Normal quand tu vois comment Horry a éjecté Nash du terrain... :lol:o_vert_seas1 wrote:Décidemment, je vois que tout le monde y va de sa p'tite contribution pour mettre de l'huile sur cette série qui est déjà brûlante :shock:boubynight wrote:Parker : «Des choses bizarres» Tony Parker était très remonté après la défaite à San Antonio contre Phoenix la nuit dernière (98-104). «C’est dur à avaler. Ce match, on l’avait bien en mains mais des fois, il se passe des choses bizarres. On ne contrôle pas tout. En tout cas, on ressent énormément de frustration. On a réalisé un bon match, on a joué dur, on s’est battu mais ça n’a pas voulu nous sourire dans le quatrième quart-temps. C’est un truc de fou. Je me demande encore comment Phoenix a pu l’emporter. Ce qui est certain, c’est que le match de mercredi sera très, très chaud», a-t-il déclaré sur son site officiel.
[Basket] Reprise saison NBA
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[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
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C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Bryan Colangelo à l’honneur
Bryan Colangelo a été élu meilleur manager général de la NBA la nuit dernière. Il devance Carroll Dawson. Bryan Colangelo est encore à l’honneur cette année. Après avoir remporté le titre honorifique de meilleur manager général de la Ligue en 2004-2005 avec les Phoenix Suns, le technicien des Toronto Raptors a encore raflé la mise cette saison. Avec 20 votes sur 45 possibles, il devance son homologue des Houston Rockets Carroll Dawson, qui a récolté 9 suffrages.
Bryan Colangelo a été élu meilleur manager général de la NBA la nuit dernière. Il devance Carroll Dawson. Bryan Colangelo est encore à l’honneur cette année. Après avoir remporté le titre honorifique de meilleur manager général de la Ligue en 2004-2005 avec les Phoenix Suns, le technicien des Toronto Raptors a encore raflé la mise cette saison. Avec 20 votes sur 45 possibles, il devance son homologue des Houston Rockets Carroll Dawson, qui a récolté 9 suffrages.
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Bobby Dixon superstar : Dixon a été ce soir le grand artisan de la victoire de Gravelines face à Nancy 79-77 grâce aux 26 points de Bobby Dixon en 31' :shock:
Hermenier lui n'a passé que 6mn sur le terrain lors de la défaite de Cholet à domicile face à Roanne 60-68 pour 0pt 3bp et -3 d'éval
Hermenier lui n'a passé que 6mn sur le terrain lors de la défaite de Cholet à domicile face à Roanne 60-68 pour 0pt 3bp et -3 d'éval
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
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Pour info et comme prévu :
Sans surprise, Dirk Nowitzki, l'intérieur de Dallas, a été élu MVP de la saison régulière en NBA. L'Allemand, qui a guidé les Mavs vers les sommets, devient le premier basketteur non-issu du continent nord-américain à recevoir ce titre. Pas de quoi oublier l'humiliation contre les Warriors...
Ça ne le consolera sûrement pas. En grand champion qu'il est, Dirk Nowitzki aurait largement préféré être encore en course pour les playoffs. Mais bon, c'est toujours ça de pris. Pour la première fois de sa carrière, l'Allemand a été élu MVP de la saison régulière en NBA. Avec 83 premières places sur 129, il devance Steve Nash (Phoenix Suns) et Kobe Bryant (Los Angeles Lakers). Mais surtout en succédant à son copain canadien, il devient le premier basketteur non-issu du continent nord-américain élevé à ce rang. La récompense suprême au niveau individuel ! Un honneur qui ne surprend toutefois pas vraiment.
Le "Wunderkind" sort d'une saison régulière impressionnante. Et sur plusieurs plans. Au niveau statistique tout d'abord, l'intérieur de Dallas a été éblouissant. Dans la lignée de ses saisons précédentes. Malgré deux points de moyenne de moins par rapport à l'année dernière, il est l'un des joueurs les plus complets de la Ligue (24,6 points, 8,9 rebonds et 3,4 passes décisives). Mais surtout, Dirk est le patron des Mavs. La formation qui a survolé la saison régulière. Avec 67 victoires pour 15 défaites, les Texans ont marqué de leur empreinte la NBA. Le vote des journalistes n'a donc rien d'étonnant.
L'arme fatale du basket moderne
Ce titre récompense aussi la carrière exceptionnelle du natif de Würzburg. Arrivé en 1998 à Dallas après avoir flambé au Hoop Summit contre les meilleurs lycéens américains (33 pts, 14 rbds), il a su progresser année après année pour devenir un joueur inarrêtable. Du haut de ses 2m13, Dirk sait tout faire. Doté d'une adresse redoutable (son meilleur pourcentage de sa carrière : 50.2%), d'une vision du jeu parfaite, et d'une mobilité impressionnante pour sa taille, l'Allemand est l'arme fatale du basket moderne.
A l'heure où les jeunes Américains oublient leurs fondamentaux pour ne jouer que sur leur explosivité, il est devenu une référence internationale. Sa polyvalence lui a déjà permis de s'offrir les titres de MVP du Mondial 2002 et de l'Euro 2005 où il porta sur ses épaules l'Allemagne en finale. Mais aujourd'hui, il confirme son impact sur le basket NBA. Et devient l'un des MVP les plus complets de l'histoire de la ligue nord-américaine.
Malheureusement ce titre n'effacera pas son nouvel échec en playoffs. Grandissimes favoris, les Mavs ont été sortis par les Warriors dès le premier tour des playoffs (4-2) et le neuvième choix de la draft 1998 n'a pas brillé (19.7 pts à 38.3%). Heureusement pour Dirk, qui devient le troisième MVP à se faire sortir au premier tour des playoffs (le premier depuis 25 ans et Moses Malone), les votes pour le titre de MVP étaient déjà clos...
Sans surprise, Dirk Nowitzki, l'intérieur de Dallas, a été élu MVP de la saison régulière en NBA. L'Allemand, qui a guidé les Mavs vers les sommets, devient le premier basketteur non-issu du continent nord-américain à recevoir ce titre. Pas de quoi oublier l'humiliation contre les Warriors...
Ça ne le consolera sûrement pas. En grand champion qu'il est, Dirk Nowitzki aurait largement préféré être encore en course pour les playoffs. Mais bon, c'est toujours ça de pris. Pour la première fois de sa carrière, l'Allemand a été élu MVP de la saison régulière en NBA. Avec 83 premières places sur 129, il devance Steve Nash (Phoenix Suns) et Kobe Bryant (Los Angeles Lakers). Mais surtout en succédant à son copain canadien, il devient le premier basketteur non-issu du continent nord-américain élevé à ce rang. La récompense suprême au niveau individuel ! Un honneur qui ne surprend toutefois pas vraiment.
Le "Wunderkind" sort d'une saison régulière impressionnante. Et sur plusieurs plans. Au niveau statistique tout d'abord, l'intérieur de Dallas a été éblouissant. Dans la lignée de ses saisons précédentes. Malgré deux points de moyenne de moins par rapport à l'année dernière, il est l'un des joueurs les plus complets de la Ligue (24,6 points, 8,9 rebonds et 3,4 passes décisives). Mais surtout, Dirk est le patron des Mavs. La formation qui a survolé la saison régulière. Avec 67 victoires pour 15 défaites, les Texans ont marqué de leur empreinte la NBA. Le vote des journalistes n'a donc rien d'étonnant.
L'arme fatale du basket moderne
Ce titre récompense aussi la carrière exceptionnelle du natif de Würzburg. Arrivé en 1998 à Dallas après avoir flambé au Hoop Summit contre les meilleurs lycéens américains (33 pts, 14 rbds), il a su progresser année après année pour devenir un joueur inarrêtable. Du haut de ses 2m13, Dirk sait tout faire. Doté d'une adresse redoutable (son meilleur pourcentage de sa carrière : 50.2%), d'une vision du jeu parfaite, et d'une mobilité impressionnante pour sa taille, l'Allemand est l'arme fatale du basket moderne.
A l'heure où les jeunes Américains oublient leurs fondamentaux pour ne jouer que sur leur explosivité, il est devenu une référence internationale. Sa polyvalence lui a déjà permis de s'offrir les titres de MVP du Mondial 2002 et de l'Euro 2005 où il porta sur ses épaules l'Allemagne en finale. Mais aujourd'hui, il confirme son impact sur le basket NBA. Et devient l'un des MVP les plus complets de l'histoire de la ligue nord-américaine.
