[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
En tout cas pas une surprise pour les Espagnols qui etaient tres confiantsGreenPL wrote:Bravo aux Espagnols qui ont crées la surprise!
Last edited by ellolito on 04 Sep 2006, 13:47, edited 1 time in total.
Voilà, c'est fini... Je dois dire que ce tournoi me laisse sur ma faim pour plusieurs raisons :
D'abord, nous avons vu vraiment trop peu de matchs ultra serrés, gagnés sur une possession lors de la deuxième phase, qui font le sel de ce sport. En huitièmes, on a eu Lituanie-Italie (mais la fin de match était vraiment très laide à voir, aucune de deux équipes ne semblant vouloir gagner, d'où cette improbable succession de lancers ratés dans la dernière minute...), Allemagne-Nigeria et c'est tout.
En quarts, ce fut pire tant les 4 demi-finalistes étaient au dessus du lot. Ces 4 matchs furent beau à regarder (notamment l'Argentine et l'Espagne, auteurs d'une véritable démonstration à ce stade de la compétition) mais décevants car pliés trop vite.
Les demi furent plus serrés, Grèce-USA a été un très beau match mais on a senti dès le 3° QT que les Ricains ne pourraient rien faire... Quant à Argentine-Espagne, qui aurait dû être un feu d'artifice tant ces équipes ont proposé du beau jeu jusque là, ce fut un non match, sciemment pourri par la paire Bilos-Oberto et qui a failli dégénéré en bagarre de rue en plusieurs occasions, les espagnols n'ayant su garder leurs nerfs devant les provocations des voyous argentins.
Et ne parlons pas de la finale, brillament gagné par une superbe équipe d'Espagne, qui aurait mérité de jouer une meilleure équipe grecque. Cette Finale laisse un goût d'inachevé tant il est clair que l'un des participants n'a pas répondu présent. Je suis certain que l'euphorie de la victoire passés, les espagnols regretteront aussi d'avoir dû gagner sans opposition.
Finalement, l'un des rares matchs ayant combiné intensité tout au long du match et suspense final fut ce très sympatique France-Allemagne.
Au niveau des équipes et des joueurs, je suis très content de la victoire espagnole, qui est tout sauf une surprise quand on se souvient que la grosse majorité du roster avait gagné le titre de Champion d'Europe Junior en 1998 puis le titre de Champion du Monde de la même catégorie l'année d'après (avec Pau Gasol, Calderon, Navarro, Berni Rodriguez, Felipe Reyes, Cabezas). Il était "naturel" que cette génération arrivée à maturité 7 ans plus tard se distingue chez les grands. Il faut savoir que cette "Génération en Or" fait rêver l'Espagne, frustrée de titres senior en basket depuis toujours depuis cette époque là. De voir qu'ils ont confirmé leur potentiel et les espoirs placés en eux est quelque chose de très fort. Et les succès sont loin d'être terminés pour cette Seleccion. On a vu que les jeunes poussaient déjà derrière. Sergio Rodriguez et Rudy Fernandez, épatants de complicité -et ces alley oops à chaque match ou presque : :aime: ont 19 et 20 ans, Marc Gasol en a 19, aussi. Et plus loin, l'Espagne vient de gagner l'Euro cadet (- 16) avec dans ses rangs un prodige annoncé : Ricky Rubio, 15 ans et demi, ayant déjà une saison d'expérience en ACB (avec un temps de jeu riquiqui, of course) mais auteur d'un match titanesque en finale de cette compétition contre la Russie, accrochez vous bien (pour ceux qui sont encore là) : 51 points, 24 rebonds, 12 passes et 7 interceptions. Voilà l'oiseau :
La Grèce était sans doute plus forte qu'à Belgrade (notamment grâce au phénomène Schortsianitis, vraiment bluffant !) mais a raté le match à ne pas perdre, dommage... Je dois dire que je ne comprends pas bien les réactions de rejet lues ici car le jeu grec, jusqu'à la finale a été un véritable plaisir pour les yeux, amha.
Les USA ont fait illusion, semblant avoir retenu les leçons du passé mais ils sont retombés dans leurs travers et, surtout, sont tombés contre plus forts qu'eux.
L'Argentine a été époustouflante en huitièmes et en quarts mais m'a terriblement déçu contre l'Espagne. Le génie Gino méritait mieux que des partenaires cherchant à pourir le match, d'autant que les dits partenaires auraient pu gagner le match sur leur talent, immense. Dommage, là encore. C'est la fin d'une génération, et contrairement au basket espagnol, la relève ne vient pas... Le basket argentin, après Pékin, si tout le monde répond encore présent va retomber dans l'anonymat, qui était le sien avant le début des années 2000.
D'autres devront prendre sa place et nous en venons au tournoi de la France.
Si l'on y regarde bien, la France aurait dû gagner 2 matchs pour espèrer plus que la 5° place : l'Argentine et la Grèce. Soyons honnêtes, nous sommes loin de ces deux équipes et la présence de Parker n'aurait rien changé. Les quarts étaient donc l'objectif logique, il a été atteint. Restait à gagner un match, au moins, deux, au mieux, pour bien finir. L'avoir fait est tout à l'honneur des Bleus, d'autant qu'il faut rappeler que ces deux matchs ont été gagné sans Jeanneau (très bon au cours de ce tournoi) et donc avec la troisième rotation au poste de meneur, Bokolo, qui s'en est très bien sorti, aussi. On finit donc 3° européen, il reste du travail pour espérér maintenir voire améliorer ce rang l'an prochain en Espagne mais force est de constater que le basket français répond toujours présent en grand compétition depuis Athènes 2000 et cela fait bien plaisir. Un des enseignements de cette compétition est aussi que la réussite au haut niveau passe par la construction régulière d'équipes composés de joueurs habitués de jouer ensemble depuis les sélections jeunes. La France est sur cette voie, il faudra s'attacher à conserver l'ossature de la génération Parker, qui arrivera à maturité d'ici 2 ou 3 ans et on pourra espèrer se rapprocher du top 4 mondial, qui reste encore très innacessible car ne nous trompons, cette EdF est plus proche du huitième rang mondial que du quatrième.
La FIBA a désigné ce 5 là, comme 5 type :
Papaloukas - Ginobili - Anthony - Garbajosa - Gasol. Ce dernier ayant été élu MVP du tournoi.
Pour ma part, j'aurai plutôt choisi :
Diamantidis - Wade - Nocioni - Garbajosa - Gasol (MVP)
Mais faire un 5 est forcément frustrant (respecter les positions, récompenser les grosses équipes, etc...), voici donc mes autres joueurs coup de coeur sur cette compétition : Pepe Sanchez, Calderon, Navarro, Papaloukas, Anthony, Flo Pietrus, Scola, Nowitski, Weis, Oberto, Delfino, Turiaf, Sergio Rodriguez, Rudy ( :coucou: ), Schorsianitis, Akyol, Hammann, Battier, Wang Shipeng.
D'abord, nous avons vu vraiment trop peu de matchs ultra serrés, gagnés sur une possession lors de la deuxième phase, qui font le sel de ce sport. En huitièmes, on a eu Lituanie-Italie (mais la fin de match était vraiment très laide à voir, aucune de deux équipes ne semblant vouloir gagner, d'où cette improbable succession de lancers ratés dans la dernière minute...), Allemagne-Nigeria et c'est tout.
