franck42 wrote:baggio42 wrote:
Heureusement qu'il ralentit à 140, parce que si il avait ralentit à 80 c'était la révolution. Concernant "les abrutis" qui veulent rouler plus vite, ce sont tes propos, pourquoi construire des voitures qui peuvent rouler à 180
Je te rassure j'aime pas la vitesse
Je fais partie de ceux qui pensent qu'il est déjà trop tard, et que le mur on va se le prendre. Mais je préfèrerais qu'on se le prenne à vitesse réduite, avec ceinture de sécurité et airbag. Pour l'instant on a rien de tout ça...
Donc oui bien évidemment on s'est mis dans une situation où seules des (vraies) révolutions peuvent sauver la planète.
Les gars, je sais que vous etes plein de bonnes intentions, mais je reste persuadé que l'on veut vous avoir par les bons sentiments.
Je ne résiste pas a l'envie de vous proposer ces 10 points rédigés par H2L (assez trollesque il faut en convenir).
"Voici une analyse en 10 points de l’arnaque du « réchauffement climatique », plus une conclusion !
Introduction : l’argument d’autorité est antiscientifique. C’est pourtant lui qui est opposé aux experts qui refusent le dogme du réchauffement climatique imputé à l’homme.
1. Le mythe du réchauffement climatique dû à l’homme est le produit d’un complot à ciel ouvert dont le GIEC est le visage officiel.
2. Le mythe du réchauffement climatique dû à l’homme est le produit d’un complot fomenté par Maurice Strong, créateur du GIEC.
Le GIEC est un hybride stérile de la science et de la politique. La meilleure critique de cet organisme se trouve sans doute dans les deux beaux ouvrages de Christian Gerondeau, Ecologie, la grande arnaque (2007) et CO2, un mythe planétaire (2009). Il est urgent de dissoudre le GIEC pour rétablir la liberté de recherche et d’expression dans le domaine des sciences du climat.
3. Climat. Le réchauffisme est aberrant de part en part, car le réchauffement climatique serait excellent s’il avait lieu.
4. Réchauffement climatique. Les mêmes modèles, incapables de prévoir le temps dans 100 jours, le prévoiraient dans 100 ans. Pas sérieux.
Cette remarque de terminologie, qui peut paraître oiseuse, est en fait essentielle, tant du point de vue de l’épistémologie que de la sociologie des sciences. Peut-on faire de l’étude du climat une science à part, la climatologie ? Ce n’est pas évident. Les climats du passé sont dans le champ de la géologie et de la géographie, les climats de l’avenir dans celui de la météorologie, qui cherche à prévoir le temps qu’il va faire. Le principal « climatologue » français, décédé en 2008, qui n’était pas le plus médiatisé, et pour cause, car il ne croyait pas un seul instant aux affirmations du GIEC, était un géographe, le professeur Marcel Leroux, qui fut directeur du Laboratoire de climatologie du CNRS. Il a dit : « L’observation du concret supprime la prétendue frontière entre météorologie et climatologie, entre temps et climat. »
5. Réchauffement climatique causé par l’homme. Dogme frauduleux qui sert de gros intérêts.
Notamment le projet de gouvernement mondial. L’écologie, avec le pseudo-réchauffement climatique, est un important vecteur du cosmopolitisme.
6. Réchauffement climatique. S’il avait lieu, il faudrait s’en féliciter. Les périodes chaudes sont fastes dans l’histoire de l’homme.
Si la température moyenne devait augmenter dans l’avenir, il faudrait s’en féliciter, quelle qu’en soit la raison, car tout porte à croire que les effets du réchauffement seraient globalement bénéfiques et que nous entrerions alors dans un nouvel « optimum climatique » semblable à celui que le monde a connu autour de l’an mil. Selon Marcel Leroux, « s’il arrivait, ce réchauffement serait plutôt un bienfait : il s’accompagnerait d’un plus grand confort de vie dans les régions froides,
d’une diminution des budgets de chauffage, d’une plus grande clémence du temps et d’une extension des terres cultivables.