Malheureusement ce titre n'effacera pas son nouvel échec en playoffs. Grandissimes favoris, les Mavs ont été sortis par les Warriors dès le premier tour des playoffs (4-2) et le neuvième choix de la draft 1998 n'a pas brillé (19.7 pts à 38.3%). Heureusement pour Dirk, qui devient le troisième MVP à se faire sortir au premier tour des playoffs (le premier depuis 25 ans et Moses Malone), les votes pour le titre de MVP étaient déjà clos...
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Les Warriors sans ressort
Les Bulls de Chicago l’ont emporté la nuit dernière à Detroit (92-108) et reviennent à 3 à 2 dans la série face aux Pistons. De son côté, Golden State a sombré dans l’Utah (100-87), le Jazz atteignant sa première finale de Conférence depuis 1998.
Par Bastien Aubert
Detroit - Chicago 92-108
Que les choses soient claires. Dans l'histoire de la NBA, jamais une équipe menée 3 à 0 n’a réussi à inverser la tendance dans une série de Play-offs. Fort de sa large victoire au Palace d'Auburn Hills la nuit dernière (92-108), Chicago tentera de relever le défi après être devenu la 9e équipe de la Ligue, la 5e depuis 45 ans, à forcer un Game 6 après avoir évité le sweep. Où sont donc passés des Pistons sûrs de leur force depuis le début de la série ? Ces derniers s'éparpillent et ont perdu une belle occasion de boucler les demi-finales de la Conférence Est avec l'esprit tranquille. Ceci dit, il n'y avait pas grand-chose à faire la nuit dernière, les Bulls face à des Bulls irrésistibles dans le champ. Ces derniers connaissaient une réussite historique aux shoots en première période (26/36, établissant la deuxième marque dans ce registre derrière les grands Lakers de 1998 avec 23/31) ! A la pause donc, les hommes de Scott Skiles menaient (59-51) mais le meilleur était à venir. Emmenée par un Kirk Hinrich à la baguette (17 points, 13 passes) et un Ben Gordon des grands soirs (28 points à 5/6 à trois points), la franchise de l’Illinois creusait un écart rédhibitoire qui enflait même jusqu’à vingt points dès l’entame du dernier quart-temps (81-101) ! Dans le money time, les leaders des Pistons accusaient le coup, le trident magique Billups-Hamilton-Wallace terminant même à un famélique 16/42 aux shoots ! Au final, les Bulls l’emportaient haut la main (92-108) et Gordon y allait de son petit ressentiment personnel : «Beaucoup de gens nous croyaient morts mais nous avons montré dans les deux derniers matches que nous avons une grande confiance en nous», pendant que Flip Saunders se lamentait du côté de Detroit : «C’est énorme de finir la partie avec une réussite aux shoots à près de 60%. Avoir une équipe autant en réussite en face de soi est vraiment démoralisant». Toujours devant dans la série, les champions 2004 devront se ressaisir lors du Game 6 qui aura lieu dans la nuit de vendredi à Windy City avant de peut-être songer à revenir à Motown pour un match décisif lundi prochain.
Utah - Golden State
Golden State, l’énorme cote des Play-offs suite à sa victoire surprise contre Dallas au premier tour, n’aura plus l’occasion de faire parier les bookmakers. Les Warriors ont chuté la nuit dernière dans l’Utah (100-87) et perdent leur série 4 à 1. A l’image des Bulls, les hommes de Don Nelson n’avaient guère le choix en pénétrant sur le parquet de l’EnergySolutions Arena. L’entame de partie était plutôt tendue et Baron Davis enfilait le costume de l’équipier modèle en délivrant pas moins de six assists lors du premier quart ! Monta Ellis, quant à lui, sautait à pieds joints dans celui du top scorer en en enquillant 12 points en dix minutes. Pourtant, le MIP de la saison régulière revenait vite sur terre au moment où Andreï Kirilenko (21 points, 15 rebonds) et Mehmet Okur (14 points, 9 rebonds) produisaient leurs efforts sous les panneaux, où Mike Pietrus se liquéfiait (1 point en 15 minutes). Si bien que tout restait à faire à la pause et tout se jouait lors de la dernière période. Toujours au coude à coude, les deux équipes se craignaient mais les Warriors craquaient en fin de partie, là même où ils avaient été irrésistibles contre les Mavs. A 1’22 du buzzer, l’écart gonflait (94-87) et AK47 volait un ballon primordial avant de provoquer une faute sur Derek Fischer. Ce dernier, déchaîné après l’opération réussie de sa fille atteinte d’un cancer, ne manquait pas l’offrande et permettait aux siens de voir venir (96-87). Abattus, les Warriors ne marquaient plus aucune unité et quittent donc des Play-offs qu’ils auront illuminés au premier tour. De son côté, le Jazz atteint la finale de la Conférence Ouest pour la première fois depuis 1998 et pourrait mettre à mal le vainqueur de la très indécise série que se livrent Suns et Spurs.
Résultats de la nuit :
Detroit-Chicago 92-108 Detroit mène la série 3-2
Utah - Golden State 100-87 Utah gagne la série 4-1
Les Bulls de Chicago l’ont emporté la nuit dernière à Detroit (92-108) et reviennent à 3 à 2 dans la série face aux Pistons. De son côté, Golden State a sombré dans l’Utah (100-87), le Jazz atteignant sa première finale de Conférence depuis 1998.
Par Bastien Aubert
Detroit - Chicago 92-108
Que les choses soient claires. Dans l'histoire de la NBA, jamais une équipe menée 3 à 0 n’a réussi à inverser la tendance dans une série de Play-offs. Fort de sa large victoire au Palace d'Auburn Hills la nuit dernière (92-108), Chicago tentera de relever le défi après être devenu la 9e équipe de la Ligue, la 5e depuis 45 ans, à forcer un Game 6 après avoir évité le sweep. Où sont donc passés des Pistons sûrs de leur force depuis le début de la série ? Ces derniers s'éparpillent et ont perdu une belle occasion de boucler les demi-finales de la Conférence Est avec l'esprit tranquille. Ceci dit, il n'y avait pas grand-chose à faire la nuit dernière, les Bulls face à des Bulls irrésistibles dans le champ. Ces derniers connaissaient une réussite historique aux shoots en première période (26/36, établissant la deuxième marque dans ce registre derrière les grands Lakers de 1998 avec 23/31) ! A la pause donc, les hommes de Scott Skiles menaient (59-51) mais le meilleur était à venir. Emmenée par un Kirk Hinrich à la baguette (17 points, 13 passes) et un Ben Gordon des grands soirs (28 points à 5/6 à trois points), la franchise de l’Illinois creusait un écart rédhibitoire qui enflait même jusqu’à vingt points dès l’entame du dernier quart-temps (81-101) ! Dans le money time, les leaders des Pistons accusaient le coup, le trident magique Billups-Hamilton-Wallace terminant même à un famélique 16/42 aux shoots ! Au final, les Bulls l’emportaient haut la main (92-108) et Gordon y allait de son petit ressentiment personnel : «Beaucoup de gens nous croyaient morts mais nous avons montré dans les deux derniers matches que nous avons une grande confiance en nous», pendant que Flip Saunders se lamentait du côté de Detroit : «C’est énorme de finir la partie avec une réussite aux shoots à près de 60%. Avoir une équipe autant en réussite en face de soi est vraiment démoralisant». Toujours devant dans la série, les champions 2004 devront se ressaisir lors du Game 6 qui aura lieu dans la nuit de vendredi à Windy City avant de peut-être songer à revenir à Motown pour un match décisif lundi prochain.
