[Basket] Reprise saison NBA
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Espagne 75 Argentine 74
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
:lol:
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
:lol:
Who ate all the pies?
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:shock: :shock: sérieu? :arrow:Dissident wrote:Espagne 75 Argentine 74
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
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On récupère Bilos, enfin.saianasse wrote::shock: :shock: sérieu? :arrow:Dissident wrote:Espagne 75 Argentine 74
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
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"Soyez résolus et si vous ne décidez pas de servir vous serez libres!" Etienne de la Boétie
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Là je suis complètement largué.... :???:Dissident wrote:Espagne 75 Argentine 74
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
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"On peut rigoler de tout, mais ça dépend avec qui....". P. Desproges
"Prouver que j'ai raison serait accorder que je puis avoir tort......", ça c'est de moi.
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No problemo pour la traduc. En gros après une bonne sieste, les espagnols mettent le turbo par le biais de Gasol qui est un super.Gone's Guignol wrote:Là je suis complètement largué.... :???:Dissident wrote:Espagne 75 Argentine 74
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
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Quand l'Europe donne la leçon
Tremblement de terre à Saitama, au Japon, où la Grèce, sans le moindre joueur label NBA au sein de son effectif, a mis KO les Etats-Unis et sa ribambelle de stars (101-95). L'opposition de styles entre la vieille Europe et les individualités made in USA a nettement tourné à l'avantage d'Hellènes au sommet de leur art et qualifiés pour une finale du Mondial monopolisée par le vieux continent. L'Argentine, championne olympique, a en effet subi la loi de l'Espagne (75-74) au terme d'un duel ultra-serré et physique.
Les affiches ne mentaient pas! Dire que le spectacle a été au rendez-vous des demi-finales des Championnats du monde est un euphémisme. Grecs et Espagnols, promis aux affres de l'élimination aux portes du sacre suprême, ont tenu bon. Mieux, ils ont fait honneur au basket du Vieux Continent comme rarement par le passé. Jamais depuis la première édition de la quête du Graal, en 1950, l'ultime rencontre d'un Mondial n'avait en effet opposé deux nations européennes autres que les anciens blocs soviétique et yougoslave. Alors si le goût de l'exploit est en sus agrémenté du fumet de l'inédit, la qualité du met n'est plus à prouver.
Faciles face à l'équipe de France en quart de finale, les Grecs incarnaient probablement le premier véritable test d'un Team USA en quête de rachat après les deux cuisantes déconvenues internationales essuyées au Mondial 2002 et aux Jeux Olympiques 2004. Dominateurs au rebond, davantage présents physiquement, les Etats-Unis ont d'abord cru détenir la clef de leur rédemption sur le parquet de Saitama. A 20-14 en faveur des Américains au terme du premier quart-temps, rien ne laissait présager l'enrayement de la machine estampillée NBA.
Europe-Amériques: 2-0
Et pourtant, emmenés par un Papaloukas d'humeur mutine (8 points, 5 rebonds, 12 passes décisives), les champions d'Europe ont su faire parler leur collectif sans faille pour infliger aux héritiers de la Dream Team un 22-5 ahurissant dans le troisième quart-temps - le tout en l'espace de sept minutes seulement (67-53). Un écart rédhibitoire pour les hommes de "Coach K" en dépit de la charge claironnée par Carmelo Anthony (27 points) et d'une certaine habileté retrouvée au shoot à trois points dans les dernières minutes du match. Quatre ans après leur humiliation domestique à Indianapolis (6e), les Etats-Unis tombent à nouveau avec fracas du toit du monde et la NBA - championnat référence aux yeux du monde entier - encaisse une nouvelle salve de plomb dans l'aile.
A contrario, les abonnés à l'Euroligue sortent grandis de l'expérience nippone. A l'image des Grecs certes, mais également des Espagnols, tombeurs de l'Argentine au bout du suspense dans l'autre demi-finale de ces championnats du monde (75-74). La rencontre entre les deux formations hispaniques promettait d'être chaude, elle aura été bouillante, spectaculaire à souhait et baignée d'une tension extrême. A l'instar des Américains, les Argentins ont rapidement pris l'initiative du jeu (13-2 après trois minutes) avant de sombrer inexorablement face à l'audace collective des Ibères.
