[Basket] Reprise saison NBA
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- Joined: 30 Aug 2005, 12:57
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Début des quarts de finale ce matin
Tout d'abord l'Espagne a laminé la Lituanie 89 à 67, et c'est pas cher payé vu que Navarro, Gasol et Calderon ont pas joué du 4èmeQT. Avec 28 ballons perdus, il était difficile de l'emporter pour les Lituaniens. Macijauskas (dont l'intermède NBA semble avoir laissé des traces) termine avec un 0 pointé et 5 ballons perdus. Mais la palme revient à Kristoff Lavrinovic avec 6TO.
L'Espagne rencontrera en demi le vainqueur du match Argentine-Turquie qui se déroule en ce moment même. A 7min de la mi-temps les Argentins comptent 12 points d'avance, 32-20. Ils mettent une pression défensive énorme, et il va falloir que les Turcs prennent feu à 3pts pour avoir une chance de l'emporter.
Tout d'abord l'Espagne a laminé la Lituanie 89 à 67, et c'est pas cher payé vu que Navarro, Gasol et Calderon ont pas joué du 4èmeQT. Avec 28 ballons perdus, il était difficile de l'emporter pour les Lituaniens. Macijauskas (dont l'intermède NBA semble avoir laissé des traces) termine avec un 0 pointé et 5 ballons perdus. Mais la palme revient à Kristoff Lavrinovic avec 6TO.
L'Espagne rencontrera en demi le vainqueur du match Argentine-Turquie qui se déroule en ce moment même. A 7min de la mi-temps les Argentins comptent 12 points d'avance, 32-20. Ils mettent une pression défensive énorme, et il va falloir que les Turcs prennent feu à 3pts pour avoir une chance de l'emporter.
La première demi-finale sera donc Argentine - Espagne ... une affoche plutôt alléchante
Le match des Argentins n'est pas terminé, mais ils mènent 75-39 en fin de 3èmeQT ... :shock:
Cette première demi-finale risque donc d'être extrêmement intéressante ...
Pour le reste, le France - Grèce de demain matin est diffusé sur la chaine chinoise CCTV5, que l'on peut facilement voir sur le net.
Pour celà, il y a plusieurs logiciels : tvkoo, tvants ou tvuplayer ...
Plus d'infos ce soir ou demain matin, mais CCTV5 (même si les commentaires sont en chinois) est je pense la chaine la plus diffusé sur le net ... ce matin ils ont déjà diffusé les deux premières demi-finales
Le match des Argentins n'est pas terminé, mais ils mènent 75-39 en fin de 3èmeQT ... :shock:
Cette première demi-finale risque donc d'être extrêmement intéressante ...
Pour le reste, le France - Grèce de demain matin est diffusé sur la chaine chinoise CCTV5, que l'on peut facilement voir sur le net.
Pour celà, il y a plusieurs logiciels : tvkoo, tvants ou tvuplayer ...
Plus d'infos ce soir ou demain matin, mais CCTV5 (même si les commentaires sont en chinois) est je pense la chaine la plus diffusé sur le net ... ce matin ils ont déjà diffusé les deux premières demi-finales
Bon ça a pas l'air d'interesser grand monde mais bon
Alors je vais vous expliquer comment voir le match avec TVUPlayer, le plus simple à mon gout :
D'abord le lien pour le télécharger
Bon vous décompressez, vous installer, et puis vous lancez le log, et dans la colonne de gauche vous devriez voir écrit "CCTV5". Un petit double clic dessus, vous attendez le "buffering" et hop, normalement ça marche
...
Si ça marche pas y'a d'autres logiciels, notamment tvants, avec lequel il y a une meilleure qualité d'image il me semble
Alors je vais vous expliquer comment voir le match avec TVUPlayer, le plus simple à mon gout :
D'abord le lien pour le télécharger
Bon vous décompressez, vous installer, et puis vous lancez le log, et dans la colonne de gauche vous devriez voir écrit "CCTV5". Un petit double clic dessus, vous attendez le "buffering" et hop, normalement ça marche
...
