Alors que si tu veux pourrir quelqu'un qui est fan de Green Day, tu lui demandes de se concentrer sur les phrases entre chaque respiration.M. Rocheteau wrote:J'aime beaucoup les anciens albums de Muse. Mais si tu veux pourrir quelqu'un qui est fan, dis lui de se concentrer sur les respirations de Matthew Bellamy entre deux phrases, on écoute plus que ça aprèsOlaf wrote:Ah mais ce sont de très bons musiciens, c'est le chant que je supporte absolument pas !
La ville de Saint-Etienne
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Re: La ville de Saint-Etienne
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Re: La ville de Saint-Etienne
De toutes façons dans les chansons de Matthew Bellamy deux mots passent en boucle c'est lassant.M. Rocheteau wrote:J'aime beaucoup les anciens albums de Muse. Mais si tu veux pourrir quelqu'un qui est fan, dis lui de se concentrer sur les respirations de Matthew Bellamy entre deux phrases, on écoute plus que ça aprèsOlaf wrote:Ah mais ce sont de très bons musiciens, c'est le chant que je supporte absolument pas !
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Re: La ville de Saint-Etienne
Mick wrote:Alors que si tu veux pourrir quelqu'un qui est fan de Green Day, tu lui demandes de se concentrer sur les phrases entre chaque respiration.M. Rocheteau wrote:J'aime beaucoup les anciens albums de Muse. Mais si tu veux pourrir quelqu'un qui est fan, dis lui de se concentrer sur les respirations de Matthew Bellamy entre deux phrases, on écoute plus que ça aprèsOlaf wrote:Ah mais ce sont de très bons musiciens, c'est le chant que je supporte absolument pas !
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[size=134][color=black][b]On m'appelait l'ange vert[/b][/color][/size]
[b][color=#00BF00]Membre du groupe "Forza Mayi" ![/color][/b]
[quote=" Caiazzo"]Roland Romeyer et moi, allons prendre du recul. [/quote]
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Re: La ville de Saint-Etienne
Muse c'était mieux avant !
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Re: La ville de Saint-Etienne
Gros retour aux sources avec Drones. Leurs titres en live envoient vraiment du lourd. Et après plusieurs écoutes, ça s'avère vraiment être un de leur tout meilleur album.GreenFloyd wrote:Muse c'était mieux avant !
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Re: La ville de Saint-Etienne
Sérieusement...Mick wrote:Gros retour aux sources avec Drones. Leurs titres en live envoient vraiment du lourd. Et après plusieurs écoutes, ça s'avère vraiment être un de leur tout meilleur album.GreenFloyd wrote:Muse c'était mieux avant !
2 ou 3 titres sont bons, Reapers notamment, envoient du lourd comme tu dis. Le concept de l'album se tient.
Mais un retour au source,faut pas abuser quand même. Ils ne referont jamais un album comme Origin of Symmetry ou Absolution, c'est même normal.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Je n'attends pas nécessairement de Muse que ce groupe revienne vers ses bases. Je dois être l'un des rares à attendre que Bellamy aillent toujours plus loin dans ses expérimentations, et dans ses mélanges de style.GreenFloyd wrote:Sérieusement...Mick wrote:Gros retour aux sources avec Drones. Leurs titres en live envoient vraiment du lourd. Et après plusieurs écoutes, ça s'avère vraiment être un de leur tout meilleur album.GreenFloyd wrote:Muse c'était mieux avant !
2 ou 3 titres sont bons, Reapers notamment, envoient du lourd comme tu dis. Le concept de l'album se tient.
Mais un retour au source,faut pas abuser quand même. Ils ne referont jamais un album comme Origin of Symmetry ou Absolution, c'est même normal.
Seulement, pour pas mal de musiciens parfois un brun sectaire: Quand un groupe de rock alternatif se mets à verser dans la symphonie: c'est un blasphème. Pas pour moi !
Et puis, comme je suis pianiste de base, quand un groupe de rock intègre aussi bien cet instrument, je ne peux qu'aimer.
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Re: La ville de Saint-Etienne
L’Ecole d’ingénieurs de Saint-Etienne officialise son rattachement à l’école Centrale de Lyon
Une convention d’association a été signée entre les deux établissements d’enseignement supérieur. Prochaine étape : l’intégration des formations.
