EN HOMMAGE à ORIANA FALLACCI
Ce coup de gueule d’Armando Manocchia président de l’organisation italienne Una Via per Oriana Fallaci, créée en l’honneur de la journaliste et
très belle Oriana Fallaci.[1]
Salauds ! C’est de votre faute. LÂCHES !
Nous en avons marre. Maintenant nous en avons vraiment marre. La novlangue et la pensée unique qui nous sont imposées d’en haut sont une insulte à l’intelligence, à la liberté et à notre condition d’hommes. Et vous nous excuserez mesdames les féministes hystériques d’employer le mot « homme », mot qui englobe tout le genre humain, hommes, femmes, jeunes, vieux, enfants, TOUS (Avec leurs complexes sexistes, elles nous ont cassés, les féministes).
Nous sommes en guerre et en temps de guerre, on ne pinaille pas sur des mots, on se bat. Et nous le ferons en temps voulu. Soyez en certains.
Nos parents et nos grands-parents en sont réduits à fouiller dans les poubelles pour trouver à manger et vous, moutons, vous payez les factures des nomades (roms) et, en plus, vous avez peur d’employer le mot de « bohémiens » pour nommer les bohémiens ?
On est en train de piétiner la dignité de ceux qui nous ont mis au monde et vous, vous vous taisez.
Quel est ce respect pour les autres qui conduit à ne plus se respecter soi-même ?
C’est de votre faute. LÂCHES!
Nos anciens sont massacrés dans la rue ou dans leurs maisons par des gens qui ne respectent ni la fragilité de l’âge ni les cheveux blancs et vous, vous avez peur d’avouer en avoir assez d’entretenir des milliers de parasites dans des hôtels ?
C’est de votre faute. LÂCHES !
Vos filles ne savent plus ce que c’est que de se promener tranquillement dans la rue le soir et vous, vous n’avez pas le courage de hurler que les immigrés ne sont pas tous un « enrichissement culturel » ? Que nos propres délinquants nous suffisent ? Que nous ne pouvons plus en tolérer et en entretenir d’autres, dehors ou en prison ? Comment avez-vous le courage de rentrer à la maison et de regarder vos filles dans les yeux ?
C’est de votre faute. LÂCHES !
Vous vivez attachés à vos petites misères comme si c’était une richesse, à votre position sociale comme si c’était un bastion à défendre. Vous n’avez pas encore compris que vos maison ne vous appartiennent plus, que votre position sociale a moins de valeur que du papier hygiénique usé ?
Même vos enfants ne vous appartiennent plus.
Vous n’êtes pas des gens respectables mais des couards qui se cachent derrière l’élégance pour cacher leur lâcheté. Vous n’avez même pas le courage de nommer les choses et les personnes par leur nom. N’avez-vous pas honte, quand vous vous interdisez d’appeler les clandestins des clandestins, uniquement parce que la Boldrini (présidente de la chambre des députés italiens, ndt) vous l’a ordonné ?
Vous vous êtes pliés à la dictature de la pensée unique sans comprendre que, si on vous impose une seule idée, cela a en réalité pour but de vous empêcher de réfléchir. Et vous, pauvres idiots, vous vous êtes interdits d’appeler le pain du pain, le vin du vin et la merde de la merde.
Les peureux, les tièdes et les impartiaux sont la ruine du monde. Honte à vous !
C’est de votre faute. LÂCHES !
Les Chrétiens sont maltraités et massacrés partout dans le monde (et le phénomène est en nette augmentation). Pendant ce temps, vous laissez les mosquées se construire et vous avez de la peine à admettre que l’islam n’est pas une religion de paix d’amour et de tolérance, parce que vous avez PEUR que l’on vous accuse d’islamophobie et aussi parce que Bergoglio (pape François ndt) vous l’a ordonné. Ce fut le dernier coup de pied donné au pilier désormais branlant d’une chrétienté à l’agonie. (Que Bergoglio s’occupe des églises vides au lieu d’écouter les commérages des quelques femmes qui vont encore à l’église, et cela malgré lui !)
C’est de votre faute. LÂCHES !
Nos villes sont devenues de fétides latrines où chacun peut bivouaquer, uriner, déféquer, de jour comme de nuit, où il veut. Ce sont maintenant des souks puants où les monuments sont utilisés comme bidets pour se laver les pieds ou comme salon lavoir pour faire sa lessive, tout ça pendant que les politiques offrent notre sang et l’argent de nos taxes en dons (des milliards) aux coopératives comme caritas, migrantes et autres associations mondialistes.
Et vous, vous restez coi ! LÂCHES !
Roms lavant leurs habits dans la fontaine du Tabernacolo delle Fonticine un des plus beau Tabernacle de Florence
On a l’interdiction de critiquer une ministre de la république italienne (Kyenge ndt), qui n’a jamais eu une seule parole positive en faveur des Italiens et qui se réfugie toujours derrière la couleur de sa peau dès que des critiques sont émises sur ses idées (et non sur son lieu de naissance). C’est ça le vrai racisme.
Nous pouvons finir au tribunal pour offense si nous insultons le responsable de cette bande criminelle qui nous a vendus aux pouvoirs supranationaux.
Mais où est l’offense ? Les offensés, les outragés ce sont nous et nos enfants qui avons devant nous un futur plus qu’incertain.
Les outragés ce sont les Italiens sans travail, sans maison et sans espoir.
Les outragés ce sont ceux qui vivent dans leur voiture ou dans la rue, ceux qui ne se soignent plus parce qu’ils ne peuvent plus payer, ceux qui n’ont plus fait un repas complet depuis des mois, ceux qui font la queue pour du pain mais aussi pour payer les taxes !
Salauds ! C’est de votre faute. LÂCHES !
Nous, ici, nous continuerons a nommer les choses et les personnes de leur nom parce que nous sommes nés libres et que nous mourrons libres.
Les esclaves, c’est vous. Vous êtes esclaves parce que vos cerveaux sont esclaves.
Vous êtes esclaves parce que vous n’avez pas le courage de vos idées et de vos actions.
Vous êtes esclaves parce que vous vous êtes couchés devant les tyrans sans même essayer de combattre. Et surtout, vous êtes vils, vous êtes des lapins en cage, fiers de ronger la carotte donnée par votre maître qui vous regarde avec satisfaction et vous appelle « ses mignons politiquement corrects ».
N’avez-vous pas honte ?
Y a-t-il en vous encore quelque fierté ?
Où est le coup de griffe du lion qui réagit aux insultes ?
Salauds ! Voilà à quoi nous en sommes réduits par votre faute. LÂCHES !
Armando MANOCCHIA
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