Si ça marche pas y'a d'autres logiciels, notamment tvants, avec lequel il y a une meilleure qualité d'image il me semble
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- Joined: 11 Sep 2005, 11:54
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A la chasse aux fantômes
Surtout ne pas oublier Belgrade! Le souvenir est douloureux certes, mais probablement révélateur de l'écueil qui attend les Bleus en quart de finale des Championnats du monde. Opposés à l'épouvantail grec, incarnation des cauchemars français depuis près d'un an, les hommes de Claude Bergeaud ont l'occasion de chasser leurs vieux démons. Au fil de leurs pérégrinations nippones, les Tricolores ont grandi, nourris de certitudes et plus que jamais déterminés à revêtir le bleu de chauffe pour prendre leur revanche.
Sept secondes à tenir... Antoine Rigaudeau porte la marque à 66-64 et l'équipe de France tient sa finale de l'Euro à sept secondes du gong libérateur. Quarante secondes plus tôt, les Bleus comptaient sept unités d'avance, dix secondes plus tard, les drapeaux tricolores sont en berne, les scènes de liesse sont grecques, Dimitrios Diamantidis vient d'anéantir les rêves de gloire de l'Hexagone en expédiant la citrouille dans le mille, hors de la raquette française (66-67).
Bien que les ouailles de Claude Bergeaud s'en défendent à l'heure actuelle, les images de cette désillusion demeurent forcément vivaces dans l'esprit de ceux qui étaient de cette demi-finale maudite, l'an passé, sur le parquet belgradois. Aussi, sans admettre le traumatisme à l'instar de ses joueurs, le sélectionneur national ne manque-t-il pas de faire référence à ce funeste épisode, comme pour exorciser ses propres tourments: "Je ne souhaite qu'une chose, qu'on rentre dans la dernière minute avec sept points d'avance", confie-t-il à quelques 48 heures de la revanche. "Et là je pense qu'on aura alors la fierté de regarder le banc grec et qu'on saura gérer, car chat échaudé craint l'eau froide."
Une sentence qui en dit long sur la motivation du groupe France à l'heure de retrouver son bourreau de Serbie. Que le temps ait fait son office pour atténuer l'amertume, soit! Mais il est évident que l'orgueil des Bleus saigne encore à la simple évocation de la formation hellénique. Certainement le plus bel atout des coéquipiers de Boris Diaw à condition que ceux-ci parviennent à maîtriser leurs émotions. Il y a de cela deux semaines, les Tricolores muselaient et domptaient leur bête noire dans le cadre du tournoi de Nanjing, ultime rendez-vous préparatif à la compétition suprême (72-68). Preuve, si besoin était, que le fléau grec n'est pas infaillible.
L'histoire à portée de shoots
De là à qualifier les Papaloukas et consorts de colosses aux pieds d'argile, il n'y a qu'un pas que les Français ne sauraient franchir, également refroidis dans leur périple post-japonais par un cuisant revers en terre athénienne (56-70) et parfaitement au faite des performances helléniques dans le tournoi jusqu'alors. Comptant parmi les quatre nations toujours invaincues dans ce Mondial, la Grèce n'a rien perdu de sa rigueur et de son audace, ces deux qualités majeures qui l'avaient portée aux nues continentales l'année dernière. En outre, animé de l'ambition de tout champion d'Europe qui se respecte, les protégés de Panayiotis Giannakis n'ont guère l'intention de baisser pavillon avant de s'être mesurés à la référence américaine. Un noble dessein qui passe par une victoire sur la France, mercredi, conjuguée à un succès des Etats-Unis devant l'Allemagne de Dirk Nowitzki.
"Leur but est de battre l'équipe américaine en demi-finale puis d'aller en finale. Nous n'avons peut-être pas les mêmes objectifs, mais nous ferons de notre mieux pour aller plus loin dans le tournoi", prévient Aymeric Jeanneau, honorable suppléant du regretté Tony Parker dans le rôle de chef d'orchestre. Certes, l'équipe de France, vice championne olympique en 2000 et médaillée de bronze aux Championnats d'Europe 2005, a rempli son contrat en atteignant le stade des quarts de finale d'un Mondial pour la première fois depuis 1963.
Mais les hommes de Claude Bergeaud ont démontré ces dernières semaines qu'ils savaient pallier leur lacunes offensives (23% de réussite au tir primé, soit le pire rendement de la compétition) par une solidarité défensive à toute épreuve (65,8 points concédés par match, soit la meilleure défense de la première phase). Une véritable force collective qui autorise dès lors tous les espoirs. Et pourquoi pas le plus fou d'enter eux: Accéder au dernier carré mondialiste pour la deuxième fois de son histoire après Rio 1954. Une éternité...
www.sports.fr
Surtout ne pas oublier Belgrade! Le souvenir est douloureux certes, mais probablement révélateur de l'écueil qui attend les Bleus en quart de finale des Championnats du monde. Opposés à l'épouvantail grec, incarnation des cauchemars français depuis près d'un an, les hommes de Claude Bergeaud ont l'occasion de chasser leurs vieux démons. Au fil de leurs pérégrinations nippones, les Tricolores ont grandi, nourris de certitudes et plus que jamais déterminés à revêtir le bleu de chauffe pour prendre leur revanche.
Sept secondes à tenir... Antoine Rigaudeau porte la marque à 66-64 et l'équipe de France tient sa finale de l'Euro à sept secondes du gong libérateur. Quarante secondes plus tôt, les Bleus comptaient sept unités d'avance, dix secondes plus tard, les drapeaux tricolores sont en berne, les scènes de liesse sont grecques, Dimitrios Diamantidis vient d'anéantir les rêves de gloire de l'Hexagone en expédiant la citrouille dans le mille, hors de la raquette française (66-67).
Bien que les ouailles de Claude Bergeaud s'en défendent à l'heure actuelle, les images de cette désillusion demeurent forcément vivaces dans l'esprit de ceux qui étaient de cette demi-finale maudite, l'an passé, sur le parquet belgradois. Aussi, sans admettre le traumatisme à l'instar de ses joueurs, le sélectionneur national ne manque-t-il pas de faire référence à ce funeste épisode, comme pour exorciser ses propres tourments: "Je ne souhaite qu'une chose, qu'on rentre dans la dernière minute avec sept points d'avance", confie-t-il à quelques 48 heures de la revanche. "Et là je pense qu'on aura alors la fierté de regarder le banc grec et qu'on saura gérer, car chat échaudé craint l'eau froide."
Une sentence qui en dit long sur la motivation du groupe France à l'heure de retrouver son bourreau de Serbie. Que le temps ait fait son office pour atténuer l'amertume, soit! Mais il est évident que l'orgueil des Bleus saigne encore à la simple évocation de la formation hellénique. Certainement le plus bel atout des coéquipiers de Boris Diaw à condition que ceux-ci parviennent à maîtriser leurs émotions. Il y a de cela deux semaines, les Tricolores muselaient et domptaient leur bête noire dans le cadre du tournoi de Nanjing, ultime rendez-vous préparatif à la compétition suprême (72-68). Preuve, si besoin était, que le fléau grec n'est pas infaillible.
