N'habitant plus à saint Étienne depuis 7 ans, et allant rarement en centre ville, je suis super attristé par l'évolution des choses.
On se transforme en ville à l'américaine, le centre est bien moins peuplé qu'avant et les commerces sont de plus en plus délabrés ou fermés.
Franchement si les pouvoirs publics ne font rien, on va droit vers la catastrophe. Les classes moyennes ont migrées dans la plaine?
Pourquoi, comment, quels politiques ont encouragés ça (permis de construire?), quel agents économiques y ont intéret (BTP?).
Si quelqu'un d'informé a la réponse....
Pour te répondre sur mon cas personnel.
Stéphanois de naissance, habitant à Saint Etienne, j'ai déménagé pour vivre en maison avec du terrain.
Je ne suis pas le seul.Toute ma génération d'amis et de ma famille a fait pareil.
Soit en direction de la plaine, soit vers Lyon pour se rapprocher de son lieu de travail.
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Mes parents sont dans ce cas oui.
On part pour la offrir un cadre de vie à sa famille. Et quand les enfants sont partis. Ben... on s'ennuie et on revient dans le centre.
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Personnellement je peux plus blairer le périurbain comme ils disent. Je me réinstalle dans avignon cette année et je ferai de même si j’étais resté à st_etienne. Me suis jamais autant fait chier qu’à ANdrezieux, le début de la plaine et le Gard maintenant
Marc Chaboche revient dans Le Progrès du jour sur la fermeture de La Mine, une boite qui rappelle de bons souvenirs à pas mal de mastres du forum :
À force d’être un client régulier, il a fini par passer derrière le bar. « On commençait la soirée, rue des Martyrs et on la finissait à La Mine. » Il se rappelle un lieu à l’ambiance bon enfant où il n’y avait pas besoin d’être tiré à quatre épingles : « C’était un peu comme les bals de campagne. Tout le monde se connaissait. La musique rock qui y passait changeait de celle que l’on entendait dans les autres boîtes. » Il se souvient également de ce soir de 2013 où l’ASSE avait remporté la coupe de la Ligue : « La queue allait jusqu’aux rails du tram. Je n’avais jamais vu ça. » L’ancien barman note qu’il y a eu un avant et après travaux en 2015. Selon lui, les habitués n’ont pas adhéré à ce virage, la nouvelle déco et le nouveau style musical, plus commercial. Toujours est-il que, la nouvelle de la fermeture de La Mine lui « a mis un sacré coup de vieux ».
Marc Chaboche revient dans Le Progrès du jour sur la fermeture de La Mine, une boite qui rappelle de bons souvenirs à pas mal de mastres du forum :
À force d’être un client régulier, il a fini par passer derrière le bar. « On commençait la soirée, rue des Martyrs et on la finissait à La Mine. » Il se rappelle un lieu à l’ambiance bon enfant où il n’y avait pas besoin d’être tiré à quatre épingles : « C’était un peu comme les bals de campagne. Tout le monde se connaissait. La musique rock qui y passait changeait de celle que l’on entendait dans les autres boîtes. » Il se souvient également de ce soir de 2013 où l’ASSE avait remporté la coupe de la Ligue : « La queue allait jusqu’aux rails du tram. Je n’avais jamais vu ça. » L’ancien barman note qu’il y a eu un avant et après travaux en 2015. Selon lui, les habitués n’ont pas adhéré à ce virage, la nouvelle déco et le nouveau style musical, plus commercial. Toujours est-il que, la nouvelle de la fermeture de La Mine lui « a mis un sacré coup de vieux ».
Marc Chaboche revient dans Le Progrès du jour sur la fermeture de La Mine, une boite qui rappelle de bons souvenirs à pas mal de mastres du forum :
À force d’être un client régulier, il a fini par passer derrière le bar. « On commençait la soirée, rue des Martyrs et on la finissait à La Mine. » Il se rappelle un lieu à l’ambiance bon enfant où il n’y avait pas besoin d’être tiré à quatre épingles : « C’était un peu comme les bals de campagne. Tout le monde se connaissait. La musique rock qui y passait changeait de celle que l’on entendait dans les autres boîtes. » Il se souvient également de ce soir de 2013 où l’ASSE avait remporté la coupe de la Ligue : « La queue allait jusqu’aux rails du tram. Je n’avais jamais vu ça. » L’ancien barman note qu’il y a eu un avant et après travaux en 2015. Selon lui, les habitués n’ont pas adhéré à ce virage, la nouvelle déco et le nouveau style musical, plus commercial. Toujours est-il que, la nouvelle de la fermeture de La Mine lui « a mis un sacré coup de vieux ».