En quarts, ce fut pire tant les 4 demi-finalistes étaient au dessus du lot. Ces 4 matchs furent beau à regarder (notamment l'Argentine et l'Espagne, auteurs d'une véritable démonstration à ce stade de la compétition) mais décevants car pliés trop vite.
Les demi furent plus serrés, Grèce-USA a été un très beau match mais on a senti dès le 3° QT que les Ricains ne pourraient rien faire... Quant à Argentine-Espagne, qui aurait dû être un feu d'artifice tant ces équipes ont proposé du beau jeu jusque là, ce fut un non match, sciemment pourri par la paire Bilos-Oberto et qui a failli dégénéré en bagarre de rue en plusieurs occasions, les espagnols n'ayant su garder leurs nerfs devant les provocations des voyous argentins.
Et ne parlons pas de la finale, brillament gagné par une superbe équipe d'Espagne, qui aurait mérité de jouer une meilleure équipe grecque. Cette Finale laisse un goût d'inachevé tant il est clair que l'un des participants n'a pas répondu présent. Je suis certain que l'euphorie de la victoire passés, les espagnols regretteront aussi d'avoir dû gagner sans opposition.
Finalement, l'un des rares matchs ayant combiné intensité tout au long du match et suspense final fut ce très sympatique France-Allemagne.
Au niveau des équipes et des joueurs, je suis très content de la victoire espagnole, qui est tout sauf une surprise quand on se souvient que la grosse majorité du roster avait gagné le titre de Champion d'Europe Junior en 1998 puis le titre de Champion du Monde de la même catégorie l'année d'après (avec Pau Gasol, Calderon, Navarro, Berni Rodriguez, Felipe Reyes, Cabezas). Il était "naturel" que cette génération arrivée à maturité 7 ans plus tard se distingue chez les grands. Il faut savoir que cette "Génération en Or" fait rêver l'Espagne, frustrée de titres senior en basket depuis toujours depuis cette époque là. De voir qu'ils ont confirmé leur potentiel et les espoirs placés en eux est quelque chose de très fort. Et les succès sont loin d'être terminés pour cette Seleccion. On a vu que les jeunes poussaient déjà derrière. Sergio Rodriguez et Rudy Fernandez, épatants de complicité -et ces alley oops à chaque match ou presque : :aime: ont 19 et 20 ans, Marc Gasol en a 19, aussi. Et plus loin, l'Espagne vient de gagner l'Euro cadet (- 16) avec dans ses rangs un prodige annoncé : Ricky Rubio, 15 ans et demi, ayant déjà une saison d'expérience en ACB (avec un temps de jeu riquiqui, of course) mais auteur d'un match titanesque en finale de cette compétition contre la Russie, accrochez vous bien (pour ceux qui sont encore là) : 51 points, 24 rebonds, 12 passes et 7 interceptions. Voilà l'oiseau :
La Grèce était sans doute plus forte qu'à Belgrade (notamment grâce au phénomène Schortsianitis, vraiment bluffant !) mais a raté le match à ne pas perdre, dommage... Je dois dire que je ne comprends pas bien les réactions de rejet lues ici car le jeu grec, jusqu'à la finale a été un véritable plaisir pour les yeux, amha.
Les USA ont fait illusion, semblant avoir retenu les leçons du passé mais ils sont retombés dans leurs travers et, surtout, sont tombés contre plus forts qu'eux.
L'Argentine a été époustouflante en huitièmes et en quarts mais m'a terriblement déçu contre l'Espagne. Le génie Gino méritait mieux que des partenaires cherchant à pourir le match, d'autant que les dits partenaires auraient pu gagner le match sur leur talent, immense. Dommage, là encore. C'est la fin d'une génération, et contrairement au basket espagnol, la relève ne vient pas... Le basket argentin, après Pékin, si tout le monde répond encore présent va retomber dans l'anonymat, qui était le sien avant le début des années 2000.
D'autres devront prendre sa place et nous en venons au tournoi de la France.
Si l'on y regarde bien, la France aurait dû gagner 2 matchs pour espèrer plus que la 5° place : l'Argentine et la Grèce. Soyons honnêtes, nous sommes loin de ces deux équipes et la présence de Parker n'aurait rien changé. Les quarts étaient donc l'objectif logique, il a été atteint. Restait à gagner un match, au moins, deux, au mieux, pour bien finir. L'avoir fait est tout à l'honneur des Bleus, d'autant qu'il faut rappeler que ces deux matchs ont été gagné sans Jeanneau (très bon au cours de ce tournoi) et donc avec la troisième rotation au poste de meneur, Bokolo, qui s'en est très bien sorti, aussi. On finit donc 3° européen, il reste du travail pour espérér maintenir voire améliorer ce rang l'an prochain en Espagne mais force est de constater que le basket français répond toujours présent en grand compétition depuis Athènes 2000 et cela fait bien plaisir. Un des enseignements de cette compétition est aussi que la réussite au haut niveau passe par la construction régulière d'équipes composés de joueurs habitués de jouer ensemble depuis les sélections jeunes. La France est sur cette voie, il faudra s'attacher à conserver l'ossature de la génération Parker, qui arrivera à maturité d'ici 2 ou 3 ans et on pourra espèrer se rapprocher du top 4 mondial, qui reste encore très innacessible car ne nous trompons, cette EdF est plus proche du huitième rang mondial que du quatrième.
La FIBA a désigné ce 5 là, comme 5 type :
Papaloukas - Ginobili - Anthony - Garbajosa - Gasol. Ce dernier ayant été élu MVP du tournoi.
Pour ma part, j'aurai plutôt choisi :
Diamantidis - Wade - Nocioni - Garbajosa - Gasol (MVP)
Mais faire un 5 est forcément frustrant (respecter les positions, récompenser les grosses équipes, etc...), voici donc mes autres joueurs coup de coeur sur cette compétition : Pepe Sanchez, Calderon, Navarro, Papaloukas, Anthony, Flo Pietrus, Scola, Nowitski, Weis, Oberto, Delfino, Turiaf, Sergio Rodriguez, Rudy ( :coucou: ), Schorsianitis, Akyol, Hammann, Battier, Wang Shipeng.
D'autre part, je tiens à dire ici que je suis scandalisé par la façon dont Canal a traité les abonnés de Sport Plus, uniquement, dont je suis, notamment le jour des demi-finales en choissisant au dernier moment de donner les matchs sur Canal en direct et en différé sur Sport Plus, sans daigner (comme dirait Georgie :lol: ) donner l'horaire de la redif sur la chaine cablé. Du coup, j'ai passé l'après-midi à esayer d'éviter toute source d'info (en vain, je dois le dire) pour ne pas connaitre le résultat des deux matchs qui sont passés à 19h et 22h15. Alors qu'ils se disputaient à 9h30 et 12h30.