En bons chefs de meute, Pau Gasol - le pivot de Memphis - ainsi que Jorge Garbajosa - futur pensionnaire de NBA au sein de la franchise de Toronto - 38 points à eux deux, ont renversé la sélection albiceleste de Manu Ginobili (21 points) en insufflant maîtrise et sang froid à leurs partenaires dans les instants clefs de la confrontation. Invaincue en 2006, l'Espagne signe à cette occasion sa 17e victoire de rang. Une impressionnante série dont ne manqueront certainement pas de se souvenir les hommes d'Hernandez à l'heure d'aborder le match le plus important de l'histoire du basket ibérique depuis 1984 et la finale olympique perdue à Los Angeles devant les Etats-Unis.
www.sports.fr
Tremblement de terre à Saitama, au Japon, où la Grèce, sans le moindre joueur label NBA au sein de son effectif, a mis KO les Etats-Unis et sa ribambelle de stars (101-95). L'opposition de styles entre la vieille Europe et les individualités made in USA a nettement tourné à l'avantage d'Hellènes au sommet de leur art et qualifiés pour une finale du Mondial monopolisée par le vieux continent. L'Argentine, championne olympique, a en effet subi la loi de l'Espagne (75-74) au terme d'un duel ultra-serré et physique.
Les affiches ne mentaient pas! Dire que le spectacle a été au rendez-vous des demi-finales des Championnats du monde est un euphémisme. Grecs et Espagnols, promis aux affres de l'élimination aux portes du sacre suprême, ont tenu bon. Mieux, ils ont fait honneur au basket du Vieux Continent comme rarement par le passé. Jamais depuis la première édition de la quête du Graal, en 1950, l'ultime rencontre d'un Mondial n'avait en effet opposé deux nations européennes autres que les anciens blocs soviétique et yougoslave. Alors si le goût de l'exploit est en sus agrémenté du fumet de l'inédit, la qualité du met n'est plus à prouver.
Faciles face à l'équipe de France en quart de finale, les Grecs incarnaient probablement le premier véritable test d'un Team USA en quête de rachat après les deux cuisantes déconvenues internationales essuyées au Mondial 2002 et aux Jeux Olympiques 2004. Dominateurs au rebond, davantage présents physiquement, les Etats-Unis ont d'abord cru détenir la clef de leur rédemption sur le parquet de Saitama. A 20-14 en faveur des Américains au terme du premier quart-temps, rien ne laissait présager l'enrayement de la machine estampillée NBA.
Europe-Amériques: 2-0
Et pourtant, emmenés par un Papaloukas d'humeur mutine (8 points, 5 rebonds, 12 passes décisives), les champions d'Europe ont su faire parler leur collectif sans faille pour infliger aux héritiers de la Dream Team un 22-5 ahurissant dans le troisième quart-temps - le tout en l'espace de sept minutes seulement (67-53). Un écart rédhibitoire pour les hommes de "Coach K" en dépit de la charge claironnée par Carmelo Anthony (27 points) et d'une certaine habileté retrouvée au shoot à trois points dans les dernières minutes du match. Quatre ans après leur humiliation domestique à Indianapolis (6e), les Etats-Unis tombent à nouveau avec fracas du toit du monde et la NBA - championnat référence aux yeux du monde entier - encaisse une nouvelle salve de plomb dans l'aile.
A contrario, les abonnés à l'Euroligue sortent grandis de l'expérience nippone. A l'image des Grecs certes, mais également des Espagnols, tombeurs de l'Argentine au bout du suspense dans l'autre demi-finale de ces championnats du monde (75-74). La rencontre entre les deux formations hispaniques promettait d'être chaude, elle aura été bouillante, spectaculaire à souhait et baignée d'une tension extrême. A l'instar des Américains, les Argentins ont rapidement pris l'initiative du jeu (13-2 après trois minutes) avant de sombrer inexorablement face à l'audace collective des Ibères.
En bons chefs de meute, Pau Gasol - le pivot de Memphis - ainsi que Jorge Garbajosa - futur pensionnaire de NBA au sein de la franchise de Toronto - 38 points à eux deux, ont renversé la sélection albiceleste de Manu Ginobili (21 points) en insufflant maîtrise et sang froid à leurs partenaires dans les instants clefs de la confrontation. Invaincue en 2006, l'Espagne signe à cette occasion sa 17e victoire de rang. Une impressionnante série dont ne manqueront certainement pas de se souvenir les hommes d'Hernandez à l'heure d'aborder le match le plus important de l'histoire du basket ibérique depuis 1984 et la finale olympique perdue à Los Angeles devant les Etats-Unis.
