C'est vrai que les anglais sont bons dans des sports curieux, quand même... Bon, j'imagine que cela leur fait le même effet que les français avec l'escrime ou le biathlon mais, nous, on chope des médailles aux Jeux avec ça.Dissident wrote:Ouaip. Cricket, fléchettes, snooker, et par ici les médailles.Karamba wrote:Mais le rugby n'est pas olympique ! :dontknow: A moins que les anglais ne forcent la main au CIO. :shock:Dissident wrote:Merci mais je préfère le rugby. :lol: :???:Karamba wrote:Il faudra bien te mettre au basket d'ici 2012 car l'Angleterre cherche, enfin, à monter une équipe digne de ce nom pour ses JO. Ainsi, deux honnêtes joueurs NBA, Luol Deng et Ben Gordon sont courtisés par la Fédé britannique pour mener l'équipe à Londres.Dissident wrote:C'est quoi la NCAA ? :lol:Enfin, peut-être. Le Sri-Lanka a une grosse équipe.
[Basket] Reprise saison NBA
Moderators: Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Pour les frenchies ils seront au nombre de trois ...
- Ilian Evtimov

Le frère de Vasco, ex-pivot de l'ASVEL actuellement en Italie joue pour NC State. Longtemps dans le Top 25 des meilleures équipes de NCAA, NC State en est récemment sorti à cause de 4 défaites de rang, et se présente au tournoi comme tête de série N°10 de la région d'Atlanta. Ilan Evtimov réalise pour sa part une excellente saison avec 10.9pts 3.8rbds 2.7ast. C'est un ailier-fort/pivot de taille assez modeste (6-8, ca doit faire 2m03 ou 2m05) très complet. Il prend peu de rebonds malheureusement, mais il est en revanche très adroit à 3pts (42% cette saison) et aux LF (90% cette saison). Il reviendra surement en Europe l'an prochain, peut être en France, et risque de faire une belle carrière, vu son style de jeu, en Europe. Dès le premier tour, NC State risque de souffrir face à California (N°7).
- Boris Meno (content d'avoir remporté le tournoi de sa conférence avec Davidson :lol: )

Sophomore (2ème année, il y en a 4 au total) cette saison, Boris Meno a connu une vrai progression cette année, avec 5.7pts 6.6rbds en 19min (contre 1.4pts 2rbds en freshman). Son équipe n'a jamais été classé au top 25, et risque de se faire sortir au premier tour par Ohio State (N°2 de la région de Minneapolis). Si son équipe passe les 2 premiers tour il pourrai rencontrer les Gators de ...
- Joakim Noah (en train de couper le filet du panier ... un tradition pour le vainqueur d'un match en NCAA)

Son coach a dit de lui "c'est de loin le joueur qui ai le plus progressé entre sa première et sa seconde année que j'ai jamais vu" ... 13.8pts (meilleur scoreur de l'équipe à égalité) à 64.5% aux shoots 6.7rbds 2blk 1.1stl 1.8ast, le tout en 23 minutes de moyenne. Il évolue au même poste que Evtimov (ailier-fort/pivot), mais dans un style totalement différent. Joakim Noah devrai sans doute aller en NBA lors de la draft 2007. Il marque les esprits cette saison, en étant quasiment le meilleur joueur d'une des meilleures équipe NCAA lors de sa 2ème année seulement. Il a des stats largement supèrieures à celle de Ronny Turiaf au même age par exemple. Il est loué pour son energie, son placement, son intelligence de jeu. Il a fini la saison en trombe, avec 37pts 11rbds à quelques matches de la fin, et avant hier, en finale du tournoi de la conférence SEC, il a été décisif en marquant à 11sec de la fin puis en contrant la dernière tentative de South Carolina (victoire de Florida 49-47). Ah oui j'oubliais. C'est le fils de Yannick le chanteur tennisman.
- Ilian Evtimov

Le frère de Vasco, ex-pivot de l'ASVEL actuellement en Italie joue pour NC State. Longtemps dans le Top 25 des meilleures équipes de NCAA, NC State en est récemment sorti à cause de 4 défaites de rang, et se présente au tournoi comme tête de série N°10 de la région d'Atlanta. Ilan Evtimov réalise pour sa part une excellente saison avec 10.9pts 3.8rbds 2.7ast. C'est un ailier-fort/pivot de taille assez modeste (6-8, ca doit faire 2m03 ou 2m05) très complet. Il prend peu de rebonds malheureusement, mais il est en revanche très adroit à 3pts (42% cette saison) et aux LF (90% cette saison). Il reviendra surement en Europe l'an prochain, peut être en France, et risque de faire une belle carrière, vu son style de jeu, en Europe. Dès le premier tour, NC State risque de souffrir face à California (N°7).
- Boris Meno (content d'avoir remporté le tournoi de sa conférence avec Davidson :lol: )