Ainsi, dans les années 1930 à 1960, une élévation régionale de la température a permis aux forêts canadiennes et scandinaves de s’étendre vers le nord. Et au Sahel d’accroître la pluviométrie, permettant aux populations d’empiéter sur un Sahara devenu plus fertile.
7. Le réchauffement climatique tel qu’il est présenté par les lyssenkistes est une farce.
1. Il fait moins chaud qu’au Xe siècle.
2. Hausse de moins de 1° en 1 siècle selon les chiffres du GIEC.
3. Réchauffement non-observé depuis 1998.
4. Fonte au pôle nord, gain de glace en Antarctique. Rien de tout ça n’est dû à l’activité humaine.
5. Malgré pressions, pas de consensus scientifique. A l’Académie des sciences, Allègre, Courtillot, Deheuvels ouvertement contre.
Les réchauffistes disent que leurs modèles s’appuient sur des lois physiques incontestables. Ils oublient de préciser deux choses essentielles. D’une part, que les calculs sont conduits sur de vastes « cellules » découpées sur la surface terrestre et dans l’épaisseur de l’atmosphère et que les détails de la réalité leur échappent nécessairement. D’autre part, qu’une partie des équations est fondée sur des paramètres statistiques, car la réalité est trop complexe ou mal connue pour que l’on puisse tenter de l’interpréter autrement, c’est-à-dire par l’application directe des lois de la physique. C’est notamment le cas pour les nuages, qui jouent un rôle essentiel dans le climat, mais dont on ne connaît pas les lois de la formation.
8. Réchauffement climatique. S’il avait lieu, l’homme n’y serait pour rien. « Innocence du carbone » (François Gervais, spécialiste de l’effet de serre).
Pour leur part, les modèles du GIEC partent tous du présupposé que les émissions de dioxyde de carbone et des autres gaz émissifs, dits « à effet de serre », doivent expliquer l’évolution du climat au cours des dernières décennies. Postulat réducteur. Il n’est pas étonnant qu’ils y parviennent, tant bien que mal, eu égard à la plasticité propre aux modèles. Ce postulat « carbocentriste » est-il juste ? Nul ne nie que le CO2 et les autres gaz à effet de serre exercent un « effet de couverture » qui tend à réchauffer la planète. Mais quelle est l’importance de cet effet ? Yves Lenoir a fait un calcul direct. Selon lui, « (…) la relation non linéaire (racine quatrième d’une grandeur évoluant selon une loi logarithmique) entre augmentation marginale de gaz carbonique et température de surface de la planète, via l’augmentation du forçage radiatif, est l’exemple même d’une perturbation douce – grande cause, très petit effet (…). De fait, à une augmentation de 1 % de la concentration du CO2 dans l’air correspond une augmentation de 0,015 % du forçage radiatif et de 0,0038 % de la température absolue de la surface (soit 0,011° C). Le facteur d’atténuation du transfert de la cause à l’effet est donc actuellement de 1/0,0038 = 263, soit entre deux et trois ordres de grandeur. »
9. Limites de Poutine. S’il y avait réchauffement climatique, ce serait tout bénéfice pour la Russie. Or il ne s’oppose pas au GIEC.
10. A la fin du règne de Louis XIV, « petit âge glaciaire », qui fut une calamité. Vive le réchauffement climatique !
Conclusion : Diabolisation des dissidents, trucages en tout genre… La communauté scientifique a failli. La théorie du réchauffement climatique dû à l’homme est une imposture lyssenkiste.
Les faits admis par les réchauffistes eux-mêmes suffisent à renverser leur théorie ou tout au moins à la rendre fortement suspecte :
(1) il n’y a pas de réchauffement depuis 1998 ;
(2) c’est la température qui précède le gaz, et non l’inverse ;
(3) la crosse de hockey s’est brisée, et la courbe de Mann est retombée dans le néant des artefacts statistiques. "
Source
https://henrydelesquen.fr/2016/04/23/vi ... limatique/