Je me permet de citer ce débat, qui me parait fort à propos en cette approche de Noël.Tudlevert wrote:Tout pareil!Leg42 wrote:Personnellement mon rêve c'est d'être abonné au stade, pouvoir voir tous les matchs de la saison au stade, purges comme moment d'éclats (S'il y a seulement un seul des deux cas sur toute une saison, on est soit champion soit relégablemerlin wrote:Je comprend que le fait de venir rarement te fait d'autant plus apprécier le stade et l'ambiance.comp88 wrote:GG est toujours magique pour moi, après le match en lui même...merlin wrote:Tu peux me donner l'adresse de ton fournisseur , ça m'intéresse ...comp88 wrote:Je te comprend, chaque match est fantastique et certaines personnes ne s'en rendent plus compte.Leg42 wrote:C'est mon seul match au stade cette année, même à 200 dedans, ça ne tempère pas ma joie d'y être !
En espérant une victoire pour bien finir l'année !
Perso cela fera mon 4ème match en février, cela va être l'extase.
C'est toujours plus jouissif quand on a pas mal d'occasions et que le stade s'enflamme mais on est supporter avant tout.
Supporter ne veut pas dire tout accepter, bien sur que tout le monde aimerait qu'on joue mieux mais cela peut aussi être le cas à Bordeaux Rennes TFC..
Moi , je suis abonné , je viens de rater les 2 derniers matches (KN fermé) et demain , au vu du jeu pratiqué et du froid très vif qui règne à Sainté , je vais rester bien au chaud chez moi ...et sans aucun regret , je suis blasé comme jamais cette saison.
J'espère pour toi un peu de beau jeu , des buts , histoire d'enflammer GG et que tu repartes chez toi avec un bon souvenir ...).
L'an dernier j'ai vu les deux cas de figures, le match de CDF contre Ajaccio par exemple était une belle purge, le derby aussi mais c'était quand même fantastique.
Pour moi GG restera magique tant qu'il y aura des maillots verts qui y bougent.
Et, si vous le permettez, mes frères Verts, je vous incite vivement à méditer la phrase qui conclut le dialogue
La magie Verte. Le football de nos jour joue pour partie le rôle qu'avait la religion autrefois. Aller au stade, c'est communier ensemble dans une même ferveur, partager une même passion.Leg42 wrote: Pour moi GG restera magique tant qu'il y aura des maillots verts qui y bougent.
C'est aussi nos racines, nos traditions. Mon père, a été à Geoffroy Guichard, mes oncles, mes cousins. Notre approche de ce sport à avoir avec notre région, le vert pour ses racines paysannes, la ténacité comme valeur première de notre équipe, plus que l'aisance technique, qui rappelle le caractère industrieux de notre pays.
Qu'on soit de Saint Chamond, de Craitillieux, de Verrières, on est chez nous à Geoffroy Guichard. D'ailleurs même si on est de Cahors, ou d'Oran, on est chez nous à Geoffroy-Guichard si on veut l'être.
Finalement, gagner ou perdre, pratiquer ou non un beau football, là n'est pas l'essentiel. L'essentiel, c'est que toutes les semaines, les projecteurs illuminent le carré vert, et que les maillots vert s'élancent sous les encouragements de tout ceux qui communient dans cette passion, et se battent avec pugnacité selon nos traditions.
Comme à la messe, il y a peu de suspens, Jésus renait tous les Noëls, au printemps, il va mourir et ressusciter comme tous les ans. Et pourtant, il y a des gens qui vent à la messe tous les dimanche et pour qui c'est important.
A l'ASSE, et en football les mercatos succèdent aux saisons. Le rite. La communauté. Les racines. Ce qu'on est. Notre nature humaine.
Comme en religion, il y a des miracles (le fameux miracle d'Anderlecht cette année encore).
Il y a un peu de moi dans ce stade, un peu de moi avec vous. Plein de choses nous séparent, les goûts, les opinions, la distance, mais nous sommes ensembles, ces soirs là, quand le stade s'illumine. Et tous les ans, ça recommencera.
C'est le même que le tien, Merlin, il s'appelle l'ASSE : la passion, la communion, le rite.merlin wrote: Tu peux me donner l'adresse de ton fournisseur , ça m'intéresse ...
Mais pour toi, peut-être que la magie n'agit plus, ou tu n'as plus besoin de ce rite. Même les saints parfois passent par des périodes de doute.
On n'est pas d'un pays on est d'une ville !
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