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En fait c'était une imitation du Vinsanity-style...Mais bon, je ne lui arrive pas à l'ankle. :lol:Gone's Guignol wrote:Là je suis complètement largué.... :???:Dissident wrote:Espagne 75 Argentine 74
Les Spaniards, après une tea-break dans le 1st QT ont mis la upper hand sur le game, forçant les South-Americans à de multiples fouls et trash-talking.
Bon fight-back des White&Blue dans le money-time, mais El Manu a eu la shaking hand sur le buzzer beater, et du coup Gasol, malgré un problème de left ankle, jouera la Greece dans une mouth-watering finale.
:lol:
Who ate all the pies?
Ce matin 2 matches au programme :
A 9h30 la finale pour la 5ème place entre la France et la Turquie
A 12h30 la finale pour la 3ème place entre les USA et l'Argentine (à ne pas manquer encore une fois)
Ces matchs ne sont pas sur Canal +, mais ils sont diffusés sur la chaine chinoise CCTV5 ... les explications pour voir cette chaine sont un peu plus tôt dans ce sujet ...
A 9h30 la finale pour la 5ème place entre la France et la Turquie
A 12h30 la finale pour la 3ème place entre les USA et l'Argentine (à ne pas manquer encore une fois)
Ces matchs ne sont pas sur Canal +, mais ils sont diffusés sur la chaine chinoise CCTV5 ... les explications pour voir cette chaine sont un peu plus tôt dans ce sujet ...
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35-20 pour la France à la mi-temps
7pts 1ast 1rbds de Lolo Foirest meilleur marqueur francais (allez on fait une ola pour Lolo :ola: :ola:
6pts 6rbds pour Fred Weis
5pts 2ast 1rbd pour Bokolo
5pts 2rbds de Mike Pietrus et à 50% :shock: (allez une autre ola :ola: )
4pts 5rbds pour Flo Pietrus
4pts 3rbds 2ast pour Boris Diaw
7pts 1ast 1rbds de Lolo Foirest meilleur marqueur francais (allez on fait une ola pour Lolo :ola: :ola:
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Voila c'est fait victoire 64-56 des français qui ont mené tout le match. Bravo les bleus!!!
Voici les stats du match:
Turquie France
9/42 (21%) 2-POINTERS 18/41 (44%)
6/20 (30%) 3-POINTERS 3/11 (27%)
20/30 (67%) FREE THROWS 19/37 (51%) :shock:
33 FOULS 23
9 STEALS 6
17 TURNOVERS 17
18 OFF. REBOUNDS 10
27 DEF. REBOUNDS 34
3 BIGGEST LEAD 20
9 BIGGEST RUN 9
Voici les stats du match:
Turquie France
9/42 (21%) 2-POINTERS 18/41 (44%)
6/20 (30%) 3-POINTERS 3/11 (27%)
20/30 (67%) FREE THROWS 19/37 (51%) :shock:
33 FOULS 23
9 STEALS 6
17 TURNOVERS 17
18 OFF. REBOUNDS 10
27 DEF. REBOUNDS 34
3 BIGGEST LEAD 20
9 BIGGEST RUN 9
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Fini
Victoire de la France 64-56 avec un grand Flo Pietrus en fin de match, il a pris des rebonds, marqué ses lancers, et s'est même permi un joli contre ... 12pts 9rbds pour lui au final, l'hmme du match, et de ces championnats je dirai même
11pts 6rbds de Fred Weis
10pts 3rbds 1ast de Lolo Foirest qui fait son meilleur match :ola:
8pts 6rbds 1ast de Jo Gomis
8pts 6rbds 3ast de Bobo qui n'aura pas fait de grand championnats tout de même ... :???:
6pts 3rbds de Mike Pietrus
5pts 2rbds 3ast de Bokolo qui ressort de ces championnats avec un bilan plus qu'honnorable :bravo:
Seulement 2pts 5rbds de Gelabale, mais on lui pardonnera
Victoire de la France 64-56 avec un grand Flo Pietrus en fin de match, il a pris des rebonds, marqué ses lancers, et s'est même permi un joli contre ... 12pts 9rbds pour lui au final, l'hmme du match, et de ces championnats je dirai même
11pts 6rbds de Fred Weis
10pts 3rbds 1ast de Lolo Foirest qui fait son meilleur match :ola:
8pts 6rbds 1ast de Jo Gomis
8pts 6rbds 3ast de Bobo qui n'aura pas fait de grand championnats tout de même ... :???:
6pts 3rbds de Mike Pietrus
5pts 2rbds 3ast de Bokolo qui ressort de ces championnats avec un bilan plus qu'honnorable :bravo:
Seulement 2pts 5rbds de Gelabale, mais on lui pardonnera