[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Présentation du Final Four 2006
"A Indianapolis"
Cette saison NCAA a bouleversé le paysage et malmené les préjugés. Déjà, les équipes qualifiées pour ce Final Four étaient totalement inattendues et l’homme qui a réussi à pronostiquer ce dernier carré doit aujourd’hui être assez riche pour mettre à l’abri sa famille pour 6 générations. Mais il faut aller un peu plus loin pour se rendre compte du réel changement.
Toutes ces équipes sont étonnaments jeunes, certes il n’est pas rare de voir une formation de freshmen ou de sophomores aller loin mais là, à part GMU, les 3 autres équipes n’ont pour vedettes que des gamins d’à peine 20 ans qui ont passé moins de deux ans sur les bancs de la fac. Glen Davis, Joakim Noah, Al Horford, Jordan Farmar, Arron Afflalo, Tyrus Thomas : tous freshmen ou sophomores.
Changement dans le statut des conférences également, aucun représentant de l’ACC, de la Big East ou de la Big 12 au Final Four. Les équipes de la Big 10 n’ont même pas atteint le Sweet 16. La SEC, que l’on présentait comme faible, avec des équipes en reconstruction et peu compétitives, envoient deux représentants à Indianapolis. La Pac 10 pour UCLA, n’avait pas non plus l’habitude d’un tel succès. Une redistribution des cartes qui demande confirmation.
Mais la véritable révolution, c’est le statut des big men. Tous partis en NBA après le lycée, la NCAA se retrouvait théoriquement dépourvue des intérieurs les plus prometteurs du pays. Le basket universitaire devenant le repère des arrières/ailiers, des shooteurs de loin, des petits meneurs. Tout cela a été balayé par cette édition du tournoi. La faute au duo Davis-Thomas pour LSU, et à son homologue Noah-Horford pour Florida. Des joueurs intérieurs monstrueux sur lesquels leur équipe est bâtie, aussi bien offensivement que défensivement, du jamais vu ces dernières années. Même George Mason, dont les intérieurs ne dépassent pas 2,03m, s’appuient en priorité sur le jeu dos au panier. Une nouveauté.
Gros plan maintenant sur les 4 équipes.
LSU :
Force : Le jeu intérieur donc, incroyablement complémentaire. Glen Davis et Tyrus Thomas sont tous deux originaires de la Louisiane et se côtoient depuis bien longtemps sur les parquets de l’Etat. Davis, surpuissant, est pourtant très agile pour son poids (135 kilos) et joue surtout face au panier, attaquant son adversaire direct en dribble. Thomas est bien plus longiline et joue plus près du cercle, c’est surtout un exceptionnel contreur et rebondeur doté de qualités athlétiques monstrueuses doublées de bras interminables. A eux deux, ils formeraient l’intérieur ultime. LSU s’appuie sur eux pour construire une forteresse autour du panier.
Faiblesse : Je ne parle pas de leur jeunesse (3 freshmen et 1 sophomore dans le 5) puisqu’à peu près tous sont logés à la même enseigne et qu’elle n’a pas été du tout un handicap jusqu’ici. Le problème de LSU se trouve plutôt dans l’absence d’un pur meneur, Darrel Mitchell étant plutôt un 2 décalé pour rendre service, ainsi que dans la faiblesse de la menace extérieure, où seul Garrett Temple et Mitchell sont réellement dangereux, sans être de grands shooteurs.
UCLA :
Force : Le tandem sophomore Arron Afflalo-Jordan Farmar. Le premier est un arrière athlétique doté d’un gros shoot, de belles qualités défensives, et d’un instant clutch qui a fait merveille dans le tournoi. Farmar, est probablement le meilleur meneur de ce Final Four, imprimant le lent tempo des matchs des Bruins, et possédant une grande adresse de loin. Collectivement, UCLA possède la plus grosse défense du tournoi et ils deviennent quasi injouable quand le match se joue en moins de 60 points.
Faiblesse : Le jeu intérieur clairement. Pourtant Ryan Hollins a haussé son niveau de jeu pendant ce tournoi mais il représente le seul véritable intérieur d’impact. Luc Richard Mbah Moute est plus un ailier qui se décale en 4 suivant les circonstances, et cela lui sera difficile face à la taille de LSU.
Pronostic sur la demi-finale :
Une opposition de style, la puissance intérieure de LSU contre les arrières de UCLA. La clé résidera dans la capacité des Bruins à défendre collectivement sur Thomas et Davis car ils n’ont pas les moyens individuels de le faire. En face si Garrett Temple est capable de défendre sur Afflalo de la même manière que face à J.J. Redick (contenu à seulement 11 points) ça risque de devenir insoluble pour UCLA. LSU semble donc posséder plus d’armes pour remporter ce match mais pourrait tout à fait péter les plombs face à la défense de UCLA, et les Bruins ont montré qu’ils savaient empocher les matchs serrés.