L’union fait la force. Le domaine de l’enseignement supérieur n’échappe pas à la règle et les associations d’établissements se sont largement développées ces dernières années. « Il y a trois ans, le ministère nous a conseillé de nous rapprocher d’un autre établissement pour gagner en visibilité », indique Roland Fortunier, directeur de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne (Enise). Si plusieurs pistes ont été un temps envisagées, c’est finalement une association avec l’Ecole centrale de Lyon qui a eu la préférence des conseils d’administration des deux écoles. Les deux établissements se connaissent bien et conduisent des recherches en commun. « C’est l’Ecole centrale de Lyon qui a apporté la recherche à l’Enise », précise le directeur.
Ecole généraliste, Centrale Lyon n’offre ses options qu’en dernière année de cursus. De son côté, l’Enise propose dès l’entrée à l’école une voie de spécialisation vers le génie mécanique, le génie civil et, dès la rentrée 2015, vers le génie physique-génie sensoriel. « Nous allons également développer des recherches dans ce domaine qui prend en compte le ressenti dès la conception de produit, de bâtiment… ». Chaque année, l’école forme deux cents jeunes répartis pour moitié dans la filière génie mécanique et pour autre moitié en génie civil. « Environ 50% des jeunes suivent leur cursus par apprentissage », précise Roland Fortunier.
Le prochain projet quinquennal de l’Enise -2016/2020 – devra préciser les conditions d’intégration des formations. L’Enise pourrait alors devenir l’école de spécialités de Centrale Lyon.
http://www.lemoniteur.fr
Une convention d’association a été signée entre les deux établissements d’enseignement supérieur. Prochaine étape : l’intégration des formations.
L’union fait la force. Le domaine de l’enseignement supérieur n’échappe pas à la règle et les associations d’établissements se sont largement développées ces dernières années. « Il y a trois ans, le ministère nous a conseillé de nous rapprocher d’un autre établissement pour gagner en visibilité », indique Roland Fortunier, directeur de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne (Enise). Si plusieurs pistes ont été un temps envisagées, c’est finalement une association avec l’Ecole centrale de Lyon qui a eu la préférence des conseils d’administration des deux écoles. Les deux établissements se connaissent bien et conduisent des recherches en commun. « C’est l’Ecole centrale de Lyon qui a apporté la recherche à l’Enise », précise le directeur.
Ecole généraliste, Centrale Lyon n’offre ses options qu’en dernière année de cursus. De son côté, l’Enise propose dès l’entrée à l’école une voie de spécialisation vers le génie mécanique, le génie civil et, dès la rentrée 2015, vers le génie physique-génie sensoriel. « Nous allons également développer des recherches dans ce domaine qui prend en compte le ressenti dès la conception de produit, de bâtiment… ». Chaque année, l’école forme deux cents jeunes répartis pour moitié dans la filière génie mécanique et pour autre moitié en génie civil. « Environ 50% des jeunes suivent leur cursus par apprentissage », précise Roland Fortunier.
Le prochain projet quinquennal de l’Enise -2016/2020 – devra préciser les conditions d’intégration des formations. L’Enise pourrait alors devenir l’école de spécialités de Centrale Lyon.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Fusion des CCI de Saint-Etienne, Roanne et Lyon
Les élus consulaires de Rhône-Alpes ont voté mercredi 23 juillet en faveur de la création d’une chambre de commerce et d’industrie métropolitaine fusionnant celles de Saint-Etienne, Lyon et Roanne. Le nouvel établissement public, qui sera en place au 1er janvier prochain, regroupera près de 100.000 entreprises. Il fonctionnera avec un budget d’environ 70 M€ et près de 600 salariés, dont les 153 de Saint-Etienne et la trentaine de Roanne.
http://lessor.fr
Les élus consulaires de Rhône-Alpes ont voté mercredi 23 juillet en faveur de la création d’une chambre de commerce et d’industrie métropolitaine fusionnant celles de Saint-Etienne, Lyon et Roanne. Le nouvel établissement public, qui sera en place au 1er janvier prochain, regroupera près de 100.000 entreprises. Il fonctionnera avec un budget d’environ 70 M€ et près de 600 salariés, dont les 153 de Saint-Etienne et la trentaine de Roanne.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Ho putain le bide que j'ai fait il est beauthesnakke wrote:De toutes façons dans les chansons de Matthew Bellamy deux mots passent en boucle c'est lassant.M. Rocheteau wrote:J'aime beaucoup les anciens albums de Muse. Mais si tu veux pourrir quelqu'un qui est fan, dis lui de se concentrer sur les respirations de Matthew Bellamy entre deux phrases, on écoute plus que ça aprèsOlaf wrote:Ah mais ce sont de très bons musiciens, c'est le chant que je supporte absolument pas !
