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Oui j'ai vu. Ils ont mis du temps à l'annoncer.Thomi wrote:Lundi à 20h55 sur France 2Nemo42 wrote:
Pour ma part ?
On a du Johnny depuis 3 jours et pas une chaine n'a diffusé "Jean Philippe" avec Lucchini...
Ça me déçoit, moi qui me disait que ça serait sans doute une bonne occasion de le regarder... Non ?
Non non mais c'était pas contre toi. Juste qu'il suffit d'écouter 2 morceaux d'IAM et 2 de Jul pour voir que musicalement, au niveau des textes, du vocabulaire, du message on est juste dans deux mondes différents. Je précise que je suis tout sauf un grand fan de rap mais quand j'écoute le rap français actuel (Pas tous y'en a quand même des très bons) et le rap des années 90 (La pour le coup presque tout)j'ai mal... ça fait vieux con mais la qualité globale a drastiquement baisséAl Greendaø wrote:C'est dans un papier de Libé qu'ils s'amusent à comparer le nombre de mots utilisés (même si a la base on peut estimer que la quantité ne fait pas la qualité...) .thesnakke wrote:"Ouf, ouf, ouf, ouf ! T'es qu'un fatigué, l'con de ta grand-mère la pouffeAl Greendaø wrote:epopee76 wrote: C'est qui jul ?
C'est un gars qui fait des morceaux avec deux fois moins de mots qu'IAM (véridique), qui composent des morceaux en 4h (véridique aussi), qui sort 2 albums par an, qui est illettré et qui en est fier... et qui compte autant de fans que johnny a ses débuts.
On est en passe de devenir aussi con que les ricains de base...
CZ, cagoulé et boule à 7 sous l'roof "
C'est ça Jul est ce utile de commenter ou la profondeur de ses textes se suffit a elle même?
Rien que d'oser faire une comparaison avec IAM est une insulte au rap français.
Je pense qu'on a pu dire la même chose avec le rock'n roll des années 50-60 bien provocateur au rock doo wop 60-70 bien enfant de choeur.thesnakke wrote:Non non mais c'était pas contre toi. Juste qu'il suffit d'écouter 2 morceaux d'IAM et 2 de Jul pour voir que musicalement, au niveau des textes, du vocabulaire, du message on est juste dans deux mondes différents. Je précise que je suis tout sauf un grand fan de rap mais quand j'écoute le rap français actuel (Pas tous y'en a quand même des très bons) et le rap des années 90 (La pour le coup presque tout)j'ai mal... ça fait vieux con mais la qualité globale a drastiquement baisséAl Greendaø wrote:C'est dans un papier de Libé qu'ils s'amusent à comparer le nombre de mots utilisés (même si a la base on peut estimer que la quantité ne fait pas la qualité...) .thesnakke wrote:"Ouf, ouf, ouf, ouf ! T'es qu'un fatigué, l'con de ta grand-mère la pouffeAl Greendaø wrote:epopee76 wrote: C'est qui jul ?
C'est un gars qui fait des morceaux avec deux fois moins de mots qu'IAM (véridique), qui composent des morceaux en 4h (véridique aussi), qui sort 2 albums par an, qui est illettré et qui en est fier... et qui compte autant de fans que johnny a ses débuts.
On est en passe de devenir aussi con que les ricains de base...
CZ, cagoulé et boule à 7 sous l'roof "
C'est ça Jul est ce utile de commenter ou la profondeur de ses textes se suffit a elle même?
Rien que d'oser faire une comparaison avec IAM est une insulte au rap français.
Dit-donc, Nemo, tu n'aurais pas séché les cours d'histoire du rock ?Nemo42 wrote:Je pense qu'on a pu dire la même chose avec le rock'n roll des années 50-60 bien provocateur au rock doo wop 60-70 bien enfant de choeur.thesnakke wrote:Non non mais c'était pas contre toi. Juste qu'il suffit d'écouter 2 morceaux d'IAM et 2 de Jul pour voir que musicalement, au niveau des textes, du vocabulaire, du message on est juste dans deux mondes différents. Je précise que je suis tout sauf un grand fan de rap mais quand j'écoute le rap français actuel (Pas tous y'en a quand même des très bons) et le rap des années 90 (La pour le coup presque tout)j'ai mal... ça fait vieux con mais la qualité globale a drastiquement baisséAl Greendaø wrote:C'est dans un papier de Libé qu'ils s'amusent à comparer le nombre de mots utilisés (même si a la base on peut estimer que la quantité ne fait pas la qualité...) .thesnakke wrote:"Ouf, ouf, ouf, ouf ! T'es qu'un fatigué, l'con de ta grand-mère la pouffeAl Greendaø wrote:epopee76 wrote: C'est qui jul ?