Florida :
Force : Joakim Noah-Al Horford. Duo terrifiant athlétiquement qui joue plusieurs étages au-dessus de tout le monde (à part Tyrus Thomas). Le plus gros impact est défensif, tellement leur présence est dissuassive, de nombreux contres et encore plus de shoots changés par peur de ce contre, la raquette devient imprenable. Offensivement, c’est également efficace, même si ça reste près du panier. Le physique fait le reste, à coup de grands dunks et de lay-up le coude au-dessus du cercle.
Faiblesse : On peut redouter, l’irrégularité de la ligne arrière, Corey Brewer et surtout Taurean Green, jouant parfois par intermittance. Lee Humphrey est un gros shooteur mais qui peut s’entêter et gaspiller dans un mauvais match. De plus, si le duo d’intérieur est tenu et malmené au rebond (ce qui n’a pas été le cas depuis longtemps), Florida perd quasiment à chaque fois.
George Mason :
Force : Le collectif évidemment. Une défense agressive tout d’abord, qui fait chuter considérablement le pourcentage de leurs adversaires. Et une attaque léchée, avec l’éternelle recherche du meilleur shoot, de l’homme libre. Mais surtout, c’est une équipe qui a un coeur monstrueux, qui n’est jamais battu et qui s’accrochera quoiqu’il arrive.
Faiblesse : La taille, puisqu’aucun joueur ne dépasse 2,03m, ce qui risque d’être un problème contre Florida. Athlétiquement ça reste assez moyen également, et puis dans la qualité globale du joueur tout simplement. Les Patriots ne possèdent probablement aucun joueur qui réussira au plus haut niveau, et si cela ne les a pas dérangé jusque là, ça pourrait venir.
Pronostic sur la demi-finale :
Florida est évidemment favori comme toutes les équipes qui ont joué George Mason jusqu’ici. De plus, les Gators possèdent des intérieurs véritablement productifs offensivement (ce qui n’était pas vraiment le cas de UConn) qui risquent de poser d’énormes problèmes à GMU qui ne peut répondre au niveau physique. Puis Florida semble jouer avec bien plus de passion que les Huskies. Mais bon, GMU a tellement surpris jusqu’ici qu’il est dangereux de trop s’avancer.
Début du Final Four, dans la nuit de samedi à dimanche à 1h pour Florida-George Mason.
www.basketime.net
"A Indianapolis"
Cette saison NCAA a bouleversé le paysage et malmené les préjugés. Déjà, les équipes qualifiées pour ce Final Four étaient totalement inattendues et l’homme qui a réussi à pronostiquer ce dernier carré doit aujourd’hui être assez riche pour mettre à l’abri sa famille pour 6 générations. Mais il faut aller un peu plus loin pour se rendre compte du réel changement.
Toutes ces équipes sont étonnaments jeunes, certes il n’est pas rare de voir une formation de freshmen ou de sophomores aller loin mais là, à part GMU, les 3 autres équipes n’ont pour vedettes que des gamins d’à peine 20 ans qui ont passé moins de deux ans sur les bancs de la fac. Glen Davis, Joakim Noah, Al Horford, Jordan Farmar, Arron Afflalo, Tyrus Thomas : tous freshmen ou sophomores.
Changement dans le statut des conférences également, aucun représentant de l’ACC, de la Big East ou de la Big 12 au Final Four. Les équipes de la Big 10 n’ont même pas atteint le Sweet 16. La SEC, que l’on présentait comme faible, avec des équipes en reconstruction et peu compétitives, envoient deux représentants à Indianapolis. La Pac 10 pour UCLA, n’avait pas non plus l’habitude d’un tel succès. Une redistribution des cartes qui demande confirmation.
Mais la véritable révolution, c’est le statut des big men. Tous partis en NBA après le lycée, la NCAA se retrouvait théoriquement dépourvue des intérieurs les plus prometteurs du pays. Le basket universitaire devenant le repère des arrières/ailiers, des shooteurs de loin, des petits meneurs. Tout cela a été balayé par cette édition du tournoi. La faute au duo Davis-Thomas pour LSU, et à son homologue Noah-Horford pour Florida. Des joueurs intérieurs monstrueux sur lesquels leur équipe est bâtie, aussi bien offensivement que défensivement, du jamais vu ces dernières années. Même George Mason, dont les intérieurs ne dépassent pas 2,03m, s’appuient en priorité sur le jeu dos au panier. Une nouveauté.
Gros plan maintenant sur les 4 équipes.
LSU :
Force : Le jeu intérieur donc, incroyablement complémentaire. Glen Davis et Tyrus Thomas sont tous deux originaires de la Louisiane et se côtoient depuis bien longtemps sur les parquets de l’Etat. Davis, surpuissant, est pourtant très agile pour son poids (135 kilos) et joue surtout face au panier, attaquant son adversaire direct en dribble. Thomas est bien plus longiline et joue plus près du cercle, c’est surtout un exceptionnel contreur et rebondeur doté de qualités athlétiques monstrueuses doublées de bras interminables. A eux deux, ils formeraient l’intérieur ultime. LSU s’appuie sur eux pour construire une forteresse autour du panier.