Marc Chaboche revient dans Le Progrès du jour sur la fermeture de La Mine, une boite qui rappelle de bons souvenirs à pas mal de mastres du forum :
À force d’être un client régulier, il a fini par passer derrière le bar. « On commençait la soirée, rue des Martyrs et on la finissait à La Mine. » Il se rappelle un lieu à l’ambiance bon enfant où il n’y avait pas besoin d’être tiré à quatre épingles : « C’était un peu comme les bals de campagne. Tout le monde se connaissait. La musique rock qui y passait changeait de celle que l’on entendait dans les autres boîtes. » Il se souvient également de ce soir de 2013 où l’ASSE avait remporté la coupe de la Ligue : « La queue allait jusqu’aux rails du tram. Je n’avais jamais vu ça. » L’ancien barman note qu’il y a eu un avant et après travaux en 2015. Selon lui, les habitués n’ont pas adhéré à ce virage, la nouvelle déco et le nouveau style musical, plus commercial. Toujours est-il que, la nouvelle de la fermeture de La Mine lui « a mis un sacré coup de vieux ».
Marc Chaboche revient dans Le Progrès du jour sur la fermeture de La Mine, une boite qui rappelle de bons souvenirs à pas mal de mastres du forum :
À force d’être un client régulier, il a fini par passer derrière le bar. « On commençait la soirée, rue des Martyrs et on la finissait à La Mine. » Il se rappelle un lieu à l’ambiance bon enfant où il n’y avait pas besoin d’être tiré à quatre épingles : « C’était un peu comme les bals de campagne. Tout le monde se connaissait. La musique rock qui y passait changeait de celle que l’on entendait dans les autres boîtes. » Il se souvient également de ce soir de 2013 où l’ASSE avait remporté la coupe de la Ligue : « La queue allait jusqu’aux rails du tram. Je n’avais jamais vu ça. » L’ancien barman note qu’il y a eu un avant et après travaux en 2015. Selon lui, les habitués n’ont pas adhéré à ce virage, la nouvelle déco et le nouveau style musical, plus commercial. Toujours est-il que, la nouvelle de la fermeture de La Mine lui « a mis un sacré coup de vieux ».
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Personnellement je peux plus blairer le périurbain comme ils disent.
C'est donc pour çà que tu n'aimes pas les gilets jaunes ...
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Personnellement je peux plus blairer le périurbain comme ils disent.
C'est donc pour çà que tu n'aimes pas les gilets jaunes ...
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Personnellement je peux plus blairer le périurbain comme ils disent.
C'est donc pour çà que tu n'aimes pas les gilets jaunes ...
Peux-être inconsciemment
Sauf incompréhension de ma ma part, c'est pourtant le périurbain que te permet de gagner ton beefsteak, non ?
[size=85][url=http://www.faucon.net][b]du bruit à dessein[/b] \ [b]une image qui m'enchante[/b] \ [b]grenouille en trompette[/b][/url][/size]
Marc Chaboche revient dans Le Progrès du jour sur la fermeture de La Mine, une boite qui rappelle de bons souvenirs à pas mal de mastres du forum :
À force d’être un client régulier, il a fini par passer derrière le bar. « On commençait la soirée, rue des Martyrs et on la finissait à La Mine. » Il se rappelle un lieu à l’ambiance bon enfant où il n’y avait pas besoin d’être tiré à quatre épingles : « C’était un peu comme les bals de campagne. Tout le monde se connaissait. La musique rock qui y passait changeait de celle que l’on entendait dans les autres boîtes. » Il se souvient également de ce soir de 2013 où l’ASSE avait remporté la coupe de la Ligue : « La queue allait jusqu’aux rails du tram. Je n’avais jamais vu ça. » L’ancien barman note qu’il y a eu un avant et après travaux en 2015. Selon lui, les habitués n’ont pas adhéré à ce virage, la nouvelle déco et le nouveau style musical, plus commercial. Toujours est-il que, la nouvelle de la fermeture de La Mine lui « a mis un sacré coup de vieux ».