C'est un gars qui fait des morceaux avec deux fois moins de mots qu'IAM (véridique), qui composent des morceaux en 4h (véridique aussi), qui sort 2 albums par an, qui est illettré et qui en est fier... et qui compte autant de fans que johnny a ses débuts.
On est en passe de devenir aussi con que les ricains de base...
CZ, cagoulé et boule à 7 sous l'roof "
C'est ça Jul est ce utile de commenter ou la profondeur de ses textes se suffit a elle même?
Rien que d'oser faire une comparaison avec IAM est une insulte au rap français.
On est quand même passé d'Elvis qui se tripotait sur scène et des solos endiablés de jimy hendrix qui imite un B52, aux Beach Boys bien coiffés bien habillés qui se balladent sur une plage de Californie...
Les deux styles sont depuis acceptés et ancrés dans la culture pop, à terme c'est également ce qu'il devrait se passer avec le rap qu'on n'aime pas, mais on devrait s'y faire ... ou pas
Mégalo ? Je vois pas en quoi. Les discours et les textes étaient beaux j'ai trouvé et les guitaristes qui jouent quelques morceaux ont apporté un truc...Greenwood wrote:La cérémonie était franchement très megalo. Pour autant, j'ai bien aimé la ferveur du public. Well done Johnny !
Et puis le rock ne se résume pas à la rebellitude (et heureusement).Couramiaud Poitevin wrote:Dit-donc, Nemo, tu n'aurais pas séché les cours d'histoire du rock ?Nemo42 wrote:Je pense qu'on a pu dire la même chose avec le rock'n roll des années 50-60 bien provocateur au rock doo wop 60-70 bien enfant de choeur.thesnakke wrote:Non non mais c'était pas contre toi. Juste qu'il suffit d'écouter 2 morceaux d'IAM et 2 de Jul pour voir que musicalement, au niveau des textes, du vocabulaire, du message on est juste dans deux mondes différents. Je précise que je suis tout sauf un grand fan de rap mais quand j'écoute le rap français actuel (Pas tous y'en a quand même des très bons) et le rap des années 90 (La pour le coup presque tout)j'ai mal... ça fait vieux con mais la qualité globale a drastiquement baisséAl Greendaø wrote:C'est dans un papier de Libé qu'ils s'amusent à comparer le nombre de mots utilisés (même si a la base on peut estimer que la quantité ne fait pas la qualité...) .thesnakke wrote:"Ouf, ouf, ouf, ouf ! T'es qu'un fatigué, l'con de ta grand-mère la pouffeAl Greendaø wrote:epopee76 wrote: C'est qui jul ?
C'est un gars qui fait des morceaux avec deux fois moins de mots qu'IAM (véridique), qui composent des morceaux en 4h (véridique aussi), qui sort 2 albums par an, qui est illettré et qui en est fier... et qui compte autant de fans que johnny a ses débuts.
On est en passe de devenir aussi con que les ricains de base...
CZ, cagoulé et boule à 7 sous l'roof "
C'est ça Jul est ce utile de commenter ou la profondeur de ses textes se suffit a elle même?
Rien que d'oser faire une comparaison avec IAM est une insulte au rap français.
On est quand même passé d'Elvis qui se tripotait sur scène et des solos endiablés de jimy hendrix qui imite un B52, aux Beach Boys bien coiffés bien habillés qui se balladent sur une plage de Californie...
Les deux styles sont depuis acceptés et ancrés dans la culture pop, à terme c'est également ce qu'il devrait se passer avec le rap qu'on n'aime pas, mais on devrait s'y faire ... ou pas
En tous les cas tu as 0/20 pour cette copie. Le doo wop des années 70 ? Elvis qui se tripote sur scène ? Jimy Hendrix qui précède les Beach Boys ? Sacrée salade !
la même chose avec l'ASSE, ça donnerait Gomis qui tire sur le poteau carré à Glasgow en 76 !
Et Diony meilleur buteur de toute l'histoire de l'ASSE !
et puis réduire les beach boys à des garçons coiffeurs alors qu'ils nous ont offert certains des plus grands disques chtarbés des 60's ("pet sounds", le "smile" original...) quel manque de discernement...Olaf wrote:Et puis le rock ne se résume pas à la rebellitude (et heureusement).Couramiaud Poitevin wrote:
Dit-donc, Nemo, tu n'aurais pas séché les cours d'histoire du rock ?
