[Basket] Reprise saison NBA
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Les récompenses faites aux choraliens sont somme toute des plus logiques étant donné que les trois meilleurs scoreurs du championnat sont roannais :shock: et que les autres clubs bien classés s'appuient sur un nombre de scorers supérieurs : plus de clutch players
Il devrait exister une sorte de meilleur cinq des espoirs français.
A ce propos, je trouve que Vaty a toujours rentabilisé le peu de temps de jeu qui lui a été offert et je le vois comme la surprise de l'an prochain Pour des gamins de 19 ans, les champions d'Europe juniors de l'an dernier ont fait honneur à leur titre surtout M'Baye (Dijon) et Batum (Le Mans). Je rajouterai Adrien Moerman qui n'a jamais déçu même si son temps de jeu était plus faible.
Il devrait exister une sorte de meilleur cinq des espoirs français.
A ce propos, je trouve que Vaty a toujours rentabilisé le peu de temps de jeu qui lui a été offert et je le vois comme la surprise de l'an prochain Pour des gamins de 19 ans, les champions d'Europe juniors de l'an dernier ont fait honneur à leur titre surtout M'Baye (Dijon) et Batum (Le Mans). Je rajouterai Adrien Moerman qui n'a jamais déçu même si son temps de jeu était plus faible.
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
:???: on se croirait revenu aux plus sombres heures du sport ligérien !!vinsanity wrote:Le Progrès fait vent d'une possible rétrogradation du SEB en proie à de gros problèmes financiers et ne serait pas accepté en ProB la saison prochaine. Décision le 21 mai.
Plus d'info quand j'aurais le journal, ou si quelqu'un peut nous en dire plus ...
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Rien d'inquiétant : c'est le cas tous les ans : le SEB est sous recrutement contrôlé ou menacé de rétrogradationvinsanity wrote:Le Progrès fait vent d'une possible rétrogradation du SEB en proie à de gros problèmes financiers et ne serait pas accepté en ProB la saison prochaine. Décision le 21 mai.
Plus d'info quand j'aurais le journal, ou si quelqu'un peut nous en dire plus ...
Je ne comprends pas pourquoi on est toujours sur la corde raide : ça fait vraiment club de beauseignes : le club de Pro B dont la ville est la plus peuplée n'arrive pas à joindre les deux. Excusez moi bien mais cela ne fait pas très sérieux :roll:
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
L'oeil noir des Spurs
Vexé par les déclarations de Stoudamire les accusant d'être une équipe délibérément violente, San Antonio en a donné pour leur argent aux Suns à l'occasion du Match n°3 de la demi-finale qui les oppose à Phoenix. Vainqueurs (108-101) au terme d'un match engagé, les Texans, dans le sillage d'un Tim Duncan colossal (33 points et 19 rebonds), reprennent l'avantage (2-1) dans la série. Dans l'autre match de la nuit, New Jersey ouvre son compteur face à Cleveland et inflige aux Cavs leur premier revers dans ces play-offs (96-85).
Les Spurs piques au vif
San Antonio - Phoenix: 108-101
La série: San Antonio 2 - Phoenix 1
Amare Stoudamire y réfléchira sans doute à deux fois avant de provoquer de nouveau les Spurs par presse interposée. Car en choisissant d'accuser Bruce Bowen d'avoir voulu délibérément le blesser lors du match n°2 de cette demi-finale face aux Spurs, remporté (101-81) par son équipe, le joueur des Suns, qui au passage aura qualifié San Antonio de sale équipe, a sans doute mal mesuré à quel point il avait piqué au vif ses adversaires, lui qui sera handicapé par les fautes samedi et conspué de bout en bout par le public texan. Et au soir de ce troisième match entre les deux équipes, ce sont bien les Texans qui virent en tête (2 victoires à 1, à la faveur d'un match de muerte remporté (108-101) par Parker et ses coéquipiers.
Des Spurs qui n'ont dès lors pas refusé l'épreuve de force dans une rencontre où l'engagement physique aura atteint des sommets, au point de flirter par instants à la limite de l'agressivité. Il y avait eu le nez de Steve Nash, bien involontairement martyrisé par T.P. lors du premier match à Phoenix, samedi, Nash a encore eu son compte avec ce coup de genou reçu dans le bas ventre mais aussi surtout un Manu Ginobili qui terminera la rencontre avec un oeil au beurre noir. Une ambiance bouillante qui a sans doute inspiré l'Argentin, jusqu'à présent transparent dans ces play-offs mais cette fois enfin sorti du banc et de sa boîte en inscrivant 24 points.
Pourtant, c'est bien Phoenix qui aura fait la course en tête en première période, comptant même jusqu'à dix points d'avance dans le deuxième quart-temps, et ce malgré le trou noir traversé par Steve Nash auteur d'un zéro pointé à la pause - il frôlera pourtant le triple double au final (16 points, 11 passes et 8 rebonds! Et si San Antonio rejoignait la pause en tête, l'équipe de Greg Popovich ne le devait qu'à un tir primé à la sirène (55-53). "On a réalisé une bonne première mi-temps, commente sur son site Boris Diaw, auteur de dix points. Mais San Antonio est revenu des vestiaires en étant très agressifs. Ils avaient plus de hargne. Au lieu de répondre à cette pression défensive, on a un trop reculé." Le match basculait en effet après le repos avec le grand réveil de Ginobili qui inscrivait 12 de ses 24 points dans le seul troisième quart-temps quand les Suns échouaient sur sept paniers consécutifs (80-72). Le grand Tim Duncan, problème insoluble pour Phoenix qui se refuse à effectuer une prise à deux sur le géant texan, et qui, libéré de la surveillance de Stoudamire cloué au sol par les fautes, n'aura plus qu'à achever le travail dans le dernier quart-temps en claquant 13 de ses 33 points dans cette ultime période, le tout assorti de 19 rebonds.