De même, il est ridicule de n'avoir diffuser le quart contre la Grèce sur Canal uniquement pour passer, en direct, le quart de Team USA sur Sport+. Cozette et Eddy se sont retenus pendant 3 QT, demandant gentiment à ceux qui souhaitaient voir le match des Bleus sur Sport+ en différé ("Il n'y pas pire que de connaitre le résultat d'un match à l'avance" dira Cozette) de couper le son pendant une itw de Bergeaud à la mi-temps du match des Ricains pour finir, par la bouche de Eddy par lâcher malencontreusement le morceau sur la fin. Tant pis pour le suspens et pour ceux qui s'apprêtaient à mater le match... :evil:
Par ailleurs, leur duo qui a commenté TOUS les matchs me sort vraiment par les narines après une semaine en leur compagnie. Ce n'est pas vraiment leur faute mais pourquoi diable leurs employeurs n'ont pas proposé une autre doublette pour les soulager sur quelques matchs. Poulain-Monclar, par exemple, est un duo bien meilleur, grâce au talent et à la connaissance du jeu bien plus grande de Monclar par rapport à Eddy. Je peux vous assurer que 8 matchs (les 8°) en 48 heures à se taper Cozette-Eddy, c'est TRES éprouvant pour les nerfs.
George Eddy n'est bon que pour ses bons mots, quand il n'insiste pas lourdement comme avec "Gasol marche au super". Je l'ai trouvé particulièrement inspiré avec les Turcs : "Il a la cote, d'Atsur" et "La raquette, c'est le jardin d'Erden" :
Heureusement que Bergeaud est venu les sauver du naufrage en Finale car ce dernier, comme Vinsanity l'a relevé, a été très bon et très juste dans ses commentaires.
De même, il est ridicule de n'avoir diffuser le quart contre la Grèce sur Canal uniquement pour passer, en direct, le quart de Team USA sur Sport+. Cozette et Eddy se sont retenus pendant 3 QT, demandant gentiment à ceux qui souhaitaient voir le match des Bleus sur Sport+ en différé ("Il n'y pas pire que de connaitre le résultat d'un match à l'avance" dira Cozette) de couper le son pendant une itw de Bergeaud à la mi-temps du match des Ricains pour finir, par la bouche de Eddy par lâcher malencontreusement le morceau sur la fin. Tant pis pour le suspens et pour ceux qui s'apprêtaient à mater le match... :evil:
Par ailleurs, leur duo qui a commenté TOUS les matchs me sort vraiment par les narines après une semaine en leur compagnie. Ce n'est pas vraiment leur faute mais pourquoi diable leurs employeurs n'ont pas proposé une autre doublette pour les soulager sur quelques matchs. Poulain-Monclar, par exemple, est un duo bien meilleur, grâce au talent et à la connaissance du jeu bien plus grande de Monclar par rapport à Eddy. Je peux vous assurer que 8 matchs (les 8°) en 48 heures à se taper Cozette-Eddy, c'est TRES éprouvant pour les nerfs.
George Eddy n'est bon que pour ses bons mots, quand il n'insiste pas lourdement comme avec "Gasol marche au super". Je l'ai trouvé particulièrement inspiré avec les Turcs : "Il a la cote, d'Atsur" et "La raquette, c'est le jardin d'Erden" :
Heureusement que Bergeaud est venu les sauver du naufrage en Finale car ce dernier, comme Vinsanity l'a relevé, a été très bon et très juste dans ses commentaires.
...
On se souvient que Marca s'était distingué avant et pendant la CdM de foot en s'imaginant déjà champion du Monde avant l'heure. On peut dire qu'ils avaient refait le coup avec leur Seleccion de baloncesto. Avec plus de bonheur ce coup-ci.
Le 26/07 :
Notez le "ñ" sur le N de NBA qui reviendra souvent pour afficher la confiance en cette équipe digne de la Grande Ligue.
"Cet été, la ÑBA arrive"
Le 15/08 :
"Nous avons l'or autour du cou" (avant même le début de la compétition).
Le 18/08 :
"Le monde s'agenouille devant la ÑBA"
Le 19/08, début de l'épreuve :
"Quelque chose de grand va se produire"
Le 21/08 :
"Ils ne savent plus comment faire pour arrêter la ÑBA"
Le 30/08 :
"Nous avons Maradona !" (:shock: )
Le 02/09 :
A mourir... d'un infarctus... puis de bonheur
Le 03/09, jour de la Finale :
Difficile à traduire : "On a déjà l'argent, l'or arrive" ?
Et le lendemain du titre :
On se souvient que Marca s'était distingué avant et pendant la CdM de foot en s'imaginant déjà champion du Monde avant l'heure. On peut dire qu'ils avaient refait le coup avec leur Seleccion de baloncesto. Avec plus de bonheur ce coup-ci.
Le 26/07 :
Notez le "ñ" sur le N de NBA qui reviendra souvent pour afficher la confiance en cette équipe digne de la Grande Ligue.
"Cet été, la ÑBA arrive"
Le 15/08 :
"Nous avons l'or autour du cou" (avant même le début de la compétition).
Le 18/08 :
"Le monde s'agenouille devant la ÑBA"
Le 19/08, début de l'épreuve :
"Quelque chose de grand va se produire"
Le 21/08 :
"Ils ne savent plus comment faire pour arrêter la ÑBA"
Le 30/08 :
"Nous avons Maradona !" (:shock: )
Le 02/09 :
A mourir... d'un infarctus... puis de bonheur
Le 03/09, jour de la Finale :
Difficile à traduire : "On a déjà l'argent, l'or arrive" ?
Et le lendemain du titre :
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ils étaient confiant mais ça se joue à rien, ils gagnent d'un point contre l'Argentine, qu'est ce que c'est un petit point? :???:jeremyy wrote:merci beaucoup karamba pour ton analyse , j'etais en espagne avant le debut du mondial et les espagnols etaient terriblement confiants dans leur selection , j'etais sceptique mais apres les avoir vu en amical
c' etait bluffant , ils sont pas tout le temps chauvin pour rien non plus :lol: :lol:
ce match ils auraient pu très bien le perdre d'un point et ça aurait été le meme fiasco pour la presse que lors de la coupe du monde de foot!
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Cela n'aura sans doute pas échapper à ceux qui suivent les clubs locaux, mais le Saint-Etienne basket vient d'enregistrer le renfort de l'arrière David Melody, qui évoluait l'an passé en Pro A au stade Clermontois.
Une bonne recrue à priori, qui devra compenser l'absence de Guillaume Pons blessé et absent au moins six mois.
A noter que le SEB joue vendredi un match amical au stadium du Bardot face aux Belges de Mons. L'équipe de Thinet devrait être pour une fois au complet.
Une bonne recrue à priori, qui devra compenser l'absence de Guillaume Pons blessé et absent au moins six mois.
A noter que le SEB joue vendredi un match amical au stadium du Bardot face aux Belges de Mons. L'équipe de Thinet devrait être pour une fois au complet.
La saison risque d'etre compliquée non?El Couramiaud wrote:Cela n'aura sans doute pas échapper à ceux qui suivent les clubs locaux, mais le Saint-Etienne basket vient d'enregistrer le renfort de l'arrière David Melody, qui évoluait l'an passé en Pro A au stade Clermontois.
Une bonne recrue à priori, qui devra compenser l'absence de Guillaume Pons blessé et absent au moins six mois.
A noter que le SEB joue vendredi un match amical au stadium du Bardot face aux Belges de Mons. L'équipe de Thinet devrait être pour une fois au complet.
"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
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Difficile à dire, le recrutement n'est pas vraiment ronflant et la préparation a été assez délicate avec de nombreuses blessures et pépins physiques en tout genre.