L'histoire à portée de shoots
De là à qualifier les Papaloukas et consorts de colosses aux pieds d'argile, il n'y a qu'un pas que les Français ne sauraient franchir, également refroidis dans leur périple post-japonais par un cuisant revers en terre athénienne (56-70) et parfaitement au faite des performances helléniques dans le tournoi jusqu'alors. Comptant parmi les quatre nations toujours invaincues dans ce Mondial, la Grèce n'a rien perdu de sa rigueur et de son audace, ces deux qualités majeures qui l'avaient portée aux nues continentales l'année dernière. En outre, animé de l'ambition de tout champion d'Europe qui se respecte, les protégés de Panayiotis Giannakis n'ont guère l'intention de baisser pavillon avant de s'être mesurés à la référence américaine. Un noble dessein qui passe par une victoire sur la France, mercredi, conjuguée à un succès des Etats-Unis devant l'Allemagne de Dirk Nowitzki.
"Leur but est de battre l'équipe américaine en demi-finale puis d'aller en finale. Nous n'avons peut-être pas les mêmes objectifs, mais nous ferons de notre mieux pour aller plus loin dans le tournoi", prévient Aymeric Jeanneau, honorable suppléant du regretté Tony Parker dans le rôle de chef d'orchestre. Certes, l'équipe de France, vice championne olympique en 2000 et médaillée de bronze aux Championnats d'Europe 2005, a rempli son contrat en atteignant le stade des quarts de finale d'un Mondial pour la première fois depuis 1963.
Mais les hommes de Claude Bergeaud ont démontré ces dernières semaines qu'ils savaient pallier leur lacunes offensives (23% de réussite au tir primé, soit le pire rendement de la compétition) par une solidarité défensive à toute épreuve (65,8 points concédés par match, soit la meilleure défense de la première phase). Une véritable force collective qui autorise dès lors tous les espoirs. Et pourquoi pas le plus fou d'enter eux: Accéder au dernier carré mondialiste pour la deuxième fois de son histoire après Rio 1954. Une éternité...
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A une demi-heure du début du match voici les 5 majeurs de chaque côté :
France :
Jeanneau - Gelabale - Diaw - Pietrus - Weis
Grèce :
Diamantidis - Spanoulis - Hatzivrettas - Fotsis - Papadopoulos
Avec sur le banc Papaloukas, MVP du final four de l'euroleague cette saison, ou encore le baby shaq Schorsianitis ... bref, que du beau monde
France :
Jeanneau - Gelabale - Diaw - Pietrus - Weis
Grèce :
Diamantidis - Spanoulis - Hatzivrettas - Fotsis - Papadopoulos
Avec sur le banc Papaloukas, MVP du final four de l'euroleague cette saison, ou encore le baby shaq Schorsianitis ... bref, que du beau monde
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- Joined: 30 Aug 2005, 09:55
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34-24 à la mi-temps
Cet espèce de ********** de Diamantidis nous a mis 2 fois des 3pts au buzzer en déséquilibre, comme il y a un an ...
Remonter 10pts aux Grecs, c'est du domaine de l'extremement compliqué ... :???:
L'an passé on menait d'un point à la mi-temps ...
Flo Pietrus, Petro et Weis enchainent les air balls en attaque :sad:
A mon avis ça sent le paté
Cet espèce de ********** de Diamantidis nous a mis 2 fois des 3pts au buzzer en déséquilibre, comme il y a un an ...
Remonter 10pts aux Grecs, c'est du domaine de l'extremement compliqué ... :???:
L'an passé on menait d'un point à la mi-temps ...
Flo Pietrus, Petro et Weis enchainent les air balls en attaque :sad:
A mon avis ça sent le paté
Remonter 10 points aux Grecs, ce serait l'Exploit !!!!!vinsanity wrote:34-24 à la mi-temps
Cet espèce de ********** de Diamantidis nous a mis 2 fois des 3pts au buzzer en déséquilibre, comme il y a un an ...
Remonter 10pts aux Grecs, c'est du domaine de l'extremement compliqué ... :???:
L'an passé on menait d'un point à la mi-temps ...
Flo Pietrus, Petro et Weis enchainent les air balls en attaque :sad:
A mon avis ça sent le paté