Sophomore (2ème année, il y en a 4 au total) cette saison, Boris Meno a connu une vrai progression cette année, avec 5.7pts 6.6rbds en 19min (contre 1.4pts 2rbds en freshman). Son équipe n'a jamais été classé au top 25, et risque de se faire sortir au premier tour par Ohio State (N°2 de la région de Minneapolis). Si son équipe passe les 2 premiers tour il pourrai rencontrer les Gators de ...
- Joakim Noah (en train de couper le filet du panier ... un tradition pour le vainqueur d'un match en NCAA)

Son coach a dit de lui "c'est de loin le joueur qui ai le plus progressé entre sa première et sa seconde année que j'ai jamais vu" ... 13.8pts (meilleur scoreur de l'équipe à égalité) à 64.5% aux shoots 6.7rbds 2blk 1.1stl 1.8ast, le tout en 23 minutes de moyenne. Il évolue au même poste que Evtimov (ailier-fort/pivot), mais dans un style totalement différent. Joakim Noah devrai sans doute aller en NBA lors de la draft 2007. Il marque les esprits cette saison, en étant quasiment le meilleur joueur d'une des meilleures équipe NCAA lors de sa 2ème année seulement. Il a des stats largement supèrieures à celle de Ronny Turiaf au même age par exemple. Il est loué pour son energie, son placement, son intelligence de jeu. Il a fini la saison en trombe, avec 37pts 11rbds à quelques matches de la fin, et avant hier, en finale du tournoi de la conférence SEC, il a été décisif en marquant à 11sec de la fin puis en contrant la dernière tentative de South Carolina (victoire de Florida 49-47). Ah oui j'oubliais. C'est le fils de Yannick le chanteur tennisman.
Selon ESPN, le meilleur 5 de la NCAA avant la March Madness :
JJ Redick, guard, Duke (POY)

Redick has been the undisputed leader and face of a Duke team that has spent the entire season in the top two in the polls. He currently is second in the nation in scoring at 27.8 ppg and recently broke the ACC's all-time career scoring mark.
Randy Foye, guard, Villanova

Foye is the most dangerous piece of the four-guard lineup that has spurred Villanova to the top of the Big East and a likely No. 1 seed in the upcoming NCAA Tournament. Foye is averaging 20.2 ppg, 5.4 rpg and 3.2 apg.
Brandon Roy, guard, Washington

Roy has done it all for the Huskies in his senior season, posting career-high averages in points, rebounds, assists, steals and blocks in leading the young Huskies to a 24-5 mark and a second-place finish in the Pac-10.
Adam Morrison, forward, Gonzaga

Morrison is leading the nation in scoring at 28.6 ppg and has led the Bulldogs to their sixth straight WCC regular-season title. Morrison also is shooting 50.4 percent from the field and 44.3 percent from beyond the arc while chipping in 5.6 rebounds a game as well.
Shelden Williams, Center, Duke

The "inside" in Duke's deadly inside-outside attack, Williams is averaging 18.8 ppg, 10.4 rpg and 3.7 bpg while shooting 58.9 percent from the floor and averaging an incredible 1.68 points per shot. Williams has 17 double-doubles (including each of his last five games) and notched a triple-double against Maryland.
JJ Redick, guard, Duke (POY)

Redick has been the undisputed leader and face of a Duke team that has spent the entire season in the top two in the polls. He currently is second in the nation in scoring at 27.8 ppg and recently broke the ACC's all-time career scoring mark.
Randy Foye, guard, Villanova

Foye is the most dangerous piece of the four-guard lineup that has spurred Villanova to the top of the Big East and a likely No. 1 seed in the upcoming NCAA Tournament. Foye is averaging 20.2 ppg, 5.4 rpg and 3.2 apg.
Brandon Roy, guard, Washington

Roy has done it all for the Huskies in his senior season, posting career-high averages in points, rebounds, assists, steals and blocks in leading the young Huskies to a 24-5 mark and a second-place finish in the Pac-10.
Adam Morrison, forward, Gonzaga

Morrison is leading the nation in scoring at 28.6 ppg and has led the Bulldogs to their sixth straight WCC regular-season title. Morrison also is shooting 50.4 percent from the field and 44.3 percent from beyond the arc while chipping in 5.6 rebounds a game as well.
Shelden Williams, Center, Duke