Faiblesse : Je ne parle pas de leur jeunesse (3 freshmen et 1 sophomore dans le 5) puisqu’à peu près tous sont logés à la même enseigne et qu’elle n’a pas été du tout un handicap jusqu’ici. Le problème de LSU se trouve plutôt dans l’absence d’un pur meneur, Darrel Mitchell étant plutôt un 2 décalé pour rendre service, ainsi que dans la faiblesse de la menace extérieure, où seul Garrett Temple et Mitchell sont réellement dangereux, sans être de grands shooteurs.
UCLA :
Force : Le tandem sophomore Arron Afflalo-Jordan Farmar. Le premier est un arrière athlétique doté d’un gros shoot, de belles qualités défensives, et d’un instant clutch qui a fait merveille dans le tournoi. Farmar, est probablement le meilleur meneur de ce Final Four, imprimant le lent tempo des matchs des Bruins, et possédant une grande adresse de loin. Collectivement, UCLA possède la plus grosse défense du tournoi et ils deviennent quasi injouable quand le match se joue en moins de 60 points.
Faiblesse : Le jeu intérieur clairement. Pourtant Ryan Hollins a haussé son niveau de jeu pendant ce tournoi mais il représente le seul véritable intérieur d’impact. Luc Richard Mbah Moute est plus un ailier qui se décale en 4 suivant les circonstances, et cela lui sera difficile face à la taille de LSU.
Pronostic sur la demi-finale :
Une opposition de style, la puissance intérieure de LSU contre les arrières de UCLA. La clé résidera dans la capacité des Bruins à défendre collectivement sur Thomas et Davis car ils n’ont pas les moyens individuels de le faire. En face si Garrett Temple est capable de défendre sur Afflalo de la même manière que face à J.J. Redick (contenu à seulement 11 points) ça risque de devenir insoluble pour UCLA. LSU semble donc posséder plus d’armes pour remporter ce match mais pourrait tout à fait péter les plombs face à la défense de UCLA, et les Bruins ont montré qu’ils savaient empocher les matchs serrés.
Florida :
Force : Joakim Noah-Al Horford. Duo terrifiant athlétiquement qui joue plusieurs étages au-dessus de tout le monde (à part Tyrus Thomas). Le plus gros impact est défensif, tellement leur présence est dissuassive, de nombreux contres et encore plus de shoots changés par peur de ce contre, la raquette devient imprenable. Offensivement, c’est également efficace, même si ça reste près du panier. Le physique fait le reste, à coup de grands dunks et de lay-up le coude au-dessus du cercle.
Faiblesse : On peut redouter, l’irrégularité de la ligne arrière, Corey Brewer et surtout Taurean Green, jouant parfois par intermittance. Lee Humphrey est un gros shooteur mais qui peut s’entêter et gaspiller dans un mauvais match. De plus, si le duo d’intérieur est tenu et malmené au rebond (ce qui n’a pas été le cas depuis longtemps), Florida perd quasiment à chaque fois.
George Mason :
Force : Le collectif évidemment. Une défense agressive tout d’abord, qui fait chuter considérablement le pourcentage de leurs adversaires. Et une attaque léchée, avec l’éternelle recherche du meilleur shoot, de l’homme libre. Mais surtout, c’est une équipe qui a un coeur monstrueux, qui n’est jamais battu et qui s’accrochera quoiqu’il arrive.
Faiblesse : La taille, puisqu’aucun joueur ne dépasse 2,03m, ce qui risque d’être un problème contre Florida. Athlétiquement ça reste assez moyen également, et puis dans la qualité globale du joueur tout simplement. Les Patriots ne possèdent probablement aucun joueur qui réussira au plus haut niveau, et si cela ne les a pas dérangé jusque là, ça pourrait venir.
Pronostic sur la demi-finale :
Florida est évidemment favori comme toutes les équipes qui ont joué George Mason jusqu’ici. De plus, les Gators possèdent des intérieurs véritablement productifs offensivement (ce qui n’était pas vraiment le cas de UConn) qui risquent de poser d’énormes problèmes à GMU qui ne peut répondre au niveau physique. Puis Florida semble jouer avec bien plus de passion que les Huskies. Mais bon, GMU a tellement surpris jusqu’ici qu’il est dangereux de trop s’avancer.
Début du Final Four, dans la nuit de samedi à dimanche à 1h pour Florida-George Mason.
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Photos en ligne. Désolé pour la qualité ... :???:vinsanity wrote:CR de la victoire du SEB, photos demain
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=1884
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El Couramiaud
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Comme prévu un gros match hier à sainté avec un Kelley Mac "Clutch" encore énorme. Il débute pourtant pas super bien la partie, par contre il est la au moment ou il faut, c'est à dire en fin de rencontre, quand s'est bien tendu et qu'il faut shooter les paniers importants.