À noter (ça a peut être déjà été dit) que la table des lys va déménager et quitter le cours fauriel pour un établissement qui sort de terre en ce moment juste à côté du golf. Le déménagement est prévu pour septembre si je dis pas de betise. Si y'a qu'une table à retenir à Sainté même, c'est celle là ! Et leur cave est assez dingue
Directeur plus ou moins officiel de campagne "Titi Henry nouveau coach de Sainté"
À noter (ça a peut être déjà été dit) que la table des lys va déménager et quitter le cours fauriel pour un établissement qui sort de terre en ce moment juste à côté du golf. Le déménagement est prévu pour septembre si je dis pas de betise. Si y'a qu'une table à retenir à Sainté même, c'est celle là ! Et leur cave est assez dingue
Je valide totalement, excellent rapport qualité-prix
À noter (ça a peut être déjà été dit) que la table des lys va déménager et quitter le cours fauriel pour un établissement qui sort de terre en ce moment juste à côté du golf.
Oui apparemment ils voulaient s’agrandir et profiter d'un parking dédié à leur clientèle.
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Personnellement je peux plus blairer le périurbain comme ils disent.
C'est donc pour çà que tu n'aimes pas les gilets jaunes ...
Peux-être inconsciemment
Sauf incompréhension de ma ma part, c'est pourtant le périurbain que te permet de gagner ton beefsteak, non ?
Non. Et quand bien même ça ne changerait pas grand chose à mon envie de centre ville surtout pour un steak.
Quand on voit le monde qu'il y a désormais au Bul (si y a des connaisseurs... ), il y a vraiment un coup à faire sur ce secteur de la bringue. On se cotise pour racheter la Mine ?
Alors que moi qui ai grandi à Roche la Molière, j'ai déménagé sur Saint-Etienne Centre.
Mais oui, la tendance va à l'inverse.
J’ai l’impression que beaucoup de personnes, notamment passé les 45 ans, reviennent en centre-ville. Quand tu vends une jolie maison dans une belle partie de la couronne stéphanoise jusqu’à st-galmier, achetée il y a 20 ou 30 ans,... ça laisse une très belle marge de manœuvre pour un appartement dans un immeuble haussmanien du centre. Sans compter les économies d’entretien si la maison était du style familial.
Phénomène réel mais limité en nombre , et qui ne compense absolument pas les départs ...
Personnellement je peux plus blairer le périurbain comme ils disent.
C'est donc pour çà que tu n'aimes pas les gilets jaunes ...
Peux-être inconsciemment
Sauf incompréhension de ma ma part, c'est pourtant le périurbain que te permet de gagner ton beefsteak, non ?
Non. Et quand bien même ça ne changerait pas grand chose à mon envie de centre ville surtout pour un steak.
ha sorry, je dois confondre avec un autre potonaute, je pensais que tu bossais dans la grande distrib.
Laisse tomber pour le steak en centre ville, il n'y a plus que des restos vegans.
[size=85][url=http://www.faucon.net][b]du bruit à dessein[/b] \ [b]une image qui m'enchante[/b] \ [b]grenouille en trompette[/b][/url][/size]
ha sorry, je dois confondre avec un autre potonaute, je pensais que tu bossais dans la grande distrib.
Laisse tomber pour le steak en centre ville, il n'y a plus que des restos vegans.
Ma plus grosse cantine la semaine est justement vegan. 6,50 € la grosse assiette de produits locaux pour la plupart et bio pour l'ensemble (ça c'est pour la petite musique pour que je me dise participatif…).
Outre le prix, l'obligation de devoir travailler sans matière animal demande des trésors d'imagination pour sortir des plats tous les jours et la chef (suédoise) a un talent fou… Donc les restos vegans avec un bon chef oui, oui, oui…
Le problème est que les restos vegans sont souvent montés par des amateurs passionnés ou des petits malins de circonstance et ça, ça en fait pas des restaurateurs.
Il y a des restos vegans sympas à saint-etienne (sortie de la saladerie/quinoa) ?