The "inside" in Duke's deadly inside-outside attack, Williams is averaging 18.8 ppg, 10.4 rpg and 3.7 bpg while shooting 58.9 percent from the floor and averaging an incredible 1.68 points per shot. Williams has 17 double-doubles (including each of his last five games) and notched a triple-double against Maryland.
Place à la March Madness
Mars est un mois particulier qui marquent le retour des hirondelles et du printemps. Mars est aussi, et surtout, le moment où les choses sérieuses débutent en NCAA et se précipitent jusqu’au Final Four mi-avril. Histoires et légendes s’écrivent, les têtes tombent soudainement et le public jubile dans ce mois et demi de folie : la March Madness appelle-t-on ça outre-Atlantique, période où Mars nous emmène sur une autre planète, celle de la fièvre du basket universitaire.
On se dirigeait vers une post-season assez claire, 3-4 équipes favorites (Duke, UConn, Villanova et Memphis) et une flopée d’outsiders. Pendant 2 mois, cette situation est restée inchangée, 2 mois de certitudes qui vont être balayés en une semaine.
Duke n’avait pas quitté les deux premières places du top 25 cette saison, n’ayant lâché qu’un match jusqu’ici. Tout allait pour le mieux, J.J. Redick enchaînant les records (il est devenu le meilleur scoreur de l’histoire de la conférence ACC face à Temple le 25 février malgré son match le plus discret de l’année avec 11 points), l’équipe affirmant plus encore à chaque rencontre son statut de favori n°1.
Mais rien n’est plus pareil en Mars. Duke a perdu plus de matchs ce mois-ci que lors des 28 parties précédentes. Florida State le 1er du mois (79-74), puis la jeune garde de UNC trois jours plus tard (83-76). Les Blues Devils ont sombré dans le doute et risquent d’y naviguer un long moment.
Les Tigers de Memphis n’avaient plus connu la défaite depuis le 2 janvier (face à Texas), affichant un bilan parfait dans leur conférence, aucune raison que cela cesse.
Mais rien n’est plus pareil en Mars. Les Blazers d’UAB, équipe anonyme parmi les anonymes (qui réalise tout de même une étonnante saison avec seulement 2 défaites dans la conférence) fait chuter Memphis le 2 du mois, 36% de réussite pour les Tigers dans ce match catastrophique.
C’est en tout une dizaine d’équipes du top 25 qui ont perdu un ou deux matchs dans cette première semaine de Mars.
Citons Texas, que les voisins de Texas A&M ont tenu à 43 points (46-43), Pittsburgh battu par Seton Hall, Tennessee face à Kentucky, Georgetown contre South Florida ou encore NC State (qui en est à 3 défaites de rang) corrigé par Wake Forest. Des défaites à chaque fois contre des équipes non classées, comme si la NCAA avait basculé dans une dimension parallèle qui renverse les valeurs.
Même Gonzaga, logiquement inébranlable dans la West Coast Conference a eu besoin d’une prolongation pour venir à bout de San Diego (96-92) et de la saison régulière. Proche scénario pour George Washington qui se fait une belle frayeur face à Charlotte : 86-85.
Connecticut n’a pas connu ces tourments et se place donc en favori légitime pour le titre. La façon dont les Huskies ont détruit Villanova le 26 février a impressionné. Se vengeant de la défaite contre cette même équipe deux semaines plus tôt, UConn a livré un de ses matchs les plus aboutis de l’année. Denham Brown livre le meilleur score de sa carrière avec 23 unités, Rudy Gay ajoute tranquillement 13 points, Rashad Anderson 17, Hilton Armstrong 8 contres et Marcus Williams confirme qu’il est le meilleur passeur NCAA en activité avec 12 nouvelles offrandes. Williams auteur d’un triple double lors du précédent match face à Notre Dame (18 points, 13 passes et 10 rebonds) remporté d’un misérable point, nous rappellant que UConn est fort, très fort, mais pas invulnérable, loin de là.
Villanova, malgré la défaite, a bien réagi en remportant ses 2 matchs cette semaine, solidement, face à St John’s puis Syracuse. Nova qui attend impatiemment le tournoi de conférence de la Big East où l’on espère la belle entre les 2 équipes.
En Mars, rien n’est plus pareil. Ce n’est pas Joakim Noah qui contredira. Le fils de la personnalité préférée des français nous rappelle que lui aussi, on va apprendre à l’aimer. Le 1er mars, Joakim a exploré de nouveaux horizons, Georgia s’en rappelera longtemps. 37 points à 9/14 au shoot et 19/22 aux LF accompagné de 11 rebonds, le tout en 31 minutes et sortant du banc, pas besoin de commenter. Le français devient à l’occasion de cette démonstration le meilleur marqueur de sa formation avec 14,1 points en moins de 23 minutes. Il confirme en cumulant 15 points, 11 rebonds et 4 contres cette nuit dans la victoire face à Kentucky. Les Gators manquent encore probablement d’expérience pour aller jusqu’au Final Four, les 4 meilleurs scoreurs n’étant que sophomores, mais risque de faire très très mal dès l’an prochain pour peu qu’ils ne cèdent pas aux sirènes de la NBA. Quoiqu’il en soit, après Jérôme Moïso et Ronny Turiaf, Joakim perpétue la tradition des talentueux big men français.