S'il termine avec 21 points, il faut bien voir qu'il a inscrit la grande part de ceux-ci dans le dernier quart. Et puis c'est énorme la façon dont il est allé chercher une faute de son adversaire sur un shoot à trois points. Avec un tel joueur le SEB peux voir loin, même si il faut pas le dire trop fort.
Gros match également pour Mark Dean, vraiment très fort sous le cercle et qui a livré un duel de toute beauté avec Lear.
Par contre, j'ai trouvé Sanjay Adell pas génial, quand pense tu Vinsanity? Toi qui était au match.
Un mot également sur l'ambiance, j'ai rarement vu le Bardot aussi plein et une aussi grosse ambiance. Il faut dire que les supporters Vichyssois y était pour beaucoup. On a beaucoup à apprendre d'eux (Au niveau basket bien sur).
S'il termine avec 21 points, il faut bien voir qu'il a inscrit la grande part de ceux-ci dans le dernier quart. Et puis c'est énorme la façon dont il est allé chercher une faute de son adversaire sur un shoot à trois points. Avec un tel joueur le SEB peux voir loin, même si il faut pas le dire trop fort.
Gros match également pour Mark Dean, vraiment très fort sous le cercle et qui a livré un duel de toute beauté avec Lear.
Par contre, j'ai trouvé Sanjay Adell pas génial, quand pense tu Vinsanity? Toi qui était au match.
Un mot également sur l'ambiance, j'ai rarement vu le Bardot aussi plein et une aussi grosse ambiance. Il faut dire que les supporters Vichyssois y était pour beaucoup. On a beaucoup à apprendre d'eux (Au niveau basket bien sur).
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El Couramiaud
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Gros match hier pour Boris Diaw, qui est passé une fois encore, tout près du triple double, mais qui a pris une part prépondérente dans le succès de Phoenix face à Toronto 140 à 126.
Ses stats: 26 pts à 9/14 9 pds et 8 rbds.
Bon match également pour Johan Petro, avec 12 pts à 6/8 et 8 rebonds. Par contre Seattle s'incline devant les Lakers 93-11. Une équipe de LA ou Ronnie Turiaf semble faire son trou petit à petit puisqu'il présente une fiche de 6 pts à 2/3, 7 rbds et 3 pds, le tout en 16 minutes. Plutot pas mal?
Mike Pietrus n'a pas été en reste non plus avec 16 pts à 7/11. En revanche, il n'a pas pu empêcher Golden State d'enchainer une nouvelle défaite face à Sacramento.
Pour répondre à Olive verte, c'est vrai que Cristobal Huet est né à Saint-Martin-d'hères. J'ai voulu généralisé en disant Grenoble. A Propos, Montreal confirme sa bonne passe actuelle, puisque les Canadiens se sont imposés en prolongation il y a deux jours, face à Washington 3 à 2.
Ses stats: 26 pts à 9/14 9 pds et 8 rbds.
Bon match également pour Johan Petro, avec 12 pts à 6/8 et 8 rebonds. Par contre Seattle s'incline devant les Lakers 93-11. Une équipe de LA ou Ronnie Turiaf semble faire son trou petit à petit puisqu'il présente une fiche de 6 pts à 2/3, 7 rbds et 3 pds, le tout en 16 minutes. Plutot pas mal?
Mike Pietrus n'a pas été en reste non plus avec 16 pts à 7/11. En revanche, il n'a pas pu empêcher Golden State d'enchainer une nouvelle défaite face à Sacramento.
Pour répondre à Olive verte, c'est vrai que Cristobal Huet est né à Saint-Martin-d'hères. J'ai voulu généralisé en disant Grenoble. A Propos, Montreal confirme sa bonne passe actuelle, puisque les Canadiens se sont imposés en prolongation il y a deux jours, face à Washington 3 à 2.
Sanjay Adell pas super ? Euh ... je l'ai quand même pas trouvé mal du tout. Certes, il n'inscrit pas ses paniers dans les moments chauds, mais il a capté pas mal de rebonds importants en fin de match. Il termine avec la meilleure éval coté Stéphanois à égalité avec K-Mac. 14pts à 5/9 et 9 rebonds pour Adell. Mais c'est vrai qu'on l'a pas trop vu. Il a plutôt été un travailleur de l'ombre sur ce match, mais son apport a été précieux. On l'a vu plus flashy, c'est vrai. A noter pour lui le contre du match tout de même. Je sais plus sur qui, mais il a mis une sacré bâche.
Je sais pas ce que tu as pensé de Johan Passave, mais moi je suis fan. Un joueur besogneux, pas forcément très adroit, mais quel battant aux rebonds et en défense ... pour moi c'était l'homme de la 1ère MT. Il avait pris 7 rebonds dont 5 offensifs et permettait au SEB de mener 27-20 aux rebonds à la mi-temps. En prime en 2nde mi-temps il a inscrit quelques paniers. Mais uniquement près du cercle.