Maintenant, il reste tout de même quinze jours à trois semaines à Alain Thinet le coach, pour mettre au point le collectif. Les derniers résultats (large victoire à Saint-Vallier et match nul devant Vichy) inspirent un peu plus d'optimisme. L'équipe a également beaucoup plus d'allure depuis l'arrivée de David Melody. Je pense toutefois que le comportement du SEB cette saison dépendra grandement du rendement du meneur US. A noter que celui-ci sort tout juste d'université et qu'il connait sa première expérience en Europe.
Maintenant, il reste tout de même quinze jours à trois semaines à Alain Thinet le coach, pour mettre au point le collectif. Les derniers résultats (large victoire à Saint-Vallier et match nul devant Vichy) inspirent un peu plus d'optimisme. L'équipe a également beaucoup plus d'allure depuis l'arrivée de David Melody. Je pense toutefois que le comportement du SEB cette saison dépendra grandement du rendement du meneur US. A noter que celui-ci sort tout juste d'université et qu'il connait sa première expérience en Europe.
OK merciEl Couramiaud wrote:Difficile à dire, le recrutement n'est pas vraiment ronflant et la préparation a été assez délicate avec de nombreuses blessures et pépins physiques en tout genre.
Maintenant, il reste tout de même quinze jours à trois semaines à Alain Thinet le coach, pour mettre au point le collectif. Les derniers résultats (large victoire à Saint-Vallier et match nul devant Vichy) inspirent un peu plus d'optimisme. L'équipe a également beaucoup plus d'allure depuis l'arrivée de David Melody. Je pense toutefois que le comportement du SEB cette saison dépendra grandement du rendement du meneur US. A noter que celui-ci sort tout juste d'université et qu'il connait sa première expérience en Europe.
Tant que Georges est là pour tenir la baraque...
"Les succès ne justifient pas la philosophie de l’équipe... Le hasard joue un rôle immense. L'important ce ne sont pas les résultats mais le procédé et c'est sur ce procédé qu'il faut juger le travail d'un entraineur" Juanma Lillo
Nous sommes à un mois de la presaison (avec l'arrivée en Europe de Philadelphie, San Antonio, Phoenix et les Clippers) et très peu de mouvements d'importance ont été enregistrés en NBA alors que l'on pouvait s'attendre à de gros chambardements avec les envies d'ailleurs manifestés plus ou moins officiellement par Paul Pierce, Kevin Garnett au Allen Iverson. Finalement, nous n'avons pas eu grand chose à se mettre sous la dent.
L'intersaison la plus remarquable aura été pour Toronto, qui sous l'impulsion de son nouveau vice-président, Maurizio Gherardini (ex GM du Benetton Trevise), a enfin décidé de construire un roster digne de ce nom autour de Chris Bosh. Avec les arrivées de TJ Ford (qui formera un duo de meneurs redoutable avec JM Calderon), Fred Jones (en progrès ces deux dernières saisons), Anthony Parker (sans doute le meilleur joueur d'Euroleague depuis 3 saisons), Jorge Garbajosa (que l'on ne présente pas), Rasho Nesterovic et le numéro de la draft Andrea Bargnani. Au final, cela donne un roster parfaitement équilibré, très européanisé (avec pas moins de 6 joueurs ayant évolué sur le vieux continent), qui devrait atteindre sans problèmes les playoffs, et pourquoi pas, y jouer les trouble fêtes.
Autre équipe intéressante à l'Est, Chicago, qui renforce un roster déjà séduisant avec l'arrivée de Ben Wallace, élément moteur des succès de Detroit ces dernières années et qui apportera beaucoup en expérience à cette jeune équipe des Bulls. D'autant que deux vieux loups de la NBA arrivent aussi : PJ Brown et Adrian Griffin.
Les autres équipe à l'Est ont choisi la stabilité, pour le moment.
A l'Ouest, Phoenix perd Tim Thomas et Eddie House mais récupère Marcus Banks, Jumaine Jones et Eric Piatkowski. Mais les Suns espèrent surtout que Amare Stoudemire sera à 100% tout au long de la saison.
Dallas perd quelques joueurs de rotation à l'apport quelconque la saison dernière (Marquis Daniels, Adrian Griffin, Darrell Armstrong) et récupère un joueur ayant explosé en playoffs avec Indiana : Anthony Johnson + quelques autres renforts intéressants (Austin Croshere, Devean George, Greg Buckner).
Houston récupère Shane Battier, qui pourrait être une addition intéressant au duo TMac-Yao, dont on souhaite qu'il soit plus épargné par les blessures cette saison.
Les Hornets se renforcent intelligement en parvenant à récupérer par trade Peja Stokavic et Tyson Chandler.
Pour le reste, pas grand chose à signaler.
L'intersaison la plus remarquable aura été pour Toronto, qui sous l'impulsion de son nouveau vice-président, Maurizio Gherardini (ex GM du Benetton Trevise), a enfin décidé de construire un roster digne de ce nom autour de Chris Bosh. Avec les arrivées de TJ Ford (qui formera un duo de meneurs redoutable avec JM Calderon), Fred Jones (en progrès ces deux dernières saisons), Anthony Parker (sans doute le meilleur joueur d'Euroleague depuis 3 saisons), Jorge Garbajosa (que l'on ne présente pas), Rasho Nesterovic et le numéro de la draft Andrea Bargnani. Au final, cela donne un roster parfaitement équilibré, très européanisé (avec pas moins de 6 joueurs ayant évolué sur le vieux continent), qui devrait atteindre sans problèmes les playoffs, et pourquoi pas, y jouer les trouble fêtes.
Autre équipe intéressante à l'Est, Chicago, qui renforce un roster déjà séduisant avec l'arrivée de Ben Wallace, élément moteur des succès de Detroit ces dernières années et qui apportera beaucoup en expérience à cette jeune équipe des Bulls. D'autant que deux vieux loups de la NBA arrivent aussi : PJ Brown et Adrian Griffin.
Les autres équipe à l'Est ont choisi la stabilité, pour le moment.
A l'Ouest, Phoenix perd Tim Thomas et Eddie House mais récupère Marcus Banks, Jumaine Jones et Eric Piatkowski. Mais les Suns espèrent surtout que Amare Stoudemire sera à 100% tout au long de la saison.
Dallas perd quelques joueurs de rotation à l'apport quelconque la saison dernière (Marquis Daniels, Adrian Griffin, Darrell Armstrong) et récupère un joueur ayant explosé en playoffs avec Indiana : Anthony Johnson + quelques autres renforts intéressants (Austin Croshere, Devean George, Greg Buckner).
Houston récupère Shane Battier, qui pourrait être une addition intéressant au duo TMac-Yao, dont on souhaite qu'il soit plus épargné par les blessures cette saison.
Les Hornets se renforcent intelligement en parvenant à récupérer par trade Peja Stokavic et Tyson Chandler.
Pour le reste, pas grand chose à signaler.
Concernant les français :
A San Antonio, Tony Parker reste sans rival sur le poste 1. Nick Van Exel est parti, Jacque Vaughn le remplace. C'est à priori moins fort. Beno Udrih sera l'autre backup de TP. Il aura donc plus que jamais les clés de la maison Spurs, après son éblouissante saison dernière, il lui faudra confirmer et espérer que Tim Duncan et Manu Ginobili soient en meilleure forme que l'an dernier pour viser une troisième bague.