Quel programme pour les prochains jours ? Les tournois de conférence. La saison régulière terminée, nous avons droit à des playoffs inter-conférence qui vont délivrer les invitations pour le tournoi final. Chaque vainqueur du tournoi de sa conférence aura droit à son billet, le reste des places seront délivrées aux équipes qui ont réalisés une belle saison, suivant leur nombre de victoires mais surtout suivant la conférence dans lesquelles elles ont évoluées et donc les équipes qu’elles ont affrontées.
Rendez-vous dans une dizaine de jours pour connaître le résultat de ces tournois et le tableau du tournoi final.
Le tournoi final
Ca y est, on y est.
Les tournois de conférence ont pris fin et vont donc laisser place à l’ultime ligne droite du championnat NCAA 2005/2006.
Revenons aujourd’hui sur les tournois des principales conférences, avant de parler du tournoi final dans un prochain article.
Big East :
Le plus étonnant de tous dans la conférence la plus relevée cette saison. Pas la peine de ménager le suspense, UConn n’a pas passé les quarts et Villanova s’est arrêté en demi.
Le destin de ce tournoi ne fut lié qu’à un seul nom, un seul homme, champion national il y a 3 ans maintenant. Gerry McNamara, l’Orangeman de Syracuse, a attiré toutes les lumières à lui cette semaine, effaçant le dénouement de tous les matchs auxquels il ne participait pas. Syracuse, loin d’être sûr de prendre part au tournoi final à l’issue d’une très moyenne saison régulière, n’avait plus d’autres alternatives que celle de gagner. Tout aurait pu s’arrêter en 8èmes de finale face à Cincinnati. Des Bearcats emmenés par un scintillant James White, l’ex futur meilleur dunker de tous les temps devenu au fil du temps un excellent joueur de basket, auteur de 32 points. Mais voilà, il y avait une légende à écrire et le héros se devait d’être Gerry McNamara. Par un panier longue distance quasiment sur le buzzer, il donne la victoire aux siens : 74-73. Ce n’est que le début.
En quart, un gros morceau : UConn. Bon si vous avez suivi vous connaissez déjà le résultat mais c’est la manière qui est étonnante. UConn a été dominé en première mi-temps (39-28) mais a furieusement réagi par la suite comptant 3 points d’avance à 5 secondes du terme. Jusqu’au shoot de Gerry McNamara en somme, qui marque évidemment et envoie les équipes en prolongation. Syracuse enchaîne par la suite jusqu’à la victoire, McNamara scellant le score d’un lancer-franc : 86-84, et tombant épuisé dans les bras de ses coéquipiers. En face Marcus Williams compile 17 points et 11 passes, Denham Brown 20 points. Rendons hommage aux coéquipiers de McNamara (17 points et 13 passes), 17 points pour Demetris Nichols, 16 pour Terrence Roberts et 14 pour Darryl Watkins.
Georgetown en demi-finale. Début difficile, les Orangemen compte 15 points de retard à la mi-temps (36-21). Peu importe, Syracuse inflige un 18-7 à leurs adversaires en seconde mi-temps, avec 3 paniers derrière l’arc de McNamara bien sûr, et recolle au score. Le money time ne peut alors appartenir qu’à un seul homme se dit-on, l’incroyable Gerry. Ben oui ça sera le cas. Dans la dernière minute, il marque un 3 points, donne le caviar qui permet à son équipe de prendre un point d’avance puis oblige son adversaire à perdre la balle lors de l’ultime possession : 58-57. Le Madison Square Garden s’époumonne : " Gerry, Gerry !"
La finale opposera Syracuse à Pittsburgh. Un mot sur les Panthers qui ont tout de même mis une légère volée à Villanova (68-54) en demi-finale. Une équipe qui s’appuie sur prioritairement sur son arrière senior Carl Krauser et sur son pivot, un des seuls 7 pieds efficace en NCAA, Aaron Gray. Nova qui a perdu Allan Ray sur blessure pendant ce match, mais plus de peur que de mal pour le shooteur, qui pourra jouer le tournoi final.
Syracuse - Pittsburgh donc. Peu imagine voir Syracuse perdre, tellement les Orangemen ont semblé indestructibles jusqu’ici. Puis McNamara sera MVP du tournoi donc autant que son équipe le gagne. Gerry ne sera démentiel à nouveau dans ce match, il jouera tranquillement à son niveau avec 14 points et 6 passes. Avec ses 16 paniers longue distance sur le tournoi il établit un nouveau record. C’est Josh Wright qui va clore le score et donner la victoire aux Orangemen : 65-61, mais définitivement ce tournoi aura été celui de Gerry McNamara.