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Re: La ville de Saint-Etienne
en effet moi aussi, pas sur que la muse m'habite.Olaf wrote:Muse ? Mon Dieu. La cruauté humaine n'a pas de limite.
Re: La ville de Saint-Etienne
+1olivagorn42 wrote:en effet moi aussi, pas sur que la muse m'habite.Olaf wrote:Muse ? Mon Dieu. La cruauté humaine n'a pas de limite.
Malgré ma proximité orthographique, je reste complètement hermétique à ce groupe.
Ceci dit depuis que Lenoir s'est barré de France Inter et faute de temps, j'ai rien trouvé de vraiment palpitant et suis preneur de toute source de recherche sérieuse.
Re: La ville de Saint-Etienne
Faire passer de la variet pour un groupe de rock c'est très fort.la buse wrote:+1olivagorn42 wrote:en effet moi aussi, pas sur que la muse m'habite.Olaf wrote:Muse ? Mon Dieu. La cruauté humaine n'a pas de limite.
Malgré ma proximité orthographique, je reste complètement hermétique à ce groupe.
Ceci dit depuis que Lenoir s'est barré de France Inter et faute de temps, j'ai rien trouvé de vraiment palpitant et suis preneur de toute source de recherche sérieuse.
Sinon depuis Lenoir y a pas eu mieux que la dernière grève :-)
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Re: La ville de Saint-Etienne
Encore un sectaire...latornade wrote:Faire passer de la variet pour un groupe de rock c'est très fort.la buse wrote:+1olivagorn42 wrote:en effet moi aussi, pas sur que la muse m'habite.Olaf wrote:Muse ? Mon Dieu. La cruauté humaine n'a pas de limite.
Malgré ma proximité orthographique, je reste complètement hermétique à ce groupe.
Ceci dit depuis que Lenoir s'est barré de France Inter et faute de temps, j'ai rien trouvé de vraiment palpitant et suis preneur de toute source de recherche sérieuse.
Sinon depuis Lenoir y a pas eu mieux que la dernière grève :-)
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Re: La ville de Saint-Etienne
Le fabricant de panneaux photovoltaïques Elifrance en redressement judiciaire
Le fabricant de panneaux photovoltaïques Elifrance (groupe italien Pufin Power) a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Saint-Etienne, a-t-on appris samedi de source syndicale et auprès de l'entreprise.
Une partie des 101 salariés du site industriel de La Talaudière (Loire), près de Saint-Etienne, qui souffre de sous-activité, est au chômage partiel depuis plusieurs années.
La production de panneaux photovoltaïques a été créée sur ce site industriel, propriété de Saint-Etienne Métropole, à partir du rachat en 2010 de la dernière usine française du fabricant de cartes électroniques Flextronics. Elle comptait alors 150 personnes.
Dans un communiqué, le pdg d'Elifrance Massimo Pugliese précise que les seules dettes majeures concernent les institutions françaises (...) Cette procédure est mise en place afin d'obtenir un échéancier de paiement auprès des institutions s'étalant sur une longue durée.
Il ajoute qu'elle permettra aussi la mise en place d'un plan prévoyant une totale polarisation de l'activité d'Elifrance dans le secteur du photovoltaïque, avec une éventuelle augmentation de la capacité productive.
L'année 2014 a été marquée par un recul de 25% du chiffre d'affaires d'Elifrance, à 10,5 millions d'euros, avec un niveau de pertes qui est resté autour de 2,4 millions.
http://www.romandie.com
Le fabricant de panneaux photovoltaïques Elifrance (groupe italien Pufin Power) a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Saint-Etienne, a-t-on appris samedi de source syndicale et auprès de l'entreprise.
Une partie des 101 salariés du site industriel de La Talaudière (Loire), près de Saint-Etienne, qui souffre de sous-activité, est au chômage partiel depuis plusieurs années.
La production de panneaux photovoltaïques a été créée sur ce site industriel, propriété de Saint-Etienne Métropole, à partir du rachat en 2010 de la dernière usine française du fabricant de cartes électroniques Flextronics. Elle comptait alors 150 personnes.
Dans un communiqué, le pdg d'Elifrance Massimo Pugliese précise que les seules dettes majeures concernent les institutions françaises (...) Cette procédure est mise en place afin d'obtenir un échéancier de paiement auprès des institutions s'étalant sur une longue durée.
Il ajoute qu'elle permettra aussi la mise en place d'un plan prévoyant une totale polarisation de l'activité d'Elifrance dans le secteur du photovoltaïque, avec une éventuelle augmentation de la capacité productive.
L'année 2014 a été marquée par un recul de 25% du chiffre d'affaires d'Elifrance, à 10,5 millions d'euros, avec un niveau de pertes qui est resté autour de 2,4 millions.
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Re: La ville de Saint-Etienne
A propos de procédure judiciaire, le resto la poularde a été mis en liquidation ...fin d'une longue histoire ?
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Re: La ville de Saint-Etienne
Loire : le restaurant La Poularde à Montrond-les-Bains sert ses derniers clients ce dimanche
Ce dimanche, après le service de midi, le restaurant La Poularde à Montrond les Bains fermera ses portes pour une durée indéterminée. L'établissement a été placé en liquidation judiciaire mercredi dernier par le tribunal de commerce de Saint-Étienne.
L'enseigne mythique, ancien relais de poste du XVIIe siècle a été baptisée La Poularde en 1935. Elle doit notamment ses lettres de noblesse à des chefs prestigieux : Joannès Randoing , Gilles Étéocle.
La Poularde avait perdu ses étoiles mais conservé son statut de restaurant gastronomique.
La Poularde a été reprise il y a 3 ans par Charles-Édouard Beraud avec le chef Stéphane Coffy. L'établissement qui emploie une vingtaine de salariés a été placé en redressement judiciaire en février 2015. Après les recettes insuffisantes du mois de Juin, Charles-Édouard Beraud n'avait plus d'espoir de sauver son entreprise.
Malgré tout il est très fier d'avoir repris la Poularde pendant trois ans. Il est convaincu que l'histoire du restaurant continuera après lui:
" La Poularde ça représente et je pense que ça représentera toujours pour nous, pour moi, pour les employés et je pense pour la région , un restaurant d'une belle gastronomie. Il y a eu plusieurs établissements sur la région qui ont été de même niveau gastonomique, peut-être dans des styles différents mais qui ont pas forcément perdurés de la même façon que la Poularde. La Poularde, par le passé avec Monsieur Étéocle et encore avec Monsieur Randoing c'est plus de trente années de grands moments gastronomiques et d'étoiles au guide Michelin. La Poularde reste pour moi, un établissement qui est très respecté, qui était encore à l'heure actuelle et je l'espère apprécié en tout cas de nos clients. Je pense que c'est un pan de l' histoire de la Poularde, mais je ne pense pas que ce soit la fin de la Poularde, je ne pense pas."
Les repreneurs potentiels ont jusqu'au 10 septembre pour se faire connaître.
http://www.francebleu.fr
Ce dimanche, après le service de midi, le restaurant La Poularde à Montrond les Bains fermera ses portes pour une durée indéterminée. L'établissement a été placé en liquidation judiciaire mercredi dernier par le tribunal de commerce de Saint-Étienne.
L'enseigne mythique, ancien relais de poste du XVIIe siècle a été baptisée La Poularde en 1935. Elle doit notamment ses lettres de noblesse à des chefs prestigieux : Joannès Randoing , Gilles Étéocle.
La Poularde avait perdu ses étoiles mais conservé son statut de restaurant gastronomique.
La Poularde a été reprise il y a 3 ans par Charles-Édouard Beraud avec le chef Stéphane Coffy. L'établissement qui emploie une vingtaine de salariés a été placé en redressement judiciaire en février 2015. Après les recettes insuffisantes du mois de Juin, Charles-Édouard Beraud n'avait plus d'espoir de sauver son entreprise.
Malgré tout il est très fier d'avoir repris la Poularde pendant trois ans. Il est convaincu que l'histoire du restaurant continuera après lui:
" La Poularde ça représente et je pense que ça représentera toujours pour nous, pour moi, pour les employés et je pense pour la région , un restaurant d'une belle gastronomie. Il y a eu plusieurs établissements sur la région qui ont été de même niveau gastonomique, peut-être dans des styles différents mais qui ont pas forcément perdurés de la même façon que la Poularde. La Poularde, par le passé avec Monsieur Étéocle et encore avec Monsieur Randoing c'est plus de trente années de grands moments gastronomiques et d'étoiles au guide Michelin. La Poularde reste pour moi, un établissement qui est très respecté, qui était encore à l'heure actuelle et je l'espère apprécié en tout cas de nos clients. Je pense que c'est un pan de l' histoire de la Poularde, mais je ne pense pas que ce soit la fin de la Poularde, je ne pense pas."
Les repreneurs potentiels ont jusqu'au 10 septembre pour se faire connaître.
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Re: La ville de Saint-Etienne
L’hôtel stéphanois Continental à vendre pour 620 000 euros sur leboncoin.fr
Le propriétaire, Jean-Paul Vialeton, vient de mettre en vente l’hôtel Continental, couronné de plusieurs prix pour le design de ses chambres. La fin d’une aventure de vingt-cinq ans.
« La décision a été très difficile à prendre », explique d’emblée Jean-Paul Vialeton, visiblement ému. « C’est tout une partie de ma vie, avec ses joies et ses pleurs », confie le propriétaire de l’hôtel Continental de la rue François-Gillet, l’un des hôtels les plus connus et appréciés de Saint-Étienne.
http://www.leprogres.fr
Le propriétaire, Jean-Paul Vialeton, vient de mettre en vente l’hôtel Continental, couronné de plusieurs prix pour le design de ses chambres. La fin d’une aventure de vingt-cinq ans.
« La décision a été très difficile à prendre », explique d’emblée Jean-Paul Vialeton, visiblement ému. « C’est tout une partie de ma vie, avec ses joies et ses pleurs », confie le propriétaire de l’hôtel Continental de la rue François-Gillet, l’un des hôtels les plus connus et appréciés de Saint-Étienne.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Bon on arrête les mauvaises nouvelles pour dimanche
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Re: La ville de Saint-Etienne
Despi ferme son magasin du centre-ville de Saint-Étienne
C'était une institution du commerce du centre ville de Saint-Étienne : la boucherie Despi de la rue Charles de Gaulle a fermé ses portes. C'était le tout premier magasin ouvert par l'enseigne il y a plus de 80 ans.
Ce lundi matin, les rideaux de la boucherie Despinasse de la rue Charles de Gaulle, à Saint-Étienne sont restés baissés. L'entreprise a décidé de fermer son magasin, à compter du 25 juillet. Fin d'une aventure qui aura duré plus de 80 ans. Cette boutique était la toute première ouverte par la famille Despinasse. Une simple affiche scotchée sur la vitrine avertit clients et habitants du quartier de la fermeture, sans aucune explication supplémentaire.
Et c'est bien ce qui surprend cette cliente fidèle : "Je suis venue faire mes courses encore la semaine dernière. Rien ne laissait penser que la boutique allait fermer. Il a dû se passer quelque chose !" Une chose est sûre, toute la clientèle déplore cette fermeture. "Ça va manquer, c'est sûr, fait remarquer cette habitante du quartier. Surtout pour les personnes âgées qui auront du mal à aller ailleurs pour faire leurs courses." "Les autres boucheries sont assez éloignées, remarque une autre, et je n'ai pas envie d'ailler acheter ma viande en grande surface alors ça va être compliqué. C'est vraiment dommage".
Les commerçants inquiets
Dans les commerces voisins, on s'inquiète également. Le boulanger installé à quelques mètres à peine dit avoir vu la fréquentation de la boucherie Despinasse décliner ces dernières années. Mais au point de fermer boutique ? Impossible à dire, lui non plus n'a pas eu d'explication officielle.
En tout cas, tous déplorent ce départ. Jusqu'ici, le haut de la rue Charles de Gaulle proposait une offre complète aux habitants du quartier en terme de commerces de proximité : pain, viande, fruits et légumes, fromage, etc. "Les clients ne venaient pas pour un seul commerce, précise Stéphane, de la fromagerie Baret. Ils ne viennent pas pour mes beaux yeux ! Et si maintenant, ils doivent aller en grande surface, ils ne redescendront plus en ville pour acheter une chose. Je ne vois pas du tout l'avenir d'un oeil serein".
Deux commerces supplémentaires seraient d'ailleurs sur le point de fermer leurs portes. Pour l'heure, six locaux commerciaux sont vides, rue Charles de Gaulle. Un signe selon les commerçants du déclin du commerce de proximité, dans leur quartier, et globalement, à Saint-Étienne. Aujourd'hui, ils s'inquiètent de leur propre avenir.
La direction de l'entreprise Despinasse n'a pas donné suite à nos demandes de précisions quant à la motivation de cette fermeture.
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C'était une institution du commerce du centre ville de Saint-Étienne : la boucherie Despi de la rue Charles de Gaulle a fermé ses portes. C'était le tout premier magasin ouvert par l'enseigne il y a plus de 80 ans.
Ce lundi matin, les rideaux de la boucherie Despinasse de la rue Charles de Gaulle, à Saint-Étienne sont restés baissés. L'entreprise a décidé de fermer son magasin, à compter du 25 juillet. Fin d'une aventure qui aura duré plus de 80 ans. Cette boutique était la toute première ouverte par la famille Despinasse. Une simple affiche scotchée sur la vitrine avertit clients et habitants du quartier de la fermeture, sans aucune explication supplémentaire.
Et c'est bien ce qui surprend cette cliente fidèle : "Je suis venue faire mes courses encore la semaine dernière. Rien ne laissait penser que la boutique allait fermer. Il a dû se passer quelque chose !" Une chose est sûre, toute la clientèle déplore cette fermeture. "Ça va manquer, c'est sûr, fait remarquer cette habitante du quartier. Surtout pour les personnes âgées qui auront du mal à aller ailleurs pour faire leurs courses." "Les autres boucheries sont assez éloignées, remarque une autre, et je n'ai pas envie d'ailler acheter ma viande en grande surface alors ça va être compliqué. C'est vraiment dommage".
Les commerçants inquiets
Dans les commerces voisins, on s'inquiète également. Le boulanger installé à quelques mètres à peine dit avoir vu la fréquentation de la boucherie Despinasse décliner ces dernières années. Mais au point de fermer boutique ? Impossible à dire, lui non plus n'a pas eu d'explication officielle.
En tout cas, tous déplorent ce départ. Jusqu'ici, le haut de la rue Charles de Gaulle proposait une offre complète aux habitants du quartier en terme de commerces de proximité : pain, viande, fruits et légumes, fromage, etc. "Les clients ne venaient pas pour un seul commerce, précise Stéphane, de la fromagerie Baret. Ils ne viennent pas pour mes beaux yeux ! Et si maintenant, ils doivent aller en grande surface, ils ne redescendront plus en ville pour acheter une chose. Je ne vois pas du tout l'avenir d'un oeil serein".
Deux commerces supplémentaires seraient d'ailleurs sur le point de fermer leurs portes. Pour l'heure, six locaux commerciaux sont vides, rue Charles de Gaulle. Un signe selon les commerçants du déclin du commerce de proximité, dans leur quartier, et globalement, à Saint-Étienne. Aujourd'hui, ils s'inquiètent de leur propre avenir.
La direction de l'entreprise Despinasse n'a pas donné suite à nos demandes de précisions quant à la motivation de cette fermeture.
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Re: La ville de Saint-Etienne
Et après on va me dire que la fermeture des commerces du centre ville est une légende urbaine...
Re: La ville de Saint-Etienne
ridiculethesnakke wrote:Et après on va me dire que la fermeture des commerces du centre ville est une légende urbaine...
Re: La ville de Saint-Etienne
Ca va encore être un kébab à la place
[i]Rien ne peut nous arrêter, nous les enfants de Sainté ![/i]
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Re: La ville de Saint-Etienne
Mouais c'est quand même guère réjouissant tout ça...
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Re: La ville de Saint-Etienne
Vu le nombre de kebabs déjà existants dans la grand-rue, il faudrait qu'ils se creusent la tête pour trouver un nom qui n'a pas déjà été utilisé.Diablo wrote:Ca va encore être un kébab à la place
KirmiziMavi wrote:Nous devrions et ne devrions pas manger cheval. Ceci est très important.