A Phoenix, Boris Diaw sera autant attendu par ses fans que par ses adversaires après son impeccable saison et son titre de MIP. Un titre qui n'est pas toujours facile à porter pour celui qui l'emporte. Le retour de Stoudemire va forcément redistribuer les cartes. Boris jouera-t-il les sixièmes hommes de luxe en relais de Shawn Marion et Amare ? Ou bien sera-t-il titularisé à l'intérieur avec STAT ? A voir.
A Golden State, Mike Pietrus était en difficultés la saison dernière. L'équipe n'a pas changé et il devrait logiquement débuter sur le banc, derrière Jason Richardson et Mike Dunleavy. La bonne nouvelle, pour lui, est que Mike Montgomery qui ne lui faisait plus confiance du tout sur la fin est parti. Il est remplacé par Don Nelson, back in business. Souhaitons que ce changement de coach lui permette de retrouver la confiance qui semble lui faire défaut depuis le début de l'année 2006, comme on s'en est encore rendu compte au mondial. Notons qu'il sera free agent en fin de saison et qu'il a donc tout intérêt à briller s'il ne veut pas se retrouver le bec dans l'eau en fin de saison.
A Seattle, Johan Petro devrait être le pivot titulaire. Aucune grosse recrue n'est venu pour le menacer, signe que les Sonics sont contents de lui. Il devrait partager les minutes avec le rookie sénégalais Mouhamed Sene, surprise de la draft et des Summer Leagues.
Mike Gelabale arrive. Ray Allen et Rashard Lewis semblent intouchables à leurs postes mais le banc est faible derrière eux. Gelabale aura sa chance, à lui de la saisir, comme Petro l'a fait l'an dernier, du reste.
Aux Lakers, Ronny Turiaf pourrait faire les frais de l'arrivée de Vladimir Radmanovic qui risque de décaler durablement Lamar Odom au poste 4. Ronny sera en concurrence avec Brian Cook pour piquer des minutes derrière Odom.
Enfin, à Denver, Yakhouba Diawara, dernier frenchie intégré à la NBA aura fort à faire puisqu'il sera sans doute la troisième rotation au poste 3 derrière Carmelo Anthony, qui devrait jouer encore plus que la saison dernière et Eduardo Najera. Il y a du boulot pour espérer gagner du temps de jeu mais le Yak est un homme de défi et la concurrence ne l'a jamais effrayé.
A San Antonio, Tony Parker reste sans rival sur le poste 1. Nick Van Exel est parti, Jacque Vaughn le remplace. C'est à priori moins fort. Beno Udrih sera l'autre backup de TP. Il aura donc plus que jamais les clés de la maison Spurs, après son éblouissante saison dernière, il lui faudra confirmer et espérer que Tim Duncan et Manu Ginobili soient en meilleure forme que l'an dernier pour viser une troisième bague.
A Phoenix, Boris Diaw sera autant attendu par ses fans que par ses adversaires après son impeccable saison et son titre de MIP. Un titre qui n'est pas toujours facile à porter pour celui qui l'emporte. Le retour de Stoudemire va forcément redistribuer les cartes. Boris jouera-t-il les sixièmes hommes de luxe en relais de Shawn Marion et Amare ? Ou bien sera-t-il titularisé à l'intérieur avec STAT ? A voir.
A Golden State, Mike Pietrus était en difficultés la saison dernière. L'équipe n'a pas changé et il devrait logiquement débuter sur le banc, derrière Jason Richardson et Mike Dunleavy. La bonne nouvelle, pour lui, est que Mike Montgomery qui ne lui faisait plus confiance du tout sur la fin est parti. Il est remplacé par Don Nelson, back in business. Souhaitons que ce changement de coach lui permette de retrouver la confiance qui semble lui faire défaut depuis le début de l'année 2006, comme on s'en est encore rendu compte au mondial. Notons qu'il sera free agent en fin de saison et qu'il a donc tout intérêt à briller s'il ne veut pas se retrouver le bec dans l'eau en fin de saison.
A Seattle, Johan Petro devrait être le pivot titulaire. Aucune grosse recrue n'est venu pour le menacer, signe que les Sonics sont contents de lui. Il devrait partager les minutes avec le rookie sénégalais Mouhamed Sene, surprise de la draft et des Summer Leagues.
Mike Gelabale arrive. Ray Allen et Rashard Lewis semblent intouchables à leurs postes mais le banc est faible derrière eux. Gelabale aura sa chance, à lui de la saisir, comme Petro l'a fait l'an dernier, du reste.
Aux Lakers, Ronny Turiaf pourrait faire les frais de l'arrivée de Vladimir Radmanovic qui risque de décaler durablement Lamar Odom au poste 4. Ronny sera en concurrence avec Brian Cook pour piquer des minutes derrière Odom.
Enfin, à Denver, Yakhouba Diawara, dernier frenchie intégré à la NBA aura fort à faire puisqu'il sera sans doute la troisième rotation au poste 3 derrière Carmelo Anthony, qui devrait jouer encore plus que la saison dernière et Eduardo Najera. Il y a du boulot pour espérer gagner du temps de jeu mais le Yak est un homme de défi et la concurrence ne l'a jamais effrayé.
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Merci Karamba pour ces précieuses analyses de début de saison très complètes.
C'est bien, car tu prend des risques en annonçant d'entrée Toronto en playoffs, mais pourquoi pas.
Quel est t'on avis (éclairé) sur les chances des Celtics cette année? Ceux-ci ne sont pas parvenu à attirer Iverson et P Pierce risque de se retrouver une fois encore bien seul. Cela même si la franchise du Massachussets possède quelques bons jeunes.
C'est bien, car tu prend des risques en annonçant d'entrée Toronto en playoffs, mais pourquoi pas.
Quel est t'on avis (éclairé) sur les chances des Celtics cette année? Ceux-ci ne sont pas parvenu à attirer Iverson et P Pierce risque de se retrouver une fois encore bien seul. Cela même si la franchise du Massachussets possède quelques bons jeunes.
Rien n'a vraiment changé à Boston depuis la saison dernière. Il y a eu un trade avec Portland envoyant Raef Lafrentz + Dan Dickau dans l'Oregon contre Sebastian Telfair (le cousin de Marbury, rookie attendu mais décevant l'an dernier) et Theo Ratliff, vieux pivot pachydermique en fin de carrière mais qui devrait être titulaire tout de même à Boston...
Après le groupe est très jeune, effectivement. Je ne sais pas ce que valent les rookies (le lottery pick a été cedé à Portland, aussi) et le jeune Allan Ray (et non pas Ray Allen...), recruté sans être drafté.
En fait, Boston semble parti pour une saison bien galère mais décisive pour l'avenir de la franchise. Si les jeunes surprenent autour de Paul Pierce, peut-être que l'effectif pourra être renforcé dans les prochaines années... Sinon, j'ai peur que les Celtics ne reviennent pas au sommet avant longtemps.
Sinon, entrée ce vendredi au Hall of Fame de Charles Barkley, Dominique Wilkins et Joe Dumars.
Après le groupe est très jeune, effectivement. Je ne sais pas ce que valent les rookies (le lottery pick a été cedé à Portland, aussi) et le jeune Allan Ray (et non pas Ray Allen...), recruté sans être drafté.