Utah - Golden State
Golden State, l’énorme cote des Play-offs suite à sa victoire surprise contre Dallas au premier tour, n’aura plus l’occasion de faire parier les bookmakers. Les Warriors ont chuté la nuit dernière dans l’Utah (100-87) et perdent leur série 4 à 1. A l’image des Bulls, les hommes de Don Nelson n’avaient guère le choix en pénétrant sur le parquet de l’EnergySolutions Arena. L’entame de partie était plutôt tendue et Baron Davis enfilait le costume de l’équipier modèle en délivrant pas moins de six assists lors du premier quart ! Monta Ellis, quant à lui, sautait à pieds joints dans celui du top scorer en en enquillant 12 points en dix minutes. Pourtant, le MIP de la saison régulière revenait vite sur terre au moment où Andreï Kirilenko (21 points, 15 rebonds) et Mehmet Okur (14 points, 9 rebonds) produisaient leurs efforts sous les panneaux, où Mike Pietrus se liquéfiait (1 point en 15 minutes). Si bien que tout restait à faire à la pause et tout se jouait lors de la dernière période. Toujours au coude à coude, les deux équipes se craignaient mais les Warriors craquaient en fin de partie, là même où ils avaient été irrésistibles contre les Mavs. A 1’22 du buzzer, l’écart gonflait (94-87) et AK47 volait un ballon primordial avant de provoquer une faute sur Derek Fischer. Ce dernier, déchaîné après l’opération réussie de sa fille atteinte d’un cancer, ne manquait pas l’offrande et permettait aux siens de voir venir (96-87). Abattus, les Warriors ne marquaient plus aucune unité et quittent donc des Play-offs qu’ils auront illuminés au premier tour. De son côté, le Jazz atteint la finale de la Conférence Ouest pour la première fois depuis 1998 et pourrait mettre à mal le vainqueur de la très indécise série que se livrent Suns et Spurs.
Résultats de la nuit :
Detroit-Chicago 92-108 Detroit mène la série 3-2
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Gravelines surprend Nancy
Vainqueur du favori nancéien au terme d’un match extrêmement serré (79-77), Gravelines a déjoué tous les pronostics en quarts de finale aller des playoffs de Pro A. Si Nancy a perdu, ça roule en revanche pour Roanne et Chalon, alors que Strasbourg coule à Villeurbanne.
Par Arnaud Kenigsberg
Une option pour Roanne et Chalon
Avec l’avantage de se déplacer au match aller des quarts de finale des playoffs, les 4 premiers du championnat avaient l’occasion de mettre à mal leurs adversaires sur leur parquet, avant de les terminer à domicile. Mais seuls deux des quatre favoris ont répondu présent mardi. Deuxième à l’issue de la saison, Roanne a fait le boulot à Cholet. Dominatrice tout au long de la rencontre, avec une petite avance à la fin de chaque quart-temps, la Chorale a réalisé un pas vers les demi-finales, grâce notamment à un énorme Aaron Harper, auteur de 25 points et 9 rebonds. Marc Salyers (11) et Dewarick Spencer (11) ont également apporté leur pierre à l’édifice, alors que du côté choletais, Steed Tchicamboud a terminé meilleur marqueur (16). De Chalon ou Du Mans, le favori n’était pas forcément là où on devait le trouver. Car avec le retour de Kenny Gregory, les Sarthois pouvaient se montrer menaçants, face à une équipe peu à l’aise à l’extérieur, mais troisième au classement. L’apport de l’Américain, auteur de 10 points, a toutefois été insuffisant pour les participants à l’Euroligue. Car les 18 points de Nebojsa Bogavac et les 17 de Sandro Nicevic ont été annihilé par le collectif chalonnais. Terrell Everett (17), Jermaine Guice (16) et Mamoutou Diarra (14) ont été les grands artisans de la victoire de Chalon, qui sera favori jeudi pour le match retour.
Gravelines montre les crocs
Cela devait être le match des extrêmes entre Gravelines, dernier qualifié pour les playoffs, et Nancy, leader au classement de la saison régulière. Cela se confirmait en première mi-temps, avec des Lorrains dominateurs au score et terminant les 20 premières minutes avec un point d’avance (40-41). A la reprise, les Nordistes ont néanmoins pris l’avantage, grâce à un Bobby Dixon en ébullition (26 points). Vexés, les Nancéiens réagissaient en fin de match et revenaient même à 75-75, puis 77-77. Un dernier tir intérieur de Dixon donnait finalement la victoire à Gravelines, alors que Branko Milisavljevic manquait son shoot à 3 points pour conclure. Les hommes de Jean-Luc Monschau devront donc s’imposer jeudi pour égaliser et jouer leur qualification dimanche s’ils parviennent à vaincre le match retour. Dans le dernier match de la soirée, Villeurbanne recevait Strasbourg pour ce qui devait être le match le plus serré. Il n’en a rien été. Dominateurs du début jusqu’à la fin, les Rhodaniens ont donné une véritable leçon de basket à des Strasbourgeois complètement à côté de l’événement. L’ASVEL a même compté jusqu’à 34 points d’avance dans le 3e quart-temps (77-43), avant de terminer le match en roue libre. Les Villeurbannais s’imposent finalement 90-74 avec des Rowan Barrett (23), Chevon Troutman (21) et Yohann Sangaré des grands jours. Mais le plus dur reste à faire pour les hommes d’Yves Baratet, eux qui n’ont jamais gagné chez les 4 premiers du classement durant la saison : car il faudra gagner en Alsace jeudi pour aller en demi-finales.
Résultats des quarts de finale aller :
Cholet – Roanne 60-68
Le Mans - Chalon/Saône 62-73
Gravelines – Nancy 79-77
Villeurbanne – Strasbourg 90-74
Vainqueur du favori nancéien au terme d’un match extrêmement serré (79-77), Gravelines a déjoué tous les pronostics en quarts de finale aller des playoffs de Pro A. Si Nancy a perdu, ça roule en revanche pour Roanne et Chalon, alors que Strasbourg coule à Villeurbanne.
Par Arnaud Kenigsberg
Une option pour Roanne et Chalon
Avec l’avantage de se déplacer au match aller des quarts de finale des playoffs, les 4 premiers du championnat avaient l’occasion de mettre à mal leurs adversaires sur leur parquet, avant de les terminer à domicile. Mais seuls deux des quatre favoris ont répondu présent mardi. Deuxième à l’issue de la saison, Roanne a fait le boulot à Cholet. Dominatrice tout au long de la rencontre, avec une petite avance à la fin de chaque quart-temps, la Chorale a réalisé un pas vers les demi-finales, grâce notamment à un énorme Aaron Harper, auteur de 25 points et 9 rebonds. Marc Salyers (11) et Dewarick Spencer (11) ont également apporté leur pierre à l’édifice, alors que du côté choletais, Steed Tchicamboud a terminé meilleur marqueur (16). De Chalon ou Du Mans, le favori n’était pas forcément là où on devait le trouver. Car avec le retour de Kenny Gregory, les Sarthois pouvaient se montrer menaçants, face à une équipe peu à l’aise à l’extérieur, mais troisième au classement. L’apport de l’Américain, auteur de 10 points, a toutefois été insuffisant pour les participants à l’Euroligue. Car les 18 points de Nebojsa Bogavac et les 17 de Sandro Nicevic ont été annihilé par le collectif chalonnais. Terrell Everett (17), Jermaine Guice (16) et Mamoutou Diarra (14) ont été les grands artisans de la victoire de Chalon, qui sera favori jeudi pour le match retour.
Gravelines montre les crocs
Cela devait être le match des extrêmes entre Gravelines, dernier qualifié pour les playoffs, et Nancy, leader au classement de la saison régulière. Cela se confirmait en première mi-temps, avec des Lorrains dominateurs au score et terminant les 20 premières minutes avec un point d’avance (40-41). A la reprise, les Nordistes ont néanmoins pris l’avantage, grâce à un Bobby Dixon en ébullition (26 points). Vexés, les Nancéiens réagissaient en fin de match et revenaient même à 75-75, puis 77-77. Un dernier tir intérieur de Dixon donnait finalement la victoire à Gravelines, alors que Branko Milisavljevic manquait son shoot à 3 points pour conclure. Les hommes de Jean-Luc Monschau devront donc s’imposer jeudi pour égaliser et jouer leur qualification dimanche s’ils parviennent à vaincre le match retour. Dans le dernier match de la soirée, Villeurbanne recevait Strasbourg pour ce qui devait être le match le plus serré. Il n’en a rien été. Dominateurs du début jusqu’à la fin, les Rhodaniens ont donné une véritable leçon de basket à des Strasbourgeois complètement à côté de l’événement. L’ASVEL a même compté jusqu’à 34 points d’avance dans le 3e quart-temps (77-43), avant de terminer le match en roue libre. Les Villeurbannais s’imposent finalement 90-74 avec des Rowan Barrett (23), Chevon Troutman (21) et Yohann Sangaré des grands jours. Mais le plus dur reste à faire pour les hommes d’Yves Baratet, eux qui n’ont jamais gagné chez les 4 premiers du classement durant la saison : car il faudra gagner en Alsace jeudi pour aller en demi-finales.