Très très grosse ambiance. Ca faisait plaisir, même si les Vichyssois était un peu rop bruyant à mon gout :twisted:
Tu étais dans quel tribune Couramiaud ?
Je sais pas ce que tu as pensé de Johan Passave, mais moi je suis fan. Un joueur besogneux, pas forcément très adroit, mais quel battant aux rebonds et en défense ... pour moi c'était l'homme de la 1ère MT. Il avait pris 7 rebonds dont 5 offensifs et permettait au SEB de mener 27-20 aux rebonds à la mi-temps. En prime en 2nde mi-temps il a inscrit quelques paniers. Mais uniquement près du cercle.
Très très grosse ambiance. Ca faisait plaisir, même si les Vichyssois était un peu rop bruyant à mon gout :twisted:
Tu étais dans quel tribune Couramiaud ?
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El Couramiaud
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On ne peux qu'être fan de Johan Passave. D'abord parce que c'est le seul joueur formé au club qui a réussi à s'imposer dans rotation de l'équipe seniors, ensuite parce que c'est vrai que c'est un vrai guerrier.
Il a fait une bonne partie, limitant bien la casse dans raquette, lorsque Thinet à du faire sortir Dean. Il a du jump et puis il est encore jeune et il a je pense encore une grosse marge de progression. il a parfois des geste de grande classe, comme parfois il peut complètement se trouer mais bon, il est jeune et il progresse de plus en plus. En plus et je ne le connais pas personnellement, mais il a l'air d'un mec bien.
Sinon j'était comme d'habitude dans la tribune sud derrière le panneau. Un tout petit peu plus haut que le petit groupe de supporter du SEB.
J'était avec un ami qui m'a fait je trouve une judicieuse remarque, en relevant qu'il n'y avait pas de produits aux couleurs du SEB , n'y même une écharpe ou un tee shirt. Dommage non?
A noter qu'a Saint-Chamond il y des écharpes et des casquettes en vente, de même qu'a Feurs, alors que se ne sont que des clubs de N1.
Il a fait une bonne partie, limitant bien la casse dans raquette, lorsque Thinet à du faire sortir Dean. Il a du jump et puis il est encore jeune et il a je pense encore une grosse marge de progression. il a parfois des geste de grande classe, comme parfois il peut complètement se trouer mais bon, il est jeune et il progresse de plus en plus. En plus et je ne le connais pas personnellement, mais il a l'air d'un mec bien.
Sinon j'était comme d'habitude dans la tribune sud derrière le panneau. Un tout petit peu plus haut que le petit groupe de supporter du SEB.
J'était avec un ami qui m'a fait je trouve une judicieuse remarque, en relevant qu'il n'y avait pas de produits aux couleurs du SEB , n'y même une écharpe ou un tee shirt. Dommage non?
A noter qu'a Saint-Chamond il y des écharpes et des casquettes en vente, de même qu'a Feurs, alors que se ne sont que des clubs de N1.
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El Couramiaud
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Pour ma part j'étais en plein milieu de l'escalier central dans cette même tribune, on devait pas être bien loin donc.
Je savais pas qu'il avait été formé au club :oops: donc il remonte encore plus dans mon estime :lol: Il a l'air vraiment sympa il est vrai.
Je crois bien qu'il y a une écharpe aux couleurs du SEB, et quelques uns portaient le maillot de match du SEB aussi. Mais c'est vrai que le merchandising est vraiment très peu developpé ...
Je savais pas qu'il avait été formé au club :oops: donc il remonte encore plus dans mon estime :lol: Il a l'air vraiment sympa il est vrai.
Je crois bien qu'il y a une écharpe aux couleurs du SEB, et quelques uns portaient le maillot de match du SEB aussi. Mais c'est vrai que le merchandising est vraiment très peu developpé ...
Et pas des clubs Européens ? Pb de budgets sans doute alors...El Couramiaud wrote:LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.
Sinon, c'est toujours Jean marc Phalippon le président du SEBC ? Enfin, il est président depuis peu de temps je crois.
Il n'y a quasiment aucune équipe qui conserve son effecitf. Chaque année les meilleurs s'en vont dans des clubs plus huppés et il faut constamment reconstruire.El Couramiaud wrote:C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
En arrivant dans un club, la plupart des joueurs, en dehors des joueurs confirmés, ne signent que pour une seule saison. Celà leur laisse la possibilité de partir ailleurs, et au club de s'en débarasser si il ne satisfait pas, même en cours de saison.
Cette saison la Chorale essaye de resigner ses joueurs, et on voit que c'est la croix et la bannière. Mike Bauer refuse de signer, Ali Traoré aussi semble il, pour Harper et Badiane rien n'est sur, et finalement seul Dee Spencer a prolongé. Chaque année les meilleurs joueurs s'en vont, et il faut donc rebatir une ossature.
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El Couramiaud wrote:LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.
En fait, je voulais dire que c'est un problème récurrent dans le basket de voir les effectifs bouleversés d'une saison à l'autre.