En fait, Boston semble parti pour une saison bien galère mais décisive pour l'avenir de la franchise. Si les jeunes surprenent autour de Paul Pierce, peut-être que l'effectif pourra être renforcé dans les prochaines années... Sinon, j'ai peur que les Celtics ne reviennent pas au sommet avant longtemps.
Sinon, entrée ce vendredi au Hall of Fame de Charles Barkley, Dominique Wilkins et Joe Dumars.
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Celui-ci annonçant à cette occasion son intention de se présenter aux élections pour devenir Gouverneur d'Alabama, un état qu'il juge relativement raciste au niveau administratif... Seul hic, il faut y habiter depuis 7 ans, ce qui laisse un peu de temps libre à tout le monde pour l'observer et le mettre en pièces si nécessaire [leçon Schwarzie I : comment emporter un état en 3 mois ]Karamba wrote:Rien n'a vraiment changé à Boston depuis la saison dernière. Il y a eu un trade avec Portland envoyant Raef Lafrentz + Dan Dickau dans l'Oregon contre Sebastian Telfair (le cousin de Marbury, rookie attendu mais décevant l'an dernier) et Theo Ratliff, vieux pivot pachydermique en fin de carrière mais qui devrait être titulaire tout de même à Boston...
Après le groupe est très jeune, effectivement. Je ne sais pas ce que valent les rookies (le lottery pick a été cedé à Portland, aussi) et le jeune Allan Ray (et non pas Ray Allen...), recruté sans être drafté.
En fait, Boston semble parti pour une saison bien galère mais décisive pour l'avenir de la franchise. Si les jeunes surprenent autour de Paul Pierce, peut-être que l'effectif pourra être renforcé dans les prochaines années... Sinon, j'ai peur que les Celtics ne reviennent pas au sommet avant longtemps.
Sinon, entrée ce vendredi au Hall of Fame de Charles Barkley, Dominique Wilkins et Joe Dumars.
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Ils ont toutes les chances de ne pas faire les Playoffs :lol:El Couramiaud wrote:Merci Karamba pour ces précieuses analyses de début de saison très complètes.
C'est bien, car tu prend des risques en annonçant d'entrée Toronto en playoffs, mais pourquoi pas.
Quel est t'on avis (éclairé) sur les chances des Celtics cette année? Ceux-ci ne sont pas parvenu à attirer Iverson et P Pierce risque de se retrouver une fois encore bien seul. Cela même si la franchise du Massachussets possède quelques bons jeunes.
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Il est temps de parler des filles !
Les Championnats du Monde débutent demain au Brésil. La France a été placé dans le groupe D en compagnie de la République Tchèque, de Taïwan et de Cuba. Les autres groupes sont ainsi composés : Groupe A = Corée du Sud, Espagne, Argentine, Brésil. Groupe B = Lituanie, Australie, Senegal, Canada. Groupe C = Russie, Nigeria, Etats-Unis, Chine.
Les trois premiers se qualifient pour la seconde phase qui verra les 12 équipes encore en course partagés en 2 groupes de 6. De là, les 4 premiers se qualifieront pour les 1/4 de finales pour un tournoi classique à partir de ce stade.
Les françaises sélectionnées sont :
Arrières :
Clémence Beikes (Cavigal Nice)
Celine Dumerc (Bourges Basket)
Emilie Gomis (ESB Villeneuve d'Ascq)
Audrey Sauret-Gillespie (Ekaterinbourg, RUS)
Ailières :
Krissy Bade (USO Mondeville)
Emmanuelle Hermouet (US Valenciennes Olympic)
Sandra Le Drean (US Valenciennes Olympic)
Intérieures :
Sandra Dijon (CB Puig d'en Valls, ESP)
Elodie Godin (Bourges Basket)
Sandrine Gruda (US Valenciennes Olympic)
Nathalie Lesdema (Samara, RUS)
Emmeline Ndongue (Pays d'Aix Basket)
Les résultats de préparation ont été bons puisques ces jeunes filles ont signé 9 victoires en 11 matchs. Voici le détail :
France 93-79 Chine
France 81-83 Chine
France 77-74 Chine
Russie 58-71 France
Russie 72-53 France
France 90-36 Senegal
France 82-60 Belgique
France 82-66 Espagne
France 70-56 Lituanie
France 72-51 Lituanie
France 66-58 Lituanie
Le tournoi des Bleues débute demain à 18 heures (heure française) contre la République Tchèque. Les principales équipes favorites pour le titre sont le Brésil et l'Australie. La France semble pouvoir viser les demi-finale.
Les Championnats du Monde débutent demain au Brésil. La France a été placé dans le groupe D en compagnie de la République Tchèque, de Taïwan et de Cuba. Les autres groupes sont ainsi composés : Groupe A = Corée du Sud, Espagne, Argentine, Brésil. Groupe B = Lituanie, Australie, Senegal, Canada. Groupe C = Russie, Nigeria, Etats-Unis, Chine.
Les trois premiers se qualifient pour la seconde phase qui verra les 12 équipes encore en course partagés en 2 groupes de 6. De là, les 4 premiers se qualifieront pour les 1/4 de finales pour un tournoi classique à partir de ce stade.
Les françaises sélectionnées sont :
Arrières :
Clémence Beikes (Cavigal Nice)
Celine Dumerc (Bourges Basket)
Emilie Gomis (ESB Villeneuve d'Ascq)
Audrey Sauret-Gillespie (Ekaterinbourg, RUS)
Ailières :
Krissy Bade (USO Mondeville)
Emmanuelle Hermouet (US Valenciennes Olympic)
Sandra Le Drean (US Valenciennes Olympic)
Intérieures :
Sandra Dijon (CB Puig d'en Valls, ESP)
Elodie Godin (Bourges Basket)
Sandrine Gruda (US Valenciennes Olympic)
Nathalie Lesdema (Samara, RUS)
Emmeline Ndongue (Pays d'Aix Basket)
Les résultats de préparation ont été bons puisques ces jeunes filles ont signé 9 victoires en 11 matchs. Voici le détail :
France 93-79 Chine
France 81-83 Chine
France 77-74 Chine
Russie 58-71 France
Russie 72-53 France
France 90-36 Senegal
France 82-60 Belgique
France 82-66 Espagne
France 70-56 Lituanie
France 72-51 Lituanie
France 66-58 Lituanie
Le tournoi des Bleues débute demain à 18 heures (heure française) contre la République Tchèque. Les principales équipes favorites pour le titre sont le Brésil et l'Australie. La France semble pouvoir viser les demi-finale.
Un exploit pour débuter
La France a débuté son Mondial 2006 par un match de très haut niveau face aux Championnes d’Europe en titre, la République Tchèque. Au coude à coude pendant toute la rencontre, la France
doit attendre les ultimes seconde de la rencontre pour enfin sceller son succès (62-58). Demain, la France jouera contre la méconnue équipe de Taïwan.
Le Championnat du Monde féminin est lancé, et même bien lancé pour les Tricolores à l’image de leur début de match lors du match d’ouverture face à la République Tchéque. Dans le sillage d’une Sandra Le Dréan, redoutable à trois-points (2/2), la France mène déjà 6 à 0 après 1’30. mais le réveil des Tchèques allait coïncider avec le premier panier d’Eva Viteckova après quatre minutes de jeu. L’ailière tchèque aligne alors les paniers primés et donnent pour la première fois de la rencontre l’avantage à son équipe (9-11, 4’50).
Le jeu se durci, les deux équipes sont agressives mais la réussite semble avoir choisi son camps. Les Tchèques à l’image de Jana Vesela profite de leurs centimètres supplémentaires pour faire la différence (21-28, 13’). Toujours très appliquées en défense les Bleues recollent au score en stoppant littéralement l’efficacité offensive des joueuses de Jan Bobrovsky. Ces dernières n’ont inscrit que deux points en près de cinq minutes (29-30, 20’).
De retour sur le parquet, Emilie Gomis et ses partenaires poursuivent leurs efforts et ça paye, les Bleues comptent jusqu’à huit points d’avance (40-32). L’avance des joueuses françaises fond rapidement (40-38, 25’). Et c’est une nouvelle fois Hana Machova qui redonne l’avantage à son équipe (44-47, 29’).
Dans l’ultime acte, les deux équipes semblent marquer le pas, les balles perdues se font plus nombreuses. Les deux équipes se neutralisent les Tchèques ont d'abord l'avantage, 50-52, 35’, puis les Françaises (55-54, 37'). La fin de match est y respirable, un trois-points et un lancer d'Audrey Sauret-Gillespie donnent enfin un peu d'air aux Françaises (60-58, 40'). Une balle gagnée par Emilie Gomis conclu le succès tricolore (62-58).
Sur place à Barueri, Sylvain Bourdois Chupin (FFBB)
La France a débuté son Mondial 2006 par un match de très haut niveau face aux Championnes d’Europe en titre, la République Tchèque. Au coude à coude pendant toute la rencontre, la France
doit attendre les ultimes seconde de la rencontre pour enfin sceller son succès (62-58). Demain, la France jouera contre la méconnue équipe de Taïwan.
Le Championnat du Monde féminin est lancé, et même bien lancé pour les Tricolores à l’image de leur début de match lors du match d’ouverture face à la République Tchéque. Dans le sillage d’une Sandra Le Dréan, redoutable à trois-points (2/2), la France mène déjà 6 à 0 après 1’30. mais le réveil des Tchèques allait coïncider avec le premier panier d’Eva Viteckova après quatre minutes de jeu. L’ailière tchèque aligne alors les paniers primés et donnent pour la première fois de la rencontre l’avantage à son équipe (9-11, 4’50).
Le jeu se durci, les deux équipes sont agressives mais la réussite semble avoir choisi son camps. Les Tchèques à l’image de Jana Vesela profite de leurs centimètres supplémentaires pour faire la différence (21-28, 13’). Toujours très appliquées en défense les Bleues recollent au score en stoppant littéralement l’efficacité offensive des joueuses de Jan Bobrovsky. Ces dernières n’ont inscrit que deux points en près de cinq minutes (29-30, 20’).
De retour sur le parquet, Emilie Gomis et ses partenaires poursuivent leurs efforts et ça paye, les Bleues comptent jusqu’à huit points d’avance (40-32). L’avance des joueuses françaises fond rapidement (40-38, 25’). Et c’est une nouvelle fois Hana Machova qui redonne l’avantage à son équipe (44-47, 29’).
Dans l’ultime acte, les deux équipes semblent marquer le pas, les balles perdues se font plus nombreuses. Les deux équipes se neutralisent les Tchèques ont d'abord l'avantage, 50-52, 35’, puis les Françaises (55-54, 37'). La fin de match est y respirable, un trois-points et un lancer d'Audrey Sauret-Gillespie donnent enfin un peu d'air aux Françaises (60-58, 40'). Une balle gagnée par Emilie Gomis conclu le succès tricolore (62-58).
Sur place à Barueri, Sylvain Bourdois Chupin (FFBB)
Kukoc thinks he's finished
Toni Kukoc would have played another season in the National Basketball Association, but only on his terms.
He didn't want to move his family from Highland Park, Ill., so when neither the Milwaukee Bucks nor the Chicago Bulls expressed interest in signing him, he decided to end his career.
"It looks like I'm done," Kukoc said Monday after playing in the Skip Kendall Charity Pro-Am Fore Kids at Tripoli Country Club. "There are teams that want me, but I don't want to go far from home."
Kukoc, a 6-foot-11 forward, played 13 seasons in the NBA, including six-plus years with the Bulls and the last four with the Bucks.
"My choice was either Chicago or Milwaukee," he said. "Milwaukee is going with a young team and Chicago is in need of a big guy, so that's it."
The versatile Kukoc, a crowd favorite at the Bradley Center, played in 65 games last season and averaged 4.9 points, 2.3 rebounds and 2.1 assists. Though he played increasingly fewer minutes in recent years, he was valued for his outside shooting, passing ability and leadership qualities.
Kukoc, who turns 38 on Monday, said he wasn't sad about leaving the game.
"No, not at all," he said. "I think it's time for me to move away from basketball. It was a huge part of my life and gave me pretty much everything I desired but there comes a time when you just can't take it anymore.
"I can still play 10, 15, 20 minutes, maybe, but I don't need it anymore. I always felt like I needed to play basketball. Right now, it's not my most desirable thing anymore. I'd rather play golf."
A native of Croatia, Kukoc was a three-time European player of the year and helped both Yugoslavia (1988) and Croatia (1992) win silver medals in the Olympic Games before signing with the Chicago Bulls in 1993.
He played six full seasons and part of a seventh with the Bulls and teamed with Michael Jordan and Scottie Pippen to win three consecutive NBA titles from 1995-'96 to 1997-'98.
The Bulls traded him to the Philadelphia 76ers midway through the 1999-2000 season and the 76ers traded him to Atlanta the next year.
On Aug. 2, 2002, the Bucks obtained Kukoc, Leon Smith and a 2003 first-round draft pick from the Hawks for forward Glenn Robinson.
Over his 13 NBA seasons, Kukoc averaged 11.6 points, 4.2 rebounds and 3.7 assists. He won the NBA's sixth-man award after the 1995-'96 season and averaged a career-high 18.8 points in 1998-'99.
Kukoc said he had a 7 handicap in golf and was looking forward to spending time working on his game.
"I think it's the best game ever invented," he said. "I'm actually mad at my dad that he didn't get me involved in golf, but we didn't have golf back then."
Source : Milwaukee Journal Sentinel
La probable fin de carrière de l'un des plus grands joueurs européens de l'histoire. 3 fois Champion d'Europe avec Split (1989, 1990, 1991) pour autant de titres de MVP européen, 3 fois Champion NBA avec les Bulls de Jordan (1996, 1997, 1998), Meilleur 6° homme (1996) et surrtout l'un des premier joueur européen à avoir eu un impact en NBA. Il aura ouvert beaucoup de portes Outre Atlantique.
Et pour les fans de basket français, son nom restera à jamais associé à celui de Fred Forte quand il perdit une balle décisive lors de la dernière possession de la finale du Championnat d'Europe des Clubs 1993 remporté par Limoges devant Trévise.
Toni Kukoc would have played another season in the National Basketball Association, but only on his terms.
He didn't want to move his family from Highland Park, Ill., so when neither the Milwaukee Bucks nor the Chicago Bulls expressed interest in signing him, he decided to end his career.
"It looks like I'm done," Kukoc said Monday after playing in the Skip Kendall Charity Pro-Am Fore Kids at Tripoli Country Club. "There are teams that want me, but I don't want to go far from home."