Résultats des quarts de finale aller :
Cholet – Roanne 60-68
Le Mans - Chalon/Saône 62-73
Gravelines – Nancy 79-77
Villeurbanne – Strasbourg 90-74
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Les Spurs au finish
Amoindri par les suspensions, Phoenix a lâché prise en toute fin de match contre les Spurs (85-88) emmenés par un grand Ginobili. San Antonio mène désormais 3-2 tout comme Cleveland battu par les Nets.
Par Vincent Duchesne
Phoenix – San Antonio 85-88
Comme prévu, ce Game 5 qui sentait le souffre était surtout marqué par de nombreuses absences et non des moindres. Robert Horry, suspendu deux matches suite à son énorme faute sur Steve Nash lors du dernier match, et le duo Diaw-Stoudemire, punis une rencontre pour être entrés sur le parquet pendant l’échauffourée, étaient invités à suivre les débats des tribunes. Des sanctions lourdes de conséquence pour les Suns, obligés d’en découdre avec seulement 7 joueurs valides ! Une profondeur de banc inexistante que Phoenix allait payer cash en fin de match. Car emmené par un Marion des grands soirs (24 points, 17 rebonds), la bande à Mike D’Antoni a passé la majeure partie de la rencontre en tête au tableau d’affichage. 44-33 à la pause, 62-56 à l’orée du dernier quart temps, les Suns, amoindris, faisaient mieux que se défendre malgré un Barbosa loin de son meilleur niveau (8 points, 4 rebonds). Seul problème, la fatigue faisait son œuvre. Marion baissait de pied (4 points en deuxième période) et les Spurs n’en demandaient pas tant pour grappiller des points. D’autant que Duncan (21 points, 12 rebonds) et surtout Ginobili (26 points, 10 rebonds) sortaient leur habit de lumière. A 2’29 du buzzer, Tony Parker himself (11 points, 5 passes décisives) remettait les compteurs à zéro. La tension était palpable et le suspense entier, Duncan sur lancer-franc répondant au layup de Marion (81-81). Le moment choisi par Bowen pour asséner un coup de bambou terrible sur les têtes de Nash (19 points, 12 rebonds) et consorts. Un tir primé à 36’’ de la fin permettait à San Antonio de passer devant pour la première fois depuis la 7e minute du premier quart temps (81-84) ! Phoenix ne s’en remettra pas, Ginobili et Finley ne tremblant pas sur la ligne des lancer-francs (85-88). En cas de victoire vendredi, les Spurs seront en finale de la Conférence Ouest.
Cleveland – New Jersey 72-83
New Jersey n’est pas mort. Du moins pas encore. Alors que Cleveland avait une occasion en or de conclure cette série à domicile et d’envoyer, par la même occasion, les Nets en vacances, la bande à Lawrence Frank a pris un malin plaisir à refroidir la Quicken Loans Arena (72-83). Un véritable miracle quand on sait que Vince Carter (12 points, 6 rebonds, 10 passes décisives) et ses partenaires ont inscrit 6 minuscules points dans le dernier quart temps ! «Nous sommes une équipe de vétérans et nous avons déjà été dans cette situation avant. Nous avons obtenu une grande victoire à l’extérieur qui nous permet de jouer un 6e match. Nous avons bien joué même si nous n’avons pas fini la quatrième quart-temps comme nous le souhaitions». Difficile de contredire Jason Kidd, grand artisan de ce succès importantissime (20 points, 9 rebonds, 6 passes décisives). Avant ce fameux dernier acte qui restera dans les annales, le collectif des Nets a complètement éteint les Cavs en atteignant la pause avec un pécule intéressant (39-47) avant d’appuyer sur le champignon dans le troisième quart-temps.
Sous l’impulsion de Jefferson (15 points, 8 rebonds) et Moore (14 points), l’écart grimpait de manière significative (59-77). Car en face, la faillite était totale. LeBron James avait des allures de capitaine abandonné (20 points à 5/14 au shoot, 9 rebonds, 5 passes décisives) et ne pouvait endiguer à lui tout seul la révolte de New Jersey, Ilgauskas (16 points) étant le seul à véritablement le seconder. Mais coup de théâtre ! New Jersey connaissait alors une défaillance terrible dans le dernier quart temps avec un cataclysmique 1/15 au shoot sans oublier un peu glorieux 4/10 au lancer-franc ! Suffisant pour relancer les Cavs ? Pas du tout, Larry Hugues (7 points à 3/17 au tir) et ses partenaires étant d’une maladresse déconcertante (33,3% de réussite). Tant et si bien que sans LeBron James, obligé de quitter ses partenaires sur blessure dans la dernière minute, les hommes de Mike Brown parvenaient à peine à inscrire le double de points des Nets (13). Le prochain match vendredi soir s’annonce bouillant !
Résultat de la nuit
Cleveland - New Jersey 72-83 (Cleveland mène la série 3-2)
Phoenix - San Antonio 85-88 (San Antonio mène la série 3-2)
Amoindri par les suspensions, Phoenix a lâché prise en toute fin de match contre les Spurs (85-88) emmenés par un grand Ginobili. San Antonio mène désormais 3-2 tout comme Cleveland battu par les Nets.
Par Vincent Duchesne
Phoenix – San Antonio 85-88
Comme prévu, ce Game 5 qui sentait le souffre était surtout marqué par de nombreuses absences et non des moindres. Robert Horry, suspendu deux matches suite à son énorme faute sur Steve Nash lors du dernier match, et le duo Diaw-Stoudemire, punis une rencontre pour être entrés sur le parquet pendant l’échauffourée, étaient invités à suivre les débats des tribunes. Des sanctions lourdes de conséquence pour les Suns, obligés d’en découdre avec seulement 7 joueurs valides ! Une profondeur de banc inexistante que Phoenix allait payer cash en fin de match. Car emmené par un Marion des grands soirs (24 points, 17 rebonds), la bande à Mike D’Antoni a passé la majeure partie de la rencontre en tête au tableau d’affichage. 44-33 à la pause, 62-56 à l’orée du dernier quart temps, les Suns, amoindris, faisaient mieux que se défendre malgré un Barbosa loin de son meilleur niveau (8 points, 4 rebonds). Seul problème, la fatigue faisait son œuvre. Marion baissait de pied (4 points en deuxième période) et les Spurs n’en demandaient pas tant pour grappiller des points. D’autant que Duncan (21 points, 12 rebonds) et surtout Ginobili (26 points, 10 rebonds) sortaient leur habit de lumière. A 2’29 du buzzer, Tony Parker himself (11 points, 5 passes décisives) remettait les compteurs à zéro. La tension était palpable et le suspense entier, Duncan sur lancer-franc répondant au layup de Marion (81-81). Le moment choisi par Bowen pour asséner un coup de bambou terrible sur les têtes de Nash (19 points, 12 rebonds) et consorts. Un tir primé à 36’’ de la fin permettait à San Antonio de passer devant pour la première fois depuis la 7e minute du premier quart temps (81-84) ! Phoenix ne s’en remettra pas, Ginobili et Finley ne tremblant pas sur la ligne des lancer-francs (85-88). En cas de victoire vendredi, les Spurs seront en finale de la Conférence Ouest.
Cleveland – New Jersey 72-83
New Jersey n’est pas mort. Du moins pas encore. Alors que Cleveland avait une occasion en or de conclure cette série à domicile et d’envoyer, par la même occasion, les Nets en vacances, la bande à Lawrence Frank a pris un malin plaisir à refroidir la Quicken Loans Arena (72-83). Un véritable miracle quand on sait que Vince Carter (12 points, 6 rebonds, 10 passes décisives) et ses partenaires ont inscrit 6 minuscules points dans le dernier quart temps ! «Nous sommes une équipe de vétérans et nous avons déjà été dans cette situation avant. Nous avons obtenu une grande victoire à l’extérieur qui nous permet de jouer un 6e match. Nous avons bien joué même si nous n’avons pas fini la quatrième quart-temps comme nous le souhaitions». Difficile de contredire Jason Kidd, grand artisan de ce succès importantissime (20 points, 9 rebonds, 6 passes décisives). Avant ce fameux dernier acte qui restera dans les annales, le collectif des Nets a complètement éteint les Cavs en atteignant la pause avec un pécule intéressant (39-47) avant d’appuyer sur le champignon dans le troisième quart-temps.
Sous l’impulsion de Jefferson (15 points, 8 rebonds) et Moore (14 points), l’écart grimpait de manière significative (59-77). Car en face, la faillite était totale. LeBron James avait des allures de capitaine abandonné (20 points à 5/14 au shoot, 9 rebonds, 5 passes décisives) et ne pouvait endiguer à lui tout seul la révolte de New Jersey, Ilgauskas (16 points) étant le seul à véritablement le seconder. Mais coup de théâtre ! New Jersey connaissait alors une défaillance terrible dans le dernier quart temps avec un cataclysmique 1/15 au shoot sans oublier un peu glorieux 4/10 au lancer-franc ! Suffisant pour relancer les Cavs ? Pas du tout, Larry Hugues (7 points à 3/17 au tir) et ses partenaires étant d’une maladresse déconcertante (33,3% de réussite). Tant et si bien que sans LeBron James, obligé de quitter ses partenaires sur blessure dans la dernière minute, les hommes de Mike Brown parvenaient à peine à inscrire le double de points des Nets (13). Le prochain match vendredi soir s’annonce bouillant !
Résultat de la nuit
Cleveland - New Jersey 72-83 (Cleveland mène la série 3-2)
Phoenix - San Antonio 85-88 (San Antonio mène la série 3-2)
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Greengexois wrote:Quelqu'un a t-il vu les images de la fin du 4ème match Suns Spurs qui a valu une suspension à Bobo et Stoudamire.
Si oui un lien pour les voir SVP
Suffit de demander....
http://www.dailymotion.com/relevance/se ... steve-nash
On voit clairement que c'est plus Raja Bell qui vient chercher...mais s'ils ont été suspendu, et c'est dans le réglement, c'est parce qu'ils étaient sur le banc et qu'ils n'ont pas le droit d'entrer sur le terrain !
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Nelson se décidera en juillet
Don Nelson se donne jusqu’au 1er juillet pour réfléchir à son avenir au bord des parquets NBA. Auteur d’une grosse perf’ à la tête des Warriors, tombeurs de son ancienne équipe des Mavericks au premier tour des Play-offs, Don Nelson est en vacances depuis l’élimination de son équipe face à Utah. Agé de 67 ans, le coach aux 1232 victoires en NBA ne sait pas s’il continuera l’année prochaine avec l’équipe californienne. «C’est une bonne chose que je sois revenu. Je ne sais pas si c’en est une que je reste», a expliqué Nelson qui se donne jusqu’au 1er juillet pour réfléchir.
J'aime ce coach avec son basket ultra offensif à Dallas ou Golden States...
Don Nelson se donne jusqu’au 1er juillet pour réfléchir à son avenir au bord des parquets NBA. Auteur d’une grosse perf’ à la tête des Warriors, tombeurs de son ancienne équipe des Mavericks au premier tour des Play-offs, Don Nelson est en vacances depuis l’élimination de son équipe face à Utah. Agé de 67 ans, le coach aux 1232 victoires en NBA ne sait pas s’il continuera l’année prochaine avec l’équipe californienne. «C’est une bonne chose que je sois revenu. Je ne sais pas si c’en est une que je reste», a expliqué Nelson qui se donne jusqu’au 1er juillet pour réfléchir.
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boubynight wrote:Greengexois wrote:Quelqu'un a t-il vu les images de la fin du 4ème match Suns Spurs qui a valu une suspension à Bobo et Stoudamire.
Si oui un lien pour les voir SVP
Suffit de demander....
http://www.dailymotion.com/relevance/se ... steve-nash
On voit clairement que c'est plus Raja Bell qui vient chercher...mais s'ils ont été suspendu, et c'est dans le réglement, c'est parce qu'ils étaient sur le banc et qu'ils n'ont pas le droit d'entrer sur le terrain !
J'avais pas vu les images mais c'est quand même beaucoup de bruit pour pas grand chose :???:
Aller suspendre Stoudemire et Diaw pour avoi mis un pied à l'intérieur du terrain c'est ridicule.
Même la suspension de Horry est sévère, alors que sa faute est plus spectaculaire et bête que méchante.
Ou alors tout n'est pas dans la vidéo
17 mai (Play-Offs - 1/4 Finale Retour)
Nancy 89 66 Gravelines-Du.
Roanne 74 60 Cholet
Chalon/Saône 78 85 Le Mans
Strasbourg 103 105 Adecco ASVEL
Roanne et l'ASVEL sont qualifiés les demies.
Samedi, matchs decisifs a Nancy et a Chalon.
Nancy 89 66 Gravelines-Du.
Roanne 74 60 Cholet
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Strasbourg 103 105 Adecco ASVEL
Roanne et l'ASVEL sont qualifiés les demies.
Samedi, matchs decisifs a Nancy et a Chalon.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Beau match de la Chorale qui après un début de match poussif a maitrisé lors de la deuxième mi-temps avec un Spencer (20 points) toujours aussi efficace (et ce malgré un Badiane un ton en dessous de ses coéquipiers, comme a chaque fois que je le vois jouer :oops: ). Dernier match d'un grand monsieur du basket Jim Bilba très applaudi contrairement à Steed Ticamboud copieusement sifflé avant et pendant le match (:?: pas au courant du différent avec ce joueur)
Quelques clichés pris par thomas99 junior
Un tour d'honneur toujours très apprécié par les enfants présents
Dewarick Spencer zen avant le match
Etirements d'avant match
Aperçu (désolé pour la qualité:oops:)de l'ambiance dans une salle comble avec une animation organisée a base de ballons bleus et blancs
Quelques clichés pris par thomas99 junior
Un tour d'honneur toujours très apprécié par les enfants présents
Dewarick Spencer zen avant le match
Etirements d'avant match
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2005 -->2020
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Detroit reçu cinq sur cinq
Pour la cinquième année consécutive, Detroit disputera la finale de la Conférence Est. Les Pistons ont en effet maté la révolte de Chicago la nuit dernière sur le parquet des Bulls (85-95).
Chicago – Detroit 85-95
Les Bulls étaient-ils capables de réaliser un incroyable come-back et forcer les Pistons, intraitables lors des trois premiers matches, à jouer un Game 7 décisif ? Jamais aucune équipe menée 3-0 dans l’histoire de la NBA n’a réussi à inverser la tendance dans une série de Play-Offs. A cause de Detroit, Chicago n’aura pas l’honneur d’inscrire son nom au palmarès. Dans un United Center en feu, tout acquis à la cause de Gordon (19 points) et consorts, les hommes de Flip Saunders ont rapidement fait comprendre qu’ils n’avaient pas l’intention de faire durer le suspense plus longtemps. Echaudé par les deux défaites consécutives, Richard Hamilton prenait les choses en main (10 de ses 23 points inscrits dans le premier quart temps) et permettait aux Pistons de débuter le deuxième acte avec un léger avantage (23-28). Pas de quoi mater suffisamment la révolte locale. Brown prenait feu (20 points en première période, son nouveau record personnel en Play-Offs) et, soutenu par Deng (17 points) et Hinrich (11 points, 11 passes décisives) infligeaient un sévère 13-4 juste avant la pause (48-43). «En première période, nous étions trop statiques et on ne faisait pas assez vivre le ballon. C’est ce qu’on c’est dit à la pause», reconnaissait Rasheed Wallace (16 points, 13 rebonds, 4 passes décisives) à l’issue des débats.
Ce dernier avait parfaitement reçu le message. Son tir primé d’entrée de troisième quart temps remettait les Pistons dans le sens de la marche et sortait surtout Billups de son profond sommeil (11 de ses 21 points dans le ce 3e quart). Tant et si bien que Detroit, plus mordant, virait de nouveau en tête à l’orée des 12 dernières minutes (74-69). Et les Bulls ne reviendront finalement jamais. La raison ? Une faillite dans le secteur où ils avaient excellé lors du dernier match et écœuré leur adversaire : l’adresse. De 57,3%, la franchise de l’Illinois est passée à 37,3% de réussite avec un famélique 28/75 au shoot ! Hinrich, avec un piteux 3/13, résumant à lui seul le problème de Chicago, largement battu, qui plus est, dans la raquette (35 rebonds contre 48). Face à une équipe de Detroit avide de revanche, cela ne pardonnait pas, Billups et Hamilton se chargeant de clôturer cette série avec un festival au lancer-franc dans un silence de cathédrale (85-95). Pour la 5e année consécutive, les Pistons disputeront donc la finale de la Conférence Est, devenant par la même occasion la 5e équipe lors des 30 dernières années à réussir cette performance. Reste à savoir qui de New Jersey ou Cleveland aura le redoutable privilège d’affronter le grand favori de la Conférence.
Résultat de la nuit dernière
Chicago - Detroit 85-95 (Detroit remporte la série 4-2)
Pour la cinquième année consécutive, Detroit disputera la finale de la Conférence Est. Les Pistons ont en effet maté la révolte de Chicago la nuit dernière sur le parquet des Bulls (85-95).
Chicago – Detroit 85-95
Les Bulls étaient-ils capables de réaliser un incroyable come-back et forcer les Pistons, intraitables lors des trois premiers matches, à jouer un Game 7 décisif ? Jamais aucune équipe menée 3-0 dans l’histoire de la NBA n’a réussi à inverser la tendance dans une série de Play-Offs. A cause de Detroit, Chicago n’aura pas l’honneur d’inscrire son nom au palmarès. Dans un United Center en feu, tout acquis à la cause de Gordon (19 points) et consorts, les hommes de Flip Saunders ont rapidement fait comprendre qu’ils n’avaient pas l’intention de faire durer le suspense plus longtemps. Echaudé par les deux défaites consécutives, Richard Hamilton prenait les choses en main (10 de ses 23 points inscrits dans le premier quart temps) et permettait aux Pistons de débuter le deuxième acte avec un léger avantage (23-28). Pas de quoi mater suffisamment la révolte locale. Brown prenait feu (20 points en première période, son nouveau record personnel en Play-Offs) et, soutenu par Deng (17 points) et Hinrich (11 points, 11 passes décisives) infligeaient un sévère 13-4 juste avant la pause (48-43). «En première période, nous étions trop statiques et on ne faisait pas assez vivre le ballon. C’est ce qu’on c’est dit à la pause», reconnaissait Rasheed Wallace (16 points, 13 rebonds, 4 passes décisives) à l’issue des débats.
Ce dernier avait parfaitement reçu le message. Son tir primé d’entrée de troisième quart temps remettait les Pistons dans le sens de la marche et sortait surtout Billups de son profond sommeil (11 de ses 21 points dans le ce 3e quart). Tant et si bien que Detroit, plus mordant, virait de nouveau en tête à l’orée des 12 dernières minutes (74-69). Et les Bulls ne reviendront finalement jamais. La raison ? Une faillite dans le secteur où ils avaient excellé lors du dernier match et écœuré leur adversaire : l’adresse. De 57,3%, la franchise de l’Illinois est passée à 37,3% de réussite avec un famélique 28/75 au shoot ! Hinrich, avec un piteux 3/13, résumant à lui seul le problème de Chicago, largement battu, qui plus est, dans la raquette (35 rebonds contre 48). Face à une équipe de Detroit avide de revanche, cela ne pardonnait pas, Billups et Hamilton se chargeant de clôturer cette série avec un festival au lancer-franc dans un silence de cathédrale (85-95). Pour la 5e année consécutive, les Pistons disputeront donc la finale de la Conférence Est, devenant par la même occasion la 5e équipe lors des 30 dernières années à réussir cette performance. Reste à savoir qui de New Jersey ou Cleveland aura le redoutable privilège d’affronter le grand favori de la Conférence.
Résultat de la nuit dernière
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[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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http://www.liberation.fr/actualite/sports/254521.FR.php
Sacré personnage
Jean-Denys Choulet, 49 ans, vient d'être consacré «meilleur coach de Pro A» par un jury d'internautes et de professionnels. Ce n'est pas le genre de distinction qui risque d'émouvoir l'entraîneur de la Chorale de Roanne. «Cette récompense, on [sic] la doit aux joueurs. On [resic] ne travaille pas mieux que les années précédentes. C'est juste la qualité de nos basketteurs qui a mis en avant notre labeur», finit-il par concéder en petit comité quand Emmanuel Brochot, le juvénile président du club, lui réclame un petit discours.
Franchise. L'homme est abrupt et ne tolère aucune flatterie, qui n'est pas sans évoquer le Laurent Rodriguez du Biarritz olympique (rugby) ou Jean-Claude Suaudeau, le démiurge retraité du FC Nantes. Cheveux ras, voix rauque et mâchoire carrée, «JDC» trimballe sa rugueuse franchise sur les parquets depuis dix-sept ans. Ancien prof de gym, le Bisontin a connu les arrière-cantines des divisions inférieures et même, à ses débuts, trois clubs en cessation de paiement. Passé par Gravelines, Châlons-en-Champagne et une aventure chez les féminines du Mulhouse BC, Jean-Denys Choulet est arrivé à Roanne en 2000, découvrant un navire à la dérive qui croupit en Pro B depuis sept ans. Il lui faudra deux ans pour retrouver l'élite.
Ce lieu historique du basket français existe depuis 1937 et a été fondé par des instituteurs afin que les élèves de la chorale exercent une activité physique. Saison après saison, le premier club du légendaire Alain Gilles fourbit ses armes, notamment ce basket champagne qui constitue la griffe de «Jean-De» : «J'ai toujours eu la volonté de recruter des joueurs offensivement compétitifs. Ce style de jeu me plaît, il ravit le public et remplit les salles. Tout le monde s'y retrouve.»
Pour la première fois, l'entraîneur de Roanne dispute les play-offs. A la fin de la phase régulière, la Chorale occupait une deuxième place enviée. Mieux : le treizième budget (2,3 millions d'euros) de Pro A a fait main basse sur la Semaine des as, qui le qualifie illico pour la Coupe d'Europe. Dans une ville qui a perdu plus du tiers de sa population (de 55 000 en 1975 à 36 000 habitants) suite à l'arrêt d'activités industrielles majeures (Giat, armement), l'espoir renaît via le jeu vif-argent et les résultats du club. Ce miracle tire sa source d'un management hors pair des ego et d'une stratégie haut de gamme. La Chorale de Roanne dispose des trois meilleurs marqueurs du championnat (Spencer, Harper et Salyers, tous américains) et par conséquent de l'attaque la plus productive. En outre, Choulet s'y entend pour lancer de jeunes pousses dans le grand bain (Pellin, Moerman) ou pour relancer des joueurs peu cotés à l'Argus de la Pro A. Dans un effectif franco-américain dur au mal, tous semblent prêts à se mettre les tripes au soleil pour leur cornac. «Il peut brailler très fort mais il a une vraie capacité d'écoute. De son staff comme de ses joueurs», assure son assistant. L'alchimie opère aussi car le head coach adapte son plan de jeu et ses systèmes en fonction des joueurs dont il dispose, et non l'inverse.
Réputation. Sa maîtrise de l'anglais (il a vécu au Portugal, au Mexique, aux Etats-Unis) et son intérêt pour l'informatique l'incitent à constituer sa base de données pour répertorier nombre de joueurs américains, en particulier les universitaires, sur lesquels il pêcher via Internet des données statistiques. Cette méthode d'autodidacte et ses visites estivales sur les camps d'entraînement américains lui valent une réputation de recruteur exceptionnel. Lui s'en défend : «Il ne faut pas tout réduire au flair, il y a du travail derrière.» Ainsi faut-il ferrailler dur aujourd'hui pour battre Roanne, notamment dans son antre, aussi vétuste qu'abrasif, la halle André-Vacheresse (du nom d'un équipier des années 40). Quand on l'interroge sur son avenir, JDC conclut : «Quand je signe dans un club, ce sont les dirigeants qui m'importent, ainsi que les joueurs. Je ne suis pas un mercenaire, je m'investis, d'autant que souvent ce sont des structures sans grands moyens. Si l'on me proposait de diriger un super club dans une grande ville, j'y réfléchirais mais ce n'est pas ma priorité. J'aime surtout la nature. Les vaches et les chevaux, les sapins et la neige, pas les grandes villes...»
Sacré personnage
Jean-Denys Choulet, 49 ans, vient d'être consacré «meilleur coach de Pro A» par un jury d'internautes et de professionnels. Ce n'est pas le genre de distinction qui risque d'émouvoir l'entraîneur de la Chorale de Roanne. «Cette récompense, on [sic] la doit aux joueurs. On [resic] ne travaille pas mieux que les années précédentes. C'est juste la qualité de nos basketteurs qui a mis en avant notre labeur», finit-il par concéder en petit comité quand Emmanuel Brochot, le juvénile président du club, lui réclame un petit discours.
Franchise. L'homme est abrupt et ne tolère aucune flatterie, qui n'est pas sans évoquer le Laurent Rodriguez du Biarritz olympique (rugby) ou Jean-Claude Suaudeau, le démiurge retraité du FC Nantes. Cheveux ras, voix rauque et mâchoire carrée, «JDC» trimballe sa rugueuse franchise sur les parquets depuis dix-sept ans. Ancien prof de gym, le Bisontin a connu les arrière-cantines des divisions inférieures et même, à ses débuts, trois clubs en cessation de paiement. Passé par Gravelines, Châlons-en-Champagne et une aventure chez les féminines du Mulhouse BC, Jean-Denys Choulet est arrivé à Roanne en 2000, découvrant un navire à la dérive qui croupit en Pro B depuis sept ans. Il lui faudra deux ans pour retrouver l'élite.
Ce lieu historique du basket français existe depuis 1937 et a été fondé par des instituteurs afin que les élèves de la chorale exercent une activité physique. Saison après saison, le premier club du légendaire Alain Gilles fourbit ses armes, notamment ce basket champagne qui constitue la griffe de «Jean-De» : «J'ai toujours eu la volonté de recruter des joueurs offensivement compétitifs. Ce style de jeu me plaît, il ravit le public et remplit les salles. Tout le monde s'y retrouve.»
Pour la première fois, l'entraîneur de Roanne dispute les play-offs. A la fin de la phase régulière, la Chorale occupait une deuxième place enviée. Mieux : le treizième budget (2,3 millions d'euros) de Pro A a fait main basse sur la Semaine des as, qui le qualifie illico pour la Coupe d'Europe. Dans une ville qui a perdu plus du tiers de sa population (de 55 000 en 1975 à 36 000 habitants) suite à l'arrêt d'activités industrielles majeures (Giat, armement), l'espoir renaît via le jeu vif-argent et les résultats du club. Ce miracle tire sa source d'un management hors pair des ego et d'une stratégie haut de gamme. La Chorale de Roanne dispose des trois meilleurs marqueurs du championnat (Spencer, Harper et Salyers, tous américains) et par conséquent de l'attaque la plus productive. En outre, Choulet s'y entend pour lancer de jeunes pousses dans le grand bain (Pellin, Moerman) ou pour relancer des joueurs peu cotés à l'Argus de la Pro A. Dans un effectif franco-américain dur au mal, tous semblent prêts à se mettre les tripes au soleil pour leur cornac. «Il peut brailler très fort mais il a une vraie capacité d'écoute. De son staff comme de ses joueurs», assure son assistant. L'alchimie opère aussi car le head coach adapte son plan de jeu et ses systèmes en fonction des joueurs dont il dispose, et non l'inverse.
Réputation. Sa maîtrise de l'anglais (il a vécu au Portugal, au Mexique, aux Etats-Unis) et son intérêt pour l'informatique l'incitent à constituer sa base de données pour répertorier nombre de joueurs américains, en particulier les universitaires, sur lesquels il pêcher via Internet des données statistiques. Cette méthode d'autodidacte et ses visites estivales sur les camps d'entraînement américains lui valent une réputation de recruteur exceptionnel. Lui s'en défend : «Il ne faut pas tout réduire au flair, il y a du travail derrière.» Ainsi faut-il ferrailler dur aujourd'hui pour battre Roanne, notamment dans son antre, aussi vétuste qu'abrasif, la halle André-Vacheresse (du nom d'un équipier des années 40). Quand on l'interroge sur son avenir, JDC conclut : «Quand je signe dans un club, ce sont les dirigeants qui m'importent, ainsi que les joueurs. Je ne suis pas un mercenaire, je m'investis, d'autant que souvent ce sont des structures sans grands moyens. Si l'on me proposait de diriger un super club dans une grande ville, j'y réfléchirais mais ce n'est pas ma priorité. J'aime surtout la nature. Les vaches et les chevaux, les sapins et la neige, pas les grandes villes...»
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Une info que je trouve un peu inquiètante pour le basket de club français. Carl Ona-Embo, jeune et talentueux meneur de jeu du Centre Fédéral et de ce fait, bon espoir du basket français, c'est engagé pour sa première saison professionnelle avec le club italien de Milan, plutot que de retourner à Cholet, son club formateur.
Si désormais les jeunes talents français partent directement dans les clubs étrangers...
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Et oui hélas....c'est comme au foot. A Milan on doit lui proposer 3 fosi ce qu'il pourrait avoir à Cholet !El Couramiaud wrote:Une info que je trouve un peu inquiètante pour le basket de club français. Carl Ona-Embo, jeune et talentueux meneur de jeu du Centre Fédéral et de ce fait, bon espoir du basket français, c'est engagé pour sa première saison professionnelle avec le club italien de Milan, plutot que de retourner à Cholet, son club formateur.
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boubynight wrote:Et oui hélas....c'est comme au foot. A Milan on doit lui proposer 3 fosi ce qu'il pourrait avoir à Cholet !El Couramiaud wrote:Une info que je trouve un peu inquiètante pour le basket de club français. Carl Ona-Embo, jeune et talentueux meneur de jeu du Centre Fédéral et de ce fait, bon espoir du basket français, c'est engagé pour sa première saison professionnelle avec le club italien de Milan, plutot que de retourner à Cholet, son club formateur.
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La question est de savoir si il va pouvoir jouer et progresser, car il doit avoir 17/18 ans.
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Monclar débarqué à Dijon
L’entraîneur de Dijon, Jacques Monclar, a été démis de ses fonctions. Suite à des problèmes relationnels entre joueurs, dirigeants mais également staff, Dijon a décidé de mettre un terme au contrat de Jacques Monclar. Ce dernier entraînait le club bourguignon depuis mars 2005. Il lui restait un an de contrat.
L’entraîneur de Dijon, Jacques Monclar, a été démis de ses fonctions. Suite à des problèmes relationnels entre joueurs, dirigeants mais également staff, Dijon a décidé de mettre un terme au contrat de Jacques Monclar. Ce dernier entraînait le club bourguignon depuis mars 2005. Il lui restait un an de contrat.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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[quote="billups42"]
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Implacable San Antonio
Les Spurs se sont qualifiés pour la finale de Conférence à l’Ouest en sortant Phoenix à l’issue du match 6 (114-106). Destin identique à l’Est pour Cleveland vainqueur à New Jersey (88-72).
San Antonio – Phoenix 114-106
La collision entre Nash et Parker, les déclarations incendiaires d’Amare Stoudemire, le début de bagarre après l’énorme faute de Robert Horry sur Steve Nash, les suspensions de Stoudemire, Diaw et Horry. La série entre San Antonio et Phoenix apparaissait comme l’une des plus tendues jamais vue. San Antonio, toujours privé de Horry, avait l’occasion de mettre fin à cette guerre des nerfs et d’accéder pour la troisième fois en 5 ans aux finales de Conférence. Portés par des fulgurances sublimes de Manu Ginobili (33 pts à 11 sur 17 au tir, 11 rbds, 6 passes) et Tony Parker (30 pts à 11 sur 27 au tir, 2 rbds, 6 passes), les Spurs se sont imposés (114-106) grâce un excellent passage lors de la troisième période. Jusqu’ici, les Texans avaient peu profité de l’apathie de Steve Nash bien masquée par le chantier de Stoudemire (33 pts à 14 sur 28 au tir, 12 rbds) et Shawn Marion (11 pts, 11 rbds) à l’intérieur. Mais la rotation de San Antonio usait les Suns qui concédaient 14 points de retard à l’entame du dernier quart (81-67). Un écart qui grimpait même à 20 unités (92-72) après deux nouveaux paniers de Ginobili à 9 minutes de la fin. Le moment choisi par Nash pour enfin sortir de sa torpeur. Le run and gun initié par le Canadien permettait aux joueurs de l’Arizona d’y croire à nouveau. Les 15 points du double MVP avec les relais de Stoudemire et Marion ramenaient Phoenix à 106-101 à une minute du buzzer. Mais les Spurs, habitués de ces fins de matches tendus en Play-offs assuraient sur la ligne des lancers-francs avec Ginobili et Finley (11 pts, 3 rbds) et mettaient un terme aux espoirs des Suns qui échouent cette année encore dans leur quête à l’Ouest. Les Spurs défieront eux les Jazz d’Utah à propos desquels Tim Duncan (24 pts, 13 rbds, 9 contres) déclare : «Ils jouent un excellent basket et il faudra se tenir prêt à affronter leur jeu physique.»