Il serait bien que le SEB parviennent a péréniser l'effectif, Maintenant, on sait que c'est toujours difficile de garder des ricains d'une saison à l'autre.
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vinsanity wrote:Il n'y a quasiment aucune équipe qui conserve son effecitf. Chaque année les meilleurs s'en vont dans des clubs plus huppés et il faut constamment reconstruire.El Couramiaud wrote:C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
En arrivant dans un club, la plupart des joueurs, en dehors des joueurs confirmés, ne signent que pour une seule saison. Celà leur laisse la possibilité de partir ailleurs, et au club de s'en débarasser si il ne satisfait pas, même en cours de saison.
Cette saison la Chorale essaye de resigner ses joueurs, et on voit que c'est la croix et la bannière. Mike Bauer refuse de signer, Ali Traoré aussi semble il, pour Harper et Badiane rien n'est sur, et finalement seul Dee Spencer a prolongé. Chaque année les meilleurs joueurs s'en vont, et il faut donc rebatir une ossature.
Sans compter que désormais, c'est en cours de saison que les clubs se chipent les meilleurs ricain, comme Strasbourg qui a fait signer Linehan du PBR. La liste est longue en ce sens et c'est un vrai problème pour le basket, car les supporters ont du mal à s'identifier à leur équipe et a vraiment être fidèle à une formation qui n'arrête pas de bouger.
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El Couramiaud
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Comme pour le foot, les clubs des grandes ligues européennes (Italie, Espagne, Grêce mais aussi Russie, Turquie et Israel) disposent de moyens financiers autrement plus importants. Ils peuvent du coup fairent venir et conserver les meilleurs joueurs de basket hors NBA. Cela est valable pour les Français, puisque la quasi totalité des meilleurs français évoluent en Italie ou en Espagne. Il y a malgré tout énormément de mouvement d'une année à l'autre, surtout au niveau des joueurs US.LE SPHINX wrote:Et pas des clubs Européens ? Pb de budgets sans doute alors...El Couramiaud wrote:LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.
Sinon, c'est toujours Jean marc Phalippon le président du SEBC ? Enfin, il est président depuis peu de temps je crois.
J'ajouterais que la situation pour le basket français dans ce domaine est beaucoup plus grave qu'en football.
Merci pour vos réponses les spécialistes 
Sinon, y sont bientôt playoffables maintenant le SEBC ?
En fait, au temps du défunt CASE, je suivais de prés le basket Stéphanois. Y'a un joueur que j'adorais, c'était Carl Nicks. Maxi Basket l'avait surnommé le dragster. Un meneur ultra rapide qui avait été champion NCAA avec comme capitaine de son équipe un certain.....Larry Bird !!
Sinon, y sont bientôt playoffables maintenant le SEBC ?
En fait, au temps du défunt CASE, je suivais de prés le basket Stéphanois. Y'a un joueur que j'adorais, c'était Carl Nicks. Maxi Basket l'avait surnommé le dragster. Un meneur ultra rapide qui avait été champion NCAA avec comme capitaine de son équipe un certain.....Larry Bird !!
Je pense que Passave est arrivé en Espoir... parce qu'il a quasi le meme age que moi, et je ne l'ai jamais vu jouer dans les équipes de jeune. J'ai joué la bas en Benjamin, Minime et Cadet, et il n'y était pas...vinsanity wrote: Je savais pas qu'il avait été formé au club :oops: donc il remonte encore plus dans mon estime :lol: Il a l'air vraiment sympa il est vrai.
Quelqu'un aurait l'effectif Espoir ?
Ils sont à une seule petite victoire des playoffs et 2 de la 4ème place ... tout le monde rigolait quand j'avais sorti qu'on pouvait aller en playoffs après la victoire à BesanconLE SPHINX wrote:Merci pour vos réponses les spécialistes
Sinon, y sont bientôt playoffables maintenant le SEBC ?
En fait, au temps du défunt CASE, je suivais de prés le basket Stéphanois. Y'a un joueur que j'adorais, c'était Carl Nicks. Maxi Basket l'avait surnommé le dragster. Un meneur ultra rapide qui avait été champion NCAA avec comme capitaine de son équipe un certain.....Larry Bird !!
Mardi le SEB va à Quimper, et ensuite le calendrier est nettement plus simple durant 3 matches avec des rencontres face à Charleville, Aix Maurienne et Golbey Epinal.