En tous les cas tu as 0/20 pour cette copie. Le doo wop des années 70 ? Elvis qui se tripote sur scène ? Jimy Hendrix qui précède les Beach Boys ? Sacrée salade !
la même chose avec l'ASSE, ça donnerait Gomis qui tire sur le poteau carré à Glasgow en 76 !
Et Diony meilleur buteur de toute l'histoire de l'ASSE !
Et puis les Beach Boys c'est aussi "Heroes (nous les Verts) and Villains (les moches quenelles).mononoké wrote:et puis réduire les beach boys à des garçons coiffeurs alors qu'ils nous ont offert certains des plus grands disques chtarbés des 60's ("pet sounds", le "smile" original...) quel manque de discernement...Olaf wrote:Et puis le rock ne se résume pas à la rebellitude (et heureusement).Couramiaud Poitevin wrote:
Dit-donc, Nemo, tu n'aurais pas séché les cours d'histoire du rock ?
En tous les cas tu as 0/20 pour cette copie. Le doo wop des années 70 ? Elvis qui se tripote sur scène ? Jimy Hendrix qui précède les Beach Boys ? Sacrée salade !
la même chose avec l'ASSE, ça donnerait Gomis qui tire sur le poteau carré à Glasgow en 76 !
Et Diony meilleur buteur de toute l'histoire de l'ASSE !
Pet soundsmononoké wrote:et puis réduire les beach boys à des garçons coiffeurs alors qu'ils nous ont offert certains des plus grands disques chtarbés des 60's ("pet sounds", le "smile" original...) quel manque de discernement...Olaf wrote:Et puis le rock ne se résume pas à la rebellitude (et heureusement).Couramiaud Poitevin wrote:
Dit-donc, Nemo, tu n'aurais pas séché les cours d'histoire du rock ?
En tous les cas tu as 0/20 pour cette copie. Le doo wop des années 70 ? Elvis qui se tripote sur scène ? Jimy Hendrix qui précède les Beach Boys ? Sacrée salade !
la même chose avec l'ASSE, ça donnerait Gomis qui tire sur le poteau carré à Glasgow en 76 !
Et Diony meilleur buteur de toute l'histoire de l'ASSE !
Je savais que je me ferai avoir !Couramiaud Poitevin wrote:Dit-donc, Nemo, tu n'aurais pas séché les cours d'histoire du rock ?Nemo42 wrote:Je pense qu'on a pu dire la même chose avec le rock'n roll des années 50-60 bien provocateur au rock doo wop 60-70 bien enfant de choeur.thesnakke wrote:Non non mais c'était pas contre toi. Juste qu'il suffit d'écouter 2 morceaux d'IAM et 2 de Jul pour voir que musicalement, au niveau des textes, du vocabulaire, du message on est juste dans deux mondes différents. Je précise que je suis tout sauf un grand fan de rap mais quand j'écoute le rap français actuel (Pas tous y'en a quand même des très bons) et le rap des années 90 (La pour le coup presque tout)j'ai mal... ça fait vieux con mais la qualité globale a drastiquement baisséAl Greendaø wrote:C'est dans un papier de Libé qu'ils s'amusent à comparer le nombre de mots utilisés (même si a la base on peut estimer que la quantité ne fait pas la qualité...) .thesnakke wrote:"Ouf, ouf, ouf, ouf ! T'es qu'un fatigué, l'con de ta grand-mère la pouffeAl Greendaø wrote:epopee76 wrote: C'est qui jul ?
C'est un gars qui fait des morceaux avec deux fois moins de mots qu'IAM (véridique), qui composent des morceaux en 4h (véridique aussi), qui sort 2 albums par an, qui est illettré et qui en est fier... et qui compte autant de fans que johnny a ses débuts.
On est en passe de devenir aussi con que les ricains de base...
CZ, cagoulé et boule à 7 sous l'roof "
C'est ça Jul est ce utile de commenter ou la profondeur de ses textes se suffit a elle même?
Rien que d'oser faire une comparaison avec IAM est une insulte au rap français.
On est quand même passé d'Elvis qui se tripotait sur scène et des solos endiablés de jimy hendrix qui imite un B52, aux Beach Boys bien coiffés bien habillés qui se balladent sur une plage de Californie...
Les deux styles sont depuis acceptés et ancrés dans la culture pop, à terme c'est également ce qu'il devrait se passer avec le rap qu'on n'aime pas, mais on devrait s'y faire ... ou pas
En tous les cas tu as 0/20 pour cette copie. Le doo wop des années 70 ? Elvis qui se tripote sur scène ? Jimy Hendrix qui précède les Beach Boys ? Sacrée salade !
la même chose avec l'ASSE, ça donnerait Gomis qui tire sur le poteau carré à Glasgow en 76 !
Et Diony meilleur buteur de toute l'histoire de l'ASSE !
non non désolé, t'as presque tout faux !Nemo42 wrote:
Je savais que je me ferai avoir !
Bon qu'est-ce qu'elle a de pas bon mon histoire du rock n'roll ?
Moi j'ai (avec des histoires racontées ici et là) :
-Emergence du rock'n roll majoritairement au sein de la communauté noire américaine (chuck berry, fats domino ou marty macfly on ne sait plus trop) vers le milieu des années 50.
- Jugé obscène et vulgaire (traduisez trop noir) interdit à la télévision et la radio dans certains états américain. Au même moment émergence de la télévision, et là stupeur, un des plus grands allumés qui se trémousse sur scène pour qui les filles poussent des cris stridents n'est pas noir. C'est un petit blanc bec. Un certain Elvis... Appelé à se calmer en allemagne pour son service, il jouera un rock plus "mielleux" par la suite.
- A ce moment là, arrivée du rock doo wop. Plus sage, et surtout plus blanc et donc plus propre à la consommation. Et oui j'aime bien les beach boys mais c'est quand même les enfants sages de l'époque...
Voilà ma version du rock'n roll, qu'est-ce que j'ai foiré ? J'ai vieilli hendrix ? Ou alors je vis dans un mensonge permanent ?
Presque entièrement d'accord avec toi mononoké. Le doo-wop n'est pas blanc, mais exclusivement black et précède le Rock n'Roll. Faire des Beach Boys les représentants d'un Rock sage et policé est une belle hérésie. Formation des Beach Boys en 1961, alors que l'émergence du Rock, c'est grosso modo de 1954 à 1959. Le concurrent d'Elvis durant cette courte période c'est Ricky Nelson, avec sa bonne tête d'étudiant sage, propre sur lui, son accent trainant et des chansons au rythme faussement endiablé.mononoké wrote:non non désolé, t'as presque tout faux !Nemo42 wrote:
Je savais que je me ferai avoir !
Bon qu'est-ce qu'elle a de pas bon mon histoire du rock n'roll ?
Moi j'ai (avec des histoires racontées ici et là) :
-Emergence du rock'n roll majoritairement au sein de la communauté noire américaine (chuck berry, fats domino ou marty macfly on ne sait plus trop) vers le milieu des années 50.
- Jugé obscène et vulgaire (traduisez trop noir) interdit à la télévision et la radio dans certains états américain. Au même moment émergence de la télévision, et là stupeur, un des plus grands allumés qui se trémousse sur scène pour qui les filles poussent des cris stridents n'est pas noir. C'est un petit blanc bec. Un certain Elvis... Appelé à se calmer en allemagne pour son service, il jouera un rock plus "mielleux" par la suite.
- A ce moment là, arrivée du rock doo wop. Plus sage, et surtout plus blanc et donc plus propre à la consommation. Et oui j'aime bien les beach boys mais c'est quand même les enfants sages de l'époque...
Voilà ma version du rock'n roll, qu'est-ce que j'ai foiré ? J'ai vieilli hendrix ? Ou alors je vis dans un mensonge permanent ?
Chuck Berry n'aurait jamais connu le succès qu'il a eu sans... Elvis ! Le doo-wop c'est encore autre chose: des groupes d'harmonies vocales qui précedent le rock'n'roll (et la plupart du temps, des blacks !).
Le rock a connu des évolutions heurtées, complexes et certes, s'est fait "récupérer", "domestiquer" à plusieurs reprises (début des années 60 + départ d'Elvis à l'armée, là t'es bon !) mais ta démonstration est trop simpliste et erronée
Arcade wrote:Presque entièrement d'accord avec toi mononoké. Le doo-wop n'est pas blanc, mais exclusivement black et précède le Rock n'Roll. Faire des Beach Boys les représentants d'un Rock sage et policé est une belle hérésie. Formation des Beach Boys en 1961, alors que l'émergence du Rock, c'est grosso modo de 1954 à 1959. Le concurrent d'Elvis durant cette courte période c'est Ricky Nelson, avec sa bonne tête d'étudiant sage, propre sur lui, son accent trainant et des chansons au rythme faussement endiablé.mononoké wrote:non non désolé, t'as presque tout faux !Nemo42 wrote:
Je savais que je me ferai avoir !
Bon qu'est-ce qu'elle a de pas bon mon histoire du rock n'roll ?
Moi j'ai (avec des histoires racontées ici et là) :
-Emergence du rock'n roll majoritairement au sein de la communauté noire américaine (chuck berry, fats domino ou marty macfly on ne sait plus trop) vers le milieu des années 50.
- Jugé obscène et vulgaire (traduisez trop noir) interdit à la télévision et la radio dans certains états américain. Au même moment émergence de la télévision, et là stupeur, un des plus grands allumés qui se trémousse sur scène pour qui les filles poussent des cris stridents n'est pas noir. C'est un petit blanc bec. Un certain Elvis... Appelé à se calmer en allemagne pour son service, il jouera un rock plus "mielleux" par la suite.
- A ce moment là, arrivée du rock doo wop. Plus sage, et surtout plus blanc et donc plus propre à la consommation. Et oui j'aime bien les beach boys mais c'est quand même les enfants sages de l'époque...
Voilà ma version du rock'n roll, qu'est-ce que j'ai foiré ? J'ai vieilli hendrix ? Ou alors je vis dans un mensonge permanent ?
Chuck Berry n'aurait jamais connu le succès qu'il a eu sans... Elvis ! Le doo-wop c'est encore autre chose: des groupes d'harmonies vocales qui précedent le rock'n'roll (et la plupart du temps, des blacks !).
Le rock a connu des évolutions heurtées, complexes et certes, s'est fait "récupérer", "domestiquer" à plusieurs reprises (début des années 60 + départ d'Elvis à l'armée, là t'es bon !) mais ta démonstration est trop simpliste et erronée
Par contre je mettrais un léger bémol sur ton appréciation concernant Chuck Berry (Maybellene-1954, fut un sacré succès). Je ne suis par sûr du tout que Chuck ait été à la traine d'Elvis. Je pense que ce sont ses déboires judiciaires qui lui ont valu une certaine mésestime du grand public. D'autre part, vous ne pouvez pas ramener cette période à Elvis et Chuck. Eddie Cochran (son décès accidentel en a fait une icône du Rock), Gene Vincent et ses Blue Caps (au même titre qu'Elvis avec se Jordanaires), et Ray Charles (I Got A Woman), ont largement contribué au succès du Rock.
Enfin un dernier point non négligeable. : les radios et la Télé. Aux USA, les radios locales très nombreuses et l'équipement massif des foyers en téléviseurs, ont permis à des millions de jeunes d'entendre de nouveaux "sons". En France, l'équipement TV était encore trop marginal; mais l'arrivée d'une nouvelle radio (Europe 1, 1955)) qui se voulait moderne et à l'écoute des jeunes (attention, on était encore loin de Salut les Copains, mais il y avait déjà, très tard le soir, Pour ceux qui aiment le Jazz), a largement contribué à la popularisation de la musique venue d'Outre-Atlantique. Je ne sais pas si vous pouvez vous rendre compte du choc émotionnel que cela a été de passer d'un "Petit train" (André Clavaux), "Etranger au paradis" (Gloria Lasso) ou encore "combien pour ce chien dans la vitrine" (Line Renaud), à Hound Dog ou C'mon Everybody.
je veux pas pinailler (mais en fait si !) mais les Sonics, malgré leur classe ultime, leurs disques n'ont pas vraiment dépasser les limites du north-west avant les rééditions de la fin des années 70... Genre ils étaient n°1 à portland et seattle et totalement inconnus ailleurs ! Mais leurs deux premiers LP =lethal wrote: Ouaip t'as raison Arcade........
j'ajoute juste qu' il y a eu aussi Jerry Lee Lewis , avec un rock inspiré du boogie woogie du Sud ,..., ou Buddy Holly ( qui au depart est un musicien de country de Nashville) ou The Everly Brothers, ( egalement des musiciens country) qui vont venir avec des harmonies inedites et qui inspireront fortement les Beatles .
Quand aux Beach Boys , si effectivement avec Jan & Dean au debut des sixties , ils ont representé la "surf music" ( sorte de rock gentillet pour ados ) leurs innovations dans l'album "Pet Sound" ont permit aux Beatles de rever a faire quelque chose "d'aussi grand" ( Paul Mc Cartney) et ce fut "Sergent Pepper"...... ou quand le Rock devient "Pop".
Quand a dire qu'apres la premiere epoque ( 1955-1960) le rock est devenu "plus sage" "plus propre a la consommation" , c'est meconnaitre le rock americain ( puisqu'on ne parle pas ici de la British invasion)
The sonics a des 1963 sorti des rocks bien plus violents que les premiers enregistrements d'Elvis , The Seeds, The Kingsmen etc....( mais peu disponible en Europe c'est vrai).
Evidement que l'accident de Clear Lake ( Buddy Holly, Ritchies Valens Big Bopper), les deboires judiciaires de Chuck Berry et Jerry Lee Lewis ainsi que l'entrée d'Elvis a l'armée a fortement contribué a mettre le rock ( local) en sourdine aux USA.....heureusement que chez les Britons la releve a été solide et talentueuse et "pas sage du tout" ( Beatles, Rolling Stones, Kinks , Who , Animals etc...)
Hommage a l'accident de Clear Lake " the day the music died"
https://www.youtube.com/watch?v=ih7N9_VUU4U
Et les Seeds c'est plus tard, après la british invasion et sous son influence, avec toute la vague de garage de 65 à 68 (chocolate watchband, thirteen floor elevators, remains, standells, etc...). A part quelques tubes type la reprise de Richard Berry par les Kingsmen, ouais, le rock "populaire" aux Usa entre 59 et 64, ça c'était bien policé quand même ouai y a pas photomononoké wrote:je veux pas pinailler (mais en fait si !) mais les Sonics, malgré leur classe ultime, leurs disques n'ont pas vraiment dépasser les limites du north-west avant les rééditions de la fin des années 70... Genre ils étaient n°1 à portland et seattle et totalement inconnus ailleurs ! Mais leurs deux premiers LP =lethal wrote: Ouaip t'as raison Arcade........
j'ajoute juste qu' il y a eu aussi Jerry Lee Lewis , avec un rock inspiré du boogie woogie du Sud ,..., ou Buddy Holly ( qui au depart est un musicien de country de Nashville) ou The Everly Brothers, ( egalement des musiciens country) qui vont venir avec des harmonies inedites et qui inspireront fortement les Beatles .
Quand aux Beach Boys , si effectivement avec Jan & Dean au debut des sixties , ils ont representé la "surf music" ( sorte de rock gentillet pour ados ) leurs innovations dans l'album "Pet Sound" ont permit aux Beatles de rever a faire quelque chose "d'aussi grand" ( Paul Mc Cartney) et ce fut "Sergent Pepper"...... ou quand le Rock devient "Pop".
Quand a dire qu'apres la premiere epoque ( 1955-1960) le rock est devenu "plus sage" "plus propre a la consommation" , c'est meconnaitre le rock americain ( puisqu'on ne parle pas ici de la British invasion)
The sonics a des 1963 sorti des rocks bien plus violents que les premiers enregistrements d'Elvis , The Seeds, The Kingsmen etc....( mais peu disponible en Europe c'est vrai).
Evidement que l'accident de Clear Lake ( Buddy Holly, Ritchies Valens Big Bopper), les deboires judiciaires de Chuck Berry et Jerry Lee Lewis ainsi que l'entrée d'Elvis a l'armée a fortement contribué a mettre le rock ( local) en sourdine aux USA.....heureusement que chez les Britons la releve a été solide et talentueuse et "pas sage du tout" ( Beatles, Rolling Stones, Kinks , Who , Animals etc...)
Hommage a l'accident de Clear Lake " the day the music died"
https://www.youtube.com/watch?v=ih7N9_VUU4U
bon, parler de rock'n'roll c'est tout de même plus sympa que de parler des verts, ces temps-ci
Si mes souvenirs sont bons, il parlait un peu de Sainté dans certaines de ses déclarations. Il me semble avoir vu un ou deux potins à ce sujet.hcatteau wrote:2017 a fini en emportant Frederic Forte .... p’tain crise cardiaque à 47 ans pour le président du CSP Limoges ...
https://www.lequipe.fr/Basket/Actualite ... ges/863106
Almanzor wrote:Frédéric Forte...Il avait vaincu un cancer . Il a redressé Limoges. Il a fait l'interception sur Ton Kukoc qui a permis d'obtenir le 1er titre de champion d'Europe pour un club français. ...47 ans c'est trop tôt !