Je vais un peu moins m’attarder sur les tournois des autres conférences qui se sont révélés moins "mythiques".
ACC :
Duke s’est rassuré après ses deux défaites en fin de saison régulière. J.J. Redick a enfin retrouvé son adresse et tout a paru plus facile pour les Blue Devils.
Beaucoup rêvaient d’une finale entre Duke et UNC mais c’était sans compter sur Boston College qui élimine les Tar Heels en demi-finale au terme d’un match serré : 85-82. Les 23 points et 11 rebonds de Tyler Hansbrough n’auront pas suffit face aux 23 points et 15 rebonds de Craig Smith.
La finale ne sera pas aisé pour les Blue Devils qui ont du à nouveau se reposer sur leur homme providentiel J.J. Redick auteur de deux paniers à trois points dans les derniers instants (26 points à 7/11 à 3 points au total) pour donner la victoire aux siens : 78-76. Duke a bien rebondi, Boston College reste dangereux et UNC n’a pas démérité, 3 équipes à suivre.
Big 12 :
Logique respectée dans cette conférence où Kansas et Texas se sont retrouvés en finale. Impressionnants JayHawks, une des équipes les plus jeunes de la NCAA avec UNC, et qui finit, comme UNC, en trombe cette saison. Les freshmen Mario Chalmers, Brandon Rush et Julian Wright compilent 39 points à eux trois dans cette finale, sans oublier d’étouffer les stars adverses : 8 points seulement pour Daniel Gibson à 3/12 et 5 pour Lamarcus Aldridge. S’en est trop pour Texas qui s’incline : 80-68.
Big Ten :
Là encore, les 2 meilleures équipes de la conférence se retrouvent en finale. Iowa vient à bout d’Ohio State : 67-60. Peu de surprises non plus sur les acteurs de cette victoire. 16 points et 10 passes pour Jeff Horner accompagné de 15 points d’Allan Haluska, que du classique.
Pas plus de surprises dans la SEC, où Florida remporte logiquement le trophée. Joakim Noah s’est un peu calmé sur le plan statistique mais reste un titulaire indiscutable. Une Pac 10 dominé par UCLA, la Conference USA par Memphis, Gonzaga survole la WCC.
La seule surprise fut la défaite de George Washington dans l’Atlantic 10. C’est Temple qui en vient à bout : 68-53. Temple stoppé au tour suivant dans un tournoi finalement remporté par Xavier.
http://www.basketime.net/
Mars est un mois particulier qui marquent le retour des hirondelles et du printemps. Mars est aussi, et surtout, le moment où les choses sérieuses débutent en NCAA et se précipitent jusqu’au Final Four mi-avril. Histoires et légendes s’écrivent, les têtes tombent soudainement et le public jubile dans ce mois et demi de folie : la March Madness appelle-t-on ça outre-Atlantique, période où Mars nous emmène sur une autre planète, celle de la fièvre du basket universitaire.
On se dirigeait vers une post-season assez claire, 3-4 équipes favorites (Duke, UConn, Villanova et Memphis) et une flopée d’outsiders. Pendant 2 mois, cette situation est restée inchangée, 2 mois de certitudes qui vont être balayés en une semaine.
Duke n’avait pas quitté les deux premières places du top 25 cette saison, n’ayant lâché qu’un match jusqu’ici. Tout allait pour le mieux, J.J. Redick enchaînant les records (il est devenu le meilleur scoreur de l’histoire de la conférence ACC face à Temple le 25 février malgré son match le plus discret de l’année avec 11 points), l’équipe affirmant plus encore à chaque rencontre son statut de favori n°1.
Mais rien n’est plus pareil en Mars. Duke a perdu plus de matchs ce mois-ci que lors des 28 parties précédentes. Florida State le 1er du mois (79-74), puis la jeune garde de UNC trois jours plus tard (83-76). Les Blues Devils ont sombré dans le doute et risquent d’y naviguer un long moment.
Les Tigers de Memphis n’avaient plus connu la défaite depuis le 2 janvier (face à Texas), affichant un bilan parfait dans leur conférence, aucune raison que cela cesse.
Mais rien n’est plus pareil en Mars. Les Blazers d’UAB, équipe anonyme parmi les anonymes (qui réalise tout de même une étonnante saison avec seulement 2 défaites dans la conférence) fait chuter Memphis le 2 du mois, 36% de réussite pour les Tigers dans ce match catastrophique.
C’est en tout une dizaine d’équipes du top 25 qui ont perdu un ou deux matchs dans cette première semaine de Mars.
Citons Texas, que les voisins de Texas A&M ont tenu à 43 points (46-43), Pittsburgh battu par Seton Hall, Tennessee face à Kentucky, Georgetown contre South Florida ou encore NC State (qui en est à 3 défaites de rang) corrigé par Wake Forest. Des défaites à chaque fois contre des équipes non classées, comme si la NCAA avait basculé dans une dimension parallèle qui renverse les valeurs.
Même Gonzaga, logiquement inébranlable dans la West Coast Conference a eu besoin d’une prolongation pour venir à bout de San Diego (96-92) et de la saison régulière. Proche scénario pour George Washington qui se fait une belle frayeur face à Charlotte : 86-85.
Connecticut n’a pas connu ces tourments et se place donc en favori légitime pour le titre. La façon dont les Huskies ont détruit Villanova le 26 février a impressionné. Se vengeant de la défaite contre cette même équipe deux semaines plus tôt, UConn a livré un de ses matchs les plus aboutis de l’année. Denham Brown livre le meilleur score de sa carrière avec 23 unités, Rudy Gay ajoute tranquillement 13 points, Rashad Anderson 17, Hilton Armstrong 8 contres et Marcus Williams confirme qu’il est le meilleur passeur NCAA en activité avec 12 nouvelles offrandes. Williams auteur d’un triple double lors du précédent match face à Notre Dame (18 points, 13 passes et 10 rebonds) remporté d’un misérable point, nous rappellant que UConn est fort, très fort, mais pas invulnérable, loin de là.
Villanova, malgré la défaite, a bien réagi en remportant ses 2 matchs cette semaine, solidement, face à St John’s puis Syracuse. Nova qui attend impatiemment le tournoi de conférence de la Big East où l’on espère la belle entre les 2 équipes.
En Mars, rien n’est plus pareil. Ce n’est pas Joakim Noah qui contredira. Le fils de la personnalité préférée des français nous rappelle que lui aussi, on va apprendre à l’aimer. Le 1er mars, Joakim a exploré de nouveaux horizons, Georgia s’en rappelera longtemps. 37 points à 9/14 au shoot et 19/22 aux LF accompagné de 11 rebonds, le tout en 31 minutes et sortant du banc, pas besoin de commenter. Le français devient à l’occasion de cette démonstration le meilleur marqueur de sa formation avec 14,1 points en moins de 23 minutes. Il confirme en cumulant 15 points, 11 rebonds et 4 contres cette nuit dans la victoire face à Kentucky. Les Gators manquent encore probablement d’expérience pour aller jusqu’au Final Four, les 4 meilleurs scoreurs n’étant que sophomores, mais risque de faire très très mal dès l’an prochain pour peu qu’ils ne cèdent pas aux sirènes de la NBA. Quoiqu’il en soit, après Jérôme Moïso et Ronny Turiaf, Joakim perpétue la tradition des talentueux big men français.
Quel programme pour les prochains jours ? Les tournois de conférence. La saison régulière terminée, nous avons droit à des playoffs inter-conférence qui vont délivrer les invitations pour le tournoi final. Chaque vainqueur du tournoi de sa conférence aura droit à son billet, le reste des places seront délivrées aux équipes qui ont réalisés une belle saison, suivant leur nombre de victoires mais surtout suivant la conférence dans lesquelles elles ont évoluées et donc les équipes qu’elles ont affrontées.
Rendez-vous dans une dizaine de jours pour connaître le résultat de ces tournois et le tableau du tournoi final.
Le tournoi final
Ca y est, on y est.
Les tournois de conférence ont pris fin et vont donc laisser place à l’ultime ligne droite du championnat NCAA 2005/2006.
Revenons aujourd’hui sur les tournois des principales conférences, avant de parler du tournoi final dans un prochain article.
Big East :
Le plus étonnant de tous dans la conférence la plus relevée cette saison. Pas la peine de ménager le suspense, UConn n’a pas passé les quarts et Villanova s’est arrêté en demi.
Le destin de ce tournoi ne fut lié qu’à un seul nom, un seul homme, champion national il y a 3 ans maintenant. Gerry McNamara, l’Orangeman de Syracuse, a attiré toutes les lumières à lui cette semaine, effaçant le dénouement de tous les matchs auxquels il ne participait pas. Syracuse, loin d’être sûr de prendre part au tournoi final à l’issue d’une très moyenne saison régulière, n’avait plus d’autres alternatives que celle de gagner. Tout aurait pu s’arrêter en 8èmes de finale face à Cincinnati. Des Bearcats emmenés par un scintillant James White, l’ex futur meilleur dunker de tous les temps devenu au fil du temps un excellent joueur de basket, auteur de 32 points. Mais voilà, il y avait une légende à écrire et le héros se devait d’être Gerry McNamara. Par un panier longue distance quasiment sur le buzzer, il donne la victoire aux siens : 74-73. Ce n’est que le début.
En quart, un gros morceau : UConn. Bon si vous avez suivi vous connaissez déjà le résultat mais c’est la manière qui est étonnante. UConn a été dominé en première mi-temps (39-28) mais a furieusement réagi par la suite comptant 3 points d’avance à 5 secondes du terme. Jusqu’au shoot de Gerry McNamara en somme, qui marque évidemment et envoie les équipes en prolongation. Syracuse enchaîne par la suite jusqu’à la victoire, McNamara scellant le score d’un lancer-franc : 86-84, et tombant épuisé dans les bras de ses coéquipiers. En face Marcus Williams compile 17 points et 11 passes, Denham Brown 20 points. Rendons hommage aux coéquipiers de McNamara (17 points et 13 passes), 17 points pour Demetris Nichols, 16 pour Terrence Roberts et 14 pour Darryl Watkins.
Georgetown en demi-finale. Début difficile, les Orangemen compte 15 points de retard à la mi-temps (36-21). Peu importe, Syracuse inflige un 18-7 à leurs adversaires en seconde mi-temps, avec 3 paniers derrière l’arc de McNamara bien sûr, et recolle au score. Le money time ne peut alors appartenir qu’à un seul homme se dit-on, l’incroyable Gerry. Ben oui ça sera le cas. Dans la dernière minute, il marque un 3 points, donne le caviar qui permet à son équipe de prendre un point d’avance puis oblige son adversaire à perdre la balle lors de l’ultime possession : 58-57. Le Madison Square Garden s’époumonne : " Gerry, Gerry !"
La finale opposera Syracuse à Pittsburgh. Un mot sur les Panthers qui ont tout de même mis une légère volée à Villanova (68-54) en demi-finale. Une équipe qui s’appuie sur prioritairement sur son arrière senior Carl Krauser et sur son pivot, un des seuls 7 pieds efficace en NCAA, Aaron Gray. Nova qui a perdu Allan Ray sur blessure pendant ce match, mais plus de peur que de mal pour le shooteur, qui pourra jouer le tournoi final.
Syracuse - Pittsburgh donc. Peu imagine voir Syracuse perdre, tellement les Orangemen ont semblé indestructibles jusqu’ici. Puis McNamara sera MVP du tournoi donc autant que son équipe le gagne. Gerry ne sera démentiel à nouveau dans ce match, il jouera tranquillement à son niveau avec 14 points et 6 passes. Avec ses 16 paniers longue distance sur le tournoi il établit un nouveau record. C’est Josh Wright qui va clore le score et donner la victoire aux Orangemen : 65-61, mais définitivement ce tournoi aura été celui de Gerry McNamara.
Je vais un peu moins m’attarder sur les tournois des autres conférences qui se sont révélés moins "mythiques".
ACC :
Duke s’est rassuré après ses deux défaites en fin de saison régulière. J.J. Redick a enfin retrouvé son adresse et tout a paru plus facile pour les Blue Devils.
Beaucoup rêvaient d’une finale entre Duke et UNC mais c’était sans compter sur Boston College qui élimine les Tar Heels en demi-finale au terme d’un match serré : 85-82. Les 23 points et 11 rebonds de Tyler Hansbrough n’auront pas suffit face aux 23 points et 15 rebonds de Craig Smith.
La finale ne sera pas aisé pour les Blue Devils qui ont du à nouveau se reposer sur leur homme providentiel J.J. Redick auteur de deux paniers à trois points dans les derniers instants (26 points à 7/11 à 3 points au total) pour donner la victoire aux siens : 78-76. Duke a bien rebondi, Boston College reste dangereux et UNC n’a pas démérité, 3 équipes à suivre.
Big 12 :
Logique respectée dans cette conférence où Kansas et Texas se sont retrouvés en finale. Impressionnants JayHawks, une des équipes les plus jeunes de la NCAA avec UNC, et qui finit, comme UNC, en trombe cette saison. Les freshmen Mario Chalmers, Brandon Rush et Julian Wright compilent 39 points à eux trois dans cette finale, sans oublier d’étouffer les stars adverses : 8 points seulement pour Daniel Gibson à 3/12 et 5 pour Lamarcus Aldridge. S’en est trop pour Texas qui s’incline : 80-68.
Big Ten :
Là encore, les 2 meilleures équipes de la conférence se retrouvent en finale. Iowa vient à bout d’Ohio State : 67-60. Peu de surprises non plus sur les acteurs de cette victoire. 16 points et 10 passes pour Jeff Horner accompagné de 15 points d’Allan Haluska, que du classique.
Pas plus de surprises dans la SEC, où Florida remporte logiquement le trophée. Joakim Noah s’est un peu calmé sur le plan statistique mais reste un titulaire indiscutable. Une Pac 10 dominé par UCLA, la Conference USA par Memphis, Gonzaga survole la WCC.
La seule surprise fut la défaite de George Washington dans l’Atlantic 10. C’est Temple qui en vient à bout : 68-53. Temple stoppé au tour suivant dans un tournoi finalement remporté par Xavier.
http://www.basketime.net/
Petit parenthèse ...
Souvenons-nous le 17 décembre dernier, date de l'ultime match de l'année 2005...
Ce soir là, le Saint-Etienne Basket, lanterne rouge du championnat avec seulement trois victoires se rend à Charleville pour y affronter un concurrent direct pour le maintien. Cruelle désillusion. Charleville s'impose 87-69. Des changements s'imposent et Kelley Mc Clure remplace Mike Hall. La suite, on la connaît. L'équipe est transfigurée par l'arrivée du maestro, la confiance revient et les bonnes performances s'enchaînent. Elles s'enchâinent si bien que depuis la reprise en 2006, Saint-Etienne est tout simplement la meilleure équipe du championnat.
Nous nous sommes amusés à faire le classement de la ProB après les 10 journées disputées en 2006.
1- Saint-Etienne 8V-2D
2- Vichy 7V-3D
3- Angers 7V-3D
4- Nantes 7V-3D
5- Saint-Quentin 6V-4D
6- Mulhouse 6V-4D
7- Nanterre 5V-5D
8- Besançon 5V-5D
9- Orléans 5V-5D
10- Maurienne 5V-5D
11- Châlons 5V-5D
12- Antibes 4V-6D
13- Quimper 4V-6D
14- Boulazac 4V-6D
15- Evreux 3V-7D
16- Levallois 3V-7D
17- Charleville 3V-7D
18- Epinal 3V-7D
www.saint-etienne-basket.com
Souvenons-nous le 17 décembre dernier, date de l'ultime match de l'année 2005...
Ce soir là, le Saint-Etienne Basket, lanterne rouge du championnat avec seulement trois victoires se rend à Charleville pour y affronter un concurrent direct pour le maintien. Cruelle désillusion. Charleville s'impose 87-69. Des changements s'imposent et Kelley Mc Clure remplace Mike Hall. La suite, on la connaît. L'équipe est transfigurée par l'arrivée du maestro, la confiance revient et les bonnes performances s'enchaînent. Elles s'enchâinent si bien que depuis la reprise en 2006, Saint-Etienne est tout simplement la meilleure équipe du championnat.
Nous nous sommes amusés à faire le classement de la ProB après les 10 journées disputées en 2006.
1- Saint-Etienne 8V-2D
2- Vichy 7V-3D
3- Angers 7V-3D
4- Nantes 7V-3D
5- Saint-Quentin 6V-4D
6- Mulhouse 6V-4D
7- Nanterre 5V-5D
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9- Orléans 5V-5D
10- Maurienne 5V-5D
11- Châlons 5V-5D
12- Antibes 4V-6D
13- Quimper 4V-6D
14- Boulazac 4V-6D
15- Evreux 3V-7D
16- Levallois 3V-7D
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C'est fou cette Pro B où tout le monde bat tout le monde!!!! 1er avec un bilan de 15-9 ça doit être unique dans les annales toutes divisions confondues. D'ici à dire que les équipes qui vont monter cette année feront l'ascenseur.....
En ce qui concerne la montée en Pro B, ce sont 2 grosses équipes qui vont nous rejoindre avec Poitiers et surtout le CSP LIMOGES
En ce qui concerne la montée en Pro B, ce sont 2 grosses équipes qui vont nous rejoindre avec Poitiers et surtout le CSP LIMOGES
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
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Puisque vous parlez des frenchies en NCAA, que pensez-vous de la carrière de Karim Souchu et du choix de Yakouba Diawara de signer à Bologne (j'ai peur qu'il nous fasse une Vasco ou une Flo Pietrus partis "se morfondre" dans un grand club européen)
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
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C'est n'est pas encore fait pour la montée en Pro B. Il y a encore Saint-Vallier qui reste très menaçant et qui oblige le CSP et Poitiers à ne pas faire d'erreur d'ici la fin de la saison. A noter dimanche prochain la rencontre au sommet entre les deux leaders de N1 dans une salle de Beaublanc qui affichera complet.greengexois wrote:C'est fou cette Pro B où tout le monde bat tout le monde!!!! 1er avec un bilan de 15-9 ça doit être unique dans les annales toutes divisions confondues. D'ici à dire que les équipes qui vont monter cette année feront l'ascenseur.....
En ce qui concerne la montée en Pro B, ce sont 2 grosses équipes qui vont nous rejoindre avec Poitiers et surtout le CSP LIMOGES
Paye ton quizz ...
Lors du match Philadelphie - Washington, Georges Eddy s'est fendu d'une blague que son acolyte n'a même pas relevé, mais qui m'a particulièrement fait rire. Mais qu'a t-il dit au juste ?
A/ "Gilbert est dans l'arène"
B/ "Quel chasseur de rebonds offensifs ce Hunter"
C/ "C-Webb surf sur la toile du succès en ce moment"
D/ "Haywood fait du petit bois dans la raquette"
Pour la récompense on verra :lol:
Lors du match Philadelphie - Washington, Georges Eddy s'est fendu d'une blague que son acolyte n'a même pas relevé, mais qui m'a particulièrement fait rire. Mais qu'a t-il dit au juste ?
A/ "Gilbert est dans l'arène"
B/ "Quel chasseur de rebonds offensifs ce Hunter"
C/ "C-Webb surf sur la toile du succès en ce moment"
D/ "Haywood fait du petit bois dans la raquette"
Pour la récompense on verra :lol:
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Bon, on va considérer ce quizz comme clos. Soit tu as juste et vinsanity te récompensera comme il se doit, soit tu as faux et comme il ne restera plus que A. Auquel cas, personne n'aura gagné.Aloisio042 wrote:moi je dis la B
:capo: QUIZZ !!! :
Qui a dit ?
“Manute Bol is so skinny they save money on road trips. They just fax him from city to city."
(Il va sans dire que toute utilisation de Google ne saurait être toléré).