New Jersey – Cleveland 72-88
C’est un sentiment incroyable. L’un des meilleurs que j’ai eus dans ma carrière de basketteur.» LeBron James ne cachait pas son émotion après la victoire des Cavs à New Jersey (88-72). Un succès sur le parquet de la Continental Airlines Arena lors du match 6 qui envoie Cleveland en finale de Conférence pour la première fois depuis 1992. Incapables de mettre fin à cette série sur leur parquet lors du match 5, les joueurs de l’Ohio entendaient ne pas disputer un match couperet face aux expérimentés Nets et prenaient les devants avec un King James rayonnant dès le premier quart-temps (32-15). Nanti d’une confortable avance de 15 points à la pause, Cleveland gérait tranquillement la rencontre mais allait connaître un énorme trou d’air durant la troisième période. «Cela devait être dur pour nos fans de regarder ce quart-temps», déclarait James maniant l’euphémisme. Avec leur franchise player scotché sur le banc à cause des fautes, les Cavs n’inscrivaient ainsi que 8 petites unités. Seul Atlanta avait fait pire (6 points) en Play-offs en 1986 face à Boston. Donyell Marshall (18 pts, 5 rbds), qui fêtait ses 34 ans, et Daniel Gibson (8 pts) étaient les uniques scoreurs pour Cleveland durant cette période apocalyptique. Avec un Jason Kidd encore inspiré (19 pts à 7 sur 20 au tir, 12 rebonds et 8 passes), New Jersey recollait à une longueur (61-60) à l’entame du dernier quart-temps. L’heure pour King James (23 pts à 8 sur 20 au tir, 8 rbds, 8 passes) de revenir sur le parquet et de clore les débats avec l’aide précieuse de Marshall derrière la ligne à trois points (6 sur 10). «Il a parfaitement joué dans le quatrième quart», reconnaissait Kidd à propos de son illustre cadet. Le meneur des Nets sera devenu le deuxième joueur, après Oscar Robertson en 1962, à terminer les Plays-offs avec une ligne de stats en forme de triple double (14,6 pts, 10,9 rbds, 10,9 passes), mais en vain. LeBron James n’aura ainsi attendu que sa quatrième saison en NBA pour envoyer les Cavs en finale de Conférence où ils affronteront Detroit.
Résultats de la nuit dernière :
San Antonio - Phoenix 114-106 (San Antonio remporte la série 4-2)
New Jersey - Cleveland 72-88 (Cleveland remporte la série 4-2)
Les Spurs se sont qualifiés pour la finale de Conférence à l’Ouest en sortant Phoenix à l’issue du match 6 (114-106). Destin identique à l’Est pour Cleveland vainqueur à New Jersey (88-72).
San Antonio – Phoenix 114-106
La collision entre Nash et Parker, les déclarations incendiaires d’Amare Stoudemire, le début de bagarre après l’énorme faute de Robert Horry sur Steve Nash, les suspensions de Stoudemire, Diaw et Horry. La série entre San Antonio et Phoenix apparaissait comme l’une des plus tendues jamais vue. San Antonio, toujours privé de Horry, avait l’occasion de mettre fin à cette guerre des nerfs et d’accéder pour la troisième fois en 5 ans aux finales de Conférence. Portés par des fulgurances sublimes de Manu Ginobili (33 pts à 11 sur 17 au tir, 11 rbds, 6 passes) et Tony Parker (30 pts à 11 sur 27 au tir, 2 rbds, 6 passes), les Spurs se sont imposés (114-106) grâce un excellent passage lors de la troisième période. Jusqu’ici, les Texans avaient peu profité de l’apathie de Steve Nash bien masquée par le chantier de Stoudemire (33 pts à 14 sur 28 au tir, 12 rbds) et Shawn Marion (11 pts, 11 rbds) à l’intérieur. Mais la rotation de San Antonio usait les Suns qui concédaient 14 points de retard à l’entame du dernier quart (81-67). Un écart qui grimpait même à 20 unités (92-72) après deux nouveaux paniers de Ginobili à 9 minutes de la fin. Le moment choisi par Nash pour enfin sortir de sa torpeur. Le run and gun initié par le Canadien permettait aux joueurs de l’Arizona d’y croire à nouveau. Les 15 points du double MVP avec les relais de Stoudemire et Marion ramenaient Phoenix à 106-101 à une minute du buzzer. Mais les Spurs, habitués de ces fins de matches tendus en Play-offs assuraient sur la ligne des lancers-francs avec Ginobili et Finley (11 pts, 3 rbds) et mettaient un terme aux espoirs des Suns qui échouent cette année encore dans leur quête à l’Ouest. Les Spurs défieront eux les Jazz d’Utah à propos desquels Tim Duncan (24 pts, 13 rbds, 9 contres) déclare : «Ils jouent un excellent basket et il faudra se tenir prêt à affronter leur jeu physique.»
New Jersey – Cleveland 72-88
C’est un sentiment incroyable. L’un des meilleurs que j’ai eus dans ma carrière de basketteur.» LeBron James ne cachait pas son émotion après la victoire des Cavs à New Jersey (88-72). Un succès sur le parquet de la Continental Airlines Arena lors du match 6 qui envoie Cleveland en finale de Conférence pour la première fois depuis 1992. Incapables de mettre fin à cette série sur leur parquet lors du match 5, les joueurs de l’Ohio entendaient ne pas disputer un match couperet face aux expérimentés Nets et prenaient les devants avec un King James rayonnant dès le premier quart-temps (32-15). Nanti d’une confortable avance de 15 points à la pause, Cleveland gérait tranquillement la rencontre mais allait connaître un énorme trou d’air durant la troisième période. «Cela devait être dur pour nos fans de regarder ce quart-temps», déclarait James maniant l’euphémisme. Avec leur franchise player scotché sur le banc à cause des fautes, les Cavs n’inscrivaient ainsi que 8 petites unités. Seul Atlanta avait fait pire (6 points) en Play-offs en 1986 face à Boston. Donyell Marshall (18 pts, 5 rbds), qui fêtait ses 34 ans, et Daniel Gibson (8 pts) étaient les uniques scoreurs pour Cleveland durant cette période apocalyptique. Avec un Jason Kidd encore inspiré (19 pts à 7 sur 20 au tir, 12 rebonds et 8 passes), New Jersey recollait à une longueur (61-60) à l’entame du dernier quart-temps. L’heure pour King James (23 pts à 8 sur 20 au tir, 8 rbds, 8 passes) de revenir sur le parquet et de clore les débats avec l’aide précieuse de Marshall derrière la ligne à trois points (6 sur 10). «Il a parfaitement joué dans le quatrième quart», reconnaissait Kidd à propos de son illustre cadet. Le meneur des Nets sera devenu le deuxième joueur, après Oscar Robertson en 1962, à terminer les Plays-offs avec une ligne de stats en forme de triple double (14,6 pts, 10,9 rbds, 10,9 passes), mais en vain. LeBron James n’aura ainsi attendu que sa quatrième saison en NBA pour envoyer les Cavs en finale de Conférence où ils affronteront Detroit.
Résultats de la nuit dernière :
San Antonio - Phoenix 114-106 (San Antonio remporte la série 4-2)
New Jersey - Cleveland 72-88 (Cleveland remporte la série 4-2)
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
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[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Ca y est j'ai enfin réussi à rattraper mon retard. J'ai vu les match 4 et 5 des Spurs pratiquement en entier. Effectivement beaucoup de bruit pour pas grand chose, une décision qui coute peut être la série aux Spurs mais c'est la règle, un joueur du banc ne doit pas entrer sur le terrain. Tant pis pour les Suns, si ils avaient un peu moins parlé et un peu plus joué peut être qu'ils auraient gagner. Dans les autres séries pas vraiment de surprise. Golden State s'est enfin effondré, normal, on peut pas gagner un titre avec avec un jeu collectif aussi pauvre et sans intérieurs (69 rebonds à 35 je crois au dernier match ...). Dommage pour les Nets, mais les Cavs sont trop fort. Sinon belle remontée des Bulls, mais les Pistons sont vraiment trop trop forts. On va encore avoir une belle finale Spurs vs Pistons en 7 manches
Pour ce qui est de la Chorale, qualification sans trembler avec une excellente défense :shock: sacré perf pour la Chorale que de laisser son adversaire à 60pts quand bien même Cholet n'est pas une excellente équipe en attaque. Mais comme on dit "offense wins games, defense wins championship" ... à méditer pour la NBA aussi :lol:
Pour ce qui est de la Chorale, qualification sans trembler avec une excellente défense :shock: sacré perf pour la Chorale que de laisser son adversaire à 60pts quand bien même Cholet n'est pas une excellente équipe en attaque. Mais comme on dit "offense wins games, defense wins championship" ... à méditer pour la NBA aussi :lol: