https://www.francebleu.fr/sports/footba ... 1568744638Alcom wrote: ↑17 Sep 2019, 21:19Un lien ?DedFuriana wrote: ↑17 Sep 2019, 17:06Il va y avoir une interview sur France Bleu Saint-Etienne Loire aux alentours de 18h30 pour en parler, pour ceux que ça intéresse.
J'ai pas trouvé sur leur site
Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
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DedFuriana
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
https://www.francebleu.fr/emissions/100 ... 00-club-14Alcom wrote: ↑17 Sep 2019, 21:19Un lien ?DedFuriana wrote: ↑17 Sep 2019, 17:06Il va y avoir une interview sur France Bleu Saint-Etienne Loire aux alentours de 18h30 pour en parler, pour ceux que ça intéresse.
J'ai pas trouvé sur leur site
A partir de la 36ème minute de l'émission
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Merci. Bonne intervention et bon échange globalement.
Force aux concernés et à l'ensemble des personnes qui essaient de faire vivre GG et de rendre public ce que la masse subit.
Force aux concernés et à l'ensemble des personnes qui essaient de faire vivre GG et de rendre public ce que la masse subit.
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
"BUMP"inconnuvert wrote: ↑16 Sep 2019, 17:42https://www.leetchi.com/c/solidarite-av ... -banderole
c'est fait pour moi.
Un peu de solidarité pour notre famille. Je les connais j'ai jamais mis les pieds en Sud mais j'ai envie de les aider.
Bien beau de chanter liberté si ce n'est pour rien faire derrière.
Tous ensemble pour les copains !
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
EVECT annonce que la cagnotte est finie ???___ wrote: ↑19 Sep 2019, 18:15"BUMP"inconnuvert wrote: ↑16 Sep 2019, 17:42https://www.leetchi.com/c/solidarite-av ... -banderole
c'est fait pour moi.
Un peu de solidarité pour notre famille. Je les connais j'ai jamais mis les pieds en Sud mais j'ai envie de les aider.
Bien beau de chanter liberté si ce n'est pour rien faire derrière.
Tous ensemble pour les copains !
Quelqu’un a des infos ?
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Sempre Sainté
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Réponse de ETIENNE Didot a l’IDS de l’humoriste
https://twitter.com/etiennedidot/status ... 10241?s=21
https://twitter.com/etiennedidot/status ... 10241?s=21
On n'est pas d'un pays on est d'une ville !Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Quand c'est un inconnu qui est concerné ça n'émeut personne. Je suis content de voir que les joueurs puissent prendre position mais il fallait le faire il y a plus d'un décennie, quand la chasse aux sorcières a commencé. Malheureusement les joueurs sont bien conscient de leur influence quand il s'agit de défendre leurs intérêts personnels mais un peu moins quand il s'agit de prendre parti pour les passionnés qui sont à l'origine des revenus indécents qu'ils perçoivent. En tout cas bravo à Didot et j'encourage tous ces nantis à regarder plus loin que le bout de leur nez et à se mêler à la lutte avec les gens qui font ce qu'ils sont.Sempre Sainté wrote: ↑27 Sep 2019, 19:22Réponse de ETIENNE Didot a l’IDS de l’humoriste
https://twitter.com/etiennedidot/status ... 10241?s=21
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Sempre Sainté
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Bon en l’occurrence Didot s’est tjs positionné. Et à mer pris partie face à sa direction pour soutenir les ultras qui ont de gros soucis avec le TFC.sebi wrote: ↑27 Sep 2019, 19:30Quand c'est un inconnu qui est concerné ça n'émeut personne. Je suis content de voir que les joueurs puissent prendre position mais il fallait le faire il y a plus d'un décennie, quand la chasse aux sorcières a commencé. Malheureusement les joueurs sont bien conscient de leur influence quand il s'agit de défendre leurs intérêts personnels mais un peu moins quand il s'agit de prendre parti pour les passionnés qui sont à l'origine des revenus indécents qu'ils perçoivent. En tout cas bravo à Didot et j'encourage tous ces nantis à regarder plus loin que le bout de leur nez et à se mêler à la lutte avec les gens qui font ce qu'ils sont.Sempre Sainté wrote: ↑27 Sep 2019, 19:22Réponse de ETIENNE Didot a l’IDS de l’humoriste
https://twitter.com/etiennedidot/status ... 10241?s=21
On n'est pas d'un pays on est d'une ville !Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Donc comme je le disais bravo à lui et j'encourage ses collègues à en faire de même.Sempre Sainté wrote: ↑27 Sep 2019, 20:56Bon en l’occurrence Didot s’est tjs positionné. Et à mer pris partie face à sa direction pour soutenir les ultras qui ont de gros soucis avec le TFC.sebi wrote: ↑27 Sep 2019, 19:30Quand c'est un inconnu qui est concerné ça n'émeut personne. Je suis content de voir que les joueurs puissent prendre position mais il fallait le faire il y a plus d'un décennie, quand la chasse aux sorcières a commencé. Malheureusement les joueurs sont bien conscient de leur influence quand il s'agit de défendre leurs intérêts personnels mais un peu moins quand il s'agit de prendre parti pour les passionnés qui sont à l'origine des revenus indécents qu'ils perçoivent. En tout cas bravo à Didot et j'encourage tous ces nantis à regarder plus loin que le bout de leur nez et à se mêler à la lutte avec les gens qui font ce qu'ils sont.Sempre Sainté wrote: ↑27 Sep 2019, 19:22Réponse de ETIENNE Didot a l’IDS de l’humoriste
https://twitter.com/etiennedidot/status ... 10241?s=21
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Sempre Sainté
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
On n'est pas d'un pays on est d'une ville !-
Couramiaud Poitevin
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Voici l'article de Mediapart (première partie)
Selon un rapport policier, la répression contre les supporters est inefficace
28 septembre 2019 Par Alexandre Léchenet
Mediapart a eu accès à un rapport de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme, qui dépend de la police nationale. Son bilan ? Le tout-répressif envers les supporters de football se solde par un échec. Elle appelle à explorer d’autres pistes qui « préserveraient les libertés publiques ».
Interdictions de stade, limitation des déplacements ou encore lutte contre les fumigènes : depuis plusieurs années, tout un arsenal répressif frappe les supporters de football. Pour un résultat médiocre, selon un rapport de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), qui dépend de la police nationale, auquel Mediapart a eu accès.
L’organisation, qui a dix ans cette année, écrit ainsi dans son dernier rapport annuel : « La gestion des rencontres de football abordée uniquement sous l’angle de l’ordre public montre ses limites. D’autres pistes (approche intégrée de la sécurité, développement de la prévention et du dialogue, “contractualisation” des relations avec les supporters) doivent être explorées afin de limiter les incidents et les violences tout en préservant les libertés publiques. »
Pour les supporters, la répression peut être individuelle ou collective, dans une équation où le préfet a un pouvoir important. Récemment, un supporter grenoblois a ainsi été l’objet d'une interdiction administrative de stade (IAS) ordonnée par le préfet. Cette disposition a été imaginée pour répondre rapidement aux comportements violents dans les stades et comme un éloignement provisoire en attendant les décisions judiciaires.
Le supporter devait ainsi pointer deux fois à la gendarmerie lors de chaque match à domicile et une troisième fois en cas de prolongations, soit vers 22 heures. Un cas exceptionnel, puisque habituellement, c’est plutôt une seule fois, à la mi-temps, mais qui illustre bien la contrainte qu’impose cette disposition aux personnes interdites de stade.
Aujourd’hui, selon les diverses lois, les IAS peuvent durer jusqu’à trois ans, et la plupart du temps, en attendant que l’interdiction soit confirmée ou annulée par le tribunal administratif, son délai est dépassé. Selon un décompte réalisé par L’Équipe, ces dernières années, au moins 224 interdictions de stade ont été annulées par le tribunal administratif ; dans 88 % des cas, l’annulation est tombée alors que l’interdiction était déjà arrivée à échéance.
Gêné lors des débats sur la loi « anticasseurs » par le lien de parenté entre les interdictions administratives de manifester et les IAS, toutes soumises à l'arbitraire, le député LREM Sacha Houlié a demandé une évaluation des interdictions de stade. Mais la mission d’information créée ne devrait rendre ses conclusions qu'en février prochain.
Autres mesures entre les mains des préfets en hausse ces dernières années : les interdictions ou limitations de déplacement. Elles permettent d’interdire aux supporters de se rendre dans certains départements ou d’encadrer leur déplacement, en limitant par exemple le nombre de supporters pouvant se rendre au stade. Pour la saison 2015-2016, 71 arrêtés préfectoraux et 33 arrêtés ministériels ont été pris. À l'époque, l’augmentation des mesures administratives était « directement liée à la mise en place de l’état d’urgence », selon l’analyse de la DNLH.
Pour les supporters, la répression peut être individuelle ou collective, dans une équation où le préfet a un pouvoir important. Récemment, un supporter grenoblois a ainsi été l’objet d'une interdiction administrative de stade (IAS) ordonnée par le préfet. Cette disposition a été imaginée pour répondre rapidement aux comportements violents dans les stades et comme un éloignement provisoire en attendant les décisions judiciaires.
Le supporter devait ainsi pointer deux fois à la gendarmerie lors de chaque match à domicile et une troisième fois en cas de prolongations, soit vers 22 heures. Un cas exceptionnel, puisque habituellement, c’est plutôt une seule fois, à la mi-temps, mais qui illustre bien la contrainte qu’impose cette disposition aux personnes interdites de stade.
Aujourd’hui, selon les diverses lois, les IAS peuvent durer jusqu’à trois ans, et la plupart du temps, en attendant que l’interdiction soit confirmée ou annulée par le tribunal administratif, son délai est dépassé. Selon un décompte réalisé par L’Équipe, ces dernières années, au moins 224 interdictions de stade ont été annulées par le tribunal administratif ; dans 88 % des cas, l’annulation est tombée alors que l’interdiction était déjà arrivée à échéance.
Gêné lors des débats sur la loi « anticasseurs » par le lien de parenté entre les interdictions administratives de manifester et les IAS, toutes soumises à l'arbitraire, le député LREM Sacha Houlié a demandé une évaluation des interdictions de stade. Mais la mission d’information créée ne devrait rendre ses conclusions qu'en février prochain.
Autres mesures entre les mains des préfets en hausse ces dernières années : les interdictions ou limitations de déplacement. Elles permettent d’interdire aux supporters de se rendre dans certains départements ou d’encadrer leur déplacement, en limitant par exemple le nombre de supporters pouvant se rendre au stade. Pour la saison 2015-2016, 71 arrêtés préfectoraux et 33 arrêtés ministériels ont été pris. À l'époque, l’augmentation des mesures administratives était « directement liée à la mise en place de l’état d’urgence », selon l’analyse de la DNLH.
Selon un rapport policier, la répression contre les supporters est inefficace
28 septembre 2019 Par Alexandre Léchenet
Mediapart a eu accès à un rapport de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme, qui dépend de la police nationale. Son bilan ? Le tout-répressif envers les supporters de football se solde par un échec. Elle appelle à explorer d’autres pistes qui « préserveraient les libertés publiques ».
Interdictions de stade, limitation des déplacements ou encore lutte contre les fumigènes : depuis plusieurs années, tout un arsenal répressif frappe les supporters de football. Pour un résultat médiocre, selon un rapport de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), qui dépend de la police nationale, auquel Mediapart a eu accès.
L’organisation, qui a dix ans cette année, écrit ainsi dans son dernier rapport annuel : « La gestion des rencontres de football abordée uniquement sous l’angle de l’ordre public montre ses limites. D’autres pistes (approche intégrée de la sécurité, développement de la prévention et du dialogue, “contractualisation” des relations avec les supporters) doivent être explorées afin de limiter les incidents et les violences tout en préservant les libertés publiques. »
Pour les supporters, la répression peut être individuelle ou collective, dans une équation où le préfet a un pouvoir important. Récemment, un supporter grenoblois a ainsi été l’objet d'une interdiction administrative de stade (IAS) ordonnée par le préfet. Cette disposition a été imaginée pour répondre rapidement aux comportements violents dans les stades et comme un éloignement provisoire en attendant les décisions judiciaires.
Le supporter devait ainsi pointer deux fois à la gendarmerie lors de chaque match à domicile et une troisième fois en cas de prolongations, soit vers 22 heures. Un cas exceptionnel, puisque habituellement, c’est plutôt une seule fois, à la mi-temps, mais qui illustre bien la contrainte qu’impose cette disposition aux personnes interdites de stade.
Aujourd’hui, selon les diverses lois, les IAS peuvent durer jusqu’à trois ans, et la plupart du temps, en attendant que l’interdiction soit confirmée ou annulée par le tribunal administratif, son délai est dépassé. Selon un décompte réalisé par L’Équipe, ces dernières années, au moins 224 interdictions de stade ont été annulées par le tribunal administratif ; dans 88 % des cas, l’annulation est tombée alors que l’interdiction était déjà arrivée à échéance.
Gêné lors des débats sur la loi « anticasseurs » par le lien de parenté entre les interdictions administratives de manifester et les IAS, toutes soumises à l'arbitraire, le député LREM Sacha Houlié a demandé une évaluation des interdictions de stade. Mais la mission d’information créée ne devrait rendre ses conclusions qu'en février prochain.
Autres mesures entre les mains des préfets en hausse ces dernières années : les interdictions ou limitations de déplacement. Elles permettent d’interdire aux supporters de se rendre dans certains départements ou d’encadrer leur déplacement, en limitant par exemple le nombre de supporters pouvant se rendre au stade. Pour la saison 2015-2016, 71 arrêtés préfectoraux et 33 arrêtés ministériels ont été pris. À l'époque, l’augmentation des mesures administratives était « directement liée à la mise en place de l’état d’urgence », selon l’analyse de la DNLH.
Pour les supporters, la répression peut être individuelle ou collective, dans une équation où le préfet a un pouvoir important. Récemment, un supporter grenoblois a ainsi été l’objet d'une interdiction administrative de stade (IAS) ordonnée par le préfet. Cette disposition a été imaginée pour répondre rapidement aux comportements violents dans les stades et comme un éloignement provisoire en attendant les décisions judiciaires.
Le supporter devait ainsi pointer deux fois à la gendarmerie lors de chaque match à domicile et une troisième fois en cas de prolongations, soit vers 22 heures. Un cas exceptionnel, puisque habituellement, c’est plutôt une seule fois, à la mi-temps, mais qui illustre bien la contrainte qu’impose cette disposition aux personnes interdites de stade.
Aujourd’hui, selon les diverses lois, les IAS peuvent durer jusqu’à trois ans, et la plupart du temps, en attendant que l’interdiction soit confirmée ou annulée par le tribunal administratif, son délai est dépassé. Selon un décompte réalisé par L’Équipe, ces dernières années, au moins 224 interdictions de stade ont été annulées par le tribunal administratif ; dans 88 % des cas, l’annulation est tombée alors que l’interdiction était déjà arrivée à échéance.
Gêné lors des débats sur la loi « anticasseurs » par le lien de parenté entre les interdictions administratives de manifester et les IAS, toutes soumises à l'arbitraire, le député LREM Sacha Houlié a demandé une évaluation des interdictions de stade. Mais la mission d’information créée ne devrait rendre ses conclusions qu'en février prochain.
Autres mesures entre les mains des préfets en hausse ces dernières années : les interdictions ou limitations de déplacement. Elles permettent d’interdire aux supporters de se rendre dans certains départements ou d’encadrer leur déplacement, en limitant par exemple le nombre de supporters pouvant se rendre au stade. Pour la saison 2015-2016, 71 arrêtés préfectoraux et 33 arrêtés ministériels ont été pris. À l'époque, l’augmentation des mesures administratives était « directement liée à la mise en place de l’état d’urgence », selon l’analyse de la DNLH.
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Couramiaud Poitevin
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
(deuxième partie)
La prochaine réunion de l'INS aura lieu fin octobre en présence du secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur Laurent Nuñez, selon plusieurs interlocuteurs, qui y voient un signe d’évolution possible des interdictions de déplacement et de la lutte contre les engins pyrotechniques. En effet, plusieurs groupes de travail ont été installés sur ces sujets ainsi que sur la lutte contre les discriminations. « Il faut permettre aux supporters de vraiment vivre leur passion, explique le ministère des sports. De se déplacer au stade, d'animer les tribunes avec leurs usages et coutumes. »
Car la lutte contre les fumigènes et autres pétards est également vue comme un élément supplémentaire de répression par les supporters. Vidéosurveillance, chiens policiers, palpations… Les fumigènes ne peuvent pas rentrer dans les stades, ils y sont interdits depuis la loi Alliot-Marie de décembre 1993. Ils sont décrits dans un rapport de la DNLH, comme « indicateur d’incivilité en tribune » qui permet « d’évaluer la tendance en matière de comportements potentiellement déviants de la part de certains supporters ». Et ce alors que les clubs utilisent parfois les tribunes enfumées dans leur communication.
Ainsi, les supporters toulousains notaient-ils que si le Toulouse football club (TFC) utilisaient des images de fumigènes dans une vidéo postée sur Twitter au printemps dernier, il porte plainte plusieurs mois plus tard contre ses supporters suspectés d’en avoir utilisés. « Rentrer dans un stade en ébullition, plein de fumi, quel kiffe pour un joueur…, a pourtant réagi Matthieu Dossevi, joueur du TFC, qui espère un changement. Les clubs et les fédérations doivent changer les choses vis-à-vis des fumigènes, et se mettre en collaboration avec les supporters (au lieu d’être contre eux) pour permettre son usage de façon réglementée, professionnelle et sécuritaire. »
Les rapports de la DNLH constatent régulièrement l’échec dans la lutte contre ces engins pyrotechniques. Dès 2009-2010, celle-ci note qu’une « réflexion » est nécessaire sur « la qualité des palpations aux entrées des stades ». Des « dysfonctionnements » repérés dans le rapport publié après la saison 2016-2017. « L’utilisation d’engins pyrotechniques a nettement progressé dans les stades de Ligue 1 », constate la DNLH dans le rapport suivant. Pour la première fois, un bilan des spectateurs blessés par des engins pyrotechniques a été réalisé : la DNLH en a comptabilisé 29, dont 19 en Ligue 1 sur la saison.
« En interdisant complètement la pyrotechnie, du danger est créé », rappelle l’Association nationale des supporters, citant pêle-mêle des jets irréguliers pour échapper à la vidéosurveillance ou la fabrication d’engins artisanaux. « L’ensemble des produits chimiques entrant dans la composition de ce type d’engin créé un mélange très instable pouvant occasionner de graves dommages », rappelait déjà la DNLH après la saison 2015-2016.
Le groupe de travail de l'INS sur ce sujet explore des solutions possibles. Pour certains acteurs, l’idée est de permettre une utilisation encadrée, et non dangereuse, de ces outils. S’inspirant des modèles étrangers, ceux-ci évoquent notamment des fumigènes à froid ou des zones réservées à la pyrotechnie. En attendant, celle-ci reste la première cause d’interpellation lors des matches de Ligue 1 et de Ligue 2. Il y en a eu 164 pendant la saison 2017-2018.
C’est dans ce contexte que sont arrivés les arrêts de match à la suite de bannières ou messages homophobes. Si la lutte contre les discriminations racistes ou homophobes est une ambition déclarée, les supporters évoquent des « provocations » et contestent l’aspect homophobe de certaines déclarations. Ils y voient avant tout une nouvelle contrainte qui pèse sur leurs épaules. « Il ne faut pas créer de nouveaux devoirs sans nouveaux droits », plaide Sacha Houlié. Là encore, la discussion est renvoyée à la prochaine réunion de l’INS fin octobre.
La prochaine réunion de l'INS aura lieu fin octobre en présence du secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur Laurent Nuñez, selon plusieurs interlocuteurs, qui y voient un signe d’évolution possible des interdictions de déplacement et de la lutte contre les engins pyrotechniques. En effet, plusieurs groupes de travail ont été installés sur ces sujets ainsi que sur la lutte contre les discriminations. « Il faut permettre aux supporters de vraiment vivre leur passion, explique le ministère des sports. De se déplacer au stade, d'animer les tribunes avec leurs usages et coutumes. »
Car la lutte contre les fumigènes et autres pétards est également vue comme un élément supplémentaire de répression par les supporters. Vidéosurveillance, chiens policiers, palpations… Les fumigènes ne peuvent pas rentrer dans les stades, ils y sont interdits depuis la loi Alliot-Marie de décembre 1993. Ils sont décrits dans un rapport de la DNLH, comme « indicateur d’incivilité en tribune » qui permet « d’évaluer la tendance en matière de comportements potentiellement déviants de la part de certains supporters ». Et ce alors que les clubs utilisent parfois les tribunes enfumées dans leur communication.
Ainsi, les supporters toulousains notaient-ils que si le Toulouse football club (TFC) utilisaient des images de fumigènes dans une vidéo postée sur Twitter au printemps dernier, il porte plainte plusieurs mois plus tard contre ses supporters suspectés d’en avoir utilisés. « Rentrer dans un stade en ébullition, plein de fumi, quel kiffe pour un joueur…, a pourtant réagi Matthieu Dossevi, joueur du TFC, qui espère un changement. Les clubs et les fédérations doivent changer les choses vis-à-vis des fumigènes, et se mettre en collaboration avec les supporters (au lieu d’être contre eux) pour permettre son usage de façon réglementée, professionnelle et sécuritaire. »
Les rapports de la DNLH constatent régulièrement l’échec dans la lutte contre ces engins pyrotechniques. Dès 2009-2010, celle-ci note qu’une « réflexion » est nécessaire sur « la qualité des palpations aux entrées des stades ». Des « dysfonctionnements » repérés dans le rapport publié après la saison 2016-2017. « L’utilisation d’engins pyrotechniques a nettement progressé dans les stades de Ligue 1 », constate la DNLH dans le rapport suivant. Pour la première fois, un bilan des spectateurs blessés par des engins pyrotechniques a été réalisé : la DNLH en a comptabilisé 29, dont 19 en Ligue 1 sur la saison.
« En interdisant complètement la pyrotechnie, du danger est créé », rappelle l’Association nationale des supporters, citant pêle-mêle des jets irréguliers pour échapper à la vidéosurveillance ou la fabrication d’engins artisanaux. « L’ensemble des produits chimiques entrant dans la composition de ce type d’engin créé un mélange très instable pouvant occasionner de graves dommages », rappelait déjà la DNLH après la saison 2015-2016.
Le groupe de travail de l'INS sur ce sujet explore des solutions possibles. Pour certains acteurs, l’idée est de permettre une utilisation encadrée, et non dangereuse, de ces outils. S’inspirant des modèles étrangers, ceux-ci évoquent notamment des fumigènes à froid ou des zones réservées à la pyrotechnie. En attendant, celle-ci reste la première cause d’interpellation lors des matches de Ligue 1 et de Ligue 2. Il y en a eu 164 pendant la saison 2017-2018.
C’est dans ce contexte que sont arrivés les arrêts de match à la suite de bannières ou messages homophobes. Si la lutte contre les discriminations racistes ou homophobes est une ambition déclarée, les supporters évoquent des « provocations » et contestent l’aspect homophobe de certaines déclarations. Ils y voient avant tout une nouvelle contrainte qui pèse sur leurs épaules. « Il ne faut pas créer de nouveaux devoirs sans nouveaux droits », plaide Sacha Houlié. Là encore, la discussion est renvoyée à la prochaine réunion de l’INS fin octobre.
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Pour une fois que je suis d’accord avec les voisins ...
https://www.leprogres.fr/rhone-69-editi ... t-football
Bon, sont pas assez nombreux pour que ça marche
https://www.leprogres.fr/rhone-69-editi ... t-football
Bon, sont pas assez nombreux pour que ça marche
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Surprenant de leur part, mais pas mal du tout cette initiativepatom42 wrote: ↑29 Sep 2019, 19:37Pour une fois que je suis d’accord avec les voisins ...
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Bon, sont pas assez nombreux pour que ça marche
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Vert Mouthe
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Chapeau ! J'avoue... Excellent contre-pied pour la LigueJelp wrote: ↑29 Sep 2019, 19:44Surprenant de leur part, mais pas mal du tout cette initiativepatom42 wrote: ↑29 Sep 2019, 19:37Pour une fois que je suis d’accord avec les voisins ...
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Bon, sont pas assez nombreux pour que ça marche
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inconnuvert
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Bonne idée. 2 3 drapeaux tibétains en latérale et hop diffusion impossible en chine.
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inconnuvert
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Une pensée aux abrutis de crs pour le gazage dans la tribune nord.
Bravo
Bravo
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Pas vu, il s'est passé quoi ?inconnuvert wrote: ↑06 Oct 2019, 23:38Une pensée aux abrutis de crs pour le gazage dans la tribune nord.
Bravo
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Il est sans doute plus simple de s’attaquer aux supporters de foot qu’aux radicalisésinconnuvert wrote: ↑06 Oct 2019, 23:38Une pensée aux abrutis de crs pour le gazage dans la tribune nord.
Bravo
"Depuis que les hommes ne croient plus à rien, ils croient à tout." G.-K. Chesterton
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inconnuvert
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
J'ai vu que la fin.la buse wrote: ↑06 Oct 2019, 23:40Pas vu, il s'est passé quoi ?inconnuvert wrote: ↑06 Oct 2019, 23:38Une pensée aux abrutis de crs pour le gazage dans la tribune nord.
Bravo
Apparement les stadiers n'ont pas voulu qu'une banderolle sur nos présidents rentre. La banderolle n'avait aucune insulte.
Ça chauffé entre stadiers et mf. Là les cow boys ont gazé. Tout le monde a ramassé.
Derriére il y a eu un moment de tension. Car les 30 crs se sont trouvés dans une situation difficile si les supp n'avaient pas gardés leur calme.
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
+ 1000Moufles wrote: ↑06 Oct 2019, 23:43Il est sans doute plus simple de s’attaquer aux supporters de foot qu’aux radicalisésinconnuvert wrote: ↑06 Oct 2019, 23:38Une pensée aux abrutis de crs pour le gazage dans la tribune nord.
Bravo
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Lapetitesupportrice
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
J’ai vu des choses inacceptables hier soir ...fumis, banderoles...
Notre Nathalie de la ligue va encore être outrée et ulcérée. Une femme qui est si attachée à certaines valeurs... Bref on va prendre cher... et sans attendre un départ en retraite
Notre Nathalie de la ligue va encore être outrée et ulcérée. Une femme qui est si attachée à certaines valeurs... Bref on va prendre cher... et sans attendre un départ en retraite
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inconnuvert
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Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Le huis clos va tomber contre Monaco?
Re: Commission de discipline LFP - supporters sur la sellette!
Si huis clos il y a , ça ne sera pas contre Monaco , en prime time sur canal.
Soit Amiens , soit celui d'après Monaco ...