Tony Parker, conscient que la soirée, malgré ses 16 points, dont 14 en première période, et 5 passes décisives, n'était pas la sienne mais bien celle de Duncan et Ginobili, incandescents après la pause, avait fait le boulot et se projetait déjà sur son site personnel sur un match n°4 décisif: "En étant mené 3-1, Phoenix sera en grosse difficulté. C'est pour moi le match à ne pas rater." Et T.P. de s'interroger sur la tactique défensive des Suns: "Phoenix ne veut pas faire de prise à deux sur Tim. Ils sont donc immédiatement punis. Phoenix va devoir faire des choix. Pour le moment, ils ne veulent pas me laisser seul, tout comme Finley ou Ginobili. Ils craignent nos extérieurs. Mais à mon avis, ils ne peuvent pas continuer à défendre ainsi sur Duncan." Réponse dès lundi toujours dans le Texas.
Les Nets ne sont pas morts
New Jersey - Cleveland: 96-85
La série: Cleveland 2 - New Jersey 1
Detroit reste la dernière équipe invaincue engagée dans ces play-offs 2007. L'autre formation qui n'avait jusqu'à samedi pas connu le moindre revers, Cleveland, capable d'infliger un coup de balai (4-0) au premier tour à Washington, puis de mener deux victoires à rien dans cette demi-finale face aux Nets, a fini par s'incliner samedi sur le parquet d'une équipe de New Jersey, relancée et enfin libérée dans cette série à l'image de cette entame de match à sens unique (15-4). Un break que Cleveland s'employait à combler dans le deuxième quart-temps en infligeant à son tout un cuisant 15-0 à son adversaire.
Il fallait bien un Jason Kidd au sommet de son art pour permettre à New Jersey de rejoindre la pause en tête (47-45). Le meneur de jeu des Nets aura été sans contestation possible le héros de ce match avec à son actif un triple-double de toute beauté (23 points, 14 passes décisives et 13 rebonds). Une performance personnelle de choix qui ne l'a pas empêché de placer ses deux artificiers, Richard Jefferson et Vince Carter, tous deux auteurs de 23 points, dans les meilleures dispositions. Ajoutez à cela une réussite presque parfaite à trois points (5 sur 6) et Kidd aura mis Cleveland au pas à lui tout seul ou presque. Des Cavs dont la vedette LeBron James, victime de la défense acharnée d'un Kidd omniprésent dans chaque secteur du jeu samedi, devait se contenter d'un malheureux total de 18 points, soit le plus mauvais score de sa carrière en play-offs, et de jouer les ‘'faire-valoir'' avec 12 passes décisives, notamment pour son coéquipier Larry Hugues, meilleur marqueur de sa formation avec 23 points... Pour peu qu'ils puissent disposer d'un Kidd aussi flamboyant - Kidd a été, il faut le dire, monstrueux, commentera Mike Brown, le coach des Cavs - les Nets ont de bonnes raisons d'aborder avec confiance le prochain rendez-vous de la série toujours dans le New Jersey.
www.sports.fr
Vexé par les déclarations de Stoudamire les accusant d'être une équipe délibérément violente, San Antonio en a donné pour leur argent aux Suns à l'occasion du Match n°3 de la demi-finale qui les oppose à Phoenix. Vainqueurs (108-101) au terme d'un match engagé, les Texans, dans le sillage d'un Tim Duncan colossal (33 points et 19 rebonds), reprennent l'avantage (2-1) dans la série. Dans l'autre match de la nuit, New Jersey ouvre son compteur face à Cleveland et inflige aux Cavs leur premier revers dans ces play-offs (96-85).
Les Spurs piques au vif
San Antonio - Phoenix: 108-101
La série: San Antonio 2 - Phoenix 1
Amare Stoudamire y réfléchira sans doute à deux fois avant de provoquer de nouveau les Spurs par presse interposée. Car en choisissant d'accuser Bruce Bowen d'avoir voulu délibérément le blesser lors du match n°2 de cette demi-finale face aux Spurs, remporté (101-81) par son équipe, le joueur des Suns, qui au passage aura qualifié San Antonio de sale équipe, a sans doute mal mesuré à quel point il avait piqué au vif ses adversaires, lui qui sera handicapé par les fautes samedi et conspué de bout en bout par le public texan. Et au soir de ce troisième match entre les deux équipes, ce sont bien les Texans qui virent en tête (2 victoires à 1, à la faveur d'un match de muerte remporté (108-101) par Parker et ses coéquipiers.
Des Spurs qui n'ont dès lors pas refusé l'épreuve de force dans une rencontre où l'engagement physique aura atteint des sommets, au point de flirter par instants à la limite de l'agressivité. Il y avait eu le nez de Steve Nash, bien involontairement martyrisé par T.P. lors du premier match à Phoenix, samedi, Nash a encore eu son compte avec ce coup de genou reçu dans le bas ventre mais aussi surtout un Manu Ginobili qui terminera la rencontre avec un oeil au beurre noir. Une ambiance bouillante qui a sans doute inspiré l'Argentin, jusqu'à présent transparent dans ces play-offs mais cette fois enfin sorti du banc et de sa boîte en inscrivant 24 points.
Pourtant, c'est bien Phoenix qui aura fait la course en tête en première période, comptant même jusqu'à dix points d'avance dans le deuxième quart-temps, et ce malgré le trou noir traversé par Steve Nash auteur d'un zéro pointé à la pause - il frôlera pourtant le triple double au final (16 points, 11 passes et 8 rebonds! Et si San Antonio rejoignait la pause en tête, l'équipe de Greg Popovich ne le devait qu'à un tir primé à la sirène (55-53). "On a réalisé une bonne première mi-temps, commente sur son site Boris Diaw, auteur de dix points. Mais San Antonio est revenu des vestiaires en étant très agressifs. Ils avaient plus de hargne. Au lieu de répondre à cette pression défensive, on a un trop reculé." Le match basculait en effet après le repos avec le grand réveil de Ginobili qui inscrivait 12 de ses 24 points dans le seul troisième quart-temps quand les Suns échouaient sur sept paniers consécutifs (80-72). Le grand Tim Duncan, problème insoluble pour Phoenix qui se refuse à effectuer une prise à deux sur le géant texan, et qui, libéré de la surveillance de Stoudamire cloué au sol par les fautes, n'aura plus qu'à achever le travail dans le dernier quart-temps en claquant 13 de ses 33 points dans cette ultime période, le tout assorti de 19 rebonds.
Tony Parker, conscient que la soirée, malgré ses 16 points, dont 14 en première période, et 5 passes décisives, n'était pas la sienne mais bien celle de Duncan et Ginobili, incandescents après la pause, avait fait le boulot et se projetait déjà sur son site personnel sur un match n°4 décisif: "En étant mené 3-1, Phoenix sera en grosse difficulté. C'est pour moi le match à ne pas rater." Et T.P. de s'interroger sur la tactique défensive des Suns: "Phoenix ne veut pas faire de prise à deux sur Tim. Ils sont donc immédiatement punis. Phoenix va devoir faire des choix. Pour le moment, ils ne veulent pas me laisser seul, tout comme Finley ou Ginobili. Ils craignent nos extérieurs. Mais à mon avis, ils ne peuvent pas continuer à défendre ainsi sur Duncan." Réponse dès lundi toujours dans le Texas.
Les Nets ne sont pas morts
New Jersey - Cleveland: 96-85
La série: Cleveland 2 - New Jersey 1
Detroit reste la dernière équipe invaincue engagée dans ces play-offs 2007. L'autre formation qui n'avait jusqu'à samedi pas connu le moindre revers, Cleveland, capable d'infliger un coup de balai (4-0) au premier tour à Washington, puis de mener deux victoires à rien dans cette demi-finale face aux Nets, a fini par s'incliner samedi sur le parquet d'une équipe de New Jersey, relancée et enfin libérée dans cette série à l'image de cette entame de match à sens unique (15-4). Un break que Cleveland s'employait à combler dans le deuxième quart-temps en infligeant à son tout un cuisant 15-0 à son adversaire.
Il fallait bien un Jason Kidd au sommet de son art pour permettre à New Jersey de rejoindre la pause en tête (47-45). Le meneur de jeu des Nets aura été sans contestation possible le héros de ce match avec à son actif un triple-double de toute beauté (23 points, 14 passes décisives et 13 rebonds). Une performance personnelle de choix qui ne l'a pas empêché de placer ses deux artificiers, Richard Jefferson et Vince Carter, tous deux auteurs de 23 points, dans les meilleures dispositions. Ajoutez à cela une réussite presque parfaite à trois points (5 sur 6) et Kidd aura mis Cleveland au pas à lui tout seul ou presque. Des Cavs dont la vedette LeBron James, victime de la défense acharnée d'un Kidd omniprésent dans chaque secteur du jeu samedi, devait se contenter d'un malheureux total de 18 points, soit le plus mauvais score de sa carrière en play-offs, et de jouer les ‘'faire-valoir'' avec 12 passes décisives, notamment pour son coéquipier Larry Hugues, meilleur marqueur de sa formation avec 23 points... Pour peu qu'ils puissent disposer d'un Kidd aussi flamboyant - Kidd a été, il faut le dire, monstrueux, commentera Mike Brown, le coach des Cavs - les Nets ont de bonnes raisons d'aborder avec confiance le prochain rendez-vous de la série toujours dans le New Jersey.
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Match 4 entre Chicago et Detroit à partir de 21h30
Rappelons que Detroit mène la série 3-0 et pourrait tout à fait terminer le travail ce soir, vu le niveau affiché jusque-là.
Et à 3h00 aura lieu le match 4 entre Golden State et Utah ... encore un beau spectacle en perspective.
Pour ce qui est du SEB, d'après ce que j'ai lu dans le progrès, JM Caillat demande un plus grand soutien des collectivités locales pour que le club se sorte de cette mauvaise passe. Ca m'a l'air plus sérieux que la saison passée tout de même ... :???:
Rappelons que Detroit mène la série 3-0 et pourrait tout à fait terminer le travail ce soir, vu le niveau affiché jusque-là.
Et à 3h00 aura lieu le match 4 entre Golden State et Utah ... encore un beau spectacle en perspective.
Pour ce qui est du SEB, d'après ce que j'ai lu dans le progrès, JM Caillat demande un plus grand soutien des collectivités locales pour que le club se sorte de cette mauvaise passe. Ca m'a l'air plus sérieux que la saison passée tout de même ... :???:
Pour le SEB il y a Billups qui sera free agent cet été ils pourrait essayer de le recruter? lolvinsanity wrote:Match 4 entre Chicago et Detroit à partir de 21h30
Rappelons que Detroit mène la série 3-0 et pourrait tout à fait terminer le travail ce soir, vu le niveau affiché jusque-là.
Et à 3h00 aura lieu le match 4 entre Golden State et Utah ... encore un beau spectacle en perspective.
Pour ce qui est du SEB, d'après ce que j'ai lu dans le progrès, JM Caillat demande un plus grand soutien des collectivités locales pour que le club se sorte de cette mauvaise passe. Ca m'a l'air plus sérieux que la saison passée tout de même ... :???:
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Le racisme toucherait-il aussi la NBA ?
NBA : Une étude qui dérange...
Alors qu’en Europe, presque chaque semaine le football est touché par des affaires de racisme, un pavé dans la marre a été lancé aux Etats-Unis dans le très sérieux New York Times, où un récente étude de Joseph Price, professeur d’économie à l’Université Cornell, dans l’État de New York, et Justin Wolfers, professeur d’administration à l’Université de Pennsylvanie, tend à démontrer que la couleur de peau du trio arbitral changerait le résultat final d’environ 2% des matchs.
En s’appuyant sur les feuilles statistiques des matchs joués entre 1991et 2004, cette étude affirme que «les joueurs sont 4% moins sanctionnés de fautes personnelles quand les arbitres ont en majorité la même couleur de peau qu’eux». Ainsi, les arbitres noirs auraient tendance à favoriser davantage les joueurs noirs, et plus significativement, les arbitres blancs à favoriser les joueurs blancs.
Dans le cas où l’issue des matchs est très serrée, les chercheurs concluent que «le favoritisme dans l’appel de fautes personnelles est suffisamment important pour que la probabilité qu’une équipe l’emporte soit substantiellement teintée par la composition raciale du groupe d’arbitres assigné à une partie».
Les chercheurs nuancent cependant leurs conclusions en présumant que toute discrimination est «probablement inconsciente» et qu’il n’y a aucun favoritisme arbitral au sein du plus prestigieux championnat de basket-ball au monde.
Pourtant, avec de telles affirmations la polémique a donc rapidement enflé et les réactions ne se sont pas faites attendre. Par commencer par la NBA qui a fortement condamné le contenu de cette enquête en affirmant par la voix du Commissioner David Stern, qu’il n’existait pas de racisme dans la league. Il a également remis en cause l’intégrité des deux universitaires responsable de l’étude et s’en est pris au New York Times, l’accusant d’avoir fait preuve de malhonnêteté!
Après avoir vu une première version de cette étude, la NBA a, elle-même, fait faire une étude sur ce sujet par une société indépendante qui est arrivée à une conclusion quelque peu différente. En se basant sur les 3482 matchs qui se sont déroulés entre novembre 2004 et janvier 2007, leur étude montre une infime influence de la couleur de peau sur les décisions arbitrales et pas de manière aussi significative que l’étude de Price et Wolvers veut bien nous faire croire.
Certaines stars de league se sont exprimées, tel que Kobe Bryant qui s’est amusé de la polémique en disant qu’il avait reçut plus de fautes techniques de la part d’arbitres noirs que d’arbitres blancs dans sa carrière.
La plupart ont d’ailleurs trouvé ces accusations assez ridicules et ont montré un profond respect pour l’attitude et la compétence des hommes en gris.
Aux regards des réactions plutôt hostiles des joueurs envers cette étude et de celle faite par la NBA, on pourrait penser à un coup médiatique de la part de Joseph Price et Justin Wolfers, ces derniers parvenant néanmoins à créer une polémique et un débat là où, peut être, ils n’avaient pas lieu d’être.
NBA : Une étude qui dérange...
Alors qu’en Europe, presque chaque semaine le football est touché par des affaires de racisme, un pavé dans la marre a été lancé aux Etats-Unis dans le très sérieux New York Times, où un récente étude de Joseph Price, professeur d’économie à l’Université Cornell, dans l’État de New York, et Justin Wolfers, professeur d’administration à l’Université de Pennsylvanie, tend à démontrer que la couleur de peau du trio arbitral changerait le résultat final d’environ 2% des matchs.
En s’appuyant sur les feuilles statistiques des matchs joués entre 1991et 2004, cette étude affirme que «les joueurs sont 4% moins sanctionnés de fautes personnelles quand les arbitres ont en majorité la même couleur de peau qu’eux». Ainsi, les arbitres noirs auraient tendance à favoriser davantage les joueurs noirs, et plus significativement, les arbitres blancs à favoriser les joueurs blancs.
Dans le cas où l’issue des matchs est très serrée, les chercheurs concluent que «le favoritisme dans l’appel de fautes personnelles est suffisamment important pour que la probabilité qu’une équipe l’emporte soit substantiellement teintée par la composition raciale du groupe d’arbitres assigné à une partie».
Les chercheurs nuancent cependant leurs conclusions en présumant que toute discrimination est «probablement inconsciente» et qu’il n’y a aucun favoritisme arbitral au sein du plus prestigieux championnat de basket-ball au monde.
Pourtant, avec de telles affirmations la polémique a donc rapidement enflé et les réactions ne se sont pas faites attendre. Par commencer par la NBA qui a fortement condamné le contenu de cette enquête en affirmant par la voix du Commissioner David Stern, qu’il n’existait pas de racisme dans la league. Il a également remis en cause l’intégrité des deux universitaires responsable de l’étude et s’en est pris au New York Times, l’accusant d’avoir fait preuve de malhonnêteté!
Après avoir vu une première version de cette étude, la NBA a, elle-même, fait faire une étude sur ce sujet par une société indépendante qui est arrivée à une conclusion quelque peu différente. En se basant sur les 3482 matchs qui se sont déroulés entre novembre 2004 et janvier 2007, leur étude montre une infime influence de la couleur de peau sur les décisions arbitrales et pas de manière aussi significative que l’étude de Price et Wolvers veut bien nous faire croire.
Certaines stars de league se sont exprimées, tel que Kobe Bryant qui s’est amusé de la polémique en disant qu’il avait reçut plus de fautes techniques de la part d’arbitres noirs que d’arbitres blancs dans sa carrière.
La plupart ont d’ailleurs trouvé ces accusations assez ridicules et ont montré un profond respect pour l’attitude et la compétence des hommes en gris.
Aux regards des réactions plutôt hostiles des joueurs envers cette étude et de celle faite par la NBA, on pourrait penser à un coup médiatique de la part de Joseph Price et Justin Wolfers, ces derniers parvenant néanmoins à créer une polémique et un débat là où, peut être, ils n’avaient pas lieu d’être.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Les Bulls évitent le sweep
Chicago a remporté sa première victoire dans la série qui l’oppose à Detroit (102-87) mais le chemin vers les finales de Conférence reste long pour les Bulls. Celui d’Utah est, lui, bien dégagé après sa victoire à Golden State (115-101).
Chicago – Detroit 102-87
Chicago allait-il subir l’affront d’une élimination en quatre matches secs pour la première fois depuis 1981 et un sweep face aux Boston Celtics ? C’est la question que se posaient les 23 099 spectateurs du United Center qui craignaient de voir la dernière sortie à domicile des Bulls. Les fans de l’Illinois peuvent être en partie rassurés car leurs protégés ont su prolonger la saison d’au moins une rencontre. «Je me fous de savoir qui l’on a en face de nous, nous valons mieux que d’être sorti en 4 matches», assénait Ben Wallace avant la rencontre. La remontrance de l’un des meilleurs défenseurs de la Ligue trouvait un certain écho chez ses partenaires en début de rencontre. Chicago menait ainsi au terme du premier quart-temps (27-19) avec 8 points de Kirk Hinrich (19 pts, 10 passes) et Luol Deng. A la pause, la marge restait sensiblement la même (50-43) mais les Bulls ne fanfaronnaient pas, le souvenir du match 3 étant encore très frais dans leurs esprits. Nanti d’un avantage de 19 points, la franchise de l’Illinois n’avait pu résister au retour des Pistons et s’était inclinée de 7 longueurs. Fort de cette expérience, Chicago appuyait encore et réalisait un 27-13 dans le troisième quart avec des bons passages de Luol Deng (25 pts à 10 sur 15 au tir, 13 rbds) et Ben Gordon (19 pts, 5 rbds, 4 passes). L’écart porté à 77-56 ne suffisait pas à rassurer les habitués du United Center qui s’attendaient à une série des Pistons. Et celle-ci arrivait en fin de rencontre. Avec 5 points consécutifs de Billups (23 pts à 5 sur 14 au tir, 8 passes), Detroit revenait à 90-83 à 2’46 de la fin mais Chicago s’accrochait et conservait la main (102-87). Avec cette première victoire, les Bulls peuvent encore espérer rejoindre les trois autres seules équipes du sport professionnel américain à avoir remonté un déficit de 0-3, à savoir, les Toronto Maple Leafs en 1942, les New York Islanders en 1975 et les Boston Red Sox en 2004.
Golden State – Utah 101-115
Le soutien de la ravissante actrice Jessica Alba, portant un T-shirt orange avec l’inscription «We Believe» («Nous y croyons»), n’aura pas suffi. Golden State a encaissé, la nuit dernière, son premier revers à l’Oracle Arena en Play-offs et s’éloigne de la qualification avec désormais un désavantage de 1-3 dans cette série face à Utah. Des Jazz qui ont construit leur succès en fin de rencontre. Les trois quart temps précédents n’avaient ainsi pas permis d’établir un véritable écart avec une faible avance pour Golden State (78-75) qui se reposait essentiellement sur Al Harrington (24 pts à 8 sur 16 au tir) et Stephen Jackson (24 pts à 5 sur 15 au tir). A l’inverse du match 3, Baron Davis n’assumait pas son leadership (15 pts à 6 sur 16 au tir, 7 passes) et cette absence de maîtrise à la mène allait coûter cher aux joueurs d’Oakland. Parti dans un énorme chantier, Carlos Boozer poursuivait son œuvre (34 pts, 13 sur 19 au tir, 12 rbds) et convertissait en points les offrandes de Deron Williams (20 pts, 13 passes). Auteur de deux paniers primés dans les six dernières minutes, l’ancien Warrior Derek Fisher (21 pts, 5 passes) apportait lui aussi son écot à la victoire. «Ce succès est un grand pas dans notre processus de développement d’équipe», se réjouissait le meneur qui avait vu son début de série perturbé par les graves problèmes de santé rencontrés par l’une de ses filles, aujourd’hui sorti d’affaire. Absents des finales de Conférence depuis 1998, les Jazz pourraient combler ce manque dès le match 5 qui se tiendra en Utah.
Résultats de la nuit:
Chicago - Detroit 102-87 Detroit mène la série 3-1
Golden State - Utah 101-115 Utah mène la série 3-1
Chicago a remporté sa première victoire dans la série qui l’oppose à Detroit (102-87) mais le chemin vers les finales de Conférence reste long pour les Bulls. Celui d’Utah est, lui, bien dégagé après sa victoire à Golden State (115-101).
Chicago – Detroit 102-87
Chicago allait-il subir l’affront d’une élimination en quatre matches secs pour la première fois depuis 1981 et un sweep face aux Boston Celtics ? C’est la question que se posaient les 23 099 spectateurs du United Center qui craignaient de voir la dernière sortie à domicile des Bulls. Les fans de l’Illinois peuvent être en partie rassurés car leurs protégés ont su prolonger la saison d’au moins une rencontre. «Je me fous de savoir qui l’on a en face de nous, nous valons mieux que d’être sorti en 4 matches», assénait Ben Wallace avant la rencontre. La remontrance de l’un des meilleurs défenseurs de la Ligue trouvait un certain écho chez ses partenaires en début de rencontre. Chicago menait ainsi au terme du premier quart-temps (27-19) avec 8 points de Kirk Hinrich (19 pts, 10 passes) et Luol Deng. A la pause, la marge restait sensiblement la même (50-43) mais les Bulls ne fanfaronnaient pas, le souvenir du match 3 étant encore très frais dans leurs esprits. Nanti d’un avantage de 19 points, la franchise de l’Illinois n’avait pu résister au retour des Pistons et s’était inclinée de 7 longueurs. Fort de cette expérience, Chicago appuyait encore et réalisait un 27-13 dans le troisième quart avec des bons passages de Luol Deng (25 pts à 10 sur 15 au tir, 13 rbds) et Ben Gordon (19 pts, 5 rbds, 4 passes). L’écart porté à 77-56 ne suffisait pas à rassurer les habitués du United Center qui s’attendaient à une série des Pistons. Et celle-ci arrivait en fin de rencontre. Avec 5 points consécutifs de Billups (23 pts à 5 sur 14 au tir, 8 passes), Detroit revenait à 90-83 à 2’46 de la fin mais Chicago s’accrochait et conservait la main (102-87). Avec cette première victoire, les Bulls peuvent encore espérer rejoindre les trois autres seules équipes du sport professionnel américain à avoir remonté un déficit de 0-3, à savoir, les Toronto Maple Leafs en 1942, les New York Islanders en 1975 et les Boston Red Sox en 2004.
Golden State – Utah 101-115
Le soutien de la ravissante actrice Jessica Alba, portant un T-shirt orange avec l’inscription «We Believe» («Nous y croyons»), n’aura pas suffi. Golden State a encaissé, la nuit dernière, son premier revers à l’Oracle Arena en Play-offs et s’éloigne de la qualification avec désormais un désavantage de 1-3 dans cette série face à Utah. Des Jazz qui ont construit leur succès en fin de rencontre. Les trois quart temps précédents n’avaient ainsi pas permis d’établir un véritable écart avec une faible avance pour Golden State (78-75) qui se reposait essentiellement sur Al Harrington (24 pts à 8 sur 16 au tir) et Stephen Jackson (24 pts à 5 sur 15 au tir). A l’inverse du match 3, Baron Davis n’assumait pas son leadership (15 pts à 6 sur 16 au tir, 7 passes) et cette absence de maîtrise à la mène allait coûter cher aux joueurs d’Oakland. Parti dans un énorme chantier, Carlos Boozer poursuivait son œuvre (34 pts, 13 sur 19 au tir, 12 rbds) et convertissait en points les offrandes de Deron Williams (20 pts, 13 passes). Auteur de deux paniers primés dans les six dernières minutes, l’ancien Warrior Derek Fisher (21 pts, 5 passes) apportait lui aussi son écot à la victoire. «Ce succès est un grand pas dans notre processus de développement d’équipe», se réjouissait le meneur qui avait vu son début de série perturbé par les graves problèmes de santé rencontrés par l’une de ses filles, aujourd’hui sorti d’affaire. Absents des finales de Conférence depuis 1998, les Jazz pourraient combler ce manque dès le match 5 qui se tiendra en Utah.
Résultats de la nuit:
Chicago - Detroit 102-87 Detroit mène la série 3-1
Golden State - Utah 101-115 Utah mène la série 3-1
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
Ca craint pour le SEBvinsanity wrote:Match 4 entre Chicago et Detroit à partir de 21h30
Rappelons que Detroit mène la série 3-0 et pourrait tout à fait terminer le travail ce soir, vu le niveau affiché jusque-là.
Et à 3h00 aura lieu le match 4 entre Golden State et Utah ... encore un beau spectacle en perspective.
Pour ce qui est du SEB, d'après ce que j'ai lu dans le progrès, JM Caillat demande un plus grand soutien des collectivités locales pour que le club se sorte de cette mauvaise passe. Ca m'a l'air plus sérieux que la saison passée tout de même ... :???:
I'm waiting for my club...
It's never early, it's always late,
First thing you learn is that you always got to wait...
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Je n'ai pas vu le match mais des extraits, notamment de superbes passes décisives de Kidd (avec les yeux derrière la tête). Ce joueur est fabuleux, extrêment altruiste, on voit qu'il aime jouer et faire jouer, il distribue des caviars incroyables à ses partenairesvinsanity wrote:Il fallait bien un Jason Kidd au sommet de son art...
Un régal
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vinsanity wrote:Greengexois nous avait refilé l'info il y a deux jours ... toujours à la pointe de l'info ce Greengexois :applause2:Greengexois wrote:Une bonne nouvelle pour Rome
Moïso au Real Madrid
Le pivot français Jérôme Moïso a résilié son contrat avec la Fortitudo Bologne pour s'engager avec le Real Madrid.
Selon le club, "la demande est venue directement du joueur, qui a reçu une offre du Real Madrid pour disputer les play-offs de la Liga".
Ouais Greengexois est toujours à la pointe de l'info quand il s'agit de Moiso. C'est son idole, avec Tarik Abdul-Wahad
Sinon, concernant le SEB, les soucis financiers semblent cette saison beaucoup plus sérieux. Cela faisait un moment qu'il se disait dans le microcosme du basket ligérien que le SEB était dans le rouge. C'est désormais rendu officiel, avec l'article de dimanche du Progrès. Il faut dire en effet que cela fait au moins trois ans que le club est en difficulté à ce niveau et qu'a chaque fois les collectivités sont venus à son aide, notamment en anticipant les subventions d'un an. Le problème c'est que les dirigeants ne peuvent que bricoler depuis lors et ils semblent que les élus en ont cette fois un peu marre, de mettre la main à la poche. D'ou également l'idée du rapprochement avec Saint-Chamond
Le problème semble en tout cas clair, si les collectivités ne viennent pas une nouvelle fois en aide au club d'ici le 21 mai, le club sera certainement relégué en N1.
Je rejoint quoi qu'il en soit Greengexois, c'est regrettable qu'une ville comme Sainté ne soit pas en mesure d'avoir un club stable de basket
:evil: Tain, ça me fout les boules ça.El Couramiaud wrote:vinsanity wrote:Greengexois nous avait refilé l'info il y a deux jours ... toujours à la pointe de l'info ce Greengexois :applause2:Greengexois wrote:Une bonne nouvelle pour Rome
Moïso au Real Madrid
Le pivot français Jérôme Moïso a résilié son contrat avec la Fortitudo Bologne pour s'engager avec le Real Madrid.
Selon le club, "la demande est venue directement du joueur, qui a reçu une offre du Real Madrid pour disputer les play-offs de la Liga".
Ouais Greengexois est toujours à la pointe de l'info quand il s'agit de Moiso. C'est son idole, avec Tarik Abdul-Wahad
Sinon, concernant le SEB, les soucis financiers semblent cette saison beaucoup plus sérieux. Cela faisait un moment qu'il se disait dans le microcosme du basket ligérien que le SEB était dans le rouge. C'est désormais rendu officiel, avec l'article de dimanche du Progrès. Il faut dire en effet que cela fait au moins trois ans que le club est en difficulté à ce niveau et qu'a chaque fois les collectivités sont venus à son aide, notamment en anticipant les subventions d'un an. Le problème c'est que les dirigeants ne peuvent que bricoler depuis lors et ils semblent que les élus en ont cette fois un peu marre, de mettre la main à la poche. D'ou également l'idée du rapprochement avec Saint-Chamond
Le problème semble en tout cas clair, si les collectivités ne viennent pas une nouvelle fois en aide au club d'ici le 21 mai, le club sera certainement relégué en N1.
Je rejoint quoi qu'il en soit Greengexois, c'est regrettable qu'une ville comme Sainté ne soit pas en mesure d'avoir un club stable de basket
:roll: C'est le gros problème de Sainté pour les sports co. C'est pas la 1ere fois que le feu CASE sera relegué pour cette raison. On a dejà eu le volley dans le même cas. Vraiment dommage pour une ville comme Sainté.
"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
Bon bah ça sent le roussi pour les Warriors menés 3-1 ... :???:
Demain soir début des playoffs en ProA avec Cholet - Chorale notamment ... à ne pas manquer. Cette nuit le match 4 entre les Spurs et les Suns. Un match que les Suns se doivent de gagner pour reprendre la main. A 3-1 la série serait presque pliée.
Pour ma part je pars en vacances jusqu'à vendredi, donc je compte sur toi boubynight
Demain soir début des playoffs en ProA avec Cholet - Chorale notamment ... à ne pas manquer. Cette nuit le match 4 entre les Spurs et les Suns. Un match que les Suns se doivent de gagner pour reprendre la main. A 3-1 la série serait presque pliée.
Pour ma part je pars en vacances jusqu'à vendredi, donc je compte sur toi boubynight
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Les Suns ont du répondant
A l’issue d’un match tendu, Phoenix s’est imposé à San Antonio (98-104), revenant à 2 victoires partout dans la série. A l’Est, LeBron James et Cleveland se sont rapprochés de la finale de Conférence en gagnant à New Jersey (85-87).
New Jersey - Cleveland 85-87
Cleveland n’est plus qu’à une marche de la finale de la Conférence Est, qui serait la première de la franchise depuis 15 ans ! En déplacement à New Jersey, les Cavaliers ont en effet décroché leur troisième succès de la série la nuit dernière (85-87) et auront l’occasion d’assurer leur qualification mercredi soir à domicile. Vainqueurs du Game 3 grâce à un très bon Jason Kidd, auteur du 11e triple-double de sa carrière en Play-offs (23 points, 14 passes et 13 rebonds), les Nets ont cette fois failli dans l’adresse au tir, le trident offensif de Lawrence Frank compilant un piteux 11/48 au shoot (Kidd à 2/13, Carter à 6/23 et Jefferson à 3/12) ! Dans ces conditions, difficile pour les Nets, en tête à la pause (46-42) et qui ont compté jusqu’à huit longueurs d’avance dans le troisième quart-temps, de l’emporter. D’autant qu’en face, Mike Brown pouvait compter sur un LeBron James à nouveau efficace. Limité à 18 points lors du Game 3 - son plus faible total en Play-offs -, le All Star de Cleveland a cette fois inscrit 30 points (à 9/16 au tir), capté 9 rebonds et délivré 7 passes. Larry Hughes (19 points) et Zydrunas Ilgauskas (13 points, 11 rebonds) ont bien secondé leur leader pour finalement offrir la victoire à leur équipe (85-87) après une perte de balle décisive de Vince Carter à 1’’9 de la fin. Eliminé l’an dernier par Detroit à ce stade de la compétition, Cleveland entrevoit donc cette année la finale de Conférence. «Nous avons beaucoup appris l’an dernier. Cela nous aide cette saison. Maintenant, nous avons la chance de conclure la série à la maison mais nous savons que ce ne sera pas facile», déclarait LeBron James après la rencontre.
San Antonio - Phoenix 98-104
L’affrontement entre San Antonio et Phoenix est de plus en plus chaud. Après l’accrochage involontaire entre Parker et Nash lors du Game 1, les accusations de Stoudemire qualifiant San Antonio de «sale équipe» et le traitement musclé infligé par les Suns à Manu Ginobili lors du Game 3, la tension est encore montée d’un cran la nuit dernière sur le parquet de l’AT&T Center. Après un début de partie serré (22-24 après un quart-temps), les Spurs, emmenés par un Tony Parker très efficace (23 points, 7 rebonds, 6 passes) et un Duncan toujours aussi «fondamental» (21 points, 11 rebonds, 3 contres) avaient rapidement pris la mesure de leurs visiteurs et faisaient la course en tête sans trop de problèmes (45-40 à la pause, 80-72 après trois quart-temps). Les Texans prenaient même un maximum de 11 longueurs d’avance dans le dernier acte de la partie. La messe semblait dite mais Phoenix durcissait alors sa défense. San Antonio ne trouvait plus de solutions de shoot et Steve Nash (24 points, 15 passes) et Amaré Stoudemire (26 points, 9 rebonds) s’en donnaient à cœur joie offensivement pour permettre aux Suns de recoller et même de prendre la tête à 32’’ de la fin (97-100). C’est là que les esprits commencèrent à s’échauffer. Après un tir manqué de Ginobili, Nash récupérait la balle et remontait le terrain lorsque Robert Horry venait le heurter violemment. Un attroupement se formait alors très vite et Bell et Nash ne se montraient pas les moins vindicatifs. Pour calmer tout le monde, les arbitres renvoyaient Horry aux vestiaires et infligeaient une faute technique à Bell. Les dernières secondes étaient alors très tendues mais Nash et Shawn Marion (12 points, 12 rebonds) gardaient leurs nerfs pour sceller la victoire des Suns sur la ligne des lancers francs après avoir terminé la partie sur un cinglant 12-1 infligé aux Spurs (98-104). Grâce à ce succès, Phoenix égalise à deux victoires partout et, surtout, reprend l’avantage du terrain perdu lors du Game 1. La prochaine rencontre est programmée mercredi dans l’Arizona. D’ici là, la NBA, qui ne plaisante pas avec les écarts disciplinaires, pourrait bien prendre des sanctions et suspendre quelques joueurs venus faire le coup de poing au moment de l’altercation Nash-Horry. La suite de la série promet donc d’être encore très chaude…
Résultats de la nuit :
New Jersey - Cleveland 85-87 (Cleveland mène la série 3-1)
San Antonio - Phoenix 98-104 (Phoenix et San Antonio sont à égalité 2-2)
A l’issue d’un match tendu, Phoenix s’est imposé à San Antonio (98-104), revenant à 2 victoires partout dans la série. A l’Est, LeBron James et Cleveland se sont rapprochés de la finale de Conférence en gagnant à New Jersey (85-87).
New Jersey - Cleveland 85-87
Cleveland n’est plus qu’à une marche de la finale de la Conférence Est, qui serait la première de la franchise depuis 15 ans ! En déplacement à New Jersey, les Cavaliers ont en effet décroché leur troisième succès de la série la nuit dernière (85-87) et auront l’occasion d’assurer leur qualification mercredi soir à domicile. Vainqueurs du Game 3 grâce à un très bon Jason Kidd, auteur du 11e triple-double de sa carrière en Play-offs (23 points, 14 passes et 13 rebonds), les Nets ont cette fois failli dans l’adresse au tir, le trident offensif de Lawrence Frank compilant un piteux 11/48 au shoot (Kidd à 2/13, Carter à 6/23 et Jefferson à 3/12) ! Dans ces conditions, difficile pour les Nets, en tête à la pause (46-42) et qui ont compté jusqu’à huit longueurs d’avance dans le troisième quart-temps, de l’emporter. D’autant qu’en face, Mike Brown pouvait compter sur un LeBron James à nouveau efficace. Limité à 18 points lors du Game 3 - son plus faible total en Play-offs -, le All Star de Cleveland a cette fois inscrit 30 points (à 9/16 au tir), capté 9 rebonds et délivré 7 passes. Larry Hughes (19 points) et Zydrunas Ilgauskas (13 points, 11 rebonds) ont bien secondé leur leader pour finalement offrir la victoire à leur équipe (85-87) après une perte de balle décisive de Vince Carter à 1’’9 de la fin. Eliminé l’an dernier par Detroit à ce stade de la compétition, Cleveland entrevoit donc cette année la finale de Conférence. «Nous avons beaucoup appris l’an dernier. Cela nous aide cette saison. Maintenant, nous avons la chance de conclure la série à la maison mais nous savons que ce ne sera pas facile», déclarait LeBron James après la rencontre.
San Antonio - Phoenix 98-104
L’affrontement entre San Antonio et Phoenix est de plus en plus chaud. Après l’accrochage involontaire entre Parker et Nash lors du Game 1, les accusations de Stoudemire qualifiant San Antonio de «sale équipe» et le traitement musclé infligé par les Suns à Manu Ginobili lors du Game 3, la tension est encore montée d’un cran la nuit dernière sur le parquet de l’AT&T Center. Après un début de partie serré (22-24 après un quart-temps), les Spurs, emmenés par un Tony Parker très efficace (23 points, 7 rebonds, 6 passes) et un Duncan toujours aussi «fondamental» (21 points, 11 rebonds, 3 contres) avaient rapidement pris la mesure de leurs visiteurs et faisaient la course en tête sans trop de problèmes (45-40 à la pause, 80-72 après trois quart-temps). Les Texans prenaient même un maximum de 11 longueurs d’avance dans le dernier acte de la partie. La messe semblait dite mais Phoenix durcissait alors sa défense. San Antonio ne trouvait plus de solutions de shoot et Steve Nash (24 points, 15 passes) et Amaré Stoudemire (26 points, 9 rebonds) s’en donnaient à cœur joie offensivement pour permettre aux Suns de recoller et même de prendre la tête à 32’’ de la fin (97-100). C’est là que les esprits commencèrent à s’échauffer. Après un tir manqué de Ginobili, Nash récupérait la balle et remontait le terrain lorsque Robert Horry venait le heurter violemment. Un attroupement se formait alors très vite et Bell et Nash ne se montraient pas les moins vindicatifs. Pour calmer tout le monde, les arbitres renvoyaient Horry aux vestiaires et infligeaient une faute technique à Bell. Les dernières secondes étaient alors très tendues mais Nash et Shawn Marion (12 points, 12 rebonds) gardaient leurs nerfs pour sceller la victoire des Suns sur la ligne des lancers francs après avoir terminé la partie sur un cinglant 12-1 infligé aux Spurs (98-104). Grâce à ce succès, Phoenix égalise à deux victoires partout et, surtout, reprend l’avantage du terrain perdu lors du Game 1. La prochaine rencontre est programmée mercredi dans l’Arizona. D’ici là, la NBA, qui ne plaisante pas avec les écarts disciplinaires, pourrait bien prendre des sanctions et suspendre quelques joueurs venus faire le coup de poing au moment de l’altercation Nash-Horry. La suite de la série promet donc d’être encore très chaude…
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New Jersey - Cleveland 85-87 (Cleveland mène la série 3-1)
San Antonio - Phoenix 98-104 (Phoenix et San Antonio sont à égalité 2-2)
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Parker : «Des choses bizarres» Tony Parker était très remonté après la défaite à San Antonio contre Phoenix la nuit dernière (98-104). «C’est dur à avaler. Ce match, on l’avait bien en mains mais des fois, il se passe des choses bizarres. On ne contrôle pas tout. En tout cas, on ressent énormément de frustration. On a réalisé un bon match, on a joué dur, on s’est battu mais ça n’a pas voulu nous sourire dans le quatrième quart-temps. C’est un truc de fou. Je me demande encore comment Phoenix a pu l’emporter. Ce qui est certain, c’est que le match de mercredi sera très, très chaud», a-t-il déclaré sur son site officiel.
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
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C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
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Décidemment, je vois que tout le monde y va de sa p'tite contribution pour mettre de l'huile sur cette série qui est déjà brûlante :shock:boubynight wrote:Parker : «Des choses bizarres» Tony Parker était très remonté après la défaite à San Antonio contre Phoenix la nuit dernière (98-104). «C’est dur à avaler. Ce match, on l’avait bien en mains mais des fois, il se passe des choses bizarres. On ne contrôle pas tout. En tout cas, on ressent énormément de frustration. On a réalisé un bon match, on a joué dur, on s’est battu mais ça n’a pas voulu nous sourire dans le quatrième quart-temps. C’est un truc de fou. Je me demande encore comment Phoenix a pu l’emporter. Ce qui est certain, c’est que le match de mercredi sera très, très chaud», a-t-il déclaré sur son site officiel.