Kukoc, a 6-foot-11 forward, played 13 seasons in the NBA, including six-plus years with the Bulls and the last four with the Bucks.
"My choice was either Chicago or Milwaukee," he said. "Milwaukee is going with a young team and Chicago is in need of a big guy, so that's it."
The versatile Kukoc, a crowd favorite at the Bradley Center, played in 65 games last season and averaged 4.9 points, 2.3 rebounds and 2.1 assists. Though he played increasingly fewer minutes in recent years, he was valued for his outside shooting, passing ability and leadership qualities.
Kukoc, who turns 38 on Monday, said he wasn't sad about leaving the game.
"No, not at all," he said. "I think it's time for me to move away from basketball. It was a huge part of my life and gave me pretty much everything I desired but there comes a time when you just can't take it anymore.
"I can still play 10, 15, 20 minutes, maybe, but I don't need it anymore. I always felt like I needed to play basketball. Right now, it's not my most desirable thing anymore. I'd rather play golf."
A native of Croatia, Kukoc was a three-time European player of the year and helped both Yugoslavia (1988) and Croatia (1992) win silver medals in the Olympic Games before signing with the Chicago Bulls in 1993.
He played six full seasons and part of a seventh with the Bulls and teamed with Michael Jordan and Scottie Pippen to win three consecutive NBA titles from 1995-'96 to 1997-'98.
The Bulls traded him to the Philadelphia 76ers midway through the 1999-2000 season and the 76ers traded him to Atlanta the next year.
On Aug. 2, 2002, the Bucks obtained Kukoc, Leon Smith and a 2003 first-round draft pick from the Hawks for forward Glenn Robinson.
Over his 13 NBA seasons, Kukoc averaged 11.6 points, 4.2 rebounds and 3.7 assists. He won the NBA's sixth-man award after the 1995-'96 season and averaged a career-high 18.8 points in 1998-'99.
Kukoc said he had a 7 handicap in golf and was looking forward to spending time working on his game.
"I think it's the best game ever invented," he said. "I'm actually mad at my dad that he didn't get me involved in golf, but we didn't have golf back then."
Source : Milwaukee Journal Sentinel
La probable fin de carrière de l'un des plus grands joueurs européens de l'histoire. 3 fois Champion d'Europe avec Split (1989, 1990, 1991) pour autant de titres de MVP européen, 3 fois Champion NBA avec les Bulls de Jordan (1996, 1997, 1998), Meilleur 6° homme (1996) et surrtout l'un des premier joueur européen à avoir eu un impact en NBA. Il aura ouvert beaucoup de portes Outre Atlantique.
Et pour les fans de basket français, son nom restera à jamais associé à celui de Fred Forte quand il perdit une balle décisive lors de la dernière possession de la finale du Championnat d'Europe des Clubs 1993 remporté par Limoges devant Trévise.
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Son nom me disait quelque chose effectivement.Karamba wrote:Kukoc thinks he's finished
Toni Kukoc would have played another season in the National Basketball Association, but only on his terms.
He didn't want to move his family from Highland Park, Ill., so when neither the Milwaukee Bucks nor the Chicago Bulls expressed interest in signing him, he decided to end his career.
"It looks like I'm done," Kukoc said Monday after playing in the Skip Kendall Charity Pro-Am Fore Kids at Tripoli Country Club. "There are teams that want me, but I don't want to go far from home."
Kukoc, a 6-foot-11 forward, played 13 seasons in the NBA, including six-plus years with the Bulls and the last four with the Bucks.
"My choice was either Chicago or Milwaukee," he said. "Milwaukee is going with a young team and Chicago is in need of a big guy, so that's it."
The versatile Kukoc, a crowd favorite at the Bradley Center, played in 65 games last season and averaged 4.9 points, 2.3 rebounds and 2.1 assists. Though he played increasingly fewer minutes in recent years, he was valued for his outside shooting, passing ability and leadership qualities.
Kukoc, who turns 38 on Monday, said he wasn't sad about leaving the game.
"No, not at all," he said. "I think it's time for me to move away from basketball. It was a huge part of my life and gave me pretty much everything I desired but there comes a time when you just can't take it anymore.
"I can still play 10, 15, 20 minutes, maybe, but I don't need it anymore. I always felt like I needed to play basketball. Right now, it's not my most desirable thing anymore. I'd rather play golf."
A native of Croatia, Kukoc was a three-time European player of the year and helped both Yugoslavia (1988) and Croatia (1992) win silver medals in the Olympic Games before signing with the Chicago Bulls in 1993.
He played six full seasons and part of a seventh with the Bulls and teamed with Michael Jordan and Scottie Pippen to win three consecutive NBA titles from 1995-'96 to 1997-'98.
The Bulls traded him to the Philadelphia 76ers midway through the 1999-2000 season and the 76ers traded him to Atlanta the next year.
On Aug. 2, 2002, the Bucks obtained Kukoc, Leon Smith and a 2003 first-round draft pick from the Hawks for forward Glenn Robinson.
Over his 13 NBA seasons, Kukoc averaged 11.6 points, 4.2 rebounds and 3.7 assists. He won the NBA's sixth-man award after the 1995-'96 season and averaged a career-high 18.8 points in 1998-'99.
Kukoc said he had a 7 handicap in golf and was looking forward to spending time working on his game.
"I think it's the best game ever invented," he said. "I'm actually mad at my dad that he didn't get me involved in golf, but we didn't have golf back then."
Source : Milwaukee Journal Sentinel
La probable fin de carrière de l'un des plus grands joueurs européens de l'histoire. 3 fois Champion d'Europe avec Split (1989, 1990, 1991) pour autant de titres de MVP européen, 3 fois Champion NBA avec les Bulls de Jordan (1996, 1997, 1998), Meilleur 6° homme (1996) et surrtout l'un des premier joueur européen à avoir eu un impact en NBA. Il aura ouvert beaucoup de portes Outre Atlantique.
Et pour les fans de basket français, son nom restera à jamais associé à celui de Fred Forte quand il perdit une balle décisive lors de la dernière possession de la finale du Championnat d'Europe des Clubs 1993 remporté par Limoges devant Trévise.
"Soyez résolus et si vous ne décidez pas de servir vous serez libres!" Etienne de la Boétie
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Etant donné l'état d'esprit de Ronny, je suis persuadé que Phil Jackson lui offrira un temps de jeu bien supérieur à l'an dernier.Karamba wrote:Concernant les français :
Aux Lakers, Ronny Turiaf pourrait faire les frais de l'arrivée de Vladimir Radmanovic qui risque de décaler durablement Lamar Odom au poste 4. Ronny sera en concurrence avec Brian Cook pour piquer des minutes derrière Odom.
Enfin, à Denver, Yakhouba Diawara, dernier frenchie intégré à la NBA aura fort à faire puisqu'il sera sans doute la troisième rotation au poste 3 derrière Carmelo Anthony, qui devrait jouer encore plus que la saison dernière et Eduardo Najera. Il y a du boulot pour espérer gagner du temps de jeu mais le Yak est un homme de défi et la concurrence ne l'a jamais effrayé.
Concernant Yakouba Diawara, il a fortement impressionné les dirigeants de Denver et nul doute qu'il supplantera rapidement Najera que je ne trouve personnellement pas très performant!!!
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.