In interviews with two NBA personnel executives, one from the Eastern Conference and one from the Western, a clear order of preference emerged, though both said that the evaluation process would swing on individual workouts should the underclassmen declare for the draft. Both executives spoke on the condition of anonymity because the NBA prohibits personnel from specifically discussing underclassmen who have yet to renounce college eligibility. Both scouts said Noah would be the narrow choice over Thomas, but both have pushed themselves into the top five of the draft with their jaw-dropping March performances. Noah, in fact, would be in the mix to be the No. 1 overall pick. Bristol Press
"He’s athletic, he runs the court, he jumps very well, he’s got a good basketball IQ, shot blocker -- he’s a stat filler," the Western executive said of Noah. "He’s very similar to Andrei Kirilenko. He can fill every stat on the score sheet." "I think it would be a fight between Thomas and Noah in terms of who would go No. 1 in the draft," the Eastern executive said. "It could very well come down to who wins the championship. If Noah were to lead his team to the title, I think he could easily go one. I think Thomas could, as well." Bristol Press
"He causes a lot of problems. Quick feet. He dives on the floor for loose balls. I think he’s an ideal (power forward). Excellent chance to be the No. 1 pick, top five at worst." Because of that, the Eastern executive is skeptical of Noah’s return to college. "You’re going to hear a lot of that at this stage, but if you sit down and evaluate it, what’s his purpose of going back to school? Is it to go from the third pick to the second? Is it worth that risk?" Bristol Press
On media day for the Final Four today, Florida's Joakim Noah figures to be flooded with questions from national media. Many will undoubtedly center around the possibility of him leaving early for the NBA. That's not a question he's interested in addressing right now. Unless he changes his stance, Noah will be wearing a Gator uniform next season. "I'm having the time of my life," Noah said. "Right now, I'm loving this. This is what it's all about. I know that people dream about going to the NBA, but it's a little different for me because I'm not one of those people who didn't have food on the table (growing up)." Florida Today
What if he is told he would be the No. 1 overall selection? "It's definitely something you consider; that's a lot of hamburgers right there," Noah confessed. "But right now, if anybody on this team thought about the NBA at this point right now, that would be the most selfish and disappointing thing. I think it's something that I'll definitely talk about with my family and my coaches, but money doesn't buy happiness. That's the truth." Florida Today
"The refrigerator was always full when I went home. I mean, I understand why people talk about it and that's my dream, but at the same time, is that what it's all about? I love my life right now and I love playing for Florida." Noah has seen some NBA games up close and isn't excited about giving up college to play professionally, yet. "Honestly, I went to an NBA game last year and I left in the middle of the game. It was boring," he said. "It was the Knicks and the Nets and it was boring. It was a joke almost. "College is just so fun. I'm not worried about it, I'm not thinking about it. I'm not going to let the people that say things about me being a lottery pick or who say he's done this year. . . who are you to tell me what to do with my life? At the end of the day, I know myself better than anybody else." Florida Today
The popular ESPN daily show Pardon the Interruption called, asking for a five-minute interview. Noah declined. His replacement guest, ESPN analyst Hubert Davis, spent half his five minutes debating whether Noah, Duke's J.J. Redick or Gonzaga's Adam Morrison would be a better NBA draft pick this summer. "He doesn't want this," UF Coach Billy Donovan said of the attention surrounding Noah. "He wants to spread it around. He doesn't view himself as a celebrity." South Florida Sun-Sentinel
"He’s athletic, he runs the court, he jumps very well, he’s got a good basketball IQ, shot blocker -- he’s a stat filler," the Western executive said of Noah. "He’s very similar to Andrei Kirilenko. He can fill every stat on the score sheet." "I think it would be a fight between Thomas and Noah in terms of who would go No. 1 in the draft," the Eastern executive said. "It could very well come down to who wins the championship. If Noah were to lead his team to the title, I think he could easily go one. I think Thomas could, as well." Bristol Press
"He causes a lot of problems. Quick feet. He dives on the floor for loose balls. I think he’s an ideal (power forward). Excellent chance to be the No. 1 pick, top five at worst." Because of that, the Eastern executive is skeptical of Noah’s return to college. "You’re going to hear a lot of that at this stage, but if you sit down and evaluate it, what’s his purpose of going back to school? Is it to go from the third pick to the second? Is it worth that risk?" Bristol Press
On media day for the Final Four today, Florida's Joakim Noah figures to be flooded with questions from national media. Many will undoubtedly center around the possibility of him leaving early for the NBA. That's not a question he's interested in addressing right now. Unless he changes his stance, Noah will be wearing a Gator uniform next season. "I'm having the time of my life," Noah said. "Right now, I'm loving this. This is what it's all about. I know that people dream about going to the NBA, but it's a little different for me because I'm not one of those people who didn't have food on the table (growing up)." Florida Today
What if he is told he would be the No. 1 overall selection? "It's definitely something you consider; that's a lot of hamburgers right there," Noah confessed. "But right now, if anybody on this team thought about the NBA at this point right now, that would be the most selfish and disappointing thing. I think it's something that I'll definitely talk about with my family and my coaches, but money doesn't buy happiness. That's the truth." Florida Today
"The refrigerator was always full when I went home. I mean, I understand why people talk about it and that's my dream, but at the same time, is that what it's all about? I love my life right now and I love playing for Florida." Noah has seen some NBA games up close and isn't excited about giving up college to play professionally, yet. "Honestly, I went to an NBA game last year and I left in the middle of the game. It was boring," he said. "It was the Knicks and the Nets and it was boring. It was a joke almost. "College is just so fun. I'm not worried about it, I'm not thinking about it. I'm not going to let the people that say things about me being a lottery pick or who say he's done this year. . . who are you to tell me what to do with my life? At the end of the day, I know myself better than anybody else." Florida Today
The popular ESPN daily show Pardon the Interruption called, asking for a five-minute interview. Noah declined. His replacement guest, ESPN analyst Hubert Davis, spent half his five minutes debating whether Noah, Duke's J.J. Redick or Gonzaga's Adam Morrison would be a better NBA draft pick this summer. "He doesn't want this," UF Coach Billy Donovan said of the attention surrounding Noah. "He wants to spread it around. He doesn't view himself as a celebrity." South Florida Sun-Sentinel
Final Four NCAA: Noah et les Gators en finale !
02/04/2006 - 08:40
Florida a tenu son rang. Favorite de sa demi-finale du Final Four NCAA, l'université floridienne a effectivement mis fin à la belle aventure de George Mason. Malgré une belle résistance des Patriots lors de la première période, les Gators l'ont sereinement emporté 73-58, s'appuyant, une fois n'est pas coutume, sur la verve de leurs artificiers Corey Brewer et Lee Humphrey, tous les deux auteurs de 19 points et le second signant notamment six tirs primés. Quant à Joakim Noah, à défaut de réussite, le ‘Français' americano-suédois a fait dans son éclectisme habituel avec 12 points, 8 rebonds et 4 contres. En finale, lundi, Florida affontera UCLA, vainqueur de LSU 59-45.
www.sports.fr
Et voilà pour la Chorale ...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=1895
02/04/2006 - 08:40
Florida a tenu son rang. Favorite de sa demi-finale du Final Four NCAA, l'université floridienne a effectivement mis fin à la belle aventure de George Mason. Malgré une belle résistance des Patriots lors de la première période, les Gators l'ont sereinement emporté 73-58, s'appuyant, une fois n'est pas coutume, sur la verve de leurs artificiers Corey Brewer et Lee Humphrey, tous les deux auteurs de 19 points et le second signant notamment six tirs primés. Quant à Joakim Noah, à défaut de réussite, le ‘Français' americano-suédois a fait dans son éclectisme habituel avec 12 points, 8 rebonds et 4 contres. En finale, lundi, Florida affontera UCLA, vainqueur de LSU 59-45.
www.sports.fr
Et voilà pour la Chorale ...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=1895
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GREENman42
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pour Harper et Badiane c'est en trés,trés,trés bonne voievinsanity wrote:Il n'y a quasiment aucune équipe qui conserve son effecitf. Chaque année les meilleurs s'en vont dans des clubs plus huppés et il faut constamment reconstruire.El Couramiaud wrote:C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
En arrivant dans un club, la plupart des joueurs, en dehors des joueurs confirmés, ne signent que pour une seule saison. Celà leur laisse la possibilité de partir ailleurs, et au club de s'en débarasser si il ne satisfait pas, même en cours de saison.
Cette saison la Chorale essaye de resigner ses joueurs, et on voit que c'est la croix et la bannière. Mike Bauer refuse de signer, Ali Traoré aussi semble il, pour Harper et Badiane rien n'est sur, et finalement seul Dee Spencer a prolongé. Chaque année les meilleurs joueurs s'en vont, et il faut donc rebatir une ossature.
sinon encore un bon match de la chorale hier,on est 8eme(donc une bonne place pour les play off),aprés 3 saison galere la chorale arrive enfin a avoir un bon classement en proA:ange:
ils sont en pleine bourre les Roannais en ce moment mais ils ont un tres gros déplacement le week-end prochainGREENman42 wrote:pour Harper et Badiane c'est en trés,trés,trés bonne voievinsanity wrote:Il n'y a quasiment aucune équipe qui conserve son effecitf. Chaque année les meilleurs s'en vont dans des clubs plus huppés et il faut constamment reconstruire.El Couramiaud wrote:C'est pas faux, mais c'est un problème récurrent dans le basket et qui touche une grande partie des clubs français.LE SPHINX wrote:Le pb du SEBC c'est : comment géreront ils l'inter saison ? Grande braderie comme d'hab ou ou pérennise l'effectif ?
En arrivant dans un club, la plupart des joueurs, en dehors des joueurs confirmés, ne signent que pour une seule saison. Celà leur laisse la possibilité de partir ailleurs, et au club de s'en débarasser si il ne satisfait pas, même en cours de saison.
Cette saison la Chorale essaye de resigner ses joueurs, et on voit que c'est la croix et la bannière. Mike Bauer refuse de signer, Ali Traoré aussi semble il, pour Harper et Badiane rien n'est sur, et finalement seul Dee Spencer a prolongé. Chaque année les meilleurs joueurs s'en vont, et il faut donc rebatir une ossature.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "