 $ au TAU; final four de l'EL cette saison je le rappelle). Il va disputer une summer league avec le Heat de Miami. Je crois qu'il a toutes ses chances pour décrocher un billet pour la NBA ...
Mais d'autre part il ne cesse de répeter dans la presse qu'il s'est investi d'une mission : rapporter le titre à Roanne, pour remercier le club, et surtout JDC, de lui avoir donné sa chance et de lui avoir permi d'exploser comme celà. Rappelons qu'en décembre 2005, on avait parlé de le couper du coté de la Chorale, mais JDC s'y est opposé fermement, il savait quel potentiel avait Dee Spencer.
Je me souviens au moment de son recrutement, après le camp de Colombus, où il avait atomisé à lui tout seul l'EDF A' avec une adresse de folie ...
Mais d'autre part il ne cesse de répeter dans la presse qu'il s'est investi d'une mission : rapporter le titre à Roanne, pour remercier le club, et surtout JDC, de lui avoir donné sa chance et de lui avoir permi d'exploser comme celà. Rappelons qu'en décembre 2005, on avait parlé de le couper du coté de la Chorale, mais JDC s'y est opposé fermement, il savait quel potentiel avait Dee Spencer.
Je me souviens au moment de son recrutement, après le camp de Colombus, où il avait atomisé à lui tout seul l'EDF A' avec une adresse de folie ...
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Greengexois exilé
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Greengexois exilé
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Les Jazz font la musique
Utah a refait une partie de son retour, samedi, dans la série qui l'oppose à San Antonio en finale de la conférence ouest et n'est plus mené que 2-1. Les Jazz, pour leur premier match à domicile, n'ont pas ait de détails face aux Spurs qui se sont écroulés dans le troisième quart-temps et s'imposent finalement 109 à 83. Williams (31 points-8 passes) et Boozer (27 points-12 rebonds) ont une nouvelle fois été les grands artisans de la victoire d'Utah tandis que Tony Paker (25 points-7 passes) était le seul à surnager côté texan.
Utah, invaincu à Salt Lake City depuis le début des play-offs, a continué sa série face à San Antonio. Pour le Game 3 de la finale de la conférence ouest, le premier à l'EnergySolutions Arena, les Jazz ont fait très fort en étrillant les Spurs 109 à 83, leur troisième victoire à domicile en autant de matches cette saison face aux hommes de Gregg Popovich. Plus qu'une défaite, c'est une claque qu'ont reçu les coéquipiers de Tony Parker. Fort de ce succès, Utah se relance et peut toujours espérer atteindre la finale, dix ans après celle perdue face aux Bulls de Jordan. Et bien qu'aucune équipe n'ait encore réussi à remporter une finale de conférence après avoir perdu les deux premières rencontres, la franchise entraînée par Jerry Sloan a montré au premier tour face à Houston qu'elle était capable de renverser une situation mal embarquée. Le match ne démarrait pourtant pas sous les meilleurs hospices, les Texans prenant rapidement le large dans le premier quart-temps.
Les Jazz, qui accusaient un débours de 8 points après les douze premières minutes, tentaient de réagir par l'intermédiaire de leur duo magique Boozer-Williams qui, une fois n'est pas coutume, tenaient la baraque à eux seuls. Au tableau d'affichage, l'écart diminuait sensiblement mais les Spurs restaient en tête à la mi-temps (47-43). Vu la faiblesse du collectif d'Utah, on pouvait craindre que San Antonio finisse par prendre le large dès que les maillons forts des Jazz baisseraient de pied. Mais au retour des vestiaires, les Texans étaient pris de court et subissaient l'agressivité adverse sur le parquet: "On a réalisé une bonne première mi-temps en rentrant aux vestiaires avec 4 points d'avance. Malheureusement, on s'est complètement écroulé dans le 3e quart-temps. On a explosé. Ces douze minutes ont tué le match. Ca nous a couté très cher. On s'est pris une belle claque. Pour ne rien arranger, Tim avait des problèmes de fautes", reconnaissait "TP" après la rencontre, sur son site Internet.
En roue libre
Poussé par un public en ébullition, Utah retrouvait ses vertus collectives. Après un shoot à trois points de Fisher, seulement le troisième joueur du cinq majeur à ouvrir son compteur à ce moment de la partie, l'équipe changeait d'âme. Carlos Boozer et Deron Williams pouvaient enfin compter sur leurs coéquipiers, endormis jusque là. Les Jazz profitaient également de la fébrilité inhabituelle de Tim Duncan, rapidement gêné par les fautes, qui perdait huit balles sur l'ensemble de la rencontre. Le troisième-quart temps tournait à la démonstration et Utah menait de huit longueurs à l'entame de la dernière ligne droite (75-67).
Le trident magique de San Antonio, dont seul Parker évoluait à son meilleur niveau (25 points-7 passes), ne parvenait pas à contenir les assauts répétés des joueurs de Salt Lake City. Deron Williams (31 points-8 passes) et Carlos Boozer (27 points-12 rebonds) jouaient les chefs de file d'une franchise qui déroulait devant ses supporteurs. Fischer et Giricek (11 points), Milsap et Harpring (8 points) faisaient oublier le manque d'efficacité de Kirilenko et Okur qui passaient au travers de ce Game 3. Mais qu'importe puisque les Jazz survolaient la fin de match et infligeaient un cinglant 34-16 à San Antonio dans le dernier quart-temps. Le score final (109-83) laisse présager d'un quatrième match bouillant à l'EnergySolutions Arena. Les Spurs, baladés en seconde période, devront retrouver leur assise collective pour espérer conserver leur avantage dans leur série, comme le souligne leur meneur: "J'étais obligé de me montrer agressif parce que Tim était gêné par les fautes. Comme il n'y avait pas trop de monde pour scorer, j'ai pris mes responsabilités en essayant de faire de mon mieux. Mais ça n'a pas suffi. Utah a fini par prendre le large. Mais je tiens à donner du crédit à Utah. Ils ont mieux joué que nous. Ils ont été très adroits. Maintenant, on sait ce qu'il nous reste a à faire. Il faudra jouer le prochain match avec bien plus d'énergie pour l'emporter."
www.sports.fr
Utah a refait une partie de son retour, samedi, dans la série qui l'oppose à San Antonio en finale de la conférence ouest et n'est plus mené que 2-1. Les Jazz, pour leur premier match à domicile, n'ont pas ait de détails face aux Spurs qui se sont écroulés dans le troisième quart-temps et s'imposent finalement 109 à 83. Williams (31 points-8 passes) et Boozer (27 points-12 rebonds) ont une nouvelle fois été les grands artisans de la victoire d'Utah tandis que Tony Paker (25 points-7 passes) était le seul à surnager côté texan.
Utah, invaincu à Salt Lake City depuis le début des play-offs, a continué sa série face à San Antonio. Pour le Game 3 de la finale de la conférence ouest, le premier à l'EnergySolutions Arena, les Jazz ont fait très fort en étrillant les Spurs 109 à 83, leur troisième victoire à domicile en autant de matches cette saison face aux hommes de Gregg Popovich. Plus qu'une défaite, c'est une claque qu'ont reçu les coéquipiers de Tony Parker. Fort de ce succès, Utah se relance et peut toujours espérer atteindre la finale, dix ans après celle perdue face aux Bulls de Jordan. Et bien qu'aucune équipe n'ait encore réussi à remporter une finale de conférence après avoir perdu les deux premières rencontres, la franchise entraînée par Jerry Sloan a montré au premier tour face à Houston qu'elle était capable de renverser une situation mal embarquée. Le match ne démarrait pourtant pas sous les meilleurs hospices, les Texans prenant rapidement le large dans le premier quart-temps.
Les Jazz, qui accusaient un débours de 8 points après les douze premières minutes, tentaient de réagir par l'intermédiaire de leur duo magique Boozer-Williams qui, une fois n'est pas coutume, tenaient la baraque à eux seuls. Au tableau d'affichage, l'écart diminuait sensiblement mais les Spurs restaient en tête à la mi-temps (47-43). Vu la faiblesse du collectif d'Utah, on pouvait craindre que San Antonio finisse par prendre le large dès que les maillons forts des Jazz baisseraient de pied. Mais au retour des vestiaires, les Texans étaient pris de court et subissaient l'agressivité adverse sur le parquet: "On a réalisé une bonne première mi-temps en rentrant aux vestiaires avec 4 points d'avance. Malheureusement, on s'est complètement écroulé dans le 3e quart-temps. On a explosé. Ces douze minutes ont tué le match. Ca nous a couté très cher. On s'est pris une belle claque. Pour ne rien arranger, Tim avait des problèmes de fautes", reconnaissait "TP" après la rencontre, sur son site Internet.
En roue libre
Poussé par un public en ébullition, Utah retrouvait ses vertus collectives. Après un shoot à trois points de Fisher, seulement le troisième joueur du cinq majeur à ouvrir son compteur à ce moment de la partie, l'équipe changeait d'âme. Carlos Boozer et Deron Williams pouvaient enfin compter sur leurs coéquipiers, endormis jusque là. Les Jazz profitaient également de la fébrilité inhabituelle de Tim Duncan, rapidement gêné par les fautes, qui perdait huit balles sur l'ensemble de la rencontre. Le troisième-quart temps tournait à la démonstration et Utah menait de huit longueurs à l'entame de la dernière ligne droite (75-67).
Le trident magique de San Antonio, dont seul Parker évoluait à son meilleur niveau (25 points-7 passes), ne parvenait pas à contenir les assauts répétés des joueurs de Salt Lake City. Deron Williams (31 points-8 passes) et Carlos Boozer (27 points-12 rebonds) jouaient les chefs de file d'une franchise qui déroulait devant ses supporteurs. Fischer et Giricek (11 points), Milsap et Harpring (8 points) faisaient oublier le manque d'efficacité de Kirilenko et Okur qui passaient au travers de ce Game 3. Mais qu'importe puisque les Jazz survolaient la fin de match et infligeaient un cinglant 34-16 à San Antonio dans le dernier quart-temps. Le score final (109-83) laisse présager d'un quatrième match bouillant à l'EnergySolutions Arena. Les Spurs, baladés en seconde période, devront retrouver leur assise collective pour espérer conserver leur avantage dans leur série, comme le souligne leur meneur: "J'étais obligé de me montrer agressif parce que Tim était gêné par les fautes. Comme il n'y avait pas trop de monde pour scorer, j'ai pris mes responsabilités en essayant de faire de mon mieux. Mais ça n'a pas suffi. Utah a fini par prendre le large. Mais je tiens à donner du crédit à Utah. Ils ont mieux joué que nous. Ils ont été très adroits. Maintenant, on sait ce qu'il nous reste a à faire. Il faudra jouer le prochain match avec bien plus d'énergie pour l'emporter."
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Des réactions suite à la victoire de la Chorale et du Jazz ?Greengexois wrote:Pas de surprise : je pense que JDC (avec Greg Begnot)est de loin le plus compétent pour détecter les jeunes talents US
Au fait, en finale, tu seras pour la Chorale ou le SLUC ? :twisted:
Objectivement je pense que Nancy va gagner, et ça serait mérité.
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El Couramiaud
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Ca c'est une bonne nouvelle. Il va pouvoir tater un peu de l'Euroleague. Je vais encore plus apprécier cette équipe je crois.Greengexois wrote:Le MSB récompensé pour sa politique de jeunesEn effet le jeune Diot, 18 ans, a décidé de rejoindre le club de la Sarthe et ce pour 3 saisons!
Vive le MSB (smarty Lolo72)
Sinon j'avais complètement oublié que Le MSB avait fait le doublé la saison dernière :oops:
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Greengexois exilé
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Pour la moralité du sport Nancy : 3ème finale consécutive, un noyau dur de français : Air Max, Julian (qui le mérite), Samnick.... : vous savez que j'apprécie cette politique. Enfin, la chorale a remporté les As alors vive le partage.
Pour la Chorale c'est l'année ou jamais alors peu m'importe mais un petit faible pour Nancy.
Pour le Jazz : logique : relâche des Spurs qui menait 2-0 et on sait bien que c'est souvent le 4ème match qui voit une victoire à l'exterieur.
Pour la Chorale c'est l'année ou jamais alors peu m'importe mais un petit faible pour Nancy.
Pour le Jazz : logique : relâche des Spurs qui menait 2-0 et on sait bien que c'est souvent le 4ème match qui voit une victoire à l'exterieur.
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Quelle politique de formation à Nancy ? Salmon, toujours excellent en sortie de banc, n'a fait que le cirer tout au long de la saison, pourtant il mériterait beaucoup mieux. A la Chorale, en dehors des trois US, tous les autres joueurs sont des français. Marco Pellin a explosé au plus haut niveau grâce à Roanne, qui lui a donné sa chance. Celle de Moerman viendra aussi. Il a peu joué cette saison, mais il ne faut pas oublier qu'il a tout juste 18 ans, et de son année, seuls Vaty et Batum ont joué en ProA je crois.Greengexois wrote:Pour la moralité du sport Nancy : 3ème finale consécutive, un noyau dur de français : Air Max, Julian (qui le mérite), Samnick.... : vous savez que j'apprécie cette politique. Enfin, la chorale a remporté les As alors vive le partage.
Pour la Chorale c'est l'année ou jamais alors peu m'importe mais un petit faible pour Nancy.
Nancy a de bons français parce que Nancy a les moyens, mais il ne faut pas oublier qu'ils ont aussi un gros contingent US (Linehan puis Green, Soliver, Kirksay (naturalisé), McClintock, Banks). La Chorale n'a pas les moyens d'avoir des français de ce niveau, où alors ce serait au détriment du reste de l'équipe.
Rappelons que Marco Pellin, 19 ans, fait partie de la liste resserrée de 16 joueurs pouvant être selectionnés par Bergeaud, et que Pape Badiane affiche des stats tout à fait intéressantes.
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Greengexois exilé
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